Rapport annuel OCP en images

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rapport annuel 2008. OCP en images"

Transcription

1 Rapport annuel 2008 OCP en images

2

3

4 4

5 À gauche Forage minier vertical par sondeuse. À droite Le sautage consiste à fragmenter la surface de la mine à l aide d explosifs. 5

6 6

7 Enlèvement par dragline des couches stériles épaisses. 7

8 8

9 À gauche Le décapage sert à débarrasser la mine de la terre et des pierres - les stériles - qui recouvrent le premier niveau de minerai exploitable. À droite Le défruitage consiste à enlever le minerai par camion. 9

10 10

11 Transport de phosphate par camion vers les installations d épierrage. 11

12 12

13 À gauche Déchargement des phosphates pour le premier épierrage par camions-bennes de grande capacité (110 et 170 tonnes). À droite Traitement mécanique (épierrage, criblage, ) des phosphates afin de les débarrasser d un maximum de stériles. 13

14 14

15 À gauche Évacuation par convoyeur des matériaux stériles vers des mises à terril. Au milieu Acheminement des phosphates vers les unités de traitement. À droite Stockage des phosphates épierrés dans des parcs dédiés. 15

16 16

17 Stockage de minerai avant traitement dans les usines d OCP. 17

18 18

19 À gauche Enrichissement du phosphate dans une laverie. À droite Bacs de stockage d eaux brutes et d eaux déminéralisées dans une unité de production d acide phosphorique. 19

20 20

21 À gauche De l acide phosphorique à teneur de 29 % P 2 O 5 est débarrassé des déchets de phosphogypse via un filtre rotatif. Au milieu Vanne de contrôle. À droite Vue nocturne d usines chimiques de Safi. 21

22 22

23 LE BROYAGE Le broyage du phosphate brut a pour but d augmenter la surface d attaque du minerai par l acide sulfurique. Les unités de broyage sont composées principalement d un broyeur, de cribles et de transporteurs (à godets ou à bandes). Installation de broyage des phosphates. 23

24 L ATTAQUE FILTRATION Le phosphate broyé est attaqué par l acide sulfurique concentré à 98,5 % et l acide phosphorique moyen (18 à 22 % de P 2 O 5 ) en milieux aqueux. Le mélange donne une bouillie. La filtration de cette bouillie consiste à séparer l acide phosphorique 29 % P 2 O 5 du phosphogypse via un filtre rotatif. Le produit est ensuite stocké dans des bacs de décantation. 24

25 À gauche Agent de contrôle dans l enceinte du filtre rotatif. En bas Filtration de l acide phosphorique. À droite Usine de concentration de l acide phosphorique. 25

26 26

27 LA CONCENTRATION La fonction de la concentration par évaporation de l acide phosphorique est d évaporer l eau à l aide de 20 échelons pour obtenir un acide tirant 54 % de P 2 O 5. Filtre de séparation de l acide phosphorique et du phosphogypse après attaque du phosphate par l acide sulfurique. 27

28 28

29 À gauche Installation de production d acide phosphorique. Au milieu Bassin d eau dans une laverie. À droite Bac de stockage d acide phosphorique. 29

30 30

31 Stockage d engrais à Jorf Lasfar. 31

32 32

33 OCP fait de la Recherche et Développement un axe prioritaire via le Centre d études et de Recherche des Phosphates minéraux. 33

34 L ACIDE SULFURIQUE SE FABRIQUE EN TROIS ÉTAPES : 1. La combustion qui consiste à brûler du soufre dans un four pour former de l anhydride sulfureux (SO2). 2. La conversion qui consiste à combiner l anhydride sulfureux avec de l oxygène dans un convertisseur pour produire de l anhydride sulfurique (SO3). 3. L absorption consiste à combiner l anhydride sulfurique à l eau dans des tours d absorption pour former une solution contenant 98 à 99 % d acide sulfurique (H2SO4). 34

35 À gauche Cycle de refroidissement du soufre après sa combustion. En haut Tours d absorption servant à produire une solution concentrée d acide sulfurique. En bas Cuves de soufre liquide. 35

36 36

37 À gauche Stockage du soufre solide dans le port de Jorf Lasfar. En haut Déchargement de soufre solide. À droite Quai de déchargement de soufre solide dans le port de Jorf Lasfar. 37

38 38

39 ENGRAIS : Le principe de fabrication des engrais est basé sur la réaction entre l acide phosphorique et l ammoniac (pour le DAP, ASP, MAP et NPK) et sur l attaque du phosphate par l acide phosphorique (pour le TSP). La méthode de fabrication des engrais DAP, MAP et ASP (produits azotés) consiste d abord à neutraliser l acide phosphorique par l ammoniac en présence de l acide sulfurique. Il se forme alors une bouillie qui est expédiée vers un granulateur. Le produit granulé ainsi récupéré est introduit dans un sécheur chauffé par les gaz provenant d une chambre à combustion. Cette dernière est équipée d un brûleur alimenté en fuel-oil. À la sortie du sécheur, le produit subit alors une sélection par tamisage à travers un crible. Le produit marchand ainsi obtenu est refroidi puis enrobé d huile afin d éviter les prises en masse au moment du stockage. Différentes phases de fabrication des engrais. 39

40 40

41 À gauche Elèves de l IPSE (école d enseignement d OCP). En haut L économie et la vie sociale d El Jadida profitent de la proximité avec les installations d OCP à Jorf Lasfar. À droite Aménagement de la corniche de Souiria l Qdima (20 km de Safi). À droite Lac de Sidi Chennane. 41

42

43 Réalisation : Logos Conseil Création artistique : Verba Volant Photos : Jalil Bounhar, Saad Tazi Impression : Direct Print, Casablanca

44

LA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde

Plus en détail

SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005

SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005 SCHEMATHEQUE 2004 Juin 2005 1 / 13 SOMMAIRE CLASSIFICATION DES APPAREILS 3 TUYAUTERIE 4 ACCESSOIRES ET ROBINETTERIE 5 APPAREILS DE SEPARATION 6 COLONNES ET REACTEURS 7 ECHANGEURS DE CHALEUR 8 MANUTENTION

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE SYMPHOS 2015

DOSSIER DE PRESSE SYMPHOS 2015 DOSSIER DE PRESSE SYMPHOS 2015 A- SYMPHOS, UN HUB D EXPERTISES DANS L INDUSTRIE DES PHOSPHATES B- SYMPHOS, THÉMATIQUES ET TEMPS FORTS C- OCP, UNE SUCCESS STORY INDUSTRIELLE 1- Une excellence industrielle

Plus en détail

Alstom au Maroc. Alstom partenaire de longue date des projets d infrastructures au Maroc. Présence d Alstom. Chiffres clés: (April 2014)

Alstom au Maroc. Alstom partenaire de longue date des projets d infrastructures au Maroc. Présence d Alstom. Chiffres clés: (April 2014) Présence d Alstom Rabat Bureau et dépôt Tramway Mohammedia Atelier de maintenance Roches Noires atelier de maintenance locomotive ONCF - Alstom Casablanca Siège Alstom Maroc Ain Sebaa Plate Forme Logistique

Plus en détail

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

de la valeur 1. CRÉER DE LA VALEUR

de la valeur 1. CRÉER DE LA VALEUR #1 Créer de la valeur Riche de plus de 90 ans d expérience et disposant de réserves de phosphate parmi les plus importantes au monde, OCP poursuit un double objectif de génération de valeur et d engagement

Plus en détail

Office Chérifien des Phosphates RAPPORT DE STAGE. Rapport de st

Office Chérifien des Phosphates RAPPORT DE STAGE. Rapport de st Office Chérifien des Phosphates RAPPORT DE STAGE Rapport de st Elaboré par : FIHRI MARYAMA Filière : MASTER DE MANAGEMENT : Spécialité la chaîne logistique Encadré par : Monsieur Ahmed NAJAB Année : 2009-2010

Plus en détail

Orientations stratégiques en matière de développement minier

Orientations stratégiques en matière de développement minier Ministère de l Energie et des Mines Orientations stratégiques en matière de développement minier Journées Nationales de l Industrie Minérale Marrakech, 23-25 novembre 2005 1 Plan de l exposé Place de l

Plus en détail

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011 PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans

Plus en détail

SOLUTIONS ENERGETIQUES. professionnelles

SOLUTIONS ENERGETIQUES. professionnelles SOLUTIONS ENERGETIQUES professionnelles Afriquia Gaz Sommaire L énergie d un leader 5 6 8 11 14 15 21 22 Afriquia Gaz, un leader gazier tourné vers l avenir Chiffres clés Une offre complète de produits

Plus en détail

Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu Le glorifie

Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu Le glorifie GROUPE OCP RAPPORT ANNUEL 2012 Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu Le glorifie PRÉAMBULE Le présent rapport couvre les activités menées par OCP du 1 er janvier au 31 décembre 2012 et devrait être consulté

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Suivi d une réaction lente par chromatographie

Suivi d une réaction lente par chromatographie TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT ET DE L ETUDE DE DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT ET DE L ETUDE DE DANGERS RESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT ET DE L ETUDE DE DANGERS AXE/AB/INVIVO NSA/DDAE/361/2007 Société EVIALIS FRANCE Commune de Sillé le Guillaume 1 I. PRESENTATION DE LA SOCIETE ET CHOIX DU SITE Le

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

Présentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux

Présentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux Présentation de nos Solutions de stockage pour vos produits chimiques et Vos produits dangereux SOMMAIRE Présentation générale de notre gamme Plans des différents modules Spécifications techniques Vues

Plus en détail

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs 0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

OCP SA NOTE D INFORMATION

OCP SA NOTE D INFORMATION OCP SA NOTE D INFORMATION EMISSION D UN EMPRUNT OBLIGATAIRE MONTANT GLOBAL DE L EMISSION : 2 000 000 000 DH Tranche A non cotée Tranche B cotée Plafond 2 000 000 000 DH 2 000 000 000 DH Nombre maximum

Plus en détail

SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE

SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE SÉRIES SM Cribles CRIBLES À TROMMELS SM 414 SM 414 K SM 518 SM 620 SM 620 K SM 720 CRIBLE À ÉTOILES SM 1200 WE CARE CRIBLES SÉRIE SM CRIBLES À TROMMELS POUR UN CRIBLAGE OPTIMAL CRIBLES À TROMMELS Le trommel

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00

TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 L entreprise Professionnel dans la collecte, le traitement et la valorisation de déchets industriels depuis plus de 80 ans

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

Le PNQ, Pour Promouvoir la Performance

Le PNQ, Pour Promouvoir la Performance Direction de la Qualité et de la Surveillance du Marché Ministère de l Industrie, du Commerce, de l Investissement et de l Economie Numérique Angle Avenue Kamal Zebdi et rue Dadi, Hay Riad - Rabat Téléphone

Plus en détail

Gestion écoresponsable des déchets

Gestion écoresponsable des déchets Gestion écoresponsable des déchets R E C Y C L E R, V A L O R I S E R E T E L I M I N E R P O U R P R E S E R V E R L E N V I R O N N E M E N T E T C O N T R I B U E R A U D E V E L O P P E M E N T D U

Plus en détail

Informations produits. Massepain

Informations produits. Massepain Informations produits Massepain BASE RÉGLEMENTAIRE POUR LES PRODUITS ALIMENTAIRES (principes pour les graines oléagineuses) : «La pâte d amandes brute est une masse fabriquée à partir d amandes mondées.

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

SMALL DATA DANS LA VEILLE

SMALL DATA DANS LA VEILLE SMALL DATA DANS LA VEILLE Collecte et valorisation de l information stratégique dans l entreprise OCP El Jadida 25 Septembre 2014 25 Septembre 2014 OCP - El Jadida 2 Ordre du jour Définitions Etat de la

Plus en détail

Chapitre 13. Plan de gestion environnementale et sociale

Chapitre 13. Plan de gestion environnementale et sociale Chapitre 13 Plan de gestion environnementale et sociale Table des matières Table des matières... 13-i 13 Plan de gestion environnementale et sociale... 13-1 13.1 Cadre d élaboration du plan de gestion...

Plus en détail

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets

Plus en détail

Fabrication de farines à base de maïs

Fabrication de farines à base de maïs SAILD agridoc Fabrication de farines à base de maïs Zone géographique Mots clés Public(s) cible(s) Afrique centrale, Cameroun Farine ; Maïs ; Transformation agroalimentaire ; Couscous, Bouillie. Petites

Plus en détail

RISQUES PROFESSIONNELS RISQUES MÉCANIQUES

RISQUES PROFESSIONNELS RISQUES MÉCANIQUES Hygiène Industrielle - Santé au Travail RISQUES PROFESSIONNELS Ingénieurs en Sécurité Industrielle RISQUES MÉCANIQUES I - OÙ SONT PRÉSENTS LES RISQUES MÉCANIQUES?... 1 II - QUELS SONT LES RISQUES?... 2

Plus en détail

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR STATISTIQUE DU COMM- DU COMMERCE MERCE EXTERIEUR E X T E R I E U R Statistique du Commerce Extérieur S E R I E Statistiques du commerce extérieur I - Introduction Les statistiques des échanges commerciaux

Plus en détail

Ecoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST. Les EST sont des établissements supérieurs public. Diplôme préparé : D.U.T

Ecoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST. Les EST sont des établissements supérieurs public. Diplôme préparé : D.U.T Ecoles Supérieures de Technologie (EST) Les EST sont des établissements supérieurs public Ministère de Tutelle : Ministère de l'éducation Nationale de l'enseignement Supérieur de la Formation des Cadres

Plus en détail

Direction de l Organisation et des Systèmes d Information

Direction de l Organisation et des Systèmes d Information Direction de l Organisation et des Systèmes d Informations Direction de l Organisation et des Systèmes d Information Synthèse globale Contrôle de qualité Disponibilité du SI et réseau Sécurité et protection

Plus en détail

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

ALSACE. Exemple de mise en œuvre de réduction du risque à la source General Motors (Strasbourg)

ALSACE. Exemple de mise en œuvre de réduction du risque à la source General Motors (Strasbourg) ALSACE Nombre total d établissements de site Seveso : 43 Nombre d'études de danger reçues au titre de SEVESO II : 31 Nombre de tierces expertises réalisées ou en cours sur les études précitées : 5 Nombre

Plus en détail

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance

Plus en détail

Chauffage à granulés de bois

Chauffage à granulés de bois 0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le

Plus en détail

MULTISTAR. Cribleurs à étoiles

MULTISTAR. Cribleurs à étoiles MULTISTAR Cribleurs à étoiles 1 2 MULTISTAR Cribleurs à étoiles mobiles In t r o d u c t io n Le criblage à étoiles compte parmi les techniques de séparation les plus performantes dans le secteur du traitement

Plus en détail

Propriétaire Ville de Fort Saskatchewan, Alberta Année de construction 2004 Superficie totale (empreinte au sol) 10 220 m 2 (110 000 pi 2 )

Propriétaire Ville de Fort Saskatchewan, Alberta Année de construction 2004 Superficie totale (empreinte au sol) 10 220 m 2 (110 000 pi 2 ) Profil de projet d innovation technologique en réfrigération PARB PROGRAMME D ACTION EN RÉFRIGÉRATION POUR LES BÂTIMENTS Centre multiloisirs Dow Centennial Centre (Alberta) CONSTRUCTION NEUVE Sommaire

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

MODE D EMPLOI CREATION D UN COMPTE D UTILISATEUR

MODE D EMPLOI CREATION D UN COMPTE D UTILISATEUR MODE D EMPLOI CREATION D UN COMPTE D UTILISATEUR A partir du 15 janvier 2015, tu as la possibilité de créer ton compte d utilisateur sous : www.girlsdayboysday.lu Élèves - inscription ETAPE 1 CRÉER TON

Plus en détail

Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?

Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :

Plus en détail

Terre végétale. www.remu.fi. Remblaiement de tranchée. Enrobage de réseaux. Compostage. Applications industrielles. Recyclage et dépollution

Terre végétale. www.remu.fi. Remblaiement de tranchée. Enrobage de réseaux. Compostage. Applications industrielles. Recyclage et dépollution Screening Technology & Amphibious Excavators Terre végétale Remblaiement de tranchée Enrobage de réseaux Compostage Applications industrielles Recyclage et dépollution Criblage de tourbe et produits organiques

Plus en détail

Le diagnostic énergétique d une cimenterie

Le diagnostic énergétique d une cimenterie agence intergouvernementale de la francophonie Le diagnostic énergétique d une cimenterie F i c h e t e c h n i q u e P R I S M E nº 1 Problématique La production mondiale de ciment s élevait, en 2001,

Plus en détail

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015 BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour

Plus en détail

Forums et plan d action régional sur les algues bleu-vert au Bas-Saint-Laurent. Rapport d activités

Forums et plan d action régional sur les algues bleu-vert au Bas-Saint-Laurent. Rapport d activités Forums et plan d action régional sur les algues bleu-vert au Rapport d activités Conseil régional de l environnement du Octobre 2008 Forums régionaux sur les algues bleu-vert au Table des matières Table

Plus en détail

Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines

Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.

Plus en détail

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration

Plus en détail

Master Marketing Année Universitaire : 2010-2011

Master Marketing Année Universitaire : 2010-2011 Master Marketing Année Universitaire : 010-011 PLAN Introduction Partie 1 : Analyse contextuelle Chapitre I : Présentation générale des Ciments du Maroc I- Structure de Ciments du Maroc II- Historique

Plus en détail

Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables

Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables Traitement des sols fins compactés : contribution à la reconnaissance des conditions défavorables d à la prise Thèse Tangi Le Borgne Directeur de thèse : F. Masrouri (LAEGO) Conseillers d étude : O. Cuisinier

Plus en détail

Le Conseil Municipal,

Le Conseil Municipal, MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS

Plus en détail

Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09

Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et

Plus en détail

Complice Respectueuse Divertissante

Complice Respectueuse Divertissante Kit Média 2015 La référence artistique et culturelle n o 1 au Québec Complice du milieu artistique québécois depuis 25 ans, 7 Jours a pour mission de rapprocher le public de ses artistes préférés. La marque

Plus en détail

Développement du processus d extraction de l or Rapport de capacités

Développement du processus d extraction de l or Rapport de capacités Développement du processus d extraction de l or Rapport de capacités BONNES SOLUTIONS BON PARTENAIRE Aperçu de la Société Australian Laboratory Services (ALS) a débuté à Brisbane sous le nom d»australian

Plus en détail

Visite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.

Visite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS. Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles

Plus en détail

PERSPECTIVES DU SECTEUR MINIER A MOYEN ET LONG TERME

PERSPECTIVES DU SECTEUR MINIER A MOYEN ET LONG TERME PERSPECTIVES DU SECTEUR MINIER A MOYEN ET LONG TERME PLAN N DE LA PRESENTATION N I. APERCU SUR LE SECTEUR MINIER MALIEN II. III. IV. SITUATION DE LA RECHERCHE ET DE L EXPLOITATION MINIERE PERSPECTIVES

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES

SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES NETTOYAGE EFFICACE DES PIECES MECANIQUES DE PRECISION

Plus en détail

les années quatre-vingt - l ère nucléaire

les années quatre-vingt - l ère nucléaire Grue à benne traînante Maid Marion de 50 m 3 L aspect le plus mémorable des années est l entrée d Énergie NB dans l ère nucléaire signalée par l inauguration de la centrale nucléaire de Point Lepreau.

Plus en détail

SOLUTIONS DE SURVEILLANCE DE POINTE. www.motionmetrics.com VERSION FRANÇAISE ENGLISH VERSION DESCRIPTION GÉNÉRALE

SOLUTIONS DE SURVEILLANCE DE POINTE. www.motionmetrics.com VERSION FRANÇAISE ENGLISH VERSION DESCRIPTION GÉNÉRALE ENGLISH VERSION VERSION FRANÇAISE HACIENDO LA MINERÍA MÁS FÁCIL, SEGURA Y CONECTADA DESCRIPTION GÉNÉRALE SOLUTIONS DE SURVEILLANCE DE POINTE www.motionmetrics.com SOLUTIONS DE SURVEILLANCE DE POINTE Motion

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

Portage de cadres. Quels profils sont concernés par le portage salarial? contact@portage-de-cadres.fr. http://www.portage-de-cadres.

Portage de cadres. Quels profils sont concernés par le portage salarial? contact@portage-de-cadres.fr. http://www.portage-de-cadres. Portage de cadres Devenons n 1 du portage salarial ensemble Quels profils sont concernés par le portage salarial? L indépendant souhaitant se libérer des contraintes administratives, comptables et fiscales

Plus en détail

Utiliser le logiciel Photofiltre Sommaire

Utiliser le logiciel Photofiltre Sommaire Utiliser le logiciel Photofiltre Sommaire 1. Quelques mots sur l image 2. Obtenir des images numériques 3. Le tableau de bord de logiciel PhotoFiltre 4. Acquérir une image 5. Enregistrer une image 6. Redimensionner

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

Types de déchets du guide d'élimination

Types de déchets du guide d'élimination Classe 1: Déchets chimiques 101 ds Solvants halogénés (1.1.1) 07 01 03 ds Solvants, liquides de lavage et liqueurs mères organiques halogénés (teneur en chlore > 2 %) 07 02 03 ds Solvants, liquides de

Plus en détail

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu

Extinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire

Plus en détail

Collecteur de distribution de fluide

Collecteur de distribution de fluide Collecteur de distribution de fluide Guide des applications Un sous-système prêt-à-monter Des sous-systèmes prêts-à-monter, disponibles en quelques semaines et non en quelques mois. Une conception testée

Plus en détail

Guide pour l installation domestique de chaudière automatique à bois déchiqueté

Guide pour l installation domestique de chaudière automatique à bois déchiqueté Guide pour l installation domestique de chaudière automatique à bois déchiqueté Dossier d aide à la décision destiné aux particuliers et agriculteurs Version Avril 2011 «Comment fonctionne une chaudière

Plus en détail

LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE

LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE par Jean Paul CHABRIER Société ENVIRO-CONSULT Ingénieur Consultant en séchage thermique des boues et déchets AQUATECH

Plus en détail

Opportunité de co-combustion de biomasse dans une centrale charbon

Opportunité de co-combustion de biomasse dans une centrale charbon Opportunité de co-combustion de biomasse dans une centrale charbon Sophie Demassey et Paul Hugues CMA, MINES ParisTech sophie.demassey@mines-paristech.fr 1 er octobre 2014 Résumé En mai 2013, la société

Plus en détail

stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique

stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L EQUIPEMENT ET DES TRANSPORTS polariser les flux logistiques......pérenniser le développement. stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique Synthèse

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES. Mercredi 23 juin 2010

DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES. Mercredi 23 juin 2010 DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES Mercredi 23 juin 2010 La régie de l eau de Nantes Métropole gère tous ses équipements techniques et son usine de Traitement d eau avec le logiciel GMAO CARL Master.

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

APS 2. Système de poudrage Automatique

APS 2. Système de poudrage Automatique F Notice de functionnement et Liste de piéces de rechange Système de poudrage Automatique 17 16 Sommaire Système de poudrage Automatique 1. Domaine d'application.........................................

Plus en détail

Qualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable

Qualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable Nombre minimal de point requis = 6; 1. Évacuation des gaz de combustion 1.1 Mesures de base pour évacuer les gaz de combustion Condition préalable Il n y a aucun appareil de combustion qui n est pas raccordé;

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

Exercices sur le thème II : Les savons

Exercices sur le thème II : Les savons Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide

Plus en détail

relatif au Code international de gestion du cyanure

relatif au Code international de gestion du cyanure INSTITUT INTERNATIONAL DE GESTION DU CYANURE Définitions et sigles relatif au Code international de gestion du cyanure www.cyanidecode.org Juin 2012 Le Code international de gestion du cyanure (ci-après

Plus en détail

Synthèse N 6. Les unités du boisénergie

Synthèse N 6. Les unités du boisénergie Mémento aquitain du bois énergie Synthèse N 6 Synthèse bibliographique Les unités du boisénergie Octobre 2013 2 Les unités du bois-énergie Objectifs : Connaître les unités du bois énergie. Clarifier les

Plus en détail

Système Management Environnemental

Système Management Environnemental Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE. «MED LINK PORTS» : le port de Marseille Fos et 8 plateformes multimodales concluent un partenariat de promotion

COMMUNIQUE DE PRESSE. «MED LINK PORTS» : le port de Marseille Fos et 8 plateformes multimodales concluent un partenariat de promotion Avec le soutien de COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le mercredi 3 décembre 2008 «MED LINK PORTS» : le port de Marseille Fos et 8 plateformes multimodales concluent un partenariat de promotion Dans le cadre

Plus en détail

Programme de services résidentiels de Canadian Tire MC

Programme de services résidentiels de Canadian Tire MC 292 INSUR_TOTAL_FR:CT_CFMH_BROCHURE_TOT_FR.V1 01/09/09 2:18 PM Page 1 Programme de services résidentiels de Canadian Tire MC Guide des avantages Couverture totale 292 INSUR_TOTAL_FR:CT_CFMH_BROCHURE_TOT_FR.V1

Plus en détail

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y

M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES

Plus en détail

Imbattable sur la maintenance! Des constructeurs renommés de matériels de chantier font confiance aux produits de qualité MANN+HUMMEL.

Imbattable sur la maintenance! Des constructeurs renommés de matériels de chantier font confiance aux produits de qualité MANN+HUMMEL. MANN-FILTER Imbattable sur la maintenance! Technologie de pointe made in Germany >> Qualité première monte Les moteurs à combustion interne modernes destinés à une utilisation intensive requièrent une

Plus en détail

Armoires de réfrigération et de congélation Inventus / GN 2/1 profonde

Armoires de réfrigération et de congélation Inventus / GN 2/1 profonde Inventus / GN 2/1 profonde 1.1 Armoire de réfrigération et de congélation Inventus (Propan, R290) Armoire de réfrigération et de congélation respectueuse de l environnement et efficace sur le plan énergétique,

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail