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3 6 La plus grande partie de l'eau qui tombe en pluie provient de la mer.

4 0%2$ *,,%2'<% = $44 Les réservoirs Les stocks Océans Eaux continentales Glaciers Eaux souterraines Mers intérieures Lacs d eau douce Humidité des sols Rivières Atmosphère (humidité de l air) Biosphère ( cellules vivantes) :; $4' #'92

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17 74$2 2$494#'422% 42 Nord Source CAC, 2006 Phosphore dans les retenues.'42% K 7 L

18 Excès de P Problématique de l excès de P Les apports : STEP, engrais chimiques, déjections animales, origine géologique Prolifération de cyanobactéries Baignade interdite depuis 2003 Production de microcystines LR (0,1 à 2 µg/l, Norme fixée à 1 µg/l) - Les concentrations en P total dans l eau de Ribou sont en moyenne de 0,3 mg/l, il faut les abaisser à 0,03 mg/l.

19 $%$J'!$C4'/B $92H9'4, -.//0 2*1BF) *.'M2 $$ $4/ $2%$'0&,) #$ #$20,%!8) Oxydabilité KMnO 4 (mg/l) Trézon Aval Verdon Ribou surface juin juillet août sept. oct. Mois (année 2005)

20 74$2 2$494#'4 42 K7 L.'42% Très mauvaise mauvaise médiocre passable bonne très bonne MO mg/l >

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22 Paramètres de pollution Pour les eaux destinées à la consommation humaine : - paramètres microbiologiques (coliformes totaux, Streptocoques ) - paramètres organo-leptiques (couleur, turbidité, odeur, saveur) - paramètres physico-chimiques (Temp, ph, ions ) - substances indésirables (Nitrates, Ammonium, fer, manganèse, cuivre ) - substances toxiques (Arsenic, Cyanure, Plomb, Pesticides, SP de désinfection ) Pour les eaux résiduaires : - Matières en suspension (MES) - Demande chimique en oxygène (DCO) - Demande Biologique en Oxygène (DBO) - Azote - Phosphore + Germes, métaux lourds, détergents, graisses. en fonction de l origine de l eau et de sa destination En matière d eau destinée à la consommation humaine, la législation française a mis en application la législation européenne : décret n , en application de la directive européenne 98/83/CE du 3 novembre 1998 (

23 "'$92$' $4/ 52J.2$C4%'

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25 FILIÈRE CLASSIQUE DE POTABILISATION Traitement Ozone Coagulant Coagulant #$% #$% Stockage ACTIFLO Inter-ozonation Filtration bi-couche Post-traitement Chloration Eau produite 7I 45) '(%!8 '#'92J% ' 4!'P

26 FILIERE CLASSIQUE DE POTABILISATION Traitement Ozone Coagulant Coagulant #$% #$% Stockage ACTIFLO Inter-ozonation Filtration bi-couche Post-traitement Chloration Eau produite 7I 45)

27 FILIERE MODERNE DE POTABILISATION : LES TECHNIQUES A MEMBRANES Traitement Ozone Coagulant Acide Séquestrant Coagulant Stockage ACTIFLO Inter-ozonation Filtration bi-couche Préfiltration Post-traitement NaOH Eau produite Concentrat Etape de Nanofiltration B8@!'#$A2$#' 4.'Q'4$2J0*,,,,% = 8QJK 47&?) 4 LK M L J=*,,,,% ( %%9$0-)& "0 % "( 52$'

28 D 6 1 Macromolécules organiques Algues Colloïdes Composés organiques Bactéries Pollens Parasites Sels dissous 2'!)A µm ,1 0,01 0,001 0,0001 Osmose inverse Nanofiltration Ultrafiltration Microfiltration Filtration classique Electrodialyse

29 8? > +* 71 : = ) N 1,% & -4 O

30 E 1 Désinfection Désinfection + pesticides Désinfection + pesticides Désinfection + pesticides + nitrates Eau brute Eau brute Eau brute Eau brute Pompage Pompage Pompage Pompage Coagulation Floculation Coagulation Floculation Coagulation Floculation Coagulation Floculation Décantation Décantation Décantation Décantation Filtration sable Filtration CAG Filtration sable Filtration sable Microfiltration / Ultrafiltration Microfiltration / Ultrafiltration Microfiltration / Ultrafiltration + CAP Nanofiltration Chloration Chloration Chloration Chloration Eau distribuée Eau distribuée Eau distribuée Eau distribuée

31 1 Clarification + désinfection Désinfection + pesticides Désinfection + pesticides + nitrates (affinage) Microfiltration Ultrafiltration MF/UF + Charbon Actif Poudre ou Grains* Nanofiltration + goûts + goûts + adoucis. *Démarrage à Angers en septembre 2004 d une nouvelle usine mettant en œuvre Le procédé CRISTAL (Charbon actif + UF)

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37 40 Capacités installées (millions de m 3 /jour) (,,R*,%2' % = 8Q #' 4 $2%' S:8&98Q années

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59 Lit bactérien

60 Principe du procédé par filtres plantés de roseaux Principe de fonctionnement Il s'agit d'un procédé biologique à cultures fixées au travers de massifs filtrants colonisés par des bactéries qui assurent les processus épuratoires. Ils peuvent être alimentés directement avec des eaux usées brutes sans décantation préalable et après un simple dégrillage. Les filtres sont toujours étanchéifiés et drainés

61 STEP (pas de déphosphatation) Traitement en sortie de STEP (Comeau et al, 2006) Rejet milieu naturel

62 Procédé par lagunage

63 ?

64 Le lagunage à macrophytes 2,

65 '.24'##. 6 /, / 3 1), = ^, ) =/8F1 =, 23 & 4 6 / ' & & 6

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