équipe d une d le présentant un trouble concomitant
|
|
- Jean-Charles Nolet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L impact sur l él d une d clientèle le présentant un trouble concomitant Line Boudreault, M.Sc., criminologue Adjointe au directeur de l enseignementl Hôpital Louis H. Lafontaine Colloque Toxicomanie Santé mentale : Comment concilier les deux réalitr alités. 5 février f 2009 INTRODUCTION Lors de la réorganisation r par programme, certains programmes se sont vus accueillir une concentration de patients présentant à la fois un problème de consommation et un problème de santé mentale. L impact de ces mouvements de clientèle le et l incidence l des troubles concomitants sur une équipe en formation et sur le travail même de ces équipes avaient été sous-estim estimés Ces équipes se sont retrouvées es confronter à un nombre élevé d usagers présentant un trouble concomitant et à l impact que ceux- ci avaient sur leur travail au quotidien et sur l él. Dans la foulée e du plan d action d en santé mentale, plusieurs intervenants de 1ère 1 ligne sont appelés à vivre une réalitr alité similaire. 1
2 LES TROUBLES CONCOMITANTS La notion de «troubles concomitants» Couvre un large éventail de problèmes. On parle indistinctement de dépendance, d à des substances ou au jeu, combinée à des troubles de l humeur l ou des troubles de la personnalité Exemples: Schizophrénie/usage problématique de cannabis Consommation d'alcool/dépression Consommation/personnalité antisociale Influence le déroulement d et l'issue du traitement Présente des défis d importants pour le dépistage, l'évaluation, le traitement et le soutien 2
3 Quelques cocktails Manipulation, souvent présente chez le consommateur, et difficulté de respecter le cadre de la personnalité antisociale Consommation et impulsivité de la personnalité limite Manipulation et mode de pensée e clivée e du borderline Consommation et médicationm Rechute et irrégularit gularité dans le traitement Situation de crise et manipulation Interférence rence de la consommation sur le respect de la médication et du traitement En résumr sumé Les troubles concomitants couvrent un large éventail de problèmes. L intervenant doit composer avec une combinaison de caractéristiques ristiques propres aux consommateurs, aux troubles de l humeur l et ou troubles de personnalité La méthode m de traitement ne peut être la même pour tous. 3
4 COMPRENDRE LE PROCESSUS D ÉQUIPE POUR MIEUX COMPRENDRE L IMPACT DE LA CLIENTÈLE LE L ÉQUIPE Toute équipe connaît t des stades de développement Plus une équipe est jeune, plus elle est fragile Plus la cohésion d une d équipe est fragile, plus grande sera l emprise l de la clientèle. le. 4
5 Stade 1 La formation de l (L enfance) Forte dépendance d au supérieur Relations polies et neutres Vigilance Méfiance Réserve Les membres de l él n osent pas se contredire en réunionr Vont régulir gulièrement valider leurs idées auprès de leader avant de passer à l action Ne se confrontent pas Se disent en faveur des propositions du supérieur malgré leur désaccord. d Se taisent malgré les demandes du leader à donner leur point de vue. 5
6 Stade 2 La confrontation dans l él (L adolescence) Luttes de pouvoir, forte compétition, contestation de l autorité Demande au chef de trancher Conflits latents ou ouverts Présence de sous-groupes informels Transgression des règles, r remise en question des normes établies au stade 1. Abandon, découragement, d blocage Conversations à part durant les réunionsr Les réunions r d éd dépassent le temps prévu Quelques membres de l accaparent presque tout le temps de discussion Les membres de l él ne sont pas d accord d sur l heure l des réunionsr Ne réalisent r pas le travail planifié à la rencontre précédente Sont en retard à la réunion r Se rencontrent en sous- groupes avant la réunion r pour préparer parer des arguments Quittent la réunion r pour répondre à un appel téléphonique 6
7 Stade 3 L établissement des règles de Fonctionnement L âge adulte Indépendance par rapport au supérieur Reconnaissance des compétences et respect de l autonomie l professionnelle Traitement des problèmes par l él Recherche de consensus et de normes acceptables par tous Amélioration du climat et de l efficacitl efficacité. Les membres de l él se renseignent Discutent de la façon dont les décisions d seront prises Discutent des méthodes m de travail Offrent une approche différente pour résoudre r les problèmes Redisent en leurs mots l idée e d un d autre pour l approfondir ou aller plus loin Font remarquer que le groupe est hors du sujet et qu il n accomplit n pas sa tâche 7
8 Stade 4 L âge mûrm La productivité dans l Interdépendance entre le chef et l él, entre les membres de l él L s autogs autogère, le chef oriente et soutient Coopération, synergie, solidarité,, partage de leadership, cohésion Débrouillardise, souplesse, autonomie, ouverture, efficacité Engagement et responsabilités Respect Culture commune et valeurs partagées Techniques d intervention d similaires Mode de décision d clair Objectifs communs Règles et conditions de révision des règlesr Organisation adaptée à l'atteinte des objectifs Moyens de contrôle et de régulation Capacité de résister r aux pressions/à s'adapter Attitude pro active Leadership efficace et respecté 8
9 Les 4 conditions nécessaires à la cohésion d'une équipe 1. La cohérence 2. La connaissance par les membres de la structure (cadres, règlesr gles ) 3. L adhésion de l él à cette structure 4. La coopération entre les membres 9
10 L IMPORTANCE DU CADRE POUR L ÉL ÉQUIPE Il permet à tous d avoir d des balises et des référencesrences En y adhérant, chacun contribue à renforcer la cohérence de l él Renforce le sentiment de sécurits curité chez les membres de l él Et aussi chez les usagers LE RESPECT DU CADRE PAR L USAGER L application et le respect de ce cadre génèrent des frustrations chez le client Et, avouons-le, parfois chez les cliniciens.surtout lorsqu ils n y n y adhèrent pas, n enn comprennent pas le sens ou la portée e et n en voient pas l utilitl utilité 10
11 ALORS POURQUOI UN CADRE?... Élément fondamental du développement d de l enfant l et de l adolescent l et également de notre vie adulte. Que serait la société sans cadre, sans normes, sans règles? r Est-il possible de vivre sans limites? POURQUOI UN CADRE?... Le cadre participe à la construction de la personne (qui souvent ne s est s pas faite adéquatement dans l enfance). l La frustration est structurante car elle permet de sécuriser s l usager, l jeune ou adulte, dans la pose de limites. 11
12 POURQUOI UN CADRE?... Souvent, le sentiment d insd insécurité dans lequel se trouve le personnel clinique (les parents au sens figuré) ) le conduit à chercher une reconnaissance par les usagers (les enfants au figuré) ) et à éviter tout sentiment de frustration chez ce dernier, or il est important de comprendre que la frustration peut être structurante. LES DÉFIS D POUR L ÉQUIPE 12
13 LES DÉFIS D DE LA GESTION DE LA CONSOMMATION Troubles concomitants= problèmes multiples = traitement complexe Travailler avec une clientèle le présentant un trouble concomitant c est c forcément travailler avec la consommation Les défis d sont de taille! 13
14 Quelques défis d à relever Développer des approches intégr grées : Intégrer les meilleures pratiques dans le domaine des dépendances d aux meilleures pratiques dans le domaine de la santé mentale Concilier et intégrer la réduction r des méfaits m au maintien et au respect d un d cadre thérapeutique, d un d code de vie. Développer les compétences permettant d intervenir d adéquatement sur la consommation, respecter le cadre et préserver l alliance l thérapeutique. Aider l usager l à comprendre que deux milieux (interne vs externe) peuvent avoir deux réalitr alités s différentes et que ce qui est acceptable en suivi externe (ex. : consommation occasionnelle) ne peut ne pas être toléré en milieu de vie (impact sur le groupe, fragilité des patients, cadre à respecter, légalitl galité é ) Etc LES MENACES 14
15 LA FRAGILITÉ DE L ÉL ÉQUIPE A quel moment, l él est-elle elle fragile aux tentatives de manipulation des clients, au clivage, aux contestations? Les équipes sont particulièrement rement vulnérables Au stade 1 Au stade 2 Lors de changements QUELQUES CHANGEMENTS Établissement de nouveaux objectifs Changement d orientation, d de direction Départs : Actuellement les nombreux départs d à la retraite fragilisent les équipes Nouveaux membres: Certaines équipes présentent une moyenne d âge d dans la vingtaine et oùo les membres les plus expériment rimentés s ont moins de 5 ans d expd expérience Note: Des changements peuvent produire des régressions. 15
16 LES INTERFACES DIFFICILES Tous pour un ou un contre tous Les interfaces avec d autres d équipes Le client circule parmi plusieurs sous-syst systèmes (à( l intérieur même de l él mais également à l extérieur de l él, autres équipes, autres ressources, entourage, pairs ) Philosophie et cadre clinique, normes, valeurs et fonctionnement: Compatibles ou incompatibles? Similaires ou dissemblables? Cohésion ou dissonance? Partenaires ou rivaux? Le DéfiD : Les équipes doivent s ajuster s Trouver des terrains d entente d afin de maintenir un cadre cohérent pour l usager. l LE NIVEAU D EXPD EXPÉRIENCE DES MEMBRES DE L ÉL ÉQUIPE Un clinicien ayant moins d expd expérience à un niveau de sécurits curité intérieur plus faible La présence de plusieurs jeunes cliniciens dans une même équipe génère g une équipe possédant un niveau de sécurits curité plus faible 16
17 Les menaces provenant de l usager Les défenses d du patient. Une des défenses d difficiles à gérer dans le cadre d un d travail d éd : Le clivage Les tentatives de manipulation du patient La force du patient réside r dans la faiblesse de l él 17
18 DES OUTILS ET DES PISTES DE SOLUTIONS FAIRE UN BON DIAGNOSTIC DE L ÉQUIPE A quel stade se situe l él et pourquoi? Identifier le stade permet de trouver des solutions adaptées es Nouvelle équipe? Nombreux départs? d Plusieurs remplacements? Moyenne d expd expérience : faible 18
19 FAVORISER LES ÉCHANGES EN ÉQUIPE Permet : Permet au groupe d éd évoluer Un travail d éd élaboration par le groupe Au groupe de réflr fléchir D activer un dispositif d analyse d des pratiques De favoriser et renforcer la cohérence d éd D éviter les dérives, d les interprétations tations erronées, es, les tensions, les conflits. De diminuer l inconfort l ou l incertitude l De vérifier v et clarifier certains points De discuter et modifier le cadre MAXIMISER L IMPLICATIONL Encourager et favoriser la présence de tous les membres de l él lors des réunions r Lorsque nécessaire, n consulter les sous-groupes de l équipe (ex. quart de soir, quart de nuit, fin de semaine, externe ) ) avant l adoption l finale Diminue les risques de clivage et de dérived 19
20 CIRCULATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATIONL POUR QUI ET POURQUOI? Pour le personnel ne pouvant pas être présent lors des réunionsr Pour le personnel intégrant une équipe Pour améliorer le fonctionnement avec les autres systèmes (équipes,( ressources ) Comme aide-mémoire moire QUELQUES MOYENS Avoir lors des réunions r un représentant d un sous-groupe (ex : équipe de jour, équipe de soir, point de service éloigné é ) Compte rendu Conférence téléphonique t Lors d ajout d ou modification du cadre, mise à jour et diffusion de l informationl Accès s facile aux décisions d et au rationnel, les sous-tendant 20
21 DRAPEAUX ROUGES Fonctionner solo Agir selon ses propres valeurs et sa propre vision en faisant fi de celles véhiculées par le groupe crée e un climat propice à l incohérence et au clivage. Équipe clivée : Une partie de l él à la défense d un d patient, une partie contre Cela ressemble étrangement à une tentative de sauvetage 21
22 Secrets L information clinique adéquate ne circule pas à l intérieur de l él ou un usager vous lie par le secret Le niveau de confiance face à ses collègues est bas Présence de cliques Jeux de pouvoir Alliances informelles Traitement de faveur, iniquité Bouc émissaire (ce peut être une personne, ce peut être un sous-groupe) DRAPEAUX VERTS 22
23 Culture et valeurs communes Techniques d intervention d similaires Adhésion de tous aux valeurs fondamentales Processus de décision d clair et efficace; Objectifs communs Objectifs individuels (personnel et usagers) en cohérence avec les objectifs communs et les valeurs du groupe Organisation claire et fonctionnelle (qui fait quoi, où, o, quand, comment, qui en rend compte à qui) Règles d éd établies, claires et connues Présence de conditions permettant la révision de ces règlesr Moyens de contrôle et de régulationr Vision d avenir d liée à une bonne connaissance de son environnement; 23
24 Capacité à résister aux pressions de l usager et aux pressions des sous- systèmes gravitant autour Capacité à s adapter, à saisir les opportunités... ; Attitude plutôt pro active (tournée e vers la recherche de solutions et l atteinte l des objectifs) Un leadership reconnu et respecté MERCI! 24
Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailQuestionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes
Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes
Plus en détailLa chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.
1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net
Plus en détailCours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»
«LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du
Plus en détailLe trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?
Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailIntroduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1
" Table des matières Introduction Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... 7 8 8 Chapitre 1 Connaître les bases de l'affirmation de soi et de la communication Les comportements
Plus en détailConseils. pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH
Conseils pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH Conseils pour aider votre enfant atteint de TDAH Même si le traitement par VYVANSE peut permettre de gérer les symptômes du TDAH,
Plus en détailLaurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.
Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche
Plus en détailOUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT
OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT Angèle Bilodeau, Ph.D. 1, 2 Marilène Galarneau, M.Sc. 2 Michel Fournier, M.Sc. 1 Louise Potvin, Ph.D. 2 Gilles Sénécal, Ph.D. 2, 3 Jocelyne Bernier, M.Sc.
Plus en détail«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»
IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,
Plus en détailRisques psychosociaux et petites entreprises Outil "Faire le point"
Risques psychosociaux et petites entreprises Outil "Faire le point" 1 L entreprise est-elle confrontée à un problème récurent d absentéisme? tout à fait Plutôt oui Plutôt non pas du tout 2 L entreprise
Plus en détailL approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement.
L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement. Présenté par: Lyne Roberge, chef en réadaptation Rina Dupont, coordonnatrice clinique
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailCONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow
LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailDangers potentiels d Internet et des jeux en ligne
Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailPlan de la présentation
De «pair patient» à «pair aidant» : vers de nouvelles fonctions des destinataires de l action médico-sociale? Présentation Association Trait d Union 07.02.2014 Esther Hartmann, Pro Mente Sana Florence
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailPROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT. de l engagement bénévole. en loisir et en sport
PROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT de l engagement bénévole en loisir et en sport Plan de présentation 1. La description du programme o Les acteurs et partenaires ciblés et les objectifs o La logistique
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailL INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS
L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailUn Master en sciences infirmières pour favoriser l intégration des novices et la formation continue des équipes
Séminaire européen du SIDIIEF Evolution de la formation infirmière : quels défis pour les milieux cliniques? 21 novembre 2013 Un Master en sciences infirmières pour favoriser l intégration des novices
Plus en détailLe retour au travail après une absence prolongée en
Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailÉtablir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance
Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailBIEN SE CONNAÎTRE. Exercice 1 VOS CHAMPS D INTÉRÊT. Quels sont les champs d intérêt qui correspondent le mieux aux vôtres?
BIEN SE CONNAÎTRE Les 3 exercices suivants vous permettront d évaluer votre situation par rapport à l emploi. Mieux vous connaître vous aidera à préciser les offres d emploi qui correspondent à vos intérêts,
Plus en détailFORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM
TM FORMATION THÉORIQUE Laurier Fortin, titulaire de la chaire CSRS Marie-France Bradley, Amélie Plante et Marielle Thibaudeau, psychoéducatrices et professionnelles de recherche PLAN DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailLe concept de leadership
Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres
Plus en détailPolitique du sommeil
Politique du sommeil Centre de la Petite Enfance Beauce-Sartigan Politique du sommeil Novembre 2012 Objectif; L objectif de cette politique est de guider le personnel éducateur et d informer les parents
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailComment détecter les risques psychosociaux en entreprise?
Pourquoi identifier les risques psychosociaux en entreprise? Pour respecter l obligation de préserver la santé des salariés. Pour diminuer les accidents du travail, les maladies professionnelles, l absentéisme
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détail5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 c.sanfacon@videotron.ca
5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 LES TECHNIQUES D INTERVENTION Accepter mes propres émotions, éviter l affrontement, respecter l image du jeune. Ce n est pas toujours évident d intervenir
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailDép. 75 «Enfant présent»
Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs
Plus en détailL évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement
L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel
Plus en détailL évolution des rôles en soins infirmiers. Un changement à s approprier
L évolution des rôles en soins infirmiers Un changement à s approprier Les formateurs Louise Leduc Coordonnatrice du développement clinique de la pratique en soins infirmiers, DPSSS-DSI Stéphane Gagnon
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailMÉMOIRE PORTANT SUR LE PROJET DE LOI N O 50 :
Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines Mémoire présenté à la Commission des institutions Mars 2008 La
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION
ECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION IAP-CU ECOLE DE BOUMERDES PROGRAMME FORMATION CONTINUE 2012 LANGUAGES & COMMUNICATION INDEX THEMES DUREE PERIODE _COM01 _COM02 _COM03 GÉRER ET PRE'VENIR
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailGuichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs. favorisant la collaboration
Guichets d'accès clientèle orpheline (GACO) : Recension de pratiques sur les facteurs favorisant la collaboration Pascale Navert Courtière de connaissances Direction de la planification, de la performance
Plus en détailCompétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental
Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services
Plus en détailDe la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1
De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailDIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.
DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailLigne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école
Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailCHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION
ORGANISATION DE LA COMMUNICATION Pour toute communication, il est important de bien cibler l objectif à atteindre. Sans une démarche de planification et d organisation de celle-ci, les probabilités de
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailDEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN
DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale
Plus en détailCONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailRETOUR AU TRAVAIL Stratégies de soutien du superviseur lorsque la santé mentale joue un rôle dans le retour de l employé au travail
RÉSUMÉ : Facteurs et stratégies visant à aider les infirmières et infirmiers en santé au travail à appuyer le superviseur dans les cas de retour au travail d'employés qui ont eu des problèmes de santé
Plus en détailContribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement
Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement (Les renvois à des diapositives sont en référence au PPT présenté lors du CA et de la réunion des directeurs de composantes)
Plus en détailJournée d étude des leaders en soins infirmiers
Journée d étude des leaders en soins infirmiers Région : Abitibi-Témiscamingue Date : 10 mai 2012 Rouyn-Noranda Geneviève Ménard, M. Sc. inf., M. Sc. (Adm. de la santé) Directrice-conseil Direction, Affaires
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailProgrammation 2 0 1 3-2 0 1 4
Programmation Mieux comprendre pour mieux intervenir C est avec un grand plaisir que le Centre de réadaptation Lucie-Bruneau vous convie à la 17e saison des Rendez-vous de la réadaptation. En vous présentant
Plus en détailA vertissement de l auteur
A vertissement de l auteur Attention, ce livre n est pas à mettre entre toutes mains ; il est strictement déconseillé aux parents sensibles. Merci à Madame Jeanne Van den Brouck 1 qui m a donné l idée
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION
CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste
Plus en détailGestion médicalem. Novembre Décembre 2006. L. Conrad Pelletier MD, MBA 1. L. Conrad Pelletier MD, MBA
Gestion médicalem Habiletés à développer 2è journée e de formation pour médecins m gestionnaires L. Conrad Pelletier MD, MBA Novembre Décembre 2006 L. Conrad Pelletier MD, MBA 1 Plan de présentation 1.
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailQuand le corps devient objet de l autre
Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS
Avenue des Thermes - BP 71 01220 Divonne-les-Bains Tel/Fax : 04 50 20 29 15 Courriel : divonne.espacejeunes@alfa3a.org REGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS A compter du 1 er septembre 2014
Plus en détailPropreté & Services Associés - Logistique & Manutention - Assistance Aéroportuaire Ingénierie & Maintenance Nucléaire - Décontamination,
Propreté & Services Associés - Logistique & Manutention - Assistance Aéroportuaire Ingénierie & Maintenance Nucléaire - Décontamination, Démantèlement Nucléaire Gestion des Déchets - Sécurité Humaine &
Plus en détail