Chapitre 11 Les enjeux du «développement durable»
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- Théodore Dupont
- il y a 7 ans
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1 Chapitre 11 Les enjeux du «développement durable» Après le Titre I «Diagnostic territorial» - qui s est attaché à présenter de façon synthétique l ensemble des données disponibles sur l état de la commune du Blanc-Mesnil : - l origine du nom de la commune, - la constitution progressive du territoire, - les évènements qui ont marqué son histoire, - la composition de sa population et les tendances au renouvellement, - les modes de déplacements et les besoins de mobilité, - le rapport aux activités économiques, - la qualité de l offre logement et les tendances du marché, - le niveau des services et des équipements mis à disposition de la collectivité, - l état des nuisances, sources d inconfort et servitudes liées aux risques naturels et/ou technologiques, - des éléments d analyse sur les tissus urbains constitutifs du territoire et leur mode de croissance, - l analyse des politiques successives en matière d urbanisme et de construction, - le repérage des sites de projets et/ou de mutation possible, - le positionnement du Blanc-mesnil au sein d un secteur territorial en évolution complexe, - les enjeux et prémices d une coopération intercommunale maîtrisée... Le présent chapitre entend croiser, de façon transversale, les différents constats et tendances repérées dans chacune des thématiques précitées avec les critères d un «développement durable et solidaire» - tel que peut et doit le souhaiter une collectivité majeure et responsable à l heure de la planétarisation des enjeux locaux et globaux «Agir local, penser global» «Le Blanc-Mesnil croit que le «mondial» a partie liée avec le «local». La ville poursuit des objectifs respectueux des êtres humains, de l environnement et des ressources naturelles. Utiles à l aménagement et à l enrichissement de la commune, ces actes s inscrivent dans une démarche d écologie urbaine et de développement économe pour notre terre. Ils ont une valeur pédagogique et une portée universelle» («Blanc-Mesnil : Décidons la ville ensemble») «Comment envisager en effet l avenir d un monde où une minorité accapare l essentiel des richesses? Où de terribles pollutions menacent l intégrité de la planète que nous devons léguer à nos enfants? Inégalités et atteintes à l environnement sont inséparables. Comme le sont les destins des peuples du Sud et ceux du Nord. Il est temps d imaginer un mode de développement durable, non plus fondé sur la loi du plus fort mais sur des règles de partage et des principes de préservation du vivant. 233
2 La mondialisation, comme l Europe, ouvre de nouveaux champs du possible à condition d être refondée» («Blanc-Mesnil : Décidons la ville ensemble»). A ce titre, la ville du Blanc-Mesnil s est d ores et déjà positionnée sur toute une série de démarches allant dans le sens du «développement durable» :! le projet d éco-pôle : Soucieuse à son échelle de la production d énergies propres, la commune du Blanc-mesnil s est ainsi portée candidate à l accueil d une usine de méthanisation pour traiter et valoriser les déchets. Cette structure viendrait compléter le dispositif déjà mis en place de la construction d une unité de cogénération (associée au puits de géothermie en exploitation) et d une nouvelle usine de traitement de l eau, parallèlement à la généralisation de la collecte sélective des déchets et à l installation récente d une déchetterie. Ainsi assemblés, ces divers éléments pourraient constituer un «éco-pôle» auquel pourrait être associé un espace de formation aux métiers de l environnement,! la politique de l eau, mise en place de conserve avec le Conseil Général de la Seine-Saint- Denis, qui se traduit par une limitation de l imperméabilisation des sols, une gestion économe de l eau potable et une politique de traitement des eaux recueillies,! l adoption d une démarche H.Q.E. («Haute Qualité Environnementale») venant labelliser tout projet de construction neuve respectant les normes de qualité environnementale (économies d énergie, durabilité des matériaux, etc, etc ),! une politique active de renouvellement et de requalification des quartiers d habitat collectif social, dans le sens d une meilleure intégration urbaine et sociale,! un effort soutenu en matière d action sociale et de qualité de service, visant à assurer les mêmes droits et les mêmes chances pour tous (éducation, santé, handicapés, troisième âge, loisirs, sport, action culturelle, etc, etc ),! une volonté permanente de renforcement du lien social et de la démocratie participative (Conseils de quartiers, conseil local de la jeunesse, actions de sensibilisation sur l environnement et le «développement durable», etc ), 234
3 11.2 Historique du concept de «développement durable» Le concept de «développement durable» n est pas récent : Le point de départ se situe dans les années 1960, avec en toile de fond les réflexions du Club de Rome et du Massachusetts Institute of Technology, qui commencent à se poser la question de la compatibilité entre les croissances économiques et démographiques enregistrées, et la maîtrise des nuisances et pollutions qu elles peuvent engendrer - dans le contexte notamment d une raréfaction des ressources non renouvelables (eau, air, énergies fossiles, etc ). L idée avancée alors d une «croissance zéro», pour contestable qu elle puisse apparaître aujourd hui, a eu au moins le mérite de lancer le débat C est lors de la Conférence des Nations-Unies sur l Environnement, réunie à Stockholm en 1972, que s établit la nécessité impérieuse de concevoir et de mettre en œuvre désormais des stratégies de développement social et économique à l échelle mondiale qui respectent l environnement (c est la notion «d écodéveloppement» qui se verra âprement combattue entre autres par le conseiller US Henri Kissinger, qui ira jusqu à demander qu elle soit officiellement condamnée ). Pourtant l idée fondamentale d un développement qui associe les considérations économiques et les exigences sociales et environnementales fait son chemin, notamment chez les Anglo-saxons qui introduisent la notion de «Sustainable Development» (développement soutenable). Le terme francisé de «développement durable» apparaît dans les années 1980, et plus particulièrement en 1987 dans le rapport de Mme Brundtland qui définit le développement durable comme «un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs» Mais c est finalement en Juin 1992 que le terme se verra véritablement consacré, lors de la Conférence des Nations Unies sur l Environnement et le Développement de Rio-de-Janeiro. En présence de plusieurs milliers d associations, de collectivités locales et d acteurs du développement et de la protection de l environnement, 173 gouvernements affirment vouloir s engager solennellement sur la voie du «développement durable» en approuvant les différents textes émis lors de cette Conférence (cf. «Déclaration de Rio sur le Développement» et «l Agenda pour le XXIème siècle», ou «Agenda 21»). Depuis cette date, toutes les conférences internationales de l ONU ont repris et décliné le principe du «développement durable» (Le Caire sur les questions de population et démographie, Copenhague sur les questions de développement social, Pékin sur la place et les droits des femmes, Istambul sur les questions d habitat ). Le «Sommet de la Terre» à Johannesburg en 2002 a dû malheureusement tirer provisoirement un bilan mitigé du résultat des actions menées dans ce cadre. A l instar des Etats-Unis en effet, de nombreux pays n ont pas souscrit ni respecté les engagements pris dix ans plus tôt à Rio-de-Janeiro De gros intérêts économiques, voire politiques et militaires, sont en effet en jeu; certains groupes de 235
4 pression («lobbies») ne sont pas prêts à accepter l idée d un autre mode de croissance, fondé sur l'épanouissement humain et non plus sur les critères d une stricte rentabilité économique et financière. Quelques exemples :! En raison de l effet de serre, la température moyenne de la planète risque d augmenter de 2 à 3 d ici 2050, avec des conséquences notables sur l extension de la désertification, la fonte des glaciers réserves d eau naturelle, et de nombreux dérèglements climatiques (ouragans, canicule, etc...)! L objectif de ne pas augmenter, voire réduire les émissions de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre dans l atmosphère n ont pas été atteints (protocole de Kyoto),! La pollution des ressources en eau s aggrave ; elle serait responsable de la mort de 5 millions de personnes par an dans le monde (eau contaminée),! La consommation d eau potable a doublé au cours des 20 dernières années (40 l/habitant en moyenne dans le monde 150 l/habitant en France),! D ici 2025, ce sont les deux tiers de l humanité qui sont menacés de pénurie d eau potable,! La population mondiale (6.2 milliards d êtres humains aujourd hui) va croître de 1.9 milliards d habitants supplémentaires d ici 2025,! Aujourd hui 15% des habitants de la planète s octroie 80% de la richesse mondiale. A l opposé, un milliard d êtres humains ne vivent qu avec un revenu inférieur à un dollar par jour,! Les ressources en pétrole à l échelle planétaire ont toutes chances de s épuiser d ici 45 ans (55ans pour le gaz naturel, environ 200 ans pour le charbon...),! La masse des déchets produits en France a augmenté de 40 % en 20 ans,! Etc, etc... Pourtant le concept de «développement durable» tend à progresser et s impose néanmoins, que ce soit au niveau mondial, national, régional ou local. En France en particulier, de nombreux acteurs institutionnels (Etat, Région Ile-de-France qui s est engagée par exemple dans la mise en œuvre d un «Agenda 21» régional -, collectivités locales ), éducatifs (universités), syndicaux, associatifs ou simples citoyens s intéressent et s impliquent dans cette nouvelle approche Principes généraux du «développement durable» Deux graphes ont coutume de synthétiser le contenu d une démarche dite de «développement durable» ; ils expriment deux conceptions différentes, mais non antagoniques - de la place accordée aux activités économiques et à leur logique, dans l ensemble systémique que constitue la présence de la vie sur terre : Selon l approche dite «nordique», «la sphère des activités économiques est incluse dans la sphère plus générale des activités humaines, elle-même incluse dans la biosphère. ( ) La conséquence de cette inclusion est que l activité économique ne saurait durer et encore moins se 236
5 développer sur le long terme si la nature ( ) venait à être trop gravement endommagée (Source : le Monde Diplomatique 1996). Dans l approche dite «latine», le développement économique considéré comme utile et nécessaire ne peut se concevoir sans la prise en compte du progrès social et de la lutte contre les inégalités à tous niveaux (local et/ou mondial, entre le Nord et le Sud par exemple ) et du respect de l environnement et des ressources naturelles. Dans cette approche, le «développement durable» doit s attacher à équilibrer en permanence les «trois piliers» que sont l équité sociale, l efficacité économique et le respect de l environnement. (Source : Ministère de l Aménagement du Territoire et de l Environnement 1998). Approche «latine» Approche «nordique» A partir de ces principes généraux, les logiques du «développement durable» développent quatre orientations de travail : Protection de l environnement : De très nombreux travaux internationaux ont mis l accent sur la gravité des menaces qui pèsent sur notre environnement (dérèglement climatique, effet de serre, pollution de l air, raréfaction de l eau potable, épuisement à court terme des énergies fossiles, atteintes à la biodiversité, dégradation des milieux humides et aquatiques, etc ). Toute action engagée au niveau local comme au niveau planétaire doit s attacher à préserver la biodiversité, la pérennité des ressources et l équilibre des écosystèmes. Equité sociale : Chacun reconnaît que la pérennité des sociétés est dépendante de l équilibre social qui y règne, tant au niveau local, national que mondial. La lutte contre les inégalités et les injustices qui les traversent constitue donc l un des piliers du «développement durable». 237
6 Efficacité économique : La croissance partagée et le développement maîtrisé des activités économiques sont reconnus comme des faits incontournables, dès lors qu ils n aggravent pas les déséquilibres constatés et ne portent pas atteinte aux écosystèmes. Un nouveau type de croissance s impose donc, fondé sur une vraie logique d utilité sociale et de qualité environnementale, à l encontre de la recherche exclusive de profits à court terme. Gouvernance et participation : Au cœur de la démarche, l intervention citoyenne et la participation sont requises comme garants de l intérêt général et de la conscientisation des enjeux. Ce nouveau type de «gouvernance», qui implique et recherche la participation du plus grand nombre d acteurs possible aux processus de décision, d information et d évaluation, vise la transparence démocratique et l esprit de responsabilité partagée Thématiques pour une «Agenda 21» local Appliqués à un territoire local, les principes du «développement durable» permettent d appréhender les enjeux auxquels sont confrontées les collectivités locales : organisation et aménagement de l espace (lutte contre l exclusion et les inégalités, accessibilité aux équipements et aux services publics, emploi, amélioration de la qualité de la vie), déplacements et mobilité, écogestion des ressources naturelles, de l énergie, des déchets, enjeux globaux et planétaires. Ils représentent autant d entrées possibles pour bâtir une stratégie globale et intégrée qui concerne transversalement les objectifs et thématiques suivants (non exhaustifs) :! Organisation et aménagement de l espace : - Mixité dans l usage des sols, - Maîtrise de la densité du bâti, - Limitation de l étalement résidentiel, - Reconquête des espaces publics, - Densifier au plus près des réseaux de transports.! Développement social urbain : - Reconquête des espaces délaissés, - Favoriser l accès aux services publics urbains, - Mesures de lutte contre l exclusion et le chômage, - Mesures relevant de l action sociale et sanitaire.! Développement des activités économiques et de l emploi : - Incitation à la mise en œuvre d une gestion environnementale des entreprises, - Promouvoir la participation des salariés et des syndicats, - Encourager la transparence et l accès à l information, 238
7 - Accroître les partenariats collectivités-milieux économiques, - Encourager une gestion partagée et mutualisée par plusieurs entreprises, - Contribuer à un ancrage local dans la durée, - Favoriser l émergence d une économie sociale et solidaire.! Déplacements et mobilité : - Limiter l usage de la voiture et améliorer l offre en transports en commun, - Favoriser les circulations «douces», - Organiser plus rationnellement le transport des marchandises, - Agir sur le stationnement, - Favoriser l approche intermodale.! Ecogestion des ressources, de l énergie et des déchets : - Limiter la consommation énergétique des villes, - Limiter la part de ressources naturelles non renouvelables dans la gestion des services urbains, - Assurer la maîtrise des eaux pluviales et résiduaires, - Réduire la production des déchets et favoriser leur recyclage, - Gérer les espaces naturels.! Enjeux globaux de solidarité à l échelle planétaire : - Promouvoir des actions de coopération décentralisée, - Développer le commerce équitable et promouvoir une consommation éthique, - Favoriser l accueil et la participation des populations migrantes à la vie locale. 239
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