Urologie ECN. 30 dossiers progressifs + 10 dossiers en ligne. François Audenet I José Batista Da Costa
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- Tristan Leroy
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1 30 dossiers progressifs + 10 dossiers en ligne Urologie François Audenet I José atista Da osta A en urologie à Paris Interne des hôpitaux de Paris en Urologie Dossiers et questions isolées type concours 100 % QRM orrigés détaillés et commentés Illustrations type concours OJTIF N AÈS GRATUIT 10 dossiers dans les conditions réelles du concours sur tablette numérique
2 Objectif Ni L application créée par Théo Pezel, David Deutsch et Jeremy Lupu Nouveau concours : Nouvelle application! 15 spécialités à 4,90 chacune, avec 10 dossiers progressifs et des questions isolées Disponibles sur :
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5 LS DOSSIRS Ni UROLOGI François Audenet, Médaille d Or de hirurgie des Hôpitaux de Paris, hef de linique Assistant des Hôpitaux, Hôpital uropéen Georges Pompidou, Université Paris-Descartes, Paris José atista Da osta Interne des Hôpitaux de Paris
6 Éditions STM 4, rue de la Michodière, Paris Tél. : Fax : mail : ISN , Éditions stem Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l auteur, ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (loi du 11 mars 1957, alinéa 1 er de l article 40). ette représentation ou reproduction par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du ode pénal.
7 Présentation de la collection Tous les ouvrages de la collection «Les dossiers Ni» sont écrits par des auteurs classés parmi les meilleurs aux N et validés par des PU-PH spécialistes de la matière, investis dans le nouveau concours Ni. ette nouvelle collection vous permettra de vous mettre en situation de concours en proposant un contenu adapté aux nouvelles modalités des Ni : 1 - Des dossiers progressifs haque dossier comporte 15 questions, sous la forme exclusive de QRM suivants les dernières modalités du concours. lles couvrent l ensemble de la spécialité. Un classement par niveau de difficulté est proposé afin de progresser dans vos révisions, en allant au fur et à mesure vers des dossiers plus transversaux. Un rappel des items étudiés est indiqué en fin de dossier, pour faire le lien avec le nouveau programme. Les corrigés sont cotés et commentés, avec des conseils et astuces propres aux auteurs. Ils intègrent les pondérations «Réponse inacceptable» et «Réponse indispensable» comme prévues au concours. La rubrique finale «L avis du conférencier» statue sur le cas étudié dans le dossier en donnant les réflexes à avoir le jour du concours. haque dossier étant progressif, l étudiant devra se garder de regarder la question qui suit avant de valider sa réponse. 2 - Des questions isolées es questions vous permettront de faire le tour des items susceptibles de vous discriminer. Remarque sur les points Pour la cotation, des points ont été attribués à chaque bonne réponse, mais les consignes du NI sont les suivantes : en l absence de discordance, l étudiant a la note maximale ; dans le cas d une discordance, la note est divisée par deux ; dans le cas de deux discordances, la note est multipliée par 0,2. Dans le cas de 3 discordances ou plus, la note est de zéro. De même si une réponse inacceptable est cochée, ou une réponse indispensable non cochée. Dans le cas où une réponse unique est attendue, toute case cochée par erreur donne un zéro à la question. onne préparation et bonne chance! Les éditions stem V
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9 Sommaire Dossiers cliniques progressifs DOSSIR N 1. Une douleur testiculaire révélatrice... 3 DOSSIR N 2. Problèmes de tuyauterie... 9 DOSSIR N 3. Problème de fuites urinaires DOSSIR N 4. Une infection sévère DOSSIR N 5. Sérotalgies en folie DOSSIR N 6. Une boule mal placée DOSSIR N 7. Une vie de prostate DOSSIR N 8. Histoires de famille DOSSIR N 9. Pénibilité du travail DOSSIR N 10. Un métier à risque DOSSIR N 11. Douleurs pas toujours typiques DOSSIR N 12. Une prostate à risque DOSSIR N 13. La vie en orange DOSSIR N 14. Trop plein DOSSIR N 15. Infections urinaires à répétition DOSSIR N 16. Rien d anodin DOSSIR N 17. La puce à l oreille DOSSIR N 18. Un patient sanguin DOSSIR N 19. Hématurie macroscopique DOSSIR N 20. Élévation du PSA DOSSIR N 21. Un rein passé à tabac DOSSIR N 22. Lombagies suspectes DOSSIR N 23. Pipi brûle-t-il? DOSSIR N 24. Iono troublant DOSSIR N 25. Gonfl é à l hélium DOSSIR N 26. Gros reins DOSSIR N 27. Judith voit rouge DOSSIR N 28. Very high level DOSSIR N 29. Un patient confus DOSSIR N 30. À bicyclette Questions isolées Énoncé orrigé VII
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11 DOSSIR N 13 La vie en orange Items Énoncé M. V., 77 ans, vient vous voir en consultation. Depuis quelques mois il urine du sang avec de petits caillots. Il n a aucun antécédent, à part un tabagisme non sevré à 60 paquets/année et ne se plaint de rien d autre. Le toucher rectal montre une prostate souple évaluée à 60 g. Les fosses lombaires sont libres. 1. Devant cette hématurie macroscopique, quelle(s) est (sont) l (les) hypothèse(s) diagnostique(s)? A. La présence de caillots oriente vers une cause urologique. Il existe une corrélation entre l importance de l hématurie et la gravité de la maladie causale. L épreuve des trois verres peut avoir une valeur localisatrice de l origine de l hématurie D. Il faut rechercher en priorité un cancer urologique. L hématurie macroscopique peut être due à une pathologie bénigne 2. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) demandez-vous? A. U. Fibroscopie vésicale. Uro-TDM D. Marqueurs tumoraux. Ionogramme urinaire Vous réalisez une fibroscopie : 3. Quelle est votre prise en charge? A. Instillation endovésicale de G. ilan d extension avec TDM thoracique. iopsies de la lésion en fibroscopie vésicale D. Résection transurétrale de la vessie au bloc opératoire. Fibroscopie de contrôle dans deux mois DOSSIR N 13 75
12 4. Quels sont les facteurs de risque de tumeurs de la vessie? A. Diabète de type II. arcinogènes industriels. Irradiation pelvienne D. Tabac. xposition à du cyclophosphamide Vous réalisez une résection transurétrale de la vessie et le résultat histologique est le suivant : pta de bas grade, le muscle est vu. 5. Quels sont les facteurs de risque de progression des tumeurs de la vessie n infiltrant pas le muscle (TVNIM)? A. Aspect macroscopique de la tumeur (papillaire). Taille de la tumeur. Multifocalité D. Score de Fuhrman : degré de différenciation. Stade tumoral 6. Quelle prise en charge proposez-vous pour une tumeur pta de bas grade? A. Surveillance clinique seule. Sevrage tabagique. ystoprostatectomie totale D. Instillation endovésicale de G. Surveillance par des fibroscopies régulières 7. Quelle aurait été votre prise en charge en cas d une tumeur pt1 de haut grade? A. Même traitement que pour une tumeur pta de bas grade. Sevrage tabagique. ystoprostatectomie totale D. Instillation endovésicale de G. Surveillance à vie Vous revoyez M. V. en consultation de contrôle. Il vous dit être de plus en plus gêné pour uriner. Il a du mal à démarrer le jet urinaire et il doit se lever trois fois par nuit pour uriner. Vous pensez qu il souffre d une hypertrophie bénigne de la prostate. 8. Parmi les examens suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui fait (font) partie du bilan à faire en première intention? A. réatininémie. Uro-TDM. Score IPSS D. U. ystomanométrie vésicale M. V. a un score d IPSS à 14. Sur l échographie, la prostate est estimée à 75 g et il n y pas de retentissement sur son haut appareil urinaire. Vous lui proposez une prise en charge médicale en introduisant un traitement par alphabloquants. 9. Quels sont les effets secondaires les plus fréquents avec les alphabloquants? A. Épilepsie. Agranulocytose médicamenteuse. Éjaculation rétrograde D. Trouble de la mémoire. Hypotension orthostatique inq semaines plus tard, M. V. se présente aux urgences de votre HU. Il n arrive plus à uriner depuis cinq heures. Il est sondé aux urgences, ce qui permet d évacuer un globe vésical de 750 cc. Quand vous allez voir M. V., les urines sont franchement hématuriques. 10. Quelles sont vos hypothèses diagnostiques pour cet épisode qui l a amené aux urgences? A. Rétention aiguë d urines sur hématurie macroscopique caillotante. Rétention aiguë d urines liée à l hypertrophie bénigne de la prostate. Rétention aiguë d urines d origine médicamenteuse due aux alphabloquants D. Hématurie macroscopique a vacuo. Hématurie macroscopique sur récidive de tumeur de la vessie 76 ÉNONÉ
13 Vous réalisez une fibroscopie vésicale dès que les urines sont redevenues claires. elle-ci met en évidence une récidive de la tumeur de la vessie d allure infiltrante. 11. oncernant les tumeurs de la vessie infiltrant le muscle (TVIM), quelle(s) est (sont) l (les) affirmation(s) exacte(s)? A. Il s agit de la présentation la plus fréquente des tumeurs de la vessie. La RTUV est indispensable au diagnostic. Le risque principal est la récidive locale après traitement D. Le traitement de référence à visée curatrice est chirurgical. Il s agit d une lésion de bon pronostic, même au stade avancé Vous réalisez une RTUV. L histologie cette fois-ci retrouve un pt2g Quelle est votre prise en charge? A. Deuxième RTUV (2 e look) pour affirmer le caractère infiltrant de la tumeur. ystoprostatectomie avec curage ilio-obturateur bilatéral en cas de maladie localisée. Radiothérapie néoadjuvante D. Radiothérapie et chimiothérapie à visée curative. ilan d extension et discussion du dossier en RP Le bilan d extension est négatif. Après un bilan onco-gériatrique, il est décidé en RP de proposer une cystoprostatectomie avec dérivation cutanée de type ricker. 13. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s)? A. Le ricker est une urétérostomie cutanée transiléale. Le patient doit être prévenu du risque de fuites urinaires par les voies naturelles. Il s agit d une intervention à visée palliative D. Le curage ganglionnaire doit être un curage ilio-obturateur étendu bilatéral. hez les patients âgés, il faut privilégier une reconstruction par entérocystoplastie M. V. refuse d être opéré et il est perdu de vu. Il revient dans votre HU un an plus tard pour altération de l état général. Il a perdu 5 kg en six mois, il n a plus d appétit. Il vous dit que depuis deux jours il n urine quasiment pas et il pense être bloqué comme il y a un an. liniquement, il n y a pas de globe vésical. Le sondage vésical ne donne que 100 cc d urines. Le bilan biologique est le suivant : Na = 135 mmol/l, K = 6 mmol/l, créatinine = 750 μmol/l. 14. Quel(s) examen(s) réalisez-vous en urgence? A. TDM abdomino-pelvienne sans injection de produit de contraste. Radiographie du thorax. Protéinurie et ionogramme urinaire D. G. Aucun, indication à une épuration extra-rénale en urgence L G ne montre pas de trouble de la repolarisation. Le TDM retrouve une dilatation bilatérale des cavités pyélocalicielles symétrique avec une dilatation des uretères sur l ensemble de leur trajet jusqu à la vessie qui est envahie par une masse tumorale postérieure. 15. Quelle est votre prise en charge? A. Abstention thérapeutique, prise en charge palliative. Épuration extra-rénale. Remplissage vasculaire massif D. Drainage chirurgical des urines en urgence. Pose de néphrotomies bilatérales DOSSIR N 13 77
14 orrigé QRM 7 QRM 6 QRM 5 QRM 4 QRM 3 QRM 2 QRM 1 Réponse otation ommentaire A 5 Une hématurie macroscopique avec caillots impose un bilan étiologique à la recherche d une cause urologique. 5 D 5 5 Réponse otation ommentaire A D L uro-tdm est plus sensible que l échographie réno-vésicale pour la recherche d une lésion urothéliale. Réponse otation ommentaire A Devant l aspect typique de lésion urothéliale, la RTUV (au bloc opératoire) est diagnostique et thérapeutique dans le cas des TVNIM. Le muscle vésical doit être vu en anatomo-pathologie pour éliminer une forme infiltrante. D 20 Réponse otation ommentaire A La découverte d une tumeur de vessie doit systématiquement faire rechercher 5 une exposition professionnelle. 5 D 5 5 Réponse otation ommentaire A 5 5 D 10 La stadification des patients présentant une TVNIM permet d adapter le suivi en fonction du risque de récidive et de progression. Réponse otation ommentaire A 10 D 10 Le risque principal est la récidive. Réponse otation ommentaire A 5 D 5 10 Le risque ici est la progression vers une forme infiltrante. 78 ORRIGÉ
15 QRM 14 QRM 13 QRM 12 QRM 11 QRM 10 QRM 9 QRM 8 Réponse otation ommentaire A 7 xamens complémentaires à demander en 1 re intention devant une HP : U ; créatinine ; 7 PSA ; D 6 débitmétrie ; échographie réno-vésico-prostatique. Réponse otation ommentaire A Les alphabloquants doivent être prescrits avec précaution chez les patients âgés, coronariens ou en cas de traitement antihypertenseur associé. 10 D 10 Réponse otation ommentaire A 5 n cas de RAU : 5 D 5 5 si hématurie d emblée probable caillotage vésical ; si hématurie secondaire au drainage vésical hématurie a vacuo. Pour prévenir l hématurie a vacuo, il est conseillé de réaliser une vidange progressive et de clamper la sonde quelques minutes tous les 500 cc. Réponse otation ommentaire A Les TVIM sont des lésions agressives avec un risque d extension métastatique. 10 D 10 Réponse otation ommentaire A Le choix du traitement dépend des comorbidités du patient et du bilan d extension 10 métastatique. D 10 Réponse otation ommentaire A 10 Le ricker est une stomie urinaire : les urines sont dérivées à la peau à travers D 10 un segment d intestin grêle pour éviter le risque de sténose. Réponse otation ommentaire A 10 Devant cette anurie, il faut en priorité rechercher une cause obstructive pour drainer le haut appareil urinaire. D 10 Réponse indispensable*. * Réponse indispensable = 0 à la question si non cochée. DOSSIR N 13 79
16 QRM 15 A Réponse otation ommentaire D 10 L anurie obstructive est une urgence chirurgicale. 10 Devant une masse pelvienne avec probable envahissement des méats, il faut privilégier un drainage par néphrostomies bilatérales. Total... / 300 Items abordés dans ce dossier N 123 : Hypertrophie bénigne de la prostate N 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers N 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel et investigations paracliniques ; caractérisation du stade ; pronostic N 290 : Le médecin préleveur de cellules et/ou de tissus pour des examens d'anatomie et cytologie pathologiques : connaître les principes de réalisation, transmission et utilisation des prélèvements à visée sanitaire et de recherche L avis du conférencier Dossier classique présentant l histoire naturelle d une tumeur de vessie, d abord non infiltrante, devenant ensuite infiltrante : TVNIM : risque de récidive et de progression ; TVIM : risque métastatique et vital. N 291 : Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, traitements médicaux des cancers (chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l'information du malade N 292 : Prise en charge et accompagnement d'un malade cancéreux à tous les stades de la maladie dont le stade de soins palliatifs en abordant les problématiques techniques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements symptomatiques. Modalités de surveillance. N 311 : Tumeurs vésicales N 342 : Rétention aiguë d'urine N 343 : Insuffisance rénale aiguë Anurie 80 ORRIGÉ
17 DOSSIR N 22 Lombagies suspectes Items Énoncé M. G. âgé de 84 ans, est transféré au service d accueil des urgences pour un syndrome confusionnel. et enseignant à la retraite vit seul à son domicile. est son aide-ménagère qui l a conduit aux urgences. D après elle, M. G. n a pas d antécédent particulier. Il se plaignait de douleurs lombaires depuis plusieurs mois et prenait du kétoprofène à visée antalgique. Ses constantes à l arrivée aux urgences sont les suivantes : température = 37,3, pouls = 95 bpm, PA = 100/60 mmhg. 1. Devant ce syndrome confusionnel, quels sont les éléments à rechercher à l examen clinique? A. Signes de localisation neurologique. Purpura. Globe vésical D. Fécalome. MMS À l examen clinique, il existe une douleur élective à la palpation de L1. Le TR trouve une prostate pierreuse dans son ensemble. Il existe une déshydratation extracellulaire. Le reste de l examen est sans particularité. Le bilan biologique réalisé aux urgences est le suivant : créatinine : 250 μmol/l, K : 4,5 mmol/l, Hb : 13 g/dl, a : 3,1 mmol/l. Vous demandez une échographie : les reins sont de 11 cm à droite et 12 cm à gauche et vous ne retrouvez pas de dilatation des cavités pyélocalicielles. 2. Quels sont les arguments en faveur d une insuffisance rénale aiguë? A. Absence d anémie. ontexte d automédication par des AINS. Absence de dilatation des cavités pyélocalicielles D. Taille des reins normale. Âge Vous réalisez un bilan biologique plasmatique et urinaire complémentaire dont voici les résultats : U/P urée = 22, U/P créat = 60, FeNa < 1 %. 3. Interprétez les résultats ci-dessus. A. Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle. Insuffisance rénale aiguë organique par nécrose tubulaire aiguë. Syndrome néphrotique D. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique. Nécrose tubulaire aiguë 4. Quelles sont les mesures immédiates à prendre? A. G. Réhydratation par voie parentérale. TDM cérébrale D. Arrêt des AINS. Insuline-glucose DOSSIR N
18 Une radio du rachis lombaire est réalisée : 5. Quelle est votre interprétation? A. Fracture-tassement de L1. Lésion ostéocondensante de L1. Lésion ostéolytique de L1 D. Lésion dégénérative de L1. Discopathie L1-L2 6. Parmi les cancers suivants, lequel (lesquels) est (sont) à rechercher devant des lésions osseuses d allure secondaire? A. Peau. Foie. Prostate D. Sein. ôlon Le syndrome confusionnel de M. G. régresse avec votre traitement. La fonction rénale se normalise. Vous réalisez un bilan de cancer de prostate. Le PSA sérique total est mesuré à 58 ng/ml. Les biopsies de prostate mettent en évidence un adénocarcinome Gleason 8 (4+4) bilatéral. 7. Quel va être votre bilan d extension? A. IRM prostatique pour l évaluation locorégionale. TP au 18 FDG. TDM thoraco-abdomino-pelvienne D. IRM cérébrale. Scintigraphie osseuse 132 ÉNONÉ
19 La scintigraphie osseuse met en évidence une hyperfixation au niveau du rachis lombaire. Vous complétez votre bilan par une IRM rachidienne qui met en évidence des lésions ostéocondensantes au niveau de L1 et L2 sans recul du mur postérieur et sans compression médullaire. 8. Que prévoyez-vous pour la prise en charge de ce patient? A. Abstention thérapeutique et surveillance car les lésions prostatiques sont peu évolutives. Traitement à visée curative par un blocage androgénique. Traitement palliatif par hormonothérapie avec un agoniste de la LH-RH D. Prise en charge à 100 %. Prise en charge multidisciplinaire Vous présentez le dossier de M. G. en RP et il est décidé de débuter une hormonothérapie palliative. Vous revoyez M. G. en consultation et vous lui expliquez les effets secondaires des agonistes de la LH-RH. 9. Quel est le mécanisme d action des agonistes de la LH-RH? A. Ils agissent sur l axe hypothalamo-hypophysaire. Ils agissent directement sur le testicule. Ils agissent en bloquant les récepteurs périphériques aux androgènes D. Ils entraînent un arrêt de la production de testostérone. Leur effet est réversible à l arrêt du traitement 10. Quels sont les principaux effets secondaires de la suppression androgénique? A. aisse de la libido. ouffées de chaleur. Perte de poids D. Ostéoporose. Gynécomastie Alors que vous avez débuté le traitement hormonal, M. G. est hospitalisé en neurochirurgie pour une paralysie des membres inférieurs d apparition brutale. À l examen clinique initial, M. G. présente un déficit sensitivo-moteur des deux membres inférieurs avec une abolition des réflexes ostéo-tendineux. 11. omment expliquez-vous la présentation clinique? A. Fracture-tassement vertébral ostéoporotique. ompression médullaire d origine métastatique. ffet «flare-up» D. Le cancer est devenu résistant à la castration. Syndrome de Guillain-arré 12. omment peut-on le prévenir l effet «flare up»? A. Utilisation d un autre agoniste de la LHRH. Association d un anti-androgène à l agoniste de la LHRH. Traitement par des bisphosphonates D. Utilisation d antagoniste de la LHRH. Immobilisation du rachis par le port d un corset Mr. G. est opéré en urgence en neurochirurgie et il récupère sur le plan neurologique. Sous hormonothérapie, le PSA se stabilise à 1 ng/ml. Les douleurs sont contrôlées par des antalgiques de palier 2 et M. G. a pu rentrer chez lui, où il bénéficie d aides à domicile. 13. Quelles sont les modalités de suivi? A. Dosage mensuel de la testostéronémie. Dosage régulier du PSA. Surveillance des douleurs osseuses D. Surveillance du poids. Surveillance de la qualité de vie DOSSIR N
20 Malgré votre traitement, le suivi à un an met en évidence une progression biologique avec un PSA à 42 ng/ml et une progression des douleurs osseuses. 14. Parmi ces propositions, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s)? A. La résistance à la castration est définie par une élévation du PSA nadir + 2. L arrêt des anti-androgènes peut permettre une baisse du PSA dans 30 % des cas. Il faut vérifier la testostéronémie pour s assurer que la castration est correcte D. Il faut une augmentation du PSA sur deux dosages successifs pour parler de résistance à la castration. Le cancer de prostate résistant à la castration n est plus hormono-dépendant 15. Quelle prise en charge proposez-vous? A. Nouveau bilan d extension. Arrêt de l hormonothérapie. Discuter une chimiothérapie par Taxotère D. Prise en charge symptomatique et antalgique. Surveillance simple 134 ÉNONÉ
21 orrigé QRM 1 Réponses otation OMMNTAIR A 10 Il s agit d une confusion non fébrile : pas d indication à la PL. 5 D 5 Pas de MMS en phase aiguë de la confusion. QRM 2 Réponses otation OMMNTAIR A 5 Devant une insuffisance rénale, il faut toujours éliminer une cause obstructive 10 par une échographie rénale. D 5 QRM 3 Réponses otation OMMNTAIR A 20 hez ce patient, IRA fonctionnelle multifactorielle : prise d AINS ; déshydratation ; hypercalcémie. D QRM 4 Réponses otation OMMNTAIR A 5 10 Le traitement de l hypercalcémie repose sur l hyperhydratation. Les bisphosphonates sont également indiqués dans les formes sévères. D 5 Réponse indispensable* QRM 5 Réponses otation OMMNTAIR A 20 Toujours suspecter une lésion maligne devant une lésion ostéocondensante. D QRM 6 Réponses otation OMMNTAIR A 5 n cas de lésion osseuse suspecte, il faut rechercher des potentiels primitifs en priorité des cancers ostéophiles : Peau, Poumon, Rein, Sein, Prostate, Thyroïde. 10 D 5 * Réponse indispensable = 0 à la question si non cochée. DOSSIR N
22 QRM 7 Réponses otation OMMNTAIR A Pas d indication à l IRM de prostate dans le cancer métastatique. 10 D 10 QRM 8 Réponses otation OMMNTAIR A 10 L hormonothérapie n a qu un effet suspensif sur la maladie. D 5 5 QRM 9 Réponses otation OMMNTAIR A 10 L objectif de la suppression androgénique est d avoir une testostéronémie < D 5 0,5 ng/ml. 5 QRM 10 Réponses otation OMMNTAIR A 5 La prévention des effets métaboliques de l hormonothérapie est indispensable : exercice physique ; alimentation équilibrée ; surveillance du poids. 5 D 5 5 QRM 11 Réponses otation OMMNTAIR A Réponse indispensable* : l effet «flare-up» correspond à une élévation brutale de la testostérone lors de l introduction des agonistes de la LH-RH. D QRM 12 Réponses otation OMMNTAIR A 10 D 10 Il doit être prévenu par l association d un agoniste LH-RH et d un anti- androgène pendant au moins un mois, ou par l utilisation d un antagoniste de la LH-RH. * Réponse indispensable = 0 à la question si non cochée. 136 ORRIGÉ
23 QRM 13 Réponses otation OMMNTAIR A Suivi clinique, biologique et surveillance des effets secondaires. 5 5 D 5 5 QRM 14 Réponses otation OMMNTAIR A 5 10 D 5 Même en cas de résistance à la castration, les androgènes restent la cible des traitements de 2 e ligne. Réponses otation OMMNTAIR A 5 QRM 15 5 D 10 Total... / 300 Il ne faut pas arrêter l hormonothérapie en cas de résistance à la castration au risque de réactiver les clones de cellules cancéreuses hormonosensibles. Items abordés dans ce dossier N 106 : onfusion, démence N 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel et investigations paracliniques ; caractérisation du stade ; pronostic N 291 : Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, traitements médicaux des cancers (chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire et l'information du malade L avis du conférencier Le cancer de la prostate métastatique peut facilement servir de trame à un dossier transversal en fonction des différentes complications. ien connaître le mécanisme d action des agonistes de LH-RH avec le risque d effet flare-up. N 292 : Prise en charge et accompagnement d'un malade cancéreux à tous les stades de la maladie dont le stade de soins palliatifs en abordant les problématiques techniques, relationnelles, sociales et éthiques. Traitements symptomatiques. Modalités de surveillance. N 307 : Tumeurs de la prostate DOSSIR N
24 Urologie Les modalités des N changent. À partir de 2016, le nouveau concours proposera 18 dossiers progressifs constitués exclusivement de questions sous la forme de QRM, ainsi que 120 questions isolées, potentiellement très discriminantes. Afin de répondre à ces nouvelles exigences, les éditions stem vous proposent leur nouvelle collection, Tous les ouvrages de cette collection sont écrits par des auteurs classés parmi les meilleurs aux N et validés par des PU-PH spécialistes de la matière. Ils vous permettront de vous mettre en situation de concours en proposant un contenu adapté aux nouvelles modalités des Ni : des dossiers progressifs avec 15 questions, couvrant l ensemble de la spécialité ; des questions sous la forme exclusive de QRM selon les dernières modalités du concours ; un classement par niveau de difficulté, de 1 à 3 étoiles ; la liste des items du nouveau programme abordés dans chaque dossier ; des corrigés cotés et commentés, avec des conseils et astuces ; des pondérations «réponse inacceptable» et «réponse indispensable» s il y a lieu ; une rubrique «L avis du conférencier» avec les réflexes à avoir ; des questions isolées, pour faire le tour des items susceptibles de vous discriminer. t pour vous mettre à 100 % dans les conditions réelles du concours, un accès à l application «Objectif Ni» vous est offert en exclusivité! Dans la même collection ISN : DOSURO
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