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1 Actualités médicales Recherches médicales Nouvelles technologies Revue de presse - Articles scientifiques Hors série 03 Res Gratuit MedeSpace Magazine est une revue scientifique spécialisée en sciences médicales et actualités -

2 Edito : Pour bien réussir son concours de résidanat (un concours pas comme les autres). 1. Organiser son espace de travail : L espace où vous travaillez est très important. Veuillez à ce qu il soit bien rangé, bien éclairé, et confortable. Si vous avez votre propre chambre et votre propre bureau, mettez y tout ce dont vous en avez besoin (dictionnaires, feuille etc...). Vous pouvez travailler seul ou de préférence avec un(e) ami(e) avec qui vous vous entendez. Le travail de groupe vous aidera aussi à mieux comprendre ce qui vous parait encore flou. 2. Etablir un plan de travail : La préparation pour le résidanat n est pas le fruit d une ou deux semaines, mais plutôt de deux années ou plus. Alors on a intérêt à bien trimer. Avoir un plan de travail permet de gagner du temps, et également d être beaucoup plus efficace et en plus, ça donne envie de travailler. 3. Prendre bien soin de soi-même : Ne restez pas toujours collés aux livres, choisissez plutôt un moment de divertissement : rencontrez vos amis...etc. Evitez les nuits blanches et les excitants (café, boissons..) car ça affaiblit la mémoire et provoque des effets néfastes sur votre santé. 4. Que doit-on faire la veille de l examen? Tout ce que vous aimez à part les études! Regardez la télé, promenez-vous avec les amis... La nuit, profitez du sommeil (entre 6 à 8 heures). Détendezvous et dites vous que tout se passera bien. MedeSpace.net Administrator MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 2

3 QCMs de Chirurgie Question n 1 Dans les brulures les surfaces sont estimées à (la réponse juste): A. 18% tête et cou B. 9% pour le membre supérieur C. -9% pour le membre inférieur D. 27% pour les faces antérieurs et postérieurs du tronc E. 9% pour les organes génitaux Question n 2 Le cancer de tête de pancréas se présente sous différents tableaux cliniques sauf un: A. Amaigrissement B. Ictère C. Varices œsophagiennes D. Douleurs abdominales E. Vésicule palpable Question n 3 Dans la pancréatite aigue les signes suivants sont considérés comme critères de gravité sauf un lequel: A. Hypoxie B. Acidose C. Hypercalcémie D. Hyperglycémie E. Age supérieur à 50 ans MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 3

4 Question n 4 Chez un patient une hématurie importante, une image de soustraction pyélique à l'uiv peut être due à l'une des étiologies suivantes sauf une: A. Une tumeur B. Un caillot sanguin C. Une compression extrinsèque D. Un calcul radio-transparent E. Une pyélonéphrite Question n 5 Le signe le plus important dans l'appendicite aigue est: A. La fièvre B. La leucocytose C. Le vomissement D. La défense de la fausse iliaque droite E. Le signe de ROWSING (douleur à la décompression de la FIG) Question n 6 Un traumatisme avec choc hypovolémique doit être réanimé d'abord: A. Par le sérum salé B. Le plasma frais congelé C. La transfusion sanguine D. L'albumine E. le plasmagel Question n 7 A propos de la classification du cancer du sein dans le système TNM il est exacte que: A. La tumeur T3 a un volume égal à 3 cm B. T2b=L'adjonction de la lettre B indique la fixation à la peau C. N2 = adénopathie axillaire controlatérales D. M0 = métastases osseuses E. Métastases viscérales multiples MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 4

5 . Question n 8 Dans l'abcès amibien du foie les propositions suivantes sont correcte sauf une, la quelle: A. Il est plus fréquent chez l'homme B. Il affecte souvent l'adulte jeune C. Une patte chocolat est présente dans l'abcès D. Il s'accompagne de méléna E. Un drainage chirurgical est indiqué Question n 9 Concernant les tumeurs osseuses toutes ces affirmations sont exactes sauf une, la quelle: A. vent être primaire ou secondaire B. Peuvent être révélé par une fracture spontanée C. la radiographie montre une corticale intacte D. la scintigraphie permet de distinguer une métastase secondaire E. leur traitement standard associe la chirurgie à la chimiothérapie Question n 10 Parmi les étiologies de l'arthrite septique on distingue (réponse fausse): A. propagation hématogène à partir d'un foyer infectieux éloigné B. secondaire à une ostéomyélite aigue C. secondaire à une arthrite rhumatoïde D. inoculation directe traumatique ou chirurgicale E. au décours d'une arthroscopie Question n 11 Un patient de 75 ans a subi une cholécystectomie il y a un an. On découvre maintenant un calcul cholédocien de 7 mm. Quel est le traitement que vous proposez parmi les propositions suivantes? A. Réintervention pour cholédocotomie et extraction du calcul. B. Sphinctérotomie endoscopique. C. Lithotritie extra-corporelle. D. Traitement médical par Ursolvan(R). E. Anastomose bilio-digestive. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 5

6 Question n 12 Le traitement chirurgical d'une lithiase de la voie biliaire principale ayant migré en dehors d'épisodes infectieux aigus (angiocholite, cholécystite aiguë) ne peut être réalisé que par une seule des interventions suivantes : A. Cholécystectomie. B. Cholédocotomie avec ablation du calcul et fermeture du cholédoque. C. Cholécystostomie. D Cholécystectomie et cholédocotomie avec ablation du calcul et fermeture du cholédoque. E. Anastomose cholédoco-duodénale. Question n 13 Au cours d'une angiocholite urémigène, parmi les propositions thérapeutiques suivantes, la quelle vous paraît la plus adaptée? A. Dialyse rénale, antibiothérapie, intervention chirurgicale. B. Antibiothérapie et surveillance. C. Antibiothérapie, réanimation, intervention chirurgicale. D. Antibiothérapie, réanimation, sphinctérotomie endoscopique. E. Antibiothérapie, aspiration gastrique, réanimation, surveillance. Question n 14 Si, dans le cas précédent (lithiase vésiculaire et cholédocienne connue), une intervention chirurgicale est décidée, le chirurgien réalisera obligatoirement : A. Une cholécystectomie. B. Une pancréatectomie. C. Une cholécystostomie. D. Une désobstruction de la voie biliaire principale. E. Une exploration radiologique de la vbp. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 6

7 Question n 15 Une microlithiase vésiculaire symptomatique peut : A. Etre sensible au traitement médical dissolvant. B. Etre une indication chirurgicale. C. Etre une cause de pancréatite aiguë. D. Etre d'origine hémolytique. E. Etre parfois méconnue à l'échographie. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 7

8 QCMs d Hématologie Question n 1 Parmi les descriptions suivantes, quelle est celle qui convient pour l'anomalie de l'hémogramme présentée par cette femme? A. Anémie normochrome normocytaire arégenérativ B. Anémie microcytaire normochrome arégénérative C. Anémie microcytaire hypochrome arégénérativ D. Anémie microcytaire normochrome régénérative E. Anémie macrocytaire normochrome aregenérative Question n 2 Parmi les tests de coagulation suivants, quel est celui que l'on doit utiliser en pratique pour surveiller un traitement par l'héparine? A. Thrombotest d'owren B. Temps de céphaline-kaolin C. Temps de Quick (taux de Prothrombine) D. Temps de saignement E. Thromboélastogramme Question n 3 Indiquez la (les) affection(s) s'accompagnant d'ordinaire d'une splénomégalie : A. Agranulocytose médicamenteuse B. Anémie de Biermer C. Maladie de Vaquez D. Purpura thrombopénique idiopathique E. Maladie de Minkowski-Chauffard MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 8

9 Question n 4 On reconnait comme cause(s) d'aplasie médullaire? A. Traitement par le Chloramphénicol B. Exposition professionnelle au risque benzénique C. Insuffisance rénale chronique D. Cancer métastatique de la moelle E. Hépatite virale Question n 5 Parmi les 5 localisations primitives suivantes des lymphomes malins non hodgkiniens, quelle est la plus fréquente : A. Amygdale B. Parenchyme pulmonaire C. Cortex cérébral D. Rein E. Testicule Question n 6 Une des propositions suivantes concernant les leucémies aiguës myéloblastiques est exacte: A. L'étude cytogénétique met souvent en évidence une trisomie 21 B. Les atteintes méningées et testiculaires sont les deux localisations extra-hématopoiétiques les plus fréquentes C. Elles peuvent être induites par des chimiothérapies de type alkylants D. Il n'y a jamais de bâtonnets d'auer dans cette forme cytologique E. Aucune des propositions n'est exacte MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 9

10 Question n 7 Parmi les éléments suivants, lequel est constamment présent lors du diagnostic de leucémie aiguë? A. Blastes dans le sang B. Splénomégalie C. Blastes dans la moelle D. Hyperleucocytose E. Hyperuricémie Question n 8 Au cours de l'évolution d'une leucémie myéloïde chronique traitée par chimiothérapie, le(les) signe(s) qui fait (font) craindre une transformation est (sont) : A. L'apparition d'adénopathies B. L'augmentation progressive du taux d'acide urique C. Une fièvre durable D. Une augmentation du taux des myélocytes sanguins E. La survenue d'une thrombose Question n 9 Tous ces symptômes sont compatibles avec la maladie de Vaquez sauf un. Lequel? A. Splénomégalie B. Augmentation du volume globulaire total C. Plaquettes pouvant être supérieures à 400 giga/l D. Vitesse de sédimentation basse. inférieure à 10 mm E. Saturation oxygénée du sang artériel inférieure à 92 % MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 10

11 Question n 10 Une pancytopénie peut être due à toutes ces causes, sauf une. Laquelle? A. Leucémie aiguë B. Maladie de Biermer C. Métastase médullaire de cancer D. Syndrome myélodysplasique (anémie réfractaire) E. Maladie de Minkowski Chauffard Question n 11 Dans quelle(s) situation(s) peut-on rencontrer une fausse anémie par hémodilution? A. Grossesse au cours des trois derniers mois B. Maladie de Waldenström C. Traitement diurétique D. Splénomégalie volumineuse par hypertension portale E. Myélome multiple des os à chaînes légères Question n 12 La durée moyenne d'action de la Calciparine S.C. chez l'homme est de l'ordre de : A. 30 minutes B. 1 heure C. 8 heures D. 24 heures E. 8 heures MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 11

12 Question n 13 L'association d'une splénomégalie et d'une myélémie doit faire discuter : A. Une septicémie B. Une aplasie médullaire toxique C. Une leucémie myéloïde chronique D. Une splénomégalie myéloïde E. Une maladie de Biermer (non traitée) Question n 14 Les adénopathies médiastinales sont fréquentes dans la(les) maladie(s) suivante(s) : A. Maladie de Vaquez B. Maladie de Hodgkin C. Myélome osseux multiple D. Leucémie myéloïde chronique E. Leucémie aiguë Iymphoblastique T Question n 15 Devant une polyglobulie vraie, vous retenez en faveur du diagnostic de maladie de Vaquez: A. Erythrose du visage B. Céphalées fréquentes C. Splénomégalie D. Hématocrite à 57 % E. Hyperplaquettose MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 12

13 Question n 16 Le lieu principal d'absorption active de l'acide folique est : A. L'estomac B. Le duodénum C. Le jéjunum haut D. L'iléon intermédiaire E. L'iléon terminal Question n 17 Parmi les examens suivants, lequel (lesquels) doit-on demander en première intention pour orienter le diagnostic d'une thrombopénie isolée à 20 G/I (G.R. et leucocytes normaux)? A. Myélogramme B. Echographie splénique C. Etude de la coagulation D. Test d'agrégation plaquettaire E. Biopsie médullaire Question n 18 Une carence en fer engendre habituellement : A. Une anémie microcytaire hypochrome avec un chiffre de réticulocytes élevé B. Une anémie microcytaire hypochrome avec un chiffre de réticulocytes faible C. Un excès de sidéroblastes médullaire D. Une élévation du chiffre des plaquettes E. Une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles Question n 19 La découverte d'une anémie hémolytique avec test de Coombs direct positif doit faire rechercher : A. Une leucémie lymphoïde chronique B. Un cancer de l'estomac C. Un lupus érythémateux disséminé D. Une prise médicamenteuse d'aldomet (Alpha Méthyl Dopa) E. Une leucémie myéloïde chronique MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 13

14 Question n 20 Un purpura pétéchial et ecchymotique, cutanéo-muqueux, diffus et hémorragique doit faire discuter : A. Une thrombopénie B. Une hémophilie C. Un déficit en vitamine K D. Un déficit en facteur V E. Un déficit en facteur Willebrand Question n 21 L'une des anomalies suivantes est commune à l'hémophilie et à la maladie de Willebrand. Laquelle? A. Allongement du temps de saignement B. Défaut d'agrégation plaquettaire à la ristocétine C. Diminution d'activité coagulante du facteur VIII (VIII c) D. Diminution de l'antigène lié au facteur VIII (VIII R Ag) E. Allongement du temps de thrombine Question n 22 Le syndrome de Felty comporte : A. La polyarthrite rhumatoïde B. Une protéinurie C. Une splénomégalie D. Une hépatomégalie E. Une neutropénie MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 14

15 Question n 23 Dans le cas d'une gammapathie monoclonale bénigne il est exact que : A. Il s'agit le plus souvent d'un sujet jeune B. La radio de crâne est normale C. Un pic IgG Kappa doit être inférieur à 8g/l (taux sérique) D. Elle peut se compliquer d'amylose E. La calcémie est normale Question n 24 Un bilan de santé découvre chez un homme de 40 ans, sans antécédent, une splénomégalie à 4 cm sous le rebord costal. A l'hémogramme, l'attention est attirée par un chiffre d'hémoglobine à 12,5 g/dl, un VGM à 103 fl et des réticulocytes à /mm3. Parmi les hypothèses diagnostiques suivantes, quelle est la première vers laquelle vous vous orientez? A. Splénomégalie par inflammation chronique B. Splénomégalie par hypertension portale liée à une cirrhose C. Syndrome lymophoprolifératif débutant D. Syndrome hémolytique E. Splénomégalie compliquant une maladie de Biermer Question n 25 Un des cinq facteurs suivants de coagulation n'est pas vitamino K- dépendant. Lequel? A. Prothrombine (II) B. Proconvertine (VII) C. Proaccélérine (V) D. Globuline antihémophilique B (IX) E. Facteur Stuart (X) MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 15

16 Question n 26 Quelle est la fréquence de survenue d'une transformation aiguë dans la leucémie myéloïde chronique? A. 5 % B. 15 % C. 35 % D. 50 % E. 80 % Question n 27 Le temps de Quick explore l'activité de plusieurs facteurs de l'hémostase. Parmi les séries suivantes de facteurs, indiquez laquelle correspond au temps de Quick : A. II - VII - IX X B. I - II - V - VIII Plaquettes C. VIII - IX - XI XII D. I - V - VII X E. VII - IX - XI - XII Question n 28 La présence d'un purpura vasculaire se rencontre habituellement au cours d'une : A. Septicémie à méningocoque B. Aplasie médullaire C. Endocardite lente d'osler D. Hémophilie E. Purpura rhumatoïde MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 16

17 Question n 29 Parmi les conséquences d'une polyglobulie primitive (ou maladie de Vaquez), on retrouve: A. Insuffisance respiratoire B. Céphalées C. Adénopathies superficielles D. Hémorragies E. Thrombose vasculaire Question n 30 Parmi ces diverses affections, certaines ne s'accompagnent habituellement pas de thrombopénie, laquelle (lesquelles)? A. Leucémie aiguë myéloblastique B. Maladie de Willebrand C. Anémie de Fanconi D. Purpura rhumatoïde MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 17

18 Corrigé des QCMs de Chirurgie Réponse n 1 : B Réponse n 9 : C Réponse n 2 : C Réponse n 10 : C Réponse n 3 : C Réponse n 11 : B Réponse n 4 : E Réponse n 12 : D Réponse n 5 : D Réponse n 13 : D Réponse n 6 : E Réponse n 14 : A D E Réponse n 7 : B Réponse n 15 : C D E Réponse n 8 : E MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 18

19 Corrigé des QCMs d Hématologie Réponse n 1: B VGM = Ht/Gr = 77 micron3. CCMH = Hb/Ht = 0,33. Réticulocytes = < donc absence de régénération. Réponse n 2: B A - Surveillance du traitement par AVK (peu utilisé). B - Doit être compris entre 1,5 et 2,5 fois le témoin. C - Surveillance du traitement par AVK. D - Concerne les traitements antiagrégants. Non utilisé couramment. E - Etudie la formation des caillots. Réponse n 3::C-E C - Argument diagnostique majeur mais inconstant. D - Oriente vers une cause secondaire de purpura (et non vers un purpura thrombopénique idiopathique). E - Signe classique des anémies hémolytiques. Réponse n 4: A-B-E A - Classique. B - Idem. C - Donne une anémie et non une aplasie. D - Ne donne pas d'aplasie, mais une insuffisance médullaire par envahissement. E - Complication gravissime des hépatites virales B ou non A non B. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 19

20 Réponse n 5: A Les localisations les plus fréquentes sont ORL et digestives (fonction de la richesse en éléments lymphoïdes). Réponse n 6: C A - Les leucémies aiguës Iymphoïdes et non myéloblastiques sont plus fréquentes. B - C'est une caractéristique des leucémies aiguës lymphoblastiques. C - Complication de pronostic très sombre, très peu sensible aux traitements. D - Faux ; caractéristiques des LAM1, LAM2, LAM3. Réponse n 7: B La L.A. est définie par une prolifération blastique médullaire supérieure à 30 %. A - N'est pas constant. B - Fait partie du syndrome tumoral. D - Dépend de l'insuffisance médullaire liée à l'envahissement blastique. E - Complication métabolique liée à toute hypercellularité. Réponse n 8: A C A - Syndrome tumoral blastique. B - Reflète l'hypercellularité, non spécifique de l'acutisation. C - Signe évocateur de transformation. D - L'acutisation est définie par l'augmentation des blastes (et non des myélocytes). E - Complication évolutive de la L.M.C. en phase chronique. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 20

21 Réponse n 9: E A - Argument clinique majeur en faveur du Vaquez devant une polyglobulie. B - Permet le diagnostic de polyglobulie vraie si supérieur à 32ml/cg chez la femme, 36ml chez l'homme. C - Fréquente dans ce syndrome myéloprolifératif. D - Par impossibilité de formation de rouleaux érythrocytaires responsables de la sédimentation. E - Evocateur d'une polyglobulie secondaire. Réponse n 10: E A - Envahissement blastique. B - Anomalie de synthèse et de maturation des précurseurs (moelle riche). C - Envahissement métastatique. D - Anomalie de synthèse et de maturation avec moelle riche, possibilité d'évolution vers l'envahissement blastique. E - Anémie hémolytique constitutionnelle corpusculaire, autres lignées non touchées. Réponse n 11: A B D A - A partir du 2ème trimestre, le volume plasmatique et le volume globulaire augmentent, mais le premier plus vite que le second, entraînant une "anémie" fausse, physiologique. B - Etiologie classique avec augmentation du volume plasmatique et une baisse du taux d'hémoglobine sans anémie vraie, liés à l'hyperprotidémie importante (immunoglobuline monoclonale). C - Au contraire, risque d'hémoconcentration par déshydratation extracellulaire. D - Par augmentation parfois considérable du volume plasmatique. E - Ne comporte généralement pas d'hémodilution en raison du faible taux de chaînes légères dans le sang (pas d'hyperprotidémie, hypogammaglobulinémie franche). MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 21

22 Réponse n 12: C Il est donc nécessaire d'effectuer une injection toutes les 8 heures, lors des traitements curatifs. Réponse n 13: A C D A - Myélémie des grandes polynucléoses réactionnelles. B - Pas de splénomégalie, myélémie uniquement lors de la régénération.. C - Myélémie parfois importante, constituée des précurseurs granuleux à tous les stades de la maturation. D - Idem, item C (syndrome myéloprolifératif). E - Pas de splénomégalie, leuconeutropénie avec polynucléaires grands et hypersegmentés. Réponse n 14: B E A - Il existe une splénomégalie inconstante, mais orientant vers le diagnostic. B - Parfois mode de découverte, classiquement unilatérales ou bilatérales, asymétriques mais hautes (latérotrachéales avec médiastin en cheminée). C - Ne font pas partie du tableau. D - Il existe une splénomégalie sans adénopathies E - Le fort syndrome tumoral, en particulier médiastinal, est une particularité de cetteaffection. Réponse n 15: C E A - Evocateur de polyglobulie quelle qu'elle soit. B - Signe d'hyperviscosité non spécifique. C - Argument fondamental du diagnostic, mais inconstant. D - La seule définition de la polyglobulie vraie repose sur la mesure de la masse globulaire, et n'est, de toute façon, pas un élément d'orientation. E - Augmentation des autres lignées avec parfois myélémie discrète due au syndrome MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 22

23 Réponse n 16: C C Les sources alimentaires sont les légumes verts, les fruits, le foie. Le stock hépatique est épuisable en quelques mois. Les apports alimentaires couvrent largement les besoins quotidiens (50 à 100 µgr) mais la croissance, la grossesse, la lactation les majorent. Réponse n 17: A C A. Il est indispensable devant toute thrombopénie < ou égale à /mm3. Il permet d'orienter rapidement le diagnostic du mécanisme selon la présence ou l'absence de mégacaryocytes (en fait leur diminution) en cause périphérique ou centrale. B. Aucun intérêt en première intention pour orienter le diagnostic. C. Intérêt moyen, indispensable devant toute thrombopénie isolée : recherche d'une coagulopathie de consommation pour étude : TP, TCK, temps de thrombine, fibrine, complexes solubles, D dimères, facteur V. D. Aucun intérêt. E. Aucune indication avant le myélogramme. Réponse n 18: B A. L'anémie par carence martiale est arégénérative. B. L'anémie ferriprive est microcytaire (la concentration en hémoglobine des érythroblastes augmente trop lentement) et à un degré de plus devient hypochrome. Elle est la plupart du temps arégénérative car due à un défaut de synthèse de l'hémoglobine et donc à un défaut de production des GR dans la moelle. C. Les sidéroblastes médullaires sont des érythroblastes médullaires contenant du fer et leur nombre est bien sur diminué en cas de carence martiale par baisse des réserves. D. La question étant posée : "Une carence en fer engendre habituellement", je répond non à l'item D. Cependant, il est possible d'avoir une thrombocytose modérée symptomatique en cas de carence martiale dans moins de 20 % des cas. E. La carence martiale entraîne parfois une leuconeutropénie. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 23

24 Réponse n 19: A C D A. L'anémie hémolytique est fréquente dans la LLC, 6 % au moment du diagnostic et plus de 7 % en cours de maladie. Dans les 2/3 des cas, le Coombs est positif Iy GG+C ou complément seul. B. Il n'intègre pas le cancer de l'estomac comme une des causes à rechercher devant une AHAI, cependant il existe dans la littérature quelques observations de cancers épithéliaux ou d'autres types associés à une AH à Coombs positif. C. Le LED est une cause classique d'ahai, s'intégrant parfois en cas de thrombopénie associée dans un tableau de syndrome d'evans (thrombopénie immunologique. Le test de Coombs est généralement de type complément ou IgG +complément et exceptionnellement IgG+IgM+complément. D. L'Aldomet donne des tests de Coombs positifs dans 20 % des cas mais seuls 3 % développent une véritable anémie hémolytique. Le médicament induit un anticorps qui se pose sur le GR. Il s'agit d'une véritable AHAI et non d'une anémie immunoallergique. L'anticorps responsable dans les cas hémolysants est une Ig M chaude non agglutinante fixant le complément. E. Il y a dans la littérature quelques observations d'ahai au cours de LMC. Il faut le savoir mais il s'agit d'une situation exceptionnelle. Réponse n 20: A Les déficits acquis ou constitutionnels en facteurs de la coagulation ne donnent pas une symptomatologie clinique de purpura pétéchial et ecchymotique. Ce type depurpura est évocateur de thrombopénie. Réponse n 21: C Réponse n 22: A C E Cette triade correspond à la définition du syndrome de Felty. On peut observer en outre, des adénopathies, une anémie, une thrombopénie, des ulcérations cutanées des jambes, une pigmentation brune des parties découvertes. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 24

25 Réponse n 23: B D A - Faux. Sa fréquence s'accroit avec l'âge (3 % après 70 ans ; 6 % après 80 ans). B - L'absence de lyse osseuse est un des critères de bénignité. C - Faux. Le taux d'igg doit être inférieur à 20 g/l (et 10 g/l pour une IgA). D - Il s'agit d'une complication classique. La substance amyloïde est de type AL. E - La normalité de la calcémie ne fait pas partie de la définition de la bénignité. Une gammapathie monoclonales peut s'observer chez des sujets ayant un adénome prothyroïdien responsable d'une hypercalcémie. L'association hypercalcémie et immunoglobuline monoclonale ne signifie donc pas toujours myélome multiple ou lymphome. Réponse n 24: D D - Il s'agit d'une splénomégalie accompagnée d'une anémie très régénérative. La macrocytose est probablement en rapport avec la réticulocytose abondante, le volume des réticulocytes étant plus important que les globules rouges matures. On évoque en premier lieu une hémolyse. A - L'anémie inflammatoire n'est pas régénérative (Réticulocytes < / mm3). B - On ne trouve pas non plus d'anémie régénérative dans l'hypertension portale. C - L'item est discutable en raison d'une possible anémie hémolytique auto-immune pouvant compliquer un syndrome lymphoprolyfératif. Mais ce n'est pas ce que l'on évoquera "en premier". D - L'anémie de Biermer n'est pas régénérative Réponse n 25: C Réponse n 26: E Transformation presque inévitable, avec survie brève. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 25

26 Réponse n 27: D Il s'agit de la voie exogène de la coagulation. Réponse n 28 : A C E B - Purpura secondaire à la thrombopénie D - Purpura très rare, secondaire aux troubles de l'hémostase. Réponse n 29: B D E B - Signe d'hyperviscosité. D - Par hyperviscosité. E - Par thrombopathie. Réponse n 30: B D B - Il s'agit d'un trouble de l'agrégation plaquettaire (nombre de plaquette normal). D- Il s'agit d'un purpura vasculaire à hémostase primaire normale. MedeSpace Magazine Revue francophone des sciences médicales 26

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