La production et les coûts

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La production et les coûts"

Transcription

1 1 Chapitre 10 La production et les coûts Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre court terme et long terme Expliquer la relation entre la production d une firme et la quantité de travail utilisée à court terme Expliquer la relation entre la production d une firme et ses coûts à court terme Expliquer les courbes de coût de court terme 2 Expliquer la relation entre la production d une firme et ses coûts à long terme 3

2 4 Distinction entre court terme et long terme Types de décisions prises par une firme: Dans quelle industrie entrer Quel type d organisation adopter Comment produire Quel prix fixer pour les biens produits Objet du Chapitre 9 Objet du Chapitre 10 Chronologie des décisions Les actions prises par les firmes pour influencer la relation entre la production et les coûts dépendent de l horizon temporel. Deux horizons temporels: Le court terme Le long terme 5 Le court terme est une période de temps où la quantité de au moins un des facteurs de production est fixée tandis que celle des autres facteurs peut être variable. À court terme, la taille des installations pour une firme est fixe. Pour augmenter la production, la firme augmente la quantité des facteurs variables, généralement le travail. Les décisions de court terme peuvent facilement être changées. 6

3 7 Le long terme est une période de temps où les quantités de tous les facteurs de productions deviennent variables. À long terme, une firme peut augmenter sa production en variant la taille de l usine aussi bien que la quantité des autres facteurs comme le travail. Les décisions de long terme ne sont pas facilement réversibles. Les coûts d achat d une nouvelle usine sont des coûts irrécupérables. Un coût irrécupérable n est pas pertinent dans les décisions de la firme. Objectif: Expliquer la relation entre la production d une firme et la quantité de travail utilisée à court terme Pour augmenter la production à court terme, la firme doit augmenter la quantité de travail utilisée. Trois concepts importants: Le produit total Le produit marginal Le produit moyen 8 Le produit total est la quantité totale produite. Le produit marginal est l augmentation dans le produit total résultant d une augmentation d une unité dans un facteur de production, ceteris paribus. Le produit moyen est le produit total par unité de facteur utilisée, ceteris apribus. 9

4 10 Produit total, marginal et moyen Travail (travailleurs par jour) Produit total (chandails par jour) a 0 0 b 1 4 c 2 10 d 3 13 e 4 15 f 5 16 Produit marginal (chandails par travailleur additionnel) Produit moyen (chandails par travailleur) Courbe de produit total Production (chandails par jour) e Irréalisable d c Réalisable b a f similaire à la CPP le produit total est croissant la pente de la courbe de PT diminue avec l augmentation de la production lorsque le PT augmente, le produit marginal diminue Travail (travailleurs par jour) 11 Produit Marginal Production (chandails par jour) c d PT Travail (Travailleurs par jour) Produit marginal (chandails par jour par travailleur) Pm Travail (Travailleurs par jour) 12

5 13 Courbe de produit marginal La courbe du produit marginal représente la pente à la courbe de produit total. Les courbes de produit total et marginal sont différentes pour chaque firme. Par contre tout processus de production a comme caractéristiques: Une phase initiale des rendements marginaux croissants Une phase des rendements marginaux décroissants Courbe de produit marginal On observe des rendements marginaux croissants lorsque le produit marginal d un travailleur supplémentaire est supérieur à celui du travailleur précédent. On observe des rendements marginaux décroissants lorsque le produit marginal d un travailleur supplémentaire est plus bas que celui du travailleur précédent. 14 Produit marginal La loi des rendements décroissants Au fur et à mesure qu une entreprise utilise une quantité de plus en plus grande d un facteur variable avec une quantité donnée d un facteur fixe, le produit marginal du facteur variable finit par diminuer. 15

6 16 Produit moyen Produit moyen & produit marginal (chandails par jour par travailleur) 6 4 b e f 3 PM 2 Produit moyen maximum c d Pm Travail (travailleurs par jour) Avec 1 travailleur, Pm > PM? PM augmente Avec 2 travailleurs, Pm = PM? PM est au maximum Avec plus de 2 travailleurs, Pm < PM? PM diminue Objectif: Expliquer la relation entre la production d une firme et ses coûts à court terme Pour produire plus à court terme, la firme doit employer plus de travail, ce qui augmente ses coûts. Trois concepts de coûts: Coût total Coût marginal Coût moyen 17 Coûts à court terme Le Coût total (CT) est le coût de toutes les ressources productives utilisées par la firme. Le coût fixe total (CFT) est le coût de tous les facteurs fixes. Le coût variable total (CVT) est le coût de tous les facteurs variables de la firme. CT = CFT + CVT 18

7 19 Courbes de coût total Coût Coût fixe variable Coût total total total Travail Production (travailleurs (chandails (CFT) (CVT) (CT) par jour) par jour) (dollars par jour) a 0 0 b 1 4 c 2 10 d 3 13 e 4 15 f Courbes de coût total 150 CT = CFT + CVT CT Coûts (dollars par jour) CVT CFT Production (chandails par jour) 20 Coût marginal Le coût marginal est l augmentation dans le coût total résultant de l augmentation d une unité dans la production. Il est égal à l augmentation dans le coût total divisé par l augmentation dans la production. Le coût marginal est décroissant à des niveaux de production moins élevés à cause des rendements marginaux croissants, mais finissent par éventuellement augmenter à cause de la loi des rendements décroissants. 21

8 22 Coût total et marginal Coût Coût fixe variable Coût total total total Coût marginal Travail Production (Travailleurs (chandails (CFT) (CVT) (CT) par jour) par jour) (dollars par jour) a 0 0 b 1 4 c 2 10 d 3 13 e 4 15 f (Cm) Coût moyen Le coût fixe moyen (CFM) est le coût fixe total par unité de production. Le coût variable moyen (CVM) est le coût variable par unité de production. Le coût total moyen (CTM) est le coût total par unité de production. 23 Relations entre les différentes courbes de coût moyen: CT? CFT? CT? CFT? Q Q CVT CVT Q OU CTM? CFM? CVM 24

9 Coûts totaux et coûts moyens Coût Coût fixe variable Coût total total total Coût marginal Coût fixe moyen Coût variable moyen Coût total moyen Travail Production (travailleurs (chandails (CFT) (CVT) (CT) par jour) par jour) (dollars par jour) (Cm) (CFM) (CVM) (CTM) a 0 0 b 1 4 c 2 10 d 3 13 e 4 15 f Coût marginal et coûts moyens Coûts (dollars par chandail) CTM = CFM + CVM Cm CTM CVM Production (chandails par jour) CFM 26 Produit moyen et marginal Coûts moyen et marginal 6 PM 4 Pm Pm? Pm? Pm? 2 et et et Cm? : Cm? : Cm? : PM? et rising PM? CVM? PM? et 2.0 Labour 12 et CVM? CVM? Pm Maximum et PM Maximum et 9 Cm minimum CVM minimum Cm Travail CVM Courbes du produit et courbes de coût 27

10 28 Déplacement des courbes de coût La position des courbes de coûts de court terme dépend de deux facteurs: La technologie Les prix des ressources Une innovation technologique qui augmente la productivité déplace les courbes de produit vers le haut et les courbes de coût vers le bas. Changements dans les courbes de coût Une augmentation du prix d une ressource productive entraîne une augmentation des coûts et un déplacement des courbes des coûts. Une augmentation dans une composante du coût fixe déplace le CFT, le CFTM et le CT vers le haut mais laisse inchangés le CVTM, le CVT et le Cm. Une augmentation d une composante des coûts variables déplace le CVT, le CVTM, le CT et le Cm vers le haut mais laisse inchangés le CFTM et le CFT. 29 Objectif: Expliquer la relation entre la production d une firme et ses coûts à long terme À long terme la firme peut varier non seulement la quantité de travail mais aussi celle du capital. Elle va donc varier les quantités des deux facteurs de production de façon à maximiser ses profits. 30

11 31 Coûts de long terme Le coût de long terme est le coût de production lorsque la firme utilise de manière efficiente économiquement les quantités de travail et de capital. Les coûts de long terme dépendent de la fonction de production de la firme. La fonction de production est la relation entre la quantité maximale qu il est possible de produire et celles de travail et de capital utilisées dans le processus. La fonction de production Production (chandails par jour) Travail Usine 1 Usine 2 Usine 3 Usine Produit marginal Du travail 13 décroissant Machines à coudre (nombre) Produit marginal du capital décroissant 32 Les courbes de coût de court terme pour les différentes usines CTM 1 CTM 2 CTM 3 CTM Introduction 13à la microéconomique

12 34 Objectif: Expliquer les coûts moyens de long terme d une firme La courbe de coût moyen de long terme est la relation entre le coût total moyen le plus bas que l on puisse atteindre et la production lorsque la quantité de travail et la taille des installations sont variables. Une fois la taille des installations choisie, la firme opère sur la courbe de coût moyen de court terme relative à cette taille. La courbe de coût moyen de court terme La courbe de coût total moyen de long terme est déduite des courbes de coût total moyen de court terme. La courbe de coût total moyen de long terme est l enveloppe inférieure des courbes de coût total de court terme. 35 Courbe de coût total moyen de long terme CTM 1 CTM 2 CTM 3CTM Moins élevé Usine 1 Moins élevé Usine Moins élevé Usine 3 Courbe de CMLT Moins élevé Usine 2 36

13 37 Rendements d échelle Les rendements d échelle sont des augmentations dans la production résultant de l accroissement dans l utilisation de tous les facteurs de production par le même pourcentage. Trois possibilités: Rendements d échelle décroissants Rendements d échelle constants Rendements d échelle croissants Économies d échelle La technologie d une firme a des économies d échelle lorsque l augmentation des facteurs de production d un certain pourcentage, augmente la production de plus que ce pourcentage. Lorsqu il y a présence d économies d échelle, la courbe de CTMLT est décroissante. 38 Déséconomies d échelle La technologie d une firme a des déséconomies d échelle lorsque l augmentation des facteurs de production d un certain pourcentage entraîne l augmentation de la production de moins que ce pourcentage. En présence de déséconomies d échelle, la courbe de CTMLT est croissante. 39

14 40 Rendements d échelle constants La technologie d une firme a des rendements d échelle constants lorsque l augmentation des facteurs de production d un certain pourcentage entraîne l augmentation de la production du même pourcentage. En présence de rendements d échelle constants, la courbe de CTMLT est horizontale. L échelle minimum efficace L échelle minimum efficace d une firme est la plus petite quantité de production à laquelle elle atteint le minimum du CMLT. 41 Courbes de coûts moyens de long terme Économies d échelle Déséconomies d échelle CTM 1 CTM 2 CTM 3CTM moins élevé usine 1 EME moins élevé usine 2 moins élevé usine 3 Courbe de CTMLT moins élevé usine

15 43 FIN

Les coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7

Les coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7 Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES

CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw

Plus en détail

Logistique, Transports

Logistique, Transports Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,

Plus en détail

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique

Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable

Plus en détail

Chapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne

Chapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation

Plus en détail

Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied

Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied : : A P P L I E D S U P P O R T : : Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied Maximisez votre investissement technologique LE SUCCÈS DE VOTRE ENTREPRISE DÉPEND DE LA PERFORMANCE DE VOS CAPACITÉS

Plus en détail

Concurrence imparfaite

Concurrence imparfaite Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,

Plus en détail

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

Hausse des tarifs d'électricité au Québec : éléments de problématique

Hausse des tarifs d'électricité au Québec : éléments de problématique Hausse des tarifs d'électricité au Québec : éléments de problématique Charles A. Carrier 1 ASDEQ, Comité des politiques publiques Document CPP 2004-01 La société Hydro-Québec a récemment proposé à la Régie

Plus en détail

COURS 5 : THEORIE DE L ENTREPRISE 2

COURS 5 : THEORIE DE L ENTREPRISE 2 Université Pierre et Marie Curie Licence Informatique 2014-2015 Cours LI 352 - Industrie Informatique et son Environnement Économique Responsable : Jean-Daniel Kant (Jean-Daniel.Kant@lip6.fr) COURS 5 :

Plus en détail

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite

Plus en détail

Théorie Financière 2014-2015

Théorie Financière 2014-2015 Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français

Plus en détail

Industrie 4.0 L usine connectée

Industrie 4.0 L usine connectée En partenariat avec Industrie 4.0 L usine connectée Les nouveaux métiers de l industrie 4.0: Méthodologie de conception des certifications Mardi 29 avril 2014 Séminaire ISA-France / Espace Hamelin Jean-Luc

Plus en détail

PricewaterhouseCoopers Déjeuner des PME et des Start-up 21 janvier 2005

PricewaterhouseCoopers Déjeuner des PME et des Start-up 21 janvier 2005 Déjeuner des PME et des Start-up Jean-Pierre Steiner, responsable du Business Recovery Services Suisse romande *connectedthinking Contenu Rôle de la trésorerie Environnement financier d une entreprise

Plus en détail

a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)

a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS) VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale

Plus en détail

Apprentissage Automatique

Apprentissage Automatique Apprentissage Automatique Introduction-I jean-francois.bonastre@univ-avignon.fr www.lia.univ-avignon.fr Définition? (Wikipedia) L'apprentissage automatique (machine-learning en anglais) est un des champs

Plus en détail

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2013 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté

Plus en détail

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les

Plus en détail

(613) 889-9491 (819) 243-6497 x 3421 Lucie.malette@groupeinvestors.com

(613) 889-9491 (819) 243-6497 x 3421 Lucie.malette@groupeinvestors.com Vos options pour votre indemnité Research council employees association Association des employés du conseil de recherche (613) 889-9491 (819) 243-6497 x 3421 Lucie.malette@groupeinvestors.com Lucie Malette,

Plus en détail

Banque nationale suisse

Banque nationale suisse IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et

Plus en détail

Becca Distribution Inc

Becca Distribution Inc Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période

Plus en détail

RÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3

RÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3 RÉALISATION DE GRAPHIQUES AVEC OPENOFFICE.ORG 2.3 Pour construire un graphique : On lance l assistant graphique à l aide du menu Insérer è Diagramme en ayant sélectionné au préalable une cellule vide dans

Plus en détail

ProKilowatt Le Programme pour la réduction de la consommation d électricité et perspectives pour les entreprises électriques

ProKilowatt Le Programme pour la réduction de la consommation d électricité et perspectives pour les entreprises électriques ProKilowatt Le Programme pour la réduction de la consommation d électricité et perspectives pour les entreprises électriques Office fédéral de l énergie, Ivan König Cuepe day 2014 Genève, 19. September

Plus en détail

Barre Supplémentaire 85x85 Barre Supplémentaire 85x30

Barre Supplémentaire 85x85 Barre Supplémentaire 85x30 Système de Pergola de Base Fixé au Sol Système de Pergola de Base Fixé au Sol Module Additionnel Système de Pergola de Base Amoviblé, avec Plaque de Pose Système de Pergola de Base Amoviblé, avec Plaque

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Baromètre 2013 des Rémunérations dans la

Baromètre 2013 des Rémunérations dans la Baromètre 2013 des Rémunérations dans la Sécurité Privée en partenariat avec et l assistance de Notre objectif: mieux comprendre notre environnement Troisième édition du baromètre français des rémunérations

Plus en détail

ACD Courtalux. Courtier en assurances agréé. Formulaire de renseignements (1)

ACD Courtalux. Courtier en assurances agréé. Formulaire de renseignements (1) Formulaire de renseignements (1) Coordonnées de la victime Nom :... Prénom :... Adresse : rue... N...Bte... Code postal :... Localité :... Téléphone :... Etat civil :... Date de naissance :... /... /...

Plus en détail

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler

Plus en détail

Système électronique de régulation et surveillance pour traçage et distribution électrique multicircuit à monter en armoire

Système électronique de régulation et surveillance pour traçage et distribution électrique multicircuit à monter en armoire DIGITRACE NGC-30 Système électronique de régulation et surveillance pour traçage et distribution électrique multicircuit à monter en armoire CHEMIN DE CÂBLES Modules Card Rack INTERRUPTEUR PRINCIPAL 800

Plus en détail

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle

Plus en détail

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

Rampes et garde-corps

Rampes et garde-corps Rampes et garde-corps Aluminium (intérieur - etérieur) Bois (intérieur) 25 1987 2012 Configurateur et vidéos de montage en ligne www.sogem-sa.com Square Tableau des accessoires livrés sous blister S1 S3

Plus en détail

Signaux numériques : Multiplexage temporel : TDM

Signaux numériques : Multiplexage temporel : TDM Signaux numériques : Multiplexage temporel : TDM Pour la hiérarchie TDM, il y a deux catégorie : Le multiplexage dans les systèmes informatiques : La transmission TDM dans des lignes haute vitesse à partir

Plus en détail

Principes de choix de portefeuille

Principes de choix de portefeuille Principes de choix de portefeuille 7 e édition Christophe Boucher christophe.boucher@u-paris10.fr 1 Chapitre 2 7 e édition Rappel : Investissement, temps et marché des capitaux 2 Questions du chapitre

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS

Plus en détail

Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène

Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi

Plus en détail

Chapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes

Chapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes Chapitre 1: Introduction à la théorie de l équilibre à prix fixes L3 Eco-Gestion/ Faculté de Droit, Sciences Economiques et de Gestion Plan 1 Rappels sur l utilité espérée La représentation des événements

Plus en détail

CHAP 1 LE MARCHÉ PEUT-IL COORDONNER TOUTES LES ACTIVITÉS HUMAINES?

CHAP 1 LE MARCHÉ PEUT-IL COORDONNER TOUTES LES ACTIVITÉS HUMAINES? CHAP 1 LE MARCHÉ PEUT-IL COORDONNER TOUTES LES ACTIVITÉS HUMAINES? Introduction: La diversité et l'interdépendance des marchés Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, la quasi totalité des économies

Plus en détail

Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K

Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K + τ.p. K.e τ K.e /τ τ 86% 95% 63% 5% τ τ 3τ 4τ 5τ Temps Caractéristiques remarquables de la réponse à un échelon e(t) = e.u(t). La valeur

Plus en détail

Produits concernés: CS10, CS15, TS11, TS15, GS05, GS06, GS08, GS10, GS15

Produits concernés: CS10, CS15, TS11, TS15, GS05, GS06, GS08, GS10, GS15 V3.50 Apports et bénéfices Produits concernés: CS10, CS15, TS11, TS15, GS05, GS06, GS08, GS10, GS15 Ce document contient d importantes informations au sujet de la version 3.50 de SmartWorx Viva et des

Plus en détail

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Rapport sur la qualité des actifs au 31 mars 2014 (Instruction

Plus en détail

Manuel 6330084190. SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. 6330084190

Manuel 6330084190. SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. 6330084190 SAFE-O-TRONIC access Identification électronique et système de verrouillage par NIP Item No. Manuel français SAFE-O-TRONIC access Serrure d armoire 1 Indications concernant ce manuel Document number: FR_042014

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur Définition des termes techniques pour les escaliers : Escalier : Volée :

Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur Définition des termes techniques pour les escaliers : Escalier : Volée : Accueil Diapo FAQ Instal. escalier Photo Les normes du bâtiment pour l'installation d'un escalier intérieur 1. Définition des termes techniques pour les escaliers. 2. Normes élémentaires des marches d'escaliers.

Plus en détail

BAC. résultats. Les. et professionnel* session de juin 2004. Baccalauréat général, technologique* Baccalauréat

BAC. résultats. Les. et professionnel* session de juin 2004. Baccalauréat général, technologique* Baccalauréat les dossiers thématiques de l'académie de Rennes BAC résultats Les Baccalauréat Baccalauréat général, technologique* et professionnel* session de juin 29 481 candidats se sont présentés à l examen du baccalauréat

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

Dérivation : Résumé de cours et méthodes

Dérivation : Résumé de cours et méthodes Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers

Plus en détail

ÉPARGNE RETRAITE : QUELLES SOLUTIONS PRIVILEGIER AUJOURD HUI?

ÉPARGNE RETRAITE : QUELLES SOLUTIONS PRIVILEGIER AUJOURD HUI? ÉPARGNE RETRAITE : QUELLES SOLUTIONS PRIVILEGIER AUJOURD HUI? Depuis deux décennies, la question des retraites occupe régulièrement le devant de la scène publique. Or, aujourd hui, face à l ampleur des

Plus en détail

philippe.bogaert@nbb.be Fax: +32 22213106 Soumission des offres et des demandes de participation par voie électronique (URL):

philippe.bogaert@nbb.be Fax: +32 22213106 Soumission des offres et des demandes de participation par voie électronique (URL): 1/ 13 BE001 16/7/2015 - Numéro BDA: 2015-518857 Formulaire standard 2 - FR Bulletin des Adjudications Publication du Service Fédéral e-procurement SPF P&O - 51, rue de la Loi B-1040 Bruxelles +32 27905200

Plus en détail

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières Terminologie Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France»

SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France» SOCIETE NATIONALE DES MEILLEURS OUVRIERS DE FRANCE Organisatrice du concours national «Un des Meilleurs Apprentis de France» 16 rue Saint-Nicolas 75012 PARIS Tél. : 01 43 42 33 02 Mail : secretariat@mof.fr

Plus en détail

Banque nationale de Belgique Adresse postale: Boulevard de Berlaimont 14 Localité/Ville: Bruxelles Code postal: 1000

Banque nationale de Belgique Adresse postale: Boulevard de Berlaimont 14 Localité/Ville: Bruxelles Code postal: 1000 1/ 13 BE001 15/10/2012 - Numéro BDA: 2012-524088 Formulaire standard 2 - FR Bulletin des Adjudications Publication du Service Fédéral e-procurement SPF P&O - 51, rue de la Loi B-1040 Bruxelles +32 27905200

Plus en détail

BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT

BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT ECTS CM TD Volume horaire Semester 1 30 161 109 288 UE1 Economics 9 48 32 80 Microeconomics 1: Central/Essential/Major Principles 24 16 40 Macroeconomics 1:

Plus en détail

GT Urbanisme GEOPAL - N 2

GT Urbanisme GEOPAL - N 2 Direct ion t errit oriale Ouest GT Urbanisme GEOPAL - N 2 18 décembre 2014 GT URBA GEOPAL GT Urbanisme GEOPAL - N 2 Présentations - Tour de table Validation CR GTUG précédent... Retour sur l'enquête «Plateformes

Plus en détail

La culture financière des Français

La culture financière des Français C entr e de Recher c h e po u r l E t u d e et l Obser va t i o n des Co n d it io n s de V ie Département Conditions de vie et aspirations La culture financière des Français Etude réalisée à la demande

Plus en détail

ESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIÈR E

ESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIÈR E Fruits - Vol. 26, n 6, 1971-44 3 ESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIÈR E par, J.P. GAILLARD * ESSAI DE CONDUITE DE L'AVOCATIER EN HAIE FRUITIER E par J.P. GAILLARD (IFAC ) Fruits, juin 1971,

Plus en détail

MUNDO - NAMUR 98, RUE NANON 5000 NAMUR

MUNDO - NAMUR 98, RUE NANON 5000 NAMUR 4 3 2 1 PRO OUSTQU gainage pulsion / extraction vers groupe sur toiture T8 profil toiture existante T11 T6 escalier de secours en acier galvanisé limite parement existant tracé fenêtres existantes -0,10

Plus en détail

Rédaction d un Plan d affaires

Rédaction d un Plan d affaires Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire

Plus en détail

Demand Response, une brique importante du Smart Grid

Demand Response, une brique importante du Smart Grid Emplacement Co-branding Demand Response, une brique importante du Smart Grid Colloque OSE, 29/09/2011 SAS au capital de 854 000 euros Un modèle qui a fait ses preuves Energy Pool, Agrégateur de capacités

Plus en détail

Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2. Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model»

Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2. Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model» Calcul d une provision technique en assurance vie dans le cadre de Solvabilité 2 Le cas des contrats d épargne : les approches «markedto model» Luca De Dominicis formation Sepia 10 juin 2008 Sommaire 1.

Plus en détail

AES L1 - Economie Générale

AES L1 - Economie Générale AES L1 - Economie Générale 1 Equilibre sur un marché concurentiel Coordination par les prix Efficacité des allocations - L1 AES - Université de Tours, Arnold Chassagnon, PSE, Septembre 2012 PLAN DU COURS

Plus en détail

L oligopole ESCP 2012 2103

L oligopole ESCP 2012 2103 Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction

Plus en détail

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 % 23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

E4 SARL Cheval Bressan. Proposition de corrigé. Barème général

E4 SARL Cheval Bressan. Proposition de corrigé. Barème général E4 SARL Cheval Bressan Proposition de corrigé Barème général Détail Total DOSSIER 1 Travaux comptables 25 A. Enregistrement de factures (achats/ventes/import) 11,5 B1. Caractéristiques de l emprunt 4 B2.

Plus en détail

COURS D INDUSTRIES... Techniques d impression. Pascal Prévôt Fabien Rocher

COURS D INDUSTRIES... Techniques d impression. Pascal Prévôt Fabien Rocher COURS D INDUSTRIES......... G R A P H I Q U E S Techniques d impression Pascal Prévôt Fabien Rocher LES FORMATS DE PAPIER LES FORMATS DE PAPIER Introduction L imprimeur utilise du papier en bobine ou en

Plus en détail

Table des matières. I Mise à niveau 11. Préface

Table des matières. I Mise à niveau 11. Préface Table des matières Préface v I Mise à niveau 11 1 Bases du calcul commercial 13 1.1 Alphabet grec...................................... 13 1.2 Symboles mathématiques............................... 14 1.3

Plus en détail

Développements limités, équivalents et calculs de limites

Développements limités, équivalents et calculs de limites Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(

Plus en détail

Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois

Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois Modèle T8-18 W (60 cm) / 36 W (120 cm) / 58 W (150 cm) 830 (Blanc Chaud) / 840 (Blanc Deluxe) / 865 (Lumière du Jour) Les Tubes Fluorescents

Plus en détail

luc.delaisse@nbb.be Fax: +32 22213106 Soumission des offres et des demandes de participation par voie électronique (URL):

luc.delaisse@nbb.be Fax: +32 22213106 Soumission des offres et des demandes de participation par voie électronique (URL): 1/ 14 BE001 19/4/2013 - Numéro BDA: 2013-508146 Formulaire standard 2 - FR Bulletin des Adjudications Publication du Service Fédéral e-procurement SPF P&O - 51, rue de la Loi B-1040 Bruxelles +32 27905200

Plus en détail

OPTIMISATION À UNE VARIABLE

OPTIMISATION À UNE VARIABLE OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS?

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE

EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par

Plus en détail

AVIS DE RÉGLEMENTATION AUX MEMBRES LIGNES DIRECTRICES CONCERNANT LE CARACTÈRE ADÉQUAT DES PLACEMENTS

AVIS DE RÉGLEMENTATION AUX MEMBRES LIGNES DIRECTRICES CONCERNANT LE CARACTÈRE ADÉQUAT DES PLACEMENTS Personne-ressource : Ken Woodard Directeur, Communications et services aux membres Téléphone : 416 943-4602 Courriel : kwoodard@mfda.ca RM-0069 Le 14 avril 2008 AVIS DE RÉGLEMENTATION AUX MEMBRES LIGNES

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES PRIX AGRICOLES évolutions fondamentales, financiarisation, spéculation

LA DYNAMIQUE DES PRIX AGRICOLES évolutions fondamentales, financiarisation, spéculation LA DYNAMIQUE DES PRIX AGRICOLES évolutions fondamentales, financiarisation, spéculation Michel Aglietta Université Paris Nanterre, Cepii et Groupama-am Evolutions fondamentales: Distinguer tendance de

Plus en détail

Mesurer les altitudes avec une carte

Mesurer les altitudes avec une carte www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte Mesurer les altitudes avec une carte Les cartes topographiques ne sont pas uniquement une représentation plane de la surface

Plus en détail

IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le littoral

IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le littoral IGN Usages et besoins d informations géographiques sur le Septembre 2007 Nadine GARRABET Guillaume FHAL Véronique VERRIER 2, rue Antoine Etex- 94020 Créteil cedex Tel : 01 45 15 11 11 - Fax : 01 45 15

Plus en détail

2009-2010. Dossier de Commandite

2009-2010. Dossier de Commandite 2009-2010 Dossier de Commandite Description du projet Depuis plus de 25 ans déjà, des étudiants de Polytechnique, l équipe EPM Mud Bees, travaille, année après année, à la production d un nouveau prototype

Plus en détail

A-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI

A-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les

Plus en détail

System L ACTUAL. Quand NEWFORMS revisite un grand classique. System L, répondre à 100% des besoins bureaux. BUREAUX - RANGEMENTS - RÉUNION

System L ACTUAL. Quand NEWFORMS revisite un grand classique. System L, répondre à 100% des besoins bureaux. BUREAUX - RANGEMENTS - RÉUNION ACTUAL System L BUREAUX - RANGEMENTS - RÉUNION Quand NEWFORMS revisite un grand classique. System L, répondre à 100% des besoins bureaux. Le concept System L Une ergonomie parfaite Par sa forme en L, le

Plus en détail

Exercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :

Exercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) : Eercice a Développer les epressions suivantes : A-(-) - + B-0(3 ²+3-0) -0 3²+-0 3+00 B -30²-30+00 C-3(-) -3 + 3-3²+6 D-(-) + ² Eerciceb Parmi les epressions suivantes, lesquelles sont sous forme réduite?

Plus en détail

RÉPUBLIQUE ET CANTON DE GENÈVE Echelle des traitements 2015 Valable dès le 01.01.2015 Office du personnel de l'etat Indexation de 0.

RÉPUBLIQUE ET CANTON DE GENÈVE Echelle des traitements 2015 Valable dès le 01.01.2015 Office du personnel de l'etat Indexation de 0. 04 00 52 378.00 4 029.10 0.00 25.20 23.25 1.95 207.50 44.35 1.70 36.30 3 739.25 01 52 960.00 4 073.85 582.00 25.50 23.55 1.95 209.85 44.85 1.70 36.70 3 780.75 02 53 542.00 4 118.65 582.00 25.75 23.80 1.95

Plus en détail

La chaleur et le charme de notre tuile la plus méditerranéenne

La chaleur et le charme de notre tuile la plus méditerranéenne GRAND SUD Tuile mécanique à double courbe alliant design et fonctionnalité pour obtenir une couverture facile à monter, dégageant la beauté originale de la tuile canal Une tuile avec une grande variété

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT

Plus en détail

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006. (19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:

Plus en détail

Vers l excellence dans les services publics wallons

Vers l excellence dans les services publics wallons Vers l excellence dans les services publics wallons Les attentes des clients Plus simple Plus rapide Plus personnalisé Plus efficace 2 Les défis Crise budgétaire Perte de revenus Vieillissement du Personnel

Plus en détail

Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons

Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons Gestion de projet - contraintes, chevauchement, attente entre 2 tâches, jalons GÉRARD CASANOVA - DENIS ABÉCASSIS Paternité - Pas d'utilisation Commerciale - Pas de Modification : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/

Plus en détail

La C.A.O (Conception Assistée par Ordinateur). Le logiciel de C.A.O.

La C.A.O (Conception Assistée par Ordinateur). Le logiciel de C.A.O. CAO1 La C.A.O (Conception Assistée par Ordinateur). Aujourd'hui, lorsque des ingénieurs décident de concevoir un nouveau produit, ils n'utilisent plus de stylo. Les plans sont réalisés sur ordinateur.

Plus en détail