ANALYSE SÉMANTICO-DISCURSIVE DES COLLOCATIONS LEXICALES EN CORPUS SPÉCIALISÉ : LA BASE CONNAISSANCE-S
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- Flavien Boudreau
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1 ANALYSE SÉMANTICO-DISCURSIVE DES COLLOCATIONS LEXICALES EN CORPUS SPÉCIALISÉ : LA BASE CONNAISSANCE-S Estelle Dubreil et Béatrice Daille LINA FRE CNRS 2729 Université de Nantes France Résumé : L association terminologique préexistant au phénomène collocationnel est qualifiée d arbitraire et rapportée de ce fait à une question d usage linguistique conventionnel. Toutefois, en soumettant les collocations à une analyse sémantico-discursive, il s avère que cette association terminologique est parfois prévisible, puisque sémantiquement calculable sur la base des possibles argumentatifs présents dans la signification lexicale de la base, ce qui ouvre une perspective de description possible de leur principe de composition en termes de blocs d argumentation. Mots-clés : collocation épistémique, corpus spécialisé, linguistique de corpus, sémantique lexicale. 1. PROBLÉMATIQUE Le discours scientifique spécialisé (DSS) se présente comme le discours de la connaissance. Il tend à informer et est par conséquent considéré comme étant objectif (Mortureux 1985 ; Beaune 1988). Toutefois, ce postulat va à l encontre d un fondement théorique propre à la Sémantique des possibles argumentatifs SPA (Galatanu 2000, 2004, 2005), puisque ce modèle, à l interface entre la sémantique théorique et l analyse du discours, considère le langage général comme étant par essence évaluatif, c est-àdire porteur de visées subjectives par nature. Or, bien que singulier par ses préférences lexico-syntaxiques, le DSS recourt nécessairement au langage général pour se construire. Aussi, le point de départ de cette recherche consiste à tester l hypothèse très générale selon laquelle le DSS est empreint de subjectivité, et le cas échéant de relever et décrire les mécanismes sémantico-discursifs impliqués dans ce processus. Pour ce faire, nous avons constitué un corpus électronique spécialisé. L aspect informatisé de notre corpus et le recours nécessaire aux techniques d analyses liées à la linguistique de corpus, nous ont conduites à observer les phénomènes collocationnels. Traditionnellement, l association terminologique préexistant aux phénomènes collocationnels est qualifiée d arbitraire et rapportée de ce fait à une question d usage linguistique conventionnel. Pourtant, suite au dépouillement des données, il nous a paru nécessaire de rapprocher cet objet d un autre concept fondateur en SPA, le possible argumentatif. En effet, en soumettant les collocations à une analyse sémantico-discursive, il s avère que cette association terminologique est parfois légitime, prévisible puisque sémantiquement calculable ; ce qui remet en cause leur caractère arbitraire et ouvre une perspective d explication possible de leurs principes de composition en termes de blocs d argumentation. Après avoir défini ce que nous entendons par collocation et présenté le cadre théorique sémanticodiscursif retenu pour cette étude, nous expliciterons l intuition sous-jacente au rapprochement des deux concepts mobilisés. Nous détaillerons ensuite nos hypothèses de travail et exposerons la méthodologie générée pour les tester. À titre d illustration, nous procéderons à l analyse des collocations incluant connaissance-s et conclurons sur ces premiers résultats. 2. COLLOCATION D après Williams (2003), p. 5 : Le terme «collocation» a été introduit dans les années trente par J. R. Firth, membre fondateur de l école contextualiste britannique, pour caractériser certains phénomènes linguistiques de cooccurrence qui relèvent essentiellement de la compétence linguistique des locuteurs natifs (Firth 1957). Ce terme recouvre en fait des phénomènes linguistiques très variés relevant de la phonologie, pragmatique, sémantique, syntaxique et même statistique (van der Wouden 1997). La collocation est la plupart du temps définie comme une association syntagmatique restreinte trouvant sa place entre le 1
2 syntagme libre et le syntagme figé. Par exemple, en français un café noir est un café sans adjonction de lait et si café conserve sa signification habituelle, l adjectif noir prend un sens nouveau. D ailleurs, en espagnol, un café noir se traduira par un café solo. Du fait de leur caractère idiomatique et donc du problème qu elles posent à tous les apprenants d une langue étrangère, elles ont été décrites et modélisées par de nombreux lexicographes : citons par exemple le BBI Dictionary of English Word Combinaison (Benson et al. 1986), le Dictionnaire explicatif et combinatoire (Mel uk et al ). La collocation lexicale telle que définie par Haussmann (1997) est composée d une base et d un collocatif ; dans notre exemple ci-dessus, café est la base, noir est le collocatif. Elle possède un certain nombre de propriétés : récurrence, arbitraire et bonne formation syntaxique, qui ont été exploitées pour leur découverte en corpus (Daille et Williams 2001). La motivation sémantique des collocations selon Grossmann et Tutin (2003) repose soit sur des procédés sémantiques productifs, comme la métaphore, la comparaison ou la métonymie, soit sur des régularités sémantiques, par exemple affreux se voit associé un sens intensif en cooccurrence avec les noms de sentiments de polarité négative. 3. POSSIBLE ARGUMENTATIF Le Possible argumentatif (PA) est un concept pivot dans la théorie SPA auquel il donne d ailleurs son nom. Pour en mesurer la portée et l enjeu, nous exposons brièvement les fondements du modèle. La SPA se donne pour objectif de proposer une «description/représentation de la signification lexicale» (Galatanu 2004), basée simultanément sur des informations sémantiques (internes à la langue) et discursives (externes à la langue, donc contextuelles). La signification lexicale est entendue comme «une conceptualisation largement identique d un individu à l autre, [formant] une sorte de socle pour une intercompréhension réussie» (Kleiber 1999). Elle se présente donc comme un processus d abstraction concrétisé par une unité lexicale et visant une stabilisation du monde dans la langue. Du point de vue de la SPA, la description de la signification lexicale doit pouvoir rendre compte d une part, de la dimension évaluative du langage, par une représentation des potentiels argumentatifs des unités lexicales et de la portée axiologique associée, et d autre part, de la dimension dénotative du langage général, par la représentation du monde tel qu il est perçu et modélisé par et dans la langue. Dans cette optique, la SPA décrit la signification lexicale d un mot comme étant composée de trois strates : un noyau, des stéréotypes et des possibles argumentatifs. Le noyau est une entité sémantique, composée de traits nécessaires de catégorisation (TNC) et de prédicats abstraits. Les TNC rassemblent trois types d informations : la nature grammaticale du mot, ses caractéristiques modales et son orientation axiologique. Les prédicats abstraits correspondent à des primitifs sémantiques invariants (Putnam 1994). Les stéréotypes sont également des entités sémantiques. Ils correspondent à la déclinaison des prédicats abstraits du noyau par association avec d autres invariants (représentations), dans des blocs de signification argumentatifs posés comme naturels (du type : cause-effet, symptôme-phénomènes, butmoyen ). On parle de blocs d argumentation interne à la signification lexicale (Carel et Ducrot 1999). Les possibles argumentatifs sont des entités discursives. Ils correspondent à l association prévisible de deux unités lexicales liées par une relation d argumentation et calculable sur la base des enchaînements linguistiques que la signification lexicale est susceptible de générer en contexte. Plus précisément, il s agit de la concrétisation dans le discours de l association du mot avec l un des éléments de ses stéréotypes. On parle de blocs d argumentation externe à la signification lexicale (Carel et Ducrot 1999), puisque consommés dans le discours. Un bloc d argumentation externe représente donc l association, dans une structure argumentative, du mot dont on construit la signification lexicale avec l un des prédicats identifiés comme faisant partie de son argumentation interne. Nous exemplifions ci-dessous les trois strates de la signification lexicale avec le substantif colère (Galatanu 2004). Noyau : Traits Nécessaires de Catégorisation (TNC) Prédicat nominal féminin singulier Affectif et moral 2
3 Axiologique négatif Noyau 1 : penser à faire mal à soi-même ou à autrui Stéréotypes : Donc penser mal Donc mériter punition Donc vouloir vengeance Possibles argumentatifs : colère intérieure Noyau 2 : éprouver émotion-sentiment négatif violent Stéréotypes : Donc état psychique mauvais Donc état physique mauvais Donc agressivité Donc agir violemment Donc agir sans réfléchir Possibles argumentatifs : colère folle, violente colère De par le lien argumentatif posé, les PA sont par essence évaluatifs. Ils s organisent autour de deux faisceaux orientés respectivement vers l un ou l autre des pôles axiologiques, positif ou négatif. [1] Elle est intelligente, donc douée à l école. Activation d un PA axiologique positif, porté par la signification lexicale de l adjectif intelligente. [2] Il est lâche, donc inutile de compter sur lui en cas d attaque. Activation d un PA axiologique négatif, porté par la signification lexicale de l adjectif lâche. Les PA sont des entités discursives soumises aux caprices du discours, ce qui signifie que le discours influe sur les potentiels argumentatifs axiologiques. D après Galatanu (2005, à paraître), p. 11 : «Le noyau et les stéréotypes forment dans la SPA un dispositif de génération de séquences discursives argumentatives, «les Posssibles Argumentatifs», qui peuvent être activés dans les occurrences discursives, ou renforcées, voire interverties, par des phénomènes de contamination co- ou contextuelle.» [3] Il était en colère, donc il a frappé son ami. PA conforme à l orientation axiologique des stéréotypes du substantif colère. [4] Il était en colère, pourtant il a amorcé une réconciliation. PA contraire à cette même orientation axiologique. 4. CONCRÉTISATION DE LA COLLOCATION PAR UN POSSIBLE ARGUMENTATIF Partant de la définition de collocation au sens d Haussmann (1997), entendue comme toute séquence textuelle constituée de deux lexèmes dont l un conserve son sens habituel, syntaxiquement correcte et fréquente, et de la définition de PA, entendu comme l association prévisible de deux unités lexicales liées par une relation d argumentation et calculable sur la base des enchaînements linguistiques que la signification lexicale est susceptible de générer en contexte ; nous postulons qu une collocation correspond 3
4 potentiellement à la concrétisation d un PA dans le discours. Pour vérifier cette hypothèse nous avons mené une réflexion duelle, mêlant compromis théoriques et ajustements méthodologiques. Au niveau théorique, les compromis ont émergé de la confrontation des deux concepts mobilisés et se sont traduits par la formulation d un double paradigme. Soit la collocation repérée est la concrétisation d un PA dans le discours. [5] violente colère Dans la description de la signification lexicale de colère, on trouve associé au noyau, entre autres le stéréotype violent. Aussi, la collocation violente colère (et inversement colère violente) est-elle calculable sur la base des PA existants. Dans ce cas, on parlera de collocation argumentative et nous vérifierons qu elle est intrinsèquement axiologisée. Soit la collocation ne correspond pas à la concrétisation d un PA dans le discours. [6] colère rouge Dans ce cas, l association terminologique n est pas prévisible, on ne peut calculer (de façon évidente) rouge dans colère. On parlera alors de collocation inédite. En l absence de relation argumentative directe, la collocation inédite ne devrait pas être axiologisée, ce qui contredit la dimension évaluative du langage. Aussi, nous formulons une nouvelle hypothèse concernant l axiologisation des collocations inédites. Nous postulons qu il y a un relais pris par le contexte, c est-à-dire un processus évaluatif externe dû au discours. [7] Il faut intervenir quand la personne entre dans une colère rouge, afin de faire cesser l escalade de la violence. (Requête Google, 28/09/05) La présence dans le contexte d «escalade de la violence», nous permet de conclure que la collocation colère rouge possède une orientation axiologique négative. Naturellement, nous n excluons pas que la base puisse conserver son potentiel axiologique et le propager ainsi à toute la collocation. 5. MÉTHODOLOGIE Les ajustements évoqués au niveau méthodologique pour tester nos hypothèses se sont traduits par la création d un processus de validation pluridisciplinaire, mêlant linguistique de corpus et lexicographie Linguistique de corpus Nous utilisons le corpus électronique spécialisé TAL (N), représentatif de la communauté du Traitement automatique du langage naturel (Dubreil, 2004) pour mettre à jour les collocations. Ce domaine de pratique scientifique est dynamique en France. Les communications sont nombreuses, essentiellement écrites, ce qui satisfait nos besoins en analyses textuelles et offre une double perspective scientifique confortable. D une part, le regroupement d une quantité de données suffisante est possible, et d autre part, cela laisse espérer une certaine diversité des auteurs, permettant de décupler les possibles subjectivités discursives et d accéder à un panel lexical varié. En outre, l exploitation légale des documents sous la forme numérisée n a pas posé de problème ; les textes appartiennent à l association loi 1901 du domaine, l ATALA, et ont été délivrés sur autorisation. Le corpus TAL (N), conçu en 2003, comporte environ 1 million d occurrences sans la ponctuation. Il réunit 193 articles de recherche scientifique : 69 articles de revue TAL et 124 articles de conférence. Il est constitué de textes entiers exclusivement rédigés en français et relevant d un même genre-registre dit écrits scientifiques. Tous les textes appartiennent à une même période consécutive d une durée égale : la revue TAL , du vol au vol inclus et la conférence TALN, les actes de 1999 à 2003 inclus. Ce corpus a fait l objet d un étiquetage morphosyntaxique avec WinBrill et d une lemmatisation avec FLEMM. Toutefois, ces données ne sont pas nécessaires pour l analyse sémantico-discursive qui nous occupe actuellement, aussi, la consultation du corpus se fait sur les fichiers au format txt. Nous rappelons ici que l origine de ce travail prend elle-même la forme d une hypothèse volontairement trop générale (Dubreil 2005) consistant à tester si oui ou non, le DSS est empreint de 4
5 visées subjectivantes. C est pourquoi il nous a semblé pertinent d analyser prioritairement les unités lexicales liées aux modalités du jugement de vérité, c est-à-dire les mots appartenant à la zone dite épistémique, liée au SAVOIR. [8] savoir (substantif et verbe), connaître, connaissance (singulier et pluriel) Du point de vue linguistique de corpus, le protocole de validation de nos hypothèses de recherche se décompose en deux étapes : le repérage des unités lexicales épistémiques et le dépouillement des données. Le repérage des unités lexicales épistémiques Savoir étant le mot emblématique de cette zone modale, nous avons débuté nos analyses par lui, en tenant compte de son ambivalence grammaticale. Nous avons ensuite adopté une double démarche ascendante et descendante. Premièrement, pour couvrir le plus objectivement possible la zone épistémique, nous avons utilisé le Dictionnaire des synonymes développé par le laboratoire de linguistique de l université de Caen, le Crisco i, en quête des synonymes de savoir, que nous avons recherchés ensuite en corpus. La démarche descendante consiste à relever dans le corpus les mots appartenant à cette zone modale, sur la base de la liste de fréquence des mots qui le composent. Nous avons volontairement conservé, voire restitué pour chaque paradigme sémantique le substantif et le verbe associé. Outre le fait de pouvoir mener à terme une analyse contrastive si cela s avérait fructueux, cette démarche permet présentement de regrouper plus facilement les collocations entre elles. Nous considérons par exemple que connaissance lexicale et connaissance du lexique représentent deux variantes d une même collocation. Le dépouillement des données Le dépouillement des données se fait essentiellement à l aide du logiciel WordSmith Tools ii (Version 3.0). Il s agit d un logiciel d analyse lexicale, développé par Mike Scott depuis Il intègre de ce fait, un grand nombre de fonctionnalités (fréquences, concordances, mots-clés ) permettant de faciliter l analyse du comportement des mots et de leur utilisation au sein des textes. Sur la base des données recueillies, il convient d établir une série de critères fiables et stables pour juger de la pertinence des données nécessitant une analyse. Nous avons donc épuré nos données selon quatre critères : statistique, pertinence, lexical et terminologique. Critère statistique Nous avons dû préciser en premier lieu, notre acception de répétitif présente dans la définition de collocation. De façon arbitraire, nous l avons restreinte à : la cooccurrence de deux termes apparaissant au moins trois fois dans le corpus ; la cooccurrence de deux termes issus de trois articles différents ; la cooccurrence de deux termes employés par trois auteurs différents. Ces trois critères devant être simultanément remplis, ils garantissent selon nous l authenticité des candidats retenus, étant représentatifs des usages linguistiques de la communauté TAL. Nous avons donc retiré tous les candidats peu fréquents. [9] une connaissance détaillée ; la connaissance globale Critères de pertinence Conformément à nos hypothèses de travail, cette recherche porte sur les collocations lexicales, les seules à pouvoir former des blocs d argumentation axiologisés. Nous excluons de travailler sur les collocations grammaticales, constituées d un mot plein suivi d une unité subordonnée (verbe + prép. : s abstenir de ; nom + prép. : sentiment envers ; adj. + prép. : absent de). Nous avons donc retiré tous les candidats composés de mots grammaticaux. [10] connaissances de/du/des 5
6 Critère lexical Nous avons retiré toutes les lexies. Nous entendons par lexies, les expressions figées faisant l objet d une entrée lexicographique spécifique à laquelle est associée une définition particulière. De fait, ces entités ne partageant pas la même signification lexicale que l unité épistémique recherchée, elles ne peuvent se soumettre aux mêmes blocs d argumentation. [11] à ma/notre connaissance Critères lexicographiques De même que pour le critère lexical, le critère lexicographique impose d exclure les termes complexes associés à un domaine de pratique. Nous utilisons pour ce faire, deux dictionnaires en ligne, Eurodicautom et le Grand dictionnaire terminologique iii. Si le candidat considéré figure dans l un ou l autre des dictionnaires, il est exclu. En outre, nous recourons au besoin à la compétence linguistique des locuteurs de la communauté, qui se prêtent au jeu de l expertise. Nous avons donc retiré des termes comme : [12] base (s) de connaissance ; connaissance du monde ; extraction de connaissances 5.2. Lexicographie Concernant l aspect lexicographique, pour la construction de la signification lexicale (SL), le protocole consiste à prendre les définitions d un mot dans deux dictionnaires éventuellement de traditions différentes, mais d objectifs communs et surtout comparables (description d un même état de la langue). Nous ne retenons pour la construction du noyau et des stéréotypes que ce qui est commun aux différentes entrées. Nous utilisons pour cette étude le Lexis Larousse et le Grand Robert. La SL de connaissance varie selon que le terme est singulier ou pluriel. Description de la SL de connaissance au singulier. Noyau : Traits Nécessaires de Catégorisation (TNC) Prédicat nominal féminin singulier Épistémique Axiologique positif Noyau 1 : processus : acquisition de la représentation mentale Stéréotypes : Donc viser une compétence Donc étudier par la pratique en vue de maîtriser une compétence Possibles argumentatifs : connaissance de l anglais Noyau 2 : résultat : fait de savoir Stéréotypes : Donc impression, intuition, sensation Donc certitude, compréhension Donc expérience, pratique Possibles argumentatifs : connaissance intuitive ; profonde connaissance ; connaissance abstraite 6
7 Description de la SL de connaissances au pluriel. Noyau : Traits Nécessaires de Catégorisation (TNC) Prédicat nominal féminin pluriel Épistémique Axiologique positif Noyau : résultat : représentation (s) mentale (s) acquise (s) Stéréotypes : Donc posséder des savoirs Donc approfondir des savoirs Possibles argumentatifs : enrichir ses connaissances ; connaissances élémentaires ; ensemble de connaissances 6. RÉSULTATS Nous avons extrait les 723 occurrences du terme connaissance-s singulier et pluriel. Les collocations construites sur la base de connaissances au pluriel sont nettement plus nombreuses que les collocations construites sur connaissance au singulier, dans une proportion de 4 pour 28, indépendamment du nombre d occurrences. Les résultats pour connaissance au singulier nous ont montré qu à une exception près, toutes les collocations étaient de nature argumentative. Ex. : bonne connaissance, connaissance approfondie, connaissance particulière Dans tous les cas, la collocation conserve son potentiel axiologique positif. La seule collocation inédite trouvée concerne source-s de connaissance. Toutefois, le statut inédit de la collocation tient au fait que connaissance est employé au singulier. Au pluriel, la collocation devient argumentative. D ailleurs, on retrouve cette collocation dans sa version plurielle, avec une fréquence nettement plus élevée, 28 occurrences, contre 4 occurrences dans sa version au singulier. Aussi, sommesnous tentés de conclure que la collocation juste est source-s de connaissances. Les résultats pour connaissances au pluriel nous ont appris que toutes les collocations, là encore à une exception près, étaient de nature argumentative. Ex. : ensemble-s de connaissances, fondée sur des connaissances, utiliser des connaissances Là encore, dans tous les cas, la collocation conserve son potentiel axiologique positif. La seule collocation inédite initialement trouvée concerne acquisition de connaissances. Le statut inédit de la collocation tient à l incompatibilité entre le processus acquisition et le résultat connaissances. Toutefois, bien que fréquente, 15 occurrences, la collocation semble s apparenter davantage à un terme, représentatif d une technique associée à un domaine (acquisition de connaissances à partir de texte ; technique d acquisition de connaissance). 7. CONCLUSION La faible quantité de données observées pour cette présentation nous empêche de statuer définitivement sur la pertinence de toutes les hypothèses de recherche posées, mais nous encourage fortement à poursuivre le dépouillement du corpus. En effet, l analyse menée sur connaissance-s prouve l existence de collocations argumentatives épistémiques. Dans ce cas, la collocation est bien axiologisée, ici positivement, conformément à la polarité de connaissance-s. Ces données confortent notre précepte 7
8 général quant à la subjectivité du discours scientifique spécialisé et à son conformisme axiologique. Toutefois, l existence de collocation inédite reste hypothétique et avec elle la faculté de la base à conserver son potentiel axiologique et le principe d axiologisation extrinsèque par relais contextuel. De toute évidence, cette étude remet en cause le caractère considéré comme arbitraire des collocations et ouvre une perspective d explication possible de leur composition en terme de bloc d argumentation, par relation «sémantico-discursive» motivée. 8
9 Bibliographie Beaune (J.-C.), 1988 : La vulgarisation scientifique : l ombre des techniques, dans «Vulgariser la science : le procès de l ignorance», Coll. Milieux, sous la dir. de D. Jacobi. Benson (M.), Benson (E.), Ilson (R.), 1986 : The BBI Dictionary of English Word Combinations. Amsterdam, Benjamins, 2 e éd, Carel (M.) et Ducrot (O.), 1999 : Le Problème du paradoxe dans une sémantique argumentative, dans «Langue française», sept. 1999, p Daille (B.) et Williams (G.), dir., 2001 : Collocation : computational extraction, analysis and exploitation, dans «Worshop at the 39 th Annual Meeting and 10 th Conference of the European Chapter of ACL». Dubreil (E.) 2004 : Comment assurer la représentativité discursive d un corpus électronique spécialisé? L exemple du corpus TAL (N), communication orale, dans 1 er colloque Jeunes Chercheurs Col Doc 2004 «La Construction des observables en sciences du langage», Paris X Nanterre, avril Dubreil (E.), 2005 : Contraintes de constitution d un corpus spécialisé dédié à une analyse sémantico-discursive, dans 2 e colloque Jeunes Chercheurs Col Doc 2005 «Recueil des données en Sciences du langage et constitution de corpus : données, méthodologie, outillage», Paris X Nanterre, juin 2005 (à paraître). Firth (J.R.), 1957 : Papers in Linguistics Oxford, Oxford University Press. Galatanu (O.), 2000 : Langue, discours et systèmes de valeurs, dans Curiosités linguistiques, Suomela-Salmi éd., Université de Turku. Galatanu (O.), 2004, Sémantique des «possibles argumentatifs» et axiologisation discursive, dans Bouchard (I.), [s. d.] Représentation du sens linguistique II, Paris Louvain-la-Neuve, Duculot. Galatanu (O.), 2005 : Sémantique et élaboration discursive des identités. «L Europe de la connaissance» dans le discours académique, conférence plénière, dans Actes de la conférence internationale-cultural and cross-lingusitic Perspectives on Academic Discourse, May 2005, Unviersity of Turku, Finland, school of Classical and Romance Languages (à paraître). Grossmann (F.) et Tutin (A.), dir., 2003 : Les collocations : analyse et traitement, coll. Travaux de recherches en linguistique appliquée, Paris, Éditions De Werelt. Haussmann (F.J.), 1997 : «Tout est idiomatique dans les langues», dans M. Martins-Baltar (éd.), La locution entre langues et usages. Paris, ENS éditions, p Kleiber (G.), 1999 : «Problèmes de sémantique», dans La polysémie en question, Nancy, Presses Universitaires du Septentrion. Mel uk (I.), 1984, 1988, 1992, 1999 : Dictionnaire explicatif et combinatoire du français contemporain : recherches lexicosémantiques. Vol. I, II, III, IV. Montréal, Presses de l Université de Montréal. Mortureux (F.), 1985 : Linguistique et vulgarisation scientifique, dans Popularization of science. van der Wouden (T.), 1997 : Negative contexts, Routledge, London. Putnam (H.), 1994 : Le réalisme à visage humain, Paris, Armand Colin. Williams (G.), 1998 : «Collocational Networks : Interlocking Patterns of Lexis in a corpus of Plant Biology Research Articles», dans International Journal of Corpus Linguistics, 3 (1), Williams (G.), 2001 : Les réseaux collocationnels dans la construction et l exploitation d un corpus dans le cadre d une communauté de discours scientifique, Lille : Presses Universitaires de Septentrion. Williams (G.), 2003 : «Les collocations et l école contextualiste britannique», dans Grossmann (F.) et Tutin (A.) éd., Les collocations : analyse et traitement, coll. Travaux de recherches en linguistique appliquée, Paris, Éditions De Werelt 9
10 Notes i Cahier du Crisco, n 17, juillet ii Site web, iii Eurodicautom : Grand Dictionnaire Terminologique : 1
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