3. Les aciers (Alliages Fer + Carbone)
|
|
- Jean-Charles Petit
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 3. Les aciers (Alliages Fer + Carbone) Les aciers sont les métaux les plus répandus dans l industrie et la construction mécanique D une manière générale, on désigne ainsi les alliages Fer + Carbone Généralités Classification des alliages FER + CARBONE. On distingue : Le FER industriel, pourcentage de carbone < 0,05 %. On ne parle plus de fer mais d acier à très bas carbone. Les ACIERS d'usage courant, pourcentage de carbone allant de 0,05 % à 2 % Les FONTES, pourcentage de carbone allant de 2,5 % à 5 % L'augmentation du pourcentage carbone dans les aciers, augmente : la DURETÉ (H) la résistance à la RUPTURE (Rr) la LIMITE ÉLASTIQUE (Re) la résistance à la CORROSION la résistance à l'usure la TREMPABILITÉ (mise en solution du carbone, formation de CARBURES) Mais diminue : la MALLÉABILITÉ (PLASTICITÉ - DUCTILITÉ) la résistance aux chocs (RÉSILIENCE) la soudabilité D'où la nécessité de choisir un acier plus ou moins carburé selon que l'on désire réaliser : Résistance à l'usure : acier DUR (fort % carbone) Chaudronnerie ou emboutissage : acier DOUX (faible % carbone) Un peu d histoire La fabrication du fer remonte à 1700 avant JC par les Hittites. De cette époque jusqu à la fin du moyenâge, son élaboration consistait à chauffer ensemble des couches alternées de minerai et de bois jusqu à obtenir une masse de métal pâteuse qu il fallait marteler à chaud pour débarrasser de ses impuretés et obtenir du fer brut. Au XVe siècle découverte de la fonte avec l apparition des premiers hauts fourneaux : un métal ferreux à l état liquide permettant de créer des boulets de canon, des marmites, La fonte permet également de produire du fer en abondance grâce à un procédé d affinage qui brule le carbone contenu dans la fonte. En 1786, trois savants français, Berthollet, Monge et Vandermonde établissent la définition exacte du trio Fer-Fonte-Acier et le rôle du carbone dans leur caractéristiques. A la fin du XIXe siècle, la production d acier se développe avec la révolution industrielle, notamment grace aux convertisseur Bessemer et au procédé Thomas-Gilchrist. Au cours du XXe siècle, la production mondiale d acier passe de 28 millions de tonnes en 1900 à 60 millions en En 1940 cette production atteint 141 millions En 2004, la production est de 1057 millions de tonnes. 28
2 Influence des éléments d'addition (Autres métaux ou métalloïdes) : En dehors de la variation du pourcentage de carbone, on peut modifier les caractéristiques mécaniques et aptitudes technologiques des aciers par addition d'autres métaux dont les principaux sont, avec leurs principales influences : MANGANÈSE, augmente la limite élastique et la trempabilité NICKEL, la résistance aux chocs et à la corrosion (fort %) CHROME, la résistance à l'usure et à la corrosion SILICIUM, la limite élastique TUNGSTÈNE, la résistance à l'usure et à la chaleur MOLYBDÉNE, la résistance à l'usure et à la chaleur VANADIUM, la résistance à l'usure et aux déformations (TÉNACITÉ) L association de plusieurs éléments d addition entre eux permet de pondérer les effets de chacun. Par exemple, dans l alliage d acier nickel chrome, le nickel rend l acier inoxydable mais trop mou et le chrome rend l acier inoxydable mais trop dur. Une proportion convenable de chacun des deux composants permet d allier de bonnes caractéristiques mécaniques à des conditions de travail et d usinage correctes. 29
3 3.2. Identification des aciers La désignation des aciers a évolué ces dernières années et certains documents peuvent faire référence à des aciers nommés selon une ancienne désignation, aussi nous présentons pour information l identification des aciers selon les anciennes normes. Les normes applicables sont évidemment les normes actuelles Les anciennes normes Les aciers ont d abord été désignés selon leur ductilité : extra doux, doux, demi-doux, dur, Puis par leur résistance à la rupture Rr exprimée en hb (hectobar), les aciers de classe A Ensuite selon la limite élastique Re, les aciers de classe E Conversion Ainsi, un acier A37 est équivalent à un E24 1 hectobar = 10 Mpa Par la suite, la désignation a pris en compte la teneur des différents éléments. Pour les aciers non alliés : la teneur en carbone en pourcentage multiplié par 100 Deux séries en fonction de la pureté de l acier : Série CC : CC 10 : teneur en carbone de 0.10% CC 20 : teneur en carbone de 0.20% CC 35 : teneur en carbone de 0.35% Série XC : teneur en soufre et phosphore plus basse XC 10 : teneur en carbone de 0.09% XC 18 : teneur en carbone de 0.19% XC 38 : teneur en carbone de 0.38% Pour les aciers faiblement alliés : la teneur en carbone en pourcentage multiplié par 100, puis les éléments d alliage avec leur teneur multipliée par 4 ou 10 en fonction de l élément. Elément Symbole Facteur Chrome (Cr) C Cobalt (Co) K Manganèse (Mn) M 4 Nickel (Ni) N Silicium (Si) S Aluminium (Al) A Molybdène (Mo) D Niobium (Nb) Nb Soufre (S) F 10 Titane (Ti) T Tungstène (W) W Vanadium (V) V Exemple ; l acier 30 NCD15 contient 0.30% de carbone, 3.75% de nickel, du chrome et molybdène en plus faible teneur. 30
4 Pour les aciers fortement alliés : la désignation commence par Z, puis la teneur en carbone comme précédemment et les éléments d alliage sans facteur multiplicatif. Exemple ; l acier Z 15 CN 18 contient 0.15% de carbone, 18% de chrome et du nickel en plus faible teneur Les normes actuelles Les normes actuelles de désignation des aciers définissent les familles suivantes : Les aciers non alliés d usage général : Utilisés pour la construction soudée, l emboutissage, l ameublement, l électroménager, De type S pour un usage général de base De type E pour la construction mécanique La désignation de ces aciers comprend la lettre du type d acier suivi de la valeur de la limite élastique en Mpa (Re) S il s agit d un acier moulé, on précède la désignation de la lettre G Exemple ; S185 (anciennement A33), Re = 185 Mpa E295 (anciennement A50), Re = 295 Mpa GE295, acier moulé, Re = 295 Mpa Les aciers non alliés spéciaux : De type C Leur désignation comprend la lettre C suivie de la teneur en carbone multipliée par 100. S il s agit d un acier moulé, on précède la désignation de la lettre G Exemple ; C45, acier non allié comportant un taux de 0.45% de carbone GC22, acier moulé non allié comportant un taux de 0.22% de carbone 31
5 Les aciers faiblement alliés : Aucun élément d addition ne dépasse 5% La désignation reprend la teneur en carbone multipliée par 100, suivie des éléments d addition et leur pourcentage respectifs multiplié par un facteur spécifique. Elément Symbole Facteur Chrome Cr Cobalt Co Manganèse Mn Nickel Ni 4 Silicium Si Tungstène W Aluminium Al Bérylium Be Cuivre Cu Molybdène Mo Niobium Nb Plomb Pb 10 Tantale Ta Titane Ti Vanadium V Zirconium Zr Soufre S Cérium Ce Azote N 100 Phosphore P Bore B 1000 Exemple ; l acier 35NiCrMo16 contient 0.35% de carbone, 4% de nickel, du Chrome et du Molybdène en plus faible teneur. Les aciers fortement alliés : Un élément d addition atteint au moins la teneur de 5% Ils sont désignés par la lettre X, suivie du pourcentage de carbone multiplié par 100, puis de la désignation des éléments d addition et leur pourcentage respectif sans facteur multiplicateur. Exemple ; l acier X2CrNi 18-9 contient 0.02% de carbone, 18% de chrome et 9% de nickel 32
6 Ce qu il faut retenir sur la désignation des aciers Aciers non alliés d'usage général S + valeur Re ; exemple S185 E + valeur Re; exemple E295 Aciers non alliés spéciaux C + %tage carbone x100 exemple C35 Aciers faiblement alliés %tage carbonex100 + éléments d'addition + %tage x facteur exemple 35NiCrMo16 Aciers fortement alliés X + %tage carbone x éléments d'addition + %tage exemple X5CrNi17 12 Elément Chrome Cobalt Manganèse Nickel Silicium Tungstène Aluminium Bérylium Cuivre Molybdène Niobium Plomb Tantale Titane Vanadium Zirconium Soufre Cérium Azote Phosphore Bore Symbole Cr Co Mn Ni Si W Al Be Cu Mo Nb Pb Ta Ti V Zr S Ce N P B Facteur AIR FORMATION 740 chemin de Couloume SEYSSES T./F
7 3.3. Les traitements des aciers Les aciers ont un module de YOUNG à 210GPa, sensiblement identique quelque soit leur composition. Cependant les autres propriétés varient énormément en fonction de leur composition et des traitements auxquels ils ont été soumis Il est possible de modifier les propriétés des aciers en de plusieurs manières : Par les éléments d addition Par un traitement mécanique provoquant l écrouissage Par un traitement thermique Par un traitement de surface Traitements thermiques des aciers Préalable Les différentes phases des aciers L acier est un mélange formé par la dissolution de carbone dans le réseau cristallin métallique du fer. Il existe différentes phases de l acier qui présentent chacune des propriétés différentes. Ces propriétés sont liées notamment à la position du carbone dans la structure métallique du fer ; on parle de structure cubique à corps centré (CCC) ou cubique face centrée (CFC). Différence entre CFC et CCC? La compacité permet d évaluer le taux d occupation d un espace. Il existe un lien entre la densité et la compacité d une structure métallique. Les différentes phases à température ambiante sont les suivantes : Ferrite ou fer α ; il s agit d acier à très faible teneur en carbone, on peut dire du fer pur. Sa dureté est de 80 Hv. Sa structure est cubique à corps centré( CCC). Cémentite, ou carbure de fer ; c est un composé très dur (700 à 800 Hv) mais très fragile Perlite, il s agit d un agrégat formé de 89% de ferrite et 11% de cémentite, sa dureté est de 220 Hv. A haute température (voir diagramme plus bas), le fer α change de structure en fer γ cubique faces centrées (CFC), ce qui a pour effet de permettre une plus grande solubilité du carbone. La phase est la suivante : Austénite ; Certains éléments comme le manganèse, le Structure CCC La compacité d une structure cubique à corps centré est de 0.68 Structure CFC La compacité d une structure cubique faces centrées est de 0.74 Le réseau cubique faces centrées (CFC) est plus dense que le réseau cubique à corps centré (CCC). nickel ou l azote permettent grâce à une trempe d obtenir de l austénite à température ambiante. On parle d aciers austénitiques. A la suite du refroidissement de l acier, l austénite donne une nouvelle phase en changeant de structure. Martensite ; cette solution solide d insertion sursaturée de carbone dans le fer α a la même composition que l austénite initiale. Sa dureté est supérieure à 800 Hv. Bainite ; il s agit d un agrégat de plaquettes de ferrite et des particules de cémentites qui se forme lorsque le refroidissement est trop lent pour obtenir de la martensite et trop rapide pour obtenir de perlite. La Bainite est dure et facile à usiner. 34
8 Points de transformation des aciers selon ROOZEBOOM le diagramme de Le diagramme de Roozeboom permet de connaitre les phases présentes dans l acier en fonction de la température et du pourcentage de carbone. Ce diagramme ne représentee que les transformations des aciers qui interviennent uniquement dans l'état solide (en dessouss de 1145 ) En dessous des points A1 (720 ) : On obtientt une solution stable à froid (solution α) "MALLÉABLE" dont la constitution dépend du % carbone FERRITE ou PERLITE ou (FERRITE + PERLITE) ou (PERLITE + CÉMENTITE) Au-dessus des points A3 (720 C à 1145 C) : On obtient une solution stable ou le carbone se trouve dissout dans le fer (solution γ ou carbure de fer). On obtient un nouveau constituant l AUSTENITE. Entre les points A1 et les points A3 : C'est l'intervalle de température (plus ou moins important en fonction du % carbone) nécessaire à la transformation de la mise en solution. AIR FORMATION 740 chemin de Couloume SEYSSES T./F
Qu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailPour des Pas Extra Larges
Pour des Pas Extra arges Métrique Pour des Pas Extra arges jusqu à 25mm ou 1 tpi Unique pour des applications lourdes VKX-Nuance submicrograin Vargus Poche anti-rotation Support de plaquette adapté au
Plus en détailClassement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)
UDDEHOLM VANADIS 30 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en
Plus en détailExamen au Microscope Electronique à Balayage mettant en évidence les borures du Superplast 300.
ACIERS C ATA L O G U E 2 0 0 9-2 0 1 0 ALUMINIUM ALLIAGES CUIVREUX PRODUITS SIDÉRURGIQUES PLATS ET RONDS DE PRÉCISIONS COMPOSANTS L LQS Examen au Microscope Electronique à Balayage mettant en évidence
Plus en détailPERMA FRANCE S.A.S. Un partenariat unique depuis plus de 30 ans
FRANCE S.A.S. Un partenariat unique depuis plus de 30 ans La référence du soudage spécialisé Nos atouts Nos compétences en soudage, diagnostique et mise en chantier des applications Nos pôles de formation
Plus en détailClassement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)
UDDEHOLM VANADIS 10 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailETUDE DU PROGICIEL "ADC COUPE"
0 0 0 2 2 C ETUDE DU PROGICIEL "ADC COUPE" COLLECTION PRODUCTIQUE MÉCANIQUE N 22-C Étude du progiciel ADC-Coupe Ministère de l Éducation Nationale DESCO A10 Centre National de Ressources Productique Mécanique
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailUGIWELD TM, faites le vœu de l éternité
UGIWELD TM, faites le vœu de l éternité 02 SCHMOLZ + BICKENBACH GROUp Tout commence avec l acier : l acier dont vous, notre client, avez besoin pour réussir sur le marché. Un acier d une qualité particulière.
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailDELTA. Technologie XRF portable pour les applications PMI
Analyseur à fluorescence X DELTA Technologie XRF portable pour les applications PMI Identification des métaux et des alliages Contrôle et assurance qualité Sécurité et entretien Analyse exceptionnelle
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailChapitre 3 : Consommables arc
Chapitre 3 : Consommables arc Electrodes enrobées... 164 Baguettes de métal d'apport TIG... 192 Fils massifs - Fils fourrés - MIG/MAG... 213 Couples fils/flux pour l'arc submergé... 224 Lattes céramiques...
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailPlaques CDP CastoDur Diamond Plates
Pièces et solutions de surfaçage Plaques CDP CastoDur Diamond Plates Des performances durables... Plus fort, avec Castolin Eutectic Une protection active contre l abrasion et l érosion Réduire les coûts
Plus en détailRondelles ONDULÉES Rondelles ONDUFIL TM Rondelles BELLEVILLE Produits SPÉCIAUX
Rondelles ONDULÉES Rondelles ONDUFIL TM Rondelles BELLEVILLE Produits SPÉCIAUX Votre solution Ressort avec nos rondelles élastiques techniques Le concentré d énergie TM SOMMAIRE 4 INTRODUCTION À la poursuite
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailHISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars
ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars HISTAR Des qualités d acier innovant à haute limite d élasticité pour alléger les constructions ArcelorMittal Photo Library - Architect:
Plus en détailDOCUMENTATION TECHNIQUE SOMMAIRE
DOCUMENTATION TECHNIQUE SOMMAIRE Caractéristiques mécaniques des boulons, vis et goujons Caractéristiques mécaniques des écrous Couples de serrage Performances des modes d'entraînement Tableau de choix
Plus en détail4.14 Influence de la température sur les résistances
nfluence de la température sur la résistance 4.14 nfluence de la température sur les résistances ne résistance R, parcourue par un courant pendant un certain temps t, dissipe une énergie calorifique (W
Plus en détailPrincipe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.
Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailTransmission des données de la surveillance de l exposition interne au système SISERI Description du format de fichier
Transmission des données de la surveillance de l exposition interne au système SISERI Description du format de fichier Méthodologie Le format CSV est un format texte, les données sont séparées par des
Plus en détailLAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4
LAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4 LAITON A HAUTE RESISTANCE CuZn23Al4 DESIGNATIONS NORMALISEES AFNOR : [U-Z23A4] NF L14-78 : CuZn23Al4 DIN : 179 ANALYSE CHIMIQUE MOYENNE Zn : 2,/25, % Al : 3,5/5,% Mn
Plus en détailRoutes bien entretenues Financement assuré
Routes bien entretenues Financement assuré Mr. Leon Ramaromanana, Coordinator, Madagascar SOMMAIRE 1.ORIGINE / CREATION DU FER 2. CADRE INSTITUTIONNEL 3. CADRE OPERATIONNEL 4.TERMINOLOGIE 5. MECANISME
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailLISTE RÉCAPITULATIVE MATÉRIAUX ABRASIFS ET APPLICATIONS
56 LISTE RÉCAPITULATIVE MATÉRIAUX ABRASIFS ET APPLICATIONS 57 58 VUE D ENSEMBLE UTILISATION DU TABLEAU Dans ce chapitre, nous vous présentons tous les matériaux abrasifs de base avec leur caractéristiques.
Plus en détailPlatzhalter für Titel
Meules sur tige Platzhalter für itel I 1 Outils diamant et CBN Outils diamant et CBN 205 205 I 1 Meules sur tige Sommaire Entraînement Contenu Page Informations générales 3 L outil idéal en un clin d oeil
Plus en détailCommission juridique et technique
Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailLe plaisir du petitdéjeuner. 28 ~
le petit- déjeuner Le plaisir du petitdéjeuner. 28 ~ 29 ~ le petit-déjeuner CR-22 961010715 EAN-13: 8412788027698 Essence ~ Cafetière expresso. ~ Design innovant : version chocolat et aluminium, réservoir
Plus en détailSection XV METAUX COMMUNS ET OUVRAGES EN CES METAUX
Section XV METAUX COMMUNS ET OUVRAGES EN CES METAUX Notes. 1.- La présente Section ne comprend pas : a) Les couleurs et encres préparées à base de poudres ou paillettes métalliques, ainsi que les feuilles
Plus en détail*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
(19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
Plus en détailL'EXPERTISE DONT VOUS AVEZ BESOIN! SECO NEWS 2015-1 PRÉSENTATION DES NOUVEAUX PRODUITS
L'EXPERTISE DONT VOUS AVEZ BESOIN! SECO NEWS 2015-1 PRÉSENTATION DES NOUVEAUX PRODUITS Seco a lancé la technologie Duratomic en 2007. Cette approche révolutionnaire de concept de revêtements de plaquettes
Plus en détailAvis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone
Avis Technique 14/14-2041 Annule et remplace l Avis Technique 14/09-1511*V1 Flexibles comportant un tuyau en matériau thermoplastique revêtu d une tresse Flexibles de raccordement Flexible hoses Flexibel
Plus en détailPOUR MACHINES ÉLECTRO-PORTATIVES
1.1 DISQUES ABRASIFS AGGLOMÉRÉS POUR MACHINES ÉLECTRO-PORTATIVES SIDAMO propose une gamme complète de disques abrasifs agglomérés pour le tronçonnage sur machines électro-portatives des aciers, des inox,
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailL Industrie Nouvelle des Métaux Croissance, Volatilité et Consolidation
L Industrie Nouvelle des Métaux Croissance, Volatilité et Consolidation Les stratégies des producteurs Matinée - Débat L USINE NOUVELLE Maison de la Chimie Paris, le 16 Octobre 2007 1 Un nouveau paradigme
Plus en détailEléments mobiles du moteur Moteur 1/9
Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9 I Diagnostic des anomalies - Perte de compression ( par les segment ou par le piston ). - Consommation d huile ( remontée d huile dans la chambre ). - Bruits de fonctionnement
Plus en détailFiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire
Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire Mur en maçonnerie de blocs en béton cellulaire d épaisseur 30 cm. Conforme à la norme NF P 01-010 Novembre 2007 1/28 Sommaire Avant propos... 1. Caractérisation
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détailDétermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon
Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment
Plus en détailUtilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
département Aménagement et Développement Durables Réseau Scientifique et Technique Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailRégion du lac de Gras
E. Davey and W. Puznicki le 3 août 1997 Division de la gestion des eaux Affaires indiennes et du Nord canadien, Yellowknife (T. N.-O.) Résumé Dans ce rapport, on présente les résultats d'une étude sur
Plus en détailO v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s
Expertise globale de la maintenance des échangeurs thermiques à plaques O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s LE CENTRE DE MAINTENANCE
Plus en détailLES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE
LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur
Plus en détail483 A CLÉ À SERRAGE MAINTENU AVEC MÂCHOIRES LISSES 480 CLÉ SERRE-TUBES 90 MODÈLE SUÉDOIS
OUTIGE POMERIE CHUFFGE 483 CÉ SERRE-TUES À SERRGE MINTENU laquée rouge mâchoires et poignée forgées mâchoires striées traitées par induction pour plus de dureté 611781 117812 1,1/2 50 418 820 613076 130767
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détailTyp REA 120 Lit REA 200 Lit REA 300 Lit Capacité 120 l 200 l 300 l Dimensions Cuve (HxBxT)
Chaudière industrielle REA Standard - Entièrement en acier chrome nickel avec bain à l huile thermique - Robinet de purge - Aditec-display digital programmateur électronique de temps et de température
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailMicrostructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon
Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailOUTILLAGE MANUEL. Plomberie Outils spécifiques pour la plomberie. Clé serre-tube STILLSON ROTHENBERGER. Clé serre-tube en alliage ALUDUR ROTHENBERGER
Clé serre-tube STILLSON ROTHENBERGER Travail à une main "par cliquet", machoire mobile sur ressorts, autoblocante. Pré-réglage rapide du diamètre de tube par marquage sur la machoire mobile. Écrou de réglage
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailPôle de Dakar S IMUL ATIONS. 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation
FORMULAIRE ATELIER S IMUL ATIONS 1 Utiliser un taux d accroissement pour une simulation La projection de certaines variables se base sur une hypothèse de taux de croissance annuelle régulier et constant.
Plus en détailGuide du bon contrôle de fuite
Projet ZERO émissions et fuite de fluide frigorigène Guide du bon contrôle de fuite Traduit et adapté à la France par l www.afce.asso.fr Page 0 Guide du bon contrôle de fuite L Institut de Réfrigération
Plus en détailPROCÉDÉS DE SOUDAGE (MANUELS ET SEMI- AUTOMATIQUES)
Procédés de soudage (manuels et semi-automatiques) Chapitre 2 2 PROCÉDÉS DE SOUDAGE (MANUELS ET SEMI- AUTOMATIQUES) Les procédés de soudage présentés dans ce chapitre sont des procédés de soudage à l arc
Plus en détailEverything stays different
Everything stays different Manuel Français Manuel Contenu 1. Avant utilisation................ 3 2. Champ d application......... 3 3. Produits livrés.................. 4 4. Spécifications.................
Plus en détail> MISTERCUT A 30 T > A 30 S. 16 Disques abrasifs agglomérés Pour machines électro-portatives EN 12413. Tronçonnage acier.
16 Disques abrasifs agglomérés Pour machines électro-portatives EN 12413 > MISTERCUT A 30 T Coupe des métaux ferreux, aciers standard Bonne vitesse de coupe et longévité Très bon rapport qualité / prix
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailF = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailSYS-849: Techniques avancées de mise en forme
SYS-849: Techniques avancées de mise en forme Cours# 11: Mise en forme par coulage mécanique (Die Casting) Boîtier de connexion électronique en zinc Source: NADCA: North American Die Casting Association
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détailCFAO Usinage sur machine à commande numérique
CFAO Usinage sur machine à commande numérique Pour réaliser une pièce à l aide d une machine à commande numérique, on doit respecter les étapes suivantes : Dessin matriciel et dessin vectoriel : Matriciel
Plus en détailKASTOspeed: Scies automatiques de production à lame circulaire pour le débit économique de très grandes séries dans l acier et les non-ferreux.
KASTOspeed: Scies automatiques de production à lame circulaire pour le débit économique de très grandes séries dans l acier et les non-ferreux. Très grandes performances en un temps record: Scies automatiques
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailIndicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs. Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL
Indicateurs de ph Tests qualitatifs Tests semi-quantitatifs Tests rapides pour plus de 40 substances MACHEREY-NAGEL MACHEREY-NAGEL Bienvenue MACHEREY-NAGEL, entreprise indépendante, fondée en 1911, son
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailEN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs
EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel
Plus en détailNÜVOMC SERRURES MEUBLES ET ARMOIRES POUR LA MAISON ET LE BUREAU
NÜVOMC VERSATILITÉ SÉCURITÉ QUALITÉ SERRURES MEUBLES ET ARMOIRES POUR LA MAISON ET LE BUREAU GARANTIE À VIE SÉRIE 3000 CYLINDRE AMOVIBLE NÜVOMC SÉRIE 3000 COLLECTION CONVERTIBLE Cylindre amovible de NÜVO
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailCHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SOLAIRE
45 avenue de l amiral Courbet 59130 LAMBERSART tel : 03.20.93.79.94 fax : 03.20.93.79.95 e-mail : zenit@zenit.fr www.zenit.fr CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SOLAIRE LE CHAUFFE EAU SOLAIRE CESI L énergie solaire
Plus en détail