1. Introduction. Résumé

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1. Introduction. Résumé"

Transcription

1 Claroline, une plate-forme d enseignement et d apprentissage pour stimuler le développement pédagogique des enseignants et la qualité des enseignements : premières approches. Marcel Lebrun, Françoise Docq et Denis Smidts Institut de Pédagogie universitaire et des Multimédias (IPM) Université catholique de Louvain (UCL) Louvain-la-Neuve (Belgique) Résumé Dans le domaine des technologies éducatives, l hypothèse est souvent faite que les technologies de l information et de la communication (TIC) contribuent, catalysent, accélèrent le développement professionnel des enseignants et contribuent à la qualité des enseignements et des apprentissages. Le modèle d apprentissage proposé par Lebrun (2007) présente des facteurs intéressants pour jauger la qualité des apprentissages réalisés. Nous souhaitons apporter deux pièces relativement concrètes à ce puzzle. Ainsi, notre communication apportera des éléments de réponses aux deux questions suivantes : (1) La mise à disposition des enseignants d un outil technologique simple (Claroline) contribue-t-elle au développement pédagogique des enseignants ou fossilise-t-elle les pratiques? C est par les résultats d une étude portant sur les cinq dernières années d utilisation de la plate-forme que nous montrerons l évolution des usages des enseignants de modes d abord transmissifs (pédagogie traditionnelle) vers des modes davantage actifs. Peut-on en conclure un développement professionnel des enseignants accompagnés par les TIC? (2) La quantité d outils utilisés (la richesse du dispositif) traduit-elle une meilleure qualité du dispositif pédagogique mis en place par l enseignant? C est à partir d une vaste enquête auprès des enseignants et des étudiants quant aux perceptions de l apprentissage des uns et des autres que nous tenterons de répondre à cette question. Ces deux apports constituent une approche exploratoire mais concrète qui ouvre la porte à de nouvelles questions de recherche. 1. Introduction En Europe et dans le monde, les institutions d enseignement et de formation se préparent aux grands changements, subissent 1 (ou vont encore subir davantage) les effets des différentes réformes et de l européanisation, si ce n est de la mondialisation des politiques, des structures et des méthodes relatives à l enseignement et à la formation. Un étudiant de France ou de Navarre suivra bientôt, si nous n en prenons garde, son cursus - à distance et en ligne - dans des universités prestigieuses comme Berkeley ou Stanford! Aux formes traditionnelles inscrites dans le temps et dans l espace, se substituent progressivement (ou devront se substituer) des formes plus flexibles, plus dynamiques, plus individualisées plus centrées sur l apprenant (que certains appellent déjà Digital Native) et les compétences qu il doit développer dans son cursus et qui le préparent pour la vie professionnelle. 1 On peut aussi voir ces changements comme une occasion de revoir les enseignements et les programmes pour les rendre plus conformes à ce qui est attendu au niveau de «l âge de l information». 1

2 Dans cet ordre d idée, les technologies de l information et de la communication (TIC) sont souvent vues comme un auxiliaire précieux des nécessaires réformes. Mais, que seraient ces outils sans les mains et les cerveaux censés les piloter, les faire fonctionner Loin d être emportés par la marée technologique, les enseignants et les formateurs sont là, plus que jamais utiles, mais avec de nouveaux rôles : mettre à la disposition des étudiants des occasions où ils peuvent apprendre, construire des dispositifs pédagogiques orientés vers la construction des connaissances et des compétences par le «seul maître de l apprentissage» : le formé, l étudiant. Former les enseignants pour induire le renouveau pédagogique dans l enseignement et la formation, voici le défi. Parmi les différentes possibilités, la mise à la disposition des enseignants et des formateurs de services (centres de pédagogie du supérieur, services multimédias, ) et d outils (plate-forme, équipement informatique ) sont deux pistes intéressantes. Le lien entre outil et service est d ailleurs fort : certains outils relèvent d une telle complexité que l enseignant doit être épaulé par un service d experts techniciens. Par ailleurs, pour garantir des effets sur la pédagogie in situ (dans l amphithéâtre même si virtuel), il est nécessaire que l enseignant atteigne rapidement une véritable autonomie pour répercuter les valeurs ajoutées de l outil dans son propre dispositif de formation. C est ainsi que dans notre université (UCL), après une année d expérience avec une plateforme commerciale complexe, nous nous sommes rendus compte que l objectif d autonomie des enseignants ne pouvait être, facilement et rapidement, atteint. L idée de développer un outil plus adapté, plus facile à utiliser, plus favorable à l autonomie et à l émergence de nouveaux dispositifs pédagogiques se pointait à l horizon. 2. La plate-forme Claroline pour favoriser les apprentissages La question pédagogique fondamentale rejaillissait : comment mettre en place une méthode pédagogique, comment développer un outil (une méthode et un outil censés développer l apprentissage) sans avoir un «modèle» des facteurs (les éléments qui contribuent à faire, à rendre possible) d apprentissage. Nos travaux antérieurs (Lebrun, 2002 ; 2007) nous conduisaient à un modèle d apprentissage pentagonal basé sur les facteurs suivants : Comment motiver l étudiant? Quelles ressources lui fournir, comment l informer? Quelles activités lui proposer? Comment mettre en place les éléments d interaction? Quelles productions allaient devenir le signe de l apprentissage effectué? En termes technologiques (en éléments constitutifs d une future plate-forme, en fonctionnalités), cela donnait les exigences suivantes : - Sensibiliser l étudiant sur les compétences à atteindre, sur le dispositif, sur la valeur de la tâche, sur l intérêt de son engagement (Motivation) - Permettre la publication par le professeur d informations sur la discipline (notes de cours, ressources ) (Information) - Proposer des activités de construction des connaissances, de reconnaissance des acquis (Activités) - Offrir des outils permettant la collaboration dans l apprentissage (Interaction) - Permettre à l étudiant de transmettre, de publier son œuvre (Production) 2

3 C est sur ces bases qu allait se déployer la plate-forme Claroline, une entreprise qui remonte à environ 2001 et dont un des auteurs de cet article (M. Lebrun) est le père spirituel. C est sur elle que repose le service d enseignement en ligne de l UCL, icampus. Depuis, l équipe de développement (à l UCL d abord, bientôt rejointe par une équipe de l ECAM, un Institut Supérieur Industriel localisé à Bruxelles), inscrite actuellement dans un consortium international, n a cessé de travailler dans cette direction : viser l apprentissage, favoriser l autonomie des enseignants, conserver la simplicité initiale. Il s agissait d éviter «l acné technologique» qui sévissait sur certaines plates-formes (de plus en plus de boutons, de plus en plus de fonctionnalités, de plus en plus de complications qui rendent finalement difficiles les choses simples) et de rendre les fonctions de bases de plus en plus performantes et conviviales. C est ainsi que Claroline, une plate-forme facile à prendre en main, devrait contribuer à l autonomie technologique des enseignants en leur permettant de se consacrer à ce qui importe le plus : la construction de dispositifs innovants de qualité et l apprentissage des étudiants. C est ainsi encore que Claroline peut contribuer au renouveau attendu des systèmes d enseignement et de formation (Lebrun, 2005). Cette recherche sur l impact de l utilisation des plates-formes sur la pédagogie est originale. Morgan (2003) dans son étude déclarait : «There is little empirical evidence that course management systems actually improve pedagogy. Study findings suggest, however, that using a CMS does invite faculty to rethink their course instruction and instructional environment, resulting in a sort of - accidental pedagogy -». Pouvons-nous aller plus loin, en montrant empiriquement cette évolution de modes transmissifs vers des modes davantage interactifs ou incitatifs, vers une pédagogie plus centrée sur l apprenant? Pour étayer nos hypothèses, nous présentons deux études : - L observation de l utilisation, au cours du temps, des outils de la plate-forme par les enseignants. Nous avons en effet suggéré que la mise à la disposition des enseignants d une plate-forme simple à utiliser allait favoriser le développement progressif de nouvelles formes d enseignement. L hypothèse contradictoire est de dire que les enseignants allaient tout simplement reproduire les anciennes pratiques transmissives avec les nouveaux outils. - La perception par les étudiants de leur propre apprentissage. On dit souvent à raison mais trop vite que l outil ne fait pas tout, que c est la méthode qui importe, etc. Pourtant, dans l elearning, un dispositif riche technologiquement peut être le signe d un dispositif riche pédagogiquement (surtout si, comme nous l avons dit, les outils ont été créés pour favoriser l apprentissage). Est-ce que la perception des étudiants à propos de leur apprentissage dépend de la richesse technologique du dispositif construit par l enseignant? Il s agit là d un facteur important qui touche à la qualité perçue de l apprentissage. L hypothèse contradictoire est de dire que la perception des étudiants quant à la qualité de leurs apprentissages est indépendante des outils (et donc du dispositif mis en place). 3. Première hypothèse : le type d outils utilisés par les enseignants, un signe de l innovation pédagogique? 3

4 Claroline n impose pas une pédagogie particulière. Elle permet tout à la fois un soutien à l exposé traditionnel (par les outils «Documents et Liens», «Agenda»... par exemple), aux formes collaboratives d enseignement et d apprentissage (par les outils «Annonces», «Forums» ) et un «champ de manœuvre» pour des formes plus actives et interactives (par les outils «Travaux», «Exercices» ). Dans notre institution (comme dans bien d autres), les enseignants sont libres d utiliser tel ou tel outil de la plate-forme. Assiste-t-on à une migration des outils de transmission vers des outils qui soutiennent davantage l activité et l interactivité des étudiants? Dans notre recherche, le degré d utilisation des outils est mesuré par le nombre d objets ou de ressources que les outils activés contiennent et ce pour l ensemble des cours : les documents dans l outil «Documents», les items proposés dans les outils «Agenda» et «Annonces», le nombre de forums ouverts dans l outil «Forums». A titre d exemple, nous donnons ci-dessous nos derniers résultats (2007). Ces résultats concernent 2446 «cours» identifiés sur la plate-forme 2 au moment de la prise des informations. Les cases du tableau donnent le nombre de cours dans lesquels l outil actif en question (par exemple, «Documents») contient le nombre d objets en question (par exemple, il y a 3 documents dans l outil «Documents»). Tableau 1. Utilisation des outils de la plate-forme en 2007 Documents Description Agenda Nombre d objets ou plus >1 (2007) Annonces Forums Travaux Exercices Total Comme on le sait, les outils de icampus contiennent généralement un (1) document exemple qui n a rien à voir avec les «cours» proprement dit. C est pourquoi notre indicateur principal est compté par l intégrale des nombres relatifs au nombre de ressources plus grand que «1» (>1). 2 Cette notion mérite un éclaircissement. La notion de «cours» est très variable. Dans certains cas, l enseignant a juste déposé un seul document dans son «cours» sur la plateforme. Dans d autres cas, le «cours» représente tout un dispositif permettant à la fois l étude individuelle autonome et le travail en groupe à distance. 4

5 Ces résultats (>1) augmentent d année en année simplement par l augmentation globale du nombre de «cours», ceux-ci ayant quasiment doublé en 3 ans. Voici les mêmes résultats pour 2004 : Tableau 2. Utilisation des outils de la plate-forme en 2004 >1 (2004) L augmentation moyenne (environ un facteur 2 en 3 ans) devrait être proportionnelle au nombre de «cours» : 1200 «cours» recensés en 2004, 2446 ««cours» recensés en 2007). Pour pouvoir mieux comparer les accroissements relatifs (quel usage de l outil augmente relativement, quel usage de l outil diminue?), nous avons normalisé les résultats au total (la somme de chaque ligne devenant 100%). Nous avons également réalisé le rapport des nombres de ressources outil par outil entre 2004 et 2007 (en moyenne ce rapport devrait être d à peu près deux). Tableau 3. Utilisation des outils de la plate-forme en 2004 et 2007 (synthèse) Documents Description Agenda Annonces Forums Travaux Exercices Moyenne > (%) 32% 11% 12% 22% 13% 7% 3% > (%) 45% 15% 12% 13% 8% 5% 1% 2007/2004 1,53 +/- 0,09 1,57 +/- 0,18 2,19 +/- 0,23 3,59 +/- 0,33 3,59 +/- 0,43 2,65 +/- 0,41 4,96 +/- 1,49 2,15 Le graphique ci-dessous illustre ces résultats : 5

6 Figure 1. Evolution des usages entre 2004 et 2007 La densité de l utilisation des outils se réfère donc à la place prise (sur le total de 100%) par chacun des outils. Ainsi en 2004 (lecture sur l échelle de gauche), l outil «Document» occupait en moyenne sur tous les cours 45 % du total, l outil «Agenda» 12% pour un total de 100% : telles sont les barres des histogrammes présentés ci-dessus. Que ce soit pour 2004 ou pour 2007, on constate, comme dans la plupart des institutions qui recourent à ces technologies, la place prépondérante des outils d information Le magistral traditionnel se reproduit allègrement dans les dispositifs technologiques. Viennent ensuite les outils d interaction (outils «Annonces» et «Forums») et finalement les outils qui incitent les étudiants au travail plus personnel (outils «Travaux» et «Exercices»). Cette observation des statistiques d utilisation des outils de la plate-forme confirme les déclarations recueillies lors d une enquête réalisée en 2006 auprès des enseignants et des étudiants. Cette enquête les interrogeait sur les outils qu ils avaient utilisés (ou pas) sur la plate-forme (Docq, Lebrun et Smidts, 2008). Le trait continu sur la figure représente quant à lui l accroissement absolu (non plus ramené à 100%) des outils utilisés. L accroissement moyen est de l ordre d un facteur 2 (échelle de droite), ce qui représente simplement l accroissement du nombre de «cours». Ce qui est intéressant à mentionner sur la figure : - L accroissement relatif (en pourcent) des outils d interaction (annonces, forums) et de production étudiante (travaux, exercices) qui compense la diminution relative des outils de transmission (documents, liens) ; - La quasi stagnation si ce n est la diminution du nombre absolu des documents et liens (qui ont peu progressé entre 2004 et 2007, le rapport étant inférieur à 2) par rapport à l augmentation (plus grande que la moyenne) des autres outils. 6

7 La figure ci-dessous illustre ces variations en indiquant les barres d erreur relatives à ces variations entre 2004 et Figure 2. Rapport des usages des outils entre 2004 et 2007 En conclusion, on peut dire que la pédagogie mise en place sur Claroline semble progresser lentement vers des formes plus actives et interactives. Ces résultats sont compatibles avec les suppositions de Morgan (2003) qui annonce : «Faculty tend to first adopt the static content tools that let them post announcements, syllabi, and text and graphic content. Once they re more familiar with the system, they begin using the assessment, gradebook, and commnication tools». 4. Deuxième hypothèse : les perceptions des étudiants quant à l apprentissage, un signe d un apprentissage de qualité? La métacognition est un facteur d apprentissage. La manière dont les étudiants perçoivent le dispositif d enseignement (objectifs, méthodes, place des outils ) est liée à la qualité de l apprentissage (Noël, Romainville et Wolfs ; 1995). Nous avons proposé, à des étudiants volontaires (N=1179) qui utilisent Claroline, 26 propositions pédagogiques qui présentaient les valeurs ajoutées possibles de la plate-forme : «Par rapport à un cours où le professeur n utilise pas Claroline, dans quelle mesure êtes-vous d accord avec les changements suivants : - Plus d interaction entre les étudiants - Développement de la compétence en recherche documentaire - Ressources plus variées 7

8 - Apprentissage de l utilisation des TIC - Etudiants plus motivés - Plus d interaction avec le professeur -.» Communication présentée au colloque de l AIPU, mai 2008, Montpellier (France) La méthodologie, l analyse et les résultats de cette enquête sont détaillés dans Docq, Lebrun et Smidts (2008). Vu la proximité des préoccupations de ces deux approches, nous en présentons quelques résultats ici. Figure 3. Pourcentage des accords avec les propositions pédagogiques Les bâtonnets du diagramme donnent le pourcentage d étudiants qui ont répondu dans les catégories d accord suivantes : tafda : tout à fait d accord, pda : plutôt d accord, ppda : plutôt pas d accord, pdtda : pas du tout d accord. 8

9 L accord moyen (tafda + pda) avec ces propositions pédagogiques positives n est que de 38 %. Ce n est pas très élevé! En tête de liste (les accords les plus forts au-delà ou autour de 50%) : Plus d interaction entre les étudiants, le développement de compétences en recherche documentaire, plus de variété dans les ressources, plus de motivation des étudiants, plus d interaction avec le professeur Nous avons alors tenté de décomposer ce paramètre d accord avec les propositions pédagogiques en fonction du nombre d outils que les étudiants déclaraient avoir utilisés dans leurs «cours». Figure 4. Richesse du dispositif et perceptions des étudiants quant à l apprentissage En tentant de corroborer la richesse du dispositif sur Claroline (fréquence du nombre de fonctions utilisées) et l appréciation des étudiants quant aux propositions pédagogiques (accord sur les impacts pédagogiques proposés), nous avons obtenu les résultats suivants : - Le nombre de fonctionnalités (en histogramme) utilisées par les étudiants sur Claroline est généralement d au minimum 3 et la moyenne est de 7 à 8. - Le côté gauche de la gaussienne (quand il y a peu d outils utilisés) est surtout caractérisé par la présence massive d outils de transmission ; le côté droit de la gaussienne (quand il y a beaucoup d outils utilisés) est caractérisé évidemment par l apparition des usages d outils favorisant l activité ou l interactivité des étudiants. - L appréciation (pourcentage d accord moyen) des étudiants quant aux propositions pédagogiques est représentée par la fonction croissante (le trait). Une moyenne de 38% comme nous l avons dit avec une variation qui va de 20% environ (les étudiants qui expérimentent des outils essentiellement transmissifs) à près de 60% (des étudiants qui expérimentent des dispositifs avec des composantes interactives et actives). 9

10 Comme précédemment, la figure ci-dessous fournit les barres d erreur relatives aux pourcentages d accord moyen en fonction du nombre d outils utilisés. Figure 5. Pourcentage d accord moyen avec les propositions pédagogiques en fonction du nombre d outils utilisés. En conclusion, nous pouvons dire que les étudiants qui expérimentent des dispositifs riches sont plus enclins à se prononcer sur la valeur ajoutée de Claroline quant à l apprentissage. 5. Conclusions Nombreux sont les documents qui prétendent, souvent de manière triomphale, à un impact positif des technologies sur la qualité des enseignements et des apprentissages. Ils sont généralement bâtis sur la supposition que les utilisations efficaces des technologies, accompagnées dès lors de méthodes pédagogiques plus actives, devraient avoir un tel effet. Plus rares (inexistantes à notre avis) sont les productions scientifiques qui ont tenté d étayer cette supposition. Nous avons voulu contribuer à cette approche empirique à la fois au niveau des données recueillies et de la méthodologie mise en place. (a) Notre recueil de données sur les usages des outils de la plate-forme icampus a montré, au cours des années, un mouvement statistiquement valide entre des usages plus traditionnels basés sur la transmission vers des usages à caractère plus interactif ou plus incitatif. Ces études longitudinales devraient se déployer ailleurs et sur d autres plates-formes afin de consolider nos conclusions. (b) Mesurer l impact pédagogique d un tel outil est difficile. Nous nous sommes penchés ici sur la perception des étudiants quant à leur apprentissage, en nous basant sur les cinq dimensions du modèle d apprentissage que nous avons développé. Comment mesurer l impact sur l apprentissage sans disposer d un modèle d apprentissage? Même si ces perceptions restent peu évidentes (un pourcentage moyen d accord avec les propositions pédagogiques d environ 38%), nous avons montré qu elles 10

11 dépendaient de la richesse du dispositif pédagogique mis en place par l enseignant. Ici aussi, il serait intéressant de répéter ces mesures au cours du temps. Selon nous, une plate-forme riche en fonctionnalités pédagogiques (qui promeuvent les facteurs d apprentissage) mais simple à utiliser (caractère intuitif, convivialité) favorise les expériences de l enseignant voulu autonome. Il commencera sans doute par reproduire ses pratiques traditionnelles (en utilisant massivement les outils de diffusion de documents) mais petit à petit, il expérimentera les autres outils qui favorisent davantage l interactivité et l activité des étudiants. Il est important, dans cet ordre d idée, de mentionner également l impact des efforts institutionnels qui incitent les enseignants à aller vers l innovation pédagogique : encouragement à l innovation, promotion et valorisation des efforts pédagogiques Nous ne pouvons en effet séparer l effet de la plate-forme technologique de l environnement institutionnel dans lequel elle se situe. Cependant, les efforts pédagogiques des enseignants engendrent à leur tour une meilleure perception des étudiants quant à leurs apprentissages. Cette perception stimule et facilite l apprentissage, permet à l étudiant de mieux reconnaître son apprentissage et l encourage dans son apprentissage de l apprentissage. Références : Docq, F., Lebrun, M., Smidts, D. (2008). A la recherche des effets d une plate-forme d enseignement / apprentissage en ligne sur les pratiques pédagogiques d une université : premières approches. Revue internationale des technologies en pédagogie universitaire (soumis pour publication). Lebrun, M. (2002). Théories et méthodes pédagogiques pour enseigner et apprendre : Quelle place pour les TIC dans l'éducation? De Boeck (Bruxelles), 206 pages. Lebrun, M. (2005). elearning pour enseigner et apprendre : allier pédagogie et technologie. Academia-Bruylant (Louvain-la-Neuve), 269 pages. Lebrun, M. (2007). Quality towards an expected harmony: Pedagogy and technology speaking together about innovation. AACE Journal, 15(2), Morgan, G. (2003). Faculty Use of Course Management Systems. Research Study from the EDUCAUSE Center for Applied Research. Consulté le 15 avril 2008 sur Noël, B., Romainville, M. & Wolfs, J.L. (1995). La métacognition : facettes et pertinence du concept en éducation. Revue française de Pédagogie, 112,

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

SERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE

SERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE SERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE CATALOGUE DE FORMATION POUR LES ENSEIGNANTS DE USPC 2014-2015 Le service SAPIENS créé en janvier 2014 propose durant l année 2014-2015

Plus en détail

Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010

Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Catholique de Louvain (UCL) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président Mme Martine SIMONIS,

Plus en détail

L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité?

L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? 1 L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? Prof. Gérard CLIQUET Président de la CIDEGEF IGR-IAE, Université de Rennes 1, FRANCE L année

Plus en détail

1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS

1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS 1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS Parallèlement aux activités d échange et d organisation des rencontres et du séminaire thématique, nous avons réalisé durant les premières phases

Plus en détail

ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE D APPRENTISSAGE TIC PÉDAGOGIE APPRENTISSAGE ENA

ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE D APPRENTISSAGE TIC PÉDAGOGIE APPRENTISSAGE ENA ENVIRONNEMENT NUMÉRIQUE D APPRENTISSAGE TIC PÉDAGOGIE APPRENTISSAGE ENA Chantale Desrosiers Conseillère pédagogique TIC - Répondante REPTIC Personne-ressource à Performa Ce document présente au personnel

Plus en détail

Section 1. Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant?

Section 1. Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant? Section 1 Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant? Dieudonné Leclercq et Philippe Parmentier Réussir la première année est un défi majeur pour tout étudiant qui entame des études supérieures

Plus en détail

Plan stratégique 2015-2017. Horizon 2017

Plan stratégique 2015-2017. Horizon 2017 Service des bibliothèques et archives Plan stratégique 2015-2017 Horizon 2017 Mise en contexte L environnement dans lequel évoluent les bibliothèques universitaires est en mutation depuis plusieurs années.

Plus en détail

Un outil de communication et de Formation Agricole au service des jeunes ruraux

Un outil de communication et de Formation Agricole au service des jeunes ruraux Un outil de communication et de Formation Agricole au service des jeunes ruraux Tablette Verte Plan Contexte Présentation de la Tablette Verte Objectifs Consistance Avantages Contexte Une forte affluence

Plus en détail

Les services en ligne

Les services en ligne X Les services en ligne (ressources partagées, cahier de texte numérique, messagerie, forum, blog ) Extrait de l étude «Le développement des usages des TICE dans l enseignement secondaire», 2005-2008 SDTICE

Plus en détail

N 334 - SIMON Anne-Catherine

N 334 - SIMON Anne-Catherine N 334 - SIMON Anne-Catherine RÉALISATION D UN CDROM/DVD CONTENANT DES DONNÉES DU LANGAGE ORAL ORGANISÉES EN PARCOURS DIDACTIQUES D INITIATION LINGUISTIQUE A PARTIR DES BASES DE DONNÉES VALIBEL Introduction

Plus en détail

METIERS DES LANGUES ET CULTURES ETRANGERES

METIERS DES LANGUES ET CULTURES ETRANGERES Mention : METIERS S LANGUES ET CULTURES ETRANGERES Domaine : Spécialité : Volume horaire étudiant : Niveau : MASTER 2 année ARTS LETTRES LANGUES ET VEILLE DOCUMENTAIRE INTERNATIONALE M2 120 ES 120 h 48/78

Plus en détail

Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education

Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education Recherche-accompagnement de projet d innovation pédagogique et organisationnelle au sein du 2 ème degré professionnel de l enseignement secondaire

Plus en détail

LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT

LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT D ÉTABLISSEMENT POUR LES USAGES PÉDAGOGIQUES DU NUMÉRIQUE LETTRE DE MISSION ACADÉMIQUE Vous avez accepté d être le référent pour les usages pédagogiques du numérique de votre

Plus en détail

Le master en administration publique (MPA) à l IDHEAP : Une formation multidisciplinaire pour les directeurs d établissements scolaires

Le master en administration publique (MPA) à l IDHEAP : Une formation multidisciplinaire pour les directeurs d établissements scolaires Le master en administration publique (MPA) à l IDHEAP : Une formation multidisciplinaire pour les directeurs d établissements scolaires 1 Plan succinct de la présentation Pourquoi entreprendre une formation

Plus en détail

CLARODOC, projet Open Source de e-learning et e-working

CLARODOC, projet Open Source de e-learning et e-working CLARODOC, projet Open Source de e-learning et e-working Ing. P. DEKIMPE ir P. MERCENIER ECAM Bruxelles Claroline 1 est une plate-forme Open Source de formation ouverte et à distance qui est née à l UCL

Plus en détail

Quand le bâtiment va, tout va

Quand le bâtiment va, tout va Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Training On Demand. www.crossknowledge.com

Training On Demand. www.crossknowledge.com Training On Demand www.crossknowledge.com CrossKnowledge France 2 bis, rue Godefroy - 92817 Puteaux Cedex - France T : +33 (0)1 41 38 14 99 - F : +33 (0)1 41 38 14 39 Plus d informations : contact@crossknowledge.com

Plus en détail

MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS

MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine ministériel : Sciences humaines et sociales Mention : Information,

Plus en détail

Service d accompagnement pédagogique de l Université Sorbonne Paris Cité

Service d accompagnement pédagogique de l Université Sorbonne Paris Cité Service d accompagnement pédagogique de l Université Sorbonne Paris Cité CATALOGUE DE FORMATION POUR LES ENSEIGNANTS DE USPC 2014-2015 Le service SAPIENS créé en janvier 2014 propose durant l année 2014-2015

Plus en détail

Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment?

Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Mon enseignement, je l évalue, il évolue Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Lucie Mottier Lopez Université de Genève 13 mai 2013 IFRES, Liège lucie.mottier@unige.ch 1 Plan Un cadre pour penser

Plus en détail

Comment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain?

Comment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain? DOSSIER SOLUTION Solution CA Virtual Placement and Balancing Comment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain? agility made possible La solution automatisée

Plus en détail

POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?

POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,

Plus en détail

Deborah Arnold, Chef de projet Vidéoscop-Université Nancy 2, France

Deborah Arnold, Chef de projet Vidéoscop-Université Nancy 2, France Premiers résultats de l expérimentation européenne de la démarche et de l outil SEVAQ+ visant notamment à mesurer l efficacité des formations qui utilisent partiellement ou totalement les TICE. Deborah

Plus en détail

Apprendre avec les TICE? Projet de recherche PluriFormation (PPF) Une approche pluridisciplinaire Alain Mille Journées Eductice 14-15 mai 2009

Apprendre avec les TICE? Projet de recherche PluriFormation (PPF) Une approche pluridisciplinaire Alain Mille Journées Eductice 14-15 mai 2009 Apprendre avec les TICE? Projet de recherche PluriFormation (PPF) Une approche pluridisciplinaire Alain Mille Journées Eductice 14-15 mai 2009 Plan de l exposé Apprendre avec les TICE? Les questions qui

Plus en détail

MODALITES DE SUIVI DU PROJET ANNUEL DU MASTER 2 SOLUTIONS INFORMATIQUES LIBRES

MODALITES DE SUIVI DU PROJET ANNUEL DU MASTER 2 SOLUTIONS INFORMATIQUES LIBRES MODALITES DE SUIVI DU PROJET ANNUEL DU MASTER 2 SOLUTIONS INFORMATIQUES LIBRES Département Informatique UFR Sciences 2 Boulevard Lavoisier 49045 Angers Cedex 01 Auteur : Jean-Michel Richer Email : jean-michel.richer@univ-angers.fr

Plus en détail

COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION

COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION CIG Service Prestataire COMPTE RENDU DU QUESTIONNAIRE DE SATISFACTION Enquête effectuée du 1 er janvier au 31 août 2013 Madame Bara Responsable du Service Prestataire Janvier 2014 Version du 05/03/2014

Plus en détail

Mesurer le succès Service Desk Guide d évaluation pour les moyennes entreprises :

Mesurer le succès Service Desk Guide d évaluation pour les moyennes entreprises : LIVRE BLANC SUR LES MEILLEURES PRATIQUES Mesurer le succès Service Desk Guide d évaluation pour les moyennes entreprises : Choisir la meilleure solution de support technique et améliorer le retour sur

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les

Plus en détail

Offre Education 250 /an/école (htva)

Offre Education 250 /an/école (htva) Offre Education 250 /an/école (htva) Présentation de la société Société belge crée en 2005 par Fabien Pinckaers 4 sites Belgique: Grand-Rosière : HQ R&D Belgique: Bruxelles : Sales & Marketing USA Bureau

Plus en détail

Réseaux sociaux d'entreprise

Réseaux sociaux d'entreprise Réseaux sociaux d'entreprise quels outils pour quels usages? Karim Manar Product Manager Microsoft France kamanar@microsoft.com La réalité du collaboratif dans l'entreprise Le nouveau monde du travail

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

Cet exposé s intègre dans les travaux développés par une Equipe en Projet INRP-IUFM,

Cet exposé s intègre dans les travaux développés par une Equipe en Projet INRP-IUFM, 15 Les nouvelles technologies et les stagiaires IUFM : une appropriation mal contrôlée Philippe Le Borgne IUFM de Franche-Comté philippe.leborgne@fcomte.iufm.fr PRÉSENTATION Cet exposé s intègre dans les

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales

Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales La fonction commerciale a évolué vers une personnalisation de l offre et de la relation client ainsi qu au développement des services

Plus en détail

Direction des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal

Direction des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal Direction des bibliothèques Sondage Ithaka S+R Questionnaire français Université de Montréal Décembre 2014 Modules retenus Découverte Activités de recherche numérique Compétences informationnelles des

Plus en détail

Catalogue de formations

Catalogue de formations Catalogue de formations 2011 Cher membre, cher sympathisant, Comme vous le savez peut-être déjà, les équipes d Ingénieurs Sans Frontières vous offrent la possibilité de vous investir à travers une grande

Plus en détail

Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76)

Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) Synthèse du «Schéma Directeur des Espaces Numériques de Travail» A l attention du Premier degré (doc réalisé par Les MATICE 76) 1. Qu est-ce que le SDET : schéma directeur des espaces numériques de travail?

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

Présentation du Progiciel de Gestion Intégré

Présentation du Progiciel de Gestion Intégré Présentation du Progiciel de Gestion Intégré Formation STMG 2012 Introduction Définition d un PGI Place du PGI en STMG Exemple de PGI : Premier contact avec une courte démonstration basée sur EBP Openline

Plus en détail

Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude

Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Programme de bourses de recherche Amy Mahan pour évaluer l impact de l accès public aux TIC Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Table des matières À propos la Question

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

MANUEL DU BLENDED LEARNING

MANUEL DU BLENDED LEARNING MANUEL DU BLENDED LEARNING ÉDITION 2014 www.360learning.com SOMMAIRE Définition... 4 Pourquoi proposer du Blended Learning à ses clients... 5 Les phases du Blended Learning... 7 9 arguments pour vendre

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

FICHE DE POSTE. Date de rédaction : 20/02/15. Argumentaire général

FICHE DE POSTE. Date de rédaction : 20/02/15. Argumentaire général UNIVERSITE LYON 2 (LUMIERE) Référence GALAXIE : 4217 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : F002 Corps : Maître de conférences Article : 26-I-1 Chaire : Non Section 1 : 71-Sciences de l'information

Plus en détail

chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE

chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE 8 Chapitre 1 L engouement pour les formations en management, au sein des écoles

Plus en détail

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de

Plus en détail

LEARNING EVERYWHERE 1

LEARNING EVERYWHERE 1 1 LEARNING EVERYWHERE Un contexte de travail qui évolue La mondialisation et la technologie ont augmenté la quantité et la rapidité des flux d informations personnelles & professionnelles que nous devons

Plus en détail

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis Avis n 2010/05-10 relatif à l habilitation de l École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) à délivrer des titres d ingénieur diplômé admis par l état Objet : G : accréditation et admission par l'état

Plus en détail

Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique

Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Url : http://www.banqoutils.education.gouv.fr/index.php Niveau : GS au Lycée Conditions d'utilisation : Pas d'inscription nécessaire. Format des ressources

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison

Plus en détail

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti Hamid Mohamed Aden, Directeur du CRIPEN, Djibouti Xavier Roegiers, Professeur à l Université de Louvain, Directeur

Plus en détail

Présentation de l étude et résultats principaux

Présentation de l étude et résultats principaux Première étude conduite par Telecom Ecole de Management Présentation de l étude et résultats principaux Telecom Ecole de Management a conduit une première étude sur l évolution des compétences des salariés

Plus en détail

L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE

L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE N 198 PETREIN Olivier L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE Introduction L'emploi des Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication

Plus en détail

Concevoir et déployer un data warehouse

Concevoir et déployer un data warehouse Concevoir et déployer un data warehouse Ralph Kimball Éditions Eyrolles ISBN : 2-212-09165-6 2000 2 Le cycle de vie dimensionnel Avant d étudier de plus près les spécificités de la conception, du développement

Plus en détail

Intervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique

Intervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique Intervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique Rodica AILINCAI, doctorante, Laboratoire «Éducation et Apprentissages», Université Paris 5 René Descartes Annick WEIL-BARAIS,

Plus en détail

Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010

Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010 Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université de Liège (ULg) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président, M. Mihai COMAN, M. Frank PEETERS,

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette

Plus en détail

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES

UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,

Plus en détail

Theme Sensorial marketing, from stores to Internet : retailers and sensorial marketing integration in multichannel distribution management.

Theme Sensorial marketing, from stores to Internet : retailers and sensorial marketing integration in multichannel distribution management. Les enseignes spécialisées et l intégration du marketing sensoriel dans l approche multicanale de leur distribution. Fanny NOYELLE Année Universitaire 2007 / 2008 ESUPCOM Lille Directeurs de mémoire :

Plus en détail

Préparation de la visite. Visite symbolique et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e (collège) Visites éducatives de la Sagrada Família

Préparation de la visite. Visite symbolique et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e (collège) Visites éducatives de la Sagrada Família Visites éducatives de la Sagrada Família Préparation de la visite. Visite et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e () 1 0. À la découverte de l église La Sagrada Família ouvre ses portes au regard

Plus en détail

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

Le nouveau portail Internet de la Fondation Mohammed VI. Dossier de presse

Le nouveau portail Internet de la Fondation Mohammed VI. Dossier de presse L interactivité et l échange, fil conducteur du portail La formation en ligne au profit d un million de bénéficiaires Un nouveau mode de conseil et de prévention Sanitaire L assistance immobilière en ligne

Plus en détail

Bienvenue à l UCL, dans une

Bienvenue à l UCL, dans une Bienvenue à l UCL, dans une des 9 universités de la Communauté française des 3300 universités de l Union européenne des 4000 universités européennes (4194 aux USA) des 17000 universités dans le monde Bologne

Plus en détail

LES BASES DU COACHING SPORTIF

LES BASES DU COACHING SPORTIF LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE

Plus en détail

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013

Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table

Plus en détail

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris

Plus en détail

Liberez votre potentiel COURS PROGRAMME 2014

Liberez votre potentiel COURS PROGRAMME 2014 Liberez votre potentiel R COURS PROGRAMME 2014 Table des matières À propos de Evolia Training Page 1 A propos de nos services Page 2 Témoignages Page 3 Biométrie Consultance et Formation en Biométrie Page

Plus en détail

L'évaluation des compétences comportementales

L'évaluation des compétences comportementales L'évaluation des compétences comportementales par le 360 degrés La transformation d une pratique d entreprise en une pratique pédagogique, dans une école de commerce Lucie Bégin 1, Antoine Véniard 2 1

Plus en détail

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs

Plus en détail

DROIT-ECONOMIE-GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT ADMINISTRATION DES ENTREPRISES

DROIT-ECONOMIE-GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT ADMINISTRATION DES ENTREPRISES Niveau : MASTER année Domaine : Mention : DROIT-ECONOMIE-GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT M Spécialité: ADMINISTRATION DES ENTREPRISES 120 ECTS Volume horaire étudiant : 362 h 90 h h h h h cours magistraux

Plus en détail

Résultats de l enquête EPCI

Résultats de l enquête EPCI Sondage Résultats de l enquête EPCI Intitulé du sondage : Les EPCI françaises et Internet Intranet, Extranet Référence : 02SD421 Destinataire(s) : Répondants à l enquête Version : 1.0 Date : Octobre 2002

Plus en détail

UNIVERSITE BORDEAUX - MONTAIGNE. Projet HK_Lime

UNIVERSITE BORDEAUX - MONTAIGNE. Projet HK_Lime UNIVERSITE BORDEAUX - MONTAIGNE INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE Département MMI (Métier du Multimédia et de l Internet) Projet Tuteuré Deuxième Année Projet HK_Lime Etudiants: Alexandre Lacombe Jimmy

Plus en détail

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP

APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective

Plus en détail

COLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011

COLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières

Plus en détail

Janvier 2015. Enquête CLCV Assurances et sinistres

Janvier 2015. Enquête CLCV Assurances et sinistres Janvier 2015 Enquête CLCV Assurances et sinistres 1 Synthèse Au cours du deuxième semestre 2014, nous avons réalisé une enquête auprès de 442 assurés ayant subi un sinistre automobile ou habitation aux

Plus en détail

LES ENJEUX DE L ADAPTATION DE LA FORMATION UNIVERSITAIRE AUX IMPÉRATIFS DE LA SÉCURITÉ SANITAIRE DES ALIMENTS

LES ENJEUX DE L ADAPTATION DE LA FORMATION UNIVERSITAIRE AUX IMPÉRATIFS DE LA SÉCURITÉ SANITAIRE DES ALIMENTS 20 ème Session du CCAFRICA Yaoundé, Cameroun, 29 janvier - 1 er Février 2013 LES ENJEUX DE L ADAPTATION DE LA FORMATION UNIVERSITAIRE AUX IMPÉRATIFS DE LA SÉCURITÉ SANITAIRE DES ALIMENTS Robert NDJOUENKEU

Plus en détail

Présentation de notre solution de formation en ligne

Présentation de notre solution de formation en ligne English for your future http://english.newhorizons.com English Language Program Synonyme de flexibilité, efficacité, choix et réussite. Présentation de notre solution de formation en ligne L approche individuelle

Plus en détail

majuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot

majuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot majuscu conjugaison >>>, L orthographe singulier syllabe virgule mémoire lettres et son enseignement graphie suffixe usage accent ; écrire féminin temps voyelles mot point Renforcer l enseignement de l

Plus en détail

1. Introduction : des technologies pour enseigner aux technologies pour apprendre

1. Introduction : des technologies pour enseigner aux technologies pour apprendre APPRENDRE EN LIGNE SUR ICAMPUS Page 1 sur 9 Thomas De Praetere et Marcel Lebrun Institut de pédagogie universitaire et des multimedias (IPM) Université Catholique de Louvain à Louvain-la-Neuve (UCL) Mots-clés

Plus en détail

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence)

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence) Le 27 juillet 2011 Affiché sur le site Web : http://www.ifac.org/ Monsieur David McPeak Directeur technique Conseil des normes internationales de la formation comptable International Accounting Education

Plus en détail

portrait d un Cabinet d Avocats

portrait d un Cabinet d Avocats portrait d un Cabinet d Avocats 2-3 il parle avec le regard droit des gens intègres, la liberté des érudits et l assurance que donne la noble curiosité. Il ignore la hâblerie et tend l oreille avec un

Plus en détail

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit

Plus en détail

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de

Plus en détail

V-2-2 Une pédagogie active : apprendre par l expérimentation et la recherche

V-2-2 Une pédagogie active : apprendre par l expérimentation et la recherche 114 V-2-2 Une pédagogie active : apprendre par l expérimentation et la recherche Développer la créativité des élèves, c est leur permettre de «faire», d expérimenter, d oser Les études montrent que ce

Plus en détail

Le technicien porte un regard de spécialiste sur l instrument. De par sa formation et, à l inverse du musicien son approche n est pas subjective.

Le technicien porte un regard de spécialiste sur l instrument. De par sa formation et, à l inverse du musicien son approche n est pas subjective. L analyse technique Le technicien porte un regard de spécialiste sur l instrument. De par sa formation et, à l inverse du musicien son approche n est pas subjective. L expertise Déterminer précisément

Plus en détail

Scénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina

Scénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître

Plus en détail

DEES COMMUNICATION DEESCOM

DEES COMMUNICATION DEESCOM Fonction DEES COMMUNICATION DEESCOM Diplôme Européen délivré par la Fédération Européenne des Ecoles 1 ; www.fede.org NIVEAU BAC+3 Le DEESCOM prépare les étudiants aux fonctions de chef de produit junior,

Plus en détail