CHRONIQUES ET COMPTES RENDUS 305
|
|
- Delphine St-Louis
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHRONIQUES ET COMPTES RENDUS 305 pentamètre semble corrompu, et je serais tenté de le rectifier ainsi : «...ad quos, / discit qui doceat, dicere quisque uelit», avec un jeu sur discere/docere/dicere. Mais il se peut qu une future identification de la source condamne cette hypothèse de travail. t. 2, p. 12-3, : «Exultabit Spiritus tuus in deo salutari tuo, uescans {coni. G. Dinkova-Bruun, uacans uel uocans codices) et uidens quam suauis est dominus». L éditrice a cherché à renforcer le parallèle - indiscutable - avec Ps 33, 9 : «Gustate et uidete quoniam suauis est dominus». Mais uescans pour uescens est un barbarisme. La leçon correcte est uacans, qui, associé à uidens, fait écho à Ps 45, 11 : «Vacate et uidete quoniam ego sum deus». t. 2, p. 190 v. 853 : «Certat atrox canis (coni. G. D.-B., cane codd.), sed prolato pane canina / reprimit ora Petrus...». La correction viole la métrique. Cane est acceptable, avec valeur d ablatif de moyen. t. 2, p. 215 v : l adjectif signifiant de Nîmes est normalement Nemausensem, non Nemansensem. t. 2, p. 254 v : «Eius tristicia (leticia O) nil tristius esse uidet / leticiaque (coni. G. D.-B., tristiciaque BO) sua lecius esse nichil. / Iste loquendo silet loquiturque silente, nec eius / pes citus aut tardus, sed moderatus erat». Ce passage est fondé sur des commutationes (ou antimetabolai), reposant elles-mêmes sur des oxymores (loquendo silet, loquitur silente). Le premier distique doit donc être lu ainsi : «Eius leticia nil tristius esse uidet / tristiciaque sua lecius esse nichil». Le modèle en prose du poète, c est-à-dire la Vita Maurilii XXVIII 141 (BHL 5731, éd. B. Krusch, dans MGH, Auct. ant., IV/2, p. 100) s inspirait de Jérôme, Epist. 24, 5 : «Nihil illius seueritate iocundius, nihil iocunditate seuerius, nihil risu tristius, nihil tristitia suauius... Sermo silens et silentium loquens, nec citus nec tardus incessus...» Mais il serait injuste de terminer sur des critiques. La tâche de publication était particulièrement difficile: certains textes étaient transmis par un seul manuscrit ; d autres étaient remplis de petites macules. Les éditeurs ont dû intervenir des centaines de fois, avec compétence et, dans l immense majorité des cas, à bon escient. François D o lb e a u Isidoro di Siviglia, Etimologie libro XIII De mundo et partibus. Edizione, traduzione e commento a cura di G. G asparotto, Paris : Les Belles Lettres, 2004 (Auteurs latins du Moyen Age), x liii p. Le savoir ne se construit évidemment pas de façon cumulative ; il y a des modifications dans les questionnements et des changements dans les méthodes. Mais un autre phénomène intervient parfois de façon subreptice, qui peut aboutir à une diminution du stock des connaissances. Il arrive en effet qu une partie des acquis scientifiques d une époque se perde par incurie et, lorsque des travaux d édition sont construits sur de telles bases et qu ils présentent par ailleurs les signes extérieurs - rhétoriques - de la scientifiche, le risque est fort qu ils entraînent une régression définitive. C est le cas de l édition récente du livre XIII des Étymologies dans lequel Isidore de Séville, associant cosmographie et géographie, traite en 22 chapitres de l univers, des cieux et des météores, enfin des eaux terrestres.
2 306 PATRICK GAUTIER DACCHÉ Écartons d emblée quelques erreurs et interprétations abusives. Des présupposés anachroniques empêchent de comprendre les caractères spécifiques de la «géographie» isidorienne (les deux ouvrages généraux cités en passant sur cette question sont périmés). Ainsi, les notions connexes de «continent» (p. xx et passim) et de «globe terraqué» (n. 213, p. 97), élaborées au XVIe siècle, ne sauraient s appliquer durant l Antiquité et le haut Moyen Age où dominait sans partage la théorie des éléments emboîtés dans des sphères distinctes et contiguës. Contrairement à ce qui est affirmé, les climata ne se définissent pas comme les «inclinaisons du ciel-univers dans les quatre versants correspondant aux quatre points cardinaux» ; ils ne sont pas non plus devenus «par la suite chacune des sept zones du ciel et de terre ferme dans lesquelles, selon le système ptoléméen, était divisé notre hémisphère» (n. 10, p. 9) *. Enfin, interpréter «dextra celi altiora sunt, pressa austri» (XIII, 5, 5) comme un effet de la «simbologia cristiana», les lieux élevés étant le ciel, séjour des élus, et les lieux inférieurs l enfer, séjour des damnés (n. 59, p. 30), relève de la surinterprétation, alors même que le contexte est purement factuel et technique, sans aucun des commentaires allégoriques qui accompagnent les données physiques et astronomiques exposées dans le De natura rerum. Il y a là un écho déformé - sans doute par l école et ses procédés, manuels, gloses, etc. - des considérations exprimées par Aristote dans le De caelo II, 2, en critique des pythagoriciens. I. Du point de vue textuel, on note quelques problèmes plus ou moins graves. En 13, 3 in Chio, leçon du seul K, est choisi en face de Cio, alors que la source traite de l île de Cea (gr. Kéœç ; lat. Cea, Ceos, Cia), proche de l Eubée, et non pas de l île de Chio. En 13, 5, la leçon du seul Y Linus est de même choisie, sans doute parce que la source, Pline, offre linus (mais avec des leçons lemus, le//mus, le inus). En 13, 7, c est encore la leçon des éditions de Pline Marsyas qui est préférée, en dépit du marsidae de la plupart des témoins. En revanche, en 16, 3, peruium est préféré à breuius ou peruius (Lindsay) «pour la concordance avec mare peu avant» ; mais la source alléguée a breuis, en sorte que l on ne saisit pas la raison d un tel choix. En 17, 3 ob hoc de Lindsay devient ob hoc etiam sans qu il en soit donné de justification. Même observation pour 17, 4 duo sinus : duos sinus Lindsay et, semble-t-il, les mss ; 19, 2 quod : quos Lindsay. En 20, 3, la possibilité d accueillir motas au lieu de motus devrait être examinée. 20, 17 et 29 Orontem et uocauerunt sont discutables au vu de la source (non identifiée) de l un et l autre de ces passages (Hégésippe 3, 5 orientem ; Hier. Galat. 2, 1 locauerunt). Terminons par un étrange «fons... altera» (13, 5). II. Le défaut le plus grave de cette édition touche à l identification des sources. Dans un ouvrage publié il y a près d un siècle sous le titre on ne peut plus clair Die historischgeographischen Quellen in den Etymologiae des Isidorus von Sevilla, un valeureux philologue avait mené ce travail de façon détaillée et dans la plupart des cas convaincante pour Etym. IX, 2, XIII, 12-22, XIV, 1-9 et XV, 1. En deux volumes parus à Berlin en dans la collection «Quellen und Forschungen zur alten Geschichte und Geographie», H. Philipp procurait plus que ne l indiquait ce titre, sans sacrifier aucunement aux excès de la Quellenforschung. On y trouve en effet, en premier lieu, une étude précise de Y Arbeitweise d Isidore en ces matières, suivie d un long exposé sur les 1 Climata vient de kleino, et désigne l inclinaison de chaque lieu par rapport à la ligne équinoxiale, autrement dit la latitude (mais le concept est évidemment différent) ; les climata, zones parallèles à l équateur où la durée moyenne du jour le plus long est identique, ne s étendent pas sur tout l hémisphère. Il suffit de renvoyer à E. H onigm ann, Die sieben KÀijuaxa und die nôàeiç ênicrrjfioi, Eine Untersuchung zur Geschichte der Geographie und Astrologie im Altertum und Mittelalter, Heidelberg, non cité dans l édition.
3 CHRONIQUES ET COMPTES RENDUS 307 sources : textes patristiques, recueils de gloses à Virgile, à Lucain et à S tace, prosateurs et poètes latins. Le contenu du deuxième volume est organisé en deux colonnes : à gauche, le texte ; à droite, les «Quellen und Parallelstellen». Cette présentation a l avantage de la clarté et de l économie : en ces matières techniques où les auteurs se répètent les uns les autres, on saisit d un seul coup d œil les éléments permettant d affirmer avec un degré raisonnable de certitude qu Isidore a bien utilisé tel texte plutôt que tel autre ; on mesure la nature et l ampleur de ses interventions ; en un mot, on a les moyens de percevoir dans le détail sa méthode de travail et ses intentions. Cet ouvrage, mentionné par J. Fontaine2 et dont, sur quelques points, j avais signalé l utilité dans une note à propos de l édition du livre IX parue dans la même collection en , est inconnu de l éditeur qui se borne à rappeler qu «une bonne partie des indications relatives à l œuvre tout entière, accumulées durant dix siècles, avait déjà été rassemblée dans l édition Grial» de 1599 (p. xxxvi). Cet oubli, associé à des choix méthodologiques contestables, a conduit à des erreurs en grand nombre. La façon dont la question des sources a été abordée ne laisse pas d étonner. Le décompte des «emprunts» est effectué dans l introduction d une façon peu rigoureuse, ce qui traduit sans doute une incertitude, compréhensible à l examen de la méthode qui a présidé à leur identification4. En effet, l apparat des sources est présenté d une façon inhabituelle, dans des notes généralement très longues. Un texte précis est rarement indiqué comme source directe, objet des réflexions et des interventions d Isidore. A la place, des énumérations de noms et des citations de plusieurs lignes, sur le modèle : «Ne parlano, oltre a Plinio, anche, per citare alcuni nomi [au nombre de dix]...» (n. 257, p. 122). Ces citations impertinentes sont fréquemment liées par des appréciations inutiles («illuminante», «notevole», etc. ; ainsi, à propos du fleuve Araxe : «Ne parlano i poeti... Di esso, S trab.... Plin.... Suggestivo il quadretto di Mela... Isidoro a come fonte diretta Serv.... La sua irruenza viene evidenziata bene da Curt....» (n. 287, p. 145). L éditeur apprécie ces centons, qui n auraient d intérêt que s ils étaient exhaustifs mais qui sont nécessairement incomplets, et que d ailleurs tout utilisateur de VOnomasticon de Porcellini peut rassembler aisément à sa guise, sans même parler des bases de données électroniques. Dans de nombreux cas, la source certaine n ayant pas été identifiée, cela aboutit à des conjectures et des rapprochements scurriles : par exemple, à propos du fleuve Hydaspe qui court vers l orient, l éditeur note : «Lucano osserva ciò, non per l Idaspe, ma per il Gange», n. 283, p. 143). Il arrive que la source réelle ne soit pas signalée, alors même qu elle gît inidentifiée comme telle dans ces parallèles complaisamment recopiés. 2 II relevait «les résultats difficilement améliorables» de ce «bel exemple de démontage minutieux des sources» (Isidore de Séville et la culture classique dans l'espagne wisigothique, t. I, Paris, 1953, p. 12, 17). Peut-être l oubli est-il dû au fait que l objet de cet ouvrage était défini par J. Fontaine comme les seuls livres XIV et XV. 3 «Isidorus Hispalensis de gentium uocabulis (Etym. IX, 2) : quelques sources non repérées», dans Revue des études augustiniennes, t. 31, 1985, p L éditeur compte : - pour Lucrèce, 13 «présences» dans le matériau compilatone d Isidore (p. xxvi); 5 «citations textuelles» (p. xxvn) et 6 «emprunts» (p. xxxiv) ; - pour Servius, 43 «présences» (p. xxvi), mais 39 «emprunts» (p. xxx) ; - pour Jérôme, «au moins» 10 «présences» (p. x x v ii), mais 11 «emprunts» (p. xxix) ; - pour Augustin, «au moins» 9 «présences» (p. x x v ii), mais 8 «emprunts» (p. xxix). Dans tous les cas, «présence», «citation», «emprunt» désignent les mêmes phénomènes et ne sont pas des catégories distinctes.
4 308 PATRICK GAUTIER DALCHÉ Certaines sont introduites par un verbe au futur pour annoncer une autorité chronologiquement postérieure («Si sofferma sul Danubio anzitutto Cesare... In particolare dice Plin.... In forma spedita, Mela... Già Herod.... E Strab.... Dirà più tardi Solino... Marziano Capella, poi... Ancora nei poeti...», 299, p ). Cet emploi du futur ne paraît pas sans signification quant à la problématique adoptée : au lieu de partir d Isidore de Séville étudié dans son œuvre, caractérisé dans ses intentions et ses méthodes en mesurant rigoureusement les transformations qu il fait subir à la littérature antérieure en fonction d intentions précises qu il s agit de mettre en lumière, l éditeur livre une accumulation partielle de données brutes choisies au hasard dans l ensemble de la littérature gréco-latine, mais organisées selon une chronologie inversement orientée qui part des origines pour atteindre le temps de l évêque de Séville. Il va même jusqu à relever les «erreurs» des auteurs tardifs qu il cite de cette façon indiscrète5. Dans cette accumulation, il arrive aussi très souvent que la source évidente de tel membre de phrase soit ignorée (voir par ex. 19, 3). Cette méthode et ce défaut empêchent surtout de saisir la spécificité du travail de marqueterie (pour reprendre l image de J. Fontaine) effectué par Isidore à partir de ses lectures. Cela est grave, car le lecteur non prévenu est ainsi subrepticement conduit à lire les Étymologies non pas comme une création originale orientée vers les exigences de son temps, mais comme l aboutissement de la littérature gréco-latine : c est un véritable contresens qui est ainsi induit dans l esprit du lecteur. Du fait de cette perspective que l on peut qualifier de classiciste, il est logique que des problèmes bien connus de l histoire des textes antiques durant le haut Moyen Age ne soient absolument pas évoqués, alors même qu ils mettent gravement en cause nombre d affirmations sur les textes maniés par Isidore. On sait que Pomponius Mela est inconnu entre le modèle corrigé à Ravenne au vie siècle et la copie qui en fut faite dans le cercle de Loup de Ferrière, peut-être par Heiric d Auxerre. Il est ici cité 15 fois en note, et Isidore lui aurait fait deux emprunts (p. xxxm) : mais ils sont introuvables 6. De même, la fortune de Martianus Capella paraît avoir été fort limitée jusqu à l époque carolingienne. L éditeur ne le mentionne pas, en introduction, parmi les sources ; il le cite toutefois très fréquemment, parfois d une façon qui implique qu il le tient pour la source d Isidore. Au moins dans deux cas, ce renvoi est erroné7. Le cas de Vitruve est similaire: 3 «emprunts» localisés selon l éditeur dans le chapitre sur les fleuves (p. xxxiv) - emprunts introuvables dans les 13 «citations» mentionnées en note8. Sans parler d Aratos, il est enfin hautement improbable qu Isidore ait emprunté quoi que ce soit directement aux Grecs (p. xxxm) : S trabón (cité 13 fois en note, dont 2 «emprunts» introuvables dans les notes), Plutarque (1 «emprunt» sur le sens de átomos, introu 5 Par exemple «non convince ed è errato Mart. Cap. 3, » (n. 276, p. 137). Sur une erreur que l éditeur attribue à une supposée source et à Isidore, alors qu il s agit de sa propre incurie, voir ci-dessous à propos de 21, Selon Philipp: «Comme des parties de la Chorographie de Mela sont dans un rapport de sources avec Solin, il s ensuit qu Isidore aussi rappelle Mela» (t. I, p. 83). 7 Quel est le sens concret de l affirmation selon laquelle 17, 1 «renvoie en partie (?) à la description étendue, chez Martianus Capella, de la masse des eaux terrestres, qu Isidore démontre avoir ici en arrière-plan, mais dont il présente seulement un écho faible et limité...» (n. 230, p. 106)? Comparez avec la conclusion de Philipp : «Les rapprochements entre Isidore et Martianus Capella, pour si nombreux qu ils soient, concernent seulement le livre VI de Capella qui, en cet endroit, dépend de Pline et de Solin, mais qui n est pas utilisé par Isidore» (ibid.). 8 «Vitruve n a pas été utilisé par Isidore. Les rapprochements entre Isidore XIII, 13 et Vitruve VIII, 3 trouvent leur explication dans le fait que la source de Vitruve, ici Posidonius, est transmise par Varron, lui-même source de Pline» (ibid.).
5 CHRONIQUES ET COMPTES RENDUS 309 vable9), ou Ptolémée (1 «emprunt» sur les caractères de l Égypte, introuvable). Qu il s agisse d auteurs grecs ou latins, la faiblesse du nombre d «emprunts» aurait dû faire naître le doute, et entraîner la prudence dans les conclusions. Pour résumer méthodes et résultats de l auteur, il suffit de considérer une courte phrase définissant l Indus : «Indus fiuuius Orientis, qui Rubro mari accipitur» (21, 11). La note correspondante cite des passages de Cicéron, Pline (sa description est qualifiée de «notevole», sans que l on puisse comprendre en quoi elle est remarquable), Mela, Solin, Martianus Capella, Ovide; elle ajoute «ma la fonte testuale, con l errore sullo sbocco nel mar Rosso, è in Curt. 8,9,5: Indus qui Rubro mari accipitur», puis reprend l énumération des autorités : Mela et YAnabase d Arrien. Mais la mention du débouché dans la mer Rouge n est pas une erreur : comme on sait, mare Rubrum ( EpuGpaïa GáXaTia) désigne très normalement l océan Indien ; et la source est Orose (I, 2, 15) très largement mis à profit dans le livre XIV, non pas Quinte Curce inconnu d Isidore selon toute vraisemblance10. III. Venons-en aux identifications erronées ou insuffisantes. Ces remarques corrigeant ou complétant les identifications effectuées par l éditeur porteront sur les chapitres de contenu «géographique» (XIII, 12-22). Les sources et parallèles indiqués par Philipp sont affectés d un (P) ; ceux que je suggère, d un astérisque. 12, 1. Il est fort peu probable que Varron, dont le texte est très éloigné, soit la source directe (Varrò ling. 5, 26, 12) ; parallèle plus net: Serv. Aen. 2, 69 (P). 2. Plutôt que les renvois à César et Cicéron, un parallèle avec Serv., Aen. 12, 119 s impose (P). 13, 9. «Fons Siloa... ebullit» = Hier., Comm. in Es. 3, 8 (P). - «In Iudaea...» = Plin. 31, 24 (P). 10. «In Epiro... Apud Garamantes...» = Aug., C/v., 21, 5, 1 (P). 14, 1. «Omnis enim... nuncupantur». Plutôt qu Ambroise, éloigné textuellement, = *Hier., Hebr. quaest. 1, 10 ou *Aug., De gen. c. Man. 1, 12 (moins nettement). 2. «Aequor... est» : cf. Serv., Aen. 1, 69 (P). «et quamuis... erigantur» : *cf. Hier., Comm. in Ps «sedatis... aequalitas». 3. «deinde... consumât» cf. *Recogn. Clem. 8, 24 (et non pas Ambr., Hex. 2, 3, 142 [sic, pour 14d]. 15, 1. «altemisque... recedit» : *cf. Cic., De nat. d., 2, 53, «spirantibus... resorbet» < *Sol. 27, «Quique... sumpsit» < *Ambr., Hex. 3, 3, , 4 «dulcius quam cetera» = *Serv., Aen. 12, 143 (e Sali.). 5. «Sicut... nuncupatur» = Ambr., Hex. 3, 3, 13 (P). 6. «Nam Adria... edit» = Just. 20, 1, 9 (P). 7. «ut superum et inferum... Adriaticum» : *cf. Ampelius 7, 3 ; Sol. 2, «a casibus... Myrtoum» = Sol. 23, 16 + Serv., Georg. 3, 7 (P). - «Icarus... inposuit» = Serv., Aen. 6, 14 (P). - «Phrixus... dédit» : cf. Eus.-Hier. 2, 39; schol. Luc. 9, 956 (P). 9 En 2, 4, une note indique seulement : «Grial, come poi Aré v., rinvia a P s - P l u t. De placit. phil. 3...» (n. 30, p. 17). 10 Selon Philipp, «les correspondances entre Quinte Curce et Isidore sont d une nature tellement banale qu elles sont l effet d une utilisation indirecte» (t. I, p. 83). Les seules et rares traces de la connaissance de Quinte Curce avant l époque carolingienne se trouvent chez Hégésippe et dans le Liber monstrorum (K. Müller, Q. Curtius Rufus, Geschichte Alexanders des Grossen. Lateinisch und Deutsch, Munich, 1954).
6 310 PATRICK GAUTIER DACCHÉ 17, 1. Martianus Capella n est pas la source (pas de parallèle textuel). 4. «Gemmae rubrae... lapillus adtritus» [5/c] : aucun des passages cités n offre de parallèles bien nets ; cf. Sol. 33, 20; Pline 37, 136, 137 (P). - «Hoc mare in duo sinus scinditur... circa Arabiam» : la source n est pas Pline 6, , mais un unique passage de Sol. 54, 12 (P). 18, 2. Il semble que la source directe identifiée par l éditeur soit Varr., De ling. 7, 22 (n. 240, p. 110); mais ce passage n est pas indiqué dans la liste des «emprunts» à Varron (p. xxxv). Il s agit en réalité d un simple rapprochement (même si Isidore renvoie à Varron), auquel on doit associer Serv., Aen. 1, 607 et les autres échos relevés par (P). 3. «Et inde... nuncupatur» = Justin 4, 1, 7, fort, e Sail. Hist. (P) ; «fabulosis infame monstris» : cf. Florus 1, 18, 5, fort, e Sail. Hist. (P). 6. «quod omnia... haereant» = *Heges. 2,9, 1. 19, 1. Serv., Aen. 6, 59 n a évidemment rien à voir, non plus que Nonius ; Ambr., Hex. 3, n est pas la source (comme le note d ailleurs l éditeur, l ordre d énumération des lacs est différent!). En revanche, «receptaculum» : cf. Serv., Aen. 8, 74 (P). - «ut lacus Benacus... uocant» = Hier., Comm, in Dan. 6 (P.L. 5, 661) (P) ; *Comm. in Ezech. 10, «nihil gignit... uiuentium» : la source directe ne saurait être Pline, mais bien *Heges. 4, 18, cité par l éditeur seulement pour la suite du paragraphe. 4. «hoc et mare Salinarum... Zoaran» = Hier., De situ (P.L. 23, 910 D) (P). 5. Sol. 35, 3, ne peut être ici la source de l ensemble ; y ajouter Hier., De situ (p. 112, 29 Lagarde) (P). 20, 1. La source «textuelle» indiquée ne s applique qu à la première ligne. «Nam omnes aquae... reuertuntur» = *Hier., Hebr. quaest. in Gen. 8, 2. 21, 8. «Ganges... regiones» = *Comm. Palladii (Pfister p. 1, 16). 9. A la place d une longue série de «ne parla Plinio... Solino... ne accennano Verg...., Hör...., Lucan....», noter la source : Hier., De situ (P.L. 23, 898B) (P). 11. A la place d une longue série de citations, où l éditeur croit retrouver l origine de l erreur qu il attribue à Isidore, la source textuelle évidente est - sans «erreur» aucune - Orose, Hist. 1, 2, «Hystaspes... dicitur» = *Lact., Div. inst. 7, 15 (Isidore est déjà indiqué comme expilator dans l édition du CSEL). 14. «Araxes... oritur» = Orose, Hist. 6, 4, 7 (P). 17. Après une énumération d autorités : «Le particolarità di questo fiume sono anche in Hegesipp. 3,5». Ce passage d Hégésippe est évidemment la source directe d Isidore (P). 18. La source indiquée, Hier., De situ 207 (et non pas 204, sans rapport textuel), ne vaut que pour «et diuidit... influii». Pour le reste, Hier., Comm. in Matth. 3, 16; Hebr. quaest. in Gen. 14, 14 (P). 20. L emploi de «amnis» ne saurait à lui seul signer un emprunt à Pline. La source est Sol. 38, 4 et 5 (P) La succession Pactolus - Hermus semble impliquer l utilisation de Servius, Aen. 10, 142 «Pactolus et Hermus», etc. (P). 26. «Padus... digerii» = Serv., Aen. 11, 457 (P). 27. La source est continuellement Serv. : Aen. 3, 500, 332 ; 8, 332, 31 (P). 28. Contrairement à l affirmation selon laquelle la description de Pline «sembra condensata qui da Isidoro, che con pochi tratti la riprende...», deux sources sont identifiables : «oritur Germanicis iugis» = Sol. 13, 1 (P) ; «sexaginta... influii» = Ambr., Hex. 2, 3, 12 (P). 30. «inter tres... conputatus» = Sol. 2, 53 (P).
7 CHRONIQUES ET COMPTES RENDUS *Cf. Justin 44, 3, «ceteris fluuiis Hispaniarum praelatus» = Sol. 23, 6 (cité; non indiqué comme source textuelle) (P). Patrick G a u tie r D a lc h é M. A g o s t o, Impiego e definizione di tropi e schemi retorici «// Expositio psalmorum di Cassiodoro, Montella : Accademia Vivarium Novum, 2003 (Biblioteca Filologica CLE 1). Le commentaire sur le psautier, commencé par Cassiodore vers 538 avant son séjour à Constantinople, et achevé dans sa première version lors de ce séjour, constitue un moment capital dans F histoire de l exégèse latine, en particulier du point de vue de la méthode et du lien avec les disciplines du trivium. Ce qui nous intéresse ici est en effet la richesse de la terminologie grammaticale et rhétorique à laquelle recourt l auteur pour exposer le psautier. M. Agosto s est attelé à la lourde tâche d inventorier cette masse de vocabulaire (105 noms de figures au total), et d en examiner précisément chaque occurrence. Après une introduction (/. Inquadramento storico) qui vise à replacer le commentaire cassiodorien dans le contexte politique et culturel de l Occident du vie s. (p. 9-52) et à indiquer les sources techniques de cette terminologie (p ), M. Agosto donne dans une seconde partie (II. Tassonomia) un relevé exhaustif de toutes les occurrences de ce vocabulaire. On a donc ici la première étude détaillée, soutenue par une bibliographie abondante, des schemata cassiodoriens. Cette terminologie est présentée selon un ordre assez complexe, que l on peut reconstituer comme suit (le plan tel qu il est présenté dans la table de l ouvrage est en effet assez confus, la typographie, par son alternance de romains, de gras et d italiques, n aidant pas à s y retrouver mais compliquant plutôt la tâche du lecteur) : 1. Tropi 1.1. Tropi di spostamento a contiguità logicamente fondata (synecdoche, antonomasia, anteprosopon, brachylogia, emphasis, epidiorthosis, hyperbole, hyperthesis, metriasmos, tapinosis, cacozelon, periphrasis) 1.2. Tropi di spostamento a contiguità fenomenicamente fondata (metonymia, hypallage) 1.3. Tropi di dislocazione (metaphora, ironia, sardismos) 2. Figure 2.1. Figure grammaticali (exallage, antiptosis, protheseos parallage, hirmos) 2.2. Figure retoriche di parola Figurae per adiectionem (epizeuxis, anadiplosis, climax - epanalepsis, tautologia - anaphora, polysyntheton, intercalare - paronomasia, metabole - nomen aequivocum - synathroesmos, anacephaleosis, epembasis - auxesis - epitheton, pleonasmos) Figure per detractionem (eclipsis - a communi, zeugma, syllepsis) Figurae per ordinem (anastrophe, praeposterata verba [chiamos], hyperbaton - parison - antistathmisis - ison - homoeoteleuton, homoptoton - hypozeuxis) 2.3. Figure di pensiero Figure della similitudine Similitudine (homoeosis, icon, parabole - allegoria)
Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015
Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou
Plus en détailCONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!
CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailMéthode du commentaire de document en Histoire
Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailDirectives pour le travail de fin d études août 2009. b) DIRECTIVES POUR LE TRAVAIL DE FIN D ETUDES. (Mémoire)
b) DIRECTIVES POUR LE TRAVAIL DE FIN D ETUDES (Mémoire) 17 I Définition L art 8.1 du Règlement d études (ci-après RE) précise que le travail de fin d études est composé du mémoire et de sa soutenance.
Plus en détailMETHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
METHODOLOGIE I. Comment travailler et organiser son travail en histoire-géographie LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
Plus en détailRédiger pour le web. Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web
Rédiger pour le web Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web Sommaire 1. Rédiger des contenus... 2 Lire à l écran : une lecture contraignante... 2 Ecrire des phrases
Plus en détailNom de l application
Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique
Plus en détailÉLÉMENTS PROVISOIRE S DE LINGUISTIQUE THOMIST E. Mots outils et ponctuation dans les écrits de saint Thoma s
ÉLÉMENTS PROVISOIRE S DE LINGUISTIQUE THOMIST E Mots outils et ponctuation dans les écrits de saint Thoma s La ponctuation, au sens actuel de découpage logique de l a phrase, fut pratiquement inconnue
Plus en détailQue fait l Église pour le monde?
Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens
Plus en détailCORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!»
Corrigé Cours de Mr JULES v3.3 Classe de Quatrième Contrat 1 Page 1 sur 13 CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!» «Correction en rouge et italique.» I. Les nombres décimaux relatifs.
Plus en détailPrincipe et règles d audit
CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l
Plus en détailEXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG
Exploitations pédagogiques du tableur en STG Académie de Créteil 2006 1 EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Commission inter-irem lycées techniques contact : dutarte@club-internet.fr La maquette
Plus en détailFrançais langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches
Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes
Plus en détailConsignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre
Consignes pour les travaux d actualité Premier quadrimestre Principes de base Durant le premier semestre, vous serez amenés à remettre un travail effectué en groupe. Le but de celui-ci est de s intéresser
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailCréer un mémento grammatical portatif et évolutif pour tablettes et smartphones
Enseigner les Langues et Cultures de l Antiquité avec les TICE http://lettres.ac-dijon.fr TraAM travaux académiques mutualisés, un accompagnement au développement des usages des TIC Créer un mémento grammatical
Plus en détailActivity Space: acrobatica a squadre
Activity Space: acrobatica a squadre Nell activity show dell acrobatica a squadre potete costruire diverse forme. Provate a formare diverse figure. Potete anche creare delle nuove forme voi stessi. È importante
Plus en détailBSM 9.0 ESSENTIALS. Nouveaux utilisateurs de Business Service Management (BSM) 9.0, parmi lesquels :
BSM 9.0 ESSENTIALS PUBLIC CIBLE Nouveaux utilisateurs de Business Service Management (BSM) 9.0, parmi lesquels : Administrateurs de base de données Administrateurs système Administrateurs réseau Directeurs
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailmajuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot
majuscu conjugaison >>>, L orthographe singulier syllabe virgule mémoire lettres et son enseignement graphie suffixe usage accent ; écrire féminin temps voyelles mot point Renforcer l enseignement de l
Plus en détailNORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS
Les Presses de l Université du Québec NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Le manuscrit, en version complète et définitive, doit être présenté de la manière la plus simple et uniforme possible, afin de
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi
[TRADUCTION] Citation : A. D. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 5 ENTRE : A. D. N o d appel : GE-13-1152 Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION
Plus en détail7. Recherche des essais
7. Recherche des essais Le chapitre précédent a insisté sur la nécessité de réaliser une recherche des essais aussi exhaustive que possible. Seule la conjonction de tous les moyens disponibles peut laisser
Plus en détailDroit du travail - Jurisprudence. Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral
Inaptitude médicale résultant de faits de harcèlement moral Cour de cassation - chambre sociale Audience publique du 14 septembre 2010 N de pourvoi: 09-66762 Cassation partielle sans renvoi Dans un arrêt
Plus en détail«Manuel Pratique» Gestion budgétaire
11/06/01 B50/v2.31/F/MP005.01 «Manuel Pratique» Gestion budgétaire Finance A l usage des utilisateurs de Sage BOB 50 Solution Sage BOB 50 2 L éditeur veille à la fiabilité des informations publiées, lesquelles
Plus en détailPRÉSENTATION DU MÉMOIRE PROFESSIONNEL
Validation de la scolarité des professeurs et CPE stagiaires des premier et second degrés Année 2007-2008 PRÉSENTATION DU MÉMOIRE PROFESSIONNEL I. SUPPORT Chaque stagiaire devra rendre son mémoire sur
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détail0.232.112.21. Liste des règles 1. Texte original. (Etat le 1 er septembre 2008)
Texte original 0.232.112.21 Règlement d exécution commun à l arrangement de Madrid concernant l enregistrement international des marques et au protocole relatif à cet arrangement Adopté par l Assemblée
Plus en détailTRAVELEASY GILLIAN SOKOLOFF ET MARCELLO CARLINO 1BGDB
L aventure Lone Survivor est avant tout une expérience de survie. You est un personnage faible et très seul. Il n a pas de passé, enfin il l a oublié. Au début du jeu, le joueur n a pas de nourriture,
Plus en détailMODIFICATIONS DES PRINCIPES DIRECTEURS CONCERNANT LA RÉDACTION DES DÉFINITIONS RELATIVES AU CLASSEMENT
ANNEXE VI MODIFICATIONS DES PRINCIPES DIRECTEURS CONCERNANT LA RÉDACTION DES DÉFINITIONS RELATIVES AU CLASSEMENT RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES Les utilisateurs s attendent à trouver dans les définitions des
Plus en détailAbsence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique
D UN SYNTAXE MOT OU D UN GROUPE SYNTAXIQUE 1 Problèmes fréquents Absence ou présence erronée d un mot ou d un groupe syntaxique Les erreurs d ordre syntaxique contenues dans cet exercice sont multiples
Plus en détailLucile Cognard. S identifier à son symptôme
Lucile Cognard S identifier à son symptôme Dans notre milieu analytique, l expression est connue : «s identifier à son symptôme». D où vient-elle, que recouvre-t-elle? C est la question que je me suis
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailLes nouveaux programmes de l él. école primaire. Projet soumis à consultation
Les nouveaux programmes de l él primaire Projet soumis à consultation primaire Les nouveaux programmes sont plus courts : environ 36 pages format BO contre 104. Ils sont écrits dans un langage clair sans
Plus en détailCNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification
Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN
Plus en détailSOMMAIRE AIDE À LA CRÉATION D UN INDEX SOUS WORD. Service général des publications Université Lumière Lyon 2 Janvier 2007
SOMMAIRE 1) CRÉATION D UN INDEX SIMPLE 3 a) Étape 1 : Marquage des entrées d index (à l aide d un fichier de concordance) 3 Procédure d insertion du tableau 4 Saisie des entrées d index 5 Marquage automatique
Plus en détailRÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO. En partenariat avec
1 RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO RÉSEAU CONGOLAIS DES PERSONNELS DES PARLEMENTS (RCPP) En partenariat avec WESTMINSTER FOUNDATION FOR DEMOCRACY (WFD) SÉMINAIRE RELATIF À LA CIRCULATION ET À L ACCESSIBILITÉ
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailGÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS
GÉODÉSIE, COORDONNÉES ET GPS LES PROJECTIONS La représentation du globe terrestre sur un plan en deux dimensions exige une opération nommée projection. Une projection s appuie sur un géoïde, qui est une
Plus en détailTableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1
UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailCHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE
COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE CLARIFICATION POUR L APPLICATION DE LA DÉFINITION D ÉTABLISSEMENT STABLE DANS LE CADRE DU COMMERCE ÉLECTRONIQUE : MODIFICATIONS DES COMMENTAIRES SUR L ARTICLE 5 22
Plus en détailProjet de Fin d Etudes
République Tunisienne Ministère de l'enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique ---- *** ---- Ecole Supérieure Privée de d Ingénierie, Sciences et Technologies de Sousse (SupTech Sousse) Projet
Plus en détailRèglement du concours 2015 «NOS LECTEURS ONT DU TALENT»
Règlement du concours 2015 «NOS LECTEURS ONT DU TALENT» ARTICLE 1 La société PLACE DES EDITEURS, SA au capital de 4 234 120 dont le siège social est situé 12 avenue d Italie 75013 PARIS, immatriculée sous
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailLes études de cas Responsable: Monika Niederhuber, Pauline Bart
Geographic Information Technology Training Alliance (GITTA) presents: Les études de cas Responsable: Monika Niederhuber, Pauline Bart Table des matières 1. Les études de cas...2 1.1. Définitions et commentaires...
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailIDEOGRAPHIX, BUREAU De lecture
074 _ Les Actes de Lecture n 106 _ juin 2009 _ [dossier] _ Idéographix bureau d'écriture _ Carole Cane & Alain déchamps IDEOGRAPHIX, BUREAU De lecture Carole Cane & Alain DÉCHAMPS Idéographix n est pas
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détail2008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières. applicables à l exécution d opérations sur titres
008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières applicables à l exécution d opérations sur titres Table des matières Préambule... 3 A Directives générales... 4 Art. Base légale... 4 Art. Objet...
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailNotre galaxie, la Voie lactée
Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome
Plus en détailEnvoi des dossiers de concours et de mandats d étude parallèles par la poste
142i-301f Envoi des dossiers de concours et de mandats d étude parallèles par la poste Ligne directrice pour les règlements SIA 142 et SIA 143 Commission SIA 142/143 Concours et mandats d étude parallèles
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détailMaintien des prix et l affaire Visa / Master Card
Maintien des prix et l affaire Visa / Master Card Denis Gascon Associé Norton Rose Fulbright Canada S.E.N.C.R.L., s.r.l. 15 novembre 2013 Centre d études en droit économique, Université Laval PLAN DE LA
Plus en détailSection des Unités de recherche. Rapport d évaluation. Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS
Section des Unités de recherche Rapport d évaluation Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS Mars 2009 Section des Unités de recherche Rapport d'évaluation Unité de recherche
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailEcrire pour le web. Rédiger : simple, concis, structuré. Faire (plus) court. L essentiel d abord. Alléger le style. Varier les types de contenus
Ecrire pour le web Un texte web de lecture aisée pour l internaute, l est aussi pour les moteurs de recherche ; l écriture peut ainsi être mise au service du référencement naturel. De façon complémentaire,
Plus en détail2/160 14/08/2007. Note de l auteur
Manuel Prima-Web Utilisation de l application Prima-Web pour enregistrer et traiter une nouvelle demande, rechercher un dossier et consulter vos propres dossiers. Avertissement : Les exemples et éléments
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détail«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»
Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans
Plus en détailÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE
ÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE FRANÇAIS 12 e année Date: mars-juin 2015 Course Code: FRA 4U Enseignante: Mme L. Campagna et Mme Ducatel NOM DE L ÉLÈVE : Projet : Projet autonome Durée de l unité
Plus en détailVous revisiterez tous les nombres rencontrés au collège, en commençant par les nombres entiers pour finir par les nombres réels.
Cette partie est consacrée aux nombres. Vous revisiterez tous les nombres rencontrés au collège, en commençant par les nombres entiers pour finir par les nombres réels. L aperçu historique vous permettra
Plus en détailQui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires.
Qui mange qui? Objectif : Prendre conscience des nombreuses relations qui existent entre les êtres vivants et notamment les relations alimentaires. Tous les êtres vivants ont besoin d énergie pour vivre,
Plus en détailMon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word)
. Philippe Ratat Mon aide mémoire traitement de texte (Microsoft Word) Département Ressources, Technologies et Communication Décembre 2006. Sommaire PRÉSENTATION DU DOCUMENT 1 Objectif principal 1 Deux
Plus en détailPlates-formes de téléformation et modèles pédagogiques
POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la
Plus en détailEn direct de la salle de presse du Journal virtuel
Français En direct de la salle de presse du Journal virtuel Écrire des textes variés Guide En direct de notre salle de presse Guide R ENSEIGNEMENTS GÉNÉRA UX EN DIRECT DE NOTRE SA LLE DE PRESSE MISE À
Plus en détailLa correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables
La correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables Après l'étude des différents types d'erreurs en comptabilité (Section 1) nous étudierons la cause des erreurs (Section 2) et les techniques
Plus en détailAnnexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détailDiapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)
COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet
Plus en détailTHEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL
THEME : L ACCIDENT DE TRAVAIL DÉFINITION DE L ACCIDENT DU TRAVAIL Il faut rappeler que tout ce qui arrive sur le lieu du travail n est pas constitutif d un accident du travail au sens légal du terme. La
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailCompte bancaire ou assurance vie?
92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire ou une assurance vie mixte dépendra du profil du client et de ses besoins en couverture
Plus en détailA.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Source : http://amcubat.be/docpmb/import-de-lecteurs
A.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Diverses méthodes d import de lecteurs Les données (noms, prénoms, adresses. des lecteurs) proviennent en général du secrétariat, et se trouvent
Plus en détailDISCOURS DIRECT ET INDIRECT
DISCOURS DIRECT ET INDIRECT Si vous voulez rapporter les paroles de quelqu un, vous pouvez utiliser le discours direct ou le discours indirect (nous n aborderons pas ici le style indirect libre, qui relève
Plus en détailGUIDE Excel (version débutante) Version 2013
Table des matières GUIDE Excel (version débutante) Version 2013 1. Créer un nouveau document Excel... 3 2. Modifier un document Excel... 3 3. La fenêtre Excel... 4 4. Les rubans... 4 5. Saisir du texte
Plus en détailLes documents primaires / Les documents secondaires
Les documents primaires / Les documents secondaires L information est la «matière première». Il existe plusieurs catégories pour décrire les canaux d information (les documents) : - Les documents primaires
Plus en détailRègles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1
Règles d élaboration d une évaluation par Questions à Choix Multiple Joël LECHEVALLIER 1 Préambule Les questions à choix multiple (QCM) sont une méthode à la fois fiable, objective, valide et rentable
Plus en détailVade-Mecum. des demandes de crédit. Business Angel+
1 Vade-Mecum des demandes de crédit 2 TABLE DES MATIERES A. Terminologie 3 B. Le groupe-cible et les caractéristiques 7 C. Critères a) Critères de recevabilité b) Critères d évaluation 9 D. La demande
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailComprendre un texte fictionnel au cycle 3 : quelques remarques
Contribution aux travaux des groupes d élaboration des projets de programmes C 2, C3 et C4 Anne Leclaire-Halté, Professeure d université, Université de Lorraine/ESPÉ Comprendre un texte fictionnel au cycle
Plus en détailRapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Rapport de stage Nom de l entreprise. Date du stage. Nom du professeur principal
RAPPORT DE STAGE 3 ème Quels conseils méthodologiques pour la réalisation de votre rapport Voilà des conseils et des questions pour vous aider dans la réalisation de votre rapport. Ils vous sont proposés
Plus en détailMises en relief. Information supplémentaire relative au sujet traité. Souligne un point important à ne pas négliger.
Cet ouvrage est fondé sur les notes d un cours dispensé pendant quelques années à l Institut universitaire de technologie de Grenoble 2, au sein du Département statistique et informatique décisionnelle
Plus en détailCode de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles
VS10052 09.03.2012 Code de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles Précisions pour l'application du code de bonne conduite L'objet de la présente note
Plus en détailQu est-ce qu un résumé?
Méthodologie d analyse et de mémoire Résumer un texte Quelques astuces et techniques Licence GSINFO Département GEII IUT d Évry N. Abchiche Mimouni 1 Qu est-ce qu un résumé? Exprime de façon brève, les
Plus en détailUNIVERSITE LA SAGESSE FACULTÉ DE GESTION ET DE FINANCE MBA OPTION MIS. MIAGe METHODES INFORMATIQUES APPLIQUEES A LA GESTION
GFM 296 UNIVERSITE LA SAGESSE FACULTÉ DE GESTION ET DE FINANCE MBA OPTION MIS MIAGe METHODES INFORMATIQUES APPLIQUEES A LA GESTION SPECIALITE SYSTEMES D'INFORMATION DES ENTREPRISES GUIDE POUR LA REDACTION
Plus en détail