Place des Analogues de la Somatostatine dans la prise en charge des occlusions sur CP. Pascale Mariani

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Place des Analogues de la Somatostatine dans la prise en charge des occlusions sur CP. Pascale Mariani"

Transcription

1 Place des Analogues de la Somatostatine dans la prise en charge des occlusions sur CP Pascale Mariani Département de chirurgie, Institut Curie, Paris

2 L occlusion intestinale est une des complications de la carcinose péritonéale Même si le traitement chirurgical doit toujours être évoqué ( 15 % de brides), la plupart des patients reçoivent uniquement un traitement médical Traitement médicamenteux : antalgiques anti-émétiques corticoïdes anti-sécrétoires (scopolamine et analogues de la somatostatine)

3 Bride

4 ADK sigmoidien avec méta ovariennes et carcinose 2009 Progression péritonéale sous chimio 2éme ligne Carcinose localisée

5 Infiltration péritonéale diffuse ADK col avec méta. ovariennes et carcinose Radiothérapie

6 ETAPE 1 Sonde naso-gastrique (à discuter au cas par cas) Réhydratation parentérale Antiémétiques: Neuroleptiques Antisécrétoires anticholinergiques * Scopolamine ou hyoscine * buthylbromure de scopolamine : Scoburen R Corticoïdes Antalgiques ETAPE 2 : après 5 jours de traitement Levée de l occlusion : Diminution puis arrêt corticoides et antisécrétoires ETAPE 3 : après 3 jours de traitement Pas de levée de l occlusion Introduction analogues somatostatine Levée de l occlusion : Recherche de la posologie minimale efficace Pas de levée de l occlusion : Discuter gastrostomie D après Laval Med Pall 2004

7 L objectif n est plus de lever l occlusion Ce n est pas la reprise de l alimentation ni du transit L objectif c est le traitement des vomissements De permettre l ablation de la sonde gastrique éventuellement de permettre un retour à domicile

8 Les Analogues de la somatostatine Les données de la littérature suggèrent que les analogues de la somatostatine apportent une amélioration symptomatique 1-3 : Diminution de la distension intestinale diminution de la sécrétion en eau et sodium de l épithélium intestinal, donc réduction de la douleur et des vomissements Octréotide : Sandostatine immédiate ou LP Lanréotide 30 mg: Somatuline LA 1 Mystakidou, 2002; 2. Weber, 2009; 3. Shima, 2008

9 Pourquoi les analogues de la somatostatine? 3 études non randomisées avec Ocréotide Auteur Nb K Symptômes Doses et autres médicaments Resultats Mercadente 14 Intraabdomi naux Vomissements somnolence 0,2-0,6mg /jour + haloperidol + analgésique Vts contrôlés : 12 Vts réduits : 2 Riley 24 Intraabdomi naux Nausée Vomissements Mangili 13 Ovaires Vomissements 0.3/0.6 mg/jour +analgésique 0,1-0,2mg /jour Vts contrôlés : 14 Vts améliorés : 4 Pas de réponse : 6 Vomissements contrôlés pour tous en 3 jours.

10 Etude prospective randomisée 17 patients. Comparaison ocréotide 0,3mg/j scopalamine buthyl bromide pendant 3 jours de perfusion Octréotide a diminué significativement et plus rapidement dès le deuxième jour les sécrétions gastriques T0 T1 T2 T3 0 Octreotide Scopolamine /Butylbromide Ripamonti C et al. Journal of pain and symptom management. 2000;19:23-34

11 2 études françaises Etude SALTO évaluant Sandostatine versus placebo en association au traitement symptomatique habituel de l occlusion digestive sur carcinose péritonéale. Guillemette Laval (Grenoble) Juin 2010 Marseille Essai LANREOTIDE. Traitement symptomatique par du lanréotide 30 mg chez les patients présentant une occlusion intestinale inopérable secondaire à une carcinose péritonéale : étude contrôlée Laure Chauvenet (Paris)

12 Etude Salto Méthodologie Etude pilote de phase II, multicentrique,randomisée, contrôlée en double aveugle versus placebo, en groupes parallèles. Nombre de centres :18 centres Nombre de patients prévus : maximum 102 (max 51 / groupe) en 2 étapes. Durée de l étude : 3 ans ( ). Arrêt décidé avant les 102 patients: analyse avec 64 patients Objectif principal Evaluer, en association à une corticothérapie et au traitement symptomatique habituel, l efficacité et la tolérance de la combinaison Sandostatine à libération prolongée (LP) et à action immédiate (AI) sur les symptômes d occlusion digestive non chirurgicale secondaire à une carcinose péritonéale.

13 Critères d inclusion Occlusion non chirurgicale confirmée par un chirurgien devant un contexte clinique et radiologique (ASP et/ou TDM abdominale). Carcinose péritonéale quelle que soit l origine, confirmée par l analyse des données antérieures du dossier du patient (données chirurgicales d une laparotomie, données radiologiques cytologie d une ponction d ascite ou d un nodule lors d une coelioscopie). Patient n ayant pas reçu de corticothérapie à une dose > 1mg/kg/24h équivalent prednisolone dans les 2 semaines précédant l inclusion. Patient n ayant pas eu de chimiothérapie dans la semaine précédant l inclusion et sans projet Rx-chimio dans les 2 semaines suivant l inclusion. Espérance de vie > 1 mois.

14 Critères de non inclusion Coagulation anormale (TP < 60%, Plaquettes< 50X10 9 /L). Patients traités par un anti-sécrétoire anticholinergique (scopolamine). Patients traités par un autre analogue de la somatostatine à action immédiate ou à libération prolongée. Allergie connue à l octréotide. Contre-indication à la corticothérapie.

15 Schéma de l étude Sandostatine Inclusion Randomisation* Sandostatine Méthylprednisolone LP 30mg à J1 : X de J1 à J6 Sandostatine 600µg/24h J1 + J6 X X J7 J14 M1 M2 M3 Placebo LP à J1 : X de J1 à J6 Placebo + Méthylprednisolone X X Placebo

16 Traitements de l étude Bras Sandostatine : 3 injections de Sandostatine LP 30mg à J1, M1 et M2 Associé de J1 à J6, à : Sandostatine AI: 600µg/24h SC en 2-3 fois ou perfusion continue (IV ou SC) sur 24h et méthylprednisolone 3-4mg/kg/24h en bolus IV en 1h le matin. Bras placebo : 3 injections de Placebo IM à J1, M1 et M2 Associé de J1 à J6, à : Placebo SC x 2-3/24h ou perfusion continue ( IV ou SC) /24h et méthylprednisolone 3-4mg/kg/24h en bolus IV en 1h le matin.

17 Caractéristiques de la population Score de Karnofsky < 50 > 50 Localisation du cancer primitif - ovaire - colon-rectum - pancréas - oesophase/estomac - autre Sandostatine (N = 32) 17 (46%) 15 (54%) 9 (28.1%) 9 (28.1%) 4 (12.5%) 4 (12.5 %) 2 (6.3 %) Placebo (N = 32) 7 (22%) 25 (78%) 11 (34.4 %) 4 (12.5 %) 6 (18.8 %) 4 (12.5 %) 6 (18.8 %) Antécédent d'occlusion sur CP 13 (41 %) 6 (19 %)

18 Critère de jugement principal Efficacité : succès/échec à J14 défini par : Succès : moins de 2 vomissements/jour en moyenne sur les 4 jours précédant J14 (J10 à J13) et absence de SNG depuis au moins J10, en l absence d un anti-sécrétoire anticholinergique jusqu à J SandostatineLP Placebo 20 38% 28% 10 0 SandostatineLP n=12/32 Placebo n=9/32

19 Succès à J14 (%) dans différents sous-groupes Patients sans Sonde Naso-Gastrique à J SandostatineLP 53% 33% n=10/19 Placebo n=8/24 SandostatineLP Placebo Patients avec score de Karnofsky > 50 % Patients avec Antécédents d occlusion % SandostatineLP Placebo 32% 31% SandostatineLP n=6/19 Placebo n=8/26 Patients avec K origine ovarienne % % 28% SandostatineLP n=9/15 Placebo n=7/25 SandostatineLP Placebo % 45% SandostatineLP Placebo n=5/9 n=5/11 SandostatineLP Placebo 19

20 Peu d Evénements indésirables suspectés liés au traitement Groupe Sandostatine 3 patients et 3 événements Une hyperglycémie (sévère, ayant nécessité traitement, associée une progression de la maladie avec décès). Érythème au site d injection (sévérité légère, aucune action, résolution 24h). Réaction inflammatoire locale (sévérité légère, aucune action, résolution 24h). Groupe Placebo 1 patient et 2 événements Coma (sévère, ayant nécessité un traitement. et déséquilibre de la glycémie (modéré, ayant nécessité traitement.

21 Conclusions Etude de phase II : 38% de succès dans le groupe Sandostatine et 28% dans le groupe placebo. Très bonne tolérance de Sandostatine Population du groupe Sandostatine = critères de gravité plus importants : Score de Karnofsky plus bas, plus antécédents d occlusion. Dans l analyse en sous-groupe : Patients avec Karnofsky > 50 : 60% de succès dans groupe Sandostatine LP et 28% ds groupe placebo.

22 Essai Lanréotide Traitement symptomatique par du lanréotide 30 mg chez les patients présentant une occlusion intestinale inopérable secondaire à une carcinose péritonéale : étude contrôlée

23 Lanréotide microparticules, 30 mg Octapeptide synthétique, analogue de la somatostatine administré par voie intra-musculaire Profil de libération prolongée ~2 semaines : Libération initiale à partir de la surface des microparticules Suivie de la dégradation enzymatique des microparticules de copolymer 4 OBJECTIF DE L ETUDE Comparer l efficacité du lanréotide microparticules 30 mg, contre placebo, dans le traitement symptomatique des patients ayant une occlusion intestinale inopérable due à une carcinose péritonéale 4. Kuhn, 1994

24 Schéma du protocole Schéma Phase en double-aveugle Phase en ouvert De Septembre 2003 à centres : en Belgique, France et Hollande Lanréotide, 30 mg (n=43) avec SNG (n=28) Lanréotide, 30 mg, à la discrétion de l investigateur + consentement du patient Patients randomisés 1:1 lanréotide ou placebo Patients stratifiés par la présence ou absence de SNG Placebo (n=37) Avec SNG (n=23) Temps (jours) Visite finale Injection unique IM. Critère principal: % répondeurs à J7 Injections répétées IM (tous les 10 jours) IM, intra-musculaire SNG, sonde naso-gastrique

25 Critères d inclusion Critères d exclusion >18 ans Occlusion haute (estomac, duodénum, intestin grêle) d origine maligne Carcinose péritonéale confirmée par scanner (<3 mois) Épisodes de vomissements 2 /jour ou patients avec SNG Patients ne relevant pas de la chirurgie (documenté dans le dossier source) Patients traités par corticoïdes (>ou =1 mg/kg ) 5 jours et par IPP (iv) Survie estimée >1 mois Consentement libre et éclairé Liés à la pathologie Occlusion pouvant relever de la chirurgie Traitement anticancéreux dans les 15 jours précédents Occlusion colique Occlusion digestive de causes non malignes Signes de perforation intestinale Liés au Lanreotide Utilisation d autres analogues de la somatostatine pour le traitement de l occlusion intestinale Contre-indication aux injections IM CT, computed tomography

26 Évaluation: phase en double-aveugle Critère principal * : Pourcentage de patients répondeurs à J7 Un répondeur est un patient (sur le carnet-patient ): Pas plus d un épisode de vomissements par jour durant au moins 3 jours consécutifs ou Pas de réapparition des vomissements après le retrait de la SNG durant au moins 3 jours consécutifs Critères secondaires : Réduction des épisodes de vomissements (patients sans SNG à l inclusion) Réduction du volume des sécretions (patients avec SNG à l inclusion) Nombre de jours sans vomissement Réduction des nausées Réduction des douleurs abdominales Amélioration de la qualité de vie (Échelle Visuelle Analogique) Tolérance du traitement *en ITT

27 Répartition des patients Lanréotide Placebo Phase en Double-aveugle Patients Randomisés : 43 (100%) 8 sorties d étude : 7 décès 1 autre Patients Randomisés: 37 (100%) 5 sorties d étude: 4 décès 1 autre Patients à la fin de la phase : 35 (81%) Patients à la fin de la phase : 32 (86%) Phase en ouvert Patients ayant reçu des injections répétées de lanréotide par décision de l investigateur et du patient Patients : 31 (72%) Patients : 28 (76%)

28 Déviations au protocole entrainant une exclusion de la population per protocol Population Per protocol : 26 patients dans le bras lanréotide et 23 dans le bras placebo Raisons les plus fréquentes de l exclusion de l analyse per protocol : Modification des traitements concomitants, exceptés les antalgiques, durant les 7 premiers jours : 8 patients dans le bras lanréotide et 6 dans le bras placebo Non respect des critères d inclusion : 6 patients dans le bras lanréotide et 3 dans le bras placebo Population Per protocol : patients randomisés ayant reçu au moins une injection du traitement assigné et ayant suivi le protocole sans déviations majeures; quelques patients avaient plus d une raison pour être exclus

29 Caractéristiques à l inclusion (1) Lanreotide (n=43) Placebo (n=37) Homme : femme, % 18.6 : : 83.8 Age*, années 62.5 (10.0) 62.2 (13.2) IMC*, kg/m (3.6) 21.3 (5.6) Localisation du cancer Primitif, % Ovaire Colon Estomac Sein Utérus Pancreas Autre/inconnue Site de l occlusion, % Intestin Durée de l occlusion*, jours 23.9 (33.4) 14.6 (11.4) * Moyenne, (SD)

30 Caractéristiques à l inclusion (2) La majorité des patients étaient alimentés par voie parentérale centrale et présentaient un état général détérioré, particulièrement dans le bras lanréotide Nutrition, % Centrale parentérale Parentérale periphérique Parentérale centrale et orale Orale Parentérale péripherique et orale Grade ECOG % 0 Asymptomatique 1 Ambulatoire, autonome et symptomatique 2 Ambulatoire, autonome, symptomatique patient alité <50 % du temps 3 Patient alité ou confiné au lit > 50% du temps 4 Confiné au lit Lanreotide (n=43) Placebo (n=37) *Moyenne (SD); ECOG, Eastern Cooperative Oncology Group

31 Critère principal Pourcentage de répondeurs (ITT) Evaluation patients (carnet) Analyse Critère Principal d Efficacité Intent-to-treat n.s. Per protocol * Evaluation investigateurs Intent-to-treat * Pas d interaction significative entre le traitement et la stratification SNG n.s: non significatif Odds ratio [95% CI] pour la probabilité d être un répondeur sous lanréotide vs placebo [0.68, 4.49] p= [1.03, 12.62] p= [1.009, 7.862] p=0.0481

32 Change from baseline to before day 7 (ml) Critères secondaires fréquence des vomissements et volume des sécrétions Evolution de la fréquence des vomissements (patients sans SNG à l inclusion) Evolution du volume des sécrétions (patients avec SNG à l inclusion) n.s. Fréquence des vomissements : -0.95; 95% CI (-3.55, 1.64); p= Lanreotide (n=21) -259,8 n.s. Placebo (n=15) -212,9 Volume de sécrétion : ; 95% CI ( , ); p= Données ajustées à partir des carnets patients (population en ITT); sur les 3 jours évaluables avant J7

33 Dégradation de la qualité de vie Amélioration de la qualité de vie Critères secondaires amélioration de la qualité de vie (ITT) Mean (SD) baseline scores: lanréotide: 40.8 (22.7) placebo: 39.0 (22.5) p<0.05 p<0.05 p<0.01 Echelle Visuelle Analogique (EVA) score: 0 mm (ne se sent pas bien du tout) à 100 mm (se sent très bien); valeurs du p sont pour les différences entre les groupes de traitement ; données moyennes ajustées à partir des carnets patients (population en ITT)

34 Augmentation de la douleur Diminution de la douleur Critères secondaires Pas de différence entre le lanréotide et le placebo pour : Nombre de jours sans vomissement : 5.0 vs 4.6, respectivement Evolution du nombre des épisodes de nausées (de l inclusion à avant J7 ) : 1.01 vs 0.97, respectivement Scores EVA pour les douleurs abdominales (courbe) Mean (SD) baseline scores: lanréotide: 27.6 (26.0) placebo: 26.9 (25.1) Sur les 3 jours évaluables avant J7; scores EVA : 0 mm (j ai une douleur intense) à 100 mm (je n ai pas de douleur); pas de différence significative entre les groupes de traitements quelque soit le jour; les données sur la courbe sont des moyennes ajustées à partir des carnets patients (population en ITT)

35 Conclusions Deux études françaises ( dont une double-aveugle, contrôlée contre placebo) sur la place des ASS dans la prise en charge palliative de la CP en occlusion Critères d inclusions proches ++(respect des étapes) Peut réduire la fréquence des vomissements et permettre le retrait des SNG Améliore la qualité de vie AAS bien tolérés Difficultés de faire une étude avec un objectif palliatif S ADAPTER!!!

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2 Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE

DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban

Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Point d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:

Point d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes: Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie

Plus en détail

Équivalence et Non-infériorité

Équivalence et Non-infériorité Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay

S. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.

Plus en détail

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.

Plus en détail

Principe d un test statistique

Principe d un test statistique Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo

Plus en détail

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

AVIS DE LA COMMISSION. 30 juin 2004

AVIS DE LA COMMISSION. 30 juin 2004 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE REPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS DE LA COMMISSION 30 juin 2004 BIPERIDYS 20 mg, comprimé pelliculé sécable (Boîtes de 20 et 40) Laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT dompéridone Liste

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Programme commun d'évaluation des médicaments Sommaire

Programme commun d'évaluation des médicaments Sommaire Programme commun d'évaluation des médicaments Sommaire Juillet 2015 Médicament élosulfase alfa (Vimizim) (2 mg/kg) Indication Enzymothérapie substitutive à long terme dans le traitement de la mucopolysaccharidose

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,

Plus en détail

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:

Plus en détail

OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION

OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement»

Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement» Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement» La trousse «Demande de règlement» comprend : un feuillet d instructions, les formulaires à remplir pour demander des indemnités d invalidité et

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE

COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE Unité de Recherche Clinique Avec le soutien de Roche 2 3 Sommaire Avant-propos 3 Accueil 4 Généralités 6 1. Qu est-ce qu une étude clinique? 2. Pourquoi participer à une

Plus en détail

ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD

ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Décret n 2010-1229 du 19 octobre

Décret n 2010-1229 du 19 octobre Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Assurance invalidité de courte durée. Guide du salarié

Assurance invalidité de courte durée. Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Le présent guide contient les formulaires à remplir pour demander des prestations d invalidité et certains renseignements

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments

Plus en détail

Gestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine

Gestion de l insuline iv. : version pour les Soins continus de médecine CENTRE HOSPALIER UNIVERSAIRE VAUDOIS - 1011 Lausanne Service de médecine Centre des Maladies Cardio-vasculaires et métaboliques Service d endocrinologie, diabétologie et métabolisme Gestion de l insuline

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

PROGRAMME (Susceptible de modifications)

PROGRAMME (Susceptible de modifications) Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des

Plus en détail

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Méthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011

Méthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011 Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0

Plus en détail

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.

Plus en détail