Source Laser impulsionnelle à haute cadence dans l ultraviolet. Sébastien Forget
|
|
- Didier Pelletier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Source Laser impulsionnelle à haute cadence dans l ultraviolet Sébastien Forget 20 Novembre 2003
2 Introduction Objectif : répondre à un besoin exprimé par nos collègues biologistes. Quel besoin? Expériences de mesure de temps de vie de fluorescence : excitation par laser de molécules biologiques.
3 Principe mesure de temps de vie de fluorescence I t τ > 50 ns C = 1/T < quelques MHz Intensité LASER I 1 I 2 T laser I 3 I4 I 5 I n Objectif de microscope Impulsion «excitatrice» temps
4 Cahier des charges C laser t laser λ laser P laser = quelques MHz = moins d une nanoseconde = ultraviolet = quelques mw seulement Compacité et simplicité maximales
5 État de l art Laser à verrouillage de modes + sélection d impulsion + conversion de fréquence Diodes laser déclenchées par le gain + amplification + conversion de fréquence Diodes laser déclenchées par le gain ultraviolettes Synchrotron
6 Notre source laser doit être : Efficace Notre choix Robuste Compacte POMPAGE PAR DIODES LASER Entièrement passive Diodes efficaces : 808 nm, 980 nm Cristaux lasers efficaces : proche infrarouge ( 1,06 µm) : Dopage au néodyme Répondant au cahier des charges - ultraviolet, accordable, impulsionnel.
7 Notre source laser doit être : Efficace Notre choix Robuste Compacte POMPAGE PAR DIODES LASER Entièrement passive Répondant au cahier des charges - ultraviolet, accordable, impulsionnel. CHOIX DE LA SOURCE
8 Notre source laser doit être : Efficace Notre choix Robuste Compacte POMPAGE PAR DIODES LASER Entièrement passive Répondant au cahier des charges CHOIX DE LA SOURCE - ultraviolet, accordable, impulsionnel. OPTIQUE NON- LINEAIRE
9 Problématique Laser solide pompé par diode : INFRAROUGE Besoin de convertir la longueur d onde jusqu à L ULTRAVIOLET Or les rendements de conversion sont proportionnels à la PUISSANCE crête de la source. Besoin de puissance : AMPLIFICATEUR
10 Sommaire La source laser L amplification La conversion de fréquence Conclusion
11 Sommaire La source laser L amplification La conversion de fréquence Conclusion
12 Quelle source pour quelles impulsions? Type de laser impulsionnel Durée des impulsions Taux de répétition Déclenché (Q-switch) 1 10 aines ns qql 10 aines à qql 100 aines khz Verrouillage de mode 1 10 aines ps qql 10 aines MHz
13 Quelle source pour quelles impulsions? Taux de répétition 100 MHz Verrouillé en phase 10 MHz 1 MHz 100 khz déclenché 10 khz 1 ps 10 ps 100 ps 1 ns 10 ns 100 ns Durée des impulsions
14 Solution Verrouillage de mode : diminuer la cadence Cadence c 2 L Augmenter L jusqu à plus de 100 m Déclenchement : diminuer la durée t L Pertes Diminuer L jusqu à moins de 500 µm
15 1/ Laser à verrouillage de mode : la cavité géante Principe : augmenter la taille de la cavité grâce à une cellule multipassage. Herriott and Kogelnik, 1965 C = 1 MHz L = 150 mètres
16 1/ LVM : le schéma Diode laser fibrée Miroirs concaves Système d imagerie de la pompe SESAM sur son support de cuivre Cristal laser Nd:YVO 4 avec un miroir HR 1064 nm déposé sur la face arrière Miroirs plans Coupleur de sortie Sortie
17 Miroirs concaves Alimentation de la diode de pompe Boîte de protection Miroirs plans Fibre de la diode laser de pompe Cristal Nd :YVO 4 Lentilles de collimation/focalisation de la pompe SESAM Miroirs de repli
18 1/ LVM : les résultats 1 Intensité (U.A.) ,5-1 -0,5 0 0,5 1 1,5 2 Temps (µs) 884 KHz/170m P moyenne = 100mW E = 113 nj
19 1/ LVM : les résultats 1 Intensité (U.A.) ,5-1 -0,5 0 0,5 1 1,5 2 Temps (µs) 1,2 MHz/125m P moyenne =470mW E = 390 nj
20 1/ LVM : les résultats 1 Intensité (U.A.) ,5 0 0,5 1 Temps (µs) 2,3 MHz/65m P moyenne = 1W E = 435 nj
21 1/ LVM : les résultats autocorrélation ps 0,5 50 Gauss Fit 470 mw 1.23 MHz t p =16.3 ps P peak =23 KW Waist (mm) 0,4 0,3 0,2 0,1 M 2 =1, Delay (ps) 0, Distance (mm)
22 1/ LVM : Conclusion Taux de répétition ajustable autour de quelques MHz Durée des impulsion de moins de 20 ps Faisceau de bonne qualité spatiale (M² =1,1) Puissance crête autour de 25 kw Encombrement : environ 2 m² Robustesse : dépendante du SESAM
23 2/ Laser déclenché : la micro-cavité cavité Principe : Diminuer la taille de la cavité afin de diminuer la durée des impulsions produites. Utiliser un milieu laser à fort gain et un absorbant saturable bien choisi pour atteindre les cadences voulues
24 2/Laser déclenché : Principe Pertes Absorbant saturable N temps Intensité temps t temps
25 Cavité courte 2/Laser déclenché : L absorbant saturable Transmission (%) absorption résiduelle variation de transmission ( R) Choix de R possible Puissance (Unités arbitraires) Fonction miroir + Ab. Sat.
26 2/Laser déclenché : Dimensionnement On peut montrer que : t = 4S p R Tr C = 2 σ L η p A hν P p p τ ( P 2τ R + R) t < 500 ps L = 400 µm C = 1 MHz R = 6%
27 2/Laser déclenché : Schéma Monture Cuivre SESAM 200 µm -Nd:YVO 4 Coupleur de sortie
28 2/Laser déclenché : Schéma Miroir dichroïque HR 1064 nm AR 808 nm POMPE (808 nm) Lentille de focalisation Faisceau laser 1064 nm
29 2/Laser déclenché : La pompe Miroir 808 nm Vers un ampli ON = 0,2 1,5 W Φ = 200 µm Laser Diode laser de pompe fibrée
30 2/Laser déclenché : Résultats Cadence (khz) Durée des impulsions (ps) Puissance de pompe (mw) 600
31 2/Laser déclenché : Cadence des impulsions Gigue temporelle > 2%
32 2/Laser déclenché : Durée des impulsions Intensité (U. A.) t 400 ps Temps (ps)
33 2/Laser déclenché : Profil spatial Pompe forte M² = 2 Pompe faible M² = 1,1 Ajustement théorique M² Waist (µm) Position (mm)
34 2/Laser déclenché : Energie Energie (nj) ,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 Puissance de pompe (en W) Energie très faible : 60 nj soit 60 mw à 1 MHz
35 1/ Laser déclenché : Conclusion Taux de répétition autour de 1 MHz Encombrement : très réduit Durée des impulsion de 400ps Robustesse : dépendante du SESAM Faisceau de bonne qualité spatiale (M² =1,1) Puissance crête autour de 150 W
36 Sommaire La source laser L amplification La conversion de fréquence Conclusion
37 L amplification Multipassage géométrique classique : Zone de gain Cristal Signal Passage 1 Passage 2 Pompe Passage 3 Passage 4 Vue de coupe Zone pompée inutilisée pour l amplification
38 L amplification 3D Zone de gain Pompe 8 passages du signal Cristal amplificateur
39 L amplification 3D en pratique Miroir M Doublet L Cristal amplificateur Pompe F 1 Entrée F F 2 Sortie F 4 F 3 Ω f Réflecteur
40 L amplification 3D en pratique Choix du cristal : Nd:YVO 4 Section 0,00005 efficace importante : permet de limiter le 0, nombre de passages 0, , Energie de sortie (U.A.) Conductivité thermique médiocre : choix du dopage et 0,00003 de la longueur du cristal capitaux 0, ,00002 Anisotropie 0, : choix des systèmes réflecteurs pour 0,00001 s affranchir des effets de polarisation 0, Utilisation 0 de cristaux peu dopés (0,1 %) et assez longs (1 cm) afin de répartir la charge thermique Nombre de passages Nd:YAG Nd:YVO4
41 L amplification 3D en pratique Sortie amplifiée Cristal amplificateur Coin de cube Entrée laser miroir Diode Laser fibrée
42 L amplification 3D en pratique
43 L amplification 3D l aspect «industriel» Historique : 6 Psortie (W) Partenariat ELSA - Nanolase Gain «petit signal» : Dépôt d un Brevet Transfert de technologie Test ampli 3D Laser Nanolase Résultats très probants! Pentrée (mw) 0,1% - 4 passages 0,3% - 4 passages 0,1% - 6 passages 0,3% - 6 passages
44 L amplification 3D résultats Rappel : en sortie du microlaser peu d énergie profil spatial mauvais On utilise un préamplificateur fibré (fibre double cœur dopée Ytterbium) : - Augmentation de l énergie - Filtrage spatial par la fibre
45 L amplification 3D résultats microlaser YDFA Ampli 3D Quelques mw 100 mw (saturé) 4W (saturé) Puissance de sortie (W) Pcrête 10 kw Cadence (khz)
46 Laser déclenché : Conclusion Taux de répétition autour de 1 MHz Encombrement : très réduit Durée des impulsion de 400ps Robustesse : dépendante du SESAM Faisceau de bonne qualité spatiale (M² =1,1) Puissance crête autour de 10 kw
47 Laser déclenché + ampli: Conclusion Taux de répétition autour de 1 MHz Encombrement : très réduit Durée des impulsion de 400ps Robustesse : dépendante du SESAM Faisceau de bonne qualité spatiale (M² =1,1) Puissance crête autour de 10 kw
48 Rappel: LVM cavité longue Conclusion Taux de répétition ajustable autour de quelques MHz Durée des impulsion de moins de 20 ps Faisceau de bonne qualité spatiale (M² =1,1) Puissance crête autour de 25 kw Encombrement : environ 2 m² Robustesse : dépendante du SESAM
49 Sommaire La source laser L amplification La conversion de fréquence Conclusion
50 Problématique Molécules d intérêt biologique absorbent souvent dans l ultraviolet (parfois le visible). Il est intéressant d avoir une certaine plage d accordabilité en longueur d onde. Nos lasers émettent à 1064 nm dans l infrarouge : il faut abaisser leur longueur d onde : Optique Non-Linéaire
51 Génération d harmoniques Il est «facile» de doubler, tripler ou quadrupler la fréquence de nos lasers : Simple passage dans des cristaux nonlinéaires appropriés.
52 Génération de second harmonique 1064 nm 1064 nm LBO, KTP 532 nm
53 Génération de troisième harmonique 1064 nm 1064 nm 355 nm LBO, KTP 532 nm LBO, BBO =
54 Génération de quatrième harmonique 1064 nm 1064 nm 266 nm LBO, KTP 532 nm BBO
55 Quid de l accordabilité? On veut obtenir une accordabilité de plusieurs dizaines de nanomètres dans le visible. On veut un système passif, en simple passage. Génération Paramétrique Optique
56 Génération Paramétrique Optique Signal λ 1 Pompe λ 3 Complémentaire λ 2 Conservation de l énergie : 1 λ 3 = 1 λ λ 2 Le couple λ 1, λ 2 est fixé par la condition d accord de phase
57 L accord de phase Conservation de la quantité de mouvement : k = + soit k k k = k 0 3 k2 k1 Accord de phase par biréfringence : n λ λ = 3 n λ λ 1 n λ λ = Possible en jouant sur la dispersion et les polarisations Fixe les polarisations Détermine le coefficient d eff
58 Le quasi accord de phase k 3 k2 k1 = k 0 Si on inverse périodiquement le coefficient non-linéaire : Λ +χ (2) -χ (2) +χ (2) -χ (2) +χ (2) -χ (2) +χ (2) -χ (2) Lc 2mπ k QAP = k + Λ Où Λ = période d inversion
59 Le quasi accord de phase 5 4 quasi-accord de phase désaccord de phase accord de phase Intensité (UA) Nombre de longueur de cohérence parcourues
60 Le quasi accord de phase 2 d eff, QAP = deff π Mais Plus de contrainte sur les polarisations Possibilité de les choisir afin d avoir accès au meilleur coefficient non linéaire Pas de problème de double réfraction
61 En chiffres et en pratique Cristal le plus utilisé en QAP : le niobate de lithium (ppln) d pm/v donc d eff,qap 17 pm/v Par comparaison en accord de phase «classique» : d eff quelques pm/v
62 Schéma expérimental Source laser à 1 MHz doublée en fréquence λ/2 Miroir HR 532 nm Four Waist = 30 µm Réseau de diffraction Mise en forme du faisceau
63 pompe Lentille de focalisation Signal 660 nm Four contenant le ppln Pompe résiduelle Réseau
64 Résultats : accordabilité 690 Longueur d'onde (nm) µm 9,25 µm 9,5 µm 9,75 µm 10 µm Temperature ( C)
65 Résultats Puissance : quelques dizaines de milliwatts Qualité de faisceau très médiocre Le doublement n est pas trivial
66 Sommaire La source laser L amplification La conversion de fréquence Conclusion
67 Application Laser à cavité géante 3,8 MHz 1064 nm Laboratoire de Photophysique Moléculaire prisme PD Capteur M 532 nm 355 nm Délai électronique ajustable MD Objectif de microscope afocal M Echantillon cellulaire
68 Application image d une coupe de prostate Laboratoire de Photophysique Moléculaire image en transmission image d intensité de fluorescence image des temps de vie de fluorescence
69 Application Intensité de fluorescence intensite fluo 6000 D ata: PIXELSU MMARY_B Mod el: ExpD ec C hi^2 = R ^2 = data ExpDec2 fit of PIXELSUMMARY_B y ± A ± t ±0 A ± t ±0 Laboratoire de Photophysique Moléculaire Data: PIXELSUMMARY_B Mo del: Exp Dec1 Chi^2 = R^2 = Mesure de temps de déclin de fluorescence longs y ± A ± t ± temps (ps)
70 Perspectives Perfectionnement du laser à cavité longue : Encombrement Fiabilité long terme Adaptation aux besoins des utilisateurs Nouvelles longueurs d ondes
71 Conclusion Besoin exprimé et quantifié Réalisation de plusieurs sources Hectolaser Microlaser Amplificateur Application Débouché industriel
72 FIN
73 Equipe de direction Producteur Producteur exécutif Avis féminin Grain de sel Monsieur Patrick Georges Professeur François Balembois Madame la maîtresse Gaëlle Lucas-Leclin Frédéric Druon Avec par ordre d apparition Louis MacDonagh Aude Bouchier Emilie Hérault Stéphanie Le Moal
74 Consulting industriel et scientifique Pierre-Jean Devilder Laurent Lefort Sandrine Lêveque-Fort Décors et costumes Gérard Roger L atelier d Optique L atelier de Mécanique
75 Et aussi Sébastien Chénais Sylvie Yiou Pierre Raybaut Renaud Lebrun Mathieu Jacquemet Celui ou celle que j ai oublié et L ensemble du personnel de l Institut d Optique
76 Merci à tous!
Les technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité
Atelier "Systèmes embarqués d'imagerie 3D par laser" 7 avril 2014, LAAS/CNRS, Toulouse Les technologies laser pour l'imagerie active 3D embarquée et leur niveau de maturité Pierre BOURDON, Laurent LOMBARD,
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailElvire Guiot. To cite this version: HAL Id: tel-00010025 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00010025
microscopie de fluorescence par excitation à deux photons : application à des études de corrélations et de déclins de fluorescence en milieu biologique Elvire Guiot To cite this version: Elvire Guiot.
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLasers de marquage : Un trait. lumière. Machines outils/machines portatives Technologie Laser/Electronique Technologie médicale
Lasers de marquage : Un trait de lumière Machines outils/machines portatives Technologie Laser/Electronique Technologie médicale L outil le plus polyvalent au monde. Sommaire Page 4 Laissez vous convaincre
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailLes impulsions laser sont passées en quarante ans de la
Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailCaractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance
Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance Stéphane Santran Co-tutelle : Centre de Physique Moléculaire Optique et Hertzienne (CPMOH), Talence Laurent Sarger
Plus en détailM1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig
1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLes Contrôles Non Destructifs
Les Contrôles Non Destructifs 1 Méthodes de maintenance MAINTENANCE d'après l'afnor CORRECTIVE PREVENTIVE PALLIATIVE Dépannage (Défaillance partielle) CURATIVE Réparation (Défaillance totale) SYSTEMATIQUE
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailC. C. F TECHNOLOGIES CATALOGUE. Nos solutions pour le contrôle de la chaîne du froid
Nos solutions pour le contrôle de la chaîne du froid CATALOGUE Présentation Les indicateurs de temps/température jetables CCF-Technologies, spécialisée dans la fabrication des indicateurs temps / température
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailLaboratoire de Photophysique et de Photochimie Supra- et Macromoléculaires (UMR 8531)
Unité Mixte du CNRS (UMR8531) Institut de Chimie Directeur : Keitaro NAKATANI (PU ENS Cachan) Courrier électronique : nakatani@ppsm.ens-cachan.fr http://www.ppsm.ens-cachan.fr Problématique générale :
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailCULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases
CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz
Plus en détailAiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure
AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailLa Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.
La Nouvelle Solution Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages Science. Results. Trust. La technologie de PicoWay TM aux pulses ultra-courts nécessite des énergies plus faibles et génère des résultats
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE
ETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE Abstract. It is first demonstrated how it is possible to calculate the amplification coefficient of a laser medium from the efficiency slopes
Plus en détailOn distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de
Plus en détailManipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes
Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailQUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?
QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailTransmission et stockage de l information
Transmission et stockage de l information La transmission d informations peut être libre, c est-à-dire assurée par des ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions de l espace (Wi-Fi, radio,
Plus en détailMOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov
1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailEquipement. électronique
MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques
Plus en détail0.8 U N /0.5 U N 0.8 U N /0.5 U N 0.8 U N /0.5 U N 0.2 U N /0.1 U N 0.2 U N /0.1 U N 0.2 U N /0.1 U N
Série 55 - Relais industriels 7-10 A Caractéristiques 55.12 55.13 55.14 Relais pour usage général avec 2, 3 ou 4 contacts Montage sur circuit imprimé 55.12-2 contacts 10 A 55.13-3 contacts 10 A 55.14-4
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailFAG Detector III la solution pour la surveillance et l équilibrage. Information Technique Produit
FAG Detector III la solution pour la surveillance et l équilibrage Information Technique Produit Principe Utilisation Hautes performances utilisation simple Le FAG Detector III est, à la fois, un appareil
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailP R O PA G AT I O N & C O U L E U R S
P R O PA G AT I O N & C O U L E U R S Modèle de l oeil, lentilles, miroirs, couleurs, synthèse additive et soustractive L ensemble permet une approche globale et simple des phénomènes optiques : propagation
Plus en détailSOMMAIRE. TP "Avancés" TP "Classiques"
CATALOGUE 20 009 SPECIAL TRAVAUX PRATIQUES SOMMAIRE TP "Avancés" Effet Pockels et Modulation Electro-Optique p.3 Effet et Modulation Acousto-Optique p.4 Caractéristiques Electriques et Optiques d une Diode
Plus en détailCOUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE
Caractéristiques: COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE Haute fiabilité Basses pertes d insertion Très basse PDL (Polarization dependent loss- Sensibilité à la polarisation) Uniformité excellente
Plus en détailRecherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur
Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Fabrice Beauville Journées Jeunes Chercheurs 18/12/2003 Les Coalescences Binaires & VIRGO Système binaire d objets compacts (étoiles à neutrons,
Plus en détailGAMME UVILINE 9100 & 9400
GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain
Plus en détailOLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart
COMMUNICATIONS TEST & MEASUREMENT SOLUTIONS OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart Key features Nouveau Nouveau Première fonction de compensation automatique
Plus en détailRapport de l AERES sur la structure fédérative :
Section des Unités de recherche Rapport de l AERES sur la structure fédérative : Fédération Lumière Matière LUMAT sous tutelle des établissements et organismes : Université Paris-Sud Institut d Optique
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailIntroduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.
Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailMicroscopie de fluorescence
Microscopie de fluorescence François MICHEL PhD La microscopie pour débutants (ou pas) Partie 2 Imagerie de fluorescence Ce qui vous attend (encore) Fluorescence?? Microscopie à épi-fluorescence Résolution
Plus en détail«SESSION 2009» RESEAUX DE TELECOMMUNICATIONS ET EQUIPEMENTS ASSOCIES. Durée : 2 h 00 (Coef. 3)
CONCOURS DE TECHNICIEN DES SYSTEMES D INFORMATION ET DE COMMUNICATION «SESSION 2009» CONCOURS INTERNE Questionnaire à choix multiple, soumis au choix du candidat, portant sur le thème suivant : RESEAUX
Plus en détailEtude de la dynamique d un nuage de bulles généré par ultrasons focalisés de forte intensité
Etude de la dynamique d un nuage de bulles généré par ultrasons focalisés de forte intensité M. BEN CHIEKH a,b, C. INSERRA a, B. GILLES a, J.C. BERA a, N. GROSJEAN c, J.L. MARIE c a. INSERM, U3, Lyon,
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailSystème d alarme sans fil GSM / SMS / RFID. www.camshop.fr
Système d alarme sans fil GSM / SMS / RFID Caractéristiques Panneau de contrôle Reconnait jusqu à 10 télécommandes Peut être connectée jusqu à 50 capteurs sans fil (contacts porte / fenêtre, radars ) Peut
Plus en détailActions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd
10 Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd Laurent Moulin, Renault VI, 99, route de Lyon, 69802 Saint Priest, e-mail : laurent.moulin@renaultvi.com D epuis 1974 à aujourd hui, la réglementation
Plus en détailSérie 77 - Relais statiques modulaires 5A. Caractéristiques. Relais temporisés et relais de contrôle
Série 77 - Relais statiques modulaires 5A Caractéristiques 77.01.x.xxx.8050 77.01.x.xxx.8051 Relais statiques modulaires, Sortie 1NO 5A Largeur 17.5mm Sortie AC Isolation entre entrée et sortie 5kV (1.2/
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailSefram SEFRAM 50 SEFRAM 55. Sefram. Découvrez les VAT SEFRAM robustes et compacts. Visitez notre site Web http://www.sefram.fr
SEFRAM 50 SEFRAM 55 Découvrez les VAT SEFRAM robustes et compacts Simplicité d utilisation Les VAT SEFRAM vous offrent une simplicité d utilisation inégalée : lecture directe sur LED ou LCD. Robustesse
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailTABLEAU DE COMMUNICATION GUIDE INSTALLATEUR
TABLEAU DE COMMUNICATION GUIDE INSTALLATEUR Compatible selon version : GRADE 1 GRADE GRADE GRADE + SAT PRÉCÂBLÉ Conforme au guide UTE C 90-8 et à la norme NF C 15-100 Constitution du produit 1 1 - enveloppe
Plus en détailUniversité de Nice Sophia Antipolis Licence de physique
Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement
Plus en détailGAMME UviLine 9100 & 9400
Agro-alimentaire/Biotechnologie/Enseignement/Recherche/Santé/Industrie GAMME UviLine 9100 & 9400 Spectrophotomètres UV & Visible Une combinaison intelligente d innovations n Excellente précision de mesure
Plus en détailFonctions optiques à base de résonateurs et micro-résonateurs couplés
Fonctions optiques à base de résonateurs et micro-résonateurs couplés Yannick Dumeige ENSSAT FOTON / Université de Rennes 1 6 rue de Kerampont, 22300 Lannion yannick.dumeige@enssat.fr Séminaire LPQM ENS
Plus en détailUviLight XTW Spectrophotomètre UV-Vis
Enseignement Agro-alimentaire Sciences Chimie Recherche Laboratoires de référence UviLight XTW Spectrophotomètre UV-Vis Accédez aux meilleures performances grâce à des spécificités optiques supérieures
Plus en détailScanner acoustique NoiseScanner
Scanner acoustique NoiseScanner «Des yeux et des oreilles pour localiser les sources de bruit...» Scanner acoustique NoiseScanner Décibel d Or 2014 Caractéristiques générales Originalités Fruit de 20 ans
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailMesure. Multimètre écologique J2. Réf : 251 055. Français p 1. Version : 0110
Français p 1 Version : 0110 Sommaire 1 Présentation... 2 1.1 Description... 2 1.2 Type d alimentation... 3 1.2.1 Alimentation par générateur... 3 1.2.2 Alimentation par piles... 3 2 Sécurité... 3 2.1 Signalétique
Plus en détailIII.2 SPECTROPHOTOMÈTRES
instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100
Plus en détailLa fibre optique CNAM
La fibre optique - Qu est-ce qu une fibre optique? - Principes de base - Monomode / Multimode - Atténuation, fenêtres de propagation - Principales caractéristiques - Transmission sur fibre optique - Boucle
Plus en détailLe triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique
LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue
Plus en détailFAG Detector II le collecteur et l analyseur de données portatif. Information Technique Produit
FAG II le collecteur et l analyseur de données portatif Information Technique Produit Application La maintenance conditionnelle Principe de fonctionnement Application Le FAG II est, à la fois, un appareil
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailApproche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable
Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailEnova 2014. Le technorama de la REE. Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE. Le 11 septembre 20141
Enova 2014 Le technorama de la REE Jean-Pierre HAUET Rédacteur en Chef REE Le 11 septembre 20141 La REE La REE (Revue de l Electricité et de l Electronique) : principale publication de la SEE 5 numéros
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailEnregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001
Enregistrement et transformation du son S. Natkin Novembre 2001 1 Éléments d acoustique 2 Dynamique de la puissance sonore 3 Acoustique géométrique: effets de diffusion et de diffraction des ondes sonores
Plus en détailCOMPRESSEURS DENTAIRES
FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h
Plus en détailMicroscopie de fluorescence
Rev : 21/01/2015 Microscopie de fluorescence La microscopie pour débutants (ou pas) Partie 2 François MICHEL PhD Quelques images en fluorescence Ce qui vous attend (encore) Fluorescence?? Microscopie à
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailWWW.PROSENSOR.COM NOUVEAU SITE INTERNET S O N D E À C O M P O S T
Le ministère de l écologie a par arrêté du 22 avril 2008, fixé les règles techniques auxquelles doivent satisfaire les installations de compostage ( NOR : DEVP0810090A). Cet arrêté stipule que la température
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailÀ propos de Phenix Systems
À propos de Phenix Systems L innovation, les délais de mise au point et de fabrication, la recherche d économies d énergie, de matières et de coûts, la qualité et la flexibilité constituent aujourd hui
Plus en détail