Partie 1 : De la naissance à deux ans.
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- Marie-Agnès Beauchamp
- il y a 7 ans
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1 Partie 1 : De la naissance à deux ans. I. Introduction. A. Outils. A la différence de Spitz et Bowlby Freud n est pas parti de l enfant pour bâtir sa théorie mais de l adulte (excepté le cas du petit Hans), sur le discours de l adulte. Il a formulé des hypothèses qui au détour d analyses d enfant se sont confirmées. La particularité de la théorie freudienne réside dans l idée de reconstruction du vécu infantile par les patients, c est-à-dire que Freud se base sur les témoignages de ses patients adultes de la cadre de n analyse, sur le récit de souvenirs refoulés dans l inconscient (c est quand même bizarre de parler de souvenirs oubliés non? ), sur «l amnésie infantile». Freud pense que ces éléments enfouis dans l inconscient déterminent le fonctionnement psychique à l âge adulte (au même titre que le développement sexuel de l enfant conditionne les comportements sexuels de l adulte) et leur accorde donc une place essentielle. B. Métapsychologie. La représentation théorique des ces observations cliniques est la Métapsychologie, le discours de la psychologie, constitués des modèles conceptuels qui permettent d accéder à la compréhension des phénomènes psychiques. Elle recouvre trois points de vue. 1. La point de vue dynamique : Là où les conflits se forment soit entre le sujet et son environnement, soit à l intérieur même du sujet, au niveau intrapsychique. Ici, les phénomènes psychiques sont envisagés comme le résultat d un rapport de force entre des désirs contradictoires qui génèrent des conflits pulsionnels entre les instances du psychisme (Conscient, Préconscient et Inconscient dans la première topique, Moi, Surmoi et Ça dans la seconde). Freud s attarde ici sur l aspect qualitatif. 2. Le point de vue économique, centré sur l aspect quantitatif et sur l énergie psychique, son lieu d investissement et sa répartition. 3. Le point de vue topique : Soit la représentation structurale (et non la localisation) de l appareil psychique appréhendé comme un système. C. Concepts importants. 1) Pulsion. Elle est centrale dans cette théorie car elle est le moteur de toute entité psychique, c est une poussée énergétique et motrice qui fait tendre l organisme vers un but. Elle est caractérisée par : 1. Son but : La satisfaction. 2. Sa source : Le lieu de manifestation ainsi que l énergie qui lui est liée. 3. Son objet : Le moyen de satisfaction. Les pulsions sont pour la plupart communes ou au moins comparables d un sujet à l autre tandis que les objets varient, sont individuels, propres à chacun. Ce n est pas la pulsion en soi qui agit au niveau du psychisme mais son représentant : L affect, l état émotionnel qui l accompagne. Freu d a décrit deux systèmes de pulsions en opposition : - d abord (1905) les pulsions sexuelles et les pulsions d autoconservation. 1
2 - Ensuite (1915) les pulsions de vie (incluent les pulsions sexuelles et d autoconservation) versus les pulsions de mort. 2) Libido. C est l énergie dérivée des pulsions sexuelles qui se réparti différemment au cours du développement de l enfant d où l idée d un développement libidinal de l enfant. Elle s investi de diverses façons : Dans le sujet lui-même (le narcissisme) ou dans les objets (qui peuvent être des personnes, le sujet lui même ou des choses). La sexualité de l enfant c est la plaisir associé la satisfaction des pulsions, par exemple le bébé satisfait sa faim en tétant, il éprouve un plaisir associé à la satisfaction libidinale de son besoin. La source des pulsions est essentiellement corporelle dont la maturation du corps détermine la maturation des pulsions (ce qui explique bien la notion d un développement libidinal). Le développement pulsionnel est associé à la succession des zones érogènes qui procurent le plaisir libidinal. II. La construction de la personnalité de la naissance à deux ans. A.Introduction. L investissement pulsionnel du bébé au cours du développement se porte successivement sur les zones qui sont impliquées d une part dans la fonction alimentaire et d autre part dans la fonction d excrétion (d où la distinction stade anal/stade oral). Au début de la vie, l enfant se trouve dans un état d indifférenciation total appelé période de narcissisme primaire. Progressivement il va passer de l auto-érotisme à la relation objectale. Dans l état d indifférenciation il ignore l objet qui peut satisfaire sa pulsion, son appareil psychique est peu élaboré, il n y a pas de Moi ou de Surmoi, il y a juste du Ça. Freud considère que l enfant naît avec un réservoir d énergie pulsionnelle qu il va devoir investir dans un objet à trouver. Le postulat de Freud est que la pulsion libidinale s étaye sur la fonction alimentaire, c est la théorie de l étayage, la mère est peu à peu au plaisir de l enfant (cette vision a longtemps mise en opposition avec la théorie de l attachement en éthologie de Bowlby mais maintenant ça va mieux paraît-il). Donc au cours de la première année, le bébé apprend à dissocier le plaisir satisfait par la mère et le plaisir de voir sa mère indépendamment de tout besoin alimentaire. Le bébé n a pas conscience de l extérieur, ni de lui-même, la théorie de l étayage suppose qu il prend du plaisir à découvrir l existence de sa mère, elle devient un objet libidinal. B. Le stade oral. Il s étend sur l ensemble de la première année théoriquement, c est une phase d organisation libidinal qui va de la naissance au sevrage, en pratique il se prolonge souvent bien au-delà des premiers mois de la vie. 1) Le développement psycho sexuel. a) Caractéristiques de la sexualité infantile. La sexualité infantile est indifférenciée et non organisée, elle est différente de celle de l adulte, notamment sur trois points : 1. Les régions corporelles de grande sensibilité ne sont pas forcément les zones génitales. C est-à-dire que d autres zones vont procurer du plaisir sexuel. 2. Les buts des pulsions sont différents : La sexualité infantile ne conduit pas aux relations sexuelles mais on observe des comportements qui joueront plus tard un rôle dans les comportements sexuels de l adulte (les plaisirs préliminaires en particulier). 3. La sexualité a tendance à être auto-érotique plutôt que dirigé vers des objets. b) Périmètre oral. La bouche est la zone ce ntrale de ce stade évidemment mais elle n est pas la seule. En général toutes les zones qui relève du périmètre aéro-digestif sont des zones particulièrement sensibles à ce stade : L œsophage, 2
3 l estomac, les organes respiratoires (c est pour ça qu on parle de fixation orale des asthmatiques), les organes de la phonation et donc du langage, les organes des sens : La gustation, l olfaction, la vision, le toucher etc.. c) Cannibalisme et angoisses. L enfant appréhende, incorpore son environnement, il intègre tous les éléments appartenant à l extérieur. L objet du désir sexuel est le sein maternel ou son substitut, la première pulsion sexuelle c est l action de téter, son but est double : 1. C est une stimulation agréable d une des zones érogènes dont autoérotisme car période de relation anobjectale, d indifférenciation Moi/Non-Moi. 2. Désir d incorporer les objets (fait très spécifique à l oralité). L objet n a pas vraiment le statut d objet ; le plaisir d avoir se confond avec celui d être (l enfant porte tous les objets à sa portée à sa bouche comme pour les incorporer à son corps ou pour découvrir la barrière entre lui et l extérieur). Progressivement, à travers cette activité cannibale, il découvre que les objets ne sont pas lui et il leur accorde un statut adéquat. Cet objectif d incorporation perpétuelle correspond à des angoisses, à des peurs spécifiques à ce stade, en particulier celle d être mangé par l ogre ou la sorcière. 2) La relation d objet. a) Statut de l objet. On s intéresse à la façon dont le sujet constitue ses objets externes et internes et aussi à la façon donc cela modèle l activité des sujets. Le premier objet de tout individu est sa mère (la mère ou la personne qui accompli le plus grand travail de satisfaction des besoins du bébé). Mais dans cette période la notion d objet pose problème puisque elle n existe pas (le bébé est dans une logique autoérotique, anobjectale), ce qui veut dire que les premières représentations d objets sont parcellaires puisque le bébé n a accès qu a ses propres perceptions. Il n a de relation qu ave des fragments d objets, des objets partiels, utopiques (au sens «sans lieux»). Cette relation à des objets fragmentés s établi sans deux directions : 1. Primaire : Auto-érotisme. 2. Anaclitique qui signifie s appuyer, se coucher sur, ce terme est utilisé par Freud pour rendre compte de l état de dépendance absolue qui lié physiquement le bébé aux personnes qui lui permettent de survivre. A ce stade donc, les morceaux d objets ne peuvent être que fonctionnels et le resteront longtemps, c est-à-dire tout au long de la pré génitalité de l enfant. b) Phases de construction de l objet. 1. Comment se constitue la relation objectale? Elle se constitue lors des périodes d absence de l objet anaclitique. L absence provoque la première prise de conscience, un état d attente nostalgique. 2. L enfant apprend à différencier ses impressions ressenties face à des énervements inhabituels de celles éprouvées face à des événements sécurisants et connus. 3. Au fur et à mesure de la distinction mère/enfant, il apprend à communiquer, il comprend ce qu on lui transmet à travers divers indices perceptifs (voir les interactions précoces). 4. La relation ambivalente à l objet. L objet se construit dans la haine, le bébé se met à mordre, il éprouve le désir de détruire sa mère et en même il a le désir d une union libidinale. L unité primitive rassurante se teinte alors d hostilité mais pourquoi? Parce que la mère n est pas tout le temps là, ne peut pas satisfaire tous les besoins du bébé, elle fait souffrir le bébé d un manqué frustrant qui se manifeste dans la colère. La façon dont la mère va accueillir cette pulsion agressive est très importante donc, cela aura des conséquences sur l avenir psychique de l enfant. Le sevrage représente le premier conflit relationnel de ce stade et surtout de la résolution de ce stade, il est vécu comme une conséquence de l agression, comme une punition, il laisse dans le psychisme la trace permanente de la relation primordiale à laquelle le bébé vient de mettre fin. C.Le stade anal. Il recouvre la deuxième et la troisième année, c est le stade de l acquisition de l autonomie, l enfant apprend à parler, à marcher, à penser à contrôler ses sphincters. 3
4 1) Le développement psycho sexuel. Dès le début de la vie, la notion de plaisir est présente mais ce n est que lorsque l enfant acquiert le contrôle sphinctérien que l acte de défécation peut devenir un acte sur lequel peut se développer une maîtrise suffisante. a) Périmètre oral. La zone pulsionnelle corporelle principale est la muqueuse ano-rectale (ou zone intestinale d excrétion) et tout l intérieur de l abdomen. b) Fonctions. 1. Le contenu intestinal intervient comme un troisième terme dans la relation mère enfant, c est un véritable objet libidinal. 2. Le contenu intestinal est considéré par l enfant comme une partie de son propre corps qu il peut soit conserver à l intérieur soit expulsé. Distinction objet interne et externe. Montée de l angoisse d être dépossédés brutalement du contenu de son corps. 3. Le boudin fécal (c est trop chouette comme nom) est une monnaie d échange entre l enfant et les adultes. Don c le but pulsionnel est d expulser sa production intestinal mais aussi le plaisir lié à la rétention, au choix du moment, à la maîtrise. 2) La relation d objet. a) Sadisme. L enfant a des relations à l autre sur le modèle de celles entretenues avec ses matières fécales, les conflits dans ses relations sont directement liés à ceux générer par l apprentissage de la propreté. La relation à l objet de l enfant à ce stade peut être qualifiée de sadique, c est-à-dire que des composantes agressives sont mêlées à des composantes érotiques, liées au plaisir. La pulsion sadique envers l objet s articule dans cette bipolarité qui consiste à la fois à détruire l objet extérieur et à désirer le conserver, à exercer un pouvoir contre lui, une maîtrise. Cette de cette opposition de pulsion que naît l ambivalence dans la relation d objet caractéristique de cette période. L apprentissage de la propreté permet à l enfant de découvrir : - La propriété privée. - La toute puissance et la surestimation narcissique. - Son pouvoir autoérotique sur son transite. - Son pouvoir affectif sur sa mère qu il va pouvoir récompenser ou frustrer suivant son désir. b) Ambivalence. On a vu que l ambivalence fondée sur une attitude contradictoire à l égard des matières fécales caractérise les relations de l enfant qui va alternativement rejeter sa mère et son entourage, désirer se les approprier, se les introjecter, comme des possessions précieuses. A cette époque l enfant est très intéressé par les couples antagonistes : Les beaux/laids, les gentils/méchants etc. Tout son développement est centré sur l opposition du couple activité/passivité, face à l adule il se sent tour à tour petit et grand. c) Le narcissisme. On constate que la construction du narcissisme est au premier plan à travers l autonomisation locomotrice, sphinctérienne, l enfant développe une sentiment de surpuissance, de toute puissance qu il exprimer en faisant attendre sa mère, en s y opposant etc. 4
5 III. Recherches (à utiliser pour ce cours autant que pour le cours de psychanalyse). Encyclopédie Yahoo. 1)La libido. La libido est l'énergie psychique postulée par Freud comme support des transformations de la pulsion sexuelle quant à son objet, son but et la source de l'excitation sexuelle. Pour Freud, elle rend compte de la présence du sexuel dans la vie psychique et de sa manifestation. Pour Jung, la notion de libido s'est élargie jusqu'à désigner l'«énergie psychique» en général, énergie non spécifiée qui se manifeste dans toutes les tendances, sexuelles ou non, ce que réfute Freud qui maintient le référencé au sexuel. Il n'est pas aisé de trouver chez Freud une définition de la libido, en particulier parce que ce terme reçoit des acceptions différentes suivant les étapes de la conceptualisation de la théorie des pulsions, les avancées relatives à la vie sexuelle normale ou pathologique, le questionnement inlassable sur le problème des névroses, des psychoses et des perversions. Le terme latin de libido signifie «désir», «envie», «aspiration». Tel que Freud l'utilise, il désigne «la manifestation dynamique dans la vie psychique de la pulsion sexuelle». C'est l'énergie «de ces pulsions qui ont à faire avec tout ce que l'on peut comprendre sous le nom amour». Freud conteste par là même le point de vue de Jung, qui voit la libido à l'œuvre dans toutes les formes de tendances et non pas seulement sur le plan sexuel. Dans son Introduction à la psychanalyse ( ), Freud énonce clairement sa position: «Nous ne gagnons rien évidemment à insister avec Jung sur l'unité primordiale de toutes les pulsions et à donner le nom de «libido» à l'énergie se manifestant dans chacune d'elle [ ] Il est impossible, à quelque artifice qu'ont ait recours, d'éliminer de la vie psychique la fonction sexuelle. [ ] Le nom de libido reste réservé aux tendances de la vie sexuelle, et c'est uniquement dans ce sens que nous l'avons toujours employé.» 2) Libido et sexualité La théorie de la libido telle qu'elle a été élaborée par Freud suppose une conception de la sexualité plus large que celle q L'autre aspect de cette conception élargie de la sexualité concerne la question du rapport à l'objet: la libido, nous apprend Freud, peut investir à titre d'objet aussi bien la personne elle-même (libido du moi) qu'un objet extérieur (libido d'objet). Freud désigne sous le terme de narcissisme la première. La libido du moi ainsi envisagée pose dès lors une autre question, celle du but de la pulsion, à savoir la satisfaction, sur laquelle Freud s'interroge lorsqu'il évoque la question du devenir de la libido dans la sublimation. Ce terme, créé par Havelock-Ellis en 1898, désigne, dans une acception large, un comportement qui vise la satisfaction sexuelle en utilisant son propre corps, sans recourir à un objet extérieur (succion du pouce, masturbation). En psychanalyse, l'autoérotisme est un comportement sexuel infantile précoce par lequel une pulsion partielle trouve une satisfaction sur le corps propre. C'est en 1905, dans Trois Essais sur la théorie de la sexualité, que Freud fait l'hypothèse d'une sexualité infantile sous-tendue par les pulsions d'autoconservation (faim, soif), qui étayent les pulsions sexuelles. Celles-ci, composées des 4 éléments: poussée, objet, but, satisfaction, ont la particularité de pouvoir se satisfaire de n'importe quel objet. L'autoérotisme est directement lié à cette contingence de l'objet, particulière à la pulsion sexuelle. Toute pulsion sexuelle est donc originellement autoérotique dans la mesure où elle se sépare de son objet naturel (par exemple le sein maternel) pour se créer, avec le fantasme, une satisfaction autoérotique. En fait, ce qui caractérise l'autoérotisme n'est pas l'absence d'objet, mais cette faculté pulsionnelle à se satisfaire sur place au niveau partiel d'une zone érogène. C'est ce que Freud appelle «le plaisir d'organe». Ce qui fait défaut dans la phase autoérotique du nourrisson, c'est la référence à une image unifiée du corps qui n'apparaîtra que plus tard, avec le narcissisme. L'autoérotisme pourrait se définir comme l'expression de l'état morcelé de la pulsion sexuelle, qui se satisfait d'objets partiels fantasmatiques. Il se confond alors avec ce que Freud appellera le narcissisme primaire dans le cadre de sa seconde topique (moi, ça, surmoi). La notion de désir dans l'œuvre de Freud est déterminante. Fondée sur une conception spécifique de l'homme, elle reste difficile à cerner. Désir et sexualité Dès 1895, la méconnaissance de son propre désir par le sujet apparut à Freud comme une cause du symptôme de la névrose. Son travail avec Charcot sur les patientes hystériques lui avait fait pressentir la présence insistante du désir, au-delà du spectacle que lui offraient les troubles caractéristiques de ces patientes. C'est l'examen de l'une d'entre elle, Emmy von N., qui allait le mettre sur le chemin de ce désir. Emmy von N. ne supportait pas certaines représentations: crapauds, chauves- souris, lézards, un homme tapi dans l'ombre, toutes figures pour elle monstrueuses qui surgissaient autour d'elle, et prenaient chaque fois l'allure d'événements déclenchant un traumatisme. Freud, dans l'analyse, les rapporte à une cause, un désir sexuel. Désir socialement inavouable, 5
6 dissimulé derrière d'autres apparences, faisant irruption dans la réalité, projeté sur des animaux ou des personnes, tous êtres auxquels Emmy, en bonne hystérique, attribue sa propre sensualité. Dans la cure, elle parvient à reconnaître que ce sentiment d'épouvante est en elle et qu'elle l'a ignoré. Freud obtiendra qu'elle exprime ce qui la tourmente, et parviendra finalement à une certaine cessation des symptômes. Le lien entre le désir et la sexualité fut ainsi avéré, tout comme sa reconnaissance par la parole. 3) Les zones érogènes. Parties du corps qui peuvent devenir une source d'excitation sexuelle, zones corporelles, cutanées ou muqueuses, susceptibles d'être le siège de cette excitation. Certaines parties du corps sont fonctionnellement plus érogènes: les zones orales, anales, urétro-génitales, ainsi que le mamelon. Mais, comme Freud le démontre dans la clinique de l'hystérie, n'importe quelle partie du corps peut devenir érogène Dans Trois Essais sur la théorie de la sexualité (1905), Freud pose l'existence de zones érogènes qui déterminent les stades du développement libidinal. Ces zones corporelles prévalentes constituent les points d'élection des échanges entre l'intérieur et l'extérieur du corps. De ce fait les pulsions partielles autoérotiques y prennent leur source (par exemple, la bouche et la succion du pouce). De plus elles font l'objet de soins maternels qui provoquent également des excitations. Ces zones investies de manière privilégiée jouent un rôle décisif dans l'évolution psychosexuelle du sujet. Dans l'hystérie le déplacement du caractère érogène sur toute partie du corps est remarquable. La parenté entre zone érogène et zone hystérogène est indéniable. Charcot provoquait des attaques hystériques par simple pression de ces points hystérogènes. Freud observa que ces attaques hystériques mimaient le coït. Il devint évident pour lui que les points hystérogènes étaient des parties du corps devenues érogènes. Un des cas cliniques présentés par Freud dans les Études sur l'hystérie (1895) illustre cette idée. La jeune Elisabeth von R. ressentait une vive douleur dans la cuisse droite à l'endroit précis où son père, malade, posait sa jambe enflée pour qu'elisabeth lui change son bandage. Cette partie douloureuse de son corps avait pris une valeur érogène en tant que siège d'un symptôme venant remplacer la représentation refoulée de ses désirs incestueux. I. Introduction A. Outils... 1 B. Métapsychologie... 1 C. Concepts importants ) Pulsion ) Libido II. La construction de la personnalité de la naissance à deux ans... 2 A. Introduction... 2 B. Le stade oral ) Le développement psycho sexuel a) Caractéristiques de la sexualité infantile b) Périmètre oral c) Cannibalisme et angoisses
7 2) La relation d objet a) Statut de l objet b) Phases de construction de l objet C. Le stade anal ) Le développement psycho sexuel a) Périmètre oral b) Fonctions ) La relation d objet a) Sadisme b) Ambivalence c) Le narcissisme III. Recherches (à utiliser pour ce cours autant que pour le cours de psychanalyse). Encyclopédie Yahoo ) La libido ) Libido et sexualité ) Les zones érogènes
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