INDICATEURS DE RÉSILIENCE RICHARD CHABOT YANNICK HÉMOND SIMON MORIN ISABELLE PRIMEAU BENOÎT ROBERT
|
|
- Catherine Durand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INDICATEURS DE RÉSILIENCE SYNTHÈSE DE L ATELIER DE TRAVAIL DU 29 NOVEMBRE 2012 RICHARD CHABOT YANNICK HÉMOND SIMON MORIN ISABELLE PRIMEAU BENOÎT ROBERT 1
2 L atelier s est déroulé le 29 novembre 2012 à l École Polytechnique. Il visait les objectifs suivants : Identifier des décisions en lien avec la résilience (continuité des affaires ou opérationnelle / mesures d urgence) ; Identifier des indicateurs en lien avec ces décisions ; Rassembler des intervenants du milieu concernés par la problématique de l évaluation de la résilience (état de préparation). Avec une vingtaine de participants, les travaux ont permis d atteindre l ensemble de ces objectifs. La variété des milieux représentés a également permis de constater que le sujet intéresse les industries, les municipalités, le gouvernement et les consultants. Les participants ont été divisés en trois groupes de travail mixtes en vue de discuter sur les deux aspects de l atelier, soit la prise de décision et les indicateurs de résilience. Avec les résultats, il sera possible d identifier des indicateurs avec lesquels il sera possible de continuer les travaux et de procéder à des implantations au cours de l an prochain (2013). GROUPE DE TRAVAIL SUR LA PRISE DE DÉCISIONS Le travail sur les décisions a permis d identifier de grandes catégories de décisions ainsi que les actions qui y sont associées. Les grandes catégories de décisions sont : la sécurité de la population services essentiels ; l identification des risques à gérer ; la gouvernance, les responsabilités et les rôles (imputabilité) ; le leadership organisationnel. Au niveau des actions, nous retrouvons : planifier, réaliser, évaluer et agir ; identifier les activités critiques (essentielles) ; gérer les risques (contexte, identification, analyse, évaluation, traitement, communication et leadership) ; exercer les plans avec l ensemble des intervenants (interne et externes) ; connaître la capacité à : o intervenir (répondre) ; o réaliser les activités critiques (essentielles). auditer les travaux (aussi par l externe) ; La première partie de l atelier de travail a permis d identifier de grandes catégories de décisions ainsi que des actions que les gestionnaires et la haute direction doivent 2
3 exécuter en vue d assurer la résilience de leur organisation. Ces catégories ont permis d affirmer l importance du leadership et de la compréhension des rôles et responsabilités de chaque personne impliquée dans la résilience organisationnelle. De plus, une connaissance de l ensemble de l organisation, l identification des activités clés, l évaluation de la capacité de réponse et les mécanismes de gestion des risques viennent alimenter le processus de prise de décision efficace et en lien avec les objectifs de l organisation concernant sa résilience. GROUPE DE TRAVAIL SUR LES INDICATEURS Pour accompagner ces grandes catégories de décisions et les actions rattachées, les participants ont été invités, à partir d une liste d indicateur, a en sélectionner au moins trois qui permettent de les évaluer et d expliquer pourquoi. De plus, si les participants connaissaient ou utilisaient d autres indicateurs dans le cadre de leur travail, ils pouvaient les fournir. Les indicateurs identifiés sont : 1. le pourcentage des recommandations réalisées dans les délais suite aux rapports d événements et d exercices ; 2. la capacité de prise en charge d un événement ; En complémentarité, il faudrait spécifier un délai. Peut incorporer les indicateurs suivants : % des centres d urgences conformes ; degré d avancement des plans de missions (ou particulier) en % ; périodicité de la mise à jour des plans et procédures ; périodicité des exercices sur les plans et procédures. 3. la capacité des employés d être résilient à la maison ; 4. nombre (ou pourcentage) des membres de la direction qui participent aux exercices ; 5. évaluation du degré d état d avancement des analyses de risques (en %) ; 6. degré de conformité entre des mécanismes de surveillance dans l organisation et des seuils de fonctionnement acceptables ; 7. capacité d établir les liens avec les partenaires externes ; Savoir qui fait quoi et qui peut intervenir pour soutenir l organisation. Ces indicateurs permettent de mettre en importance différents concepts reliés à la résilience. Premièrement, il y a un besoin de connaissance. Cette connaissance concerne l organisation dans son ensemble (plan, activités, capacité de réponse, etc.). La connaissance est à la base d un processus d analyse de situation et d amélioration de la résilience. Elle permet, entre autre, de cibler les actions nécessaires pour l améliorer. 3
4 Deuxièmement, le concept de capacité de réponse, largement présent dans la littérature scientifique, est également retenu comme élément important par la capacité de prise en charge d un événement. La capacité de réponse d une organisation permet de s assurer d un maintien ou d un rétablissement d un fonctionnement qui est jugé acceptable par les gestionnaires. Finalement, l apprentissage que l organisation fait suite aux exercices et événements auxquels elle a été confrontée. Cet apprentissage est à la base de l adaptation, notion clé de la résilience. Une organisation qui apprend et se met en phase avec son environnement sera en mesure de mettre en place les actions nécessaires pour s adapter et ainsi assurer un fonctionnement acceptable de ses activités. LES 4 INDICATEURS ET LA SUITE Les indicateurs qui sont commun à chacun des groupes de travail sont : 1. le pourcentage des recommandations réalisées dans les délais suite aux rapports d événements et d exercices ; 2. la capacité de prise en charge d un événement ; 3. l évaluation du degré d état d avancement des analyses de risques (en %) ; 4. le degré de conformité entre des mécanismes de surveillance dans l organisation et des seuils de fonctionnement acceptables. Le pourcentage des recommandations réalisées dans les délais suite aux rapports d événements et d exercices Cet indicateur permet de s assurer que l organisation apprend des différents événements auxquels elle est confrontée ainsi que des exercices qui sont effectués. Elle suppose que l organisation a, entre autres : mis en place un processus de retour d événement qui comprend des recommandations avec échéanciers ; mis en place un processus d exercice avec un processus de retour d expérience qui comprend des recommandations avec échéanciers ; mis en place un processus de suivi de réalisation des recommandations. Cet indicateur permet de s assurer que l organisation s améliore suite aux différents événements qui l ont affecté. Ce processus d apprentissage est une composante importante de la résilience organisationnelle. La capacité de prise en charge d un événement Cet indicateur peut regrouper les indicateurs suivants : 4
5 % des centres d urgences conformes ; degré d avancement des plans de missions (ou particulier) en % ; périodicité de la mise à jour des plans et procédures ; périodicité des exercices sur les plans et procédures. Une notion de performance peut être introduite par l entremise d objectifs que l organisation se fixe comme cibles. Cet indicateur permet d évaluer l ensemble du processus de réponse face à une ou plusieurs événements perturbateurs. Il implique que l organisation a mis en place tout un processus de réponse et de suivi. L évaluation du degré d état d avancement des analyses de risques (en %) Cet indicateur permet de faire le suivi des analyses de risques que doit faire l organisation. Ces analyses peuvent être soit de leur propre initiative ou soit exigées par une règlementation. Cet indicateur implique également que l organisation a mis en place un processus de gestion des risques et que les différents éléments à analyser ont été identifiés. Le degré de conformité entre des mécanismes de surveillance dans l organisation et des seuils de fonctionnement acceptables. Cet indicateur permet de s assurer que pour chaque élément à surveiller, il y a : un seuil de fonctionnement acceptable qui a été défini ; un mécanisme de surveillance de ce seuil pour assurer une réponse adéquate au bon moment. La conformité entre ces deux points permet de s assurer d une cohérence dans la surveillance d éléments pouvant potentiellement déclencher des perturbations. Il constitue un des éléments d une évaluation plus large du potentiel de résilience. Ces quatre indicateurs serviront de bases pour la suite des travaux. SUITE DES TRAVAUX L évaluation des participants à l atelier permet de constater qu une majorité de répondant sont prêts à implanter et à valider des indicateurs de résilience. Pour la suite des travaux, une stratégie d implantation devra être développée ainsi que la manière dont ces indicateurs peuvent soutenir la prise de décision. La prochaine rencontre aura lieu ce printemps. 5
exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détailGuide d auto-évaluation
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailprogression premiere et terminale
progression premiere et terminale s.2 s.3 valette SEQUENCE Séance Objectif Contenu du cours Compétences Savoirs 1 1. Le bilan comportemental Identifier les objectifs de la connaissance de soi Utiliser
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailISO/CEI 27001. Technologies de l information Techniques de sécurité Systèmes de management de la sécurité de l information Exigences
NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 27001 Deuxième édition 2013-10-01 Technologies de l information Techniques de sécurité Systèmes de management de la sécurité de l information Exigences Information technology
Plus en détailGUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE
GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE FRVI Mars 2009 Guide sur les indicateurs de performance dans les unités de vérification interne 2 Table des matières Introduction..04
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailExpertise, Indépendance et Performances Durables
Expertise, Indépendance et Performances Durables Atelier «Gouvernance et engagement actionnarial» Chaire «Finance durable et Investissement Responsable» Gwenaël Roudaut Ecole Polytechnique 2 juillet 2012
Plus en détailSujet 2 : Interconnexion de réseaux IP (routeurs CISCO). Sujet 3 : Implémentation d un serveur VPN avec OpenVPN.
UFC CENTRE DE BAB EZZOUAR EXEMPLES DE SUJETS POUR LE PROJET DE FIN D ETUDE OPSIE PROPOSES PAR M. NACEF (ENSEIGNANT) Sujet 1 : Management des risques par la méthode MEHARI. Type : étude, audit. MEHARI est
Plus en détailSCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING
MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING www.univ-littoral.fr PRESENTATION ET OBJECTIFS DE LA FORMATION Pour leur conduite de leurs entreprises
Plus en détailTABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE
PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL
Plus en détailéq studio srl Gestion des informations pour un choix- consommation raisonnée - GUIDE EXPLICATIVE
Résumé PREFACE 2 INTRODUCTION 2 1. BUT ET CHAMP D APPLICATION 2 2. REFERENCES DOCUMENTAIRES ET NORMES 3 3. TERMES ET DEFINITIONS 3 4. POLITIQUE POUR UNE CONSOMMATION RAISONNEE (PCC) 3 5. RESPONSABILITE
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailPréparée par Richard Daveluy, directeur général et Isabelle Daoust, directrice générale adjointe. Août 2012. Politique d approvisionnement 1
POLITIQUE D APPROVISIONNEMENT faisant suite à l adoption du règlement 225-2007, décrétant les règles de contrôle et de suivi budgétaires et de délégation du pouvoir d autoriser des dépenses Préparée par
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailManuel Qualité & Environnement
Page 3 / 29 Sommaire 1. DOMAINE D APPLICATION... 5 1.1 GENERALITES... 5 1.2 PERIMETRE D'APPLICATION... 5 2. REFERENCES NORMATIVES ET PROCEDURES... 8 2.1 PROCEDURES OBLIGATOIRES... 8 2.2 LISTE DES PROCEDURES...
Plus en détailA. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg
Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailC. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS
3ème Séminaire européen du SIDIIEF «Les maladies chroniques : Formation, recherche et leadership clinique en soins infirmiers» 26 mars 2015 Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailLEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE
26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*
Plus en détailFaire simplement mieux
Faire simplement mieux Roch Beauchemin Colloque SOQUIBS et AQIISTI 2010 BEAUCHEMIN BOUCHARD ASSOCIÉS INC 1 Faire simplement mieux Dans le contexte actuel de l informatisation, du degré d avancement de
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailR E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES
R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES A PROPOS DE NOUS Conscio Technologies développe des solutions complètes de formation et de communication afin de
Plus en détailACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ
INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre
Plus en détailMETIERS DE L INFORMATIQUE
METIERS DE L INFORMATIQUE ISO 27001 LEAD AUDITOR REF : GOMO019 DUREE : 5 JOURS TARIF : 3 500 HT Public Toute personne amenée à conduire des audits dans le domaine de la sécurité des systèmes d'information.
Plus en détailDEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM!
DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! NIVEAU DEBUTANT http://www.poker-killer.com/ 1 INTRODUCTION Je m'appelle david Jarowsky, 53 ans. Je n ai jamais été le premier de la clase, ni quelqu un d extraordinaire.
Plus en détailPROGRAMMES D ENTRETIEN
Page 1 sur 10 1 OBJET La présente fiche a pour objet de réunir les directives nécessaires à l élaboration du programme d entretien d un aéronef des catégories de ceux utilisés dans le vol à voile (remorqueurs,
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailGLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER
GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION
Plus en détailOutil 5 : Exemple de guide d évaluation des auditeurs internes
Audit Committee Institute Outil 5 : Exemple de guide d évaluation des auditeurs internes Le comité d audit joue un rôle de plus en plus important dans l orientation et l exécution des travaux de l audit
Plus en détailService de l adaptation scolaire et des services complémentaires
Service de l adaptation scolaire et des services complémentaires 2955, boulevard de l Université, Sherbrooke (Québec) J1K 2Y3 Téléphone : 819 822-5540 Télécopieur : 819 822-5286 Le concept de besoin Dans
Plus en détailErol GIRAUDY et Martine ROBERT LE GUIDE JURIDIQUE DU PORTAIL INTERNET/INTRANET
Erol GIRAUDY et Martine ROBERT LE GUIDE JURIDIQUE DU PORTAIL INTERNET/INTRANET SOMMAIRE REMERCIEMENTS ET PRÄSENTATION DES RELECTEURS III PRÄSENTATION DES CO-AUTEURS V AVERTISSEMENT VII PREAMBULE XVII PREMIERE
Plus en détailPROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD)
PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DU RÉGIME R DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) 1 ICA 15 avril 2008 Le RRMD en chiffres Plus de 500 employeurs 35 900 participants actifs 6 600 retraités 12 000 en 2014 5,5
Plus en détailPOUR LES SERVICES DE TELECOMM U NICA TIONS ENTRE TELUS COMMUNICATIONS FIDUCIE ALBERT
CONVENTION DE LOCATION POUR LES SERVICES DE TELECOMM U NICA TIONS ENTRE TELUS COMMUNICATIONS COMPANY ET FIDUCIE ALBERT Redige Ie 10 octobre 2009 4~ ET: CONVENTION DE LOCATION DE SERVICES DE TELECOMMUNICATIONS
Plus en détailITIL Gestion de la capacité
ITIL Sommaire 1 GENERALITES 3 2 PERIMETRE DE LA GESTION DES CAPACITES 3 3 ACTIVITES ET LIVRABLES DE LA GESTION DES CAPACITES 4 3.1 ACTIVITES ITERATIVES OU GESTION DE PERFORMANCES : 4 3.2 GESTION DE LA
Plus en détailCODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR
CODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR Marie Brac Allocataire de rechercheà l Université Paris-X Nanterre 1. Actuelement, un nombre important d entreprises 1 se dotent
Plus en détailHSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net
HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services
Plus en détailMISE EN CONFORMITE DES CONTRATS DE PREVOYANCE, SANTE ET RETRAITE SUPPLEMENTAIRE
MISE EN CONFORMITE DES CONTRATS DE PREVOYANCE, SANTE ET RETRAITE SUPPLEMENTAIRE MISE EN CONFORMITE DES CONTRATS DE PREVOYANCE, SANTE ET RETRAITE SUPPLEMENTAIRE - Sommaire 2 SOMMAIRE PAGES MISE EN CONFORMITE
Plus en détailRobert LAUNOIS (1-2) (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet : http://www.reesfrance.
«QUELS RÔLES RESPECTIFS POUR LES DIFFERENTS ASSUREURS DE SANTE EN FRANCE?» Robert LAUNOIS (1-2) (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet : http://www.reesfrance.com
Plus en détailL'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE. Controle et assurance. Jacques Charbonnier. larcier
L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE Controle et assurance Jacques Charbonnier larcier TABLE DES MATTERES Du meme auteur Table des matieres Abreviations Sigles Remerciements Avant-propos VII ix XVII XIX xxi
Plus en détailMINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT
Plus en détailBANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité"
BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité" Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de crédit
Plus en détailwww.managementpourtous.com
www.managementpourtous.com OFFRE DE FORMATION EN GESTION DE PROJET PMP (Project Management Professional) Formation complète en gestion de Projet (Préparation à la certification PMP) DU 03 FEVRIER AU 30
Plus en détailLes finances de la commune
Elections municipales mars 2008 Allevard les Bains Les finances de la commune Les finances de la commune Les budgets La dette Les perspectives et nos propositions Les budgets de la commune Le budget de
Plus en détailSylvie FRANCOIS OBJET : 2013 de la. la gestion. Destinataires. Tous services. Contact. Date de validité. Tél : Fax : E-mail : A partir du 1 - AVENANT
Direction des Ressources Humainess et des Relations Sociales Economie RH et ressources Destinataires Tous services Contact Correspondants RH Métiers Tél : Fax : E-mail : Date de validité A partir du 1
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailNetwork storage solutions
Network storage solutions Vous avez de sérieux problème de stockage? Vous voulez rendre disponibles, en temps réel, de grandes quantités de données? Votre système d archivage ne répond plus à l exigence
Plus en détailLOG2420 Analyse et conception d interfaces utilisateur
LOG2420 Analyse et conception d interfaces utilisateur Processus de développement centré utilisateur 1/36 LOG2420 Analyse et conception d interfaces utilisateur Processus de développement centré utilisateur
Plus en détailLEADERSHIP SAGESSE PRATIQUE DÉVELOPPEMENT. Leaders d ici, leaders pour le monde.
LEADERSHIP SAGESSE PRATIQUE DÉVELOPPEMENT Leaders d ici, leaders pour le monde. Le leadership : beaucoup, partout! Plus que tout autre facteur, le leadership affecte le succès d une entreprise Donc, pour
Plus en détailLES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL
LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner
Plus en détailPoll-O Guide de l utilisateur. Pierre Cros
Poll-O Guide de l utilisateur Pierre Cros TABLE DES MATIÈRES Table des matières Table des matières 1 1 Créer un site sur Poll-o.fr 2 2 Configurer le site 2 3 Créer une enquête ou un vote 2 3.1 Ajouter,
Plus en détailSEMINAIRE DE L IFE. Un système de management environnemental basé sur ISO 14001. Presenté par Manoj Vaghjee
SEMINAIRE DE L IFE Un système de management environnemental basé sur ISO 14001 Presenté par Manoj Vaghjee Qu est-ce que l Environnement? INTRODUCTION - ISO 14001 Pourquoi le management environnemental?
Plus en détailCAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC RA 2012. Rapports du conseil d administration et de ses comités
89 Rapports du conseil d administration et de ses comités 90 Rapport du conseil d administration FAITS SAILLANTS 01 Approbation des stratégies de mise en œuvre des priorités de la Caisse visant à obtenir
Plus en détailANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant
ANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant LES QUESTIONS PROPRES À L ÉTUDIANT 4 Ai-je bien identifié mes besoins de formation et d'encadrement et les objectifs que je désire atteindre
Plus en détailGroupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT
Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes
Plus en détailLa mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement
La mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement Journée de formation commissaires enquêteurs du 14 novembre 2013 Crédit photo : Arnaud Bouissou/MEDDE
Plus en détailOuvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3
Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance
Plus en détailSTAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Date : 08/06/98 Origine : ACCG DISI MMES et MM les Directeurs et Agents Comptables - des Centres de
Plus en détailPRÉLIMINAIRES 12-08.01 VÉRIFICATION DES PRÉSENCES
PROCÈS-VERBAL de la huitième (12-08) assemblée régulière du Conseil d administration du Collège de Rimouski tenue le mardi 27 novembre 2012, à 17 h, au local G-130 du Cégep de Rimouski. 1 PRÉLIMINAIRES
Plus en détailÉVALUATION DU RENDEMENT DU PERSONNEL ENSEIGNANT. Guide des exigences et des modalités
ÉVALUATION DU RENDEMENT DU PERSONNEL ENSEIGNANT Guide des exigences et des modalités 2010 Cette publication est postée dans le site Web du ministère de l Éducation au www.edu.gov.on.ca. An equivalent publication
Plus en détailOUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT
OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT Angèle Bilodeau, Ph.D. 1, 2 Marilène Galarneau, M.Sc. 2 Michel Fournier, M.Sc. 1 Louise Potvin, Ph.D. 2 Gilles Sénécal, Ph.D. 2, 3 Jocelyne Bernier, M.Sc.
Plus en détaillj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987
lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties
Plus en détail1. faciliter la création des sociétés à responsabilité limitée (SARL) :
Note de présentation du projet de loi modifiant et complétant la loi n 5-96 sur la société en nom collectif, la société en commandite simple, la société en commandite par actions, la société à responsabilité
Plus en détailUE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion DSCG D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0 Validation des Acquis de l Expérience VAE R é f é
Plus en détailPour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients
Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détailINFORMATIQUE : LOGICIELS TABLEUR ET GESTIONNAIRE DE BASES DE DONNEES
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENRALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION INFORMATIQUE
Plus en détailEspaces numériques de formation Tableau de présentation synthétique des usages pédagogiques
Espaces numériques de formation Tableau de présentation synthétique des usages pédagogiques Le dispositif Présentiel «animé» utilise l'espace numérique pour projeter un support de cours, de la même manière
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailCOPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS. Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS
COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS IMMEUBLE CONSTRUIT ENTRE 1920 ET 1930 168 LOGEMENTS DE PETITE SURFACE (35
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailLe très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche
Le très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche Un choix déterminant d aménagement et de développement du territoire MONTS D ARDÈCHE Pour quels usages? Un développement des usages dans
Plus en détailINVESTIR À propos de Banque Nationale Courtage direct. Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct
Prenez le contrôle avec Banque Nationale Courtage direct 01 Au service des investisseurs canadiens depuis plus de 25 ans Filiale d une des plus grandes institutions financières au pays, offre aux investisseurs
Plus en détailAccord Optionnel de Niveau de Service. Pour Plateforme SMS (SLA) Version 1.5 31/05/2011
Accord Optionnel de Niveau de Service Pour Plateforme SMS (SLA) Version 1.5 31/05/2011 31/05/2011-2/7 1. Etendue des services 1.1. Les Services incluent : Opération des Systèmes Sauvegardes Récupération
Plus en détailFICHE METIER. «Chef de chaîne» Chef de chaîne APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Chef d antenne «Chef de chaîne» APPELLATION(S) DU METIER Chef de chaîne DEFINITION DU METIER Chef de chaîne est en charge de la diffusion technique des programmes. Il est garant de la continuité de la
Plus en détailINTERPRETATION DE LA NORME DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE MANAGEMENT DE LA SECURITE DES DENREES ALIMENTAIRES FSSC 22000
INTERPRETATION DE LA NORME DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE MANAGEMENT DE LA SECURITE DES DENREES ALIMENTAIRES FSSC 22000 UN LIVRE BLANC SUR LES ENJEUX, EFFETS ET PERSPECTIVES DE FSSC 22000 FÉVRIER 2009
Plus en détailJOURNÉE THÉMATIQUE SUR LES RISQUES
Survol de Risk IT UN NOUVEAU RÉFÉRENTIEL DE GESTION DES RISQUES TI GP - Québec 2010 JOURNÉE THÉMATIQUE SUR LES RISQUES 3 mars 2010 - Version 4.0 Mario Lapointe ing. MBA CISA CGEIT mario.lapointe@metastrategie.com
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014-2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014-2015 L organisme de formation professionnelle 72 33 09109 33 SIRET 793 870 684 000 16 1 CATALOGUE DE FORMATIONS Sommaire Qui sommes-nous 2 Modules de formation proposés Module
Plus en détailSAVEZ-VOUS COMMENT FONCTIONNE LE SERVICE? VOICI QUELQUES RECOMMANDATIONS!
VOUS ETES INFIRMIER(E) ADHERENT(E) A L AGAPI VOUS AVEZ SOUSCRIT AU SERVICE POSTE-AGAPE En tant qu infirmier(e) libéral(e), vous êtes dans l obligation de tenir une comptabilité, La comptabilité n est pas
Plus en détailefelec NOTES D'INFORMATIONS TECHNIQUES LES TESTS DIELECTRIQUES LES ESSAIS DE RIGIDITE ET D'ISOLEMENT
NOTES D'INFORMATIONS TECHNIQUES LES ESSAIS DE RIGIDITE ET D'ISOLEMENT efelec Parc d'activités du Mandinet - 19, rue des Campanules 77185 -LOGNES - MARNE LA VALLEE Téléphone : 16 (1) 60.17.54.62 Télécopie
Plus en détailPLAN DE LEÇON TITRE : Qu est-ce que le crédit? Résultats d apprentissage de la littératie financière. Attentes et contenus d apprentissage
70 minutes Résultats d apprentissage de la littératie financière À la fin de la leçon, les élèves pourront : expliquer l objectif du crédit; analyser le rôle et l importance du crédit en ce qui concerne
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailAnalyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015
Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme
Plus en détailPMA.. Quand l intelligence émotionnelle s invite dans le monde de l entreprise La méthode PMA La «Pensée Musicale Active»
PMA.. Quand l intelligence émotionnelle s invite dans le monde de l entreprise La méthode PMA La «Pensée Musicale Active» Ouvrir de nouveaux champs de réflexion personnelle et collective par l'approche
Plus en détailCOMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012
COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel
Plus en détailFiche d accompagnement Épisode 11 «Mon ordinateur a attrapé un virus
Fiche d accompagnement Épisode 11 «Mon ordinateur a attrapé un virus Attention» Niveaux : cycle 2 et 3, 6 e aux clichés, ce n est pas la réalité Si d un fichier, l origine tu ne connais pas, le télécharger,
Plus en détailDéclaration de Wolfsberg sur la surveillance, le filtrage et la recherche
Déclaration de Wolfsberg sur la surveillance, le filtrage et la recherche 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers («groupe de Wolfsberg») 1 a déjà rédigé les déclarations suivantes
Plus en détailLe conseil d enfants La démocratie représentative à l école
Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions
Plus en détailI Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée
1/13 Dans le cadre des dispositions issues du code du travail, il est établi une synthèse du plan d actions. I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée Salaires annuels moyens de
Plus en détailPlan de développement de la Lecture Publique 2008-2012 : bilan
Plan de développement de la Lecture Publique 2008-2012 : bilan Préambule, contexte, méthode Préambule Issu de la fusion des bibliothèques départementales de Savoie et de Haute-Savoie en 2001, Savoie-biblio,
Plus en détailPREAVIS DE LA MUNICIPALITE AU CONSEIL COMMUNAL
PREAVIS DE LA MUNICIPALITE AU CONSEIL COMMUNAL N 32/6.08 DEMANDE D'UN CREDIT DE CHF 40'000.00 POUR UN AUDIT GLOBAL DE SECURITE INFORMATIQUE, POUR L ETABLISSEMENT D UNE POLITIQUE DE SECURITE ET POUR UNE
Plus en détail