Le raisonnement mathématique
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- Hélène Pinard
- il y a 7 ans
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1 avec exercices tirés d extraits de la Première Partie du Chapitre I Sur la nature du raisonnement mathématique de La Science et l hypothèse de Henri Poincaré :
2 2 Les exercices n 1 et n 2 portent sur les premiers paragraphes de la Première partie de La Science et l hypothèse de Jules-Henri Poincaré (1901) Écrire sous la dictée : Exercice n 1 Première partie Le nombre et la grandeur Chapitre premier Sur la nature du raisonnement mathématique. La possibilité même de la science mathématique (1) une contradiction insoluble. Si cette science (2) déductive qu'en apparence, (3) lui (4) cette parfaite rigueur que (5) ne songe à mettre en doute? Si, au contraire, toutes les propositions qu'elle énonce (6) se tirer les unes des autres par les règles de la logique formelle, comment la mathématique ne se (7) -elle pas à une immense tautologie? Le syllogisme ne peut (8) nous apprendre d'essentiellement (9) et, si tout (10) sortir du principe d'identité, tout (11) aussi pouvoir s'y ramener. (12) -t-on donc que les énoncés de (13) ces théorèmes qui (14) tant de volumes ne (15) que des manières détournées de dire que A est A?
3 3 Exercice n 2 Compléter la suite du texte de la dictée précédente en insérant dans chaque espace un mot pris dans la liste qui suit : aucun axiomes clef - conclusions davantage général il faut pas plus - syllogistique Sans doute, on peut remonter aux (16) qui sont à la source de tous les raisonnements. Si on juge qu'on ne peut les réduire au principe de contradiction, si on ne veut pas non plus y voir des faits expérimentaux qui ne pourraient participer à la nécessité mathématique, on a encore la ressource de les classer parmi les jugements synthétiques a priori. Ce n'est pas résoudre la difficulté, c'est seulement la baptiser ; et lors même que la nature des jugements synthétiques n'aurait plus pour nous de mystère, la contradiction ne se serait pas évanouie, elle n'aurait fait que reculer ; le raisonnement (17) reste incapable de rien ajouter aux données qu'on lui fournit ; ces données se réduisent à quelques axiomes et on ne devrait pas retrouver autre chose dans les (18). (19) théorème ne devrait être nouveau si dans sa démonstration n'intervenait un axiome nouveau ; le raisonnement ne pourrait nous rendre que les vérités immédiatement évidentes empruntées à l'intuition directe ; il ne serait (20) qu'un intermédiaire parasite et dès lors n'aurait-on (21) lieu de se demander si tout l'appareil syllogistique ne sert pas uniquement à dissimuler notre emprunt? La contradiction nous frappera (22) si nous ouvrons un livre quelconque de mathématiques ; à chaque page l'auteur annoncera l'intention de généraliser une proposition déjà connue. Est-ce donc que la méthode mathématique procède du particulier au (23) et comment alors peut-on l'appeler déductive? Si enfin la science du nombre était purement analytique, ou pouvait sortir analytiquement d'un petit nombre de jugements synthétiques, il semble qu'un esprit assez puissant pourrait d'un seul coup d'œil en apercevoir toutes les vérités ; que dis-je! on pourrait même espérer qu'un jour on inventera pour les exprimer un langage assez simple pour qu'elles apparaissent ainsi immédiatement à une intelligence ordinaire. Si l'on se refuse à admettre ces conséquences, (24) bien concéder que le raisonnement mathématique a par lui-même une sorte de vertu créatrice et par conséquent qu'il se distingue du syllogisme. La différence doit même être profonde. Nous ne trouverons pas par exemple la (25) du mystère dans l'usage fréquent de cette règle d'après laquelle une même opération uniforme appliquée à deux nombres égaux donnera des résultats ide ntiques. Tous ces modes de raisonnement, qu'ils soient ou non réductibles au syllogisme proprement dit, conservent le caractère analytique et sont par cela même impuissants.
4 4 Exercice n 3 Axiome Hypothèse Syllogisme - Tautologie Théorème Compléter ces définitions avec les verbes proposés (une seule occurrence pour chaque verbe, donné à l infinitif, mais conjugable) : Axiome : (du grec axioma : j'estime, je crois vrai) Vérité que l on sans démonstration et sur laquelle se fonde les théories mathématiques. L'axiome est une " évidence ", contrairement au postulat qui ne l'est pas forcément. Hypothèse : Proposition que l'on accepte comme vraie et à partir de laquelle on pour un problème, ou un théorème. Admettre (1) Découler (1) Démontrer (1) Fonder (1) Formuler (1) Raisonner (1) Résoudre (1) Syllogisme : Raisonnement qui une conclusion sur deux propositions ou prémisses (appelées aussi majeure et mineure) posées comme vraies. Tautologie : Phrase de telle façon qu elle ne puisse être que vraie. Théorème : Proposition démontrée à l'intérieur d'un système mathématique. Un théorème des axiomes et postulats qu'on a posé auparavant.
5 5 Corrigé de la dictée Exercice n 1 Sur la nature du raisonnement mathématique. La possibilité même de la science mathématique semble une contradiction insoluble. Si cette science n'est déductive qu'en apparence, d'où lui vient cette parfaite rigueur que personne ne songe à mettre en doute? Si, au contraire, toutes les propositions qu'elle énonce peuvent se tirer les unes des autres par les règles de la logique formelle, comment la mathématique ne se réduit-elle pas à une immense tautologie? Le syllogisme ne peut rien nous apprendre d'essentiellement nouveau et, si tout devait sortir du principe d'identité, tout devrait aussi pouvoir s'y ramener. Admettra-t-on donc que les énoncés de tous ces théorèmes qui remplissent tant de volumes ne soient que des manières détournées de dire que A est A? corrigé Exercice n 2 Sans doute, on peut remonter aux (16) axiomes qui sont à la source de tous les raisonnements. Si on juge qu'on ne peut les réduire au principe de contradiction, si on ne veut pas non plus y voir des faits expérimentaux qui ne pourraient participer à la nécessité mathématique, on a encore la ressource de les classer parmi les jugements synthétiques a priori. Ce n'est pas résoudre la difficulté, c'est seulement la baptiser ; et lors même que la nature des jugements synthétiques n'aurait plus pour nous de mystère, la contradiction ne se serait pas évanouie, elle n'aurait fait que reculer ; le raisonnement (17) syllogistique reste incapable de rien ajouter aux données qu'on lui fournit ; ces données se réduisent à quelques axiomes et on ne devrait pas retrouver autre chose dans les (18) conclusions. (19) Aucun théorème ne devrait être nouveau si dans sa démonstration n'intervenait un axiome nouveau ; le raisonnement ne pourrait nous rendre que les vérités immédiatement évidentes empruntées à l'intuition directe ; il ne serait (20) plus qu'un intermédiaire parasite et dès lors n'aurait-on (21) pas lieu de se demander si tout l'appareil syllogistique ne sert pas uniquement à dissimuler notre emprunt? La contradiction nous frappera (22) davantage si nous ouvrons un livre quelconque de mathématiques ; à chaque page l'auteur annoncera l'intention de généraliser une proposition déjà connue. Est-ce donc que la méthode mathématique procède du particulier au (23) général et comment alors peut-on l'appeler déductive? Si enfin la science du nombre était purement analytique, ou pouvait sortir analytiquement d'un petit nombre de jugements synthétiques, il semble qu'un esprit assez puissant pourrait d'un seul coup d'œil en apercevoir toutes les vérités ; que dis-je! on pourrait même espérer qu'un jour on inventera pour les exprimer un langage assez simple pour qu'elles apparaissent ainsi immédiatement à une intelligence ordinaire. Si l'on se refuse à admettre ces conséquences, (24) il faut bien concéder que le raisonnement mathématique a par lui-même une sorte de vertu créatrice et par conséquent qu'il se distingue du syllogisme.
6 6 La différence doit même être profonde. Nous ne trouverons pas par exemple la (25) clef du mystère dans l'usage fréquent de cette règle d'après laquelle une même opération uniforme appliquée à deux nombres égaux donnera des résultats identiques. Tous ces modes de raisonnement, qu'ils soient ou non réductibles au syllogisme proprement dit, conservent le caractère analytique et sont par cela même impuissants. Corrigé Exercice n 3 Axiome : (du grec axioma : j'estime, je crois vrai) Vérité que l on admet sans démonstration et sur laquelle se fonde les théories mathématiques. L'axiome est une " évidence ", contrairement au postulat qui ne l'est pas forcément. Hypothèse : Proposition que l'on accepte comme vraie et à partir de laquelle on raisonne pour résoudre un problème, ou démontrer un théorème. Syllogisme : Raisonnement qui fonde une conclusion sur deux propositions ou prémisses (appelées aussi majeure et mineure) posées comme vraies. Tautologie : Phrase formulée de telle façon qu elle ne puisse être que vraie. Admettre (1) Découler (1) Démontrer (1) Fonder (1) Formuler (1) Raisonner (1) Résoudre (1) Théorème : Proposition démontrée à l'intérieur d'un système mathématique. Un théorème découle des axiomes et postulats qu'on a posé auparavant. (à suivre)
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