Introduction à l imagerie par résonance magnétique (1) : magnétisme, résonance, excitation et relaxation
|
|
- François Boivin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Introduction à l imagerie par résonance magnétique (1) : magnétisme, résonance, excitation et relaxation. Kastler 1, 2 et C. Clair 1, 2, D. Vetter 3,. Favreau 4,. llal 2,. Pousse 2, M. Parmentier 2 MGNÉTISME ET MTIÈRE VIVNTE L imagerie par résonance magnétique protonique repose avant tout sur les propriétés magnétiques de la matière. Pour comprendre l origine des propriétés magnétiques de la matière, observons une toupie. u repos, la toupie est couchée sur le côté. Si on lui applique un mouvement de rotation autour de son axe, la toupie se maintient verticale, sous l effet d une force parallèle à son axe de rotation. Cette force est le résultat du moment cinétique (S) engendré par la rotation de la toupie. Si la toupie possède une charge électrique, à la force développée s ajoute une force d aimantation engendrée par le moment magnétique µ. Les deux forces sont représentées par des données vectorielles (voir figure 2). Cette relation liant le magnétisme et le déplacement d une charge électrique avait déjà été découverte au siècle dernier par Œrsted et Faraday (figure 1). Dans la matière vivante, le magnétisme provient des atomes. L atome est composé d un noyau et d électrons qui gravitent selon des trajectoires définies. Le noyau est composé de nucléons répartis en protons et en neutrons. Les protons sont chargés positivement. Un nombre égal de protons et d électrons assure la neutralité électrique de l atome. Pour un noyau, quand le nombre de protons est identique au nombre de neutrons, le moment magnétique résultant est nul. Les principaux constituants atomiques de la matière vivante sont le carbone, l hydrogène, l oxygène, l azote et le soufre. Parmi ces atomes, l hydrogène est le constituant principal des tissus mous constitué de 70 à 90 % d eau. En fait, le noyau de l atome d hydrogène est constitué uniquement par un proton portant une charge positive. Comme il tourne sur lui-même, il possède un moment cinétique appelé spin S. Étant chargé positivement, il possède de plus un moment magnétique µ (en fait lié au spin) que l on peut représenter comme un dipôle magnétique (assimilé à un petit aimant avec un pôle positif et négatif) et animé d un mouvement de rotation (figure 2). 1. Radiologie, CHU de esançon (. Kastler) 2. Laboratoire d image et d ingénierie pour la santé (LIIS), université de Franche-Comté, esançon (. Kastler). 3. Radiologie, CHU de Strasbourg (D. Vetter). 4. Université technique de Compiègne. Figure 1. Réciprocité entre magnétisme et déplacement d une charge électrique : expérience d Œrsted et de Faraday.. Le physicien Œrsted a mis en évidence, en 1820, qu un courant électrique produit un champ magnétique : si l on place une boussole à proximité d un fil où circule un courant électrique, celle-ci s oriente à 90 par rapport au fil conducteur (dans l axe du champ magnétique induit par le courant).. À l inverse, un aimant peut servir à produire un courant électrique. Le physicien français Michel Faraday l a prouvé quelques années après, en 1831 : en introduisant un barreau aimanté dans une bobine conductrice. C est le principe de fonctionnement d une dynamo. La Lettre du Neurologue - n 4 - vol. IV - septembre
2 S N CHMP PRINCIPL STTIQUE o Dans la matière vivante, en l absence de champ magnétique externe, l orientation de l aimantation de chaque proton est aléatoire. Dans cet état, l aimantation de la matière est nulle. Si l on soumet la matière à un champ magnétique, les protons vont se répartir en deux populations sensiblement égales, parallèles ou antiparallèles à o. Les protons de sens parallèle correspondent aux protons de plus bas niveau d énergie (), les protons de sens antiparallèle correspondent aux protons de plus haut niveau d énergie (E2). En fait, le champ magnétique résultant aura pour origine le très faible excès de protons de sens parallèle situé sur le niveau de basse énergie car les spins de sens opposé vont s annuler deux à deux. Pour un champ magnétique de 0,5 Telsa, cet excès représente environ 4 protons pour 2 millions (figure 3). Cela paraît faible, mais il faut se souvenir qu un centimètre cube d eau contient environ milliards de protons : ainsi nos quatre protons en excès représentent tout de même la somme de 135 millions de milliards de protons! Le champ magnétique résultant, lié à cet excès de protons de sens parallèle, constitue le vecteur d aimantation macroscopique o, il est parallèle au champ principal o et adopte un mouvement de rotation autour de son axe (comme le fait individuellement chacun des protons) : c est le mouvement de précession. La fréquence de ce mouvement, ou fréquence de précession, ωo est proportionnelle à l intensité du champ magnétique appliqué. P S Figure 2. Moment cinétique et magnétique du proton - Les protons (noyaux d'hydrogène) sont animés d un mouvement de rotation et portent une charge positive. Une particule qui tourne induit autour d'elle un moment cinétique ou spin aligné sur son axe de rotation représenté par un vecteur S. Une charge qui tourne induit de plus autour d elle un champ magnétique appelé moment magnétique (lié au spin et également aligné sur son axe de rotation) et représenté par un vecteur d aimantation microscopique noté µ. Ils peuvent donc être assimilés à de petits aimants (dipôles magnétiques) avec un pôle nord et un pôle sud. µ un court instant une onde de radiofréquence (appelée également impulsion transversale), on peut modifier l orientation du vecteur d aimantation à condition que la fréquence ωr de l onde appliquée soit égale à la fréquence de précession du proton, ωo : c est la résonance. Pour comprendre le phénomène de résonance, on peut prendre l exemple d une balançoire. Pour provoquer et pour maintenir le mouvement de balancier, il faut pousser la balançoire à la même fréquence que celle du mouvement pendulaire (fréquence propre). De la même façon, en IRM, l impulsion de radiofréquence ωr doit être en résonance avec la fréquence de précession (propre) du proton (ωr = ωo). Lorsque cette condition de résonance est satisfaite, il y a une bascule du vecteur o vers le plan xoy et donc disparition de la composante longitudinale de l aimantation et apparition d une composante transversale (figure 4). µ = 0 M = 0 Z µ = 0 M = 0 Figure 3. En l absence d un champ magnétique externe, les protons µ d'un échantillon tissulaire sont orientés de façon aléatoire en tous sens : la somme des vecteurs d'aimantation élémentaire microscopique ( µ) est nulle et il n'y a pas de vecteur d'aimantation macroscopique (M = 0). Soumis à un champ magnétique extérieur (régnant dans le tunnel), les protons s'orientent selon la direction de ce dernier (Oz) avec apparition d'un vecteur d'aimantation macroscopique ( µ = o). E2 1 Μ 1 Μ Z RÉSONNCE ET ONDE RF Le vecteur d aimantation macroscopique o est très faible par rapport à o, on ne peut pas le mesurer directement, il faut donc le basculer à 90 : c est là qu intervient l onde de radiofréquence 1 (ou deuxième champ magnétique dit tournant). En effet, si on applique au vecteur o en précession, pendant 0,5 T Figure 3. Le champ magnétique résultant, représenté par le vecteur d aimantation o, a pour origine le faible excès de protons (environ 4 pour 2 millions) de sens parallèle sur le niveau d énergie le plus faible () car les spins de sens opposé vont s annuler deux à deux. 220 La Lettre du Neurologue - n 4 - vol. IV - septembre 2000
3 z Β0 0 θ x' m 1 y' Équilibre Figure 4. La conséquence d'une impulsion RF (de 90 ) est une simple bascule ou rotation de M autour de 1 () avec diminution de la composante longitudinale (ou M L, L pour longitudinal) de l'aimantation (o en début d'impulsion) et augmentation de la composante transversale M xy (ou M T, T pour transversal) de l'aimantation (M xym en fin d'impulsion). Pour mieux comprendre cet effet, il est utile d analyser collectivement les mécanismes induits par l onde de radiofréquence au niveau de la population excédentaire de protons (vecteur M) afin d individualiser deux phénomènes, l un concernant l aimantation longitudinale et l autre l aimantation transversale. - L onde de radiofréquence, en fournissant de l énergie au système, favorise le passage (transition) des spins parallèles de basse énergie à l état de spins antiparallèles de haute énergie. Il résulte de ce phénomène une diminution de l aimantation longitudinale. - Par ailleurs, les protons de la matière vivante soumis au seul champ principal o adoptent un mouvement de précession de manière aléatoire, c est-à-dire que la composante transversale résultante est nulle. L onde de radiofréquence a pour conséquence de mettre en phase les protons matière. Ce faisant, elle induit l apparition d une composante transversale à l aimantation. u total, l'impulsion RF, par deux mécanismes bien distincts mais simultanés, transition sur le niveau de haute énergie ( E2) et mise en phase des protons, va jouer sur la composante longitudinale et la composante transversale de M (figure 5 ). Cet état est instable, et dès la fin de l excitation, il va y avoir retour à l'état d'équilibre (stable) au cours duquel les phénomènes inverses vont avoir lieu. D une part, progressivement transitions inverses du niveau E2 vers le niveau (E2 ; antiparallèles parallèles), l aimantation longitudinale repousse et, d autre part, par déphasage des spins, l aimantation transversale disparaît rapidement. La figure 6 résume ce que nous venons d apprendre jusqu à présent sur : 1- l état d équilibre engendré par o avec apparition d une composante de longitudinale de l aimantation o ; 2- l excitation due à l application de l onde RF (disparition de la composante longitudinale o et apparition d une composante transversale ; 0 E2 Impulsion de 90 m Figure 5. pproche schématique des phénomènes de transition et de rephasage des spins, pour une impulsion de 90.. vant l'impulsion RF, il y a 4 protons parallèles en surnombre qui vont être à l'origine de l'apparition d'un vecteur d'aimantation macroscopique M aligné sur o, sans composante transversale car les protons sont déphasés : M est aligné sur Oz, M = o (M xy = o).. L'impulsion RF provoque des transitions : -> E2 (parallèles -> antiparallèles) et un rephasage des protons ( diminue et croît). Deux des protons en surnombre sont passés du niveau au niveau E2 par égalisation des populations sur les deux niveaux d'énergie. Il n'y a plus de composante longitudinale de M ( = o) et est maximal (m) : impulsion de le retour à l état d équilibre par les phénomènes de relaxation T1 et T2. Il apparaît ainsi clairement deux types d'aimantation tissulaire : l'aimantation longitudinale (ou ML parallèle à o qui concerne le T1) et l'aimantation transversale (ou MT perpendiculaire à o qui concerne le T2) (figure 7), dont l'apparition et la disparition font intervenir des mécanismes très différents respectivement : transitions des protons entre les niveaux d' : parallèles E2 : antiparallèles (et inversement), et mise en phase (et déphasage) des spins. L RELXTION Lorsque cesse l impulsion de radiofréquence, les phénomènes inverses concernant l aimantation longitudinale et l aimantation transversale vont se produire, les spins retournent à leur état d équilibre, c est la relaxation. La Lettre du Neurologue - n 4 - vol. IV - septembre
4 0 o 1. État d'équilibre RF 90 m 2. Excitation transfert E2 mise en phase des spins Transfert d'énergie de E2 sur Repousse en T1 T1 3. Retour à l'état d'équilibre T2 Relaxation T1 : transfert E2 T2 : déphasage rapide des spins MZ = 0 MZ Figure 6. Interactions entre l'onde de radiofréquence et les protons placés dans le champ o. 1) Soumis au champ magnétique o, un état d'équilibre apparaît avec une composante longitudinale o de l aimantation tissulaire ; 2) Un apport d'énergie (excitation) par une impulsion RF de 90 entraîne, par égalisation des protons sur les deux niveaux d'énergie et mise en phase des spins, avec respectivement une disparition de la composante longitudinale et apparition d une composante transversale ; () 100 % 95 % 87 % 63 % 3) Cet état est instable, et dès la fin de l'excitation il va y avoir retour à l'état d'équilibre (stable) au cours duquel les phénomènes inverses vont avoir lieu. D'une part progressivement transitions inverses E2 vers (antiparallèles parallèles), l'aimantation longitudinale repousse et d autre part, par déphasage des spins, l aimantation transversale disparaît rapidement. Figure 8. T1 2T1 3T1 temps. L'excitation par l'impulsion RF DE 90 (apport d'énergie : transfert de sur E2) a pour conséquence de faire disparaître la composante longitudinale 0. Dès l'arrêt de l'impulsion RF, il va y avoir retour à l'état d'équilibre (stable) au cours duquel les phénomènes inverses vont avoir lieu, il y a progressivement transitions inverses du niveau E2 sur : l'aimantation longitudinale repousse.. Courbe exponentielle de repousse l'aimantation longitudinale en fonction du T1. Le T1 est caractéristique d'un tissu donné, il correspond à 63 % de repousse. En 2 T1 la repousse est de 87 %, en 3 T1 la repousse est presque totale : 95 % (en 4 T1 repousse = 98 %). Longitudinale (T1) Transversale (T2) Figure 7. Illustration des deux types d'aimantation tissulaire : l'aimantation longitudinale parallèle à o (concerne le T1) et l'aimantation transversale perpendiculaire à o (concerne le T2), dont l'apparition et la disparition font intervenir des mécanismes bien distincts, respectivement : transitions des protons entre les niveaux d' : parallèles E2 : antiparallèles (et inversement), et mise en phase (et déphasage) des spins. D une part, les spins qui s étaient inversés retournent à leur état de spins parallèles sur le niveau de basse énergie. Cela conduit à une repousse de l aimantation longitudinale : c est la relaxation transversale. Le temps nécessaire à la récupération des deux tiers de l aimantation longitudinale est le T1 (figure 8). D autre part, les spins qui avaient été mis en phase pendant l impulsion de radiofréquence vont se déphaser. La composante transversale va alors disparaître rapidement : c est la relaxation 222 La Lettre du Neurologue - n 4 - vol. IV - septembre 2000
5 (m) 100 % 37 % Déphasage des spins Décroissance en T2* 13 % 5 % = 0 T2 2T2 3T2 temps Figure 9.. L'excitation par l'impulsion RF DE 90 a pour conséquence par rephasage des spins, de faire apparaître une composante transversale (). Dès l'arrêt de l'impulsion RF, il va y avoir un rapide déphasage des protons : l'aimantation transversale décroît ( 0).. Courbe exponentielle de disparition de l'aimantation transversale en fonction du T2 : le T2 caractéristique d'un tissu donné correspond à 63 % de décroissance (il persiste 37 % de l'aimantation transversale ). En 2 T2 la disparition est de 87 %, en 3 T2 la disparition est presque totale : 95 %, = 5 % (4T2 disparition = 98 %, = 2 %). transversale. Le temps nécessaire à la disparition des deux tiers de l aimantation transversale est appelé T2 (figure 9). Issus de phénomènes distincts, l un concernant l aimantation longitudinale, l autre concernant l aimantation transversale, T1 et T2 sont indépendants. T1 est toujours supérieur à T2 (environ dix fois). L analyse (mesure) de la relaxation T1 et T2 conduira à la formation d image exprimant respectivement les propriétés T1 et T2 des protons. Pour mesurer la valeur de T1 et T2, il faut accéder à la mesure des vecteurs d aimantation longitudinale et transversale. Cela se fait à l aide d antennes qui vont transformer l aimantation tissulaire (en rotation) en signal électrique (comme le fait une dynamo). Seul le déphasage de l aimantation transversale est mesurable directement, la repousse de l aimantation longitudinale, parallèle au champ principal, n est accessible qu indirectement (en la rebasculant à 90 et en la mesurant immédiatement!). POUR EN SVOIR PLUS. Kastler et al. Comprendre l IRM. Edition Masson, Collection Imagerie médicale, 1994, 1997 et bruno.kastler@ufc-chu.univ-fcomte.fr Films vidéo IRM : Du proton à l image ; Histoire de proton ; Le signal ; L accès au signal ; Le contraste.. Kastler,. Favreau. Université Technique de Compiègne, e.mail : bertrand.favreau@utc.fr La Lettre du Neurologue - n 4 - vol. IV - septembre
Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détail5 >L énergie nucléaire: fusion et fission
LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailContrôle Non Destructif C.N.D.
Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détail5. Les conducteurs électriques
5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailMagnétisme - Electromagnétisme
Magnétisme - Electromagnétisme D re Colette Boëx, PhD, Ingénieur biomédical Neurologie, HUG et Faculté de médecine Figures principalement issues de : - "Physics for scientists and engineers, with modern
Plus en détail3 Charges électriques
3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailContrôle non destructif Magnétoscopie
Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailDifférents types de matériaux magnétiques
Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailÉlectricité statique. Introduction. Quelques étapes historiques importantes
Électricité statique Introduction L'électricité statique peut apparaître comme peu importante de nos jours en regard de l'électrodynamique mais cette dernière a été précédée historiquement par l'observation
Plus en détailpar Alain Bonnier, D.Sc.
par Alain Bonnier, D.Sc. 1. Avons-nous besoin d autres sources d énergie? 2. Qu est-ce que l énergie nucléaire? 3. La fusion nucléaire Des étoiles à la Terre... 4. Combien d énergie pourrait-on libérer
Plus en détailGroupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie
Groupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie Conférence du 19 mai 2006 rue Jean Goujon, 19h certitudes et incertitudes sur la fusion nucléaire - rôle d ITER
Plus en détailCH IV) Courant alternatif Oscilloscope.
CH IV) Courant alternatif Oscilloscope. Il existe deux types de courant, le courant continu et le courant alternatif. I) Courant alternatif : Observons une coupe transversale d une «dynamo» de vélo. Galet
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailLa Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009
La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak
Plus en détailEtrangeté et paradoxe du monde quantique
Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailBases de la mécanique quantique
Mécanique quantique 1 Bases de la mécanique quantique 0. Théorie quantique - pourquoi? La théorie quantique est étroitement liée avec la notion du "dualisme onde - corpuscule". En physique classique, on
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailL'ÉNERGIE ET LA MATIÈRE PETITE EXPLORATION DU MONDE DE LA PHYSIQUE
Partie 1 De quoi c'est fait? De quoi sommes nous faits? Qu'est-ce que la matière qui compose les objets qui nous entourent? D'où vient l'énergie qui nous chauffe et nous éclaire, qui déplace les objets
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailÉlectricité. 1 Interaction électrique et modèle de l atome
4 e - AL Électricité 1 Électricité 1 Interaction électrique et modèle de l atome 1.1 Électrisation par frottement Expérience 1.1 Une baguette en matière plastique est frottée avec un chiffon de laine.
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailF = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailMesure de la surface spécifique
Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant
Plus en détailPHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010
Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailChapitre 15 - Champs et forces
Choix pédagogiques Chapitre 15 - Champs et forces Manuel pages 252 à 273 Après avoir étudié les interactions entre deux corps en s appuyant sur les lois de Coulomb et de Newton, c est un nouveau cadre
Plus en détailDéveloppements en imagerie RMN spirale et application
Développements en imagerie RMN spirale et application à la caractérisation de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique sur deux modèles de tumeurs intracérébrales Marine Beaumont To cite this
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailLes Antennes indépendantes de la fréquence
Conservatoire National des arts et Métiers - Centre régional de Marseille Examen Probatoire en Electronique présenté par Alex BELARBI Lors de la session de septembre 3 Les Antennes indépendantes de la
Plus en détailSDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique
Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailNOYAU, MASSE ET ENERGIE
NOYAU, MASSE ET ENERGIE I - Composition et cohésion du noyau atomique Le noyau atomique est composé de nucléons (protons+neutrons). Le proton a une charge positive comparativement au neutron qui n'a pas
Plus en détailOù est passée l antimatière?
Où est passée l antimatière? CNRS-IN2P3 et CEA-DSM-DAPNIA - T1 Lors du big-bang, à partir de l énergie disponible, il se crée autant de matière que d antimatière. Alors, où est passée l antimatière? Existe-t-il
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détail!!! atome = électriquement neutre. Science et technologie de l'environnement CHAPITRE 5 ÉLECTRICITÉ ET MAGNÉTISME
1 DÉFINITION DE L ÉLECTRICITÉ ET DE LA CHARGE ÉLECTRIQUE 2 LES FORCES D ATTRACTION ET DE RÉPULSION L électricité c est l ensemble des phénomènes provoqués par les charges positives et négatives qui existe
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailLa fusion nucléaire. Le confinement magnétique GYMNASE AUGUSTE PICCARD. Baillod Antoine 3M7 29/10/2012. Sous la direction de Laurent Locatelli
GYMNASE AUGUSTE PICCARD La fusion nucléaire Le confinement magnétique Tokamak JET (http://www.isgtw.org/feature/small-sun-earth) Baillod Antoine 3M7 29/10/2012 Sous la direction de Laurent Locatelli RÉSUMÉ
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI? L'électricité est le moyen de transport de l'énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailGroupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html
Axe principal: EDS Axes secondaires : Groupe Nanostructures et Systèmes Quantiques http://www.insp.jussieu.fr/-nanostructures-et-systemes-.html Institut des NanoSciences deparis http://www.insp.jussieu.fr/
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailPROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo
PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo I - La transformation de Lorentz Dans tout ce qui suit, R(O, x, y, z, t) et R (O, x, y, z, t ) sont deux référentiels galiléens dont les axes
Plus en détail