LES GROUPES SANGUINS
|
|
- Norbert Bonneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES GROUPES SANGUINS GENERALITES 1/ ANTIGENE (Ag) : Substance de nature chimique diverse (protéique, lipidique, glucidique ou mixte) capable d induire une réponse immunitaire et de réagir spécifiquement avec les effecteurs cellulaires et humoraux du système immunitaire. Deux notions fondamentales sont associées à l antigène : IMMUNOGENICITE (ou pouvoir antigénique) SPECIFICITE (précision de la reconnaissance). 2/ ANTICORPS (Ac) : Médiateurs humoraux de la réponse immune par opposition aux médiateurs cellulaires. Déterminant antigénique : épitope Site de liaison de l anticorps avec l épitope : paratope. Ce sont des structures complémentaires La liaison Ag/Ac obéit à la loi d action de masse Ag + Ac AgAc La force de liaison entre un Ag et l Ac correspondant définit l AFFINITE. Cette réaction est réversible.
2 L IMMUNOHEMATOLOGIE L immunohématologie correspond à l étude : des antigènes portés par les éléments figurés du sang. de l immunisation qu ils peuvent induire. des conflits qui en résultent. Actuellement, au moins 29 systèmes de groupes sanguins ont été décrits.
3 DEFINITION DU GROUPE SANGUIN A/ LE GROUPE SANGUIN 1. Il correspond à un ensemble d antigènes allotypiques. (Allotypique signifie : différent d un individu à l autre. Les différents Ags sont distribués par groupe dans une population donnée). 2. Il comporte des antigènes portés par la membrane du globule rouge. 3. Ces antigènes sont génétiquement induits. 4. Ces antigènes sont génétiquement indépendants au sens mendélien du terme. Extension au niveau de la biologie moléculaire. B/ LA LOCALISATION DES ANTIGENES DE GROUPE SANGUIN Deux catégories d antigènes existent : 1. Les antigènes localisés à la fois sur le globule rouge et d autres tissus. Notion de groupe tissulaire. 2. Les antigènes localisés uniquement sur le globule rouge.
4 LE SYSTEME ABO (1) 1. HISTORIQUE 1900, Karl Landsteiner Découverte des antigènes A et B et de leurs anticorps respectifs. 2. ANTIGENES A et B 2.1. Répartition a) sur les hématies b) sur les autres cellules sanguines : leucocytes et plaquettes c) sur les autres tissus (sauf tissu conjonctif et système nerveux central) d) dans les sécrétions - caractère secréteur Nature biochimique Les antigènes A et B sont construits par des enzymes spécifiques : les glycosyltransférases A et B.
5 LE SYSTEME ABO (2) 2.3. Le phénotype Il comprend l ensemble des antigènes s exprimant à la surface du globule rouge. Le groupage ABO comporte obligatoirement la recherche des anticorps sériques correspondants. Par CONVENTION, le groupe sanguin ABO est défini par les antigènes présents sur les globules rouges. LES ANTICORPS PRESENTS DANS LE SERUM CORRESPONDENT A L ANTIGENE OU AUX ANTIGENES ABSENTS A LA SURFACE DES GLOBULES ROUGES Premier niveau de complexité Détermination de l antigène A avec un Ac anti-a de sujet B. Certaines hématies sont moins fortement agglutinées (hématies A2, 20 % des sujets) que d autres (hématies A1, 80 % des sujets). 6 phénotypes courants sont observés : A1, A2, B, O, A1B et A2B.
6 LE SYSTEME ABO (3) 2.5. Aspects génétiques Gènes Ils sont localisés :. sur le chromosome 9 (bras long). sur 2 loci homologues. Sur chaque locus se trouve un gène de la série allèlique A, B et O. Le gène A Ag A Le gène B Ag B Le gène O Aucun produit A ou B (gène amorphe). Génotypes Phénotypes Fréquence* A/A, A/O et O/A A 45 % B/B, B/O et O/B B 9 % A/B et B/A AB 3 % O/O O 43 % * Population caucasoïde DU PHENOTYPE, ON NE PEUT PAS TOUJOURS DEDUIRE LE GENOTYPE Produits des gènes A, B et O Ce sont des enzymes : LES GLYCOSYLTRANSFERASES L enzyme transfère un sucre particulier, immunodominant, sur un substrat donné (la substance H) Gène A enzyme N - acétyl galactosaminyl transférase. Gène B enzyme D galactosyl transférase. Gène O enzyme raccourcie non fonctionnelle.
7 Substrats des enzymes LE SYSTEME ABO (4) PRECURSEURS Il existe des précurseurs de la substance H SUBSTRAT SUBSTANCE H Gène A B O Produit AgA AgB AgH La substance H n est pas transformée par l enzyme «O» non fonctionnelle. 3. LES ANTICORPS anti-a et Anti-B 3.1. Les Acs anti-a et anti-b réguliers Acs réguliers Ils sont régulièrement présents en l absence de l antigène correspondant. Cas particulier : le nouveau-né. Il ne dispose pas de ces Acs à la naissance (Exemple : un nouveau-né de groupe A n a pas d Acs anti-b dans son plasma) Acs naturels Apparition spontanée chez le nourrisson entre 3 et 6 mois Classe de ces Acs Ce sont des Acs complets. Ce sont des immunoglobulines de classe M. Acs agglutinants en milieu salin. Acs plus actifs à +4 C qu à 37 C Les Acs anti-a et anti-b immuns Ce sont des immunoglobulines de classe G observées le plus souvent chez le sujet O. Acs non agglutinants en milieu salin. Actifs à 37 C. Ces Acs sont «acquis» par stimulation immune (transfusion incompatible, grossesse ). Ils sont dangereux en transfusion et responsables d accident d hémolyse indirect (les Acs du donneur agressent les globules rouges du receveur).
8 LE SYSTEME ABO (5) 4. LE GROUPAGE ABO STANDARD 4.1. Principes généraux Détermination des Ags : Epreuve de Beth-Vincent (ou épreuve globulaire) Recherche des Acs correspondants : Epreuve de Simonin (ou épreuve sérique). NECESSITE ABSOLUE D UNE CONCORDANCE ENTRE LES 2 EPREUVES. Les règles de réalisation à respecter sont les suivantes : 2 déterminations ( à partir de deux prélèvements sanguins différents ). Pour une détermination, les conditions de réalisations sont différentes selon qu il existe un automate ou non dans le laboratoire Cas avec automate. Une détermination correspond à une seule réalisation exécutée avec un lot de réactif par un technicien En l absence d automate. Une détermination correspond à deux réalisations exécutées avec un lot de réactif par deux techniciens différents accompagnées d une double saisie manuelle effectuées par deux personnes différentes. L utilisation de deux lots de réactifs différents est abandonnée. Quelques soient les conditions, un contrôle qualité quotidien est à effectuer. L impératif des deux prélèvements distincts est fondamental pour la sécurité transfusionnelle Causes d erreurs Globules rouges agglutinés par tous les sérums-tests Rouleaux-formation (dysglobulinémie, injection de lipides) Agglutinines froides Coagulation (traînées de fibrine) Gelée de Wharton (sang du cordon ombilical) Causes exceptionnelles (par ex. Polyagglutinabilité) Globules rouges non agglutinés par aucun sérum-test
9 Mauvais état de l échantillon +++ (A retenir) Présence d un antigène soluble abondant inhibant le sérum-test Présence d un antigène faible (A faible par exemple) Présence d une agglutination partielle Sous-groupe A3 Leucémie aiguë Mélange d hématies +++ (A retenir) - transfusion de sang incompatible - transfusion de sang de groupe O à un receveur non O - mosaïque ou chimère (exceptionnel) - hémorragie transplacentaire abondante après accouchement.
10 LE SYSTEME ABO (5) suite Absence d une agglutination attendue Physiologique chez le nouveau-né Agglutinine présente mais lysante Agglutinine faible Présence d une agglutinine inattendue Présence d un anticorps anti-a1, anti-p, anti-h LES REGLES TRANSFUSIONNELLES ABO POUR LES GLOBULES ROUGES La règle élémentaire de compatibilité transfusionnelle est de ne jamais transfuser des globules rouges portant l antigène A et/ou B correspondant à l anticorps du receveur. Règles classiques de la compatibilité ABO (cf. Schéma). 1/ Les transfusions où le donneur et le receveur ont le même groupe ABO sont toujours compatibles. 2/ Les hématies de groupe O peuvent être transfusées à des receveurs A, B ou AB. Sujets O «Donneurs universels». 3/ Les receveurs de groupe AB peuvent recevoir des globules A, B ou O. Ces règles sont à respecter impérativement pour assurer la sécurité transfusionnelle.
11 REGLES DE COMPATIBILITE POUR LA TRANSFUSION DES CONCENTRES ERYTHROCYTAIRES (Schéma d Ottenberg 1911)
12 LE SYSTEME ABO (6) 6. CAS PARTICULIERS 1 - PHENOTYPES A FAIBLES, B FAIBLES 2 - PHENOTYPE BOMBAY (pour mémoire) 3 - MODIFICATION ACQUISE DES GROUPES ABO (pour mémoire) - «B LIKE» ACQUIS - MODIFICATIONS AU COURS DES HEMOPATHIES MALIGNES ET DANS LES TISSUS CANCEREUX. Ces modifications sont à distinguer des changements de groupe ABO observés chez les sujets ayant subi une greffe de moelle osseuse. (Exemple : sujet de groupe A devenant O). Ces situations demeurent peu fréquentes mais ne sont pas rares.
13 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (1) Systèmes avec antigènes uniquement présents sur le globule rouge LE SYSTEME RHESUS Système complexe sur le plan de la nomenclature, de son polymorphisme 1. HISTORIQUE 1.1 Découverte en 1939 par P. LEVINE Cadre de la maladie hémolytique du nouveau-né. 1.2 Parallèlement (1940) LANDSTEINER & WIENER L hétéroimmunisation de lapins et de cobayes par des globules rouges de Macacus rhésus induit l apparition d un anticorps qui reconnaît l antigène découvert par LEVINE. Il agglutine environ 85 % des hématies humaines. 2. LES ANTIGENES Au nombre de 5 : D, C, E, c, e. 2.1 L antigène D [RH1] Définit le groupe Rhésus standard avec un sérum anti-d. Chez les caucasoïdes, 85 % des sujets ont leurs globules rouges agglutinés (Rh positif) et 15 % non agglutinés (Rh négatif). 2.2 Les autres antigènes Antigènes C et c [RH2 et RH4] Ils sont antithétiques. Toute hématie C négatif est systématiquement c positif et inversement Antigènes E et e [RH3 et RH5] Ils sont antithétiques. Toute hématie E négatif est systématiquement e positif et inversement.
14 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (2) SYSTEME RHESUS 2.3 Définition des phénotypes, des haplotypes et des génotypes Les sérums-tests permettent la définition du phénotype (Ags présents à la surface du globule rouge) Définition de l haplotype. a) Le concept DCE. La théorie de FISCHER RACE. Une unité génétique Rh = 3 séries de loci étroitement liés avec 3 séries d allèles (D ou d* ; C ou c : E ou e). * L antigène d est théorique. Il n a jamais été décrit. Un haplotype est transmis comme une unité lors de la méiose. Exemple : DCe. b) La théorie de WIENER. Un seul locus Rh avec un seul gène produisant plusieurs facteurs. Nomenclature de WIENER en lettre R. c) Correspondance entre les haplotypes et la nomenclature R. DCe : R1 dce : r DcE : R2 dce : r Dce : R DCE : R z dce : r dce : r y
15 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (3) SYSTEME RHESUS d) La nomenclature de ROSENFIELD. C est la nomenclature internationale RH. e) Exemples. - Phénopype DCCee = R1R1 = RH 1, 2, -3, - 4, 5. - Phénotype dccee = rr = RH -1, -2, - 3, 4, 5. - Phénotype DCcEe = R1R2 = RH 1, 2, 3, 4, Définition du génotype. Elle s effectue à partir des deux haplotypes qui concordent le mieux avec les résulats observés. Elle permet d établir le génotype le plus probable. Pour obtenir le génotype exact, il faut réaliser une étude génétique comportant les parents. En résumé Phénotype observé (établi avec des sérums-tests) Les 2 haplotypes Le génotype probable
16 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (4) SYSTEME RHESUS 2.4 La complexité des antigènes du système Rhésus D faible (D u ) (+++) Réactivité Rh faible. Chez ces sujets, le nombre de molécules antigèniques présentent à la surface de l hématie est plus faible que dans les cas habituels D partiel Variants de C et c, de E et e Antigènes composés Phénotypes déprimés ou silencieux
17 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (5) SYSTEME RHESUS 2.5 Biochimie et génétique Polypeptides de 30 Kd, homologues mais distincts. Chromosome 1 (bras court) Deux gènes liés. D. CcEe. Dans la membrane du globule rouge, existence d un complexe avec les antigènes des sytèmes Ss et Duffy (Fy).
18 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (6) SYSTEME RHESUS 3/ LES ANTICORPS Les plus fréquents des anticorps irréguliers. Le système Rhésus représente le système le plus important en clinique. Par ordre de fréquence décroissante :. anti-d, anti-e, anti-c, anti-c et anti-e. L antigène D est le plus immunogène. Acs immuns... Grossesse, transfusion. Classe IgG. L immunisation est fonction :. d une aptitude individuelle à répondre à l Ag.. de la qualité d Ag injectée.. de la répétition des injections.. de l existence d une incompatibilité ABO entre donneur/receveur, foetus/mère.
19 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (7) SYSTEME RHESUS 4/ GROUPAGE RHESUS 4.1 Principe Le groupage comporte une seule technique : technique directe. Les hématies du sujet à tester sont mises en présence d un sérum-test à activité spécifique anti-d. S il y a agglutination des hématies, le sujet est Rhésus positif. 4.2 Techniques Pour sa réalisation, il est nécessaire de disposer : d un réactif anti-d d un témoin négatif de constitution identique aux réactifs anti-d mais dépourvu de toute activité anticorps spécifique. Réaction : à 37 C en milieu albumineux Les Acs anti-d étant de nature IgG (Acs incomplets), ils ne fonctionnent pas en milieu salin. Technique sur plaque chauffante (Rhésuscope) Technique en microtube à 37 C. Des techniques plus sensibles sont actuellement utilisées (Gel-test, microplaques). 4.3 Règles Les règles de réalisation à respecter sont les suivantes : 2 déterminations ( à partir de deux prélèvements sanguins différents ). Pour une détermination, les conditions de réalisations sont différentes selon qu il existe un automate ou non dans le laboratoire Cas avec automate. Une détermination correspond à une seule réalisation exécutée avec un lot de réactif par un technicien.
20 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (8) SYSTEME RHESUS En l absence d automate. Une détermination correspond à deux réalisations exécutées avec un lot de réactif par deux techniciens différents accompagnées d une double saisie manuelle effectuées par deux personnes différentes. L utilisation de deux lots de réactifs différents est abandonnée. Quelques soient les conditions, un contrôle qualité quotidien est à effectuer. L impératif des deux prélèvements distincts est fondamental pour la sécurité transfusionnelle. 4.4 Causes d erreurs Elles sont nombreuses : Faux positif rouleaux-formation auto-agglutination agrégation des hématies phénomène anti-albumine Faux négatif sang frais sang du nouveau-né atteint de maladie hémolytique Rhésus (D). Les antigènes Rh (D) sont bloqués par les anticorps maternels. mauvaise technique +++. C est la cause d erreur principale Agglutination partielle
21 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (9) SYSTEME KELL 1. LES ANTIGENES 1.1 Antigènes principaux Ce système comporte deux antigènes principaux : K (Kell) [KEL1] k (Cellano) [KEL2] Phénotype Génotype Fréquence K+k- KK 0,002 K-k+ kk 0,91 K+k+ Kk 0,088 En France, environ 9 % des sujets sont K positif. 1.2 Autres antigènes Kpa [KEL3] Kpb [KEL4] Jsa [KEL6] Jsb [KEL7] 1.3 Cas particuliers (Pour mémoire) Phénotype silencieux : K null ou K. Aucun antigène Kell n est détecté Phénotype Mac LEOD et le système Xk. Les antigènes K, Kpb et Jsb sont déprimés. Ce phénotype Mac LEOD est lié à une affection grave, la granulomatose septique chronique garçons.
22 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (10) SYSTEME KELL 1.4 Génétique et biochimie Le gène Kell est localisé sur le bras long du chromosome 7. Ag Kell : glycoprotéine 93 Kd. Ag K x : polypeptide 37 Kd. 2. LES ANTICORPS Anticorps le plus fréquent. C est l anticorps anti-k. Il est acquis par allo-immunisation (grossesse, transfusion). Il appartient à la classe des immunoglobulines G. D autres anticorps peuvent être observés : - anti-k, anti-kpb... Ces derniers anticorps se développent immédiatement après la première transfusion et sont dangereux pour le receveur (accident hémolytique grave).
23 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (11) SYSTEME DUFFY 1. LES ANTIGENES 1.1 Les antigènes les plus fréquents Ce sont les antigènes Fy a [FY1] et Fy b [FY2]. Chez les caucasoïdes : Phénotype Génotype Fréquence Fy (a+b-) Fy a Fy a 0,195 Fy (a-b+) Fy b Fy b 0,330 Fy (a+b+) Fy a Fy b 0, Le phénotype Fy (a-b-) Très fréquent chez les noirs (70 %). Présence d un allèle silencieux Fy. 1.3 Génétique et biochimie Le gène Duffy est situé sur le bras long du Chromosome 1. L antigène Fy a est une glycoprotéine de membrane érythrocytaire (35-55 Kd). Cette glycoprotéine est très sensible à l action des enzymes.
24 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (12) SYSTEME DUFFY 2. LES ANTICORPS Ils apparaissent par : allo-immunisation (grossesse, transfusion) anti-fy a (IgG). C est le plus fréquent mais il est très rare chez les noirs. anti-fy b. 3. DUFFY ET PATHOLOGIE ( Pour mémoire ) Sur les hématies Fy (a-b-) des sujets noirs, il n existe pas de passage membranaire de Plasmodium vivax et Plasmodium knowlesi, agents du paludisme. Par contre, il y a pénétration des hématies Fy (a+) ou Fy (b+). Une relation système Duffy et anémie falciforme (HbS) a été décrite. L antigène Duffy faciliterait l acrrochage des agents Plasmodium vivax et Plasmodium knowlesi sur leur récepteur.
25 LES SYSTEMES IMMUNOGENES (13) SYSTEME KIDD 1. LES ANTIGENES Deux antigènes ont été décrits : Ag Jk a [JK1] très immunogène Ag Jk b [JK2]. Phénotype Génotype Fréquence Jk (a+b-) Jk a Jk a 0,28 Jk (a-b+) Jk b Jk b 0,22 Jk (a+b+) Jk a Jk b 0,50 Le phénotype Jk (a-b-) est exceptionnel. Le gène Kidd est localisé sur le bras long du chromosome 18. Ces antigènes seraient localisés sur une protéine de transport de l urée. 2. LES ANTICORPS Les anticorps sont acquis par allo-immunisation (transfusion, grossesse,...). Le plus fréquent est l anticorps anti-jk a. L identification de l anticorps anti-jka est très difficile chez les malades polytransfusés. C est un anticorps qui fixe bien le complément. Il est dangereux en transfusion. En raison de la difficulté de son identification, sa présence doit être évoquée ou soupçonnée devant tout accident hémolytique ou transfusion inefficace, inexpliquée.
26 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (1) LA RECHERCHE D ANTICORPS IRREGULIERS ANTI-ERYTHROCYTAIRES 1. POURQUOI LA RECHERCHE D ANTICORPS IRREGULIERS (R.A.I.)? Elle est indispensable pour la sécurité transfusionnelle. Elle doit être effectuée chez tout malade devant recevoir une transfusion. Elle doit être répétée chez tout malade polytransfusé AU BON MOMENT. Elle est indispensable chez la femme enceinte pour assurer le diagnostic et le suivi de la maladie hémolytique du nouveau-né. 2. LES PRINCIPES FONDAMENTAUX Une R.A.I. correspond à la recherche d anticorps libres sériques réalisée par la mise en présence du sérum du patient avec des hématies tests d antigènicité connue dans un certain nombre de systèmes de groupes sanguins ( Rhésus, Kell, Duffy, MNSs, Kidd ). Ils sont au nombre de QUATRE : 1- Eventail de techniques 2- Choix des hématies-tests 3- Technique correcte du test de Coombs indirect ( Test à l antiglobuline ). 4- Date de la RAI. Afin d assurer un résultat fiable, ces principes fondamentaux doivent être strictement respectés pour chaque R.A.I.
27 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (2) 3. TECHNIQUES 3.1 Eventail de techniques Les techniques sont nombreuses. Elles sont à utiliser CONJOINTEMENT. Un minimum de 2 techniques doit être employé simultanément et une des techniques doit comporter un test à l anti-globuline. Par exemple : - Gel-test (Diamed) - Test en tube. - Polybrène automatique. ATTENTION : Il n existe pas de technique détectant tous les anticorps irréguliers antiérythrocytaires. Il est indispensable d en utiliser plusieurs, validées par le laboratoire. De plus, le laboratoire doit s assurer que les techniques qu il utilise fonctionnent normalement au quotidien. 3.2 Choix des hématies tests +++ Il est fondamental. Les antigènes portés par les hématies-tests sont déterminés dans plusieurs systèmes de groupes sanguins Le dépistage Panel de dépistage : permet de détecter, jamais d identifier. Les hématies-tests sont choisies de façon à comporter le maximum d antigènes. Réponse : présence ou absence d anticorps irréguliers.
28
29 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (3) L identification Lorsque le dépistage est positif, il est indispensable de réaliser l identification de la spécificité du ou des anticorps présents. - Panel d identification : 10 échantillons avec des normes précises. - Panel de référence : 10 échantillons phénotypés dans tous les systèmes de groupes sanguins connus et pour le plus grand nombre d antigènes «publics» et «privés». 3.3 La réaction de Coombs ( Test à l antiglobuline ) Deux grands types de réaction : - la réaction directe. - la réaction indirecte. Ces réactions sont basées sur l agglutination des hématies. 1/ La réaction directe. C est un test globulaire. Il met en évidence les anticorps fixés sur les globules rouges «in vivo». 2/ La réaction indirecte. C est un test sérique. Cette réaction est utilisée dans le cadre de la R.A.I. Il met en évidence la présence d anticorps dans le sérum en plaçant ce dernier en contact «in vitro» avec les globules rouges. SCHEMAS Choix des globules rouges. Choix de l antiglobuline :
30 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (4) - polyvalente - spécifique (anti-immunoglobuline G, anti-complément). 3.4 La date de réalisation de la R.A.I. Une R.A.I. est valable 3 jours à compter de sa date de réalisation. Cette validité est particulièrement importante à respecter chez les patients polytransfusés.
31 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (5) 4. L EPREUVE DE COMPATIBILITE Chez un patient porteur d anticorps irréguliers anti-érythrocytaires, il est indispensable de sélectionner les unités de concentrés érythrocytaires qui vont lui être transfusées. Les hématies devront être dépourvues des antigènes contre lesquels les anticorps du receveur sont dirigés. L épreuve de compatibilité est obligatoire chez ces patients. Avant la distribution, il faut effectuer une épreuve de compatibilité directe avec les hématies du donneur en présence du sérum pré-transfusionnel du receveur. Aucune réaction d agglutination et/ou de lyse dans les techniques positives en R.A.I. ne doit être observée. Cette épreuve est recommandée chez les patients polytransfusés ne possédant pas d anticorps irréguliers anti-érythrocytaires et chez la femme enceinte.
32 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (6) LE PHENOTYPE ERYTHROCYTAIRE 1. DEFINITIONS Le phénotypage érythrocytaire correspond à la recherche des produits d expression ( antigènes ) à la surface des hématies des gènes de groupes sanguins. En pratique clinique transfusionnelle, le phénotypage érythrocytaire concerne aussi bien le receveur que le donneur. A l échelon du receveur, deux niveaux de phénotype érythrocytaire ( en dehors des groupages ABO et Rhésus standard [ RH1 ] ) existent : - La détermination du phénotype Rhésus Kell. - La détermination du phénotype étendu. A l échelon du donneur, ces deux niveaux de phénotypage sont présents. Le but de ces examens réalisés chez le donneur est de mettre à disposition du receveur des concentrés érythrocytaires compatibles. 2. LA DETERMINATION DU PHENOTYPE Rhésus Kell Elle consiste à rechercher à l aide de sérums-tests appropriés la présence ou l absence à la surface des hématies du sujet testé des antigènes C [ RH 2 ], E [ RH 3 ], c [ RH 4 ], e [ RH 5 ] et K [ KEL 1 ]. Les conditions de réalisation sont fonction de l automatisation et du système informatique du laboratoire. - Si le laboratoire est automatisé et informatisé, une détermination repose sur une seule réalisation exécutée à l aide d un lot de réactifs et par un ( e ) technicien ( ne ). - Dans les autres cas, la règle des deux s applique. une détermination nécessite : Deux réalisations techniques
33 Deux techniciens ( es ) différents ( es ). TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (7) La saisie manuelle des résultats est effectuée par double saisie par deux personnes différentes. Un phénotypage Rhésus Kell valide est réalisé sur deux prélèvements à raison d une détermination par prélèvement. 3. LA DETERMINATION DU PHENOTYPE ETENDU Elle consiste à rechercher à l aide de sérums-tests appropriés la présence ou l absence à la surface des hématies du sujet testé des antigènes en dehors des systèmes ABO, Rhésus, Kell. Exemples : Système Duffy : Antigènes Fy a [ FY 1 ] et Fy b [ FY 2 ]. Système Kidd : Antigènes Jk a [ JK 1 ] et Jk b [ JK 2 ]. Système MNSs : Antigènes S [ MNS 3 ] et s [ MNS 4 ]. Les règles de réalisation sont les mêmes que pour le phénotypage Rhésus Kell.
34 TECHNIQUES DE BASE EN IMMUNOHEMATOLOGIE (8) LE CONTROLE ULTIME AU LIT DU MALADE +++ Circulaire du 15 décembre 1965 Elle rend le contrôle ultime au lit du malade obligatoire. Deux modalités techniques : 1- Contrôle des groupes du receveur et du sang qui lui est destiné au moyen de la méthode de Beth-Vincent. Carte de contrôle prétransfusionnel (cf. Schéma). - Sang du flacon, les premières gouttes sortant du dispositif transfusionnel. - Sang du receveur, les premières gouttes sortant de l aiguille intraveineuse ou du sang prélevé par piqûre du doigt ou de l oreille. Confrontation des réactions d agglutination et d absence d agglutination obtenues sur les globules rouges du receveur et ceux de l unité à transfuser. 2- Contrôle direct de la compatibilité Sérum ou plasma du malade en présence du sang à transfuser.
35 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (1) UN DES ASPECTS FONDAMENTAUX DE LA TRANSFUSION Elle intéresse entre autres : 1/ LA PREVENTION DES ACCIDENTS TRANSFUSIONNELS DE TYPE IMMUNOLO- GIQUES (par exemple : accidents hémolytiques par incompatibilité ABO) 2/ LA PREVENTION DES MALADIES INFECTIEUSES TRANSMISSIBLES PAR TRANSFUSION. Elle implique le centre de transfusion comme les prescripteurs et utilisateurs de produits sanguins. Elle doit être : - CONSTANTE (maintien de la vigilance) - EVOLUTIVE (introduction de nouvelles méthodes de diagnostic, renforcement du suivi transfusionnel, formation des personnels). Au sein des établissements hospitaliers des secteurs public et privé, il a été mis en place une structure dont la mission principale est d assurer le suivi des actes transfusionnels : l hémovigilance.
36 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (2) 1/ LA PREVENTION DES ACCIDENTS HEMOLYTIQUES Les réactions hémolytiques d origine immunologiques sont des complications majeures et souvent graves des transfusions sanguines. 1.1 Circonstances de survenue Deux notions à retenir : tous les accidents hémolytiques même graves ne sont pas répertoriés (diminution de ce phénomène depuis l installation de l hémovigilance). de nombreuses réactions hémolytiques sont méconnues du fait de la discrétion ou de l abscence de signes cliniques. Trois groupes de patients sont particulièrement exposés : * les femmes * les patients en milieu chirurgical * les sujets âgés.
37 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (3) 1.2 Tableaux cliniques Ils sont caractérisés par leur diversité : Les formes graves Hémolyse intravasculaire aiguë. Sur le plan clinique, peuvent être notés : a) Chez le receveur conscient : - une sensation de malaise avec angoisse - des frissons avec hyperthermie - une pâleur - des douleurs lombaires - une cyanose péribuccale et des extrémités L apparition d un ou de plusieurs de ces symptômes impose l arrêt immédiat de la transfusion. Des complications graves peuvent se produire : - le collapsus cardiovasculaire avec une chute majeure de la tension artérielle. - un syndrôme hémorragique sous la forme d une coagulation intravasculaire disséminée (C.I.V.D.) - une insuffisance rénale aiguë avec oligoanurie. Chez des sujets fragiles, ces complications sont gravissimes. b) Chez le malade inconscient (coma ou anesthésie générale) : Les symptômes qui apparaissent témoignent d un accident déjà avancé : - chute voire effondrement de la tension artérielle (collapsus cardiovasculaire) - saignement en nappe sur les champs opératoires (C.I.V.D). - urines rouges témoignant de l hémoglobinurie. L hémolyse se traduit par : - une hémoglobunémie - un ictère conjonctival puis cutanéomuqueux.
38 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (3) suite Les formes mineures a) la réaction fébrile L hyperthermie peut être modérée. b) la transfusion inefficace. Chez le patient anémique, le taux d hémoglobine avant et après transfusion de concentrés érythrocytaires est le même. IMPORTANCE D UNE SURVEILLANCE POST-TRANSFUSIONNELLE STRICTE APRES TOUTE TRANSFUSION. Des accidents retardés peuvent survenir jusqu à heures post-transfusion.
39 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (4) 2/ MOYENS DE PREVENTION DES ACCIDENTS 2.1 La réalisation du groupage ABO Rh standard 2.2 La réalisation du phénotypage érythrocytaire Concerne les antigènes C, c, E et e du système Rhésus et les antigènes K et k du système Kell. Ce sont les antigènes les plus immunogènes. Mais le phénotype peut être étendu à d autres systèmes (Kidd, Duffy,...). Le phénotypage doit être fait : - avant toute transfusion - chez les sujets polytransfusés actuels et potentiels - chez les femmes en âge de procréer (prévention de la maladie hémolytique du nouveau-né). 2.3 La réalisation de la recherche des anticorps irréguliers anti-érythrocytaires avec si besoin une épreuve de compatibilité. 2.4 La réalisation du contrôle ultime au lit du malade.
40 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (5) LE PRELEVEMENT POUR GROUPAGE SANGUIN Les erreurs au moment du prélèvement pour groupage sanguin représentent encore aujourd hui la cause majeure d accident transfusionnel par incompatibilité ABO. Le prélèvement, effectué au lit du malade comme au laboratoire d analyses médicales, doit être réalisé dans des conditions strictes et comporte un ensemble de renseignements indispensables : L identité du malade doit toujours être vérifiée [problème du malade inconscient, de l enfant (nouveau-né, nourrisson),...]. Le prélèvement correspond à une détermination. Pour la 2è détermination, un nouveau prélèvement est impératif. Le prélèvement doit être correctement étiqueté. Les renseignements qui doivent accompagner la demande de groupage sont les suivants : nom (pour les femmes mariées, nom de jeune fille, épouse) prénom(s) date de naissance : jour/mois/année sexe date de prélèvement : jour/mois/année nom du médecin prescripteur identification du service où séjourne le malade nature de l examen demandé renseignements cliniques. Ces renseignements doivent être fournis pour chaque demande.
41 SECURITE TRANSFUSIONNELLE (6) LE PRELEVEMENT POUR GROUPAGE SANGUIN Certaines erreurs peuvent être évitées en faisant preuve d un minimum de vigilance : Ne prélever qu un seul malade à la fois évite les croisements de tubes, donc les erreurs (groupe de Monsieur X, attribué Monsieur Y et inversement). Etiqueter les tubes au lit du malade et non dans la salle de soins évite les erreurs d étiquetage. La répartition d un même prélèvement dans deux tubes pour groupage est formellement interdite. Une seule détermination au lieu des deux obligatoires. Bien vérifier l identité. Ne pas hésiter à demander un document d identité. Les usurpations d identitation ne sont pas rares. Faire attention à l orthographe des identités évite la multiplication des dossiers pour un même malade. Faire attention aux homonymes. Ne pas se reposer uniquement sur les verrous de sécurité de l Etablissement de Transfusion Sanguine.
42 TRANSFUSION EN SERVICES HOSPITALIERS 1/ LECTURE DES CARTES DE GROUPAGE 2/ LECTURE DES RESULTATS DE RECHERCHE D ANTICORPS IRREGULIERS ANTI- ERYTHROCYTAIRES (R.A.I.) 3/ SUIVI DE R.A.I. CHEZ LES MALADES 4/ PREVENTION DE L ALLO-IMMUNISATION TRANSFUSIONNELLE 5/ EN SERVICE D OBSTETRIQUE : - DEPISTAGE DE L ALLO-IMMUNISATION ANTI-ERYTHROCYTAIRES CHEZ LA FEMME ENCEINTE. - SUIVI DES FEMMES AVEC ALLO-IMMUNISATION. - EXAMENS A PRATIQUER CHEZ LE NOUVEAU-NE D UNE MERE PORTEUSE D UNE ALLO-IMMUNISATION. SUIVI DU NOUVEAU-NE. - PREVENTION DE L ALLO-IMMUNISATION MATERNELLE. 6/ APPRENTISSAGE DE LA TRANSFUION : - REALISATION DES CARTES DE CONTROLE PRE-TRANSFUSIONNEL - PRINCIPES FONDAMENTAUX DE MISE EN PLACE D UNE TRANSFUSION. - SURVEILLANCE D UNE TRANSFUSION. SUIVI POST-TRANSFUSIONNEL.
43 GROUPAGE ABO : RECHERCHE DES ANTICORPS SERIQUES (Epreuve de Simonin) HEMATIES-TESTS A1 A2 B O GROUPE SERUM à TESTER A1 et A A2 anti-a1 (à vérifier) B O A1B et A2B A2B anti-a1 (à vérifier)
44 GROUPAGE ABO : RECHERCHE DES ANTIGENES GLOBULAIRES (Epreuve de Beth-Vincent) SERUM Anti-B Anti-A Anti-A+B Anti-H Neutre AB Anti-A1 GROUPE A A2 GR /- - - B à O tester A1B A2B
45
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
Les Bonnes Pratiques Transfusionnelles République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière Agence Nationale du Sang LES BONNES PRATIQUES
Plus en détailLE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Direction générale Paris, de la santé Sous direction de la politique des produits de santé (SD3) Sous direction de la qualité du système
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailMANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE
MANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE Coordination Régionale d Hémovigilance Docteur Mahdi TAZEROUT Madame Yolande GALINIER Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales Midi-Pyrénées
Plus en détailAurélia Chambaz 47 ème volée ESSanté Stage d immuno-hématologie à l UMT, BH-18 CHUV SRTS VD Lausanne 05.11.07-11.04.08 Responsable accompagnante :
Aurélia Chambaz 47 ème volée ESSanté Stage d immuno-hématologie à l UMT, BH-18 CHUV SRTS VD Lausanne 05.11.07-11.04.08 Responsable accompagnante : Mme Jocelyne Conne Résumé Ce travail en immuno-hématologie
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailwww.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses
www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses E.R.A. L EFS, les Etablissements de Santé et les laboratoires effectuant des analyses d I.H. pour des patients susceptibles
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailSAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE!
SAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE! SUIVEZ-NOUS SUR : BANQUE PUBLIQUE DE SANG DE CORDON DʼHÉMA-QUÉBEC Lire ce code avec un téléphone intelligent pour accéder à la page S inscrire à la banque de sang de
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailDE BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES Octobre 2012 Rédigés en collaboration avec SOMMAIRE PREAMBULE... 4 GLOSSAIRE ET ABRÉVIATIONS... 5 TRONC COMMUN... 14 Contrôle de la qualité... 15 Personnel...
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailMise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»
Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailEtude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012
Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France Présentation du 15 décembre 2012 Dans un contexte d échanges électroniques multiples, impliquant
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détail