I Rappel sur la nature des signaux visuels et anatomie de l œil

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "I Rappel sur la nature des signaux visuels et anatomie de l œil"

Transcription

1 Plan du cours Rappel sur la nature des signaux visuels et l anatomie de l oeil Traitement des informations au niveau de la rétine Traitement des informations au niveau sous-cortical Traitement des informations au niveau cortical Synthèse de l information visuelle I Rappel sur la nature des signaux visuels et anatomie de l œil 1. Rappel sur la nature des signaux visuels La vision est le sens le plus développé chez l homme et les primates et s est developpé avec l accès à la bipédie et le développement de la main comme outil de préhension. Au cours de l ontogénèse, on observe un développement progressif des capacités visuelles. Ainsi, au cours des trois premiers mois, l oculomotricité se développe, notamment la convergence, ce qui permet la découverte de l espace péri-personnel. Le nouveau-né ne voit que ses proches et passe une grande partie de son temps à regarder ses mains et à chercher à attraper des objets proches. Après trois mois, la maturation du cristallin permet l exploration de l espace péripersonnel. La sensation visuelle résulte d un processus actif qui permet la transformation d une image statique perçue en 2D au niveau de la rétine en une image dynamique en 3D au niveau du cortex. Les stimuli visuels sont des ondes électromagnétiques de longueur d onde comprise entre 400 et 700 nm. Elles sont perçues comme des couleurs entre le violet (400 nm) et le rouge (700 nm). L homme est capable de distinguer environ 200 nuances de couleurs, ce qui donne un seuil différentiel de 1.5 nm. La sensibilité du système visuel dépend cependant de l éclairement et l on distingue une vision à fort éclairement (chromatique) d une vision à faible éclairement (achromatique ou scotopique) dépendant de deux types de récepteurs spécifiques.

2 2. Rappel sur l anatomie de l œil. On distingue en son sein, deux segments : antérieur qui reçoit les informations lumineuses au travers de la pupille et postérieur qui permet la transformation des stimuli lumineux en une énergie de nature électrique, grâce au processus de transduction se déroulant au niveau de la rétine. 2.1 Chambre antérieure : Elle est limitée en avant par la cornée, lentille convergente translucide en arrière de laquelle se trouve la chambre antérieure, contenant un liquide physiologique, l humeur aqueuse. L iris est un muscle lisse qui permet de contrôler le diamètre de la pupille. Il est formé de deux types de fibres : circulaires dont la contraction provoque un myosis et radiaire dont la contraction provoque une mydriase. Ces deux types de fibres sont respectivement contrôlés par les systèmes neurovégétatifs orthosympathiques (mydriase) et parasympathiques (myosis). Le cristallin est le second système de lentille convergente de l œil. Il s agit d un système dynamique qui grâce au processus de convergente (augmentation de la dioptrie du cristallin) va permettre d adapter en permanence l image des objets proches sur la rétine. La fixation des objets éloignés ne nécessite pas de convergence. La modification de la courbure du cristallin est rendue possible par la contraction des muscles ciliaires qui sont reliés au cristallin au travers de ligaments suspenseurs. 2.2 Chambre postérieure Elle est limitée extérieurement par une enveloppe rigide, la sclérotique. Celle-ci est tapissée de l extérieure d une membrane nourricière, riche en vaisseaux sanguins, et de la rétine. Cette dernière est formée de deux feuillets : un feuillet externe, riche en pigments mélaniques et un feuillet interne qui renferme les cellules réceptrices. Le feuillet externe joue un rôle dans l absorption des rayons lumineux parasites et dans le renouvellement des pigments photosensibles. Le feuillet interne est formé de neurones et est une partie intégrante du système nerveux central. Sur la sclérotique, enveloppe extérieure de l œil, sont inserrés 6 muscles oculomoteurs qui permettent la mobilité du globe oculaire au sein de l orbite. C est un élément fondamental pour adapter de façon permanente la direction du regard afin que les rayons lumineux puisse se focaliser sur la fovéa, partie de la rétine la plus riche en photorecepteurs. Le point aveugle correspond à la région de la rétine au niveau de laquelle se réunissent les axones des cellules ganglionnaires pour former le nerf optique.

3 Figure 1 : Anatomie générale de l oeil Analyse des informations visuelles au niveau de la rétine. 1. Organisation générale de la rétine On distingue en son sein, en allant de l extérieur vers l intérieur la couche des cellules réceptrices (couche nucléaire externe), la couche des cellules bipolaires (couche nucléaire interne) et la couche des cellules multipolaire (couche ganglionnaire). Les photorecepteurs sont de deux types : les batonnet et les cônes. Ils ont une structure générale commune avec un segment interne formé du corps cellulaire et un segment externe qui contient les pigments visuels entreposé dans des saccules du réticulum endoplasmique. Les batonnets sont impliqués dans la vision achromatique et jouent un rôle important dans la perception du déplacement des objets à la périphérie du champ visuel. Les cônes, les plus sensibles aux variations de contrastes visuels sont impliqués dans la vision des couleurs (chromatique) et dans l analyse fine de l image visuelle. Il n existe que trois types fondamentaux de cônes, respectivement sensibles au rouge, au bleu et au vert. La perception de toutes les autres nuances de couleurs résulte de la mise en jeu plus ou moins importante de populations de cônes sensibles au trois couleurs fondamentales.

4 Figure 2 : Organisation générale de rétine Figure 3 : Cellules photoreceptrices Les bâtonnets sont représentés à gauche et les cônes à droite. Le segment interne est similaire mais le segment externe qui comporte de nombreux saccules du réticulum endoplasmique est plus volumineux dans les cônes

5 2. Phénomène de transduction Il va permettre la transformation d une énergie électromagnétique en une énergie électrique sous la forme de potentiels d action. Ce phénomène se déroule au niveau de la membrane des saccules du réticulum endoplasmique des cellules photo-réceptrices. Enfoncé dans la membrane de ces derniers on trouve des photo-pigments qui sont faits de deux parties : une protéine responsable de la sensibilité chromatique et un groupe prosthétique à la base de la transduction. Pour les bâtonnets, la protéine est représentée par l opsine et le groupe prosthétique par le rétinène, un dérivé de la vitamine A. Le rétinéne existe sous deux formes stéréochimique différentes : la forme cis (inactive) et la forme trans (active). La lumière provoque une modification de la conformation spatiale de la molécule de rétinène qui passe de la forme cis à la forme trans, plus riche en énergie. Figure 4 : La lumière provoque une modification de la conformation stéréochimique du rétinène. Le passage de la forme Cis à la forme Trans libère de l énergie qui va être utilisée dans la suite de la chaine métabolique. L énergie libérée va permettre l activation d une protéine G qui se trouve à proximité (transducine). Celle-ci hydrolyse du GTP en GDP + PPi et libère à son tour de l énergie qui va permettre l activation d une phosphodiestérase qui transformera le GMP cyclique (GMPc) en GMP. Hors, on trouve à la surface des membranes des saccules des canaux sodiques GMPc-dépendants ; lorsque le taux d AMPc est élevé ils sont ouverts, lorsqu il est bas, ils

6 sont fermés. La lumière a donc pour effet de provoquer une hyper-polarisation des cellules photoréceptrices. A B Figure 5 : Etat d ouverture des canaux sodique GMPc dépendants à l obscurité et à la lumière

7 Cette modification du potentiel membranaire va ensuite se propager vers la deuxième couche de cellules rétiniennes formées par les cellules bipolaires. Il en existe en réalité deux types qui se différentient par la nature de leurs champs récepteurs (CR). Un CR visuel est la partie du champ visuel analysé par une seule cellule. Ces champs visuels sont concentriques et formés de deux parties centrale et périphérique. Les cellules bipolaires dites «on-center» sont dépolarisées lorsque la lumière frappe la partie centrale de leur CR et inhibées lorsqu elle frappe la partie périphérique. L inverse est vrai pour les cellules «off-center». Figure 6 : Champs récepteurs des cellules ganglionnaires de la rétine. La stimulation de la partie centrale des cellules de type «on-center» augment la fréquence de décharge du neurone ; celle de la partie périphérique induit une inhibition. Le shcéma incerse est observé pour les cellules de type «offcenter». C est la nature du neurotransmetteur libéré par les photo-récepteurs qui détermine l activation des cellules de type on et off-center. On observe donc une dépolarisation des cellules «on-center» et une hyperpolarisation des cellules off-center.

8 Figure 7 : Transmission des variations du potentiel de membrane au niveau des différentes couches de la rétine. Ces modifications sont transmises aux cellules ganglionnaires qui ellesaussi se groupent en deux populations de même type. La différence entre cellules bipolaires et ganglionnaires est le fait qu un niveau de ces dernières apparaissent des potentiels d action qui seront transmis via leurs axones vers le nerf optique. On distingue trois type de cellules multipolaires en fonction de leur spécialisation : 1) les cellules du système magnocelullaire reçoivent leur information des bâtonnets ; elles sont impliqués dans la vision à faible éclairement et surtout l analyse du déplacement des objets dans l espace, 2) les cellules du système parvocellulaire qui reçoivent leurs informations des cônes de la fovéa et sont impliqués dans l analyse fine de la forme des objets, 3) les cellules du système coniocellulaire qui sont impliquées dans la vision des couleurs. On constate donc qu au niveau de la rétine, les caractéristiques de l objet (forme, couleur, mouvement) sont analysées par trois types de cellules différentes. Le système des champs récepteurs concentrique fait que la vision rétinienne est un processus de détection de contraste. Pour les cellules magno et parvocellulaire entre une région centrale et une région périphérique, pour les cellules coniocellulaires entre deux nuances de couleurs (par exemple bleu-jaune). La sensibilité rétinienne est une sensibilité ponctuelle.

9 Analyse des informations visuelles au niveau sous-cortical. Les fibres du nerf optique vont avoir ensuite deux types de projections : mésencéphaliques et thalamiques. 1. Projections mésencéphaliques : Elles se font vers le toit de la partie haute du tronc cérébral. On distingue des projections vers le tectum et vers le colliculus supérieur. Le tectum est impliqué dans le contrôle des réflexes pupillaire. Les fibres visuelles gagent le tectum par un contingent accessoire du 3è nerf cranien. Une disparition du reflexe direct (absence myosis de l œil ipsilatéral) et une préservation du réflexe consensuel (myosis de l œil controlatéral à l éclairement) est en faveur d une atteinte de la partie efférente du réflexe. Une disparition du réflexe direct et du consensuel ipsilatéral associé à une préservation du réflexe consensuel controlatéral est en faveur d une lésion du nerf optique. Une absence de réflexe pupillaire signe une lésion du tronc. Le colliculus supérieur est une région de la partie haute du tronc qui reçoit des informations multimodales visuelle, auditive et proprioceptive (en provenance des muscles du cou). Les projections du colliculus supérieur se font vers les noyaux des nerfs oculomoteurs au travers de deux types de faisceaux : tecto-spinal et tecto-pontin. Le premier est impliqué dans le contrôle des mouvements coordonnés de la tête et du tronc, le second dans celui des mouvements de la tête et des yeux. Ces deux fonctions sont essentielles pour amener les informations visuelles sur la fovéa car le plus souvent, soit nous fixons un objet qui se déplace, soit nous nous déplaçons vis à vis de l objet que nous fixons. 2. Projections thalamiques Les informations visuelles sont relayées par un noyau postérieur du thalamus : les corps genouillers latéraux qui occupent la partie postérieure du thalamus. Ces derniers sont organisés en 6 couches différentes, chacune ayant des spécificités en terme de traitement de l information (œil contro ou ipsilatéral, système parvo, conio ou magnocellulaire).

10 Figure 8 : Différentes couches des corps genouillers latéraux. Chacune de ces couches prend en charge un aspect spécifique du traitement de l information. A partie des CGL, les projections se font vers le cortex visuel primaire. 3. Récapitulatif sur les voies visuelles et les scotomes : Figure 9 : L analyse du champ visuel seul va permettre de déterminer le niveau de la lésion sur les voies visuelles. - Lésion monoculaire : atteinte du nerf optique - Hémianopsie bi-temporale : lésion du chiasma optique - Hémianopsie latérale homonyme : lésion rétro-chiasmatique préthalamique - Quadranopsie en cadran incluant la partie centrale : lésion thalamique - Quadranopsie en cadran respectant la partie centrale : lésion corticale

11 IV Analyse des informations visuelles au niveau du cortex visuel primaire 1. Localisation et organisation anatomo-histologique Figure 10 : Le cortex visuel primaire se situe au niveau du cortex occipital de part et d autre de la scissure calcarine, sur la face interne des hémisphères. Sa surface en superficie est de l ordre de 2 cm 2. Il existe à ce niveau une large prédominance de la représentation de la fovéa qui représente environ 50% du cortex visuel primaire Il est formé de 6 couches de cellules comme l ensemble du néocortex, avec un prédominance de la couche 4 qui reçoit les informations des CGL. Cette dernière couche est découpée en 4 sous-couches IVA, IVB, IVC, IVC traite un type d informations spécifiques en rapport avec les 3 systèmes. Figure 11 : Organisation en couche du cortex visuel primaire. Il s agit d un néocortex dans lequel la couche IV est particulièrement développée et décomposée en plusieurs souscouches.

12 2. Organisation en colonnes Tout comme dans les autres cortex primaires, on retrouve une organisation en colonnes. Celles-ci sont des colonnes d orientation, c est à dire qu au sein de chaque colonne, les neurones sont sensibles à des stimuli visuels ayant une orientation spécifique dans l espace. Il existe des colonnes de dominance oculaire (œil droit ou gauche). Les colonnes permettant d analyser une partie donnée du champ visuel sont regroupées en hyper-colonnes qui regroupent l ensemble des colonnes d orientation. Entre ces dernières, on trouve des tâches ou «pleds» qui sont spécialisées dans l analyse des informations chromatiques. Figure 12 : Organisation en colonnes d orientation du cortex visuel primaire. Ces colonnes sont également organisées en colonne de dominance visuelle. Entre les colonnes, n trouve des amas de cellules (tâches) qui sont impliquées dans la vision des couleurs. Champs récepteurs des cellules visuelles 1. Au sein des colonnes d orientation : On distingue des cellules simples et des cellules complexes. Les cellules simples sont sensibles uniquement à la perception de l orientation du stimulus visuel dans l espace. Leurs champs récepteurs sont linéaires avec une partie centrale ON et une partie périphérique OFF. Ils résultent de la convergence sur une même cellule corticale d un grand nombre de projections des cellules multipolaires de la rétine ayant des champs récepteurs concentriques.

13 Figure 13 : Les cellules complexes intègrent en plus de l orientation, d autres informations comme la forme grossière de l objet ou son sens de déplacement. Dans l exemple qui est présenté, la cellule répond à un stimulus visuel présenté verticalement dans le champ visuel controlatéral mais uniquement lorsque ce dernier se déplace de la gauche vers la droite. 2. Au sein des tâches : Ces cellules présentent des champs récepteurs concentriques comme au niveau de la rétine mais qui associent des couples de couleurs : rouge-vert, bleu-jaune de type ON et OFF center.

14 Représentation de l objet au niveau du cortex visuel primaire Au niveau du cortex visuel primaire, le stimulus visuel est analysé «découpé» sous forme de lignes correspondant au recrutement de cellules au sein des colonnes ayant les mêmes orientations privilégiées. Figure 14 : représentation analogique de l objet au niveau du cortex visuel primaire. Il existe donc une représentation analogique de l objet qui repose sur la mise en jeu d un grand nombre de neurones (système parvocellulaire). La couleur est identifiée par des cellules différentes qui se trouvent au sein des PLEDs (système coniocellulaire) et le déplacement de l objet dans l espace par certaines cellules particulières des couches IVb-c (cellules complexes du système magnocellulaire). Cependant à ce niveau, il n existe pas encore de synthèse de l information visuelle dans sa globalité.

15 V Analyse des informations visuelles au niveau des aires corticales associatives Le traitement de l information visuelle va se dérouler au travers de 2 voies essentielles : la voie dorsale et la voie ventrale ayant chacune des spécificités. Figure 15 : Les deux grandes voies visuelles corticales La voie ventrale, à destinée temporale prend en charge le traitement des informations des sytèmes parvo-cellulaire (forme) et conio-cellulaire (couleur). La voie dorsale est impliquée dans l analyse du déplacement des objets dans l espace 1. La voie ventrale On trouve à ce niveau des neurones impliqués dans la reconnaissance précise de la forme des objets avec un très haut niveau de précision.

16 A Figure 16 : Activité des neurones du cortex temporal impliqués dans la reconnaissances des formes A. L activité du neurone est enregistrée lors de la Présentation de différents types de stimuli visuels sur un écran vidéo. Ces derniers sont représentés en bas et l activité neuronale sous forme d histogrammes en haut. Ce neurone répond à la présentation d un visage qu il soit simien ou humain mais pas à la présentation des autres stimuli B. Présentation de profil de singe (en bas) et représentation de l activité neuronale en bleu. On voit que ce neurone répond pour un profil particulier de présentation du visage B Dans d autres régions du cortex temporal, on trouve des neurones impliqués dans l analyse des contrastes de couleurs. Des lésions de cette région donneront donc des troubles de la reconnaissance de la forme ou de la couleur des objets (agnosies visuelles spécifiques). Le trouble de la reconnaissance des visages, fréquent dans les démences touchant le cortex temporal (maladie d Alzheimer) est appelé prosapoagnosie. La voie dorsale. Les neurones du cortex pariétal postérieur sont capables d analyser la nature des caractéristiques spatiales de l objet. Ainsi dans la figure., le neurone en A modifie son

17 activité lorsqu un stimulus effectue une rotation anti-horaire alors qu il est inhibé par une rotation horaire. Celui présenté en B s active lorsque qu un stimulus de rapporche de lui dans l hémichamp visuel gauche et dans l hémi-champ droit pour celui en C. Les neurones de cette région sont donc impliqués dans le codage du déplacement des objets dans l espace. Figure 17 : Activité de neurones du cortex pariétal postérieur. Le singe se trouve face à des objets que l on déplace. A. ACW : rotation anti-horaire, CW : rotation horaire. B. F : loin ; N : prêt VI Comment se fait la synthèse de l information? Le premier élément qu il faut retenir est que la synthèse de l information ne se fait pas au travers de convergences vers une région unique du cerveau (autrement dit de plusieurs neurones vers un neurone unique). Si telle était le cas nous serions incapable de reconnaître un objet que nous n avons jamais vu. Deux grandes théories s opposent qui ne sont pas mutuellement exclusives mais pourrait intervenir dans des contextes différents. Théorie de la focalisation de l attention : Elle est illustrée dans les figures suivantes : Image 1 : l examen rapide de la figure montre de types de figurines : celles correspondant à des bâtonnets et correspondant à des croix. Néanmoins si l on focalise son attention sur les bâtonnets, on s aperçoit qu il en existe en fait deux types formant respectivement des L et des T (encadré en pointillé)

18 Image 2 : Selon que l on focalise son attention sur le blanc ou le noir, on percevra respectivement un vase ou deux visages se faisant face. Néanmoins cette théorie dite du phare attentionnel, si elle nous permet de percevoir certains détails de la scène visuelle n explique pas le fait que la perception d un objet est instantanée et globale. Théorie de la synchronisation Cette théorie qui s appuie sur des données électrophysiologiques veut que la synthèse de l information se fasse par la mise en jeu synchrone de l activité de populations de neurones situés dans des régions différentes du cerveau, chacun prenant en compte un aspect du

19 traitement de l information (forme, couleur déplacement). Par exemple si je perçois qu un ballon rouge se déplace vers la gauche, c est parce que des neurones codant la forme (cortex temporal), la couleur (cortex temporal) et le déplacement dans l espace (cortex pariétal) modifient leur activité de façon synchrone. Traitement séquentiel de l information et réponse comportementale On a pu cependant montrer par des techniques de potentiels évoqués un traitement séquentiel de l information visuel qui précède une réponse comportementale. Ce processus est illustré dans la figure suivante.

20 Conclusion La physiologie de la vision est complexe mais représente une véritable fenêtre sur le fonctionnement du cerveau et sa connaissance indispensable à la compréhension de nombreuses anomalies visuelles observées en pathologie humaine.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous

Plus en détail

Séquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision

Séquence 8. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Séquence 8 De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision Sommaire Pour s interroger 1. La vision : de la lumière au message nerveux 2. La vision : la perception visuelle, une construction cérébrale

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer

Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations

Plus en détail

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,

Plus en détail

Neurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE

Neurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée

Plus en détail

Mémento à l usage du personnel des laboratoires

Mémento à l usage du personnel des laboratoires Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l

Plus en détail

La perception des couleurs par l'œil

La perception des couleurs par l'œil Travaux Personnels Encadrés Thème: Images La perception des couleurs par l'œil Haïba Lekhal Per Einar Ellefsen 1 ère S 3 2001-2002 Lycée Français Jean Monnet La perception des couleurs par l'oeil par Haïba

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie

La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou

Plus en détail

Bien voir pour bien conduire

Bien voir pour bien conduire Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception

Plus en détail

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers

Plus en détail

Bulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?

Bulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone

Plus en détail

Nom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX

Nom : Prénom :. Date :..Classe : 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX 2 TECHNIQUES DE MODIFICATION DE LA COULEUR DES CHEVEUX Objectif : Indiquer les règles de base de colorimétrie en coiffure (échelle de tons, reflets) LA COLORIMETRIE Du soleil nous parvient la lumière du

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)

Plus en détail

Immersion - Vision 3D dans la RV.

Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire

Séquence 1. Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique. Sommaire Séquence 1 Physique Couleur, vision et image Chimie La réaction chimique Sommaire 1. Physique : Couleur, vision et image Résumé Exercices 2. Chimie : La réaction chimique Résumé Exercices Séquence 1 Chapitre

Plus en détail

LE RESSENTI SUBJECTIF DU PATIENT «VESTIBULAIRE» VS L ETUDE DE LA REFLECTIVITE VESTIBULAIRE

LE RESSENTI SUBJECTIF DU PATIENT «VESTIBULAIRE» VS L ETUDE DE LA REFLECTIVITE VESTIBULAIRE D.I.U. REEDUCATION FONCTIONNELLE DE L EQUILIBRE UFR 067 MEDECINE P. M. CURIE LE RESSENTI SUBJECTIF DU PATIENT «VESTIBULAIRE» VS L ETUDE DE LA REFLECTIVITE VESTIBULAIRE Guilhem VIGUIER Masseur- Kinésithérapeute

Plus en détail

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales

Enseigner la prévention des risques professionnels. Éclairage et vision. Fiches principales Enseigner la prévention des risques professionnels Éclairage et vision Fiches principales EV 1 OBJECTIF : Identifier les caractéristiques physiques de la lumière et de l environnement lumineux de travail

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Les bases de l optique

Les bases de l optique Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009 Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture

Plus en détail

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?

QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx? Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons

Plus en détail

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

«Lumière sur les pigments»

«Lumière sur les pigments» «Lumière sur les pigments» Pourquoi les feuilles des plantes sont-elles vertes en été et rouges en automne? Comment un caméléon fait-il pour changer de couleur? Que voit un daltonien? Pourquoi les cheveux

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle

Plus en détail

Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007

Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Leica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.

Leica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

Mieux vivre avec votre écran

Mieux vivre avec votre écran Mieux vivre avec votre écran Ajustez le poste de travail La position la plus confortable pour la lecture de l écran et la frappe sur clavier est celle qui permet le respect des principes suivants : A.

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Musée des beaux-arts de Brest

VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Musée des beaux-arts de Brest VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE Musée des beaux-arts de Brest 1 Les objectifs : - Comment percevons-nous les couleurs? Quel rôle joue le cerveau? - Comprendre les choix et les procédés de création

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT

& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

L éclairage naturel première partie : Principes de base

L éclairage naturel première partie : Principes de base Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux

Plus en détail

La maladie de Stargardt

La maladie de Stargardt La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS SESSION 2014 ÉPREUVE : PHYSIQUE-CHIMIE Durée : 2 heures Coefficient : 2 La calculatrice (conforme à la circulaire N 99-186 du 16-11-99) est autorisée. La clarté

Plus en détail

Le logiciel EduAnatomist.

Le logiciel EduAnatomist. Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Guide de démarrage rapide. (pour la version 5.0.)

Guide de démarrage rapide. (pour la version 5.0.) Guide de démarrage rapide (pour la version 5.0.) 2 Table des matières Introduction Réglages de l application MyTalk Mobile 1. MODIFICATION 2. DEMARRER 3. AFFICHER 4. SYNTHETISEUR VOCAL 5. NOMBRE DE MOTS

Plus en détail

Créer des étiquettes avec les adresses d'un tableau Calc

Créer des étiquettes avec les adresses d'un tableau Calc Créer des étiquettes avec les adresses d'un tableau Calc Il faudra au préalable avoir déjà créé le tableau contenant les adresses avec Calc. Il y a trois étapes différentes pour réaliser des étiquettes

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE

Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Université Bordeaux 1 MIS 103 OPTIQUE GÉOMÉTRIQUE Année 2006 2007 Table des matières 1 Les grands principes de l optique géométrique 1 1 Principe de Fermat............................... 1 2 Rayons lumineux.

Plus en détail

L EFFET PARALLAXE N EST

L EFFET PARALLAXE N EST 50 3 Objets L EFFET PARALLAXE N EST PAS SPÉCIFIQUEMENT UN TRUCAGE D AFTER EFFECTS. C est un principe que vous devriez avoir à l esprit quand vous travaillez en 3D. En raison de la nature de la 3D dans

Plus en détail

ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS

ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer

Plus en détail

Activités de bureau. Travail avec l outil informatique. C.Chrétien - 09/12/2014 1

Activités de bureau. Travail avec l outil informatique. C.Chrétien - 09/12/2014 1 Activités de bureau Travail avec l outil informatique 1 Pourquoi cette information? Enquête DARES, 2007 : Environ 1 salarié sur 5 travaille plus de 4 heures par jour sur écran Evolution dans toutes les

Plus en détail

SVP ISO - Sécurité & Protection

SVP ISO - Sécurité & Protection SVP ISO - Sécurité & Protection ETUDE PRESTATION-FOURNITURE / INDUSTRIE & SECURITE Site web: www.svp-securite.fr - E-mail: svptouati@caramail.com 04, rue LARBI TEBESSI. 31200. Arzew - Oran - Tel / Fax:

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure

AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains. Rapport de mesure AiryLab. 34 rue Jean Baptiste Malon, 04800 Gréoux les Bains Rapport de mesure Référence : 2014-07001 FJ Référence 2014-07001 Client xxx Date 14/02/2014 Type d'optique Triplet ED Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière. Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye

Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière. Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye CCOLLEGE YCLE 3 CCYCLE 3 OLLEGE Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye Éditions Le Pommier, 2009 Objectifs

Plus en détail

La recherche d'indices par fluorescence

La recherche d'indices par fluorescence La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes

Plus en détail

Exposition. VLR plongée e commission photo

Exposition. VLR plongée e commission photo Exposition VLR plongée e commission photo Agenda Définitions Exposition / analogie du verre d eau (de vin?) Ouverture Vitesse Sensibilité La notion d EV Pourquoi cela ne suffit pas? Dynamique des capteurs

Plus en détail

Activité scientifique et recherche :

Activité scientifique et recherche : L INSTITUT DE L ŒIL Notre Mission: L Institut de l Œil de Montréal a pour mission d offrir à chaque patient, une évaluation individuelle de l état de santé de ses yeux, qui tient compte de l ensemble de

Plus en détail

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire

Plus en détail

1S9 Balances des blancs

1S9 Balances des blancs FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.

Plus en détail

Ecran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS :

Ecran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS : SMARTPHONE - DUAL-CORE - NOIR 3483072425242 SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLEU XXXX SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLANC 3483072485246 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROSE 3483073704131 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROUGE XXXX

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

Traitement bas-niveau

Traitement bas-niveau Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.

Plus en détail

Anne-Lise Paradis. To cite this version: HAL Id: tel-00157092 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00157092

Anne-Lise Paradis. To cite this version: HAL Id: tel-00157092 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00157092 Exploration par IRM fonctionnelle de la perception visuelle des formes tridimensionnelles ; dessin de paradigmes d acquisition et outils d analyse appliqués au domaine de la vision Anne-Lise Paradis To

Plus en détail

Collimateur universel de réglage laser

Collimateur universel de réglage laser Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Dégénérescence maculaire liée à l âge

Dégénérescence maculaire liée à l âge Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et

Plus en détail

Le patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine

Le patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine NEUROBIOLOGIE «Il faut parler à une personne dans le coma» entend-on souvent dans les films.tout dépend de ce qu on appelle coma. Entre l état végétatif, où le patient peut encore remuer, sourire ou sursauter

Plus en détail

La mécanique sous le capot

La mécanique sous le capot La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques

Plus en détail

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier : SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

1 Introduction au codage

1 Introduction au codage CélestineOscarDésiréAnatoleGastonEugène 1 Introduction au codage 1.1 Les ensembles L ensemble de tout les ensembles est Dieu lui-même. Kantor Ensemble des parties d un ensemble désigne l ensemble des sous-ensembles

Plus en détail

Le sommeil Des milliards de neurones en activité

Le sommeil Des milliards de neurones en activité Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé www.lepetitsitesante.fr A la source de l'information Santé L'actualité de la Santé et de la Recherche médicale Le sommeil Des milliards de neurones

Plus en détail

Prévenir... les accidents des yeux

Prévenir... les accidents des yeux Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident

Plus en détail

GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie

GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie Mise en garde Le rôle de l Association paritaire de santé et de sécurité du travail, secteur imprimerie et activités connexes

Plus en détail

Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update

Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen

Plus en détail