Gestion de la gale en établissement de santé et en EHPAD. Laurence Verneuil
|
|
- Franck Favreau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Gestion de la gale en établissement de santé et en EHPAD Laurence Verneuil
2 Épidémiologie Clinique Diagnostic Gale commune Gale profuse Prise en charge En fonction de la structure touchée et de la forme clinique CAT cas isolé de gale CAT épidémie de gale
3 Gale : cycle parasitaire Maladie ectoparasitaire par un acarien Sarcoptes scabiei (variété hominis) colonisation cutanée (épiderme) Après fécondation, la femelle Creuse un sillon dans la couche cornée (1-3 mm / j) Pond 2 à 3 œufs / j pendant 2 mois Epid Œufs Larves adultes en 10 à 20 js Durée de vie hors de la peau Femelle adulte : 3 jours Larves : 5 jours Œuf : 10 jours Derme Hypoderme
4 Gale : épidémiologie /cycle parasitaire Modalités de transmission liées aux caractéristiques de l acarien femelle Bonne mobilité qd t 25-30, de qqs cm /h, Arrêt qd t < 20 (survie de 2 jours) Tuer par t > 55 Survie 3 jours en dehors du corps humain
5 Gale : épidémiologie /cycle parasitaire Mode de TRANSMISSION Le plus commun: 95 % par contact humain direct (peau à peau avec individu infecté) Femelles nouvellement fécondées qui assurent la transmission Contacts intimes et prolongés Contact de min IST Famille, mère/enfant Soignants: contacts peau à peau (liés aux soins de nursing) Transmission indirecte moins probable ( vêtements, litterie ) Car parasite est moins infectant en dehors de son hôte Possible surtout dans les collectivités Facilitée dans les formes de gale profuse et hyperkératosique (riches en parasites)
6 Gale : épidémiologie la gale touche indifféremment les collectivités de personnes âgées (maisons de retraite et les longs séjours) parce que l état immunitaire global des personnes âgées est faible Les épidémies svt liées au retard diagnostic
7 Gale : épidémiologie En France : Sous estimation probable : - pas de surveillance spécifique de la maladie (pas DO) Rapport InVS (2011) conclut en faveur augmentation de l incidence de la gale dans les communautés (période ) augmentation des signaux de la consommation de scabicides Bitar D, Castor C, Che D, Fischer A, Thiolet JM. La gale est-elle en augmentation en France? Etat des lieux à partir des différentes enquêtes nationales et régionales Saint Maurice :Institut de veille sanitaire; 2011.
8 Etude rétrospective des signalements de gale à la Cellule de Veille d Alerte et de Gestion des Signaux ARS de Basse-Normandie Année 2011
9 Répartition géographique des signalements de gale. Année Basse Normandie. (N=30) N = 30 - Calvados 13 (43%) - Manche 13 (43%) - Orne 4 (13%)
10 Fonction des signalants Qui signale? - Administratifs/responsables = 69.5% - Professionnels de santé = 25% - Autres = 5.5% Structures des déclarants : Gales=30 13,3% (n=4) 26,7% (n=8) 10% n=3 30% (n=9) 20% (n=6) Education Nationale, crèches, garderies (dont internat) Instituts médico-éducatifs Centres d'herbergement, Foyers pour adultes Etablissements d'hebergement pour personnes âgées dépendantes Autres
11 Gale : épidémiologie 2 catégories des cas de gale Cas communautaires cas isolés, groupés intrafamiliaux, cas des collectivités (crèches, écoles, club de sport): pas de signalement spéc à ARS Cas survenant dans établissement de santé relèvent du signalement des infections nosocomiales Stratégies de prise en charge différente en fonction contexte de survenue forme clinique gale commune gale profuse
12 Gale : clinique Incubation : de qqs js (infestation massive) à 1 mois ++ temps nécessaire à la multiplication des sarcoptes jusqu à un nombre suffisant pour entraîner les manifestions cliniques Elle serait plus courte (de 3 à 4 jours) en cas de réinfestation. Le risque de transmission bien que faible existe dès la phase d incubation. Signes cliniques : Prurit ++ Lésions cutanées non spécifiques et spécifiques
13 Gale : clinique Prurit Signe le plus précoce D abord localisé (esp interdigitaux, poignets, aisselle, fesses, aines) puis Généralisé Épargnant le visage, CC Recrudescence nocturne Conjugal ou familial ou collectivité
14 Gale : lésions cutanées Lésions non spécifiques lésions de grattage: excoriations plus fréquentes
15 Gale : lésions cutanées
16 Gale : lésions cutanées Spécifiques à rechercher systématiquement Sillon scabieux (signe pathognomonique) Petite ligne sinueuse, grisâtre Quelques millimètres de long Trajet de l acarien femelle dans la couche cornée, contenant les œufs Eminence (surrélévation) à l une des extrémités = position de l acarien: la vésicule perlée
17
18 Gale : lésions cutanées Spécifiques Vésicules perlées Élevures translucides sur base érythémateuse Souvent non visible car érodée Espaces interdigitaux ++
19 Gale : lésions cutanées Spécifiques Nodules scabieux Papulo-nodules rouges/violacés, prurigineux Régions génitales de l homme ++
20 Gale : topographie des lésions cutanées Espaces interdigitaux Faces antérieures des poignets Creux axillaires antérieurs Ombilic Fesses Face int des cuisses Organes génitaux masculins Mamelons
21 Gale: topographie des lésions cutanées Espaces interdigitaux
22 Gale: topographie des lésions cutanées Espaces interdigitaux
23 Gale : topographie des lésions cutanées Creux axillaires antérieurs
24 Gale: topographie des lésions cutanées Fesses
25 Gale: topographie des lésions cutanées Organes génitaux masculins
26
27 Gale: topographie des lésions cutanées Mamelons
28 Gale : formes cliniques Gale des gens propres Trompeuse car peu de lésions Prurit diffus persistant Anamnèse +++ mise en évidence des sillons et des parasites difficile Cette forme clinique est fréquente et très difficile à diagnostiquer. doit être évoquée devant une éruption eczématiforme, avec une résistance inhabituelle aux dermocoticoïdes, une recrudescence aux plis et chez l'homme la localisation scrotale de nodules scabieux.
29 Gale : formes cliniques Gale hyperkératosique (crouteuse dite norvégienne) Elle est due à une infestation massive par le sarcopte principalement chez les sujets ayant une immunodépression (corticoides++) ou des troubles neurologiques et chez des patients âgés, cachectiques, grabataires. Cette forme est plus à risque d être responsable d'épidémies au sein des collectivités. Très contagieuse (prolif parasitaire ++: milliers voire des millions de parasites) Atteinte de tout le corps: dermatose généralisée le visage, le cuir chevelu et les ongles Pfs localisée ((cuir chevelu, face, doigts, ongles): trompeuse une hyperkératose des régions palmo-plantaire et unguéale, coudes, aréoles mammaires. Prurit souvent discret voir absent Simule diverses dermatoses squameuses : psoriasis, éruption d'origine médicamenteuse
30
31
32
33
34 Gale profuse : disséminée inflammatoire Conséquence d'un diagnostic tardif, parfois d'un déficit immunitaire (VIH) ou de traitements inadaptés (corticothérapie locale ou générale) Lésions souvent atypiques. L'éruption cutanée papuleuse, vésiculeuse, érythémateuse est : floride, sans sillon très prurigineuse avec une population parasitaire plus ou moins abondante, disséminée sur le tronc, les membres : l'atteinte du dos est fréquente. possible érythrodermie Cette forme clinique s'observe aussi chez les patients âgés vivant en institution.
35
36 Gale : diagnostic positif CLINIQUE Anamnèse (Prurit familial, nocturne) Topographie évocatrice de l éruption (sillon)
37 Gale : diagnostic positif Biolo: hyperéosinophilie modérée Mee de acarien difficile Grattage sillon Examen au microscope du matériel recueilli : oeufs et/ou acariens
38 Gale : diagnostic positif Biopsie cutanée Dermoscopie ADN du sarcopte par (PCR) Matériel: Squames cutanées > biopsie
39 Dermoscopie Gale : diagnostic positif
40 Gale : diagnostic différentiel
41 Gale : complications Surinfection Tout impétigo chez l adulte doit faire rechercher une ectoparasitose (gale ou pédiculose) Eczématisation : secondaire à la gale ou son ttt Prurit post-scabieux Nodules post-scabieux papulo-nodules rouges ou cuivrées prurigineux pouvant persister pls semaines aps ttt efficace ; siège ubiquitaire ; pas de sarcopte, d origine immuno-allergique
42 AVIS DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE SECTION DES MALADIES TRANSMISSIBLES Conduite à tenir devant un cas de gale (séance du 27 juin 2003) 3 NIVEAUX A CONSIDERER INDIVIDUEL COLLECTIF ENVIRONNEMENT
43 A. CAS ISOLE SIGNALER EN INTERNE INFORMER CAT DEVANT LA GALE INSTAURER DES PRÉCAUTIONS DE " TYPE CONTACT " ADAPTÉES À LA GALE TRAITER SURVEILLER B. EPIDEMIE 1 - MESURES IMMÉDIATES Informer les responsables Instaurer des précautions de " type contact " adaptées à la gale 2 - ETABLIR RAPIDEMENT LE BILAN DE L ÉPIDÉMIE 3 - CRÉER UNE CELLULE DE CRISE, ÉVALUER LES MOYENS 4 - ANALYSER L ÉPIDÉMIE cas atteints: cas certains + cas probables dans le cadre d une épidémie cas contacts: personnes ayant eu un contact cutané prolongé avec un sujet atteint 5 - ISOLER 6 - CHOISIR LA STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE traitement collectif de tous les sujets d'un même service 7 INFORMER patients et famille. structure d origine et/ou de destination du patient différents intervenants auprès du patient ayant eu un contact cutané prolongé
44 CONDUITE A TENIR FACE A UN CAS ISOLE 1 - SIGNALER EN INTERNE Nécessité d identifier clairement, au sein de leur structure, une personne qui sera informée systématiquement de toutes les alertes d ordre infectieuses. Cette personne aura la légitimité pour réunir les compétences et les moyens pour gérer le problème posé à l établissement. C est cette personne référente qui pourra coordonner le bon déroulement et le suivi des opérations. 2 - INFORMER Le responsable du signalement des infections ou l équipe d hygiène Le responsable médical, Le cadre du service ou le responsable administratif de l établissement, Le médecin du travail, En cas de transfert récent, la structure d origine et/ou destination Les différents intervenants auprès du patient : étudiants et professionnels de santé, famille et entourage ayant eu un contact cutané prolongé (nursing, aide à la marche, kinésithérapie ).
45 CONDUITE A TENIR FACE A UN CAS ISOLE 3 - INSTAURER DES PRÉCAUTIONS DE " TYPE CONTACT " ADAPTÉES À LA GALE Chambre seule la dissémination de la gale dans l environnement d un patient atteint, est relativement modérée (hors cas de gale profuse). Cependant, il est plus aisé de mettre en place les moyens matériels et de pratiquer les soins requis dans une chambre seule Hygiène des mains lavage simple des mains permet d éliminer physiquement lors du rinçage les parasites présents à la surface de la peau.
46 CONDUITE A TENIR FACE A UN CAS ISOLE Le port de gants à usage unique non stériles impératif pour tout contact cutané prolongé avec le patient ou les objets contaminés. La tenue: le port de la surblouse à manches longues impératif pour tout contact avec le patient. Le recours à de l usage unique est préférable pour éviter les erreurs de manipulation. Le linge : par précautions le linge porté dans les 8 jours précédant la constatation de l infestation parasitaire et celui porté jusqu à la levée de l isolement est soumis à un traitement spécifique.
47 L entretien du petit matériel (tensiomètres, sangles de lève-malades, attelles, écharpes de maintien) : ce matériel peut être vecteur du parasite. réserver ce matériel au patient jusqu à sa guérison. manipulé avec des gants. L environnement : le traitement de l environnement n est pas indiqué dans le cas de gale commune En cas de gale profuse: mesures de désinfection complémentaires avec un acaricide Les visiteurs limitation des visites: même si le mode de transmission principal est le contact cutané prolongé Chaque personne entrant dans la chambre doit se conformer à des règles pour éviter une contamination : lavage des mains à l entrée et à la sortie de la chambre port obligatoire d une surblouse pas de contact avec la peau du patient (hormis le visage pour les gales communes) Les objets présents dans la chambre ne doivent pas en sortir Le linge ne doit pas sortir de la chambre sans l autorisation de l équipe soignante
48 Les déplacements du patient : précautions sont à prendre tant que le patient est en isolement. Les sorties limitées aux examens complémentaires urgents, Utilisation d un drap pendant le transport pour envelopper le malade et prévenir ainsi une dissémination de parasites (surtout dans le cas de gale hyperkératosique ou profuse). La durée de l isolement: fixée à 48 h après la dernière application du traitement bien qu il n y ait pas de consensus parfaitement défini. C est une prescription médicale, s appuyant sur un examen des lésions, qui met un terme à l isolement.
49 CONDUITE A TENIR FACE A UN CAS ISOLE 4 TRAITER : au préalable, analyse du contexte 1. cas de gale norvégienne transfert vers un service spécialisé. traitement de tous les personnels et intervenants au sein de l unité où il a été hospitalisé (éventuels patients). 2. diagnostic est fait dans les 48 h à 1 semaine après l admission probabilité de dissémination au sein de la communauté faible traitement du cas avéré seul. informer la structure d hébergement dont il vient 3. Le diagnostic est posé chez un patient présent depuis > de 6 semaines dans l unité: cas de gale nosocomiale certain recherche ++ d autres cas parmi la population hospitalisée et les soignants. traitement simultané du cas et des personnes qui ont eu des contacts prolongés (famille et personnel soignant) 4. Le diagnostic est posé chez un patient présent depuis 1-6 semaines dans l unité : cas de gale nosocomiale probable mais aussi diagnostic retardé d un cas communautaire Le risque épidémique existe et doit être évalué. Analyse de la situation en prenant en compte facteurs liés au patient / collectivité
50 5 SURVEILLER CONDUITE A TENIR FACE A UN CAS ISOLE Evaluation du risque épidémique en prenant en compte 2 types de facteurs Les facteurs liés au patient Forme clinique: la gale " norvégienne " est plus à risque qu une gale commune Corticothérapie et immunosuppresseurs favorisent les formes profuses, degré d autonomie du patient (aide aux activités de la vie quotidienne, nursing) séances de kinésithérapie chambre seule ou non délai entre le début des signes et le moment du diagnostic : plus il est long plus le risque d épidémie augmente. Les facteurs liés à la collectivité niveau d application des précautions standards degré d autonomie des autres patients (aide aux activités de la vie quotidienne), Structure: douches individuelles dans les chambres ou douches collectives l organisation du travail (personnels communs ou non entre des étages ou des bâtiments différents )
51 CONDUITE A TENIR DEVANT UNE EPIDEMIE Une épidémie de gale avérée 2 cas de gale ou > diagnostiqués par un médecin de l établissement avec atteinte possible des autres patients ou du personnel soignant. La présence de cas parmi le personnel un indicateur d épidémie déjà avancée parmi les patients.
52 CONDUITE A TENIR DEVANT UNE EPIDEMIE 1 - MESURES IMMÉDIATES Informer Le responsable médical Le cadre du service ou le responsable administratif de l établissement Le président de CLIN (Comité de lutte contre les Infections Nosocomiales) Le responsable du signalement des infections Le médecin du travail La blanchisserie Instaurer des précautions de " type contact " adaptées à la gale Idem cas isolé
53 CONDUITE A TENIR DEVANT UNE EPIDEMIE 2 - ETABLIR RAPIDEMENT LE BILAN DE L ÉPIDÉMIE Centralisation des données recueillies sur les patients et les personnels par la personne référente Information des médecins en charge des patients et du médecin du travail. Evaluation du nombre de cas certains, probables et contacts pour en faire une description dans le temps et dans l espace. 3 - CRÉER UNE CELLULE «DE CRISE», ÉVALUER LES MOYENS Nécessité de compétences pour les décisions (Direction), les soins et la logistique car en fonction du nombre de cas à traiter, la gestion d une épidémie de gale peut être lourde en terme de moyens humains et financiers.
54 4 - ANALYSER L ÉPIDÉMIE Il convient de classer les patients et les personnels en : 1. cas atteints: cas certains + cas probables dans le cadre d une épidémie 2. cas contacts: personnes ayant eu un contact cutané prolongé avec un sujet atteint Étudiants, intérimaires, professionnels de santé y compris les personnels de nuit, les kinésithérapeutes, entourage et famille Puis mettre en évidence répartition géographique (unités de soins concernées) temporelle (émergence des cas dans le temps). 5 - ISOLER CONDUITE A TENIR DEVANT UNE EPIDEMIE La mise en isolement des patients atteints est incontournable. Cet isolement doit être maintenu jusqu à 48 h après la fin du traitement. Pour l ensemble des " sujets contact ", la suppression des activités " sociales " s impose. Aucune mesure d isolement n est nécessaire pour les " contacts des contacts ".
55 CONDUITE A TENIR DEVANT UNE EPIDEMIE 6 - CHOISIR LA STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE seul un traitement collectif de tous les sujets d'un même service patient et personnel " contact direct ", voire d une même collectivité: permet de juguler l'épidémie et éviter extension De plus l'acceptabilité d'un traitement "choc" bien conduit est toujours meilleure que les errances d'un traitement au coup par coup itératif. il n y a pas de niveau de preuve suffisant pour recommander préférentiellement un traitement per os ou par voie locale. Cependant, la facilité d utilisation plaide en faveur du traitement per os et ce d autant plus que le nombre de personnes à traiter est important ". 7 INFORMER Information à destination des patients et de leur famille. En cas de transfert récent, la structure d origine et/ou de destination du patient Les différents intervenants auprès du patient ayant eu un contact cutané prolongé
56 Gale : traitement Pas de guérison spontanée Traitements locaux : Scabicides topiques Traitements voie générale : Antiparasitaire systémique Désinfection 3 impératifs de façon simultanée Traitement individuel et isolement En même temps que les contacts (entourage proche) En même temps que l environnement (linge et literie)
57 Traitements locaux : Scabicides topiques Ascabiol Sprégal Elenol Scabécid 1% La différence entre ces produits réside dans principe actif, présentation et les modalités d application (pulvérisation, badigeon au pinceau, application de crème ), mais dans les contre-indications, notamment femme enceinte et enfant.
58
59 Traitement par voie générale : Stromectol (ivermectine) Le seul traitement per os Posologie : 200 µg/kg, en une seule prise Ex : 12 mg pour 60kg = 4 cp dosés à 3 mg Prise le matin pour des raisons pratiques, encadrée par un jeûne de 2 heures avant et 2 heures après. Présentation en boite de 4 ou de 20 cp; 3 mg par comprimé NB : les comprimés peuvent être écrasés. CI : Hypersensibilité à l un des composants, grossesse, enfant < 15 kg et < 2ans Durée de contagiosité sous traitement non connue; Pas de résistance Agrément aux collectivités: oui ; Remboursement SS: 65 %; coût sup aux ttt locaux
60 Choix du traitement En l état actuel des connaissances pas de niveau de preuve suffisant pour recommander préférentiellement un traitement per os ou par voie locale. Cependant, le traitement oral trouve bien sa place dans les institutions, ou les établissements de long séjour, car en cas d épidémies: difficultés à réaliser un traitement local classique chez toutes les personnes en même temps. Gales profuses et hyperkératosiques le traitement per os indiqué associer au traitement local scabicide et kératolytique (vaseline salicylée). une 2eme dose associée à un traitement topique dans les 15 jours
61 Traitement à l'ascabiol J0 Faire prendre une douche chaude avec savon doux, rincer, sécher Appliquer la lotion ASCABIOL avec pinceau sur la totalité de la surface corporelle en évitant visage et cuir chevelu et en insistant sur les lésions, frotter si pilosité importante. En cas de gale profuse, le cuir chevelu et les oreilles seront traités. Le pinceau sera réservé au patient. Laisser sécher puis 2ème couche selon le même protocole Laisser en contact 24 h, y compris sur les mains, renouveler l'application dans la journée si besoin (lavage des mains) Mettre du linge propre (vêtements et draps) Traiter l'environnement J1 Douche uniquement suivie d une application de crème hydratante si besoin J2 Levée de l'isolement sur prescription Soins de nursing habituels J8 Veiller à un suivi régulier des soins d'hygiène corporelle et à l'évolution des lésions Renouveler le traitement si nécessaire sur prescription Jeter les pinceaux après le traitement
62 Modalités thérapeutiques Traitement local par Ascabiol (benzoate de benzyle) Pinceau plat, à poil synthétique et manche en plastique sur l ensemble du corps à l exception du visage. Insister au niveau des ongles, de l ombilic, des espaces interdigitaux des mains et des pieds, de la face antérieure des poignets, des parties génitales, de tous les plis. Pinceau spécifique à chaque patient, identifié au nom du patient. Le pinceau sera nettoyé et désinfecté avec un détergent-désinfectant et jeté à la fin du traitement.
63 Traitement au Stromectol J0 Administrer le traitement Stromectol prescrit en une seule prise au milieu repas car augmentation biodisponibilité après un jeun strict de deux heures, et ensuite laisser à jeun pendant deux heures Faire prendre une douche au savon doux ; rincer abondamment ; sécher Mettre du linge propre (vêtements et draps) Traiter l'environnement J1 Soins de nursing habituels J2 Levée de l'isolement sur prescription Veiller à un suivi régulier des soins d'hygiène corporelle et à l'évolution des lésions J8 Ivermectine n est pas ovicide donc nécessité d une 2ème cure (Clinical practices. Scabies. Chosidow O.N Engl J Med. 2006) Formes profuses une 2eme dose d ivermectine et association à un traitement topique à J15
64 EVOLUTION POST THÉRAPEUTIQUE Surveiller l évolution clinique du patient (apparition de nouvelles lésions). Le prurit doit céder rapidement en 10 jours. Parfois long à disparaître car " ancrage psychologique " et la phobie de cette parasitose. La prescription d émollients et d anti-histaminiques utile dans ce cas, en évitant de prescrire très tôt un dermocorticoïde. Précautions "contact" pendant 48 h après la prise du traitement PO et après le badigeonnage pour topique. Des nodules post-scabieux peuvent persister plusieurs semaines après un traitement, notamment chez le nourrisson, en l absence d autres signes de gale.
65 Indications : Au niveau individuel Gale commune: Ttt a domicile Ttt local (1ère ligne) Et/ou per os (facilité, nombre imp sujets) En théorie 2eme cure à J14 (ivermectine non ovocide): Clinical practices. Scabies. Chosidow O.N Engl J Med Conseil superieur d hygiène publique de france: évaluer l évolution à J8 J10 Si doute: nouveau ttt local ou 2eme cure
66 Indications : Au niveau individuel Gale profuse Hospitalisation Ttt Vaseline salicylée à 2% Scabicides topiques: Ascabiol Et 2 cures de Stromectol à 15 jours d intervalle
67 LINGE La blanchisserie est prévenue et famille informée des précautions à prendre Le linge est manipulé avec précaution Si le linge supporte le lavage > à 60 C (draps, alèses, taies, serviettes de toilette) Recueil dans sac plastique Si le linge ne supporte pas le lavage à 60 C utilisation d un produit acaricide : mettre le linge dans une poche plastique, vaporiser avec produit acaricide (type A-PAR ), fermer, en contact 3 heures minimum Si pas d utilisation de produit acaricide :mettre le linge dans une poche plastique, fermer la poche pendant 1 semaine, Transport en blanchisserie
68 ENTRETIEN DE L ENVIRONNEMENT Traitement de l environnement pas indiqué en cas de gale commune. En cas de gale profuse: appliquer des mesures de désinfection complémentaires : avec un acaricide type A-PAR à J1 du traitement après nettoyage pulvériser : l intérieur des meubles de stockage de linge les fauteuils tissus, des rideaux en tissu, les interstices des fauteuils plastiques la literie (matelas + traversins) Attendre 3 heures pour réoccuper la chambre en cas de pulvérisation. Utilisation intensive de produit acaricide: la protection respiratoire du personnel par un masque A2P3
69 GALE EN BREF Parasitose mal vécue Y penser ++ dvt un prurit car tout retard diagnostic peut entrainer épidémie Strictement humaine Formes infestantes sont femelles fécondées Transmission contact cutané direct étroit Attention aux gales profuses (transmission indirecte possible) Signe: sillon Ttt PO dans formes profuses et à discuter dans autres formes Ttt PO recommandé dans les épidémies Appliquer ++ précautions «standards»: barrière efficace à transmission parasite
70 Merci de votre attention
GENERALITES SUR LA GALE
DEPARTEMENT DES SPECIALITES DE MEDECINE Service de Dermatologie et Vénérologie HUG PRISE EN CHARGE DE LA GALE Fig. 1 : Sarcopte femelle, Taille entre 0,2 et 0,5 mm Source : laboratoire de dermatologie
Plus en détailPEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS
PEDICULOSES PARASITOSES Hélène DALMAS Les pédiculoses (poux), la gâle sont dues à une infestation de l homme par des parasites. Ile se transmettent par contact avec une personne atteinte. Ils sont surtout
Plus en détailgale - Brochure d information -
gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et
Plus en détailLa gale est-elle en augmentation en France?
Maladies infectieuses La gale est-elle en augmentation en France? État des lieux à partir de diverses enquêtes régionales et nationales 2008-2010 Sommaire Abréviations 2 Résumé 3 1. Introduction 3 2. Matériel
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailSurvenue de un ou plusieurs cas de gale Conduite à tenir. Collection Avis et Rapports
Survenue de un ou plusieurs cas de gale Conduite à tenir Collection Avis et Rapports COMMISSION SPECIALISEE MALADIES TRANSMISSIBLES Recommandations relatives à la conduite à tenir devant un ou plusieurs
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailProtéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,
la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE
Plus en détailTraitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.
SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE
TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants. Le saviez-vous? Les poux de tête
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailMettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux
Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit.
MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. Introduction Au cours de la dernière décennie, il y a eu une augmentation exponentielle du nombre d infestation
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE
TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Ils ne sont pas dangereux bien qu'ils soient dérangeants. À CONSERVER Saviez-vous que les poux de
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailMesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement
MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailFIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :
FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailRÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE
RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailPUNAISES DE LIT. prévention et intervention
PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailLes parasites externes
Les parasites externes Les chats sont volontiers promeneurs, curieux ou à la recherche de congénères. Ils sont donc plus facilement parasités que les chiens. Ils sont la principale source de puces pour
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailModule transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires
Enseignement National Classant Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Psoriasis J.-J. GUILHOU (Montpellier), L. DUBERTRET (Paris, St Louis), B. CRICKX (Paris, Bichat),
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailPREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1
TECHNIQUE 9.1 MISE EN ŒUVRE D UN DAE 1. Justification La survie des personnes en arrêt cardio-respiratoire par fonctionnement anarchique du cœur est amélioré si une défibrillation est réalisée précocement.
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailLe psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003
Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Pré-requis : QCM (bonne réponse) Le psoriasis est : A - une dermatose érythémato-squameuse B - Fréquente C - Pouvant être traité par les bêta-bloquants
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailComprendre. son Psoriasis du Cuir Chevelu
Comprendre son Psoriasis du Cuir Chevelu Vous avez un psoriasis du cuir chevelu ou une personne de votre entourage en est atteinte. Cette brochure vous est destinée. Grâce aux informations transmises,
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détailConditions générales de vente
Conditions générales de vente ( Particuliers ) Affichage : Des panneaux spécifiques sont à votre disposition dans la plupart des salles : pas de clou, pas de punaise et pas de scotch en dehors de ces panneaux
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailDermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard
Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE
À CONSERVER TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants... Le saviez-vous?
Plus en détailSoins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains
Soins Soins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains LP Louis Blériot 2 BAC Pro ASSP Situation professionnelle Situation n 6 Fonction Compétence
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailLa hernie discale Votre dos au jour le jour...
La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailPROTOCOLE SONDAGE VESICAL
DOMAINE : SOINS N version : 1 PROTOCOLE SONDAGE VESICAL Date application : 18/09/2009 8page(s) (R/V) Rédaction / date Validation / date Approbation / date Diffusion / date Actualisation / date A LECOQ/
Plus en détailPSORIASIS. Dr Le Duff 2010 Service de Dermatologie Hôpital Archet 2 Nice -
PSORIASIS Dr Le Duff 2010 Service de Dermatologie Hôpital Archet 2 Nice - Qu est ce que le psoriasis? Maladie de la peau inflammatoire chronique Physiopathologie mal connue Non contagieux! Facteurs génétiques
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailAvis 17 octobre 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailPharmacie galénique et dermatologie. En fonction de quels critères médicaux choisir les excipients en consultation?
Pharmacie galénique et dermatologie En fonction de quels critères médicaux choisir les excipients en consultation? Dr Ch. Defresne Mars 2005 Excipients disponibles Listes disponibles : Formulaire national
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détail