Principes des réseaux informatiques - NFA009 Chapitre 1 : Bases sur les réseaux

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1 Principes des réseaux informatiques - NFA009 Chapitre 1 : Bases sur les réseaux 1. Transmission à distance La transmission à distance de données comporte quelques limitent : Limitation de la bande passante (bande passante = unité de donnée / unité de temps) Limitation dans la qualité du réseau (réseau optique > réseau Hertzien > réseau téléphonique) 2. Elément de base d un réseau L ETTD : Equipement Terminal de Traitement des Données (Ex : modem, ordinateur ) L ETCD : Equipement de Terminaison du Circuit de Données (Ex : modem) ETTD (A) ETCD (A) ETCD (B) ETTD (B) Support de transmission Technique de transmission Circuit de données Pratique : ETTD (Français) DTE (Anglais) : Data Terminating Equipement. ETCD (Français) DCE (Anglais) : Data Terminating Circuit Equipement. 3. Qualité du circuit de données a. Taux d erreur Une des caractéristiques du circuit de données sera son taux d erreur. Taux d erreur : Rapport entre le nombre de bits erronés reçus et le nombre total de bits transmis.

2 b. Rapidité de modulation La Rapidité de modulation correspond au nombre de symboles (bits, octets, ) transmis par unité de temps. Elle se calcul par le Débit binaire, dont voici la formule :. 1 D : durée expérimentale en secondes de l intervalle le plus court entre 2 symboles successifs. V : Nombre de symboles utilisés. Exemple : Caractéristiques du circuit de données a. La bande passante La Bande passante est limitée. Elle correspond à la plage de fréquence à l intérieure de laquelle, la puissance de sortie est supérieur à un seuil donnée. En général, on caractérise un support par sa bande passante à 3 db. (i.e. Dans la plage de fréquence à l intérieure de laquelle la puissance de sortie d un signal est au pire divisé par 2). b. Bruits et distorsions Les supports de transmissions déforment les signaux. De la même manière, les bruits perturbent ces derniers, et les distorsions, aussi bien en amplitude qu en fréquence, viennent également modifier le signal. Exemple : Emission Réception

3 c. La capacité Elle aussi est limitée. Elle correspond à la quantité d informations transmises par unité de temps. Théorème de Shannon : (Capacité maximale pour un support). 1 W : Largeur de la bande passante : Rapport entre la puissance du signal et la puissance du bruit Exemple : La ligne téléphonique Soit la bande passante, 3000 Hz, et, 30 db (=1000) ~ Différents supports a. La paire torsadée de cuivre C est une paire torsadée non blindé, composée de 2 fils de cuivre enroulé de façon hélicoïdale qui permet d évité les inductions électromagnétiques provenant de l extérieur. b. Le câble coaxial Par rapport à la paire de cuivre torsadé, on réduit les distorsions dû au blindage. Le rapport entre les diamètres des conducteurs est égal à 3,6. Conducteur Isolant Blindage (tresse) Enveloppe Ame

4 Les connecteurs du câble coaxial : La prise vampire : Tige Ame Prise en T : Connecteur permettant un débit de l ordre de 100 Mbits/s. c. La fibre optique C est une fibre faite de silicium, parfois en plastique. Un des avantages de la fibre optique est sa grande bande passante. Elle peut être composée de 2 sortes : Une diode électroluminescente (moins cher et permet le multiplexage fréquentiel) Un laser (plus cher, plus puissant mais moins robuste et mono-fréquentiel) Principe de la fibre optique : Emetteur Electro-photonique Récepteur Electro-photonique Source Récepteur Sur une fibre optique, la lumière ne peut aller que dans un sens. Le débit de transfère est de quelques GBits/s. ( la limite étant à peu près de 500 TBits/s). Le poids d une fibre est de 5 g/km. Un câble est constitué d un ensemble de fibre.

5 Il existe 3 types différents de fibre optique : Multi mode à saut d indice (50 MHz. Km) Multi mode à gardian d indice (500 MHz. Km) Mono mode (50 GHz. Km) Schéma : Cœur en verre (50 ) Gaine en verre Revêtement protecteur en plastique Les réseaux «fibre optique» sont en cercle. Cette architecture permet de sécurisé le réseau en cas de coupure. Exemple :

6 d. Les faisceaux hertziens Il y a 2 types de transmissions possibles via les faisceaux hertziens : Transmission satellitaire (plus puissante) : passe par les pôles pour couvrir un nombre maximum de régions du globe. Géostationnaire Terre Transmission terrestre (directe ou par réflexion) : réflexion le signal rebondit sur l atmosphère ATMOSPHERE Emetteur Chine NC Emetteur T E R R E

7 Exemple de réseau Hertzien : Ondes électromagnétiques (Bluetooth, wifi etc.) Lumière laser Infrarouge 6. Caractéristiques de la liaison a. Type de communication de liaison A B Unidirectionnel (ou simplex) Satellite météorologique A B Bidirectionnel à l alternat («half duplex») Téléphone A B Bidirectionnel («full duplex») Protocole TCP/IP b. Les différents modes de communications de la liaison Le mode point-à-point (bipoint) Les équipements sont interconnectés directement A B C D

8 Le mode multipoint Un réseau local par exemple c. Multiplexage d une liaison Fonction : La fonction du multiplexage est de partager une même liaison entre plusieurs communications simultanées. Les 2 gros types principaux du multiplexage sont : Le Multiplexage fréquentiel (FDMA Frequency Division Multiple Access) On va faire de la répartition de fréquences (surtout adapter aux transmissions analogiques et numériques) Les données transmises ne circulent pas sur la même fréquence Le Multiplexage Temporel (TDMA Time Division Multiple Access) On partage le temps. Il est plus souple et donc plus adaptatif, mais limité aux transmissions numériques. Exemple : TRAME TEMPOREL

9 Il existe 3 sous-types au temporel : Statique : les trames sont fixes. Il y a ce que l on appel, des réservations de trames. Dynamique (multiplexage adaptatif) : les intervalles de temps dépendent de la demande Méthode d Accès : en fonction que l information viennent d un serveur ou d une source de données «importante», l intervalle de temps (IT) changera. (Type plus souple mais nécessitant un control). Type employés par les réseaux locaux.

10 Principes des réseaux informatiques - NFA009 Chapitre 2 : Techniques de transmissions 1. Introduction Les supports de transmissions ne sont pas parfaits. On rencontre par exemple des phénomènes d affaiblissement, du déphasage et des bruits. On va adapter les techniques de transmissions en fonction des supports. Il y a 2 grandes techniques de transmission : Transposition de fréquence : Sur un même support, on utilise plusieurs fréquences En bande de base : Codage de l information 2. Affaiblissement L affaiblissement correspond à une transformation de l amplitude du signal. Exemple : V(t) Émis T Reçu Il y a 2 constantes : L affaiblissement croît plus vite que la distance (ce n est pas proportionnel) L affaiblissement varie en fonction de la fréquence 3. Le déphasage Le déphasage est une déformation de la phase du signal. Exemple : V(t) Émis Reçu T Le déphasage varie aussi en fonction de la fréquence du signal.

11 4. Phénomènes perturbateur Les bruits blanc : agitation thermique qui provoque une faiblesse du signal et s attaque à la largeur de la plage de fréquence. Les bruits impulsifs : Ce sont des microcoupures ou des phénomènes électromagnétiques. Ses bruits ont une forte puissance, une durée faible et sont quasiment impossible dans les transmissions numériques. La diaphonie : Influence électromagnétiques. Il faut veiller à placer les câbles de manière adéquat, voir les blindés. L écho : C est une réflexion du signal (impédance inadapté) On utilise une suppression d écho ou un câblage adapter, comprenant 4 fils au lieur de Modélisation du support de transmission a. Schéma Bruit impulsif Bruit blanc s (t) f ( s (t) ) s (t) Filtre La bande passante correspond à la plage de fréquence ou le support présent les meilleures caractéristiques de transmission. Le gain est non-nul. (gain = 1/affaiblissement). On note la bande passante en décibel (db) et on vérifie que : 10 x ½ ¼ log x

12 Il y a 3 types de filtres : b. Les filtres Le filtre passe bas : (enlève tous les signaux supérieurs à une valeur donnée) Le filtre passe haut : (enlève tous les signaux inférieurs à une valeur donnée) Le filtre passe bande : (enlève une plage de fréquence donnée)

13 6. Formule de Shannon Cette formule sert à obtenir le débit théorique maximum d un support soumis à un bruit.. 1 D W Bande passante (Hz) Exemple : Débit maximal d une ligne téléphonique La bande passante se situe entre 300 et 3400 Hertz. [ Hz] Le rapport entre le signal et le bruit est de 30 db ,96557 ~ 30 Pratique : 7. Elément intervenant dans la transmission ETTD émetteur d (t) ETCD s (t) s (t) ETCD d (t) ETTD récepteur Emetteur Récepteur Support de Transmission Machine Machine Jonction Modem Modem Jonction Circuit de données

14 La fonction de l ETCD se divise en 2 parties : Codage : bit symbole Modulation : symbole signal a. Fonction de l ETCD Les symboles peuvent être une fonction continue ou une suite de valeur. De plus, une transformation appliquée peut être très simple. A l émission : ETCD émetteur Suite de bits a (t) s (t) Codeur Modulateur A la réception : ETCD récepteur S (t) = f(s(t))+b(t) a (t) bits Démodulateur Décodeur b. Modulation La modulation transforme un signal initial quelconque a(t), en un signal s(t), adapté au support de communication employés. Le signal s(t) est obtenu, en faisant varier les paramètres d une onde généralement sinusoïdale. (Elle passe toujours par 0 Cf. graphique ci-dessous).

15 Période Fréquence = é Le signal sinusoïdal est centré autour d une fréquence appelé onde de référence ou porteuse. (Graphique cidessus en rouge) Il existe 3 types de modulations par transposition de fréquence : Modulation d amplitude On agit sur l amplitude Modulation de fréquence On agit sur la fréquence ou la période Modulation de phase c. Le codage Le codeur transforme une suite de bits en une suite codé de symbole. (Généralement ce sont aussi des bits auxquels on aura ajouté de l information). Le décodeur effectue la fonction inverse. Le but est d adapter la suite de bit à transmettre aux caractères de la transmission. S il n y pas de modulation par transposition en fréquence, le codage est dit «en bande de base». Dans ce cas là, la plage de fréquence est la même que la suite de bits reçus de l ETTD. Le modulateur, module à partir d une fonction rectangulaire. Exemple :

16 Exemple 2 : Codage binaire (de valence N = 2) Exemple 3 : Codage à plusieurs niveaux (de valence N = 4) Dans cette exemple, on suppose que : d. Débit binaire Le débit binaire D d une voie de donnée, est le nombre maximum de bits di transmis par seconde sur cette voie.

17 e. Rapidité de modulation La rapidité de modulation R (exprimé en bauds), mesure le nombre maximal de symboles transmis par secondes. Exemple : Si N = 2 log2 (2) = 1 D = R Si N = 4 log2 (4) = 2 D = 2 R 8. Principales qualités d un code La largeur de la plage de fréquence doit être la plus étroite possible La répartition fréquentielle de la puissance peu de puissance sur les fréquences faibles, mais aucune puissance à la fréquence nulle Le codage de l horloge Synchronisation de l horloge du récepteur sur le signal reçu 9. Codes usuels utilisés en bande de base a. Code à 2 niveaux Code NRZ (Non Return to Zero), dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = [a]) Si (dk = 1) (ak = [-a])

18 Code NRZI (Non Return to Zero Inverted), dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = [αk, βk] / [αk βk] ^ [αk = βk-1]) Si (dk = 1) (ak = [αk, βk] / [αk = βk] ^ [αk = βk-1]) Code Biphase, dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = [a, -a]) Si (dk = 1) (ak = [-a, a]) Code Biphase différentiel, dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = [αk, βk] / [αk βk] ^ [αk αk-1]) Si (dk = 1) (ak = [αk, βk] / [αk βk] ^ [αk = αk-1])

19 Code de Miller, dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = [αk, βk] / [αk = βk] ^ [αk αk-1]) Si (dk = 1) (ak = [αk, βk] / [αk βk] ^ [αk = βk-1]) b. Code à 3 niveaux Code RZ (Return to Zero), dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = [-a, 0]) Si (dk = 1) (ak = [a, 0]) Code Bipolaire (Simple), dont la formule est : Si (dk = 0) (ak = 0) Si (dk = 1) Є d₁m si et seulement si (ak = [a] / m = 2n+1) (ak = [-a] / m = 2n)

20 Code Bipolaire entrelacé d ordre 2, dont la formule est : Même formule que précédemment Il s agit de construire 2 sous-suites à partir de la sous-suite à 1 : la sous-suite des 1 paires, et celle des 1 impaires. Chaque sous-suite est indépendamment coder en alternance. Codes Bipolaires à haute densité d ordre n (BHDn), dont la formule est : Même codage que le codage Bipolaire, avec une transformation des suites de plus de n 0. Ce codage est basé sur la violation de l alternance : bit de viol (noté V) 1. Une suite consécutive de n+1 bits à 0 est codé par [000 00] [000 0V] 2. Une suite formé d un bit de bourrage (noté B), n-1 0, suivie d un bit de viol permet de créer un équilibrage ( [000 00] [B00 0V]) Pour assurer ce que l on appel l équilibrage, on choisi la 1 ère forme si le nombre de bits à 1 suivant le dernier bit de viol est impaire (les bits de viol sont codé en alternance), la 2 ème sinon. 10. Codes par blocs On code chaque bloc de K bits par un bloc de n symboles. Ces symboles sont choisis dans un alphabet de taille L (L = 2). Notation :

21 Exemple : Encodage de symboles FDDI Symboles Code Remarque : Si mon bloc de bits à une taille k, ces blocs sont au nombre de 2^k. 11. Conclusion Le principe du codage est d adapter l information à transmettre, au support utilisé. Ne pas confondre le codage de transmission, avec le codage applicatif : Embrouillage De compression (zip, gzip, ) De représentation (ASCII, DBC, ) D authentification

22 Principes des réseaux informatiques - NFA009 Chapitre 3 : Protection contre les erreurs 1. Introduction Quelque soit le support, les erreurs de transmissions sont présentent. a. Détection d une erreur Un émetteur envoi un message initial à un récepteur L émetteur va transformer ce message à l aide d un calcul spécifique qui va générer une redondance des informations du message. On obtient un code. Le récepteur vérifie à l aide du même procédé, que le message reçu est bien le message envoyé Exemple : Technique de détection par répétition Cette technique consiste à doubler les bits. On à k = 1 et n = Le message envoyé devient alors Si la réception comporte des erreurs, on demande alors une réémission.

23 Exemple : Technique de détection par double répétition Cette technique consiste à tripler les bits. On à k = 1 et n = Message envoyé b. Principe de correction des erreurs de transmission Après détection d une erreur, on compare le mot (message code) reçu avec le «dictionnaire du code». Si je retrouve un message dans le dictionnaire (mot de code), alors le mot de code est correct, sinon, c est qu il y a une erreur détecté. Il y a deux possibilités : Je ne sais pas corriger l erreur, je demande alors une retransmission du message. On parlera dans ces cas là, de surcoût dans le protocole. Si je sais corriger, alors je corrige avec une forte probabilité de ne pas me tromper. Dans ce cas là, on parle de surcoût du code. 2. Protection contre les erreurs a. Classification des codes On aura 2 grandes familles de codes : Les codes en blocs (linéaires, cycliques, ) Les codes en treillis (convolutifs, récursifs, ) b. Définition générale Mot initial Mot codé r bits K bits n bits On dira qu un code (k, n) transforme un bloc initial de k bits en un bloc codé de n bits. Si les k premiers bits correspondent au mot initial, on parlera de codage systématique. Le rendement du code, sera R = k/n.

24 Mot de code : Suite de n bits après un codage (k, n). Le nombre n de bits qui compose le mot de code est appelé, longueur du code. Poids de Hamming d un mot binaire : C est le nombre de bits à «1» de ce mot. Distance de Hamming entre 2 mots (de même taille) : C est le nombre de différence entre les bits de chacun d eux. Distance : Correspond à la somme de 2 mots de code. La capacité de détection (et de correction) d un code est définit par les configurations erronées qu il est capable de détecté (et de corrigé). Une erreur simple, affecte une seule position binaire d un mot. Pour qu un code ait une capacité de détection des erreurs d ordre e, il faut que sa distance de Hamming soit supérieure à 1+e. De la même manière, pour qu un code ait une capacité de correction des erreurs d ordre e, il faut que sa distance de Hamming soit supérieure à 1+2e. K = 1 n = 2 On double les bits : n = 2, k = 1 et r = R = 1 Quelle est la distance de ce code? d = e Ce code peut donc détecter une seule erreur La distance de Hamming d un code est la plus petite distance entre 2 mots de code. Exemple 2 : On triple les bits On triple les bits : n = 3, k = 1 et r = Quelle est la distance de ce code? d = Ce code peut donc détecter 2 erreurs.

25 3. Exemple de code par bloc a. Contrôle de la parité La parité du mot correspond à la parité de son poids. Ce code sera un code systématique (k, k+1) dans lequel, un bit (dit de parité) est ajouté au mot initial pour que le poids total soit pair. Remarque : Son rendement est faible si k est petit. Exemple : Codage par parité (3, 4) k = 3 et n = 4. Combien de mot de code? 2^k = 2^3 = Distance entre les mots de code? d = 2 b. La parité longitudinale et transversale Notation : LRC (Longitudinal Redondency Check) VRC (Vertical Redondency Check) Principe : Les mots binaires sont placés les uns sous les autres pour former une matrice (de taille k = a*b), et on appliquera la parité sur chaque ligne et chaque colonnes on obtient une matrice de taille (a+1) * (b+1). 4. Les codes linéaires a. Définition Les codes linéaires sont des codes dont chaque mot de code noté C est obtenu après transformation linéaire des bits du mot initial, noté I. Cette transformation est effectué à partir de la matrice génératrice, G(k, n), tel que : I. G = C Avec G la matrice génératrice, I le mot initial et C le mot de code.

26 b. Exemple G = Pour ce codage, on va en entrée, coder des mots de 3 bits. Les mots de codes auront une taille de 4 bits en sortie C = I. G = = c. Les syndromes On considère la matrice,, appelé matrice de contrôle qui permet de savoir si le mot reçu est un mot de code. On calcul le syndrome du mot reçu : Si le syndrome est nul, alors il s agit d un mot de code Sinon, il y a erreur 4.2 Propriété Si un code linéaire est systématique, sa matrice s écrit :, = [ I,, ] D où,, = [,, I, ] a. Exemple G = I, H =

27 On veut émettre ici I = On obtient ainsi, C = I. G = C = = On veut maintenant savoir si le mot de code trouvé (010101), est vraiment un mot de code. On va pour cela utilisé la transposée de H, notée.. = 0 1 Ce mot n est donc pas un mot de code 4.3 Code de Hamming C est une famille de codes linéaires auto-correcteurs faciles à corriger. a. Principe Propriété sur les dimensions du code. La matrice aura pour taille : Exemple : Si 2, alors, 1, 3 Si 3, alors, 4, 7 2 1, 2 1 b. Propriété La distance minimale entre les mots de code est égale à 3 au minimum. c. Exemple G = On veut émettre ici I = On obtient ainsi, C = I. G = C = H =

28 = On veut maintenant savoir si le mot de code trouvé ( ), est vraiment un mot de code. On va pour cela utilisé la transposée de H, notée.. = 0 Ce mot est un mot de code. d. Correction par méthode de la transposée de la matrice de contrôle Nous allons reprendre le mot de code de l exemple précédent en y insérant une erreur : Pour corriger une erreur, nous allons dresser la liste des syndromes ainsi que leurs vecteurs d erreurs. Liste des syndromes Vecteurs d erreurs Ici, on associe un mot de code de poids le plus faible possible qui représentera le vecteur d erreur. Et ce vecteur d erreur sera ajouté à mon mot binaire pour obtenir la correction (éventuelle) de celui-ci. 4.4 Les codes polynomiaux a. Polynômes Un polynôme est une fonction. Exemple :

29 b. Opération sur polynômes L addition : La multiplication : La division binaire : (Le degrés de 1 doit être à 2 )

30 Principe des réseaux informatiques - NFA009 Chapitre 4 : Architecture générale des réseaux informatiques 1. Introduction Les réseaux informatiques doivent permettre à des applications informatiques de coopérer sans avoir à tenir compte de l hétérogénéité des moyens mis en œuvres et des procédés de transmission mis en œuvres. Les réseaux informatiques doivent : Adapter la technologie de transmission au support de communication Masquer les phénomènes attirant cette transmission Maintenir la qualité demandée Optimiser l utilisation des ressources Assurer la pérennité des choix 2. Définir un modèle de réseau La définition d un modèle de réseau à pour objectif de réduire la complexité des réseaux informatiques. Les principes sont les suivant : Démarche analytique il faut déterminer les fonctions nécessaires au bon fonctionnement Démarche synthétique Regrouper les fonctions de même nature Démarche simplificatrice et constructive Regroupement en sous-ensemble avec des frontières précises Introduire une hiérarchie de l ensemble des mécanismes entre ces sous-ensembles (Couches logiques) Remarque : Le nombre de couche, leur nom et leur fonction varient selon les types de réseaux. Exemple : Le modèle de référence de l OSI (Open System Interconnection) a 7 couches Le LAN a 2+2 couches L ATM a couches Internet à 3 ou 4 couches Nom de la norme : ISO : IS7498 CCITT : X200 AFNOR : NFZ Ce modèle est un modèle à 7 couches. 3. Le modèle de référence OSI d ISO a. Notation de couches, du protocole et du service Une couche est spécialisée dans un ensemble de fonction particulière. Elle utilise les fonctionnalités de la couche inferieure et propose ses fonctionnalités à la couche supérieure.

31 Un système est un ensemble de composants formant un tout autonome. Une entité est un élément actif d une couche dans un système On parlera d entités homogènes (ou paires = entité de même couche située dans 2 systèmes différents. Modèle de référence OSI (couche réseau) : Système A Système B Couche N+1 Service de la couche N Entité A-N Couche N Protocole de niveau N Entité B-N Interface d accès au service Couche N-1 Service de la couche N-1 4. Architecture générale du modèle Il y a 7 couches pour se modèle.

32 5. Détail de chaque couche a. Couche physique Cette couche fournit les moyens mécaniques, optiques, électroniques, fonctionnels et procéduraux nécessaire à l activation, au maintient et à la désactivation des connexions physiques nécessaires à la transmission des trains de bits. Note : Les supports utilisés plus haut ne font pas partie de la couche physique. b. Couche Liaison de données Elle assure la transmission d informations entre 2 ou plusieurs systèmes immédiatement adjacents. Elle détecte et corrige, dans la mesure du possible, les erreurs issues de la couche inférieure. Les objets échangés, sont appelés trames («frames» en anglais). c. Couche Réseau Achemine les informations à travers un réseau pouvant être constitué de système intermédiaires (routeurs). Les objets échangés sont souvent appelés paquets («packets» en anglais). d. Couche transport Elle va assurée une transmission de bout en bout des données. Maintenir une certaine qualité de la transmission, notamment vis-à-vis de la fiabilité et de l optimisation des ressources. Les objets échangés sont les messages («messages» en anglais). On retrouvera cet objet (plus ou moins riche) dans les couches supérieures. e. Couche Session Elle fournit aux entités opérantes, les moyens nécessaires pour synchroniser les dialogues, les interrompre ou les reprendre, tout en assurant la cohérence des données. f. Couche Présentation Elle se charge de la présentation des informations que les différentes entités s échangent. Elle masque l hétérogénéité des techniques de codage utilisées par les différents systèmes. g. Couche Application Elle donne aux processus d application, les moyens d accéder à l environnement de communication de l OSI. Elle comporte de nombreux protocoles adaptés aux différentes classes d application.

33 6. Connexion a. Définition SAP(N) «service Access point» Point d accès au service. Entité (N+1) Entité (N+1) Entité (N+1) COUCHE N+1 SAP (N) SAP (N) Interface du niveau N COUCHE N Connexion (N) Entité (N) Entité (N) La connexion de niveau (N) est l association d entité homologue pour le transport de données. Entité correspondantes : Entités associées par la même connexion. Les extrémités de connexion sont les terminaisons d une connexion (N) à un SAP(N). La connexion bipoint : Connexion comportant 2 extrémités. La connexion multipoint : Connexion comportant plus de 2 extrémités. b. Mode de communication On distingue 2 grands modes : Communication en mode non connecté («datagramme») Chaque unité de transfert de données est acheminée indépendamment les unes des autres Les entités communicantes ne mémorisent rien («Memory less») Les messages échangés sont autosuffisant («self content») Communication en mode connecté («with Connection») Il y a 3 phases dans cette connexion Phase d établissement de la connexion Phase de transfert des données Phase de libération de la connexion Il ya un contexte : numéro de paquets par exemple Les messages échangés comportent des informations utilisables uniquement grâce à la connaissance du contexte

34 7. Primitives de service a. Définitions Le protocole de niveau N, s appui sur le service de niveau N-1, donc la description du service est nécessaire à la compréhension du protocole. Il existe 4 types de primitives : Request : une entité sollicite un service Indication : une entité est informée d une demande de service Response : une entité rend le service Confirmation : une entité est informée que le service est rendu Service confirmé : b. Exemples Utilisateur du service A Fournisseur du service Utilisateur du service B (Couche N+1) (Couche N) (Couche N+1) N-xxx.req ( ) N-xxx.conf ( ) N-xxx.ind ( ) N-xxx.resp ( ) Service non confirmé : Utilisateur du service A Fournisseur du service Utilisateur du service B (Couche N+1) (Couche N) (Couche N+1) N-xxx.req ( ) N-xxx.ind ( ) Une erreur se produit 8. Les unités de données SDU (N) (Service Data Unit) : Unité de données spécifique au service L intégrité de cette unité est préservée d une extrémité à l autre de la connexion mais pas forcément entre. PDU (N) (Protocol Data Unit) : Unité de données spécifique au protocole (N), adapté à la transmission, constituée par les informations de contrôle du protocole (PCI (N)) et éventuellement par des portions de données issues du SDU.

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