R2c Gynécologie Cancer de l Ovaire. Cancer de l ovaire
|
|
- Josiane Bertrand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cancer de l ovaire
2 I-Arbres de Décision I.1-Stratégie chirurgicale des cancers de l ovaire Cancer opérable d emblée Cancer inopérable Traitement complémentaire suivant le niveau Option 1 Chimiothérapie 3 cycles Option 2 Essai thérapeutique Chirurgie adaptée à l essai Chirurgie de 2 ème intervention Chirurgie d intervalle Standard : si résidu initial et/ou absence de curage ganglionnaire initial Possible : 3 cycles supplémentaires de chimio Optionnelle : si pas de résidu initial et curage initial Impossible : Essai thérapeutique
3 I.2-Traitement post-chirurgical : Niveaux de traitement adjuvant R2c Gynécologie Chirurgie initiale Stades IA, IB Stades IC, IIA Stades IIB, IIC, III, IV Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3 Pas de chimiothérapie complémentaire Option1 Endoxan 1000mg/m² Cisplatyl 100mg/ m² ou Endoxan 1000mg/m² Carboplatine AUC6 6 cycles J1 = J21 Option 2 Essai thérapeutique en cours Option1 Cisplatyl 75 mg/ m² ou Carboplatine AUC6 et Taxol 175mg/ m² en 3h Option 2 Essai thérapeutique en cours Option 3 Intensification en consolidation chez les répondeuses au traitement de 1 ère ligne
4 I.3-Cas particuliers R2c Gynécologie Adénocarcinome à cellules claires Chimiothérapie quelque soit le stade Rupture capsulaire pendant la chirurgie Stade IC
5 II-Présentation des Options et Niveaux Thérapeutiques II.1-Traitement chirurgical II.1.1. Synthèse du protocole Intervention initiale Stadification Exérèse complète de la tumeur dans les formes débutantes (Stade I présumé) Confirmer l extension tumorale et réaliser une chirurgie de réduction la plus complète possible dans les formes avancées Chirurgie de réévaluation Non systématique II.1.2. Protocole chirurgical Chez les patientes en rémission complète En cas de chirurgie initiale incomplète Le but du traitement chirurgical du cancer épithélial de l ovaire est différent s il s agit d un cancer de stade précoce ou d un cancer avancé sachant que, selon les séries, deux tiers à trois quarts des femmes porteuses d un cancer de l ovaire se présentent avec une tumeur évoluée. Pour les formes débutantes, c est-à-dire celles où la tumeur semble limitée à l ovaire ou aux ovaires, le problème, outre l ablation de la ou des tumeur(s), est de réaliser en plus de l exérèse de la tumeur, une stadification chirurgicale suffisamment complète pour acquérir la certitude que les cellules tumorales sont bien strictement limitées à l ovaire ou aux ovaires. Pour les formes avancées, diagnostiquées le plus souvent au stade de carcinose péritonéale, le rôle du chirurgien est de confirmer l extension tumorale et de réaliser une chirurgie de réduction tumorale maximale préconisée par la grande majorité des auteurs.
6 A. Traitement chirurgical du cancer épithélial de l ovaire au stade précoce (stade I présumé) R2c Gynécologie Définition : On considère comme cancer de l ovaire au stade précoce les tumeurs qui paraissent macroscopiquement limitées à l ovaire (stade IA) ou aux deux ovaires (stade IB). La présence de végétations néoplasiques à la surface des ovaires, ou d une rupture capsulaire, ou d une ascite néoplasique indique un stade IC. Standard thérapeutique : L intervention doit comporter l exérèse complète de la ou des tumeur(s) et une stadification exhaustive permettant d examiner et de faire les prélèvements dans tous les sites privilégiés de dissémination secondaire de la maladie dans l abdomen. Au moment de l intervention, l âge de la patiente, et surtout son désir d avoir des grossesses ultérieures, doivent être pris en compte car un traitement conservateur peut être possible dans certaines circonstances. Intervention standard : exérèse et stadification chez la femme ménopausée ou ne désirant plus de grossesse : 1- Voie d abord : voie d abord médiane sous-ombilicale qui peut être agrandie, à la demande, au dessus de l ombilic. 2- Descriptif de l exploration : Cytologie péritonéale : en présence d ascite, noter l aspect de l ascite (sanglant oui/non), la quantité de l ascite recueillie. S il n y a pas d épanchement il faut procéder à une irrigation lavage de la cavité péritonéale. Description de la ou des tumeur(s) ovarienne(s) : préciser le côté, la taille (plus grand diamètre en centimètres), l aspect de la surface et particulièrement la présence ou non de végétations néoplasiques, l existence d adhérences (néoplasiques ou non) aux organes de voisinage. Exploration au niveau du pelvis : préciser l aspect de l utérus (séreuse péritonéale), du péritoine pelvien (cul-de-sac de Douglas), du recto-sigmoïde. Exploration de l étage sous-mésocolique : noter l aspect du grêle et du mésentère, de l appendice, du cadre colique et du grand épiploon. Exploration de l étage sus-mésocolique : exploration du foie (bien distinguer les granulations capsulaires des véritables métastases intraparenchymateuses), des voies biliaires, de l estomac, du pancréas, de la rate, du petit épiploon, du ligament rond, des coupoles diaphragmatiques droite et gauche et de l ensemble du péritoine pariétal. Toute anomalie constatée à la surface du péritoine pariétal ou viscéral doit faire l objet d un prélèvement pour étude histologique. 3- Geste chirurgical : Hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale. Afin d éviter la rupture tumorale, est pratiquée une exérèse complète du pédicule lombo-ovarien. Au niveau du péritoine : en cas de présence de nodules, exérèse biopsique de ces nodules. En l absence de nodules identifiables, biopsies systématiques multiples au niveau du pelvis, des gouttières pariéto-coliques et des coupoles diaphragmatiques. Omentectomie : omentectomie au moins infra-colique et si présence de nodules péritonéaux omentectomie complète. Appendicectomie. Lymphadénectomie pelvienne et lombo-aortique : l existence de métastases ganglionnaires rétro-péritonéales fait passer les tumeurs au stade IIIc pour lesquelles le pronostic est très différent et un traitement complémentaire par chimiothérapie est indiqué (annexe 1 : justificatif de la réalisation d une lymphadénectomie). 4- Compte-rendu opératoire : Le compte-rendu opératoire doit comporter une description aussi complète et précise que possible des lésions constatées et de tous les gestes réalisés.
7 Cas particuliers : R2c Gynécologie 1- Stadification incomplète et réintervention : Lorsque les patientes ont été insuffisamment explorées, indication de nouvelle intervention qui peut aboutir à une modification du stade anatomo-clinique. Il peut s agir de patientes dont le diagnostic de stade précoce est attribué mais avec des éléments laissant penser que la stadification a été insuffisante (courte incision du Pfannenstiel, comptes-rendus opératoire et anatomo-pathologique ne faisant pas état de tous les gestes indispensables à la stadification). Il est d autre part de plus en plus fréquent que des patientes aient été opérées par coelioscopie pour une tumeur kystique ovarienne se révélant maligne à l examen histologique. La réintervention de stadification doit alors être réalisée précocement. Au cours de celleci, il est nécessaire de réséquer les trajets des trocarts. 2- Exérèse stadification chez la femme désirant encore des grossesses : Devant une tumeur macroscopiquement unilatérale de l ovaire, une attitude conservatrice peut être proposée pour les tumeurs strictement limitées à l ovaire bien différenciées (grade I et II). Elle est, en revanche, contre-indiquée pour les tumeurs avec rupture capsulaire et/ou cytologie péritonéale positive (stade IC) et pour les tumeurs indifférenciées (grade III, cellules claires). Il en est de même si la procédure de stadification révèle une atteinte microscopique au-delà de l ovaire c est-à-dire un stade II. Dans ce cas de chirurgie conservatrice, la procédure de stadification chirurgicale doit être identique à ce qui a été décrit précédemment, y compris au niveau ganglionnaire. Une évaluation soigneuse de l ovaire controlatéral dont l aspect doit être normal est indispensable. Il est cependant recommandé de compléter la chirurgie par une annexectomie controlatérale et une hystérectomie totale lorsque ces femmes ont eu les enfants qu elles désiraient, le risque de récidive ou de cancer controlatéral étant très important.
8 B. Traitement chirurgical du cancer épithélial de l ovaire dans les formes avancées (stades II, III et IV) R2c Gynécologie Définition : On considère comme formes avancées les cancers de l ovaire pour lesquels il y a des implants tumoraux macroscopiques ou microscopiques au-delà des ovaires sur les organes pelviens ou intra-abdominaux. Dans la majorité des cas, il existe une carcinose péritonéale dont les nodules ont une taille variable, de quelques millimètres à plusieurs centimètres, et parfois même plus de 10 centimètres pour certains «gâteaux» épiploïques. Intérêt de la réduction tumorale : Toutes les données de la littérature sont concordantes concernant l influence capitale du volume tumoral résiduel, après l exérèse chirurgicale initiale, sur le pronostic. Les patientes dont le résidu tumoral est nul, c est-à-dire dont la réduction tumorale est complète, ont le plus de chances d avoir une survie prolongée. Les patientes dont le résidu tumoral est minime ont une réduction tumorale, dite optimale, et leur pronostic reste relativement favorable avec environ 50% de chances d avoir une rémission complète prolongée. La définition du volume tumoral résiduel optimal est variable, allant de deux centimètres à un demi centimètre de diamètre pour ce qui concerne l élément tumoral résiduel le plus volumineux. Il faut retenir que plus le volume résiduel est réduit, meilleur est le pronostic. Pour les patientes dont le résidu tumoral est plus volumineux après l exérèse (supérieur à deux centimètres dans la majorité des publications), la réduction tumorale est dite «suboptimale» et le pronostic est très défavorable avec moins de 20% de chances de survie à cinq ans. Préparation pour l intervention chirurgicale : Il s agit d une chirurgie lourde, souvent longue, nécessitant éventuellement des résections et des sutures digestives intervenant chez une malade dénutrie et porteuse d une ascite. Une préparation intestinale identique à celle de la chirurgie digestive est nécessaire. Standard chirurgical : réduction tumorale typique : 1- Voie d abord : laparotomie médiane et xyphopubienne 2- Exploration et description des lésions : cf chapitre précédent des stades précoces. Préciser la taille et le site du plus gros nodule. 3- Exérèse typique : Hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale (éviter la rupture capsulaire). Exérèse complète du pédicule lombo-aortique. Exérèse éventuelle rectale en passant à l étage sous-péritonéal avec exérèse complète des éléments tumoraux péritonéaux pelviens. Confection d une anastomose colorectale à priori et dans la majorité des cas sans colostomie de protection. Omentectomie complète. Appendicectomie. 4- Exérèses complémentaires : A l issue de ces gestes, deux situations sont possibles : ou bien il persiste des résidus importants sur le péritoine pariétal, ou sur les séreuses digestives et l on peut envisager de compléter la réduction tumorale par des exérèses complémentaires intéressant le péritoine et/ou le tube digestif, ou bien les gestes d exérèse typiques ont permis une exérèse complète ou optimale et une majorité d auteurs propose alors de réaliser une lymphadénectomie complète. Celle-ci peut également être envisagée si les exérèses complémentaires précédemment décrites ont permis d obtenir la réduction tumorale souhaitée et si l état de la patiente permet de prolonger l intervention.
9 - Exérèses digestives : Elles sont effectuées dans 25 à 40% des interventions réalisées pour cancer avancé de l ovaire. Les segments intestinaux les plus souvent en cause sont le recto-sigmoïde, l iléon terminal et le caeco-côlon ascendant, plus rarement le côlon transverse, l angle gauche ou même une partie de la paroi gastrique. Parfois, lorsque le pelvis est comblé par la tumeur, il est nécessaire en empruntant le plan sous-péritonéal, de faire la résection monobloc du tractus génital et du rectum. En ce qui concerne ces résections digestives, il faut se limiter à deux indications précises pour les entreprendre : si elles permettent d optimiser ou d aboutir à une réduction tumorale complète, si elles permettent de lever une compression digestive extrinsèque sévère faisant redouter une occlusion imminente. La principale limite pour réaliser une exérèse complète est représentée par une carcinose diffuse au niveau du grêle et/ou du mésentère. - Lymphadénectomies : Les métastases ganglionnaires sont fréquentes dans les cancers de l ovaire de stades II et III (de l ordre de 54 à 64% des cas des stades III). Une lymphadénectomie pelvienne et lombo-aortique est donc réalisée si l exérèse des lésions péritonéales est complète ou optimale et si l état de la patiente permet de prolonger l intervention. Deux types d arguments schématiquement permettent de défendre cette attitude : les métastases ganglionnaires peuvent être volumineuses et leur exérèse participe à la réduction du volume tumoral. les métastases ganglionnaires rétropéritonéales sont un marqueur de risque de métastases au delà de l abdomen et leur constatation peut orienter les indications thérapeutiques, en particulier en seconde ligne. 5- Compte-rendu opératoire Il doit préciser avec exhaustivité les lésions constatées lors de l exploration chirurgicale, les gestes réalisés et leurs modalités techniques, préciser la taille, le nombre et la localisation des résidus tumoraux laissés en place, en particulier du plus gros. Options de réduction tumorale intermédiaire : Cette option n est proposée qu en cas d exérèse complète «impossible» de manière initiale. C. Chirurgie de réévaluation La chirurgie de réévaluation ou «second look» est pratiquée après une intervention standard et après la chimiothérapie de première ligne chez une patiente en rémission complète (clinique, imagerie, marqueurs). Cette chirurgie n est pas recommandée systématiquement en pratique courante car il n est pas prouvé qu elle apporte un bénéfice aux patientes. Elle peut être proposée si elle a des chances de conduire à une modification de la thérapeutique ultérieure.
10 Schématiquement trois situations peuvent être envisagées : R2c Gynécologie 1- En cas d exérèse complète initiale avec une lymphadénectomie pelvienne et lomboaortique et en l absence de résidu chez une patiente en rémission complète après bilan : discussion d un second look qui peut conduire à une modification de la thérapeutique. Elle est réalisée par laparotomie ou de manière optionnelle par cœlioscopie pour des opérateurs entraînés à cette technique (annexe 2 : comparaison du taux de faux négatifs après coelioscopie et après laparotomie). Si la coelioscopie est proposée : - Elle se fera par technique «OPEN» cœlioscopie compte tenu des fréquentes adhérences, - Elle permet le plus souvent l étude de l étage sus-mésocolique et des coupoles diaphragmatiques. - Au niveau de l étage pelvien si la technique cœlioscopique ne permet pas l exploration parfaite de la zone déjà opérée, elle autorise la réduction de la taille de l incision. 2- Chirurgie initiale incomplète du fait de la présence d un résidu macroscopique après exérèse initiale et/ou en l absence de lymphadénectomie, chez une patiente en rémission complète après bilan : un second look dans ce cas-là représente un standard ou une recommandation. La réintervention comporte une exploration complète de la cavité abdominale, une exérèse des lésions résiduelles, des biopsies multiples et systématiques ainsi qu une cytologie péritonéale. Réalisation d une lymphadénectomie pelvienne et lombo-aortique si celle-ci n a pas été réalisée initialement. 3- Absence de rémission complète au bilan en présence de résidus «limités» : proposition de réintervention chirurgicale. en cas de résidu important ou d évolution : discussion cas par cas. D. Chirurgie de réduction secondaire La chirurgie de réduction secondaire, après un traitement de première ligne complet ou pour récidive, est discutée et n a pas fait la preuve de son efficacité. L option de la réduction tumorale secondaire n a pu être recommandée que dans des circonstances à priori favorables : masse unique ou quelques masses dont l exérèse a des chances d être complète, maladie ne progressant pas sous chimiothérapie, rechute tardive.
11 II.1.3. Annexes R2c Gynécologie Annexe 1 : Justificatif de la réalisation d une lymphadénectomie Métastases ganglionnaires dans les cancers ovariens stade I macroscopique Références Nombre de patientes Envahissement Nombre % KNAPP DELGADO KNIPSCHEER CHEN CROUET ,5 LANZA DIRE ,6 BURGHARDT BENEDETTI PANICI TSURUCHI PETRU ONDA TOTAL ,8 Métastases ganglionnaires dans les cancers ovariens de stade II Références Nombre de patientes Envahissement Nombre % DELGADO PIVER CHEN CROUET LANZA DIRE PICKEL BURGHARDT ONDA TOTAL
12 Métastases ganglionnaires dans les cancers ovariens de stade III Références Nombre de patientes Envahissement Nombre % CHEN WU DIRE BURGHARDT AVERETTE BENEDETTI PANICI ONDA TOTAL Localisations des métastases ganglionnaires (tous stades confondus) Références Nombre de patientes Envahissement ganglionnaire (curage positif) Nombre Ganglions total positif pelviens + Ganglions paraaortiques Ganglions pelviens et paraaortiques CHEN (28%) 7 (22%) 16 (50%) WU (28%) 6 (18%) 17 (53%) BUCHSBAUM (19%) 11 (52%) 6 (28%) DIRE (18%) 18 (23%) 38 (48%) LEBOUEDEC (16%) 3 (16%) 13 (68%) BENEDETTI PANICI (22%) 8 (22%) 19 (54%) TOTAL (24,8%) 59 (23,2%) 132 (52%)
13 Annexe 2 : Comparaison du taux de faux négatifs après cœlioscopie et après laparotomie Récurrences après second-look par laparotomie négatif Auteurs Année SLL SLL négatif Récidives après SLL négatif n n % n % Phillips [57] Schwartz [69] Curry [17] Greco [25] Roberts [65] Stuart [76] Mead [45] Smirz [72] Cain [8] Dauplat [18] Ho [59] Carmicael [10] Free [22] Chambers[11] TOTAL SLL : Laparotomie de second-look Récurrences après second-look par cœlioscopie négatif Auteurs Année SLC Récidives après SLC négatif n n % Rosenoff [67] Smith [73] Mangioni [43] Piver [59] Queen [61] Ozols [50] Berek [3] ,7 Lele [38] ,5 TOTAL SLC : Cœlioscopie de second-look
14 II.2-Traitement post-chirurgical : niveaux de traitement adjuvant II.2.1. Niveau 1 Stades IA et IB Pas de traitement complémentaire II.2.1. Niveau 2 Stades IC et IIA A. Chimiothérapies proposées Option 1 ENDOXAN 1000 mg/m² CISPLATYL 1000 mg/m² ou CARBOPLATINE AUC6 J1 = J21 Option 2 Essai thérapeutique en cours B. Résultats : base Institut Paoli Calmettes Survie globale niveau Temps en mois 14 patientes traitées à l Institut Paoli Calmettes de 1995 à 2000
15 II.2.1. Niveau 3 Stades IIB, IIC, III, IV A. Chimiothérapies proposées Option 1 CISPLATYL 75mg/m² ou CARBOPLATINE AUC6 TAXOL 175mg/m² en 3 heures Option 2 Essai thérapeutique en cours Option 3 Intensification en consolidation chez les répondeuses au traitement de 1 ère ligne B. Résultats : base Institut Paoli Calmettes Survie globale niveau Temps en mois 147 patientes traitées à l Institut Paoli Calmettes de 1993 à 2000
16 III-Documents de Référence III.1-Classification des cancers de l ovaire AJCC 1992 FIGO I IA IB IC II IIA IIB IIC III IIIIA IIIB IIIC TNM T1 T1A T1B T1C T2 T2A T2B T2C T3 et/ou N1 T3A T3B T3C et /ou N1 Tumeur limitée aux ovaires Tumeur limitée à 1 seul ovaire, capsule intacte Tumeurs des 2 ovaires, capsules intactes Rupture capsulaire ou tumeur à la surface ovarienne ou cellules malignes dans le liquide d ascite ou de lavage péritonéal Tumeur ovarienne étendue au pelvis Extension à l utérus et/ou aux trompes Extension aux autres organes pelviens Extension pelvienne avec cellules malignes dans le liquide d ascite ou de lavage péritéonéal Métastases péritonéales au-delà du pelvis et/ou adénopathies régionales métastatiques Métastases péritonéales microscopiques Métastases macroscopiques < 2cm Métastases macroscopiques > 2cm et/ou adénopathies régionales métastatiques IV M1 Métastases à distance (autres que les métastases péritonéales) Note : une métastase sur la capsule hépatique est classée T3/stadeIII ; une métastase dans le parenchyme hépatique est classée M1/stade IV. S il existe un épanchement pleural, il doit être confirmé et avoir une cytologie positive pour être considéré comme M1/stade IV.
17 Stade AJCC IA T1a N0 M0 IB T1b N0 M0 IC T1c N0 M0 IIA T2a N0 M0 IIB T2b N0 M0 IIC T2c N0 M0 IIIA T3a N0 M0 IIIB T3b N0 M0 IIIC T3c N0 M0 tous T N1 M0 Stade FIGO IA IB IC IIA IIB IIC IIIA IIIB IIIC IV tous T tous N M1 IV
18 III.2-Analyse de la base de données Institut Paoli-Calmettes Malades traitées de 1993 à 2000 n=183 Age Nombre % 40 ans 27 14,8 41 à 50 ans 30 16,4 51 à 60 ans 62 33,9 > 60 ans 64 34,9 Stade FIGO Nombre % I 24 13,4 II 24 13,4 III 87 48,6 IV 44 24,6 ND 4 Résultat au 1 er look Nombre % Exérèse complète 65 41,4 Résidu < 2cm 20 12,7 Résidu 2cm 68 43,3 Exérèse incomplète SAI 4 2,6 NE ND 26
19 IV-Dossier Médical Commun IV.1-Fiche RCP Consultations RCP Réf. []/[] REUNION DE CONCERTATION PLURIDISCIPLINAIRE du NOM DE NAISSANCE : NOM D'EPOUSE : PRENOM : NE(E) LE : SEXE : N DOSSIER IPC : Médecin présentant le dossier : [] Médecin généraliste : [] Personnes présentes et fonctions : Type RCP : IPC / Réseau R2C Diagnostic : - pathologie [] ANAPATH : [] - Primaire, Rechute Stade (TNM, Ann Arbor) : [] PROPOSITION DE STRATEGIE [] Traitement (ordre) []Chirurgie []Chimiothérapie []Radiothérapie []Hormonothérapie []Surveillance []Autres (soins palliatifs - soins de supports) Thésaurus (T : en accord avec le thésaurus, E: dans le cadre d'un essai clinique, A : Autre à préciser) [] Dossier RCP : valide / à rediscuter
20 IV.2-Compte-rendu opératoire type Date I I I/I I I/I I I I I Nom. Opérateur Voie d abord Prénom... Date de naissance... ASCITE Non Oui Aspect. SITES TUMEUR EXERESE RESIDU Oui Non Oui Non Oui Non PERITOINE Coupoles diaphragmatiques Péritoine pariétal Péritoine pelvien (Douglas)... Péritoine viscéral Epiploon ETAGE SUS-MESOCOLIQUE Foie.. Vésicule.. Pédicule hépatique Estomac Rate Duodéno-pancréas ETAGE SOUS-MESOCOLIQUE Colon droit.. Colon transverse.. Colon gauche Recto-sigmoïde Grêle Appendice PETIT BASSIN Utérus.. Annexes.. Vessie RETROPERITOINE Reins.. Uretères.. Ganglions lombo-aortiques Ganglions pelviens CONCLUSION EXERESE complète STADE PROVISOIRE incomplète (sous réserve du résultat anapath) pas d exérèse TAILLE du plus gros résidu en cm.. NOMBRE de résidus : >=5
21 IV.3-Compte-rendu anatomo-pathologique type Date I I I/I I I/I I I I I Nom. Médecin Prénom... Date de naissance... MACROSCOPIE Taille de la plus grosse masse tumorale en mm. parenchymateux exophytique Localisation gauche droite Capsule absence de rupture rupture spontanée ou chirurgicale infiltration HISTOLOGIE Type histologique en clair.... SNOMED...ou ADICAP... Grade Silverberg 1 Architectural 1 5% de composante solide 2 2 moyennement différentié, 6-50% 3 3 peu différentié, > 50% Nécrose microscopique < 50% > 50% Invasion vasculaire non oui Extension extra-ovarienne pelvienne extra-pelvienne préciser les différents sites Lavage péritonéal et/ou ascite négatif positif Atteinte ganglionnaire préciser les différents sites Type histologique CONCLUSION Grade Stade ptnm Stade FIGO
22 SECONDE INTERVENTION Date I I I/I I I/I I I I I Nom. Médecin Prénom... Date de naissance... CYTOLOGIE PERITONEALE négative positive SITES PRELEVES RESIDU T. EN mm TYPE HISTO PERITOINE Coupoles diaphragmatiques.... Péritoine pariétal.... Péritoine pelvien (Douglas).... Péritoine viscéral.... Epiploon.... ETAGE SUS-MESOCOLIQUE Foie.... Vésicule.... Pédicule hépatique.... Estomac.... Rate.... Duodéno-pancréas.... ETAGE SOUS-MESOCOLIQUE Colon droit Colon transverse Colon gauche Recto-sigmoïde Grêle Appendice.... PETIT BASSIN Utérus Annexes Vessie.... RETROPERITOINE Reins Uretères Ganglions lombo-aortiques Ganglions pelviens CONCLUSION Rémission complète histologique Résidu tumoral histologique >= 5 mm et < 2 cm Résidu tumoral histologique < 5 mm Résidu tumoral histologique >= 2 cm Taille du plus gros reliquat en mm Nombre de foyers + / nombre prélevés./
23 IV.4-Fiche de surveillance Fiche de Surveillance Nom Dossier Avez-vous eu des nouvelles depuis le? Oui Non Si oui, date : Etat de la patiente : Rémission complète Rémission partielle Stable Rechute ou Progression Date Lieu Non évaluable Si autre cancer : Siège et date Si patiente décédée : Date : Cause du décès (en clair) :
nfocancer Le cancer de l'ovaire www.infocancer.org Une initiative bénévole universitaire
Le cancer de l'ovaire Informations médicales clés Options thérapeutiques et leur suivi Recherche clinique Infos pratiques et carnet d'adresses Démarches à suivre, les administrations Une initiative bénévole
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailComprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches
Comprendre le cancer de l ovaire Guide d information et de dialogue à l usage des patientes et de leurs proches 2002 Sommaire Introduction 4 1 Le cancer de l ovaire 10 2 Le diagnostic 21 3 Les traitements
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLe cancer de l utérus
Le cancer de l utérus Carcinome de l endomètre, sarcome de l utérus Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailiuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN jj) Numéro de dépôt: 90403174.7 Int. Cl.5: A61 K 37/66 g) Date
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes traitements du cancer du rein
MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailChirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique
traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailSITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS
SITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS CHARDOT C., LECOEUR J., HABINEZA C., RUDAKUBANA C., HITIMANA L., HUSSEIN A.
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailRéférentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013
Référentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013 Sommaire Contexte 5 Objectifs... 5 Champ d application... 5 Utilisateurs cibles... 5 Information du patient... 5 Avertissement...
Plus en détailTroisième Congrès de l Association Algérienne des Chirurgiens Libéraux. 30 et 31 Janvier 2015 Hôtel Mercure Alger
1 Troisième Congrès de l Association Algérienne des Chirurgiens Libéraux. 30 et 31 Janvier 2015 Hôtel Mercure Alger Président du Congrès : Pr B. Meradji Comité d organisation : Invité : Pr J-P Squifflet
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détail