Hépatite E, étude des données suisses
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- Yvette Richard
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1 Hépatite E, étude des données suisses Christoph Niederhauser Transfusion Interrégionale CRS page 1
2 Sommaire Historie et épidémiologie du virus hépatite E Virus de l hépatite E Formes cliniques Modes de transmission Prévalence et incidence chez les donneurs de sang Infections VHE liées à la transfusion Charge virale / dose infectieuse Risque de transmission : comparaison alimentation / produits sanguins Possibilité de protection des patients contre l infection à VHE Conclusions ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 2
3 Histoire Kashmir Inde 1978; Postulat d un virus transmis par voie féco-orale, qui n est pas le virus Hépatite A; approx patients avec une hépatite ictérique; décès (Khuroo et Am J Med); principalement des jeunes touchés; forme fulminante chez la plupart des femmes enceintes Déclenchement d une épidémie dans un camp militaire en Afghanistan 1983; microscopie électronique des échantillons de selles; détection du virus Hépatite E (Balayan et al 1983) Identification avec l aide du séquençage du VHE en 1990 (Reyes et al. 1990) ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 3
4 L hépatite E dans le monde GT 3 GT 2 GT 3 GT 1,2 GT 1 GT 2 GT 1 GT 4 ~20 millions d infections de VHE dans le monde entier / an; 3 millions des cas symptomatiques ~ décès / an «Endémie» connue dans les pays industriels depuis environ 10 ans ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 4
5 Le virus de l hépatite E (s) +ARN Virus, 7.5 kb, famille Hepeviridae, non enveloppé, nm Le virus soi-même n est pas zytotoxique, réponse immunitaire humorale et cellulaire est responsable pour l hépatite (Suneetha et al. 2012) 4 génotypes Génotypes 1 & 2 : maladie chez l homme Genotypes 3 & 4 : maladie chez l homme et l animal, en général mais asymptomatique (cochon, sanglier, cerf, lièvre, rat, chauve-souris, truite, crustacés etc.) L épidémiologie et les manifestations cliniques diffèrent entre les pays en voie de développement et les pays industrialisés, et selon les 4 génotypes Kamar et al. Hepatitis E. Lancet Jun 30;379(9835): ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 5
6 Le VHE dans le monde entier GT 3 GT 2 GT 3 GT 1,2 GT 1 GT 2 GT 1 GT 4 En principe on retrouve les 4 génotypes dans le monde entier, mais certains génotypes ont des distributions différentes ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 6
7 VHE génotype 1 et 2 Les génotypes 1 et 2 du VHE sont transmis largement par voie féco-orale dans les pays en voie de développement Mortalité élevée chez les femmes enceintes (25%) et chez les patients avec une pathologie hépatique pré-existante (70%) GT 1 et 2 sont souvent des souvenirs de voyage importés d Afrique ou d Asie Kamar et al. Hepatitis E. Lancet Jun 30;379(9835): ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 7
8 Modes de transmission du VHE (GT 3) En Europe il s agit principalement d une zoonose Dalton et al ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 8
9 HEV génotype 3 et alimentation Angleterre: 85% des cochons sont touchés, donc aussi le jambon et les saucisses sont contaminées Suisse: 12.5% sangliers, 58.1% chez les porcs Pays-Bas: analyse des matières fécales des cochons dans 97 fermes: 53% VHE ARN positif, cochon d élevage intensif jusqu à 73% VHE trouvés dans les selles France: Produits fabriqués à partir de viande de cochon comme les Figatelli (30%); saucisse de foie (29%); quenelles (25%), foie séché (3%) sont VHE ARN positif Serbie, Grèce, Pologne: légumes verts 3.4%, fraises VHE ARN positif Pour inactiver le VHE il est nécessaire de chauffer 20 minutes à 72 C H. Dalton personal communication; Said Epid Inf 2013; Rutjes Em Inf Dis 2009; Pavio Em.Inf.Dis. 2014; Kokkinos Food Env.Vir ; Backer Epidemics 2012; Burri et al Zoo Pub Health ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 9
10 Méthodes de diagnostic Culture possible mais pas réalisée en routine Transaminases ALT/AST Sérologie IgG et IgM NAT (PCR ou TMA) Les méthodes de diagnostic améliorées et les nouvelles PCR et EIAs ont changé le point de vue sur le VHE Kamar et al. Lancet La virémie dure en général 2 6 semaines Persistance des IgM 3 à 12 mois, des IgG pendant des années ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 10
11 Algorithme pour le dépistage A différentier entre les individus immunocompétents et immunosupprimés Immunocompétent: sérologie et en cas de suspicion clinique élevée la sérologie doit être complétée par une PCR, dito si la sérologie est douteuse Immunosupprimé: PCR car le sérologie peut être négative ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 11
12 VHE génotype 3 Dans la plupart des cas, l infection n est pas symptomatique voire accompagnée de symptômes légers et limités ( %) Le génotype 3 peut représenter un danger pour les patients immunosupprimés et les personnes ayant une maladie hépatique pré-existante Infection chronique chez les patients transplantés ou immunosupprimés environ 60% ne peuvent pas éliminer l infection spontanément Il y a un risque d une progression rapide en cirrhose (10% en 2 ans) sans traitement (Kumar et al. 2012) Les patients avec une atteinte hépatique pré-existante développent fréquemment une insuffisance hépatique aiguë Les infections par VHE sont très certainement sous-diagnostiquées Dalton et al Les connaissances sur la symptomatologie liée à l infection VHE ne sont pas tout à fait connues ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 12
13 Symptomes surtout GT 3 Fréquentes Ictère Anorexie Léthargie Douleur abdominale Diarrhée Fièvre Myalgie Moins fréquentes Prurit Perte de poids Maux de tête Arthralgie Des symptomes neurologique Dalton et al. 2008, Woolson et al 2014 ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 13
14 Evolution clinique: «1» non compliquée Incubation 3-8 semaines Hépatite aiguë La plupart du temps symptômes légers et limités Prodromes non spécifiques : fatigue, ictère (plus fréquemment dans les pays en voie de développement). Cette évolution bénigne peut s observer avec tous les génotypes Symptomes: nausées, inappétence, fièvre, arthralgies, douleurs abdominales Duré de la maladie 4 à 6 semaines L hépatite E aiguë est spontanément résolutive dans la plus-part des cas ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 14
15 Evolution clinique: «2» avec complications aiguës Grossesse (2e et 3e trimestre) : Infection VHE associée à l hépatite fulminante décrite avec le génotype 1 (25% de mortalité). Patient avec maladie hépatique chronique : insuffisance hépatique et encéphalopathie décrite avec tous les génotypes mais principalement avec le GT 3 et 4. Mortalité jusqu à 70%. Chez les personnes âgées : maladie aiguë et sévère décrite avec surtout le génotype 3. Des manifestations extra-hépatiques ont été observées, en particulier des complications neurologiques telles que le syndrome Guillain-Barré et les polyradiculopathies, des anémies aplastiques (GT3 et GT4), manifestations réversibles dans la plupart des cas après amélioration de la fonction hépatique Hoofnagle et al. 2012; Kamar et al. 2011; Bhatia et al. 2008, Peron et al ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 15
16 Evolution clinique: «3» avec complications chroniques Chez les patients immunosupprimés (transplantation d organe, chimiothérapie, Co-infection VIH) il existe un risque d hépatite E chronique (uniquement avec le génotype 3 et exceptionnellement avec le génotype 4) Chez 2/3 des patients immunosupprimés atteints il s agit d une hépatite E chronique acquise localement (autochthon) Cela peut conduire à une fibrose rapidement progressive du foie et à une cirrhose Des atteintes extrahépathique Syndrome de Guillan Barré, paralyse de Bell, myélite transverse aiguë, etc. Kamar et al. 2011; Dalton et al ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 16
17 Diagnostics différentiels Les diagnostics différentiels possibles sont: Les hépatites virales A, B, C Les hépatites médicamenteuses Les autres hépatopathies (comme par exemple l hépatopathie autoimmune, hépathopathie ischaemique) GvHD avec atteinte hépatique après SCT Rejet de greffe hépatique Complications chirurgicales après greffe hépatique ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 17
18 Prévalence En Europe il a été observé de grandes différences de prévalence du VEH selon les pays voire les régions Pays Petrik et al Prévalence Allemagne 5.5% 50.7% France % Angleterre 4.7% 12% Pays-Bas 0.4% 46.6% Danemark 19.8% Italie 1% 46% Espagne 4.7% 20% Suisse 4.2% 33.6% Raisons à l origine de ces différences: Pays/ régions Production et habitudes alimentaires Tests utilisés (sensibilité) L année de l étude Population analysée (par ex. personnes âgées, malades etc.) Contact avec des animaux ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 18
19 Différences régionales : un exemple, la France Étude collaborative entre EFS et CNR VHE, CHU Toulouse Toutes les analyses ont été réalisées avec le même test (Wantai) Mansuy et al 2011; Gallian et al 2014 ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 19
20 Prévalence en Suisse Région Prévalence Test Dons Auteurs Vaud 4.9 % 4.2 % 21.8 % MP Diagnostics Dia.Pro Fortress (Wantai) 550 Schnegg et al Zürich 8.9 % Recomwell IgG Mikrogen 1484 Gottschalk et al TIR % Wantai 3609 Niederhauser et al Vaud: pas de différence significative H/F ou donneurs âgés Zürich: pas de différence H/F, séroprévalence plus élevée chez les donneurs âgés TIR: en détail ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 20
21 Distribution régionale du VHE IgG en Suisse region IgG positive % IgG borderline % IgG negative % number of donations tested GE 12.8 (n=24) 0.0 (n=0) 87.2 (n=164) 188 UR 12.9 (n=20) 1.3 (n=2) 85.8 (n=133) 155 AG/SO 13.3 (n=30) 0.4 (n=1) 86.3 (n=195) 226 NW/OW 15.6 (n=58) 0.0 (n=0) 84.4 (n=314) 372 LU 16.0 (n=28) 0.0 (n=0) 84.0 (n=147) 175 FR 18.4 (n=39) 0.5 (n=1) 81.1 (n=172) 212 Be JU 19.5 (n=51) 0.4 (n=1) 80.2 (n=210) 262 VS 19.5 (n=39) 1.5 (n=3) 79.0 (n=158) 200 TG 20.2 (n=39) 0.5 (n=1) 79.3 (n=153) 193 SG/AI/AR 21.5 (n=63) 1.0 (n=3) 77.5 (n=227) 293 VD 22.2 (n=91) 0.2 (n=1) 77.5 (n=317) 409 BS/BL 23.3 (n=56) 1.3 (n=3) 75.4 (n=181) 240 BE 24.8 (n=69) 0.4 (n=1) 74.8 (n=208) 278 TI 33.6 (n=116) 0.6 (n=2) 65.8 (n=227) 345 other origin 23.0 (n=14) 0.0 (n=0) 77.0 (n=47) 61 total 20.4 (n=737) 0.5 (n=19) 79.1 (n=2853) 3609 ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 21
22 Distribution régionale du VHE IgG en Suisse ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 22
23 Différence significative entre H/F et donneurs âgés ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 23
24 Les tests IgG Comparaison de 5 EIAs concernant la sensitivité et la spécificité (Norder et al. 2016) La seuil de détection varie avec une différence maximal d un factor 11 entre les 5 tests La spécificité varie entre 96.6% et 99.5% entre les 5 tests Le test Wantai a une haute sensitivité et spécificité Différentiation entre les valeurs négatives et positives pour le test Wantai ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 24
25 Incidence VHE ARN chez les donneurs Pays Cas / dons % positifs Auteurs Suède 1 : % Baylis et al; Vox Sang 2012 Allemagne 1 : : % % Baylis et al; Vox Sang 2012; Vollmer et al; JCM 2012; Corman et al; Vox Sang, 2013; Kirchmaier et al. Vox Sang 2015 Angleterre 1 : : % % Cleland et al; Vox Sang 2012; Ijaz et al; Vox Sang 2012; Hewitt et al. Lancet 2014 France 1 : % Gallian et al: Emerg Infect Dis 2014 Autriche 1 : % Fischer et al; PlosOne 2015 Espagne 1 : % Sauleda et al; Transfusion 2015 Pays-Bas 1 : : : % 0.069% 0.037% Zaaijer et al. person. comm. (ID-NAT) Hogema et al Transfusion (Minipools of 96 to 192) Slot et al; Eurosurv 2013 Irlande 1 : % O Riordan et al. Transfusion 2016 Grande différence d incidence en Europe, allant de 1 : 600 à 1 : Cela dépend du pays, de la région, de la production des aliments, des tests utilisés (sensibilité, ID/minipool) de la période ou de la population de donneurs étudiés ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 25
26 Infections transmises par transfusion Plus de 40 VHE TTIDs publiés (très certainement sous-reporté) France: 19 cas (de 2006 à octobre 2014); concentrés érythrocytaires, concentrés plaquettaires et également plasma (SD et Amotosalen) (Djoudi et al. 2015) 9 patients ont éliminé spontanément le virus VHE 10 patients (tous immunosupprimés) avec une hépatite E chronique, traités par ribavirine. Parmi lesquels 2 ont développé une cirrhose hépatique Angleterre: suivi de 60 receveurs, dont 43 avec des données disponibles. Taux de transmission 42% (18 receveurs) 4 concentrés érythrocytaires, 4 CP poolés, 7 CP d aphérèse, 2 plasmas, 1 concentré de granulocytes poolé (Hewitt et al. 2014) 1 receveur avec hépatite clinique Estimation par année ~ 1200 donneurs avec une infection HEV silencieuse sont collectés. ~ 500 patients seront contaminés ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 26
27 Rapport hémovigilance de la Paul Ehrlich Institut (PEI) Rapports d infections de VHE supposées liées à la transfusion sanguine chez les patients Notifications aucun de ces cas confirmés comme TTI (Transfusion transmitted infection) 2013 un donneur / 2 dons, chacun avec 3 splits de plaquettes d aphérèse et 6 receveurs : 1 TTI sûre (Hépatite chronique), 1 x probable (séroconversion chez le receveurs), 4 x sans TTI dons impliqués: chez 4, aucun ARN VHE a été détecté dans l échantillon de la sérothèque ; ARN VHE a été détecté dans 3 cas ; dans 2 cas, une TTI a été prouvée par séquençage; aucun symptôme chez les receveurs ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 27
28 Plasma pour fractionnement La virémie chez les donneurs atteint en principe 10 6 IU/ml, exceptionnellement 10 7 IU/ml En raison de la charge virale VHE élevée, des pools de plasmas ont également été identifiés positifs avec 100 jusqu à 1000 IU/ml. (Baylis et al. 2013) ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 28
29 Dose infectieuse (charge virale qui peut conduire à une TTID) infections liées à la transfusion en Angleterre et en France Angleterre France Cas de TTID HEV 1.1 x 10 5 IU/ml 1.1 x 10 5 IU/ml 8.9 x 10 4 IU/ml 3.2 x 10 4 IU/ml 3.2 x 10 4 IU/ml 2.8 x 10 4 IU/ml 1.7 x 10 4 IU/ml 6.5 x 10 3 IU/ml 6.0 x 10 3 IU/ml 3.2 x 10 3 IU/ml 3.0 x 10 3 IU/ml 541 IU/ml 380 IU/ml Hewitt et al. 2014; Colson et al. 2007; Haim-Boukobza et al. 2012; Hauser et al. 2014; Feray et al ANSM: dons associés avec un TTID Imputabilité grade 3, certaine) ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 29
30 Plasma capacité de neutralisation La capacité de neutralisation des anticorps anti-vhe qui se trouvent dans les pools de plasma est très faible (diminution de 1 2 logs) pour les virus non encapsulés et nulle pour les particules virales lipidiques Les procédés de type solvant-détergent n ont pas la capacité d inactiver les virus non encapsulés (Andonov et al. 2014) L amtotosalen a également une faible capacité de réduction. Description d un cas de transmission d VHE malgré traitement par amotosalen (Andonov et al. 2014; Hauser et al. 2014) La riboflavine a une capacité limitée de diminuer la charge virale ( facteur de ) (Owada et al. 2014) Actuellement un contrôle des pools de plasmas destinés au fractionnement n est pas proposé ou obligatoire. ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 30
31 NAT Tests Procleix HEV Test sur le Panther / Tigris (Grifols) ID et Minipooltest possibles; 8.4 IU/ml ( IU/ml) HEV Test sur Cobas6800/8800 (Roche Diagnostics) ID et Minipooltest possibles; 18.6 IU/ml ( IU/ml) GFE Blut, Xelos RealStar HEV RT-PCR (Altona) (37.8 IU/ml)* ceeram Tools (CEEram) (86.8 IU/ml)* amplicube HEV RT-PCR (Mikrogen) (180.4 IU/ml)* *fortement dépendant des procédés d extraction et des volumes correspondants. Question: Quelle doit être la sensibilité d un NAT System? ID ou minipool? ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 31
32 Qu est-ce qui est prévu ou déjà fait dans d autres pays pays Danemark Grèce Pays-Bas Portugal Espagne Allemagne France Angleterre Décision pour pas de screening Pas de screening Screening en discussion Screening en discussion Screening en discussion Pas encore recommandé mais en discussion Screening pour les donneurs en vérification environ 25% des dons avec screening Irlande ID-NAT pour 3 ans dès janvier 2016 Italie? ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 32
33 Comparaison risque alimentation / produits sanguins Alimentation: données pour l Allemagne, situation probablement comparable en FR, GB, CH, PB, AUT,. ~ infections VHE dans la population (80 millions) / an ~ 1 sur 250 habitant infecté par VHE Angleterre: infection par l alimentation. Avec un taux de séroconversion de 0.1 à 0.2 le risque d une infection par l alimentation se situe environ à 1 sur 500 voir 1 sur (Hewitt et al. 2014) Produits sanguins: données pour l Allemagne, situation probablement comparable en FR, GB, CH, PB, AUT,. ~ 7.4 million de produits sanguins transfusés par an (2013) ~ Estimation d une incidence de 1 : ~ produits sanguins contaminés par VHE / an (Huzly et al. 2014) ~ Taux de transmission ~ 40% (Hewitt et al. 2014) ~ patients infectés avec VHE ~ 30-40% des patients sont immunosupprimés (Huzly et al. 2014) ~ En Allemagne, 500 patients par année sont susceptibles de développer une maladie grave suite à la transfusion d un produit sanguin contaminé par le VHE ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 33
34 Comparaison risque alimentation / produits sanguins (cont.) Situation dans d autres pays européens Pays-Bas: environ 400 dons VHE positifs par année (Slot et al. 2013) Angleterre: ~ dons VHE ARN positifs. Par comparaison, probablement quelques transmission de VHE par l alimentation (Hewitt et al. 2014) CH: ~ produits sanguins labiles transfusés, 1:2 000 dons VHE ARN positifs, donc 300 produits sanguins VHE positif, environ 120 receveurs infectés par VHE En conclusion : Un patient qui reçoit un produit sanguin a un risque de 1 : d être contaminé, si le patient est transfusé à plusieurs reprises, par ex. 20 fois, le risque théorique va augmenter à 1 : 100 Le risque semble être probablement plus élevé pour un patient transfusé à plusieurs reprises que pour une personne ayant été contaminée par l alimentation (1:250 1:1 000) ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 34
35 Question: Que deviennent les receveurs infectés par VHE suite à une transfusion de produits sanguins??????? ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 35
36 Où se cache le VHE Pourquoi existent-ils des prévalences et incidences élevés avec peu de notifications La plupart des infections avec VHE ne sont pas symptomatiques! Est-ce que les infections pértinantes ne sont-elles pas notifiées? VHE n est pas une infection à signaler à l Office fédéral de la santé publique (OFSP) (Cela devrait être changé)!? Mais par contre une transmission par des produits sanguines doit être signaler à Swissmedic Est-ce que les cas des infections VHE ne sont-ils pas publiés? Est-ce qu une infection VHE n est-elle pas recherchée, reconnue, mal comprise (souvent un faux diagnostic d une hépatopathie médicamenteuse avec une rémission spontanée après l arrêt du médicament suspect) ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 36
37 Situation en Suisse Initiative émanant de B-CH et Swissmedic La mission est de développer une «feuille de route» en ce qui concerne le virus de l hépatite E Formation d un groupe de travail national composé d experts du don de sang, de l hépatologie, des maladies infectieuses, de Swisstransplant, de la direction B-CH et de Swissmedic Définition des objectifs : envisager un possible dépistage de l ARN du VHE des produits sanguins et sa pertinence clinique et définir une stratégie correspondante ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 37
38 Situation en Suisse (suite) VHE peut être transmis par les aliments (surtout du viande de porc et sanglier mal cuit ou pas cuit). Les transfusions sanguines et les greffes d organes et cellules souches représentent également un risque de transmission Infection par le VHE est habituellement asymptomatique chez les patients immunocompétents, et est sans conséquence Chez les patients immunodéprimés, VHE peut causer une infection avec des symptômes cliniques (hépatite chronique, cirrhose du foie) Risque de transmission par des aliments probablement plus élevé que par les produits sanguins labiles ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 38
39 Quelles options pour les services de transfusion? 3 options envisageables: Ne pas tester Tester spécifiquement les produits pour les patients à risque Dépister tous les dons Tester les dons pour les receveurs immunocompétents n est probablement pas nécessaire. Par contre les receveurs immunosupprimés, transplantés ou les patients avec une atteinte hépatique ont théoriquement un risque relatif élevé de complications Tests spécifique, attention: planification et logistique compliquées (uniquement pour transfusions planifiées, tenir en compte d autres spécificité comme compatibilité de groupes sanguines, CMV etc.) Choix de la méthode: NAT avec une sensibilité de 100 IU/ml sur échantillon non poolé (pour diminuer de façon significative le taux de transmission) ID ou test en minipool selon le système (et la sensibilité de la méthode) ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 39
40 Quelles options pour les services de transfusion? Le choix de la grandeur des pools est essentielle pour: a) la sensibilité (sensibilité élevée essentielle pour les produits sanguins labiles) b) pour la résolution des pools (point à prendre en compte au vu de l incidence élevée du VHE) Détection par multiplex avec d autre virus par ex. VHA/PB19V ou VIH/VHC/VHB? (Augmentation du rapport coût/efficacité) Contrairement à certains pays européens (France, Angleterre, Allemagne), jusque aujourd hui aucun cas de TTI de l hépatite E n a été notifié en Suisse ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 40
41 Stratégie envisageables Le group de travaille VHE va proposer de tester les dons du sang en minipool. La conférence des directeurs des service de transfusions avec la direction de B-CH doivent décider si cette approche serait faisable et payable Mais par contre une surveillance étroite est recommandée pour les patients immunodéprimés en général et en particulier de receveurs des produits sanguins, des organes et des cellules souches. C est-à-dire tester régulièrement tous les patients à risque, les prendre en charge en cas de séroconversion «Diète» pour les patients à risque ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 41
42 Stratégie envisageables (cont.) Médecins, qui soupçonnent une infection VHE chronique devraient clarifier ce diagnostic et les options de traitement avec un spécialiste d infectiologie Avec cette approche, les patients «à risque» peuvent, indépendamment de la transmission, être surveillés et ensuite traités correctement Information sur l Internet de Swissmedic dès le 1. Novembre Collecter et évaluer les données concernant le VHE pour les patients en Suisse Selon ces données la stratégie sera évaluée à nouveau dans environ 2 ans ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 42
43 Conclusion Les infections à VHE sont certainement sous diagnostiquées La virémie dure de 2 à 6 semaines. La plupart des cas sont asymptomatiques L étendue de cette zoonose chez les cochons, nous laisse penser que cette incidence ne va pas diminuer dans un futur proche En moyenne 1 sur donneurs sont infectés par le VHE VHE est transmissible par transfusion. Le risque est plus élevé avec les produits sanguins labiles que les produits issus de pools de plasma Les patients immunosupprimés, plus particulièrement les patients transplantés ont un risque d infection chronique (génotype 3). Un traitement est toutefois possible ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 43
44 Conclusion (cont.) Pour diminuer le risque de transmission du VHE par les produits sanguins, il est nécessaire d instaurer un dépistage de ce virus par des tests NAT très sensibles. La sécurité transfusionnelle sera améliorée si ces tests sont capables de détecter une charge virale d au moins 100 IU/ml (bilan coût / bénéfit dois être discuté) Les patients à risques doivent être testés (sur la base des NAT, des ALT ou des anticorps anti-vhe?), indépendamment des transfusions Il serait éventuellement recommandé de rendre la chaine alimentaire plus sûre (vaccination des porcs, éviter certains aliments, précaution lors de la fabrication?) A qui appartient la décision du dépistage du VHE en transfusion? Les autorités, les services de transfusions, les hôpitaux (voir les médecins traitants)? ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 44
45 Merci pour votre attention ASTM Journée de formation romande I CNI novembre 2016 page 45
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