Fréquence des cancers en France
|
|
- Jean-René Latour
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 POINT SUR... John Libbey Eurotext ull Cancer 23 ; 9 (3) : Fréquence des cancers en France Frequency of cancer in France Catherine HILL* Françoise DOYON* *Institut Gustave-Roussy et Inserm U521, rue Camille-Desmoulins, 9485 Villejuif Résumé. Nous présentons les données de mortalité et de morbidité par cancer les plus récentes dont nous disposons en France. Les tumeurs sont, en 1999, la première cause de décès dans la population masculine (87 décès) et la deuxième dans la population féminine (57 décès), après les maladies cardiovasculaires. Elles sont aussi la première cause de décès entre 35 et 74 ans chez les hommes comme chez les femmes. Chez l homme, c est le cancer du poumon qui est la cause du plus grand nombre de décès (21 ), et chez la femme c est le cancer du sein (11 ). La mortalité par cancer diminue chez l homme depuis 1987 et chez la femme depuis 195, mais les différentes localisations ont des évolutions différentes. En 2, on estime que près de 26 cancers ont été diagnostiqués : 149 chez l homme et 18 chez la femme. Les localisations de cancer les plus fréquentes sont la prostate chez l homme (28 cas) et le sein chez la femme (37 cas), localisations pour lesquelles les activités de dépistage sont les plus répandues. Mots clés : cancer, mortalité, épidémiologie. bstract. The most recent cancer mortality and morbidity data available for France are presented. In 1999, tumours are the first cause of death among men (87, deaths) and the second most common among women (57, deaths) after cardiovascular diseases. It is also the most common cause of death in both the male and female populations aged 35 to 74. Lung cancer is the most common cause of cancer death (21,) in the male population, and breast cancer is the most common cause of death (11,) in the female population. Cancer mortality rates decrease both in the male population since 1987 and in the female population since 195, but the different sites present different trends. The total number of cancers diagnosed in 2 is estimated to be equal to 26,: 149, in the male population and 18, in the female population. The most frequent cancer sites are prostate among men (28, cases) and breast among women (37, cases), two sites for which screening activities are in widespread use. Key words: cancer, mortality, epidemiology. N ous présentons ici les données dont nous disposons aujourd hui en France pour évaluer la fréquence des cancers. Il existe deux indicateurs principaux pour évaluer cette fréquence : la mortalité, c est-à-dire le nombre de décès par cancer, et la morbidité, c est-à-dire le nombre de nouveaux diagnostics de cancer. Les données de mortalité sont établies à partir des certificats de décès et sont disponibles annuellement pour l ensemble de la population française. Le nombre annuel de nouveaux diagnostics de cancer (cas incidents) n est pas disponible directement pour la France entière, car le cancer n est pas une maladie à déclaration obligatoire. Il existe des registres dans un certain nombre de départements, et l ensemble de ces registres couvre environ 12 % de la population française. Le nombre de nouveaux diagnostics en France est estimé à partir des données d incidence et de mortalité dans les départements ayant un registre et à partir des données de mortalité nationales. Tirés à part : C. Hill. hill@igr.fr Connaissant la mortalité observée jusqu à une année donnée, on peut estimer la mortalité les années suivantes par extrapolation. De même, l estimation de l incidence peut être extrapolée. Les données observées les plus récentes concernent l année 1999 pour la mortalité [1]. Pour l incidence, les données estimées publiées les plus récentes sont celles du Centre international de recherche sur le cancer [CIRC : ; elles concernent l année 2 [2]. Contrairement aux données observées, ces données estimées sont révisées quand les données observées deviennent disponibles. Une autre estimation de l incidence pour 2 est en cours de publication [Estève J, communication personnelle]. Mortalité Importance du cancer comme cause de décès Globalement En 1999, sur un total d environ 537 décès, on a enregistré près de 144 décès par cancer en France (plus environ 27
2 C. Hill, F. Doyon 4 décès par tumeurs bénignes ou inclassables) et 165 décès par maladie cardiovasculaire. Le tableau 1 donne les nombres et les proportions de décès en 1999 pour les principales causes de décès. Pour l ensemble des deux sexes, la mortalité par tumeur représente 27 % des décès et les maladies cardiovasculaires 31 % des décès. Selon le sexe Les tumeurs sont la première cause de décès dans la population masculine, représentant un tiers des décès, et la deuxième cause de décès dans la population féminine, représentant moins d un quart des décès. Selon l âge La figure 1 montre la mortalité en 1999 en fonction de l âge pour les principales causes de décès. Le risque de mourir d un cancer augmente, certes, en fonction de l âge mais cette augmentation avec l âge est encore plus importante pour la mortalité cardiovasculaire, d où un paradoxe : le risque de cancer augmente avec l âge, mais ce risque est relativement beaucoup plus important avant 75 ans qu après. À partir de 75 ans, les maladies cardiovasculaires deviennent la première cause de décès, devançant les cancers. Le tableau 1 présente les cinq premières causes de décès en fonction de l âge par grandes classes d âge. Entre et 14 ans, les trois premières causes de décès sont les affections périnatales, les accidents et et les anomalies congénitales. Entre 15 et 34 ans, les accidents et sont la première cause de décès, suivis par les tumeurs puis par les maladies cardiovasculaires. Entre 35 et 74 ans, les tumeurs sont la première cause de décès suivis, entre 35 et 54 ans, par les accidents et et, entre 55 et 74 ans, par les maladies cardiovasculaires. Enfin, au-delà de 75 ans, les tumeurs sont la deuxième cause de décès après les maladies cardiovasculaires. Nombres de décès en 1999 pour les principales localisations Le tableau 2 et la figure 2 présentent les nombres de décès observés en 1999 pour les principales localisations de cancer par sexe. On voit l importance du cancer du poumon qui est chez l homme de loin le plus meurtrier, suivi par le cancer de la prostate et le cancer colorectal, chacun responsable de deux fois moins de décès. Chez la femme, le cancer du sein est la cause du plus grand nombre de décès par cancer, suivi par le cancer colorectal, le cancer du poumon occupant le troisième rang. Évolution de la mortalité par cancer Globalement La mortalité par cancer dans la population masculine a augmenté de 5 % entre 195 et 1987 et diminue modérément depuis. Dans la population féminine, elle diminue légèrement et régulièrement depuis 195 (figure 3). 5 4 cardiovasculaires ccidents, 5 4 cardiovasculaires ccidents, Taux pour Taux pour Âge Âge Figure 1. Mortalité en fonction de l âge pour les principales causes de décès en ull Cancer 23 ; 9 (3) : 27-13
3 Fréquence des cancers en France Tableau 1. Nombre de décès en 1999 pour les causes les plus importantes, par sexe et âge Âge Rang Tous âges (32 %) (34 %) ffections périnatales 75 (26 %) ffections périnatales 611 (29 %) (65 %) 1542 (46 %) 11 7 (35 %) 7 77 (48 %) (45 %) 2 97 (44 %) (35 %) (39 %) (28 %) (23 %) 532 (19 %) nomalies congénitales (18 %) (21 %) (24 %) 1 63 (23 %) (25 %) (9 %) nomalies congénitales (1 %) (12 %) (9 %) (7 %) 195 (7 %) 167 du 232 du 137 (4 %) du infectieuses 25 (2 %) infectieuses 111 Troubles mentaux (4 %) Troubles mentaux du Troubles mentaux (4 %) (24 %) 711 (25 %) 584 (27 %) (2 %) (13 %) (2 %) (26 %) Total infectieuses : CIM9 1 à 139 ; : CIM9 14 à 239 ; Troubles mentaux : CIM9 29 à 319 ; du système nerveux : CIM9 32 à 389 ; cardiovasculaires : CIM9 39 à 459 ; de l appareil respiratoire : CIM9 46 à 519 ; de l appareil digestif : CIM9 52 à 579 ; nomalies congénitales : CIM9 74 à 759 ; ffections périnatales : CIM9 76 à 779 ; : CIM9 E8 à E999. ull Cancer 23 ; 9 (3) :
4 C. Hill, F. Doyon Sein Prostate ouche, pharynx et larynx Pancréas Ovaire Pancréas Utérus : col et corps Œsophage Leucémies Vessie Lymphome non hodgkinien Leucémies Source : SC8 inserm Source : SC8 inserm Figure 2. Nombre de décès par localisation de cancer en Par localisation La figure 4 présente l évolution de la mortalité pour les principales localisations de cancer. Chez l homme, on observe une augmentation considérable de la mortalité par cancer du poumon jusqu à la fin des années 198, suivie d une stabilisation. La mortalité par cancer de la bouche, du pharynx, du larynx et de l œsophage a augmenté de 195 jusqu au milieu des années 197, et diminue régulièrement depuis. La mortalité par cancer de l estomac diminue régulièrement, et la mortalité par cancer colorectal est relativement stable, voire en légère diminution depuis 198. L augmentation de la mortalité par cancer de la prostate, observée jusqu en 199, pourrait être due, au moins en partie, à l amélioration du diagnostic de cette maladie, recherchée plus systématiquement dans la population âgée. Chez la femme, on observe une augmentation de la mortalité par cancer du sein suivie d une stabilisation depuis la fin des années 198, une diminution importante de la mortalité par cancer de l estomac et par cancer de l utérus (col et corps), et une diminution nette de la mortalité par cancer colorectal. On commence à voir, depuis 198, une augmentation de la mortalité par cancer du poumon qui est devenue la troisième cause de mortalité par cancer chez la femme depuis L augmentation régulière de la mortalité par cancer de l ovaire, observée jusqu à la fin des années 198, est probablement due, en partie, à l amélioration du diagnostic de cette tumeur[3]. Morbidité : estimation du nombre de nouveaux cas de cancer en 2 Le tableau 2 et la figure 5 présentent l estimation des nombres de cancers diagnostiqués en 2 par localisation. u total, près de 26 cancers ont été diagnostiqués, 149 chez l homme et 18 chez la femme. Chez l homme, les diagnostics les plus fréquents sont ceux des cancers de la prostate, du poumon, du côlon et du rectum et de la bouche, du pharynx et du larynx. Chez la femme, le diagnostic de cancer du sein est de très loin le plus fréquent, suivi par le cancer colorectal. Discussion Les deux indicateurs de fréquence des cancers sont complémentaires. L incidence mesure le risque de cancer, mais elle est très sensible aux pratiques diagnostiques : par exemple une campagne de dépistage du cancer de la prostate par toucher rectal et dosage de PS (prostatic specific antigen) peut multiplier par deux l incidence du cancer de la prostate chez les homme âgés, alors que la mortalité restera inchangée. Les incidences des cancers du sein et de la thyroïde sont aussi très sensibles aux pratiques de diagnostic et/ou de dépistage. La mortalité mesure à la fois le risque de cancer et la survie après diagnostic. Pour les localisations très rapidement létales, l incidence est proche de la mortalité alors que, pour les localisations moins graves, elle est beaucoup plus élevée que la mortalité. Pour certaines localisations comme le foie et le pancréas, le nombre observé de décès en 1999 est supérieur au nombre estimé de cas incidents en 2. Trois phénomènes sont à l origine de ces incohérences. Le premier est la nature différente des données utilisées. Les certificats de décès, pour certaines localisations, sont souvent remplis de façon très approximative et, en particulier, des métastases hépatiques sont enregistrées comme cancer du foie. Pour le cancer du pancréas, un diagnostic porté sur un certificat de décès sans qu il y ait eu un diagnostic histologique n est pas inclus dans les statistiques d incidence. Le second phénomène est le décalage entre l incidence et la mortalité. Enfin, les données d incidence sont estimées pour la France entière 21 ull Cancer 23 ; 9 (3) : 27-13
5 Fréquence des cancers en France Tableau 2. Nombre observé de décès en 1999 [1] et nombre estimé de nouveaux cas en 2 [2] Localisation Décès observés en 1999 Nouveaux cas estimés en 2 ouche, pharynx et larynx Œsophage Colon et rectum Vésicule ND ND Pancréas Mélanome Sein ND 37 2 Col utérin 4 1 Endomètre 5 1 Utérus : col et corps Ovaire Prostate Testicule Vessie Rein Encéphale Thyroïde Lymphome non hodgkinien Hodgkin Myélome Leucémies Tous cancers ND : estimation non disponible. Col : 782, corps : 565 et utérus non précisé : parties du système nerveux. ull Cancer 23 ; 9 (3) :
6 Taux pour 1, standard européen C. Hill, F. Doyon à partir des données qui ne sont disponibles que dans certains départements, à l aide d un modèle mathématique utilisant aussi les données de mortalité dans ces départements et dans la France entière. Conclusion Le cancer est une maladie très fréquente : 26 nouveaux cas ont été diagnostiqués en 2 et 144 décès par cancer ont été notifiés en Le risque de cancer diminue si on prend la mortalité comme indicateur ; cette diminution est le résultat de la baisse de l incidence et/ou de l amélioration des traitements. Pour décrire la fréquence d une localisation de cancer, il faut considérer les deux indicateurs : le nombre de nouveaux diagnostics et le nombre de décès. Le présent article est destiné à être mis à jour chaque année, on trouvera donc des informations complémentaires dans la version 24. En attendant, le lecteur intéressé par la prévalence des cancers et par des informations sur la survie après diagnostic de cancer peut se référer à notre article paru en 21 [4]. Figure 3. Évolution de la mortalité par cancer. Les nombres de décès sont divisés par l effectif de la population pour avoir un taux pour 1 qui est indépendant de la taille de la population française, laquelle a beaucoup augmenté entre 195 et Ces taux pour 1 sont calculés pour une population ayant une structure d âge standard, pour avoir un taux corrigé du vieillissement de la population Taux pour 1, standard européen ouche, pharynx, larynx, œsophage Côlon & rectum Prostate Vessie Utérus 1 Sein Côlon & rectum Ovaire Figure 4. Évolution de la mortalité pour les principales localisations de cancer. Les nombres de décès sont divisés par l effectif de la population pour avoir un taux pour 1 qui est indépendant de la taille de la population française, laquelle a beaucoup augmenté entre 195 et Ces taux pour 1 sont calculés pour une population ayant une structure d âge standard, pour avoir un taux corrigé du vieillissement de la population ull Cancer 23 ; 9 (3) : 27-13
7 Fréquence des cancers en France Prostate VDS Vessie Lymphomes Œsophage Rein Sein Corps utérin Ovaire Col utérin Lymphomes Mélanome Leucémies d'après Globocan Figure 5. Nombre de nouveaux diagnostics par localisation de cancer en 2. Ces nombres sont estimés à partir des données de mortalité nationales jusqu en 1996 et à partir des données sur les nouveaux diagnostics et sur la mortalité disponibles dans les départements où on enregistre systématiquement tous les cas de cancers. RÉFÉRENCES 1. nonyme. Causes médicales de décès : année Centre d épidémiologie sur les causes médicales de décès. Paris : Inserm, Ferlay J, ray F, Pisani P, Parkin DM. Globocan 2 : cancer incidence, mortality and prevalence worldwide, Version 1.. IRC Cancerase No. 5. Lyon, IRCPress, Hill C, Jan P, Doyon F. Is cancer mortality increasing in France? r J Cancer 21 ; 85 : Hill C, Doyon F. Prévalence des cancers en France. ull Cancer 21 ; 88 : ull Cancer 23 ; 9 (3) :
Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailStatistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau
Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Produit par : Société canadienne du cancer, Statistique Canada, Agence de la santé publique du Canada, Registres provinciaux
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailLes conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012
Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL. ET SI LES AUTRES C ETAIT VOUS?
DOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL.. ET SII LES AUTRES C ETAI IT VOUS? SOMMAIRE Les hommes boivent plus souvent et en plus grande quantité que les femmes..
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailEstimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012
JUILLET 2013 Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 Étude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides Auteurs Florence
Plus en détailColloque International sur les Politiques de Santé
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière en collaboration avec Ecole Nationale Supérieure en Sciences Politiques Colloque International
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLe cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»
F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailCette Leçon va remplir ces attentes spécifiques du curriculum :
Dev4Plan1 Le Plan De Leçon 1. Information : Course : Français Cadre Niveau : Septième Année Unité : Mes Relations Interpersonnelles Thème du Leçon : Les Adjectifs Descriptifs Date : Temps : 55 minutes
Plus en détailLE DEPARTEMENT OU L UNITE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION AU SEIN DU MINISTERE DE L EDUCATION
LE DEPARTEMENT OU L UNITE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION AU SEIN DU MINISTERE DE L EDUCATION Fonctions, organisation et recrutement par Alex Twinomugisha, GeSCI Traduit en français grâce à Annick Masson
Plus en détailCancer et environnement
PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailRecommandations pour le troisième Plan Cancer
RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailPistes pour une évaluation économique des politiques de prévention en santé au travail
Pistes pour une évaluation économique des politiques de prévention en santé au travail Hélène Sultan-Taïeb Laboratoire d Economie et Gestion (UMR CNRS 5118) Université de Bourgogne Travaux menés en collaboration
Plus en détailUTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS
UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailAnnonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :
Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé
Plus en détailProgramme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité? Tour d'horizon de pays occidentaux.
UCL - RESO Unité d Education pour la Santé Ecole de santé Publique Centre «Recherche en systèmes de santé» Programme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité?
Plus en détailSubstances chimiques et agents biologiques. Études et recherches RAPPORT R-521
Substances chimiques et agents biologiques Études et recherches RAPPORT R-521 Risque de myélome multiple et de cancers des voies respiratoires, de l œsophage, de l estomac, du pancréas, de la prostate,
Plus en détailBulletin d adhésion. Assurances santé internationales
Assurances santé internationales Bulletin d adhésion Veuillez noter que vous pouvez souscrire une de nos couvertures médicales internationales pour particuliers directement sur notre site Internet www.allianzworldwidecare.com
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailPROJET DE LOI 15 BILL 15. 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007
1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1 re session, 56 58 e législature Nouveau-Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 BILL 15 PROJET DE
Plus en détailRAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données
RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données Parmi les fonctions les plus demandées par nos utilisateurs, la navigation au clavier et la possibilité de disposer de champs supplémentaires arrivent aux
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailAvoir un cancer après 70 ans
Recherche Information - Prévention - Dépistage Actions pour les malades et leurs proches Avoir un cancer G R A N D P U B L I C Edition actualisée juin 2009 Nous remercions chaleureusement le groupe des
Plus en détailPART II / PARTIE II Volume 31, No. 5 / Volume 31, n o 5
PART II / PARTIE II Volume 31, No. 5 / Volume 31, n o 5 Yellowknife, Northwest Territories / Territoires du Nord-Ouest 2010-05-28 TABLE OF CONTENTS / SI: Statutory Instrument / R: Regulation / TABLE DES
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailQue faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette
Hausse de l incidence du cancer : peut-on contribuer à réduire ce fardeau? Que faut-il manger pour prévenir le cancer? Marie Rochette 2 M me Cormier, une ingénieure de 30 ans, vous consulte pour un bilan
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détail1 www.agrobiosciences.org
Intervention. 4èmes Rencontres Alimentation, Agriculture & Société. Déc 2003. «Alimentation et prévention du cancer : quelle vérité?» Par Denis Corpet (1). Directeur de l équipe "Aliment et Cancer" de
Plus en détail(Diminution de l exposition aux radiations ionisantes chez les professionnels dentaires au Canada)
S U J E T S P R O F E S S I O N N E L S Decreases in Occupational Exposure to Ionizing Radiation among Canadian Dental Workers (Diminution de l exposition aux radiations ionisantes chez les professionnels
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailMEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET
MEMORANDUM POUR UNE DEMANDE DE BOURSE DE RECHERCHE DOCTORALE DE LA FONDATION MARTINE AUBLET ATTENTION : Tout formulaire de candidature qui présentera des erreurs ou anomalies dans le remplissage des champs
Plus en détailApplication des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires
Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailLA MUNICIPALITÉ DE SHANNON DIRECTION RISQUES BIOLOGIQUES, ENVIRONNEMENTAUX ET OCCUPATIONNELS
PERTINENCE ET FAISABILITÉ D UNE ÉTUDE ÉPIDÉMIOLOGIQUE VISANT À ÉVALUER LES EFFETS NOCIFS DE LA CONTAMINATION DU RÉSEAU D EAU POTABLE PAR DU TRICHLOROÉTHYLÈNE DANS LA MUNICIPALITÉ DE SHANNON DIRECTION RISQUES
Plus en détailTex: The book of which I'm the author is an historical novel.
page: pror3 1. dont, où, lequel 2. ce dont, ce + preposition + quoi A relative pronoun introduces a clause that explains or describes a previously mentioned noun. In instances where the relative pronoun
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailPLAN STRATEGIQUE DE LUTTE CONTRE LE CANCER 2013-2017
MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO Unité Progrès Justice PLAN STRATEGIQUE DE LUTTE CONTRE LE CANCER 2013-2017 Mai 2013 Plan stratégique de lutte contre le 2013-2017 Page 1 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailQuestionnaire de suivi 1
Numéro Constances Questionnaire de suivi 0 805 567 900 APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE Vu l avis favorable du Conseil National de l Information Statistique, cette enquête est reconnue d intérêt général
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailEtude Elfe, Le de de e v nir de 20 000 en a f n a t n s
Etude Elfe, Le devenir de 20 000 enfants Le projet ELFE I Quelques informations sur le projet ELFE Objectifs scientifiques Echantillon des enfants ELFE Outils de communication Perspectives du déroulement
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailFormulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées
Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride Mission commerciale Du 29 septembre au 2 octobre 2015 Veuillez remplir un formulaire par participant Coordonnées
Plus en détailSurveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES
Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailINTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION
INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailCALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES
CALENDRIER DES CONFÉRENCES RÉGIONALES Calendrier diffusé le 07 avril 2014. Annule et remplace le précédent La PRÉVENTION et le DÉPISTAGE, SONT UN ENSEIGNEMENT. PRÉVENIR : c est enseigner au grand public
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailProposition d'assurance - Questionnaire médical
Proposition d'assurance - Questionnaire médical AG Care Hospitalisation - Medi-Assistance - DELT Proposition d'assurance AG Care Hospitalisation Veuillez remplir le formulaire en lettres majuscules S agit-il
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailProjet de réorganisation des activités de T-Systems France
Informations aux medias Saint-Denis, France, 13 Février 2013 Projet de réorganisation des activités de T-Systems France T-Systems France a présenté à ses instances représentatives du personnel un projet
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailRISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER
RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER Journy N 1, Mezzarobba M 1, Rehel JL 2, Ducou Le Pointe H 3, Aubert B 2, Laurier D 1, Bernier MO 1 Institut de Radioprotection
Plus en détailCLIM/GTP/27/8 ANNEX III/ANNEXE III. Category 1 New indications/ 1 re catégorie Nouvelles indications
ANNEX III/ANNEXE III PROPOSALS FOR CHANGES TO THE NINTH EDITION OF THE NICE CLASSIFICATION CONCERNING AMUSEMENT APPARATUS OR APPARATUS FOR GAMES/ PROPOSITIONS DE CHANGEMENTS À APPORTER À LA NEUVIÈME ÉDITION
Plus en détailNORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices
NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD CEI IEC 747-6-3 QC 750113 Première édition First edition 1993-11 Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets Partie 6: Thyristors Section trois Spécification
Plus en détail