ETUDE DE L INVENTAIRE DES TECHNIQUES ET TECHNOLOGIES DE PETITE IRRIGATION
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- Flavie Gilbert
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1 MINISTERE DE L GRICULTURE PROGRAMME DE COMPETITIVITE ET DIVERSIFICATION AGRICOLES REPUBLIQUE DU MALI UN PEUPLE-UN BUT-UNE FOI COMPOSANTE DIFFUSION DE TECHNOLOGIES D IRRIGATION ET DE PRODUCTION (DTIP) VERSION DEFINITIVE ETUDE DE L INVENTAIRE DES TECHNIQUES ET TECHNOLOGIES DE PETITE IRRIGATION CONSULTANT : Boubacar TRAORE NOVEMBRE
2 LISTE DES ABREVIATIONS AAILAD Association d Appui aux Initiatives Locales d Actions de Développement ACF Action Contre la Faim AFAR Action pour la Formation et l Auto-promotion Rurale AFVP Association Française des Volontaires du Progrès AMAPROF Association Malienne pour la Promotion de la Femme APROFA Agence pour la Promotion des Filières Agricoles ASADEC Action de Solidarité pour le Développement des Communautés BPAR Base de Perfectionnement des Artisans Ruraux CMDT Compagnie Malienne de Développement Textile CSLP Cadre Stratégique de Lutte conte la Pauvreté DMA Division du Machinisme Agricole DNAER Direction Nationale de l Aménagement et Equipement Rural DNGR Direction Nationale du Génie Rural DRAMR Direction Régionale de l Appui au Monde Rural DRHE Direction Régionale de l hydraulique et de l Energie EDM Energie du Mali FAO Organisation des nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture FODESA Fonds de Développement en Zones Sahéliennes au Mali GIE Groupement d Intérêt Economique GIREDIN Gestion Intégrée des Ressources en Eau dans le Delta Intérieur du Niger GRDR Groupe de Recherche et de Réalisations pour le Développement Rural dans le Tiers Monde KARED Agence du Kaarta pour le Développement Kit GAG Kit goutte à goutte Mali 01/001 Missabougou OHVN Office de la Haute Vallée du Niger ON Office du Niger ONG Organisation Non Gouvernementale OP Organisation Paysanne ORDUK Organisation pour le Développement Intégré de Kolombiné ORM Office Riz Mopti ORS Office Riz Ségou PAPIV Projet d Aménagement des Périmètres Irrigués Villageois PCDA Programme de Compétitivité et de Diversification Agricole PDRIK Projet de Développement Rural Intégré de Kita PMB Projet Moyen Bani PNIR Programme National d Infrastructures Rurales PNUD Programme des Nations Unies pour le Développement PPIP Projet de Promotion de l Irrigation Privée PRODECA Projet de Développement du Cercle de Ansongo Projet Mali 00/001 LASSA Sassakawa Global 2000 SDDR Schéma Directeur du Secteur du Développement Rural SLACAER Service Local d Appui à l Aménagement et Equipement Rural UCAL Union Communale de Agriculteurs du Logo URCAK Union Régionale de Coopératives Agricoles de Kayes 2
3 VRES Winrock Projet de Valorisation des Ressources en Eau de Surface International 3
4 TABLE DES MATIERES I. CONTEXTE DE L ETUDE. 7 II. PROBLEMATIQUES ET JUSTIFICATION le secteur agricole le sous secteur de l irrigation dans le domaine de la petite irrigation. 8 3 Objectifs de l étude 8 III. DEROULEMENT DE L ETUDE.. 8 IV. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS V. EXPERIENCES PASSEES EN MATIERE DE TECHNIQUES ET TECHNOLOGIES DE PETITE IRRIGATION VI. ETUDE D INVENTAIRE RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE L ECHANTILLONNAGE ANALYSE DES ECHANTILLONS REGION DE KAYES Importance du secteur Typologie des exploitations enquêtées Répartition des exploitants (hommes, femmes) par type d exploitation Les ressources en eau Les terres Les productions Les techniques d irrigation Systèmes de transport et de distribution de l eau La technologie Le captage Les moyens d exhaure Clôture Equipements d irrigation Caractéristiques des moyens d exhaure Fabrication locale Acteurs intervenant dans la petite irrigation REGION DE KOULIKORO Importance du secteur Typologie des exploitations enquêtées Répartition des exploitants (hommes, femmes) par type d exploitation Les ressources en eau et terres Les productions Les techniques d irrigation..48 4
5 Systèmes de transport et de distribution de l eau La technologie Le captage Les moyens d exhaure Clôture Equipements d irrigation Caractéristiques des moyens d exhaure Fabrication locale Acteurs intervenant dans la petite irrigation REGION DE SIKASSO Importance du secteur Typologie des exploitations enquêtées Répartition des exploitants (hommes, femmes) par type d exploitation Les ressources en eau et terres Les productions Les techniques d irrigation Systèmes de transport et de distribution de l eau La technologie Le captage Les moyens d exhaure Clôture Equipements d irrigation Caractéristiques des moyens d exhaure Fabrication locale Acteurs intervenant dans la petite irrigation REGION DE SEGOU Importance du secteur Typologie des exploitations enquêtées Répartition des exploitants (hommes, femmes) par type d exploitation Les ressources en eau et terres Les productions Les techniques d irrigation Systèmes de transport et de distribution de l eau La technologie Le captage Les moyens d exhaure Clôture Equipements d irrigation Caractéristiques des moyens d exhaure Fabrication locale Acteurs intervenant dans la petite irrigation REGION DE MOPTI Importance du secteur Typologie des exploitations enquêtées Répartition des exploitants (hommes, femmes) par type d exploitation Les ressources en eau et terres Les productions
6 Les techniques d irrigation Systèmes de transport et de distribution de l eau La technologie Le captage Les moyens d exhaure Clôture Equipements d irrigation Caractéristiques des moyens d exhaure Fabrication locale Acteurs intervenant dans la petite irrigation REGION DE GAO Importance du secteur Typologie des exploitations enquêtées Répartition des exploitants (hommes, femmes) par type d exploitation Les ressources en eau et terres Les productions Les techniques d irrigation Systèmes de transport et de distribution de l eau La technologie Le captage Les moyens d exhaure Clôture Equipements d irrigation Caractéristiques des moyens d exhaure Fabrication locale Acteurs intervenant dans la petite irrigation..101 ANNEXES :. 102 Annexe 1 : Liste des villages enquêtés Annexe 2 : Liste des fournisseurs de matériels d irrigation Annexe 3 : Liste des mécaniciens de motopompes et pompes Annexe 4 : Liste des artisans fabricants de matériels d irrigation.114 Annexe 5 : Liste des entreprises de forages 115 Annexe 6 : Liste des fournisseurs de service d appui Annexe 7 : Fiche d enquête Annexe 8 : Bibliographie
7 ETUDE D INVENTAIRE DES TECHNIQUES ET TECHNOLOGIES DE PETITE IRRIGATION RAPPORT DEFINITIF I. CONTEXTE Le gouvernement du Mali envisage le lancement d un programme pluri-annuel d investissements visant au renforcement de la compétitivité et à la diversification des secteurs agricoles et de l élevage. Le programme Compétitivité et Diversification Agricoles (PCDA) s inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Schéma directeur du secteur du développement rural (SDDR), qui comporte neuf programmes d actions prioritaires, euxmêmes intégrés au Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CSLP). L objectif du nouveau programme est ainsi de contribuer à la lutte contre la pauvreté par l accroissement et la diversification des revenus monétaires des populations rurales et la croissance économique nationale, tout en protégeant l environnement, par l amélioration de la compétitivité, de la valorisation et des débouchés des filières agricoles et d élevage à fort potentiel commercial. Au cours de la phase de préparation de ce programme national, la réalisation d un certain nombre d études complémentaires est nécessaire pour en définir davantage le contenu, les modalités d intervention et la programmation des investissements. II. PROBLEMATIQUE ET JUSTIFICATION 2.1-Le secteur agricole du pays est un moteur de l'économie nationale. L'agriculture, l'élevage, la pêche et les exploitations forestières occupent près de 80% de la population active. Cependant, la production agricole n'est pas stable et est fortement tributaire des aléas climatiques et de l'application généralisée de techniques extensives de production. Les contraintes du secteur peuvent se résumer en: (a) la dégradation des ressources naturelles; (b) l'insuffisance des infrastructures rurales; (c) les techniques culturales extensives; et (d) les difficultés d'accès au crédit Le sous secteur de l'irrigation bénéficie d'une priorité en tant que moteur de l'intensification et de la sécurisation de la production agricole. Des ressources financières et humaines importantes ont ainsi été mobilisées en faveur des projets d'irrigation. Cependant, le développement de l'irrigation est encore loin d'atteindre les potentialités du pays. Les contraintes qui se posent sont : (a) la lenteur dans la mise au point /le transfert de nouvelles technologies; (b) le manque de crédit; (c) le manque de motivation des paysans à adopter les nouvelles technologies; (d) le manque de formation aux techniques d'irrigation; et (e) la faiblesse des investissements dans la petite irrigation privée. 7
8 2.3-Dans le domaine de la petite irrigation bien que de multiples initiatives aient été conduites dans le pays, les expériences restent mal connues faute de données et de statistiques fiables de référence. C est pourquoi il est retenu qu une étude portant sur l inventaire des techniques et technologies issues des diverses expériences et disponibles dans le pays soit réalisée avant le démarrage du PCDA 3- Objectifs de l étude La connaissance et la capitalisation des résultats des expériences passées en termes de types d équipements et de matériels, de leur répartition géographiques et leurs performances sont indispensables pour la mise en œuvre efficience du PCDA et constituent donc les objectifs majeurs de la présente étude Mandat du consultant et durée de l étude Il s agira essentiellement d une recherche documentaire et d entretiens avec les principaux acteurs impliqués dans les activités de développement de la petite irrigation. Il collectera et fournira les informations relatives à: (i) -l importance du secteur en superficies, en paysans concernés, zones géographiques, ressources exploitées, etc.; (ii) -les productions, rendements, destinations des productions, contribution à économie nationale, etc.; (iii) -les technologies (de mobilisation de l eau, d exhaure, de distribution de l eau et de drainage, d aménagement à la parcelle, de clôture) actuellement en usage par les paysans, et leur d exploitation ; (iv) les équipements d'irrigation, les matériels et provenance, importations, distributeurs, et leur mode d exploitation ; (v) -les fournisseurs de services, bureaux d'études, ONG, GIE appui conseils en irrigation, artisans, foreurs et puisatiers, installateurs de systèmes d'irrigation, réparateurs, etc.; (vi) -les institutions nationales ayant activité liée à la petite irrigation III. DEROULEMENT DE L ETUDE : L étude s est déroulée en plusieurs phases : - La première phase a concerné la prise de contact avec le PCDA suite à l élaboration de la méthodologie. Cette prise de contact a permis de mieux préciser avec le PCDA le contenu de l étude, de définir les dispositions pratiques pour la conduite des enquêtes et d élaborer un plan de travail. Ce plan de travail a été élaboré et soumis également à l approbation du PCDA. - La seconde phase a porté sur la recherche bibliographique auprès des structures techniques de l Etat, les projets et les ONG. - La troisième phase a porté sur l élaboration des fiches d enquêtes qui ont été également soumises à l approbation du PCDA. - La quatrième phase concerne la constitution des équipes de travail suite à l approbation des fiches d enquêtes par le PCDA. Quatre (4) équipes ont été mises en place pour la conduite des enquêtes de terrain dont la répartition est donnée ci-après : zone de Bamako-Kati, Koulikoro, Ségou et Sikasso ; zone de Mopti ; zone de kayes ; zone du Nord Mali, Gao, Tombouctou et Kidal. Chaque zone était dirigée par un ingénieur du Génie rural et la supervision des enquêtes a été assuré par le Consultant recruté à cet effet. 8
9 - La cinquième phase a porté sur le dépouillement des fiches d enquêtes et l élaboration du rapport provisoire qui sera soumis au PCDA pour observations et approbation. IV. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS: L étude s est déroulée dans un contexte particulier puisqu elle a coïncidé avec la période hivernale où la majorité des producteurs sont orientés sur les activités des cultures céréalières. Il faut noter également la presque indisponibilité des chambres d agriculture et les services techniques agricoles due à leur mobilisation pour la lutte contre les criquets migrateurs. Ces différentes raisons ci dessus évoquées en plus de l inaccessibilité de certains cercles à cause du mauvais état des pistes expliquent la petite taille des échantillons et également le choix des cercles enquêtés. Quatre (4) cercles ont été enquêtés par région à part Gao où le nombre enquêté est de trois. Ceci donne un taux de représentativité de 57% par région et de 75% pour la région de Gao. La base de l échantillonnage prévisionnelle est fixée à 50 exploitations par cercle pour la région Kayes, Koulikoro, Ségou et Sikasso. Pour la région de Mopti elle a été fixée à 30 exploitations par cercle et pour la région de Gao, elle a été ramenée à 20 exploitations par cercle considérant le niveau de développement de l arboriculture et du maraîchage dans ces deux régions. Cette prévision très généralement n a pas été atteinte à cause des raisons précédemment évoquées. L enquête débouche sur les conclusions suivantes : Sur 531 exploitations recensées dans la région de Kayes 298 exploitations disposent d un système de maîtrise totale de l eau dont 253 avec écoulement par gravité, 2 avec un système californien, 27 avec système de pompage. 233 exploitations recensées disposent d un système à maîtrise partielle de l eau. Sur 125 exploitations recensées du District de Bamako et la région de Koulikoro 35 exploitations disposent d un système de maîtrise totale de l eau dont 23 exploitations avec un système d irrigation à écoulement par gravité et une exploitation avec un système d irrigation localisée «goutte à goutte» et 11 exploitations avec système de pompage. 90 exploitations du District de Bamako et de Koulikoro disposent d un système de maîtrise partielle de l eau. Sur 135 exploitations recensées de la région de Sikasso, 21 exploitations disposent d un système de maîtrise totale de l eau dont une en système californien, 1 en aspersion, une en écoulement par gravité et 18 en système de pompage. 114 exploitations recensées de Sikasso sont en maîtrise partielle de l eau. Sur 102 exploitations recensées de la région de Ségou, 46 exploitations disposent d un système de maîtrise totale de l eau dont 2 en système californien, 1 en goutte à goutte, 1 en aspersion, 1 en micro-jet, 3 en écoulement par gravité et 38 en système de pompage. 56 exploitations recensées de Ségou sont en maîtrise partielle de l eau. Sur 65 exploitations recensées de la région de Mopti, 27 exploitations disposent d un système de maîtrise totale de l eau dont 5 en écoulement par gravité et 22 en pompage. 38 exploitations sont en maîtrise partielle de l eau. 9
10 Sur 26 exploitations de la région de Gao, 24 exploitations disposent d un système de maîtrise totale de l eau dont 21 avec écoulement par gravité et 3 en pompage. 2 sont en maîtrise partielle de l eau. Parmi les moyens d exhaure recensés les motopompes et les pompes à pédales sont les plus usuelles ; l enquête débouche sur les conclusions suivantes : 416 motopompes de marques diversifiées ont été recensées sur l ensemble des régions dont 296 à Kayes, 27 à Bamako-Koulikoro, 20 à Sikasso, 28 à Ségou, 17 à Mopti et 28 à Gao. 154 pompes à pédales ont été recensées dont 23 à Kayes, 5 à Bamako Koulikoro, 38 à Sikasso, 76 à Ségou et 12 à Mopti. Ce rapport est basé sur un travail d enquête de terrain et ne permet pas de faire une comparaison entre les résultats de l enquête et les statistiques nationales. Toutes les bibliographies consultées en la matière (cf. liste en annexe) font état d un inventaire typologique des systèmes de distribution de l eau, des équipements de mobilisations et des moyens d exhaure de l eau (modernes et traditionnels). Aucune de ces bibliographies fait état d un inventaire physique sur les équipements et moyens d exhaure de la petite irrigation. Seul le rapport d inventaire du GRDR de Kayes et le rapport bilan de la campagne 2002/2003 de la DRAMR de Gao donnent un inventaire exhaustif des moyens d exhaure de l eau. Celui de Kayes étant plus complet puisqu il donne la situation des systèmes de distribution de l eau. Les rapports bilan des autres régions offrent quelques informations sur les moyens d exhaure disponibles avec les Organisations Paysannes (OP). Les rapports FAO n 69/93 CP-MLI 40 et n 98/046-MLI sur la petite irrigation privée donnent des statistiques sur les superficies aménagées et exploitées mais qui sont aujourd hui dépassées (1986/1987) et méritent d être actualisées. Ces mêmes statistiques apparaissent dans le rapport sur la Stratégie Nationale de l Irrigation au Mali (1998). Malgré l absence de statistiques nationales ne permettant pas de dégager les taux de représentativité des échantillons par rapport à ces statistiques, cet inventaire offre des informations pouvant permettre de faire des suggestions et recommandations au PCDA pour une meilleure orientation de ses actions dans le cadre de la diffusion de technologies de petite irrigation. Ces recommandations sont faites en tenant compte des spécificités de chaque région et chaque cercle en terme de ressources en eau, des conditions géographiques et socioéconomiques de chaque milieu. Elles se trouvent dans ces grandes lignes résumer dans le tableau ci-après : 10
11 Désignation Région Région de Kayes Cercle de Kayes Cercle de Kita Systèmes de distribution de l eau Equipements de mobilisation de l eau Moyens d exhaure de l eau Les ressources en eau de surface sont abondantes ; le PCDA devra favoriser, inciter et soutenir les efforts de développement des exploitations aménagées et celles qui seront installées dans l avenir en bordure du fleuve Sénégal et ses affluents. Le système californien et le micro-jet peuvent être diffusés considérant que les exploitants du milieu ont déjà une certaine expérience dans la maîtrise totale de l eau ; le système californien sera appliqué aux cultures fruitières et le micro-jet plus particulièrement aux agrumes. le Kit GAG sera préalablement testé et diffusé selon les conclusions des tests. Le goutte à goutte sera testé. Dans tous les cas leurs applications seront limitées à de petites surfaces en maraîchage pour limiter le coût des investissement. Kita est un cercle où les plantations fruitières sont très nombreuses mais malheureusement qui n a aucune Aucune action du PCDA ne sera orientée vers les points d eau, l irrigation des nappes souterraines étant moins opportunes à Kayes avec l aménagement des périmètres en bordure immédiate des ressources pérennes en eau de surface. Afin de faciliter l exploitation des nappes souterraines proches des ressources en eau de surface, le PCDA pourrait testé et La motopompe ne sera plus diffusée comme telle étant donné sa croissance à Kayes mais la diffusion sera plus tôt orientée vers l harmonisation de certaines marques ayant justifiées leur choix en terme de rendement, durabilité, performance, etc. Il s agit des marques Honda, Robin et Lister Indien. Les caractéristiques de ces motopompes ainsi que les tailles des exploitations concernées sont mentionnées à la page 33/34. La marque chinoise sera introduite à Kayes à condition de bien organiser son circuit de commercialisation. Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine la pompe à pédale et la pompe manuelle seront diffusées. Leurs caractéristiques et les tailles des exploitations concernées sont mentionnées à la page 33/34. Parmi les moyens d exhaure traditionnels la diffusion concernera l arrosoir utilisé très généralement par les exploitants sans en connaître les normes. La motopompe sera testée et diffusée. Les pompes à pédales et à main seront également testées et diffusées. La 11
12 Cercle de Kita Cercle de Nioro Cercle de Yélimané expérience en matière de petite irrigation. C est une zone qui se caractérise intégralement par l absence totale de système de distribution en maîtrise totale de l eau. Compte tenu de cet aspect le PCDA avant toute diffusion doit d abord procéder à des tests qui doivent servir de facteur incitatif des exploitants vers l adoption des systèmes d irrigation. Le système californien est celui qui sera retenu et testé pour être le moins cher et dont le coût pourrait être à la portée des exploitants de Kita. Il pourra être diffusé après évaluation des impacts des tests. Sa diffusion sera faite en direction des sites situés à proximité des cours d eau et rivières pérennes qui sont les plus propices à la petite irrigation dans ce milieu. Le système californien sera le seul système de distribution de l eau qui sera testé et diffusé. Ceci dans le but de limiter le coût des investissements considérant que la source d eau est la nappe souterraine dont l exploitation est très chère. Yélimané évolue dans les mêmes conditions que Nioro à la seule différence que certains des sites de Yélimané sont arrosés à partir des ouvrages de retenu diffusé des équipements de mobilisation de l eau à faibles coûts tels que les forages maraîchers et les points filtrants en vue de satisfaire les exploitants disposant de moyens d exhaure à motricité humaine. La gestion de la nappe souterraine est incontournable car elle est la seule disponible dans le cercle. L intervention du PCDA à ce niveau n est pas très opportune puisqu il lui faudrait trouver un mécanisme de financement de l investissement dont les conditions soient acceptables par les exploitants. Idem Nioro. diffusion des pompes à pédales concernera aussi les puits profonds. L arrosoir sera diffusé et le chadouf sera testé. La diffusion du Chadouf se fera sous réserve que le test soit satisfaisant (il est très adapté aux eaux de surface et aux faibles profondeurs d eau, moins de 5 m). La diffusion à ce niveau concernera surtout les pompes à pédales pour puits profonds, la pompe éolienne déjà connue dans le milieu. Comme moyen d exhaure traditionnel l arrosoir sera diffusé. Idem Nioro. 12
13 Région de Koulikoro Cercle de Kati Cercle de Koulikoro existants entre Kayes et Yélimané. L action du PCDA sera orienté vers cette zone qui semble la mieux propice à la petite irrigation. Le californien sera testé et diffusé sur ces sites. Au niveau de Kati y compris le District de Bamako, le système californien, le micro-jet, et le kit GAG pourront être testés et diffusés considérant l existence du fleuve Niger et les capacités d autofinancement et d accès au crédit de certains des exploitants de cette localité. Le goutte à goutte bien que les expériences ne sont pas si éloquentes au Mali, sera testé et sa diffusion dépendra du résultat du test. Le système californien et le kit GAG seront testés étant donné que la zone n a aucune expérience en matière de système de distribution de l eau. L irrigation dans cette zone étant axée sur les eaux de surface, il ne serait pas opportun pour le PCDA de mener des actions de mobilisation des nappes souterraines. Cependant pour les maraîchers installés à l intérieur de Bamako, les forages à faible coûts (forages maraîchers et points filtrants) pourront être testés et diffusés. La zone de Koulikoro comme telle n est pas propice à la promotion de la petite irrigation car les sites aménageables sont loin du fleuve Niger et il faut nécessairement irriguer à partir des nappes souterraines. L action du PCDA se limitera à des tests sur puits à grand diamètre et forage à équiper de pompes solaires, ou de pompe à pédale pour puits profonds. La motopompe sera diffusée dans les mêmes conditions qu à Kayes. La pompe à pédale sera diffusée ayant fait déjà l objet de test avec ATI Mali dans plusieurs localités du pays. La pompe manuelle sera testée et diffusée ; elle est aujourd hui peu utilisée dans la petite irrigation dans cette zone ce qui justifie son test avant diffusion. L arrosoir sera diffusé et le chadouf sera testé. La diffusion du chadouf se fera suite aux résultats du test ; elle pourra intéresser surtout les maraîchers à l intérieur de Bamako et Kati. La diffusion concernera les pompes à pédales et les pompes manuelles sous réserve de tests satisfaisants. L arrosoir sera diffusé comme moyen d exhaure traditionnel. Cercle de Zone non propice à la petite irrigation, le Zone non propice Le PCDA pourrait testé les pompes à 13
14 Banamba Région Sikasso Cercle de Sikasso Cercle de Bougouni de PCDA difficilement aura des résultats escomptés à travers ses actions de diffusion puisque les investissements dans les conditions d irrigation des nappes souterraines reviendront très chers. Zone non propice idem banamba Idem Banamba Idem Banamba Le système californien sera le seul système de distribution de l eau qui sera testé et diffusé. Ceci dans le but de limiter le coût des investissements car la source d eau est la nappe souterraine dont l exploitation est très chère. Le kit GAG sera testé sur de petites surfaces de maraîchage. Sa diffusion pourrait se faire suite aux résultats du test. L intervention du PCDA se limitera aux périmètres situés en bordure immédiate du fleuve Baulé et les cours d eau pérennes qui sont les zones les plus favorables à la petite irrigation. Le californien, le micro-jet seront testés et diffusés. Le kit GAG et le goutte à goutte La gestion de la nappe souterraine est incontournable (puits profonds et forages) car elle est la seule disponible dans le cercle. L intervention du PCDA à ce niveau n est pas très opportune puisqu il lui faudrait trouver un mécanisme de financement de l investissement dont les conditions soient supportables par les exploitants. Toute fois les forages à faible coût comme le forage maraîcher et les points filtrants seront diffusés en direction des maraîchers situés dans les bas fonds. Pour les puits profonds et les forages des tests seront faits sur ceux ci équipés de pompes solaires. Aucune intervention du PCDA à ce niveau compte du coût élevé de l investissement. pédales pour puits profonds et les pompes manuelles à titre incitatif. L arrosoir sera diffusé. La motopompe sera testée et diffusée (cf. Kayes) en direction des maraîchers et planteurs installés en bordure de cours d eau, rivières pérennes et dans les bas fonds. Les zones hautes ne seront pas concernées car il serait difficile à la motopompe d évoluer sur ces points d eau qui sont très profonds. La diffusion à ce niveau concernera surtout les pompes à pédales pour puits à faible profondeur et puits profonds, la pompe à main. Comme moyen d exhaure traditionnel l arrosoir sera diffusé. La motopompe sera testée et diffusée (cf. Kayes). Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine, la pompe à pédales et la pompe à main seront testées et diffusées. Parmi les moyens d exhaure traditionnels l arrosoir sera diffusé ; le chadouf sera 14
15 Cercle de Koutiala Cercle de Yanfolila Cercle de Kolondiéba Région de Ségou Cercle de Ségou Cercle de San Cercle de seront testés sur de petites surfaces de maraîchage. Koutiala est une zone peu favorable à la Idem Bougouni petite irrigation car elle est quasi assurée par les nappes souterraines dont l exploitation est très chère. Néanmoins le californien et le kit GAG appliqué à de petites surfaces de maraîchage seront testés à titre incitatif. L intervention du PCDA concernera les Idem Bougouni sites situés en bordure immédiate des affluents du fleuve Niger considérée comme la zone favorable à la petite irrigation. Le californien sera testé et diffusé. Le micro-jet et le kit GAG seront testés. Zone non propice à la petite irrigation Idem Bougouni néanmoins le californien pourrait être testé. L abondance des ressources en eau de surface favorise la diffusion de tous les systèmes de maîtrise totale de l eau mais compte tenu des expériences passées elle sera limitée au californien, le micro-jet et le kit GAG. Le PCDA ne mènera aucune action à ce niveau. testé. Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine, la pompe à pédales et la pompe à main seront testées et diffusées. Parmi les moyens d exhaure traditionnels l arrosoir sera diffusé. Idem Bougouni Idem Koutiala La motopompe sera testée et diffusée (cf. Kayes) Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine, la pompe à pédales et la pompe à main seront testées et diffusées. Parmi les moyens d exhaure traditionnels l arrosoir sera diffusé ; le chadouf sera testé. Idem Ségou Idem Ségou ; la diffusion se fera en Idem Ségou direction des sites situés le long du Bani. L action du PCDA se limitera à titre Les actions du PCDA seront orientées La motopompe ne sera pas diffusée car 15
16 Tominian incitatif au test sur le californien compte tenu des conditions particulières des ressources en eau disponibles et socioéconomiques du milieu. vers le test et la diffusion des forages à faibles coûts (forages maraîchers et points filtrants). Cercle de Bla Idem San Idem Ségou Idem Ségou Région de Mopti Cercle de Mopti Cercle de Youwarou Les actions du PCDA seront orientées vers le test et la diffusion du californien ; le micro-jet sera testé aux cultures fruitières. Le kit GAG et le goutte à goutte seront testés sur de petites superficies de maraîchage. Youwarou est une zone favorable à la petite irrigation mais ne dispose d aucune expérience en matière de système de maîtrise totale de l eau. Pour cette raison le californien sera le seul système à être testé et diffusé pour être relativement moins cher. Les autres composés de micro-jet, le Les actions seront orientées sur les tests des forages à faibles coûts (forages maraîchers et points filtrants) dans les bas fonds sur les périmètres maraîchers. Idem Mopti les puits étant peu profonds son utilisation peut occasionner le tarissement rapide des puits. Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine, la pompe à pédales et la pompe à main seront testées et diffusées. Parmi les moyens d exhaure traditionnels l arrosoir sera diffusé ; le chadouf sera testé. La motopompe sera testée et diffusée (cf. Kayes). Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine, la pompe à pédales et la pompe à main seront testées et diffusées. La pompe aqualienne étant présente dans certaines zones de Mopti mais utilisée dans l adduction d eau, elle sera testée dans le cadre de la petite irrigation. Parmi les moyens d exhaure traditionnels l arrosoir sera diffusé ; le chadouf sera testé. Idem Mopti 16
17 Cercle de Badiangara Cercle de Ténenkou Région de Gao Cercle de Gao Cercle de Bourem Cercle de Ansongo goutte à goutte et le kit GAG seront testés à titre incitatif. Des tests seront faits à titre incitatif sur le goutte à goutte et le kit GAG puisque Badiangara est une zone à forte production maraîchère. Des tests seront faits à titre incitatif sur le goutte à goutte, le kit GAG et le californien dans les zones situées en bordure du fleuve Niger et les cours d eau pérennes. Des tests seront faits à titre incitatif sur le goutte à goutte et le kit GaG sur les périmètres maraîchers situés en bordure du fleuve Niger. Le PCDA ne mènera aucune action à ce niveau. Idem Badiangara Le PCDA ne mènera aucune action à ce niveau. Idem Gao Idem Gao Idem Gao Idem Gao Idem Gao Idem Gao La motopompe sera testée et diffusée (cf. Kayes) dans les zones de barrages de retenu. Parmi les moyens d exhaure à motricité humaine, la pompe à pédales et la pompe à main seront testées et diffusées. Parmi les moyens d exhaure traditionnels l arrosoir sera diffusé. Le chadouf sera testé. Idem Badiangara La motopompe ne sera pas diffusée puisque les exploitants du milieu disposent déjà d une solide expérience en la matière avec les PIV. La pompe à pédale, la pompe à main et la pompe éolienne seront testées et diffusées. La pompe aqualienne sera testée. L arrosoir sera diffusé et le chadouf sera testé. 17
18 V. EXPERIENCES PASSEES EN MATIERE DE TECHNIQUE ET TECHNOLOGIE DE PETITE IRRIGATION AU MALI : Les résultats des expériences passées au Mali se trouvent confiner dans le tableau ci-après. Parmi elles certaines ont été abandonnées et d autres se poursuivent à présent. Tableau n 1 : Inventaire des expériences passées Techniques et technologies Etat actuel Systèmes de distribution de l eau 1. Irrigation par écoulement graviataire dans les canaux : - canaux en terre - canaux préfabriqués en béton non armé de 1 m de longueur, dit «tunisiens» (Bacheré, Gadelle, 1987). Leur avantage était d être fabriqué sur terrain par des artisans et de consommer peu de ciment puisqu ils avaient 4 cm d épaisseur seulement. En cours d utilisation dans le pays dans les exploitations fruitières. Ces canaux n ont pas donné satisfaction pour problème de raccordement entre canaux. Des canaux analogues existent en Tunisie mais sont fabriqués industriellement. - canaux en parpaings : il s agit de canaux simples constitués d une dalle en béton et deux cotés en agglomérés de ciment pleins ou creux. Ces canaux donnent satisfaction mais ils sont très coûteux. Technique courante au Mali Des tuiles d argile cuite fabriquées artisanalement ont été essayées en 1993 ; il s agissait de tuiles de grand modèle (20cmx20 cm) et petit modèle (15 cm de large et 10 cm de profondeur) ainsi que des tés servant d exutoires sur les planches d irrigation. Des conduites en tuyaux alu zinc avec raccords type Bauer sont les plus employés. Les conduites en PVC ou en plastiques souples sont utilisées parfois. 2. Irrigation par aspersion : Utilisée dans le temps sur les deux rives du fleuve Sénégal, à Ségou et Bougouni. Elle est propice à l irrigation des cultures fruitières, le maïs et les cultures fourragères. Economise de l eau mais peu favorable en milieu de climat très sec et de vent. 3. Irrigation localisée «Goutte à Goutte» Installée en 1989 dans la ferme de Soninkoura Cette technique n a pas fait succès à cause du manque d information sur la durabilité des tuiles qui revenaient assez peu chères. Ces solutions n ont pas été généralisées et on n a pas d information sur les expériences réalisées. Testé par différents Projets, elle n a pas donné les résultats escomptés à cause du coût élevé lié à l installation des équipements et la nécessité d une motopompe avec forte pression non disponible chez la majorité des exploitants. Deux systèmes ont été testés avec le bucklet (seau de 20 litres) qui a été finalement 18
19 à l Office du Niger sur 10 ha et testée en 2002 sur quelques parcelles par l APROFA. Le système est bien adapté aux conditions sahéliennes, en particuliers l irrigation des plantations à partir des forages. abandonné car ne répondant pas aux préoccupations des exploitants (surface traitée trop petite). L autre système concerne les Kits goutte à goutte très basse pression qui pourrait donner de meilleurs résultats avec l utilisation des matériaux locaux. Cette technique n est toutefois pas validée avec le problème de destruction des réservoirs plastiques par les UV, problème de retour de l investissement sur certaines spéculations. L échec de l expérience Office du Niger est dû à la mauvaise maîtrise du système d exploitation par le gestionnaire. 4. Arrosage manuel Il s agit de l irrigation utilisant l arrosoir ou un système dérivé pour transporter l eau sur les plantes. C est le mode le plus courant au Mali. L arrosoir cependant n est toujours pas connu et doit être promu (DIWI 1998). Equipement de mobilisation de l eau Deux techniques majeures se dégagent à savoir le fonçage des puits à petit, moyen et grand diamètre et les forages : 1. Les puits : Les puits à moyen et grand diamètre exécuté à l entreprise offre de bonnes garanties de durabilité à un coût moyen au mètre linéaire cuvelé (diamètre 1,80 m) de FCFA. Ces puits sont exploités par tous les moyens de pompage existants adaptés au débit de l ouvrage. Les puits traditionnels de 0,50 m de diamètre sont utilisés dans les bas fonds. Ils sont foncés par des artisans puisatiers pour un coût moyen de FCFA pour une profondeur moyenne de 30 m. Ils ont un débit voisin de 400 l/h et le pompage se fait traditionnellement au moyen d une corde et d une seau. 2. Les forages : Ils sont réalisés soit de façon manuelle (à la tarière) pour des profondeurs n excédant pas en général 10 m (fonction de la nature du sol) soit de façon mécanique (moto tarière) pour des profondeurs allant jusqu à 30 m. Réalisé en PVC basse pression, le rapport coût/ Technique courante au Mali. Technique courante au Mali Leur utilisation est problématique pour l irrigation à cause de leurs coûts trop élevés et leurs débits dans les terrains durs sont souvent faibles ; il faut donc envisager des méthodes pour les augmenter. Technique courante au Mali Les matériaux sont disponibles sur le marché national et ces techniques de captage sont aujourd hui bien maîtrisées par les artisans locaux dont certains sont équipés (moto tarière) et complètement opérationnels. 19
20 durabilité s avère performant. Equipements d exhaure de l eau Pompes à motricité humaine : 1. Pompe à Pédales : Parmi les systèmes manuels il existe la pompe à pédale dite également pompe bangladesh. Elle est introduite au Mali depuis moins d une décennie et a suscité beaucoup d engouement chez les exploitants (1000 vendus au Mali en 30 mois avec l appui de l ATI). D après des enquêtes de ATI (Hyman 1995) la pompe à pédale permet d irriguer 1/3 de surface en plus que les systèmes traditionnels, soit en moyenne 0,43 ha. Elle est adaptée à des profondeurs inférieures à 7 m et très peu onéreuse (40000 à FCFA). 2. Pompes manuelles : Elles sont de fonctionnement simples et actionnées par une ou deux personnes et ont un rendement faible, bien inférieur à celui des pompes à pédales. Elles ont donné un meilleur taux d adoption chez les exploitants. Ces pompes sont bien adaptées pour des petits débits de 1 à 2 m3/h. Les systèmes d exhaure utilisant l énergie animale : 1. Le délou : Il est traditionnel au nord du mali et est utilisé généralement dans l abreuvement du bétail. Son utilisation pour l irrigation est très peu fréquente. 2. Les manèges : Ce système d exhaure a connu des tentatives d introduction à Banamba et Djenné. Les systèmes d exhaure utilisant l énergie hydraulique : 1. La pompe aqualienne BORDA: Elle a été mise au point au Mali par l Université de Brême en liaison avec la Division du Machinisme Agricole et son principe consiste à interposer une hélice entraînée par la vitesse du courant d eau et qui actionne la pompe. Les systèmes d exhaure utilisant l énergie Usage courant au Mali, testé et diffusé par ATI. La demande paysanne s est ralentie à cause de sa pénibilité et son ergométrie qui ont toutefois contribuer à son utilisation difficile dans la durée (surtout les femmes et les personnes n étant pas dans la force de l âge) Usage courant au mali avec un meilleur taux d'adoption chez les exploitants. Offre l avantage de pomper l eau à des profondeurs plus grandes que les pompes à pédales. Utilisé uniquement au Nord du Mali en particulier à Kidal aucune expérience n est capitalisée à ce jour sur son adoption comme système d exhaure de l eau pour l irrigation. Tous les essais de promotion ou de vulgarisation se sont soldés par des échecs (exemple du PNUD et du PNUE à Banamba et Djenné). Fabriquée localement, 140 cas ont été installés dans le Nord Est du Mali le long du fleuve Niger (Tombouctou, Gao et Mopti). 20
21 éolienne : 1. La pompe éolienne : Quelques pompes éoliennes ont été installées par l ex ODIK à Nioro pour assurer l irrigation. 312 éoliennes ont été installées par la Base de perfectionnement des artisans ruraux de Ségou dans le Nord du pays (Kidal, Gao et Tombouctou), 4 à Kayes et 16 à Koutiala. Le coût est de FCFA et donne un débit de 416 l/h. Les systèmes d exhaure utilisant l énergie solaire : 1. La pompe solaire : Elle peut fonctionner à partir de deux façons soit par échange de chaleur avec couplage à des systèmes thermodynamiques complexes pour l adapter aux conditions locales (exemple de Diré, système abandonné depuis) et par panneaux de photopiles qui produisent un courant électrique continu appelés systèmes photovoltaïques. Seul ce système est utilisé dans la petite irrigation au Mali. Quelques périmètres villageois l utilisent à kayes, Ségou et Koulikoro. Systèmes d exhaure utilisant l énergie végétale : La source d énergie est dérivée de l énergie solaire qui fait croître les plantes grâce à la photosynthèse. Systèmes d exhaure utilisant l énergie électrique : 1. La pompe électrique : L électricité est obtenue du réseau EDM ou par un groupe électrogène. Ce système d exhaure est peu fréquent et se rencontre dans les exploitations péri-urbaines du District de Bamako et certains chefs lieux de région. Il coûte très cher et connaît un taux d adoption très faible chez les exploitants. Système d exhaure motorisé : 1. La motopompe : Plusieurs projets ont travaillé sur la caractérisation des petites motopompes (2 à 5 cv) pour classer leurs niveaux de performance. La demande paysanne est forte car ce système d exhaure motorisé permet de Elle n a pas répondu aux attentes des exploitants parce qu elle est tributaire du régime du vent qui est faible et irrégulier dans beaucoup de régions du Mali. En ce qui concerne le nord du mali elle commence à se faire rare pour manque de suivi et de maintenance. Usage peu fréquent ; très peu d expériences ont été menées sur les sources alternatives d énergie (solaire et éolienne) dans la petite irrigation. Les essais de pompage faits au Mali à base d énergie végétale n ont pas été pertinents (huile de pourghère, biogaz) Pas d information sur les expériences réalisées. Usage courant au Mali. La demande paysanne est très forte. Donne de bons rendements et coûte moins cher à moyen terme. Il existe néanmoins des problèmes dans leur exploitation : le mauvais dimensionnement, le manque de maintenance et d entretien sont à 21
22 quadrupler à sextupler sa surface (de 2500 m2 à 1,5 ou 2 ha). Assure une économie de temps considérable. Les systèmes de stockage de l eau 1. Réservoir de stockage d eau : Nombre des techniques préconisées, par exemple les pompes solaires, les pompes électriques, impliquent un stockage de l eau. Celui-ci peut aussi se révéler nécessaire lorsqu on veut utiliser un système d irrigation où l eau doit être mise en pression, au moyen d un réservoir surélevé. Divers matériaux peuvent être utilisés pour la construction des réservoirs (béton, bâche, PVC, citernes, etc) 2. Les bassins de stockage : Ils existent dans beaucoup de périmètres féminins construits en maçonnerie de faible hauteur reliés par des conduites souterraines au point d'eau et dans lesquels les femmes viennent puiser avec des arrosoirs. l origine des nombreuses pannes ou de l arrêt définitif de la motopompe. Usage peu courant, se rencontre généralement dans les exploitations péri-urbaines et aucune information disponible sur les expériences réalisées. Usage courant mais aucune information disponible sur les expériences réalisées. 22
23 VI. ETUDE D INVENTAIRE : Cette étude fait suite à l étude FAO (rapport n 04 MLI) de la Composante Diffusion de Technologies d Irrigation et de Production (DTIP). La méthodologie utilisée pour mener cette étude porte sur trois aspects fondamentaux, à savoir : - La recherche bibliographique - L échantillonnage - L analyse des échantillons 6.1 LA RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE : Cette recherche vise à collecter le maximum d informations sur les exploitations pour faciliter le sondage sur terrain et permettre la détermination des taux de représentativité des échantillons enquêtés par rapport aux statistiques nationales. Cette recherche n a pas donné les résultats escomptés car les bibliographies consultées offrent très peu d informations sur les statistiques nationales. Le nombre des exploitations individuelles, le nombre de moyens d exhaure existants par cercle et par région ne sont généralement pas connus. Cependant quelques informations ont pu être collectées sur les superficies totales et exploitées par région et par cercle, le nombre de motopompes et pompes dans le cercle de Kayes et région de Gao, la production par région et par cercle, les réalisations en équipements de captage et moyens d exhaure de l eau dans certaines régions au titre de l exercice 2002/2003. Les informations recueillies sont obtenues de bibliographies collectées auprès de la Direction Nationale de l Aménagement et de l Equipement Rural (DNAER), de l Agence pour la Promotion des Filières Agricoles (APROFA), du Programme de Compétitivité et de Diversification Agricoles (PCDA), des Directions Régionales de l Appui au Monde Rural (DRAMR), le Groupe de Recherche et de Développement Rural à Kayes (GRDR) et les documents relatifs à l Atelier FAO/IPTRID sur le transfert de technologie en support à la sécurité alimentaire tenu au Burkina Faso en décembre Quelques unes des informations pouvant être utiles pour la suite de l étude sont données dans les tableaux qui suivent : Le rapport FAO n 69/93 CP-MLI 40 du 6 mai 1993 donne les superficies aménagées et exploitées par région des petits périmètres irrigués en Ces superficies aujourd hui sont largement dépassées et doivent être actualisées. Les résultats sont présentés dans le tableau ci-après : Région Petits périmètres irrigués Superficie aménagée Superficie exploitée Kayes Koulikoro - - Sikasso Ségou - - Mopti Tombouctou - - Gao Total Source : DNHE, décembre
24 Les rapports bilans de campagne 2002/2003 des DRAMR donnent la situation ci-après concernant les superficies totales et exploitées par région dans les exploitations individuelles en maraîchage et arboriculture : Région Superficie totale Périmètres irrigués individuels Maraîchage Arboriculture Total Superficie Superficie Superficie Superficie exploitée totale exploitée totale Superficie totale exploitée Kayes Cercle de Kayes ,45 185,5-737,5 Cercle de Bafoulabé , Cercle de Yélimané - 16,8 0, ,8 Cercle de Kéniéba - 216,5 595,9 494,5-711 Cercle de Nioro - 57,95 23,3 16,65-74,6 Cercle de Diéma - 29,17 117, ,17 Cercle de Kita - 274, ,25 Total Kayes , , , ,32 District de Bamako - 645, ,77 Total Bamako - 645, ,77 Région de Koulikoro Cercle de Kati Cercle de Koulikoro - 379,4 868, ,4 Cercle de Banamba - 454,55 261,27 130,5-585,05 Cercle de Kolokani ,10 275, ,10 Cercle de Kangaba - 33,88 784, ,88 Cercle de Nara - 306, ,45-327,7 Cercle de Dioila , Total Koulikoro , , , ,13 Région de Sikasso Cercle de Sikasso Cercle de Kadiolo Cercle de Bougouni - 962, ,75 Cercle de Kolondiéba ,10-391,10 Cercle de Yanfolila ,41-492,61 Cercle de Koutiala - 692, ,5 Cercle de Yorosso - 277, ,2-287,87 Total Sikasso , ,83 Région de Ségou Cercle de Ségou , ,2 754,4-1993,25 Cercle de Barouéli - 62,47 68,75 53,55-116,02 Cercle de Bla - 133,85 322,55 212,25-346,10 Cercle de Macina - 474,45 244,15 213,10-687,55 Cercle de Niono , ,75 Cercle de San - 449,75 148,5 101,5-551,25 24
25 Cercle de Tominian ,55 97,10 91, ,8 Total Ségou , , ,8-6709,72 Région de Mopti Cercle de Mopti - 131, ,85 Cercle de Bankass - 6,16 45,30 39,10-45,26 Cercle de Badiangara ,25 210, ,5 Cercle de Djenné - 671,40 66,25 65,77-737,17 Cercle de Douentza ,25 114,25-485,25 Cercle de Koro - 85,2 24, ,2 Cercle de Ténenkou ,25 11,45-65,45 Cercle de Youwarou - 202,80 61,25 57,30-260,10 Total Mopti , ,05 780, ,78 Région de Gao Cercle de Gao - 92,18 29,20 15,75-107,93 Cercle de Ansongo ,60 1,5-262,5 Cercle de Bourem - 163,50 3, ,5 Cercle de Ménaka - 11,04 2,80 2,05-13,09 Total Gao - 527,72 49,12 19,30-547,02 Le nombre réel des exploitations existantes par région ou par cercle ne ressort dans aucune des bibliographies consultées. Les rapports bilans des DRAMR (campagne 2002/2003) font ressortir les superficies totales et exploitées (voir tableau ci-dessus) sans faire allusion au nombre des exploitations. Le rapport sur l évaluation de la demande potentielle en service d appui et capacité de contribution des bénéficiaires aux coûts des appuis (PPIP 1999) fait ressortir le nombre des exploitations par région en fonction de leurs tailles. Il s agit là également d un inventaire sur la base d échantillonnage et ne donne donc pas la totalité des exploitations existantes dans les régions. Exploitations Moins de 0,5 à de 2 2 à - de 5 5 à de ha et Total 0,5 ha ha ha ha plus Régions Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Nombre Bamako Koulikoro Sikasso Ségou Mopti Source : PPIP janvier 1999 Concernant la situation des moyens d exhaure, il ressort du recensement 2003 du GRDR de Kayes le nombre de groupe motopompes et pompes à pédales existant dans le cercle de Kayes. Le rapport bilan de la campagne 2002/2003 de la DRAMR de Gao fait état également du nombre de moyens d exhaure par cercle dans la région de Gao. Celui de Mopti donne le nombre de puits et forages existants dans la région de Mopti. 25
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