Institut des comptes nationaux. Comptes nationaux. Partie 1 Estimation des agrégats annuels 2003

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1 Institut des comptes nationaux Comptes nationaux Partie 1 Estimation des agrégats annuels 2003

2 Contenu de la publication Les comptes nationaux de la Belgique sont élaborés d après les défi nitions du Système Européen de Comptes nationaux et régionaux (SEC 1995). Une première estimation des agrégats nationaux, établie essentiellement sur la base des comptes trimestriels, est publiée au mois d avril suivant l année de référence. La publication présente l évolution des principaux agrégats annuels de l économie nationale au cours des dix années les plus récentes. Elle se compose de deux chapitres: le premier donne une brève synthèse des résultats; le second présente les différents tableaux statistiques (ventilation du produit intérieur brut selon les optiques valeur ajoutée, dépenses et revenu; épargne et solde de fi nancement de la Nation; emploi et salaires). Les comptes sont établis sur la base des données disponibles au 2 avril Institut des comptes nationaux Banque nationale de Belgique, Bruxelles Tous droits réservés. La reproduction de cette publication, en tout ou en partie, à des fi ns éducatives et non commerciales est autorisée avec mention de la source. ISSN

3 AVANT-PROPOS La présente publication contient les premières estimations de l'institut des Comptes nationaux (ICN) concernant les principaux agrégats des comptes nationaux pour l'année Pour une large part, les résultats reposent sur les informations contenues dans les comptes nationaux trimestriels. Outre les statistiques concernant la croissance économique, les comptes nationaux présentent traditionnellement des informations sur l'emploi et les salaires. Les estimations de l'icn reposent principalement sur les données produites par l'office national de la Sécurité sociale (ONSS). Suite aux difficultés rencontrées principalement par les plus grandes entreprises et institutions lors de l'introduction de la nouvelle délclaration électronique des employeurs, l'onss est confronté à un retard dans la production de ses statistiques. En l'absence de cette statistique de base, l'icn n'était pas à même d'estimer l'emploi et les salaires pour la présente publication des comptes nationaux. En conséquence, cette publication ne contient aucune information sur la répartition du produit intérieur selon les principales catégories de revenus, sur la ventilation de la rémunération des salariés par branche d'activité, sur la répartition de l'emploi national entre travailleurs salariés et indépendants et sur la ventilation de l'emploi intérieur par branche d'activité. L'ICN a mentionné le problème auprès des autorités compétentes, insistant pour qu'une solution soit trouvée le plus rapidement possible. Entre-temps, l'onss a confirmé que la production de ses statistiques habituelles pourra être reprise au cours des prochains mois. Depuis sa création, l'icn considère comme une priorité le raccourcissement des délais de diffusion de ses statistiques, répondant ainsi aux exigences de ses principaux clients nationaux et internationaux, parmi lesquels la Commission et la Banque centrale européennes. Publiés pour la première fois en 1998, les comptes nationaux trimestriels ont constitué une première étape dans ce processus. Disponibles trois mois et demi après la fin du trimestre sous revue, ils ont, entre autres, permis la publication d'une première estimation annuelle du produit intérieur brut (PIB) et de ses composantes dès le mois d'avril de l'année qui suit l'année de référence, alors que ces résultats n'étaient auparavant pas disponibles avant le mois de juin. Une deuxième étape de ce processus a été franchie en 2000 avec la diffusion d'une estimation "flash" de la croissance du PIB dès la fin du deuxième mois qui suit la fin du trimestre. Transmis à Eurostat - l'office statistique de la Commission européenne -, ce résultat a permis l'intégration de la composante belge dans l'estimation des chiffres européens, réalisée 70 jours après la fin de la période. A très court terme, la Commission européenne souhaite encore raccourcir le délai de publication de l'agrégat trimestriel européen. Anticipant ce nouveau défi, l'icn a décidé d'accélérer dès à présent son calendrier de publication. Une estimation "flash" de la croissance en volume du PIB sera diffusée 30 jours (au lieu de 60 actuellement) après la fin du trimestre de référence, tandis que des comptes plus complets seront publiés avec un délai de 70 jours (au lieu de 105) 1. Ce nouveau calendrier de l'icn entrera en vigueur dès le 28 avril prochain, avec la diffusion de l'estimation "flash" de la croissance économique du premier trimestre de Le Président du Conseil d'administration de l'institut des Comptes Nationaux Lambert Verjus Bruxelles, avril Une exception dans le calendrier sera introduite pour l'estimation "flash" du quatrième trimestre de chaque année. Dans la mesure où cette estimation détermine également la croissance annuelle, un délai supplémentaire sera utilisé, à l'image de ce qui se fait dans plusieurs autres pays européens. Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels

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5 TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS 3 CHAPITRE 1: SYNTHÈSE 1. Evolution générale de l'activité économique en Origine du produit intérieur: ventilation de la valeur ajoutée 8 3. Affectation du produit intérieur: principales catégories de dépenses 9 4. Revenu disponible, épargne et solde de financement 10 CHAPITRE 2: ESTIMATIONS DES AGRÉGATS ANNUELS 1. Origine du produit intérieur: valeur ajoutée brute par branche d'activité Estimations à prix courants Estimations aux prix de Affectation du produit intérieur: principales catégories de dépenses Estimations à prix courants Estimations aux prix de Répartition du produit intérieur: principales catégories de revenus, estimations à prix courants Revenu disponible, épargne et capacité ou besoin de financement Estimations à prix courants Revenu disponible réel: estimations aux prix de Statistiques du marché du travail 5.1 Répartition de la rémunération des salariés par branche d'activité Emploi national: nombre d'indépendants et de salariés Emploi intérieur: répartition de l'emploi par branche d'activité 17 ANNEXES Publications des comptes nationaux et régionaux de l'icn 1 Personnes de contact 3 Remarque générale 4 Abréviations et signes conventionnels 4 Info 5 Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels

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7 CHAPITRE 1: SYNTHÈSE 1. ÉVOLUTION GÉNÉRALE DE L'ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE EN 2003 Sur l'ensemble de l'année 2003, le produit intérieur brut (PIB) belge a progressé de 1,1 p.c. en termes réels, légèrement plus rapidement qu'en 2001 (0,6 p.c.) et 2002 (0,7 p.c.). Une aussi longue période de faible croissance n'avait plus été observée depuis le début des années quatre-vingt. L'économie belge a évolué à deux vitesses au cours de l'année 2003: après avoir stagné tout au long du premier semestre, l'activité a rebondi au cours des six derniers mois de l'année. Ce renforcement de l'activité au cours des deux derniers trimestres de 2003 s'est reflété dans l'évolution de la confiance des chefs d'entreprise, mesurée par l'indicateur synthétique global de conjoncture de la Banque nationale de Belgique. Après être tombé au printemps à son niveau le plus bas depuis sept ans, cet indicateur s'est redressé de façon importante et généralisée à partir du troisième trimestre, parallèlement au rebond de l'activité. PIB et évolution conjoncturelle Comptes trimestriels, pourcentage de variation du PIB à prix constants à un an d'écart, données corrigées des effets de calendrier (échelle de gauche) Courbe synthétique de conjoncture de la BNB, données lissées (échelle de droite) idem, données brutes corrigées des variations saisonnières (échelle de droite) Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels

8 2. ORIGINE DU PRODUIT INTÉRIEUR: VENTILATION DE LA VALEUR AJOUTÉE Le profil annuel de la croissance a, comme de coutume, été largement influencé par l'évolution de l'activité industrielle. En repli au cours des deux premiers trimestres, la valeur ajoutée de l'industrie a été un des moteurs de la reprise par la suite. Le rebond n'a toutefois pas été suffisant pour empêcher qu'un recul de l'activité industrielle ne soit enregistré sur l'ensemble de l'année (-0,6 p.c.), sous l'influence principale de la chimie et de la métallurgie au sens large. Avec un profil conjoncturel comparable, l'activité est restée en léthargie dans la construction (-0,1 p.c.), pour la troisième année consécutive. Après s'être tassée en 2002, c'est l'évolution de la valeur ajoutée dans les services qui a constitué le soutien unique de la croissance économique en 2003, avec une progression de 1,7 p.c. Ce renforcement est dû en grande partie à l'évolution de l'activité dans les services aux entreprises. Sans retrouver le dynamisme de la fin des années nonante, qui avait été alimenté par la préparation des entreprises et des administrations publiques au passage à l'an 2000 et à l'introduction de l'euro, la valeur ajoutée de cette branche d'activité a en effet progressé à un rythme nettement plus soutenu qu'en Particulièrement touchés en 2002 par une réduction importante du trafic et par la disparition de certaines compagnies importantes, les services de transport aérien ont, eux aussi, connu une relative embellie en La valeur ajoutée des sociétés d'assurance s'est également nettement redressée. TABLEAU 1: ORIGINE DU PRODUIT INTERIEUR Aux prix de 2000, pourcentages de variation par rapport à l année précédente Agriculture, sylviculture et pêche -0,3 2,9 3,4 5,1 1,0-11,2 12,1 3,2 Industrie 2,5 6,6 0,7 1,2 5,0 0,1 0,4-0,6 Construction -3,1 4,3-1,8 3,5 7,7 0,6-0,9-0,1 Services 0,7 2,3 2,4 2,9 2,5 1,5 0,1 1,7 Produit intérieur brut 1,2 3,5 2,0 3,2 3,8 0,6 0,7 1,1 8 Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels 2003

9 3. AFFECTATION DU PRODUIT INTÉRIEUR: PRINCIPALES CATÉGORIES DE DÉPENSES Modeste, la croissance économique observée en 2003 masque une reprise plus marquée de la demande, tant intérieure qu'extérieure. Dans la foulée du redressement de l'activité enregistré en cours d'année chez les principaux partenaires commerciaux de la Belgique, le volume des exportations de biens et services a augmenté à un rythme plus soutenu qu'au cours des deux années précédentes (2,3 p.c. en 2003, contre 1,3 p.c. en 2001 et 1,0 p.c. en 2002). nouveau recul enregistré au cours du second semestre de l'année semble indiquer que les entreprises étaient toujours dans l'attente d'une confirmation du caractère durable de la reprise de la demande pour relancer plus fermement leurs investissements. Après avoir réduit leurs stocks durant la première partie de l'année, les entreprises les ont reconstitués au cours du second semestre. Au total, la variation des stocks a contribué positivement à la croissance, à concurrence de 0,7 point de pourcentage. La consommation privée a également retrouvé son rôle de support de la croissance en Les dépenses de consommation finale des ménages ont en effet progressé de 1,7 p.c., après deux années de relative atonie. Les particuliers ont aussi revu leur comportement en matière d'investissements. Après avoir baissé en 2001 et 2002, la formation brute de capital fixe en logements s'est ainsi à nouveau affichée à la hausse en 2003 (1,4 p.c.). Des taux d'intérêt hypothécaires bas et des prix des biens immobiliers en hausse sur le marché secondaire ont sans doute exercé un effet favorable à cet égard. La formation brute de capital fixe des entreprises s'est également inscrite à la hausse en 2003 (1,9 p.c.). Succédant à une forte contraction en 2002, cette embellie a toutefois semblé précaire. Ainsi, dans un contexte financier favorable, tant au niveau de leurs résultats que des conditions de financement des investissements, le De leur côté, les administrations publiques ont augmenté leur dépenses de consommation finale, en termes réels, de 2,8 p.c. en Un accroissement relativement important des dépenses de soins de santé est principalement à l'origine de cette hausse. En revanche, les pouvoirs publics ont réduit nettement leurs investissements, de 6,2 p.c. Il s'agit de la seule composante de la demande finale qui s'inscrit en recul en Le volume des importations de biens et services a nettement augmenté en 2003 (4,0 p.c.), de manière plus marquée que celui des exportations. Le solde des exportations et des importations a dès lors apporté une contribution négative à la croissance (-1,4 point de pourcentage). TABLEAU 2: AFFECTATION DU PRODUIT INTERIEUR Aux prix de 2000, pourcentages de variation par rapport à l année précédente Dépenses finales de consommation privée 1,1 2,0 3,1 2,3 3,4 0,8 0,4 1,7 Dépenses finales des administrations publiques 2,5 0,2 1,0 3,6 2,7 2,7 1,9 2,8 Formation brute de capital fixe 0,9 7,1 3,3 4,4 4,4 0,3-2,5 1,2 Investissements des entreprises 5,6 6,5 4,8 2,2 6,0 2,2-3,2 1,9 Investissements en logements -8,3 10,5 0,1 5,7 1,0-0,6-1,7 1,4 Investissements publics -5,8 1,8-0,1 19,5 2,0-12,5 1,6-6,2 Variations des stocks (*) -0,5 0,1 0,2-0,5 0,3-0,6 0,7 0,7 Exportations de biens et services 3,0 5,9 6,0 5,1 8,4 1,3 1,0 2,3 Importations de biens et services 2,6 5,1 7,3 4,2 8,5 1,1 1,2 4,0 Exportations nettes de biens et services (*) 0,3 0,8-0,8 0,8 0,2 0,2-0,1-1,4 Produit intérieur brut 1,2 3,5 2,0 3,2 3,8 0,6 0,7 1,1 (* * ) Contribution à la variation du PIB Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels

10 4. REVENU DISPONIBLE, ÉPARGNE ET SOLDE DE FINANCEMENT Mesuré à prix courants (tableau 3), le revenu national brut (RNB) de l'économie belge (2,6 p.c.) s'est accru un peu moins rapidement que le PIB (2,9 p.c.) en Ce différentiel de croissance s'explique par la détérioration du solde des revenus primaires reçus de et versés à l'étranger, qui a contribué négativement à la croissance du RNB. Le revenu disponible net total est passé de 223,4 milliards d'euros en 2002 à 229,4 milliards en 2003, soit une augmentation d'un montant de 6,0 milliards d'euros. La croissance des dépenses de consommation finale, de l'ordre de 7,9 milliards d'euros, ayant été supérieure à celle du revenu disponible, l'épargne nette de l'économie belge s'est réduite d'un montant de 2,0 milliards d'euros en 2002, pour s'établir à 21,8 milliards. Si l'on prend en compte la consommation de capital fixe, l'épargne brute s'est élevée à 63,4 milliards d'euros, ce qui correspond à une diminution de 0,8 milliard d'euros par rapport à Dans son ensemble, la capacité de financement de l'économie belge s'est réduite de 2,6 milliards d'euros et a représenté 3,8 p.c. du PIB en Exprimé en termes réels (tableau 4), le revenu intérieur brut a progressé de 1,4 p.c. en L'augmentation est légèrement supérieure à celle du PIB à prix constants (1,1 p.c.). Cela s'explique par l'amélioration des termes de l'échange enregistrée par l'économie belge en Cet effet positif a cependant été partiellement compensé par l'affaiblissement du solde des revenus primaires reçus du reste du monde, de sorte que le RNB a, pour sa part, augmenté de 1,2 p.c. en termes réels. TABLEAU 3: REVENU DISPONIBLE, EPARGNE ET CAPACITE OU BESOIN DE FINANCEMENT A prix courants, milliards d'euros Produit intérieur brut 207,0 217,2 225,2 235,7 247,8 253,8 260,0 267,5 Solde des revenus primaires reçus du reste du monde 4,1 4,3 4,8 4,9 4,6 4,2 6,0 5,5 Revenu national brut 211,1 221,5 230,0 240,6 252,4 258,0 266,0 273,0 Consommation de capital fixe 30,8 32,2 33,8 35,6 37,7 39,2 40,3 41,6 Revenu national net 180,3 189,3 196,3 205,0 214,8 218,8 225,7 231,5 Solde des transferts courants avec le reste du monde -2,0-2,0-2,4-2,5-2,3-2,2-2,2-2,1 Revenu national net disponible 178,3 187,2 193,9 202,5 212,5 216,6 223,4 229,4 Consommation finale nationale 158,1 163,6 169,9 176,7 186,6 193,7 199,6 207,5 Epargne nationale nette 20,2 23,6 24,0 25,8 25,9 23,0 23,8 21,8 Formation intérieure brute de capital 40,5 44,0 45,8 48,8 53,6 52,0 51,0 53,2 Solde des opérations de capital avec le reste du monde -0,0 0,4-0,0 0,0-0,1-0,4-0,3 0,0 Capacité de financement de la Nation 10,5 12,2 12,0 12,7 9,7 9,8 12,8 10,2 TABLEAU 4: REVENU NATIONAL BRUT RÉEL Au prix de 2000, pourcentages de variation par rapport à l'année précédente Produit intérieur brut 1,2 3,5 2,0 3,2 3,8 0,6 0,7 1,1 Excédent ou déficit commercial résultant de la variation des termes de l'échange (*) -0,5-0,4 0,9-0,5-1,7 0,0 0,6 0,3 Revenu intérieur brut réel 0,6 3,0 2,9 2,7 2,0 0,6 1,4 1,4 Solde des revenus primaires reçus du reste du monde (*) -0,1 0,0 0,2-0,0-0,1-0,2 0,7-0,2 Revenu national brut réel 0,6 2,9 3,0 2,6 1,9 0,4 2,0 1,2 (*) Contribution à la variation du RNB 10 Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels 2003

11 CHAPITRE 2: ESTIMATIONS DES AGRÉGATS ANNUELS

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13 1 ORIGINE DU PRODUIT INTÉRIEUR: VALEUR AJOUTÉE BRUTE PAR BRANCHE D ACTIVITÉ 1.1 ESTIMATIONS À PRIX COURANTS (estimations aux prix de base, en millions d euros) Section Nace-Bel Agriculture, chasse, sylviculture et pêche A+B Industrie C+D+E Construction F Services Commerce, transports et communications G+H+I Activités financières, immobilières, de location et de services aux entreprises J+K Administration publique et éducation L+M Autres services N+O+P Autres composantes Produit intérieur brut aux prix du marché Impôts moins subventions sur les produits et les services d intermédiation financière indirectement mesurés (SIFIM). 1.2 ESTIMATIONS AUX PRIX DE 2000 (estimations aux prix de base, en millions d euros) Section Nace-Bel Agriculture, chasse, sylviculture et pêche A+B Industrie C+D+E Construction F Services Commerce, transports et communications G+H+I Activités financières, immobilières, de location et de services aux entreprises J+K Administration publique et éducation L+M Autres services N+O+P Autres composantes Produit intérieur brut aux prix du marché Impôts moins subventions sur les produits et les services d intermédiation financière indirectement mesurés (SIFIM). Comptes nationaux -- Partie 1 Estimations des agrégats annuels

14 2 AFFECTATION DU PRODUIT INTÉRIEUR: PRINCIPALES CATÉGORIES DE DÉPENSES 2.1 ESTIMATIONS À PRIX COURANTS (millions d euros) Dépenses de consommation finale privée Dépenses de consommation finale des administrations publiques Formation intérieure brute de capital Formation brute de capital fixe Formation brute de capital fixe des entreprises, indépendants et ISBL Formation brute de capital fixe en logements Formation brute de capital fixe des administrations publiques Variations des stocks Exportations nettes de biens et services (exportations - importations) Exportations totales Importations totales Produit intérieur brut aux prix du marché Dépenses de consommation finale des ménages et des institutions sans but lucratif (ISBL). 2 Travaux de rénovation, droits d enregistrement et frais d actes inclus. 2.2 ESTIMATIONS AUX PRIX DE 2000 (millions d euros) Dépenses de consommation finale privée Dépenses de consommation finale des administrations publiques Formation intérieure brute de capital Formation brute de capital fixe Formation brute de capital fixe des entreprises, indépendants et ISBL Formation brute de capital fixe en logements Formation brute de capital fixe des administrations publiques Variations des stocks Exportations nettes de biens et services (exportations - importations) Exportations totales Importations totales Produit intérieur brut aux prix du marché Dépenses de consommation finale des ménages et des institutions sans but lucratif (ISBL). 2 Travaux de rénovation, droits d enregistrement et frais d actes inclus. 14 Comptes nationaux -- Partie 1 Estimations des agrégats annuels 2003

15 3 RÉPARTITION DU PRODUIT INTÉRIEUR: PRINCIPALES CATÉGORIES DE REVENUS, ESTIMATIONS À PRIX COURANTS (millions d euros) Rémunération des salariés n.d. Salaires et traitements bruts n.d. Cotisations sociales n.d. Excédent brut d exploitation et revenu mixte brut n.d. Impôts nets à la production et à l importation n.d. Revenu intérieur brut aux prix du marché n.d. N.B.: L évolution de la masse salariale et, par conséquent, la décomposition du produit intérieur brut selon les revenus n ont pu être estimées pour l année 2003 suite à l absence des données de base produites par l Office national de la Sécurité sociale. 1 Y compris la consommation de capital fixe (amortissements). Comptes nationaux -- Partie 1 Estimations des agrégats annuels

16 4 REVENU DISPONIBLE, ÉPARGNE ET CAPACITÉ OU BESOIN DE FINANCEMENT 4.1 ESTIMATIONS À PRIX COURANTS (millions d euros) Revenu intérieur brut aux prix du marché Solde des revenus primaires du/vers le reste du monde Revenu national brut Consommation de capital fixe Revenu national net Solde des transferts courants en provenance du / vers le reste du monde Revenu national net disponible Consommation finale nationale Epargne nationale nette Formation brute de capital fixe Variations des stocks Solde des opérations de capital avec le reste du monde Capacité (+) ou besoin (-) de financement de la nation REVENU DISPONIBLE RÉEL: ESTIMATIONS AUX PRIX DE 2000 (millions d euros) Revenu intérieur brut aux prix du marché Excédent ou déficit commercial Revenu intérieur brut réel Solde des revenus primaires réels du/vers le reste du monde Revenu national brut réel Consommation de capital fixe Revenu national net réel Solde des transferts courants réels en provenance du / vers le reste du monde Revenu national net disponible Le produit intérieur brut à prix constants mesure l ensemble de la valeur ajoutée produite par l économie en termes de volume. Le revenu réel des résidents dépend de ce volume de production, mais également du cours auquel les exportations peuvent être échangées contre des importations du reste du monde. Ainsi, si les termes de l échange s améliorent, moins d exportations sont nécessaires à l achat d un volume d importations donné: cet excédent commercial permet d accroître le revenu intérieur réel par rapport à la mesure qui en est donnée par le produit intérieur brut à prix constants. L excédent - ou, éventuellement, le déficit - commercial est en fait égal au solde courant des exportations et des importations déflaté par un indice de prix et diminué de la différence entre la valeur déflatée des exportations et la valeur déflatée des importations. 16 Comptes nationaux -- Partie 1 Estimations des agrégats annuels 2003

17 5 STATISTIQUES DU MARCHÉ DU TRAVAIL 5.1 RÉPARTITION DE LA RÉMUNÉRATION DES SALARIÉS PAR BRANCHE D ACTIVITÉ (concept intérieur, millions d euros) Section Nace-Bel Agriculture, chasse, sylviculture et pêche A+B n.d. Industrie C+D+E n.d. Construction F n.d. Services n.d. Commerce, transports et communications G+H+I n.d. Activités financières, immobilières, de location et de services aux entreprises J+K n.d. Administration publique et éducation L+M n.d. Autres services N+O+P n.d. Rémunération totale des salariés n.d. N.B.: L évolution de la masse salariale n a pu être estimée pour l année 2003 suite à l absence des données de base produites par l Office national de la Sécurité sociale. 5.2 EMPLOI NATIONAL: NOMBRE D INDÉPENDANTS ET DE SALARIÉS (milliers de personnes) Emploi Indépendants n.d. Salariés n.d. Total Emploi n.d. N.B.: L évolution de l emploi n a pu être estimée pour l année 2003 suite à l absence des données de base produites par l Office national de la Sécurité sociale. 5.3 EMPLOI INTÉRIEUR: RÉPARTITION DE L EMPLOI PAR BRANCHE D ACTIVITÉ (milliers de personnes) Section Nace-Bel Agriculture, chasse, sylviculture et pêche A+B n.d. Industrie C+D+E n.d. Construction F n.d. Services n.d. Commerce, transports et communications G+H+I n.d. Activités financières, immobilières, de location et de services aux entreprises J+K n.d. Administration publique et éducation L+M n.d. Autres services N+O+P n.d. Emploi intérieur total n.d. N.B.: L évolution de l emploi n a pu être estimée pour l année 2003 suite à l absence des données de base produites par l Office national de la Sécurité sociale. Comptes nationaux -- Partie 1 Estimations des agrégats annuels

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19 ANNEXES PUBLICATIONS DES COMPTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE L'ICN L'Institut des comptes nationaux publie, outre les principaux agrégats, d'autres chiffres tirés des comptes nationaux et régionaux. La grande majorité des données sont diffusées en version papier mais elles sont toutes disponibles en format pdf via l'hyperlien: Les données chiffrées peuvent être obtenues via la banque de données interactive Belgostat online. Vous trouverez ci-dessous une brève description de chaque publication. 1. COMPTES NATIONAUX DÉTAILLÉS Les comptes trimestriels, qui sont totalement cohérents avec les comptes nationaux annuels, estiment les principaux agrégats selon à la fois l'optique dépenses, l'optique revenus et l'optique production. Ils incluent également les principaux soldes des comptes des secteurs pour l'économie totale. L'emploi et la rémunération des salariés par branche d'activité sont également estimés. Pour répondre à la demande de publier aussi rapidement que possible des chiffres se rapportant au dernier trimestre écoulé, une première estimation flash de la croissance du PIB est déjà publiée après 60 jours. Elle n'est toutefois pas ventilée en fonction des différentes composantes du PIB. La publication des comptes nationaux détaillés paraît dans le courant du mois d'octobre. Elle comprend des tableaux détaillés présentant la composition et la répartition du produit intérieur, les comptes de production et de revenus ainsi que l'emploi et les investissements par branche d'activité, les dépenses de consommation des ménages par produit, les comptes sectoriels, les dépenses, par fonction et par opération, des administrations publiques et les données concernant le stock de capital. 3. COMPTES DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES Les comptes annuels des administrations publiques font l objet de deux estimations par an, dont les résultats sont diffusés sur le site Internet de la Banque Nationale de Belgique. A la fin du mois de mars suivant l année de référence, une première estimation est diffusée sous la forme de tableaux de recettes et dépenses des administrations publiques. 2. COMPTES TRIMESTRIELS ET PREMIÈRE ESTI- MATION DES AGRÉGATS ANNUELS Les comptes trimestriels présentent les premières estimations des principaux agrégats des comptes nationaux. Ils paraissent quatre fois par an, 105 jours après la fin du trimestre auquel ils se rapportent. Parallèlement aux résultats du quatrième trimestre paraît la première estimation des agrégats annuels, qui est basée essentiellement sur les comptes trimestriels. La seconde estimation, diffusée électroniquement au mois de juin, présente les comptes complets du secteur des administrations publiques ainsi que ses sous-secteurs. Cette version présente la plupart des données nécessaires à l étude des finances publiques et de leurs relations avec le reste de l économie. Ces comptes sont intégrés dans la publication des comptes nationaux détaillés. Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels

20 4. TABLEAUX RESSOURCES-EMPLOIS 6. SÉRIES HISTORIQUES Chaque année, les tableaux ressources-emplois sont publiés en février. Ces derniers reflètent la structure des coûts de production, du revenu qui est généré dans le processus de production et des flux de biens et de services qui résultent soit de la production intérieure, soit des importations et des exportations. 5. COMPTES RÉGIONAUX: AGRÉGATS PAR BRAN- CHE D'ACTIVITÉ ET COMPTE DES MÉNAGES Chaque année, les comptes régionaux sont publiés en février. Ils ventilent par région, province et arrondissement plusieurs variables des comptes nationaux, avec lesquelles ils sont totalement cohérents. Outre la rémunération des salariés et la valeur ajoutée régionales, la publication présente des données régionalisées relatives au nombre de personnes occupées et à la formation brute de capital fixe. La publication présente également des chiffres régionaux relatifs au compte du secteur des ménages. Il s'agit ici des principales variables du compte d'affectation des revenus primaires (entre autres rémunération des salariés, revenus de la propriété et revenu primaire) et du compte de distribution secondaire du revenu (impôts, cotisations et prestations sociales et revenu disponible). La publication des séries historiques des comptes nationaux suivant le SEC 1995 a eu lieu en octobre Ces séries historiques, qui couvrent la période , comprennent : - la composition du produit national brut selon les trois approches des comptes nationaux à prix courants et aux prix de 1995; - la valeur ajoutée par branche d'activité (31 branches) à prix courants et aux prix de 1995; - la rémunération des salariés par branche d'activité (31 branches) à prix courants; - la dépense de consommation finale des ménages par produit (16 produits) à prix courants et aux prix de 1995; - les comptes des secteurs. Toutefois, à l'exception du compte des administrations publiques, qui a été établi à partir de l'année 1970 selon le SEC 1995, les comptes de secteurs n'ont été rétropolés que jusqu'en En effet, les principales sources d'information concernant les entreprises financières et non financières ne sont disponibles, pour la plupart, qu'à partir de cette année. Par ailleurs, le compte des sociétés financières n'a pas été rétropolé par sous-secteur. 2 Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels 2003

21 Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels PERSONNES DE CONTACT domaine nom téléphone fax méthodologie Eric Cabooter eric.cabooter@nbb.be comptes des secteurs Béatrice Thiry beatrice.thiry@nbb.be séries historiques, comptes des secteurs Béatrice Thiry beatrice.thiry@nbb.be tableaux par branche d'activité et actifs fixes Tim Hermans tim.hermans@nbb.be séries historiques, tableaux par branche d'activité Alex Hermans alex.hermans@nbb.be comptes des administrations publiques Claude Modart claude.modart@nbb.be comptes trimestriels, estimation flash Pierre Crevits pierre.crevits@nbb.be comptes régionaux, agrégats par branche d'activité Monica Maeseele monica.maeseele@nbb.be comptes régionaux, compte des ménages Erwin Debisschop erwin.debisschop@nbb.be tableaux ressources-emplois Tim Hermans tim.hermans@nbb.be emploi Pierre Crevits pierre.crevits@nbb.be

22 REMARQUE GÉNÉRALE Les totaux peuvent différer des sommes des rubriques en raison des arrondis. ABRÉVIATIONS ET SIGNES CONVENTIONNELS p Résultats provisoires - La donnée n'existe pas ou n'a pas de sens n.d. Non disponible n.d.a. Non dénommé(s) ailleurs 0 Néant ou inférieur à la moitié de la dernière unité retenue 4 Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels 2003

23 INFO PAPIER F N E Le numéro L'abonnement Fréquence Statistique générale Bulletin statistique 26,00 94,00 4/an Bulletin statistique - Actualisation mensuelle - 52,00 8/an Indicateurs économiques gratuit 12/an Communiqué de presse - enquêtes sur la conjoncture gratuit 12/an Commerce extérieur Bulletin mensuel - 7,25 81,75 13/an Bulletin trimestriel - 26,00 81,75 5/an Comptes nationaux Agrégats trimestriels - 6,00 19,75 4/jaar Compte satellite des institutions sans but lucratif - 19,75-1/jaar Comptes régionaux - 19,75-1/jaar Partie 1 - Estimations des agrégats annuels - 12,25-1/jaar Partie 2 - Comptes détaillés et tableaux - 19,75-1/jaar Offre globale pour les comptes nationaux ,00 8/jaar Disponible à l'adresse SITE INTERNET Consultez notre site Internet à l'adresse suivante : ADRESSAGE AUTOMATIQUE Inscription sur la liste d'adressage automatique des publications statistiques en format PDF Disponible à l'adresse: IDENTIFICATION Nom: Institution et n de TVA: Adresse: Tél. ou fax: Adresse Fax BNB: 02/ statisticalpaper@nbb.be Comptes nationaux - Partie 1 Estimation des agrégats annuels

24 Commandes Commandes et renseignements sur les abonnements et réductions : Banque nationale de Belgique, service Documentation Publications, boulevard de Berlaimont 14, 1000 Bruxelles. Tél Fax documentation@bnbb.be Pour plus d informations Les personnes qui désirent plus d informations sur le contenu, la méthodologie, les méthodes de calcul et les sources peuvent se mettre en rapport avec le service Statistiques financières et économiques de la Banque nationale de Belgique. Tél Fax nationalaccounts@nbb.be Éditeur responsable Jean-Jaques Vanhaelen Chef du département Statistique générale Banque nationale de Belgique boulevard de Berlaimont 14 BE Bruxelles Illustrations : fotostockdirect goodshoot atlantech imagin gettyimages photodisc Banque nationale de Belgique Mise en page : Statistique générale BNB Couverture : Multimédia BNB Publié en avril 2004

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