Par Nabil AIT TALEB 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Par Nabil AIT TALEB 1"

Transcription

1 Proposition d un design de recherche «structurationniste» autour des modalités d appropriation d un ERP : Une étude de cas dans le secteur de la pétrochimie Par Nabil AIT TALEB 1 Résumé : l objet de cette contribution est de proposer un design de recherche «structurationniste» autour des modalités d appropriation d un ERP à partir d une étude de cas d une grande entreprise dans le secteur de la pétrochimie. Six ans après l implémentation de cet ERP, l usage de cet outil par les salariés pose problème. L usage de ce type d outil de gestion est à haut risque (Besson, Rowe, 2011). Après avoir rappelé dans un premier temps le contexte d émergence des ERP et les difficultés liées à leur implémentation, nous présentons dans un deuxième temps, le cadre théorique «structurationniste» (Orlikowski, De Vaujany et alii) que nous avons suivi. Cette problématique de recherche nous amène à poser comme hypothèse qu il est possible de poser la question des obstacles à l appropriation de cet outil de gestion comme relevant des facteurs structurels contraignants au sens de Giddens. Enfin, dans un troisième temps, nous présentons le terrain et la méthode mixte retenue. En conclusion nous dégageons quelques pistes managériales attendues de cette recherche. Mots clés : L approche structurationniste, outil de gestion, problèmes liés à l utilisation d un ERP (Enterprise Resource Planning), facteurs structurels, méthodes mixtes. Abstract : the aim of this contribution is to propose a research design based on the structurational approach about a subject of user s appropriation ERP in petrochemical company. The ERP poses still many problems six years after its implementation. The use of this kind of management tool is considered as for high alea (Besson, Rowe, 2011). On the one hand, we remind ERP emergence context and difficulties to implement them. We show, on the second hand the structurational theoretical framework (Orlikowski, De Vaujany et alii). This problematical research states as hypothesis the possibility to pose an obstacle to the user s appropriation relating to structural constraining factors that refer to the work of Giddens. Finally, we present our empirical ground and methodology built on a combined method. To conclude, we offer some managerial issues from this research. Keywords : Structurational approach, management tool, ERP (Enterprise Resource Planning), problems related to the use of an ERP, Structural factors, combined method. 1 Nabil Ait-Taleb, CRCGM-EA 3849, ATER à l Ecole Universitaire de Management, Clermont-Ferrand, Nabil.Ait_Taleb@udamail.fr 1

2 Introduction La recherche de transversalité qui met en avant la qualité du service par l échange et la coordination entre l ensemble des processus de l entreprise était à l origine de l apparition de nouvelles formes organisationnelles de type horizontal, réseau, au sens de Aoki, passant d une logique de flux poussés par la production à une logique de flux tirés par la demande (Lièvre, 2012). Dans ce contexte en profonde mutation, un ensemble d outils de gestion apparait dans les entreprises tels que le Juste à Temps, la Qualité Totale mais aussi l ERP (Enterprise Resource Planning). Par outil de gestion, nous entendons à la suite de Moisdon (1997) «tout schéma de raisonnement reliant de façon formelle un certain nombre de variables issues de l organisation et destinées à instruire les différents actes de la gestion». L ERP est un outil de gestion qui réunit l ensemble des données de l entreprise sur une même feuille de calcul et met en relation toutes les fonctions de l entreprise (comptabilité, ressources humaines, production et logistique Etc.). Selon Denis Segrestin (2004, p : 3), il s agit des «systèmes de planification générale des ressources» développés et vendus aux entreprises par des sociétés de service (au premier rang desquelles figurent quelques majors internationaux : SAP, Oracle, People Soft, Baan ). La propriété centrale des ERP est de prétendre à la réunion de toutes les données de l entreprise sur une base unique, par le biais d une architecture modulaire qui couvre chaque fonction de la comptabilité aux fichiers clients, des ressources humaines à la gestion des stocks, en passant par la production, les achats, les nomenclatures de produits, etc. Cependant, le choix du déploiement ou d installation d un ERP par une entreprise représente un défi organisationnel qui doit être soigneusement préparé. Comme le précise Deltour (2012, p : 5) «une entreprise doit être préparée pour intégrer une application ERP dans son fonctionnement quotidien (Sammon et Adam, 2011)». La complexité et la longueur qui caractérisent le déploiement d un ERP au sein des organisations donnent lieu à des résultats généralement mitigés. Dans ce sens, un ensemble de travaux indique que la mise en place d un ERP reste un projet considéré comme à haut risque (Deixonne, 2011 ; Besson & Rowe 2011 ; Deltour, 2012), de par sa taille, son coût, ses fortes implications potentielles. Besson et Rowe (2011, p : 13) relatent que : «dans le champ des systèmes d information le premier passage à des -systèmes d entreprise- couvrant plusieurs fonctions comme les ERP ou plusieurs organisations comme les systèmes de gestion de la chaine logistique peuvent être considérés comme des systèmes à haut risque d échec (soit de 50 % à 60 % d échec). Toutefois, il est important de rappeler qu un ERP, supposé offrir certains avantages (intégration, flexibilité, multifonctionnels Etc.), pose toujours des problèmes dans son fonctionnement. Certains chercheurs justifient cela en rapportant que les ERP sont plutôt mal utilisés 2

3 dans les organisations (Saint-Léger, 2011). Partant de là, et dans le contexte des discours portant sur les problèmes que posent les ERP aux entreprises, nous avons décidé de porter un regard plus approfondi sur les difficultés que rencontrent les entreprises dans la phase de post projet (plusieurs années après la mise en place d un ERP). Pour répondre à notre objectif de recherche, nous avons essayé dans un premier lieu de dresser un état de lieux de la littérature, qui nous a permis de formuler notre problématique de recherche. Nous présentons ensuite notre méthodologie de recherche. Dans un dernier lieu, nous exposons les résultats issus de notre investigation empirique. 1. Cadres théoriques utilisés Notre positionnement théorique s inscrit dans le courant structurationniste (Giddens, 1987 ; Orlikowski, 2000, 2011; De Vaujany, 2001, 2003, 2009). Comme le précise De Vaujany, l approche structurationniste en systèmes d information est née au milieu des années 80 : «Elle part d une idée assez simple. Ce ne sont pas les outils informatiques qui sont ou non innovants, mais plutôt la façon dont les utilisateurs-finaux se les approprient. C est à ces innovations sociales à l usage, à leur forme et conditions d émergence que s intéressent les structurationnistes» (De Vaujany, 2001). L idée de Giddens est d appréhender tout système social comme un mouvement dans lequel les actions individuelles, à la fois, structurent les systèmes sociaux mais sont aussi structurées par eux. La structuration sociale est une boucle circulaire entre le système social et l action ayant des propriétés auto-organisatrices qui se développent dans le temps et dans l espace, et se recréent à chaque fois. C est la dualité du structurel. Selon les mots de Giddens lui-même, la notion de dualité structurelle exprime l idée selon laquelle «les propriétés structurelles des systèmes sociaux sont à la fois des conditions et des résultats des activités accomplies par les agents qui font partie de ces systèmes» (Giddens, 1987, p : 15). Mais le structurel est toujours à la fois contraignant et habilitant. Le structurel correspond à des règles et des ressources que les acteurs utilisent dans la production de la vie sociale. Ces règles et ressources peuvent avoir un statut habilitant à l action humaine, mais aussi elles peuvent être contraignantes. C est ainsi que des chercheurs comme Orlikowski (1992, p : 403) positionne délibérément la technologie au sein des propriétés structurelles des organisations, aussi bien dans sa composante d artefact que sociale. Elle ajoute une dimension artefactuelle au registre du structurel chez Giddens 2. Ainsi, la technologie possède des propriétés structurelles 2 Orlikowski (1992, p : 403) définit la technologie selon sa portée (Scope) comme, à la fois, un objet matériel (Hardware) et social (Social technologies). 3

4 habilitantes et contraignantes des organisations. A partir de là, il nous semble possible d appréhender l appropriation d une technologie par des acteurs au sein d une organisation comme un processus spatio-temporel influencée par un ensemble de facteurs (les connaissances antérieures, les représentations, la communication, la formation, la documentation, le contexte organisationnel) que nous positionnons dans les registres du structurel (signification, domination, légitimation) proposés par Giddens (1987). Ainsi, nous allons mobiliser le concept de la dualité structurelle de Giddens que nous relions par celui de la dualité «acteur-technologie» d Orlikowski (1992). Nous allons appliquer cette approche structurationniste au cas des ERP dans leur phase d appropriation pour diagnostiquer les problèmes d usages. Dans ce qui suit nous expliquons les éléments constitutifs du modèle théorique de la dualité structurelle chez Giddens (1987) Les six registres de la dualité structurelle chez Giddens (1987) Giddens (1987) nous propose le schéma suivant pour comprendre l ensemble des relations régissant les actions humaines et le structurel dans la production et la reproduction des propriétés structurelles (règles et ressources). Le structurel Signification Domination Légitimation (Modalité) Schème Facilitateur Norme interprétatif Interaction Communication Pouvoir Sanction Schéma 1 : Les six registres de la dualité structurelle (Giddens, 1987, p : 78) Le premier niveau du schéma est nommé «le structurel». Selon Giddens (1987), les actions humaines produisent et reproduisent le structurel (règles et ressources) ou les propriétés structurelles (les plus institutionnalisées) au travers trois dimensions qui sont la signification, la domination, la légitimation : La signification suppose un ensemble de signes permettant de comprendre une réalité ou un phénomène social «la signification suppose des signes qu il ne faut pas assimiler à des symboles» (Giddens 1987, p : 82). En effet, pour rendre une réalité 4

5 intelligible par un groupe d acteurs, ceci implique la mobilisation des codes auxquels renvoient les signes. Ainsi, il faut être capable de se rendre compte des relations entre ces codes en se basant sur un stock de connaissances ou un schème interprétatif, afin de pouvoir organiser les pratiques sociales dans un cadre interactif. Comme le précise Orlikowski, en faisant référence aux propos de Giddens «l interaction humaine implique la constitution et la communication de la signification. Ceci est réalisé par des schèmes interprétatifs ou un stock de connaissances que façonnent les humains dans leur interaction continue avec le monde, qui forme la base de connaissances mutuelles par laquelle un univers responsable de signification est soutenu par un processus d interaction» (Giddens 1979, p : 83) citée par Orlikowski (1992, p : 404). La domination fait référence au pouvoir de contrôle exercé par des acteurs sur deux types de ressources, à savoir, des ressources d allocation (objets matériels) et des ressources d autorité (contrôle des acteurs) «la domination dépend de la mobilisation de deux types de ressources. Les ressources d allocation font référence aux capacités ou plus précisément aux formes de capacité transformatrice- qui permettent de contrôler des objets, des biens ou, plus globalement, des phénomènes matériels. Les ressources d autorité font référence aux formes de capacité transformatrice qui permettent de contrôler des personnes ou des acteurs Giddens (1987, p : 82)». Pour Giddens, 1987, la domination et le pouvoir sont attachés à toute action humaine. La légitimation renvoie à un ordre moral employé dans un contexte donné, reposant sur des normes de conduite qui prennent généralement la forme d une convention collective ou d un code «un ordre légitime régi par des normes qui détermine ou programme les conduites sociales» Giddens (1987, p : 80). Ces normes constitueront, par la suite, une base solide de référence pour entreprendre des procédures de sanction infligées aux individus, lorsque celles-ci ne sont pas respectées. En effet, le respect de ces normes peut garantir la progression de la conduite sociale une fois elles sont honorées. Le deuxième niveau du schéma est nommé «modalité», qui signifie que la production et la reproduction du structurel est conduite par une modalité qui permet de mettre en relation deux niveaux de la société, à savoir le système social et l individu «dans la reproduction des systèmes d interaction, les acteurs utilisent les modalités de structuration et, du même coup, reconstituent les propriétés structurelles de ces systèmes, Giddens (1987, p : 78)». Cette modalité apparait sous forme de schème interprétatif, de facilitateur et de norme : Les schèmes d interprétation sont des «modes de représentation et de classification qui sont inhérents aux réservoirs de connaissances des acteurs et que ceux-ci utilisent de 5

6 façon réflexive dans leurs communications, Giddens (1987, p : 78)». Les acteurs possèdent des connaissances leur permettant de se rendre compte de leurs actions, mais aussi d en donner raison à ces actions. Ces schèmes d interprétation sont partagés au travers la communication des significations et sont provoqués dans l interaction entre les acteurs. Les facilitateurs renvoient à toutes ressources (d allocation ou de d autorité) permettant aux acteurs de transformer les propriétés structurelles dans l action. Ainsi, ces facilitateurs sont conçus comme des moyens permettant d exercer le pouvoir, comme le relate Giddens (1987, p : 78) «le concept de ressource est fondamental pour la conceptualisation du pouvoir». Au moment de l interaction entre des acteurs, la mobilisation du pouvoir implique la mise en place de facilitateurs afin de générer une transformation des propriétés structurelles. Les normes renvoient aux règles qui créent un ordre de légitimité dans l interaction. Donc, connaitre une norme permet de se rendre compte des droits et des obligations qui responsabilisent les acteurs «être responsable des activités d une personne signifie pouvoir en expliquer les raisons et faire connaitre les fondements normatifs qui permettent de les justifier. Les composants normatifs de l interaction se focalisent toujours sur les relations entre les droits et les obligations attendus de ceux et celles qui participent à un ensemble de contextes d interaction, Giddens (1987, p : 79)». Si les normes ne sont pas respectées, des sanctions interviennent pour permettre de rétablir l ordre général et renforcer, au même temps, les propriétés structurelles. Le troisième niveau du schéma est nommé «interaction». Selon Giddens (1987) la production et la reproduction du structurel n est apparente qu à partir d un système d interaction qui engage un ensemble d acteurs. L interaction se manifeste au travers la communication, le pouvoir et la sanction. En effet, ces interactions sociales entre des acteurs qui mobilisent la communication, pouvoir et norme entrainent une actualisation des propriétés structurelles dans le cadre d un processus de structuration avant que ces dernières deviennent institutionnalisés (c est-à-dire stables) dans le système social. Enfin, ces trois niveaux de la dualité structurelle chez Giddens (1987) permettent d agencer le structurel (règles et ressources) en définissant des registres (signification, domination, légitimation). Ceux-ci, sont actualisés (reproduites) par le biais de modalités (schème interprétatif, facilitateur, norme) dans le cadre d une interaction sociale (communication, pouvoir, sanction). Dans ce qui suit nous présentons notre problématique de recherche à l image des éléments théoriques de l approche structurationniste ainsi que notre hypothèse de travail. 6

7 2. Problématique de la recherche et hypothèse de travail L approche pratique avec le travail théorique de Giddens n est pas toujours évidente 3. Toutefois, la mobilisation de ce genre de travaux nous impose de proposer une définition de la théorie de la structuration en fonction de l utilisation que nous voulons en faire. Ainsi, notre travail aborde le sujet de l appropriation d un outil de gestion de type ERP au sein d une grande entreprise pétrochimique. Nous allons mobiliser le concept de dualité structurelle chez Giddens (1987) repris par Orlikowski (1992) sous le vocable de dualité de la technologie qui propose de comprendre la constitution mutuelle entre l acteur et la technologie. Précisément, nous nous intéressons au caractère contraignant et habilitant de la technologie relaté par Orlikowski (1996, p : 69) comme en témoigne ses propos (cités par Groleau et Mayère, 2007, p : 146) en proposant : «d examiner la technologie ni comme une entité matérielle, ni comme une construction sociale mais plutôt comme un ensemble de contraintes et d habiletés mises en œuvre dans l action par l appropriation de ses caractéristiques». Cette réflexion sur le caractère contraignant et habilitant de la technologie constitue pour nous une piste de recherche que nous comptons exploiter pour se rendre compte des obstacles que rencontrent une entreprise ayant adopté un ERP et éprouve toujours des difficultés liées à son utilisation. En vertu des éléments théoriques présentés ci-dessus, nous proposons une hypothèse de travail que nous articulons comme suit : les pratiques des utilisateurs sur une technologie (ERP) sont influencées par des facteurs structurels qui renvoient aux registres structurels interdépendants chez Giddens (1987). La technologie comme un objet sociotechnique chez Orlikowski (1992) possède un double caractère contraignant et habilitant à la pratique sociale. A partir de là, nous disons que les facteurs structurels sont contraignants aux pratiques des utilisateurs et sont, en effet, à l origine des problèmes d appropriation de l ERP. Enfin, dans ce qui suit, nous expliquons notre méthodologie de recherche. 3. Méthodologie 3.1. Une méthode mixte Une étude de cas sur un ERP est utilisée pour ancrer notre réflexion dans une réalité de terrain qui se justifie par la focalisation de celle-ci sur la compréhension d un processus dans son contexte. Selon Yin (2009), l analyse processuelle est indispensable pour interpréter des cas qui s'inscrivent dans la durée, qui évoluent, qui intègrent des mutations à des échelles diverses. A partir de là, nous développons une méthode mixte 3 Pour plus de précisions, je propose au lecteur d aller regarder le travail critique à l approche structurationniste réalisé par Leclercq-Vendelannoitte paru dans la revue SIM en

8 de recherche combinant à la fois une dimension qualitative et quantitative dont la dimension qualitative est dominante. Ce type de méthodologie est reconnu nécessaire par Weick (1979) lorsque le phénomène étudié se manifeste par sa complexité. Nous sommes confrontés ici à l intelligibilité d un phénomène complexe à savoir le processus d appropriation d un ERP dans une grande entreprise multinationale. En effet, un ensemble de problèmes émergent dans l exploitation de l ERP dans sa phase de post projet avancé (plusieurs années après son déploiement). Dans une logique d investigation longitudinale, nous étions présents à l entreprise pendant une période de 6 mois étalée sur 2 années consécutives. Dans un premier temps, nous avons réalisé une enquête exploratoire (questionnaire avec des questions ouvertes) et nous avons obtenu 108 réponses. Ensuite, nous avons réalisé des entretiens semi-directifs avec deux (2) Key-users (Utilisateurs Clés ayant participé à l implémentation de l ERP), cinq (5) informaticiens et six (6) utilisateurs finaux. Les données collectées ont fait l objet d une analyse de contenu thématique. Ainsi, dans le cadre de cette analyse de contenu thématique nous avons passé par trois niveaux de codage (premier niveau, codage thématique et double codage) pour faire émerger nos résultats. Enfin, nous rappelons que cette méthode mixte prend la forme d un design exploratoire au sens de Creswell et Clark (2006) Contexte de l étude Notre investigation empirique est menée au sein d une entreprise multinationale de forage possédant un potentiel de plus de 5000 salariés et une quarantaine d appareils de forage dont trois installés à l étranger. Elle réalise pour le compte des entreprises locales et étrangères, des opérations de forage et d entretien (Work-over) de puits d hydrocarbures à des fins de reconnaissance et d exploitation de pétrole et de gaz. Cette entreprise exploite le système ERP (SAP) depuis Les modules implantés sont : ressources humaines, finance, contrôle de gestion, production, logistique, plan de maintenance, vente et distribution. Six ans après l implémentation de l ERP (SAP) au sein de cette entreprise, la Direction des Technologies de Communication et de l Information (DTCI : une structure qui gère le système informatique de l entreprise) relate de nombreux problèmes liés à son utilisation. A titre de rappel, le projet d implémentation a été mené en «Big-Bang» c est-à-dire avec un mode de déploiement en une seule étape et non pas de manière progressive. Cet implémentation s est faite avec des consultants externes qui avaient pour rôles, les missions suivantes : l analyse des besoins, la rédaction d un document de conception générale, la formation, l assistance au démarrage. Enfin, une fois la mise en marche de cet outil est devenue effective, une bonne partie de Key-users ont décidé de quitter 8

9 l entreprise. Par conséquent, un ensemble de difficultés liées à l utilisation de l ERP ont apparu Choix de l échantillon et outils d investigation Le choix de population s est effectué à partir de nos propres observations issues du terrain mais aussi à partir des avis de la DTCI sur les postes occupés et les modules implémentés éprouvants des problèmes. En premier lieu, nous avons fait passer un questionnaire (questions ouvertes) sur un échantillon large de salariés utilisant l ERP (Key user ; end user ; informaticien) avec un nombre de retour de réponses de 108/120 (90%) au sujet des difficultés rencontrées par ceux-ci dans l utilisation de l ERP. En deuxième lieu, nous avons réalisé des entretiens semi-directifs avec un échantillon de treize personnes d une durée de cinquantaine de minutes en moyenne. Notre grille d entretien était centrée sur les facteurs qui influencent l appropriation de l ERP. Cependant, un premier constat sur la question du vécu de l implémentation de l ERP nous a révélé que le passage de l ancien outil de gestion (AS400) au nouvel outil (SAP) n a pas été facile puisque le déploiement a pris plus de temps que celui prévu initialement par l équipe du projet SAP (6 mois au lieu de 4 mois). A partir des éléments du contexte, nous disons que le caractère dégradé de la situation d appropriation de l ERP peut être analysé comme relevant d un modèle archétypique du changement sociotechnique qualifié par DeVaujany (2003, p : 118, 119) comme «perturbé» : «l archétype perturbé correspond à l émergence de conflits de natures diverses au sein de l organisation Les usages ont alors un rôle déstructurant par rapport aux routines organisationnelles. Dans certains cas, la mise en œuvre de la technologie peut aboutir à l interruption des processus à l œuvre dans certaines régions. Un PGI implanté dans une entreprise commerciale peut ainsi amener la suspension du processus de saisie et de traitement des commandes. Des vendeurs peuvent en effet juger que le nouvel outil renforce le contrôle central». Les travaux de DeVaujany (2001, 2003, 2006) constituent un apport pertinent pour réfléchir à des pistes de management de l appropriation. Ainsi, nous proposons d identifier les problèmes que rencontrent une entreprise dans l exploitation d un ERP en les positionnant comme étant des contraintes structurelles que nous appréhendons ici en tant que problèmes techniques et sociales. 9

10 4. Premiers résultats 4.1. Explication des insuffisances techniques et sociales qui renvoient aux propriétés contraignantes de la technologie : Nous précisons que le codage du premier niveau nous a permis de dégager un ensemble de thèmes principaux que nous avons rattaché aux deux dimensions de l artefact technologique chez Orlikowski (1992). Ici, les résultats issus de l enquête sont présentés sous forme d un tableau qui synthétise les propos tenus par les personnes interrogées. Pour mieux comprendre les éléments constitutifs de ce tableau, nous avons préférés de mobiliser le mot «insuffisance» plutôt que «problème». Ce choix d appellation «insuffisance» est motivé par deux raisons principales : Premièrement, lorsque nous évoquons le terme «problème» ceci laisse penser que nous nous intéressons dans notre étude à la phase de mise en place qui correspond à l implémentation de l ERP au sein de l entreprise. Par contre, lorsque nous parlons d «insuffisance» ceci renvoie à l étude centrée sur la phase d usage qui correspond mieux à notre objet de recherche centré sur l appropriation d un ERP. Deuxièmement, lorsque nous parlons de problèmes, ceci correspond à une connotation négative qui signifie que l ERP est en arrêt de fonctionnement. Alors qu en réalité, l ERP ne marche pas correctement et les utilisateurs éprouvent plutôt des carences et des défaillances liées à son utilisation, et non, des problèmes qui correspondent à un blocage dans son fonctionnement. Donc, nous disons que les insuffisances techniques apparaissent comme des insuffisances «technico sociales» et les insuffisances sociales comme des insuffisances «sociotechniques». Nous sommes bien dans ce couplage usage/artefact de la technologie au sens d Orlikowski (1992). Nous pouvons les distinguer, mais il faut toujours les articuler sans nier le fait que, dans la réalité il se peut qu un élément de ce couplage usage/artefact prime sur l autre. Le tableau (1) suivant récapitule les insuffisances technico sociales issues du codage thématique : Les insuffisances technico sociale issues du codage de premier niveau et du codage thématique Le décalage entre le document de conception et la réalisation du projet (l opération de passage de l ancien système informatique à l ERP n a pas été menée correctement) 10 Exemples issus de verbatim «Lors de l installation et de la mise en marche de SAP, l organisation au sein de chaque direction et structure n a pas été prise en considération, et à ce jour on ne sait pas qui fait quoi et que cette insuffisance est jugée majeure»

11 Le manque de performance de l ERP en termes de réalisation des objectifs Le problème de reporting (remonter des informations fiables à la hiérarchie) Une mauvaise gestion du processus de développement et de paramétrage ERP Défaut de gestion des droits d accès (des autorisations pour effectuer des opérations sous ERP) L inadéquation du processus métiers de l entreprise avec la structure informatique de l ERP Des difficultés d exploitation des fonctionnalités disponibles sur l ERP (l exploitation n est pas optimale) «L encombrement des documents SAP non utiles (par exemple : les bons de commandes en double) dans la base de données influence négativement la performance du système» «Le contenu des documents opératoires, comme le bon de commande, doit être revu» «Il existe des problèmes de paramétrage pour l ensemble des modules, un certain nombre de besoins exprimés par les utilisateurs n ont pas été pris en considération dans le système SAP» «Il y a des règles de gestion choisies qui n étaient pas bien étudiées, surtout du côté des autorisations (qui fait quoi?)» «Il faut instaurer une discipline stricte en vue de freiner les tentatives de gestion du processus métiers en dehors du système ERP» «Des fonctionnalités importantes de SAP ne sont pas exploitées comme il se doit telles que : la gestion de la formation professionnelles, évolutions de carrières, gestion de recrutement, réapprovisionnement automatique (MRP), ces fonctionnalités peuvent donner une valeur ajoutée à la gestion dans l entreprise» «Les entrées de marchandises au niveau Défaillance dans les données saisies des magasins (PR) sont effectuées avec sur l ERP par les utilisateurs (données le prix d achat et non le coût d achat non fiables) (les frais d approches ne sont pas pris en charge par le système SAP)» Tableau 1 : Les insuffisances technico sociales liées à l utilisation de l ERP Notons ici, qu à l issu du premier codage, nous avons considéré les insuffisances techniques comme relatives à l aspect instrumental lié aux différentes caractéristiques techniques propres et adaptées aux activités productives de l organisation (par 11

12 exemple : le paramétrage et le développement spécifiques au processus organisationnel). Comme le précise Gilbert et Leclair (2004, p : 18) «Les problèmes rencontrés sont sans doute pour partie imputables aux faiblesses de l outil, Lemaire (2003). Mais au-delà de la dimension technologique, dont les éditeurs ne cessent de nous rappeler que le meilleur est à venir, ne faut-il pas mettre plutôt en avant la faiblesse du modèle organisationnel qu ils véhiculent». Ainsi, nous entendons par le vocable «technique» l ensemble des caractéristiques techniques intrinsèques à l ERP nécessaires pour le fonctionnement de celui-ci. Aussi, nous avons considéré les insuffisances sociales comme relatives à l aspect social d usage lié aux différentes tâches de travail, à l ensemble des techniques et connaissances engagées dans le processus de production de l organisation. Dans ce sens, Gilbert et Leclair (2004, p : 22) précisent la nécessité d une certaine maitrise des aspects sociaux dans la mise en œuvre de cette technologie «mais la complexité des solutions renforce la nécessité de maitriser les processus de gestion eux-mêmes, et pas uniquement les échanges de données informatisées. D où l importance prise par la définition des principaux processus transverses à l entreprise vers ses fournisseurs et ses clients, et finalement sur l ensemble de la chaine logistique». Ainsi, nous entendons par le vocable «social» l ensemble des caractéristiques sociales (connaissances des taches générales, connaissances métiers, connaissances techniques) nécessaires dans la compréhension de la gestion transversale que propose l ERP. Enfin, nous précisons que cette distinction entre les insuffisances techniques et sociales nous a paru difficile dans sa conception et plus précisément la place accordée à chaque type d insuffisance (colonne 1 du tableau 1) dans l une de ces deux catégories. Car à chaque moment, il pourrait qu un type d insuffisance identifié (après le codage) soit considéré comme faisant partie d une catégorie d insuffisance (technique ou sociale) comme de l autre et cela confirme le lien étroit qui caractérise le couple usage/artefact dans la conception de la technologie. En effet, nous avons regroupé l ensemble des insuffisances sous le nom «d insuffisances technico sociales» sans pour autant les distinguer Identification des facteurs structurels qui relèvent des registres de la dualité structurelle de Giddens (1987) : Nous avons constaté à partir des extraits issus des entretiens semi-directifs dans le tableau (2) que les interviewés ont déclaré un ensemble de facteurs qui influencent l appropriation de l ERP. Nous disons que ces facteurs d influence trouvent leur place dans les registres de la dualité structurelle chez Giddens (schéma 1). Tout d abord, les 12

13 connaissances antérieures et les représentations revoient au registre de «signification» qui sous-entend des schèmes d interprétation que possèdent les utilisateurs ainsi qu au sens donné par ces derniers à l outil pouvant faciliter ou bloquer leur appropriation de l ERP. A propos du contexte organisationnel, ceci renvoie au registre de «légitimation» qui exprime des normes et des sanctions mises en place dans l organisation afin de respecter les règles pouvant autoriser ou restreindre le champ de manipulation de l outil et du coup soutenir ou entraver l appropriation de l ERP. Enfin, la formation, la documentation et la communication renvoient au registre de «domination» qui fait référence aux facilitateurs mis à la disposition des utilisateurs sous forme de ressources sensés faciliter l appropriation et parfois la contraindre en cas où ces facilitateurs (formation et autres) ne sont pas bien installés. Ainsi, il reste à signaler que le facteur de représentation que nous avons introduit dans notre grille de lecture est issu de l analyse d une question ouverte posée à la population cible à propos de leur vécu de l installation de l ERP au sein de cette entreprise. En l occurrence, nous avons constaté un double discours en analysant les propos de cette population. En effet, les managers ainsi que les Key-users défendent et croient à la réussite de l ERP. Selon eux, on assiste à une croissance de l activité de l entreprise depuis la mise en place de l ERP. Par contre, les utilisateurs déplorent cette confirmation en indiquant les biens faits de l ancien outil informatique (AS 400) par rapport à l ERP (SAP). Enfin, le tableau (2) suivant permet de positionner les facteurs d influence dans les registres de la dualité structurelle chez Giddens (1987) : Les facteurs structurels cités par les usagers positionnés par rapport aux trois registres du structurel (signification, domination, légitimation) Les connaissances antérieures (Signification : schèmes d interprétation) Propos des usagers de l ERP issus des entretiens semi-directifs L extrait de l entretien : «la réalisation des taches de travail sur SAP se base sur un ensemble de ressources qui sont complémentaires, je parle des expériences, mes anciennes méthodes Etc» L extrait de l entretien : «... je travaillais avant en finance et non en consolidation on se base sur nos expériences pour travailler sur le SAP, si un nouveau sortant de l université vient travailler directement à l entreprise il trouvera certainement des difficultés avec le système SAP» 13

14 Les représentations (signification) La formation (domination : facilitateur) Le contexte organisationnel (renvoie à la fois à la domination et à la légitimation) La communication (signification : communication) L extrait de l entretien : «personnellement, j ai travaillé avec les deux systèmes parfois, je me dis que ce système n est pas conçu pour nous ou si ce n est pas nous qui sont à l origine de sa faible exploitation, on ne sait pas bien l utiliser comme il faut c est nous qui sont défaillants» L extrait de l entretien : «nous avons assisté à de divers logiciels de gestion non intégrés, tandis que le SAP est complètement intégré et ne peut pas être vu en termes de méthodes de travail comme les anciens logiciels de gestion, ce sont deux méthodes de travail différentes» L extrait de l entretien : «il ne faut pas oublier que le SAP est vraiment vague, donc ma maitrise de cet outil peut se réduire en 40 % par exemple, et c est la formation qui vient renforcer ce taux et l augmente à 50 % et ainsi de suite» L extrait de l entretien : «ces formations m ont permis d apprendre pas mal de choses au niveau de l utilisation de SAP et améliorer les défauts qu on a eu auparavant» L extrait de l entretien : «il y a un problème de gestion de l entreprise mal organisé, pas de coordination entre le centre de formation et la DTCI» L extrait de l entretien : «il y a des restrictions qui viennent de la part de la DTCI, c est dû à un truc d organisation» L extrait de l entretien : «on demande souvent des informations auprès des Key-user en leur communiquant le problème rencontré» L extrait de l entretien : «je demande des informations à mes collègues ou aux consultants sinon, je diffuse mon problème sous le maket place» 14

15 La documentation et (domination : facilitateur) L extrait de l entretien : «les consultants intégrateurs ont laissé toute une documentation sur le paramétrage de SAP, c était vraiment très important et riche comme une base de données» L extrait de l entretien : «je pense que le manuel d utilisation contient toutes les données concernant la création de compte, de vérification et modification, d affichage et de création des banques et je le mobilise jusqu à présent» Tableau 2 : Les facteurs d influence positionnés par rapport aux trois registres du structurel de Giddens (1987) Conclusion L idée centrale que nous voulons développer ici s intéresse au caractère contraignant des structures (règles et ressources) en termes de technologie et comment le rendre habilitant pour des acteurs qui utilisent un ERP. En effet, l étude de cas dans sa phase exploratoire, nous a révélé l existence d un ensemble de problèmes que nous appréhendons comme des contraintes que peuvent causer le structurel aux utilisateurs notamment à partir de ce que nous avons nommé «des insuffisances techniques et sociales». Ensuite, nous avons posé un ensemble de facteurs structurels (les connaissances antérieures, les représentations, la communication, la formation, la documentation, le contexte organisationnel) comme des éléments qui influencent l appropriation d un ERP, qui sont indispensables dans la compréhension de l origine des problèmes liés à la mise en œuvre d un ERP. Toutefois, ces facteurs ne sont pas génériques mais plutôt spécifiques au cas traité. Ainsi, nous avons posé ces facteurs comme faisant partie des trois registres du structurel de Giddens (signification, domination, légitimation). En guise de conclusion, nous considérons l identification de ces facteurs d influence comme une piste managériale que nous mettons à la disposition de la DTCI. Nous avons pu délimiter les zones d intervention pour la DTCI pour qu elle arrive à améliorer l appropriation des usagers d un ERP et pallier les problèmes que rencontre l entreprise dans la mise en œuvre de cet outil technologique. 15

16 Bibliographie Ait Taleb N ; Lièvre P (2014), «Les facteurs structurels favorisant l appropriation d un ERP : le cas de SAP dans une industrie pétrochimique» à paraitre dans un numéro spécial de la revue Management et Avenir. Besson P; Rowe F. (2011), «Perspectives sur le phénomène de la transformation organisationnelle» Revue SIM, Vol 16, N 1. Creswell J.W; Plano Clarck V.L; Grutmann M; Hanson W. (2006), «Designig and Conducting Mixed Methods Research». 1er éd. Sage Publication, Inc. Deltour F et al (2012), «A la recherche de l efficience opérationnelle? Les priorités stratégiques des PME et leur politique d adoption d ERP». Acte du colloque de l AIM à Bordeaux.. DeVaujany F-X. (2001), «Gérer l innovation sociale à l usage des technologies de l information : une contribution structurationniste», thèse de doctorat en sciences de gestion, Université Jean Moulin, Lyon 3. DeVaujany F-X. (2003), «Les figures de gestion du changement sociotechnique», Sociologie du travail, vol 45, p DeVaujany F-X. (2006), «Pour une théorie de l appropriation des outils de gestion : vers un dépassement de l opposition conception-usage», Revue management & avenir N 9, p 118. DeVaujany F-X. (2009), «Les grandes approches théoriques du système d information». Hermès sciences. El Amrani R. (2004), «Formation, documentation et helpdesk, un triptyque stratégique dans la conduite du changement d un projet ERP, Cas Air France», Actes du 9 ème colloque AIM, Evry, Paris. El Amrani R et al. (2006), «Effets de la stratégie de déploiement des PGI sur la vision transversale de l entreprise», Revue française de gestion, p 267 à 285. Feldman M-S; Orlikowski W-J. (2011), «Theorizing Practice and Practicing Theory», Organization Science. Published online before print February 23, Giddens A. (1987), «La constitution de la société», PUF, Presse Universitaires de France. Gilbert P ; Leclair P. (2004), «Les systèmes de gestion intégrée. Une modernité en trompe l œil?», in le mythe de l organisation intégrée ; les progiciels de gestion, Science de la société, n 61, Presses universitaires du Mirail, Toulouse. 16

17 Groleau C; Mayère A. (2007), «L articulation technologies-organisations : des pistes pour une approche communicationnelle», Presses universitaires de bordeaux, p Leclercq-Vandelannoitte Aurélie (2010), «Un regard critique sur l approche structurationniste en SI : Une comparaison avec l approche foucaldienne» Systèmes d Information et Management, Vol. 15, No 1. Lièvre Pascal ; Couratel Fabien (2012), «Sciences de Gestion et Ergonomie : pour un dialogue dans le cadre d une économie de la connaissance». A paraître in Economie et Société, Economie de l entreprise, sous la direction de PY. Gomez. Moisdon J-C. (1997), «Du mode d'existence des outils de gestion. Les instruments de gestion à l épreuve de l organisation», Editions Seli Arslan, Paris. Orlikowski W.J. (1992), «The duality of technology: rethinking the concept of technology in organizations». Organization science, 3 (3) (1992), pp Orlikowski W.J. (2000), «Using technology in constituting structures», Organisation Science, vol 11, n 4, p Saint-Léger Guy, (2011), «Intégration des usages en phase post-projet avancée : Le risque de glissement de fonction». 14th AIM Conférence, Marrakech. Weick K.E. (1979), «The social Psychology of Organizing». 2 éd. McGraw-Hill Humanities/Social Sciences/Languages. Segrestin D et al. (2004), «Le mythe de l organisation intégrée, le progiciel de gestion intégré», Sciences de la société, Presse Universitaire du Mirail. Yin K-Y. (2009), «Case Study Research» SAGE Publications Inc. Volume 5. 17

Revisiter la notion d appropriation : Pour une application au cas des ERP

Revisiter la notion d appropriation : Pour une application au cas des ERP Résumé Cet article propose une application de la notion d appropriation au cas des projets ERP. Une approche pluridisciplinaire de cette notion a permis de mettre en évidence les différents sens qu elle

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Les déterminants de la performance des projets ERP dans les grandes entreprises

Les déterminants de la performance des projets ERP dans les grandes entreprises Les déterminants de la performance des projets ERP dans les grandes entreprises Hanène JOMAA, EGSH, ENST Paris Chargée de programme, CIGREF hanene.jomaa@cigref.fr Résumé : A partir d une lecture critique

Plus en détail

Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches

Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Régis Meissonier Maître de Conférences École Polytechnique Université Montpellier II regis.meissonier@univ-montp2.fr Cas introductif

Plus en détail

Business & High Technology

Business & High Technology UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT SUPERIEUR D ADMINISTRATION DES ENTREPRISES DE GAFSA Département : Informatique Business & High Technology Chapitre 6 : PGI : Progiciels de Gestion Intégrés ERP : Enterprise

Plus en détail

Partie I Le Management des Systèmes d Information : un défi pour les PME

Partie I Le Management des Systèmes d Information : un défi pour les PME Partie I Le Management des Systèmes d Information : un défi pour les PME Les PME n ont généralement pas de Direction SI ou de service informatique. Chaque fonction est donc responsable de ses propres matériels

Plus en détail

1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992.

1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992. Introduction 1 I n t r o d u c t i o n Créer des usines, des entreprises, des organisations, des méthodes, des produits, des services nouveaux suppose d avoir des équipes motivées, obéissant à un calendrier

Plus en détail

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit

Plus en détail

Les projets d investissement en PME

Les projets d investissement en PME Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser

Plus en détail

Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse

Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction

Plus en détail

Introduction : du management au e-management.

Introduction : du management au e-management. Introduction : du management au e-management. Henri Isaac, Université Paris dauphine, Observatoire du e-management Dauphine-Cegos. L émergence du terme e-management a suscité de nombreuses interrogations

Plus en détail

Système d information des ressources humaines SIRH Réseau Social Interne. Catherine Voynnet Fourboul

Système d information des ressources humaines SIRH Réseau Social Interne. Catherine Voynnet Fourboul Système d information des ressources humaines SIRH Réseau Social Interne Catherine Voynnet Fourboul 1 Bibliographie TANNENBAUM, S. (1990). Human Resources Information Systems: User Group Implications.

Plus en détail

Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises

Josée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises LES PME manufacturières sont-elles prêtes pour l ERP? Éditorial InfoPME est publié par le Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises (LaRePE) Institut de recherche sur les PME Université

Plus en détail

Master Audiovisuel, communication et arts du spectacle

Master Audiovisuel, communication et arts du spectacle Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Audiovisuel, communication et arts du spectacle Université Toulouse II - Jean Jaurès - UT2J Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes

Plus en détail

ISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité

ISO/CEI 19770-1. Technologies de l information Gestion des actifs logiciels. Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 19770-1 Deuxième édition 2012-06-15 Technologies de l information Gestion des actifs logiciels Partie 1: Procédés et évaluation progressive de la conformité Information technology

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION

INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION INTERVENIR SUR LE TRAVAIL D ENCADREMENT ET L ORGANISATION Résumé CHRISTELLE CASSE Abilis ergonomie, 40 rue de la montagne Ste Geneviève, 75 005 Paris, France e-mail : ccasse@ergonome.com SYLVAIN BIQUAND,

Plus en détail

Product Life-Cycle Management

Product Life-Cycle Management Offre de prestations en Product Life-Cycle Management Contact : Pascal MORENTON CentraleSupélec 1, campus de Chatenay-Malabry 06 13 71 18 51 pascal.morenton@centralesupelec.fr http://plm.ecp.fr Nos formations

Plus en détail

Nom de l application

Nom de l application Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique

Plus en détail

Habilitation à Diriger les Recherches

Habilitation à Diriger les Recherches FACULTE JEAN MONNET Habilitation à Diriger les Recherches présentée et soutenue publiquement le 28 juin 2011 Résumé des travaux de recherche Hajer Kéfi Jury : Professeur Ahmed Bounfour Université Paris-Sud

Plus en détail

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

PRÉSENTATION GÉNÉRALE PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»

Plus en détail

Les progiciels de gestion intégrés (PGI ou ERP)

Les progiciels de gestion intégrés (PGI ou ERP) Le point sur Les progiciels de gestion intégrés (PGI ou ERP) Depuis le début des années 90 s est développé un nouveau type de logiciel de gestion : le PGI, ou Progiciel de Gestion Intégré, plus connu sous

Plus en détail

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise

Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise

Plus en détail

Business & High Technology

Business & High Technology UNIVERSITE DE TUNIS INSTITUT SUPERIEUR DE GESTION DE TUNIS Département : Informatique Business & High Technology Chapitre 3 : Progiciels de Gestion Intégrés Sommaire Définition... 2 ERP... 2 Objectifs

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification

Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation

Plus en détail

ERP - PGI. Enterprise Resource Planning Progiciel de Gestion Intégré

ERP - PGI. Enterprise Resource Planning Progiciel de Gestion Intégré ERP - PGI Enterprise Resource Planning Progiciel de Gestion Intégré 1 Acronymes ERP : Enterprise Resource Planning PGI : Progiciel de Gestion Intégré MRP : Manufacturing Resource Planning GPAO : Gestion

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES

MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES UNIVERSITE DE BOURGOGNE MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Discipline : Sciences de Gestion Matière : Finance Candidate : Aurélie SANNAJUST Fonction : Maître de Conférences à l Université

Plus en détail

Université Paris-Dauphine

Université Paris-Dauphine Université Paris-Dauphine MBA Management Risques et Contrôle Responsabilité et management des performances L Université Paris-Dauphine est un établissement public d enseignement supérieur et de recherche,

Plus en détail

Convergence Grand public professionnelle

Convergence Grand public professionnelle Note de synthèse Convergence Grand public professionnelle Cette note synthétise les réflexions d une des tables rondes des entretiens Télécom de Mars 2006, organisés par Finaki. A cette table étaient à

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours

Plus en détail

Présentation du Progiciel de Gestion Intégré

Présentation du Progiciel de Gestion Intégré Présentation du Progiciel de Gestion Intégré Formation STMG 2012 Introduction Définition d un PGI Place du PGI en STMG Exemple de PGI : Premier contact avec une courte démonstration basée sur EBP Openline

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation L O U I S E P O T V I N, P h D C H A I R E D E R E C H E R C H E D U C A N A D A A P P R O C H E S C O M M U N A U T A I R

Plus en détail

Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Nabeul. Université de Carthage. Master de Recherche Finance des Entreprises et des Marchés

Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Nabeul. Université de Carthage. Master de Recherche Finance des Entreprises et des Marchés Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Nabeul Université de Carthage Master de Recherche Finance des Entreprises et des Marchés Le mot du responsable Le master de recherche «Finance des Entreprises

Plus en détail

MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS

MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS Frédéric Crépin MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS, 2004. ISBN : 2-7081-3140-0 5 Chapitre 1 idées reçues sur les managers et le management au quotidien Idée reçue n 1 : managers et salariés doivent avoir les

Plus en détail

Application dans la formation des professionnels de l expertise comptable au Québec. Janie Bérubé, Annie Brisson et Patricia Michaud

Application dans la formation des professionnels de l expertise comptable au Québec. Janie Bérubé, Annie Brisson et Patricia Michaud Une démarche d'accompagnement pour une autoévaluation réflexive Application dans la formation des professionnels de l expertise comptable au Québec Janie Bérubé, Annie Brisson et Patricia Michaud Université

Plus en détail

sentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl

sentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl Du rôle des signaux faibles sur la reconfiguration des processus de la chaîne de valeur de l organisation : l exemple d une centrale d achats de la grande distribution française Thèse présent sentée e

Plus en détail

LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION

LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION Trois constats généraux sont encore prépondérants dans bon nombre d organisations actuelles : Un fonctionnement avec une planification a priori et des constats a posteriori.

Plus en détail

BEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS

BEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS ANNEXE I a RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES I. APPELLATION DU DIPLÔME BEP métiers des services administratifs RÉFÉRENTIEL

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

PRESENTATION DE OpenERP/Odoo. Progiciel de Gestion Intégré Open Source

PRESENTATION DE OpenERP/Odoo. Progiciel de Gestion Intégré Open Source PRESENTATION DE OpenERP/Odoo Progiciel de Gestion Intégré Open Source Qui-sommes nous? - Conseil en management - Conseil et intégration de technologies associées au Management (Business Apps & Décisionnel)

Plus en détail

Assises Métallerie 2013. ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion?

Assises Métallerie 2013. ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion? Assises Métallerie 2013 ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion? ERP dans une PME de métallerie ERP dans une PME de métallerie OBJECTIF DE LA PRESENTATION DEFINITION

Plus en détail

L information et la technologie de l information ERP, EAS, PGI : une nécessité? H. Isaac, 2003

L information et la technologie de l information ERP, EAS, PGI : une nécessité? H. Isaac, 2003 L information et la technologie de l information ERP, EAS, PGI : une nécessité? Le Le progiciel progiciel de de gestion gestion intégré gré PGI, PGI, ERP. ERP. 1 2 3 Définition Définition et et rôle rôle

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

Cisco Unified Computing Migration and Transition Service (Migration et transition)

Cisco Unified Computing Migration and Transition Service (Migration et transition) Cisco Unified Computing Migration and Transition Service (Migration et transition) Le service Cisco Unified Computing Migration and Transition Service (Migration et transition) vous aide à migrer vos applications

Plus en détail

Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines?

Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines? DOSSIER SOLUTION Package CA Clarity PPM On Demand Essentials for 50 Users Comment mettre en oeuvre une gestion de portefeuille de projets efficace et rentable en 4 semaines? agility made possible CA Technologies

Plus en détail

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu

Plus en détail

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises.

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Mai 2009 Préface Les PME ont aujourd hui accès aux technologies déjà déployées dans les grandes entreprises. En

Plus en détail

CONSULTANT(E) SAP ERP

CONSULTANT(E) SAP ERP Formation conventionnée par le Conseil Régional Midi-Pyrénées CONSULTANT(E) SAP ERP De novembre 2013 à juillet 2014* Modalités pratiques Durée : 450 h (12 semaines) en présentiel + 560 h (16 semaines)

Plus en détail

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching?

Parcours de formation. Coach. Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Parcours de formation Coach Et si vous pouviez accompagner vos clients ou vos collaborateurs par le coaching? Dans un monde qui va de plus en plus vite Nous entendons parler chaque jour de stress, de mal-être

Plus en détail

Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets

Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets Alignement stratégique du SI et gestion de portefeuille de projets Le CIGREF, dans son livre blanc de 2002, précise que «l alignement stratégique de l organisation sur le métier est le fait de mettre en

Plus en détail

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»

Plus en détail

JEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1

JEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 JEAN-LUC VIRUÉGA Traçabilité Outils, méthodes et pratiques, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 2 à l assurance qualité Après la définition de la traçabilité dans la métrologie, on peut remarquer que le domaine

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R

Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R Yves Aragon, David Haziza & Anne Ruiz-Gazen GREMAQ, UMR CNRS 5604, Université des Sciences

Plus en détail

La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.

La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client

Plus en détail

Norme comptable relative au contrôle interne et l organisation comptable dans les établissements bancaires NC22

Norme comptable relative au contrôle interne et l organisation comptable dans les établissements bancaires NC22 Norme comptable relative au contrôle interne et l organisation comptable dans les établissements bancaires NC22 OBJECTIF 01. La Norme Comptable NC 01 - Norme Comptable Générale définit les règles relatives

Plus en détail

Sage 100. La solution de gestion innovante pour les PME à l avenir prometteur

Sage 100. La solution de gestion innovante pour les PME à l avenir prometteur Sage 100 La solution de gestion innovante pour les PME à l avenir prometteur Sage 100, la solution innovante pour les PME à l avenir prometteur Une PME a des besoins de gestion spécifiques, parfois sophistiqués,

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)

Plus en détail

Analyse,, Conception des Systèmes Informatiques

Analyse,, Conception des Systèmes Informatiques Analyse,, Conception des Systèmes Informatiques Méthode Analyse Conception Introduction à UML Génie logiciel Définition «Ensemble de méthodes, techniques et outils pour la production et la maintenance

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

La gestion globale des contenus d entreprise

La gestion globale des contenus d entreprise Gonzague Chastenet de Géry La gestion globale des contenus d entreprise Le projet ECM, une nouvelle approche de la gestion de l information é d i t i o n s Les Editions de l ADBS publient des ouvrages

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

www.btsag.com 70 Projet (méthodologie et dossier)

www.btsag.com 70 Projet (méthodologie et dossier) www.btsag.com 70 Projet (méthodologie et dossier) Claude Terrier btsag.com 1 / 10 09/12/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation:

Plus en détail

son offre Executive Education

son offre Executive Education Destinée aux cadres supérieurs, dirigeants d entreprises et entrepreneurs menée en partenariat avec CentraleSupélecParis Lancée en Octobre 2015 Casablanca, le 2 juin 2015 L Ecole Centrale Casablanca annonce

Plus en détail

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR

FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR FD/YMC N 1-5961 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Yves-Marie Cann POUR Enquête sur la responsabilité sociale du scientifique Résultats détaillés Février 2007 Annexes La publication des données qui fondent

Plus en détail

Comment réussir la mise en place d un ERP?

Comment réussir la mise en place d un ERP? 46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on

Plus en détail

Comment réussir son projet de Master Data Management?

Comment réussir son projet de Master Data Management? Comment réussir son projet MDM? Table des matières Comment réussir son projet de Master Data Management?...... 2 Un marché en croissance..... 2 Les démarches qui réussissent... 2 A quels projets métiers

Plus en détail

Nous désirons tout mettre en œuvre pour découvrir le travail d enseignant et surtout, améliorer nos

Nous désirons tout mettre en œuvre pour découvrir le travail d enseignant et surtout, améliorer nos L A P P R E N T I S S A G E E N P R O F O N D E U R Présenté par : Michael Lafontaine, CGA, M. Fisc. Bruce Lagrange, CA, M. Sc. Patricia Michaud, CA, MBA Francis Belzile, CA, M. Fisc. Janie Bérubé, CA,

Plus en détail

De la production collaborative à la capitalisation des connaissances Le rôle des documentalistes

De la production collaborative à la capitalisation des connaissances Le rôle des documentalistes De la production collaborative à la capitalisation des connaissances Le rôle des documentalistes Le 13 mars 2008 Introduction 2 Le développement de la pratique collaborative dans les entreprises et les

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Cursus Sage ERP X3 Outils & Développement. Le parcours pédagogique Sage ERP X3 Outils et Développement

Cursus Sage ERP X3 Outils & Développement. Le parcours pédagogique Sage ERP X3 Outils et Développement Cursus Outils & Développement Vous êtes Consultant, Chef de Projets, Directeur des Systèmes d Information, Directeur Administratif et Financier, Optez pour les «formations Produits» Nous vous proposons

Plus en détail

Cet article présente non pas une recette, mais un LE RÔLE DE LA CONDUITE DU CHANGEMENT DANS LE SUCCÈS D UN «ERP» À AIR FRANCE L ÉPREUVE DES FAITS

Cet article présente non pas une recette, mais un LE RÔLE DE LA CONDUITE DU CHANGEMENT DANS LE SUCCÈS D UN «ERP» À AIR FRANCE L ÉPREUVE DES FAITS 067-081 EL AMRANI 9/11/07 14:26 Page 67 LE RÔLE DE LA CONDUITE DU CHANGEMENT DANS LE SUCCÈS D UN «ERP» À AIR FRANCE Une grande entreprise dont on dit qu elle réussit là où d autres échouent, voilà qui

Plus en détail

Le SI et ses utilisa-tueurs Perspectives sur la stratégie IT des organisations à l heure du Cloud Computing

Le SI et ses utilisa-tueurs Perspectives sur la stratégie IT des organisations à l heure du Cloud Computing Le SI et ses utilisa-tueurs Perspectives sur la stratégie IT des organisations à l heure du Cloud Computing Sébastien Tran ISC Paris Emmanuel Bertin Orange Labs Telecom SudParis introduction évolution

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES

MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES Libellé de l UE (Unité d enseignement) et de l EC (Elément constitutif) SEMESTRE 1 S1 : UE OBLIGATOIRES Management public et stratégie

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications

Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications (Juillet 1989) La vitesse de l innovation technologique liée aux ordinateurs et aux télécommunications, ces dernières années, et l intégration

Plus en détail

La Supply Chain. vers un seul objectif... la productivité. Guy ELIEN

La Supply Chain. vers un seul objectif... la productivité. Guy ELIEN La Supply Chain vers un seul objectif... la productivité Guy ELIEN juin 2007 Sommaire Le contexte... 3 le concept de «chaîne de valeur»... 3 Le concept de la Supply Chain... 5 Conclusion... 7 2 La Supply

Plus en détail

La publication, au second

La publication, au second Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)

Plus en détail

LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année

LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année CONTENU DES ENSEIGNEMENTS ET MODALITES D EVALUATION Semestre 1 : 30 crédits 9 EC obligatoires 1 EC optionnelle à choisir parmi 2

Plus en détail

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé

Plus en détail

Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment?

Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Mon enseignement, je l évalue, il évolue Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Lucie Mottier Lopez Université de Genève 13 mai 2013 IFRES, Liège lucie.mottier@unige.ch 1 Plan Un cadre pour penser

Plus en détail

Les activités numériques

Les activités numériques Les activités numériques Activités de l entreprise et activités numériques de l entreprise convergent de plus en plus au sein de la chaîne de valeur, c est-à-dire la manière avec laquelle une entreprise

Plus en détail

Le projet collaboratif 2.0

Le projet collaboratif 2.0 Florence Gicquel et Aref Jdey En collaboration avec Alpha Diallo Le projet collaboratif 2.0 Pour mobiliser la Documentation au service de l entreprise é d i t i o n s Les Editions de l ADBS publient des

Plus en détail

Master international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation

Master international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation

Plus en détail