L'analyse fondamentale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L'analyse fondamentale"

Transcription

1 L'analyse fondamentale Le but est d'évaluer au plus juste la valeur du titre d'une société en utilisant des informations pertinentes. Pour cela on utilise trois types d'analyse. Il ne faut pas la voir comme une science mais comme un croisement de nombreuses disciplines. L évaluation d une société ne passe pas uniquement par l analyse comptable, mais aussi une analyse stratégique visant à déterminer par exemple le positionnement de la société étudiée par rapport à ses concurrents ou à son secteur d activité. Une analyse macro-économique s avère également nécessaire pour comprendre l environnement au sein duquel opère l entreprise. I : L'analyse financière L'analyse financière fait appel a diverses méthodes. Une qui est très utilisée est l'analyse financière par la méthode des ratios. Elle permet, grâces aux chiffres du bilan et du compte de résultat de faire ressortir les éléments principaux des comptes d'une entreprise. Nous allons nous intéresser plus particulièrement à cette analyse car elle devient indispensable pour évaluer rapidement une entreprise. Un ratio est un rapport entre deux chiffres significatifs. Le résultat donné permet de comparer une entreprise à une autre dans un même secteur d'activité. Analyse de l'activité : On établie ces ratios pour cerner l'activité de l'entreprise et son évolution. Ces ratios apportent des informations concernant la prise de décision, de gestion, ou à la prise de décision stratégique. Évolution du chiffre d'affaire : ((CAn - CAn-1)x100) / (CAn-1) Taux de marge commercial : (marge commerciale x 100) / Ventes de marchandises Taux de marge brute : (marge brut x 100) / production de l'exercice Taux de valeur ajoutée : (Valeur ajoutée x 100) / Chiffre d'affaire Analyse de la rentabilité : On établie ces ratios pour repérer le niveau de formation du résultat. Analyse de la liquidité : Rentabilité de l'exploitation (résultat d'exploitation x 100) / chiffre d'affaire Poids du financement (résultat financier x 100) / chiffre d'affaire Rentabilité courante (résultat courant x 100) / chiffre d'affaire Rentabilité de l'exercice (résultat exercice x 100) / chiffre d'affaire Il faut tout d'abord se munir des chiffres du fonds de roulement et des besoins en fonds de roulement. I. Délais de rotation des stocks (en jours) : Stocks de marchandises : (stock moyen de marchandises x 360) / coût d'achat des marchandises vendues Les stocks de matières premières : (Stocks moyens des matières premières x 360) / coût d'achat des matières premières utilisées Les produits finis : (Stocks moyens de produits finis x 360) / Production vendue de biens 1

2 II. Délais moyens de règlement (en jours) : Rotation des créances clients : ((comptes clients rattachés + effets escomptés non échus - avances et acomptes reçus) x360) / Ventes TTC Rotation des dettes fournisseurs : ((comptes fournisseurs et rattachés - avances et acomptes versés) x 360) / Achats TTC II : L'analyse boursière L'analyse boursière s'appuie sur un élément principal pour l'actionnaire : l'action. Cette analyse permet à l'investisseur de compléter son analyse financière et donner des hypothèses quant à la santé de l'entreprise et à celle du cours de l'action. Nous allons vous proposer une analyse en 5 points La capitalisation boursière : Elle représente la valeur boursière globale de la société : Capitalisation boursière = Nombre d'actions total de l'entreprise x cours de l'action Il varie tous les jours car le cours de l'action change lui aussi de jour en jour. C'est un indicateur très intéressant en ce qui concerne la valeur étudiée. Les sociétés qui possèdent une forte capitalisation boursière ont tendance à ne pas subir d'envolée des cours sur du court terme. Les plus grandes capitalisations peuvent atteindre plusieurs dizaines de milliards de Dirhams. Pour calculer parfaitement une capitalisation boursière, il faut cependant faire attention à prendre toutes les actions d'une entreprise. Il faut prendre en compte non seulement les actions admises à la côte mais aussi Les cours ajustés De temps en temps, pour fidéliser ses actionnaires, une entreprise utilise l'attribution gratuite de x action pour y actions détenues. Aussi, une entreprise peut utiliser la division au nominal pour rendre le marché plus liquide. Tout cela pour dire qu'une action doit être comparé avec attention. L'action d'une société S peut être différente d'un année à l'autre. Pour rendre le marché plus liquide une entreprise peut avoir recours à la division au nominal de l'action, ce qui multiplie le nombre d'action en circulation. Exemple Prenons le cas d'une action à 150 dirhams. Si une entreprise divise par 5 le nominal de son action, il y aura 5 fois plus d'action en circulation. Pour ajuster le cours il suffit de le diviser par 5. Comme l'action est 150 dirhams, son ajustement sera 30 dirhams. Le coefficient d'ajustement est de 1/5. Pour récompenser les actionnaires fidèles à l'entreprise, celle-ci peut avoir recours à l'attribution gratuite. Ceci ne signifie pas que vous avez gagner une action gratuite. Exemple Si une entreprise compte actions pour un actif net par titre de 1000 dirhams. Elle distribue une action gratuite pour deux détenues. Celui qui possède 2 actions, donc 2000 dirhams de l'actif se retrouve avec trois actions. L'actif par titre après distribution est de 667 dirhams, soit 2000/3. Le coefficient de d'ajustement est de 2/3 dans l'exemple. Bénéfice par action Indicateur très précieux qui va fournir des informations importantes pour le PER. On le calcul de la façon suivante: BPA = (Bénéfice net de l'exercice) / (nombre d'action total composant le capital de l'entreprise) Le bénéfice net qui est pris en compte est celui qu'on a vu en analyse financière, c'est à dire celui du compte de résultat net consolidé du groupe. De plus, si le résultat est une perte, le calcul ne sert à rien. Il faut aussi prendre en compte dans le calcul toutes les actions qui existent pour la société : - Actions - Actions nouvelles 2

3 - Certificats d'investissement - Obligations convertibles - Bons de souscriptions - Les actions à dividende prioritaires Pour se rendre compte de l'évolution de cet indicateur, vous pouvez l'analyser sur plusieurs années consécutives. En général, il croît chaque année THE PRICE EARNING RATIO PER = cours de l'action / BPA Raisonnons sur le multiple de l'année en cours. Il peut apparaître évident qu'une valeur à faible multiple soit moins chère qu'une valeur à multiple élevé. Malheureusement, ce n'est pas aussi simple. Le multiple est une donnée statique, une photographie à un instant précis. Ce n'est donc pas suffisant pour émettre un jugement. Il convient alors de raisonner dans une optique comparative et dynamique. On peut en tirer quelques règles, ou plutôt quelques évidences! - Le multiple d'une valeur ne doit pas s'apprécier isolément mais par rapport à la moyenne du marché et au multiple du secteur ou d'une valeur comparable. - L'augmentation des résultats de la société - que ce soit par redressement ou forte croissance - modifie le jugement. Plus elle est forte, plus le multiple est élevé. Cela peut s'expliquer aisément. Prenons l'exemple de deux titres. Le premier a un bénéfice par action de 100 dirhams pour l'exercice 1992, 120 dirhams estimé pour 1993 et 150 dirhams estimé pour Si son cours est de 1000 dirhams, son multiple de capitalisation est de 10 pour le BPA 1992, de 8,3 pour le BPA 1993 et de 6,7 pour celui de Le deuxième titre a également un bénéfice de 100 dirhams pour l'exercice 1992, mais de seulement 80 dirhams pour 1993 et de 50 dirhams pour Son cours de 500 dirhams fait apparaître un multiple de capitalisation de 5 sur le BPA Apparemment, le deuxième titre est moins cher que le premier. Mais cela devient faux si l'on se fie aux anticipations de bénéfices des exercices suivants. En effet, le deuxième titre, à 500 dirhams, aura un multiple de 12,5 sur le BPA de 1993 et de 20 sur celui de Soit un multiple sur le BPA de 1994 trois fois plus élevé que le multiple du premier titre. Ainsi, plus la croissance des bénéfices est forte, plus le multiple sur le bénéfice actuel est relativement élevé : une valeur à fort multiple actuel peut donc être moins chère qu'une valeur à faible multiple. - Les secteurs d'activité très cycliques ont en principe des multiples faibles (sauf dans l'hypothèse d'un redressement). En effet, un secteur cyclique a généralement une très faible visibilité de la croissance de ses résultats. Cette incertitude justifie alors un prix immédiat plus réduit, donc un multiple faible. - Il peut y avoir une raison non fondamentale à un faible multiple, sans que ce dernier soit pourtant susceptible de correction. Ainsi, une valeur à marché étroit se "paie" souvent moins chère : les opérateurs parviennent difficilement à travailler un petit marché. L'achat d'une telle valeur ne sera pas nécessairement gagnant. Ces observations peuvent vraisemblablement servir d'explication aux multiples plus élevés des affaires à croissance rapide, et aux multiples peu élevés de nombreuses affaires du comptant en raison de l'étroitesse des volumes de transactions. Le rendement rendement = (dividende global) / cours de l'action Le dividende global s'agit du dividende net versé à chaque action augmenté de l'avoir fiscal. Par exemple, si mon dividende est de 10 dirhams, l'avoir fiscal sera de 5 dirhams (50% du dividende). Le dividende global sera 15 dirhams. Si le cours de l'action est de 500 dirhams le rendement sera de15 / 500 = 0.03 = 3%. Le rendement adéquat : Dans de nombreux cas le rendement d'une action n'est pas significatif - par exemple 1 % -, mais les actionnaires y sont restés sensibles. Cependant, un bon rendement peut difficilement constituer une raison valable d'achat d'une action : il ne peut être le seul critère de jugement. Encore faut-il, en effet, que ce rendement soit durable et que la société reste profitable. 3

4 L'actionnaire n'est pas lésé avec un rendement faible : la partie du bénéfice non distribuée est utilisée à l'investissement. Et, lorsque la société est dynamique et bien gérée, cette politique est plus profitable à l'actionnaire qui récupérera bien plus que le rendement sous forme de plus-value. III : L'analyse macroéconomique L'analyse fondamentale est basée sur le comportement des variables environnementales qui ont un effet direct ou indirect sur l'évolution des cours. Parmi ces variables, nous pouvons citer : le taux d'intérêt, le rendement des placements alternatifs (notamment la rémunération des bons du trésor et les dépôts bancaires), le PIB, l'épargne nationale, les événements politiques (élections), etc Critiques de l analyse fondamentale Non transparence de l'information financière L'AF conserverait sa part de pertinence si l'information sur les marchés était pure et parfaite (pour reprendre un terme de microéconomie). Or, il n'en est rien. C'est même tout le contraire : l'information est devenue mensongère, suspecte et manipulatrice. Quel véracité faut-il accorder aux communiqués rassurants d'un PDG ou d'un analyste sur une société dont le cours plonge?a moins d'être naïf ou stupide,évidemment aucune. Même les informations légales sensées avoir été contrôlées et vérifiées (les comptes annuels certifiés) ne sont pas vraiment dignes de confiance (voir l'affaire Enron, Worldcom, Xerox,...)Et même si les comptes sont sincères, des surprises désagréables sont toujours possibles grâce à de nombreux artifices comptables légaux. Les changements de méthode comptables, les provisions, les engagements hors bilan en fournissent les meilleurs exemples récents.pratiques que l'on retrouve comme par hasard dans certaines sociétés en pleine déprime boursière : France Telecom, Vivendi Universal, Altran,. Une utilisation erronée de ses concepts 1/ La méthode des DCF 2/ Le ravage du Goodwill La méthode des DCF est la méthode de base d'évaluation utilisée lors de chaque analyse fondamentale. La méthode des DCF ne doit normalement s'appliquer que pour des sociétés matures ayant des performances ultérieures constantes. Ce qui aurait dû exclure naturellement toutes les valeurs technologiques et internet de ce modèle de valorisation. Ne chercher pas plus loin le pourquoi des prix délirants d'introductions en Bourse de valeurs comme : Wanadoo, Gemplus, Oberthurd Card, Complete,... L'équation est simple : Méthode d'évaluation inadéquate + Prévisions sur optimistes = Acheteurs tondus. Les faits parlent d'eux même (variation par rapport au cours d'introduction) : Wanadoo - 75 %, Oberthurd - 85 %, Gemplus - 88 %, Completel -98 %Avoir utiliser la méthode du DCF pour définir un objectif de cours pour les valeurs techno, c'est une escroquerie morale et financière. Le goodwill ou survaleur ou écart d'acquisition (selon la terminologie comptable française) correspond à l'écart constaté entre le prix payé pour l'achat d'un actif (Société, branche d'activité, brevet,...) et sa valorisation comptable. En clair, quand une société en rachète une autre, elle paye presque toujours plus cher que la valeur bilantielle de la société achetée. Cette différence est le goodwill ou survaleur qui doit être comptabilisé au passif de la société acheteuse pour y être amorti (sur une durée de 5 à 20 ans). Les analystes financiers ne tiennent pas compte de ce goodwill pour leur évaluation. Le PER estimé est toujours avant survaleur. Cette approche est légitimée par le gourou des fondamentalistes : Warren Buffet. En effet, pour Buffet le goodwill est un artifice comptable et n'a pas de réalité économique et financière (les amortissements des survaleurs ne donnent pas lieu à un décaissement). L'approche de 4

5 Buffet est intelligente si on tient compte des conditions qu'il pose : l'entreprise doit avoir une croissance régulière sur plusieurs années antérieures et une bonne visibilité. Or, les analystes (toujours eux) ont mis à la poubelle les conditions limitatives définies par Buffet. De ce fait, il y a eu une forte prime à la croissance externe : peu importe le prix payé ; toute acquisition est bonne à prendre car elle permet de réévaluer le business plan et donc accroitre sa valorisation. A court terme et tant que le marché est en plein boum, les problèmes n'apparaissent pas et la course à l'acquisition fait exploser les résultats et les cours des sociétés acheteuses. Les conditions sont idéales pour une bulle spéculative car il suffit d'acheter ses concurrents pour voir le cours de l'action montée. C'est l'époque de l'argent facile, tout monte, on a l'impression que rien ne peut stopper la spirale des rachats et des hausses de cours (l'un entrainant l'autre). Passé le moment d'euphorie, le retour à la réalité est brutal et dévastateur : La croissance externe n'est pas simple à mettre en place. Il ne suffit pas de payer, il faut aussi gérer les conflits de pouvoir et de culture qui interviennent nécessairement quand une société prend le contrôle d'une autre. Et puis surtout savoir gérer des synergies positives et restructurer les activités devenues redondantes. Bref, faire que 1+1 =3 et surtout éviter que 1+1=1. Par exemple, La fusion entre AOL et Time Warner a été un désastre au niveau économique (pas de synergie) et financier (le goodwill a fait boire le bouillon aux actionnaires). Idem pour Vivendi et Universal et tant d'autres. Rémunérations des intérêts minoritaires. Chaque acquisition donne lieu à des paiements d'intérêts minoritaires étalés sur le futur. Or, la trésorerie de la société a déjà été mise à mal par l'acquisition et il va falloir en plus dégager suffisamment de cash pour payer les minoritaires. C'est pour cela que de nombreuses sociétés ont eu un besoin vital de nouvelles augmentations de capital et ont vu leurs cours s'effondrer quand elles n'ont pu les réaliser du fait des conditions du marché. Les exemples abondent : A Novo, Genesys, Vivendi Universal, FT,... Sans l'exclusion du Goodwill dans les PER, il n y aurait pas eu les excès à la hausse lors de la phase intensive de rachats puisque les inconvénients de la croissance externe auraient été inclus dans les valorisations grâce au Goodwill. L'AF ne prend pas en compte la psychologie des opérateurs, ni la tendance du marché. Elle est déconnectée de la réalité et en devient dangereuse! En effet, elle pousse à une approche rationnelle et logique. Or, les marchés sont puissamment irrationnels. Le danger est donc de vouloir avoir raison contre le marché (l'une des plus sures façons pour se ruiner). L'AF porte en elle le germe destructeur de l'obstination. Prenons un exemple : Un individu repère une société qui est puissamment sous évaluée par rapport à ses concurrents et offre des perspectives prometteuses avec un PER bas. Persuadé de faire une affaire, il l'achète à 10 dh. 2 mois plus tard, elle cote 8 dh. Si à 10 dh, la société est bon marché, il est clair qu'à 8 dh, c'est vraiment donné. L'acheteur va se renforcer. Il fait ce qu'on appelle une moyenne à la baisse : il diminue son prix de revient moyen par des rachats plus bas en espérant une remontée postérieure. Ce type de comportement est cohérent vis à vis de l'approche fondamentale mais elle est suicidaire dans un marché baissier. L achat en moyennant à la baisse est l'erreur classique du débutant et je pense que tout investisseur l'a fait au moins une fois dans sa vie boursière. Ce qui faut retenir, c'est que ce ne sont pas seulement les fondamentaux qui font la valorisation d'une société, mais aussi la loi de l'offre et de la demande. Or, l'offre et la demande n'apparaît évidemment pas dans l'af puisqu' elle est indépendante de la société étudiée. Les pros de l'af au banc des accusés Les analystes, dont le métier est de donner des recommandations en fonction de leurs propres analyses fondamentales ont perdu toute crédibilité. De forts conflits d'intérêts rendent leurs avis et études suspectes voire franchement malhonnêtes. De nombreux procès sont en cours aux USA contre leurs pratiques professionnelles (Goldman Sachs a d'ailleurs plaidé coupable pour mettre un terme aux poursuites judiciaires).bon nombre de maisons de courtage savent qu'elles ont trop tiré sur la corde et adoptent un profil bas. Mais il y a eu trop d'excès d'hypocrisie, de tricherie, de manipulation pour que les dégâts restent limités et ponctuels. Par leur manque de déontologie, l'ensemble de la profession financière (Analystes,Teneurs de marchés, Auditeurs, Banques, Organismes de prévisions,...) a cassé 5

6 l'élément le plus important d'un marché financier : la confiance. Le Congrès US vient de voter un renforcement pénal pour prévenir les excès nocifs du passé. Mais être obligé de recourir à la loi est toujours un constat d'échec. La confiance ça se décrète pas, ça se mérite. Et il faudra plus qu'une loi pour restaurer la confiance trahie... Néanmoins souhaitons que tous ces scandales, faillites, escroqueries porteront les fruits d'un renouveau assaini. Analyse statique 6

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES 31 DECEMBRE 2002 BILANS CONSOLIDES Avant répartition ACTIF Note au 31 décembre au 31 décembre au 31 décembre en millions d'euros 2002 2001 2000 Immobilisations incorporelles

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 8 septembre 2007 3 ième trimestre (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie

Plus en détail

GLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES

GLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES GLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES Action Valeur mobilière représentant une part du capital d'une société. Le détenteur d'une action bénéficie d'une rémunération sous forme de dividendes et a normalement un

Plus en détail

ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE

ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Annexe C. Éléments d'analyse financière 143 ANNEXE C. ÉLÉMENTS D'ANALYSE FINANCIÈRE Résumé Cette annexe présente quelques éléments comptables qui peuvent servir à l'analyse financière des entreprises.

Plus en détail

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES - 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables

Plus en détail

BILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants :

BILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants : BILAN FONCTIONNEL Avoir une activité, générer des résultats, nécessite des moyens de production que l'on évalue en étudiant la structure de l'entreprise. L'étude de la structure financière va permettre

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans

Plus en détail

2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;

2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable; Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique

Plus en détail

Analyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan

Analyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan Analyse Financière Module de 27h. Projets de groupe ( analyse financière de quelques entreprises du CAC40 ). CC : 40% Participation (20%), contrôle intermédiaire (40%), projet à rendre ( 40% ) CF : 60%

Plus en détail

Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31

Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Objectif de la norme 01 L entreprise d assurance et/ou de réassurance doit disposer à son actif, en couverture

Plus en détail

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Cas IG/IP/MEE Corrigé D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés Corrigé Cas IG/IP/MEE HYPOTHESE N 1 : FILIALE EN INTEGRATION GLOBALE 6 étapes sont à distinguer

Plus en détail

Sans avoir la prétention d être exhaustif, nous examinerons dans cet article, successivement :

Sans avoir la prétention d être exhaustif, nous examinerons dans cet article, successivement : Les dividendes SigmaConso Allen White Dominique Galloy La problématique de l élimination des dividendes interne en consolidation semble à priori être un sujet relativement simple. En effet, les financiers

Plus en détail

GROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014

GROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 GROUPE NSE INDUSTRIES Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 BILAN (en milliers d euros) ACTIF Note 30/06/14 30/06/13 Ecarts d'acquisition 1 3 872 3 972 Immobilisations

Plus en détail

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

COMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base

COMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.

Plus en détail

Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29

Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Objectif de la norme 01 L activité d assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

Résultats annuels 2013 en forte croissance

Résultats annuels 2013 en forte croissance Communiqué de presse - Clichy, 25 mars 2014, 18h Résultats annuels 2013 en forte croissance Chiffre d affaires en hausse de 5,3% à 420,7 M Résultat opérationnel en hausse de 31,7% à 43,4 M Résultat net

Plus en détail

SOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE

SOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE SOMMAIRE COMPTES CONSOLIDES SUR LE DERNIER ARRETE INTERMEDIAIRE - Bilan consolidé - Compte de résultat consolidé - Tableau de flux - Annexe simplifiée 1 SOMMAIRE DE L ANNEXE SIMPLIFIEE 1 EVENEMENTS SIGNIFICATIFS

Plus en détail

NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance

NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance Objectif 01. L'activité d'assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une inversion du cycle de la production:

Plus en détail

Recherches mises en valeur

Recherches mises en valeur Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février

Plus en détail

Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions?

Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? en collaboration avec Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? Vous participez au concours organisé par l association Transaction l Investment Challenge, et vous avez bien

Plus en détail

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE OPERATIONS DE FIN D EXERCICE COMPTABLE Sommaire L INVENTAIRE... 2 LA DETERMINATION DES CHARGES ET DES PROVISIONS... 3 LES IMMOBILISATIONS... 3 LES AMORTISSEMENTS... 4 LES PROVISIONS POUR DEPRECIATION...

Plus en détail

Les clés de l évaluation. Hervé Bardin

Les clés de l évaluation. Hervé Bardin Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation

Plus en détail

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» 193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux

Plus en détail

DISCOUNTED CASH-FLOW

DISCOUNTED CASH-FLOW DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif

Plus en détail

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier. Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage

Plus en détail

Sopra Group communique sur l'incidence comptable de la distribution exceptionnelle en numéraire et de la distribution des actions Axway Software

Sopra Group communique sur l'incidence comptable de la distribution exceptionnelle en numéraire et de la distribution des actions Axway Software Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com

Plus en détail

Le portefeuille-titres dans les établissements bancaires

Le portefeuille-titres dans les établissements bancaires NC 25 Le portefeuille-titres dans les établissements bancaires Objectif 01. Dans le cadre de ses activités courantes, la banque peut affecter une partie de ses ressources à la gestion d'un portefeuille-titres.

Plus en détail

C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications

C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Paris, le 14 février 2014 8h Information réglementée C e g e r e a l - R é s u l t a t s a n n u e l s 2013 : Une année de consolidation et de certifications Indicateurs clés : Loyers IFRS à 43,3 M (+12,1%)

Plus en détail

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le

Plus en détail

Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48

Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Résumé de l article Les regroupements d entreprises peuvent se traduire en comptabilité par une fusion régie par le règlement

Plus en détail

LEGRAND INFORMATIONS FINANCIERES CONSOLIDEES NON AUDITEES 30 SEPTEMBRE 2014. Sommaire. Compte de résultat consolidé 2.

LEGRAND INFORMATIONS FINANCIERES CONSOLIDEES NON AUDITEES 30 SEPTEMBRE 2014. Sommaire. Compte de résultat consolidé 2. LEGRAND INFORMATIONS FINANCIERES CONSOLIDEES NON AUDITEES 30 SEPTEMBRE 2014 Sommaire Compte de résultat consolidé 2 Bilan consolidé 3 Tableau des flux de trésorerie consolidés 5 Notes annexes 6 Compte

Plus en détail

Mardi 23 octobre 2007. Séminaire. Schumann-bourse

Mardi 23 octobre 2007. Séminaire. Schumann-bourse Mardi 23 octobre 2007 Séminaire Schumann-bourse La Bourse : environnement économique et monétaire Définition de la bourse et de son rôle dans l'économie Influence des taux d'intérêts Déterminer les cycles

Plus en détail

Excellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group

Excellente performance au premier semestre 2011 pour Sopra Group Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com

Plus en détail

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic

Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie

Plus en détail

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =

Plus en détail

Communiqué de presse 5 mars 2015

Communiqué de presse 5 mars 2015 RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des

Plus en détail

Chiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M

Chiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Il est institué aux investisseurs étrangers réalisés au Maroc en devises, un régime de convertibilité.

Il est institué aux investisseurs étrangers réalisés au Maroc en devises, un régime de convertibilité. REGIME DES INVESTISSEMENTS ETRANGERS 1. Définition On entend par investissements étrangers, les investissements réalisés par les personnes physiques ou morales de nationalité étrangère, non-résidentes

Plus en détail

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document

Plus en détail

EURASIA GROUPE Comptes consolidés au 31 décembre 2010

EURASIA GROUPE Comptes consolidés au 31 décembre 2010 1 EURASIA GROUPE Comptes consolidés au 31 décembre 2010 S O M M A I R E COMPTES CONSOLIDES Bilan consolidé...4 Compte de résultat consolidé...6 Tableau de flux de trésorerie consolidé...7 NOTES ANNEXES

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDÉS Exercice clos le 31 décembre 2013

COMPTES CONSOLIDÉS Exercice clos le 31 décembre 2013 COMPTES CONSOLIDÉS Exercice clos le 31 décembre 2013 1, cours Xavier Arnozan 33000 BORDEAUX BILAN ACTIF 31/12/2013 31/12/2012 Brut Amort.dépréciat. Net Net Capital souscrit non appelé ACTIF IMMOBILISE

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

Loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants

Loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants Loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants Dahir n 1-92-138 (30 joumada II 1413) portant promulgation de la loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants (B.O. 30 décembre

Plus en détail

Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES

Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-BIC-PDSTK-10-20-70-50-20120912 DGFIP BIC - Produits et stocks - Opérations

Plus en détail

Annexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION

Annexe A : Tableau des SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION FINANCE D ENTREPRISE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - DIAGNOSTIC FINANCIER Première partie : Les outils du diagnostic financier proposés dans cette étude 1. Calculer les soldes intermédiaires

Plus en détail

METHODES D EVALUATION

METHODES D EVALUATION METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation

Plus en détail

Années 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 TOTAL 45 35 38 37 38 Moyenne europ. 42 37 37 36 34 Moyenne mond. 54 55 56 54 52

Années 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 TOTAL 45 35 38 37 38 Moyenne europ. 42 37 37 36 34 Moyenne mond. 54 55 56 54 52 Quelques ratios boursiers couramment utilisés comme données de l élaboration du benchmarking du groupe Total : Total (avant les fusions avec Fina puis Elf) comparé aux moyennes des pétroliers (européenne

Plus en détail

Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière

Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Chapitre 3 L interprétation des documents financiers et la planification financière Réponses aux Questions et problèmes 1. Actif Passif Actif immobilisé Capitaux propres Machines 46 000 Capital social

Plus en détail

Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe

Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe Documents comptables : bilan, compte de résultat et annexe La fin de l'année, pour les trésoriers, rime avec synthèse comptable. Trois documents doivent être produits. Les deux premiers (bilan et compte

Plus en détail

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8

Plus en détail

AOF. L analyse fondamentale. bourse. mini-guide. Comment investir en Bourse? Mai 2009

AOF. L analyse fondamentale. bourse. mini-guide. Comment investir en Bourse? Mai 2009 AOF mini-guide bourse «Comment investir en Bourse? L analyse fondamentale Mai 2009 L analyse fondamentale SOMMAIRE Les objectifs de l analyse fondamentale p. 4 Comment lire les comptes d une société cotée?

Plus en détail

MICHEL FLEURIET BANQUES D'INVESTISSEMENT ET DE MARCHÉ. Les Métiers des Banques d'affaires. C'3 ECONOMICA 49, rue Héricart, 75015 Paris

MICHEL FLEURIET BANQUES D'INVESTISSEMENT ET DE MARCHÉ. Les Métiers des Banques d'affaires. C'3 ECONOMICA 49, rue Héricart, 75015 Paris MICHEL FLEURIET BANQUES D'INVESTISSEMENT ET DE MARCHÉ Les Métiers des Banques d'affaires C'3 ECONOMICA 49, rue Héricart, 75015 Paris Table des matières Remerciements 5 Introduction 7 Chapitre 1 - D'où

Plus en détail

Communiqué de presse S1 2014-2015

Communiqué de presse S1 2014-2015 Communiqué de presse 27 novembre 2014 Huizingen, Belgique Communiqué de presse S1 2014-2015 (Résultats pour le premier semestre clôturé le 30 septembre 2014) Le chiffre d affaires semestriel a connu une

Plus en détail

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE Par Nabila EL HEDDA, Elyès JOUINI et Denis CHEMILLIER-GENDREAU "Le marché tunisien de l'assurance va connaître, dans les années

Plus en détail

La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont

La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont La société mère : Rapport de gestion exercice clos le 31 décembre 2010 (dont résultats et autres renseignements caractéristiques de la société au cours des cinq derniers exercices) La société mère : Comptes

Plus en détail

Société Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon

Société Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon Société Anonyme au capital de 1.253.160 Euros Siège Social : 57 rue Saint-Cyr 69009 LYON 402 002 687 R.C.S.Lyon Note d'information établie à la suite de la décision du Conseil d Administration du 8 décembre

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004

Plus en détail

Becca Distribution Inc

Becca Distribution Inc Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période

Plus en détail

Comptabilité : mieux lire l information financière

Comptabilité : mieux lire l information financière Comptabilité : mieux lire l information financière par Bernard CHRISTOPHE Maître de Conférences de Gestion à l Université de Paris 2 Expert-Comptable 1. Consolidation des comptes de groupe... A 4 552-2

Plus en détail

METHODOLOGIE D INVESTISSEMENT

METHODOLOGIE D INVESTISSEMENT METHODOLOGIE D INVESTISSEMENT Présentation de la stratégie : Nous avons décidé de suivre une politique d investissement simple qui consiste à investir sur le long terme dans des entreprises de qualité.

Plus en détail

Contrats sur différence (CFD)

Contrats sur différence (CFD) Avertissement à l attention des investisseurs 28/02/2013 Contrats sur différence (CFD) Principales recommandations Les contrats sur différence (CFD) sont des produits complexes qui ne sont pas adaptés

Plus en détail

LE GROUPE COLRUYT : PASSAGE AUX NORMES COMPTABLES IFRS - INFORMATIONS FINANCIERES PRELIMINAIRES

LE GROUPE COLRUYT : PASSAGE AUX NORMES COMPTABLES IFRS - INFORMATIONS FINANCIERES PRELIMINAIRES LE GROUPE COLRUYT : PASSAGE AUX NORMES COMPTABLES IFRS - INFORMATIONS FINANCIERES PRELIMINAIRES Informations relatives au passage aux normes IFRS pour l'établissement des états financiers Introduction

Plus en détail

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance

Plus en détail

SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES

SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES SOMMAIRE DES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES Bilan Compte de résultat Tableau des flux de trésorerie Variation des capitaux propres Annexe aux comptes consolidés 1 Transition aux normes IFRS 2 Principes et

Plus en détail

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux

Plus en détail

CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE

CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,

Plus en détail

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT - 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT Objectif(s) : o Approfondissement du tableau de financement : Pré-requis : variation du Fonds de Roulement Net Global (F.R.N.G.) ; variation du Besoin

Plus en détail

GROUPE TXCOM 10 AV DESCARTES ZI DU PETIT CLAMART 92350 LE PLESSIS ROBINSON

GROUPE TXCOM 10 AV DESCARTES ZI DU PETIT CLAMART 92350 LE PLESSIS ROBINSON Tel : 33 (0)1 30 83 91 70 Fax : 33 (0)1 30 83 91 71 7, rue du Parc de Clagny 78000 Versailles FRANCE 10 AV DESCARTES ZI DU PETIT CLAMART 92350 LE PLESSIS ROBINSON COMPTES CONSOLIDES Arrêté au 30 juin 2012

Plus en détail

afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix

afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation - Avis N 2002-11 du 22 octobre 2002 afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix Sommaire I - Rappels

Plus en détail

DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif. Dossier 1 - Diagnostic financier

DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif. Dossier 1 - Diagnostic financier DCG session 2010 UE4 Finance d entreprise Corrigé indicatif Dossier 1 - Diagnostic financier 1. Intérêt des tableaux de flux de trésorerie - Analyse de l évolution de la trésorerie Les tableaux de flux

Plus en détail

LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS

LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS Objectif(s) : o Traitement comptable des régularisations des charges et des produits. Pré-requis : o Principes généraux de la comptabilité,

Plus en détail

Dossier 1 ETUDE DE CAS

Dossier 1 ETUDE DE CAS DSCG session 2012 UE2 Finance Corrigé indicatif Dossier 1 ETUDE DE CAS 1. Evaluation de GRENELLE: 1.1. Valeur des fonds propres Vcp par la méthode des DCF Evolution du chiffre d affaires (TCAM : 6,7%)

Plus en détail

NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance

NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance Objectif 01. L'activité d'assurance et/ou de réassurance se caractérise par l'inversion du cycle de la production et

Plus en détail

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005

International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005 International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de

Plus en détail

Cegedim : Une année 2014 stratégique

Cegedim : Une année 2014 stratégique SA au capital de 13 336 506,43 euros R. C. S. Nanterre B 350 422 622 www.cegedim.com COMMUNIQUE DE PRESSE Page 1 Information Financière annuelle au 31 décembre 2014 IFRS - Information Réglementée Auditée

Plus en détail

Sommaire. Weborama Rapport financier du premier semestre 2007 2

Sommaire. Weborama Rapport financier du premier semestre 2007 2 Rapport financier du premier semestre 2007 Sommaire 1. Commentaires sur l activité de la période... p. 3 2. Rapport des Commissaires aux comptes... p. 5 3. Comptes consolidés au 30 juin 2007... p. 9 Weborama

Plus en détail

ETATS FINANCIERS SEMESTRIELS. Données consolidées. Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014. Page 1 sur 13

ETATS FINANCIERS SEMESTRIELS. Données consolidées. Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014. Page 1 sur 13 ETATS FINANCIERS SEMESTRIELS Données consolidées Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014 Page 1 sur 13 SOMMAIRE 1. Principes et méthodes de consolidation 2. Evénements significatifs postérieurs à la clôture

Plus en détail

Le Crédit Renting. De quoi s'agit-il?

Le Crédit Renting. De quoi s'agit-il? Le Crédit Renting Le Renting Financier est une forme de financement d un investissement similaire au leasing financier (leasing opérationnel) mais qui se distingue néanmoins de ce dernier par la hauteur

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

IFRS Etats financiers consolidés abrégés (en milliers d euros)

IFRS Etats financiers consolidés abrégés (en milliers d euros) IFRS Etats financiers consolidés abrégés (en milliers d euros) 1. Compte de résultats consolidé par segment au 30.06.2005 2. Bilan consolidé par segment au 30.06.2005 3. Tableau des flux de trésorerie

Plus en détail

WARREN BUFFETT ^INTERPRETATION DES ETATS FINANCIERS. La recherche des entreprises qui possedent un avantage competitif durable

WARREN BUFFETT ^INTERPRETATION DES ETATS FINANCIERS. La recherche des entreprises qui possedent un avantage competitif durable WARREN BUFFETT ET ^INTERPRETATION DES ETATS FINANCIERS La recherche des entreprises qui possedent un avantage competitif durable MARY BUFFETT ET DAVID CLARK MAXIMA LAURENT DU MESNIL^EDITEUR SOMMAIRE Introduction

Plus en détail

Questions fréquentes Plan de restructuration

Questions fréquentes Plan de restructuration Questions fréquentes Plan de restructuration 1. Quel est l objectif du plan de restructuration proposé? 2. D où vient cette dette de 126 millions d euros due le 1 er janvier 2015? 3. Y avait-il d autres

Plus en détail

Analystes financiers (Mai 2006) 3

Analystes financiers (Mai 2006) 3 Analystes financiers (Mai 2006) 3 Tous les éléments de produits et de charges constatés au cours d'un exercice, notamment la charge d'impôt, les éléments extraordinaires entrent dans la détermination du

Plus en détail

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles

Plus en détail

Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan

Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière. Plan Chapitre 3 - L'interprétation des documents financiers et la planification financière Plan Le bilan - présentation et signification des postes Structure en grandes masses - Le BFR Les ratios de structure

Plus en détail

Au second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :

Au second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 : 11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

Comptes Consolidés Logic Instrument au 31 décembre 2011 1

Comptes Consolidés Logic Instrument au 31 décembre 2011 1 GROUPE Comptes consolidés Au 31 décembre 2011 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET MÉTHODES

Plus en détail

Regroupements d entreprises Collection Comprendre et appliquer les normes IFRS KPMG AUDIT

Regroupements d entreprises Collection Comprendre et appliquer les normes IFRS KPMG AUDIT Regroupements d entreprises Collection Comprendre et appliquer les normes IFRS KPMG AUDIT IFRS - Regroupements d entreprises Avant-propos 1 Avant-propos La collection Comprendre et appliquer les normes

Plus en détail

Ratios sectoriels. Dossier exemple. Dossier exemple-caroline. Références du dossier : Date : 24/09/2012 Auteur : Caroline

Ratios sectoriels. Dossier exemple. Dossier exemple-caroline. Références du dossier : Date : 24/09/2012 Auteur : Caroline Ratios sectoriels Dossier exemple Références du dossier : Date : 24/09/2012 Auteur : Caroline Dossier exemple-caroline 1 P a g e SOMMAIRE LE BENCHMARKING SECTORIEL 5 RENTABILITE & PRODUCTIVITE 6 PRODUCTION

Plus en détail

Rapport semestriel sur les comptes consolidés

Rapport semestriel sur les comptes consolidés Rapport semestriel sur les comptes consolidés www.concoursmania.com 1 Référentiel comptable, modalités de consolidation, méthode et règles d évaluation 1.1. Principes comptables En vue d apporter une information

Plus en détail

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 % RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur

Plus en détail

Faut-il croire en l'adage boursier "Acheter la rumeur et vendre la Le manuel qui vous explique s'il faut

Faut-il croire en l'adage boursier Acheter la rumeur et vendre la Le manuel qui vous explique s'il faut Faut-il croire en l'adage boursier "Acheter la rumeur et vendre la nouvelle"? Le manuel qui vous explique s'il faut acheter avant, pendant, ou après une nouvelle Page 1 Index Introduction Qu'est ce que

Plus en détail

Finance pour non financiers

Finance pour non financiers Finance pour non financiers Managers non financiers Responsables opérationnels ayant à dialoguer avec les comptables et les financiers Savoir communiquer avec les financiers dans l entreprise : comptabilité,

Plus en détail