Épistémologie. Licence de Sciences de la Vie. (3 ème année)
|
|
- Camille Charles
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Épistémologie Licence de Sciences de la Vie 1 (3 ème année)
2 La construction des théories scientifiques 2
3 La compréhension du monde: Du dogme à l observation des faits A partir du XVIIème siècle (Galilée ) Le dogme religieux Religions monothéistes Le dogme philosophique L héritage Antique L observation des faits Un cadre présupposé 3
4 La compréhension du monde: Du dogme à l observation des faits A partir du XVIIème siècle (Galilée ) L observation des faits ( Je ne crois que ce que je vois!) Prédiction Expérience Expérience Aristote Galilée ( ) Torricelli ( ) 4 Mission Apollo
5 La compréhension du monde: Du dogme à l observation des faits A partir du XVIIème siècle (Galilée ) L observation des faits ( Primauté des faits sur les dogmes!) 5
6 La compréhension du monde: Du dogme à l observation des faits A partir du XVIIème siècle (Galilée ) L observation des faits : A quoi ressemble réellement le monde? Le réalisme Doctrine selon laquelle la réalité existe indépendamment de nos perceptions L idéalisme Doctrine selon laquelle la réalité est fondamentalement de nature mentale 6
7 7
8 De l observation des faits à L inductivisme naïf Réalité Observation neutre et objective Énoncé singulier Compte-rendu - Hier soir, à 21h, on pouvait observer Vénus à telles coordonnées - Ce roseau, partiellement immergé dans l eau, est vu comme étant courbe 8
9 De l observation des faits à L inductivisme naïf Réalité ObservationS neutres et objectives "Loi" Énoncé universel Compte-rendu - Les planètes suivent des trajectoires régulières autour du soleil - Quand un rayon de lumière passe d un milieu à un autre, il change de direction de sorte que le rapport du sinus de l angle d incidence au sinus de l angle de réfraction est une constante 9 caractéristique des deux milieux.
10 De l observation des faits à L inductivisme naïf Énoncé singulier e.g. Or, fer, bronze, cuivre conduisent l électricité 1. Le nombre d énoncés d observation formant la base de la généralisation doit être élevé Généralisation? Énoncé singulier Énoncé singulier Énoncé singulier Énoncé universel e.g. Les métaux conduisent l électricité Énoncé universel 2. Les observations doivent être répétées dans une grande variété de conditions 3. Aucun énoncé d observation accepté ne doit entrer en conflit avec la loi universelle Énoncé singulier Énoncé universel 10
11 De l observation des faits à Les raisonnements inductifs et déductifs Faits établis par l observation Induction Loi (énoncé universel) Loi (énoncé universel) Déduction Prédiction 11
12 De l observation des faits à Les raisonnements déductifs La déduction logique: le syllogisme 1. Tous les cours de Fac sont ennuyeux (Prémisse majeure) 2. Ceci est un cours de Fac (Prémisse mineure) 3. Donc ce cours est ennuyeux (Conclusion) 1. Tous les étudiants sont idiots 2. Ceci est un étudiant 3. Donc il est idiot La déduction permet d effectuer une démonstration interne valide, mais ne dit rien sur 12 la véracité des prémisses!
13 De l observation des faits à Les raisonnements déductifs Le sophisme (volonté d induire en erreur) : 1. Plus il y a d emmental, plus il y de trous 2. Plus il y a de trous, moins il y a d emmental 3. Donc plus il y a d emmental, moins il y a d emmental. 1. Tout ce qui est rare est cher 2. Un cheval bon marché est rare 3. Donc un cheval bon marché est cher. 1. La mort est un état de non-être 2. Ce qui n'est pas, n'existe pas 3. Donc, la mort n'existe pas. 13
14 L inductivisme naïf et l explication Énoncés universels De l observation des faits à Explications inductivistes Mise en évidence de la cooccurrence des phénomènes Conditions initiales 14
15 De l observation des faits à L inductivisme naïf et l explication Faits établis par l observation Induction Loi (énoncé universel) Ensemble de Lois Déduction Explications inductivistes De l observation de régularités locales à la mise en relation de ces régularités A B C B C D A D B C 15
16 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Faits établis par l observation Induction Loi (énoncé universel) - L induction ne constitue pas une démonstration logique - La généralisation est seulement justifiée par la récurrence des observations Énoncé singulier A Énoncé singulier A Jusqu ici, on a jamais observé d accident nucléaire majeur Énoncé universel Énoncé singulier A Énoncé singulier B Accident nucléaire majeur 16
17 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Pourtant la méthode inductive a permis d élaborer de nombreuses lois Lois de la mécanique céleste Lois de l optique Etc. Loi A Loi B Loi C Validation de la méthode inductive Loi D La méthode inductive ne peut pas être justifiée par une méthode inductive 17
18 De l observation des faits à Relativité des lois élaborées à l aide de la méthode inductive Si un grand nombre de A ont été observés dans des conditions très variées et si tous ces A observés possèdent sans exception la propriété b, alors tous les A posséderont probablement la propriété b. - Mais quelle est précisément cette probabilité??? 80%? Alors plus on observerait de Ab plus on aurait de chances d observer un Anb! A moins que l on puisse baser notre prédiction sur autre chose 18 que la seule régularité des observations précédentes (A suivre )
19 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Comment déterminer le nombre d observations qu il faudrait faire et dans combien de conditions différentes afin de valider la méthode inductive? e.g. Détermination du point d ébullition de l eau Variation de la pression atmosphérique? Variation du degré de pureté de l eau? Variété des types de chauffage? Variété des localisations par rapport aux pôles? C est une théorie préexistante (!) qui permet de le déterminer! Seulement l inductivisme n admet pas d éléments précédant l observation des faits 19 A Suivre
20 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Inductivisme et perception: La Science se base sur l observation L observation est censée constituer une base sûre 20
21 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Inductivisme et perception: Ce que perçoit un observateur n est pas seulement déterminé par l image qui se forme sur sa rétine 21
22 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Inductivisme et perception: L observation dans la pratique scientifique réclame une expertise particulière et préexistante Observation au microscope Observation au télescope Lecture de radio- ou échographies Etc. 22
23 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Inductivisme, perception et langage: Les scientifiques ont accès aux observations via des transcriptions utilisant un langage particulier impliquant nécessairement des concepts et donc un cadre conceptuel préexistant à l observation ellemême. 23
24 De l observation des faits à Les faiblesses de l inductivisme naïf Conclusion: Pour toutes ces raisons; Remise en cause du fondement de l inductivisme et d autres aspects: La Science se base, avant toute autre chose, sur l observation neutre et objective des faits ( primauté absolue des faits d observation ) Mais les principes de l inductivisme ne se limitent pas à la seule observation 24
25 Le falsificationnisme Réfutation / Confirmation Observations Observations Théories Spéculation Théorie (conjecture) Confrontation Expériences Expériences Réfutation / Confirmation - Progression par Conjectures et Réfutations - Sélection de la meilleure théorie à un moment donné 25
26 Le falsificationnisme L inductivisme, une démarche par la positive: Observation Généralisation Le falsificationnisme, une démarche (en partie) par la négative: Hypothèse réfutation (ou confirmation) Inductivisme falsificationnisme 26
27 Le falsificationnisme Le critère de démarcation : la falsifiabilité (ou réfutabilité ) Hypothèses falsifiables logiquement: Il ne pleut jamais le jeudi Les objets lourds tombent Hypothèses non-falsifiables logiquement: Soit il pleut, soit il ne pleut pas Tous les gagnants ont tenté leur chance Dieu existe 27
28 Le falsificationnisme Le critère de démarcation : la falsifiabilité (ou réfutabilité ) De ce point de vue, une théorie est d autant plus scientifique et meilleure qu elle énonce des hypothèses plus réfutables e.g. Mars se déplace autour du soleil suivant une ellipse Toutes les planètes se déplacent autour du soleil suivant des ellipses 28
29 Le falsificationnisme Le critère de falsifiabilité implique de construire des énoncés très précis et rigoureux Correspondance avec les observations Élaboration des expériences (cf. cours suivants) Démarche statistique (cf. cours suivants) cf. cours suivants 29
30 Le falsificationnisme Le falsificationnisme et le progrès scientifique Il y a progrès si une théorie falsifiée ou incomplète est remplacée par une théorie encore plus générale, donc encore plus complète et encore plus falsifiable (cf. mars vs. Toutes les planètes) A l inverse: la modification ad hoc Complément non-testable à la théorie, visant à justifier d une exception à celle-ci Tout pain nourrit son homme Le pain de Nice a empoisonné 20 personnes la semaine dernière Tout pain nourrit son homme sauf celui de Nice à ce moment là // Tout pain nourrit son homme sauf quand il est contaminé 30 par des champignons
31 Le falsificationnisme Le falsificationnisme et le progrès scientifique Il y a aussi progrès si une théorie survit à de nombreuses tentatives de réfutations. Elle est alors confirmée Jusqu à ce que (dans la pratique, il y a des exceptions ) e.g. Epicycles de Copernic e.g. Newton Uranus Neptune Einstein 31
32 Le falsificationnisme Le falsificationnisme et le progrès scientifique En résumé, il y progrès significatif quand: Une conjecture très spéculative est confirmée Une conjecture prudente est falsifiée 32
33 Bibliographie Vocabulaire technique et analytique de l Épistémologie. R. Nadeau Qu est-ce que la Science? A Chalmers La logique de la découverte scientifique. K. Popper Syllogisme; Sophisme. Wikipedia 33
S initier aux probabilités simples «Un jeu de cartes inédit»
«Un jeu de cartes inédit» 29-31 Niveau 3 Entraînement 1 Objectifs S entraîner à estimer une probabilité par déduction. Applications (exemples) En classe : tout ce qui réclame une lecture attentive d une
Plus en détailIntroduction à la relativité générale
Introduction à la relativité générale Bartolomé Coll Systèmes de référence relativistes SYRTE - CNRS Observatoire de Paris Introduction à la Relativité Générale Préliminaires Caractère théorique (formation)
Plus en détailPourquoi la nuit est-elle noire? Le paradoxe d Olbers et ses solutions
Festival de Fleurance, août 2008 Pourquoi la nuit est-elle noire? Jean-Marc Lévy-Leblond, Université de Nice «Cette obscure clarté qui tombe des étoiles» Corneille, Le Cid Document Le paradoxe d Olbers
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailDoit-on douter de tout?
1 Doit-on douter de tout? L'homme naturellement, comme le précisait Aristote au début de la Métaphysique, s'étonne et cherche à connaître. Mais il faut faire la différence entre la considération naïve
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP
MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailL Évolution de la théorie d élasticité au XIX e siècle
Kaouthar Messaoudi L Évolution de la théorie d élasticité au XIX e siècle Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions
Plus en détailL histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions
L histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions Martial Ducloy Président Société Française de Physique & Laboratoire de Physique des Lasers Institut Galilée & CNRS Université
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailSeconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous?
Où sommes-nous? Savoir où nous sommes dans l Univers est une question fondamentale à laquelle les scientifiques de toutes les époques ont apporté des réponses, grâce aux moyens qui étaient les leurs. Pour
Plus en détailLE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL?
Document professeur Niveau : Seconde LE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL? Compétences mises en œuvre : S approprier : extraire l information utile. Communiquer. Principe de l activité : La question posée à la classe
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailChapitre 4 : Guide de Mouvement et Masque
Cours Flash Chapitre 4 : Guide de Mouvement et Masque Rappel : les fichiers fla et swf sont dans le fichier «4_Guide de mouvement et masque.zip». SOMMAIRE 1 OBJECTIFS DU CHAPITRE... 1 2 INTRODUCTION...
Plus en détailS initier aux probabilités simples «Question de chance!»
«Question de chance!» 29-11 Niveau 1 Entraînement 1 Objectifs - S entraîner à activer la rapidité du balayage visuel. - Réactiver le comptage par addition jusqu à 20. - Développer le raisonnement relatif
Plus en détailMéthode du commentaire de document en Histoire
Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailLa gravitation universelle
La gravitation universelle Pourquoi les planètes du système solaire restent-elles en orbite autour du Soleil? 1) Qu'est-ce que la gravitation universelle? activité : Attraction universelle La cohésion
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (
Plus en détailChapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites
I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement
Plus en détailLes mathématiques du XXe siècle
Itinéraire de visite Les mathématiques du XXe siècle Tous publics de culture scientifique et technique à partir des classes de 1ères Temps de visite : 1 heure 30 Cet itinéraire de visite dans l exposition
Plus en détail2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA)
2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA) ACCOMPAGNEMENT DE PUBLICS A BESOINS EDUCATIFS PARTICULIERS PAR UNE PEDAGOGIE INSTITUTIONNELLE ADAPTEE Responsable : CANAT Sylvie MASTER 2 SPECIALITE
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailLa révolution des satellites de Jupiter
La révolution des satellites de Jupiter Guide de l'élève Manuel d'accompagnement du logiciel Exercice d'astronomie Version 2 Département de Physique Gettysburg College Gettysburg, PA 17325 Email : clea@gettysburg.edu
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailPOURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailComment référencer votre annonce Sur les moteurs de recherche?
Comment référencer votre annonce Sur les moteurs de recherche? SOMMAIRE 1. Qu est ce que le référencement? 2. Comment fonctionnent les moteurs de recherches? 3. Comment améliorer le référencement de votre
Plus en détailL argumentation en très bref Quelques éléments
Université de Fribourg (Suisse) Philosophie Moderne et Contemporaine L argumentation en très bref Quelques éléments Version 2 Jean-Roch Lauper, Mars 2006 5. L argumentation en très bref Ce document reprend
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailBig- Data: Les défis éthiques et juridiques. Copyright 2015 Digital&Ethics
Big- Data: Les défis éthiques et juridiques. 1 Big- Data: Les défis éthiques et juridiques. Digital & Ethics Ce que change le Big Data Les questions éthiques et juridiques Les réponses possibles 2 Digital
Plus en détailLe temps Par Laure Abeille Debray et Robin Klajzyngier
Le temps Par Laure Abeille Debray et Robin Klajzyngier «Qu'est-ce donc que le temps? Si personne ne me le demande, je le sais; mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus.»
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailNe tombez pas dans les pièges tendus par
Ne tombez pas dans les pièges tendus par Ce que vous devez savoir avant de dépenser votre 1 er sur Adwords Guide gratuit offert par le site www.ledroitdereussir.com Introduction Dans un instant vous allez
Plus en détailDe tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de
C.I.02 Niv.2 ACTIVITÉ N 7 Choix de solution technique Chauffer son logement Quel solution de chauffage choisir? De tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de l homme. En plus d être une façon
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détail7. Comment éviter que votre patrimoine ne revienne à votre belle-famille?
7. Comment éviter que votre patrimoine ne revienne à votre belle-famille? 7.1. De quoi s agit-il? Si vous organisez un planning patrimonial et successoral, vous essayerez sans doute que votre patrimoine
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détail1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs
Dossier de Presse Février 2011 1 er Baromètre DIRECT ASSURANCE des Cyberconsommateurs Etude IFOP pour DIRECT ASSURANCE menée du 22 au 30 décembre 2010 auprès d un échantillon national de 1035 Français
Plus en détailBig data, digital studies, un nouveau nominalisme. Bruno Bachimont Université de Technologie de Compiègne
Big data, digital studies, un nouveau nominalisme. Bruno Bachimont Université de Technologie de Compiègne 1 Nominalisme : Argument Peut se comprendre comme la cri8que de l analogie établie entre la structure
Plus en détailUne pseudo-science : 1. Pourquoi l astrologie n est pas une science reconnue?
Une pseudo-science : 1 Pourquoi l astrologie n est pas une science reconnue? Les revendications des astrologues sont rejetées par la communauté scientifique. Néanmoins, l astrologie est populaire. Même
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailLe développement cognitif selon Jean Piaget. Les stades du développement cognitif selon Piaget
Le développement cognitif selon Jean Piaget Piaget (BIO) et ses collaborateurs sont sans conteste les auteurs qui ont le plus contribué à notre compréhension du développement des capacités mentales durant
Plus en détailDiapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)
COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailPrésentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions.
Thèmes Découverte et cultures du monde, environnement, météo Concept Présentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions. Contenu Durée totale : 2 mn 15 s. est présentée
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailmaster Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE
Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement
Plus en détailL ELECTRICITE ENTRE MONOPOLE ET COMPETITION
http://www.asmp.fr - Académie des sciences morales et politiques. Juin 2004 Séminaire international de Rio DISCOURS DE M. MARCEL BOITEUX L ELECTRICITE ENTRE MONOPOLE ET COMPETITION 1. Les entreprises d
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détaill'essence de chaque chose se trouve dans la chose même. matière forme
que des ombres projetées contre la paroi. C'est le monde de l'existence, sensible, et comme les hommes ne peuvent pas voir autre chose, ils sont dans l'ignorance et pensent que c'est le monde réel. L'un
Plus en détailArchivage électronique et valeur probatoire
Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc 2 Sommaire 1 Introduction 3 2 Archive et archivage 5 2.1 Qu est-ce qu une archive? 5 2.2
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailComment investir en sicav?
& Sicav Comment réaliser de bons placements quand on n a pas le temps ou les connaissances suffisantes pour s en occuper? Opter pour une ou plusieurs sicav peut être utile! Comment investir en sicav? Société
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détailFaut-il tout démontrer?
Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailRèglement Jeu concours : Jeu Lucas & Lucas et ses partenaires 1 ère Position et ITC
Règlement Jeu concours : Jeu Lucas & Lucas et ses partenaires 1 ère Position et ITC Lucas & Lucas organise à partir du 6 novembre 2008 un jeu concours gratuit et sans obligation d achat accessible sous
Plus en détail1 INFORMATION - INFORMATIQUE. 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management
p.1 1 INFORMATION - INFORMATIQUE 10 Sciences cognitives aspects fondamentaux 11 Systèmes d'information gestion des connaissances, knowledge management 110 Intelligence économique veille économique, stratégique,
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Introduction aux Sciences de l Information et de la Communication Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Consolidation de fondamentaux Démarche en sciences humaines
Plus en détailNormes et description. des ressources continues et données d autorité Analyse de l information 14 28 2 3. Recherche documentaire : méthodes et outils
- Université : La Manouba - Etablissement : Institut Supérieur de Documentation - Semestre 1 : 1 ère Année, 1 er Semestre UF1 Epistémologie et sciences de l information UF2 Environnement institutionnel
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailAvis de la Chambre des Métiers
CdM/18/04/2012-133-11 Proposition de Directive relative au règlement extrajudiciaire des litiges de consommation. Proposition de Règlement relatif au règlement en ligne des litiges de consommation. Avis
Plus en détailDécès et succession LE DECES
Décès et succession Des Services ou organismes accompagnent les personnes et familles à vivre leur deuil. Ci-dessous, nous nous limiterons à présenter quelques conseils et informations pratiques concernant
Plus en détailLE COMBINATORIALISME ET LE RÉALISME NOMOLOGIQUE SONT-ILS COMPATIBLES? Max KISTLER
LE COMBINATORIALISME ET LE RÉALISME NOMOLOGIQUE SONT-ILS COMPATIBLES? Max KISTLER Cet article a pour but d examiner la compatibilité de deux théories métaphysiques attractives : le réalisme à l égard des
Plus en détailGuide d enseignement efficace des mathématiques, de la maternelle à la 3 e année Modélisation et algèbre
Guide d enseignement efficace des mathématiques, de la maternelle à la 3 e année Modélisation et algèbre Fascicule 1 : Régularités et relations Le Guide d enseignement efficace des mathématiques, de la
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailTS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu
P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération
Plus en détailCHAPITRE 3. Application à la Mutualisation des Risques & à la Demande d Assurance
CHAPITRE 3 Application à la Mutualisation des Risques & à la Demande d Assurance Ce chapitre présente une première application des concepts développés dans la première partie de ce cours Il s agit de modéliser
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailOutil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE. ANVERS AU XVI e SIÈCLE. Dossier de l élève
Outil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE ANVERS AU XVI e SIÈCLE Dossier de l élève Nom :.. Prénom : Classe : Première partie Tâche : Tu disposes
Plus en détailLa résolution des conflits entre Etat central et entités dotées du pouvoir législatif par la Cour constitutionnelle
La résolution des conflits entre Etat central et entités dotées du pouvoir législatif par la Cour constitutionnelle Rapport du Tribunal fédéral suisse présenté par M. le Juge fédéral Heinz Aemisegger,
Plus en détailI. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU?
I. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU? Le fair-play est une notion bien souvent employée à tort et à travers. Associée surtout au vocabulaire sportif, elle s applique aujourd hui à de multiples situations,
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailintrication quantique corrélations à distance et instantanées
intrication quantique corrélations à distance et instantanées 1 Les corrélations quantiques à distance et instantanées Il existe des corrélations quantiques à distance et instantanées dans un système quantique
Plus en détailNous sommes avec vous, au moment où vous en avez le plus besoin. Au décès d un proche.
Nous sommes avec vous, au moment où vous en avez le plus besoin. Au décès d un proche. BMO Groupe financier peut vous aider Nous savons que vous traversez une épreuve difficile. Le décès d un proche peut
Plus en détailRésumé CONCEPTEUR, INTEGRATEUR, OPERATEUR DE SYSTEMES CRITIQUES
Aristote ----- Cloud Interopérabilité Retour d'expérience L A F O R C E D E L I N N O V A T I O N Résumé Les systèmes d'information logistique (SIL) sont des outils qui amènent des gains de productivité
Plus en détailLA TERRE TOURNE-T-ELLE VRAIMENT? Ernst Mach, le pendule de Foucault et l origine des forces d inertie
LA TERRE TOURNE-T-ELLE VRAIMENT? Ernst Mach, le pendule de Foucault et l origine des forces d inertie Plan 1. 1851 : le temps des certitudes 2. L espace absolu 3. Les critiques de Mach 4. L interprétation
Plus en détail