sécurité dans le 17 e
|
|
- Norbert Breton
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La sécurité dans le 17 e
2 La Sécurité, un droit fondamental Assurer à chacun des individus qui la composent le maximum de sécurité est un devoir de toute société démocratique. Cette exigence comporte bien des aspects et reflète bien l expression des valeurs républicaines que nous défendons. Garantir la tranquillité publique et au-delà, la sécurité de tous c est notamment lutter contre toutes les pollutions, prévenir au mieux les catastrophes, organiser aussi les systèmes de secours. Mais c est aussi lutter contre l insécurité routière et contre les atteintes aux personnes et aux biens. C est d abord la mission de l Etat et des services de la police nationale. En effet, à Paris, le maire d arrondissement, à la différence d un maire d une commune de droit commun, ne dispose pas des pouvoirs de police. La sécurité dans l acception la plus globale du terme, est sous la responsabilité du Préfet de Police. Mais il est évident que les élus, tout en restant dans le cadre de leurs compétences, entendent faire ce qui est en leur pouvoir pour assurer aux habitants du 17 e arrondissement la meilleure sécurité possible. Cela passe, entre autre, par l animation du Contrat Local de Sécurité qui réunit tous les partenaires des politiques de sécurité et de Prévention qu il s agisse de l éducation et de la prévention, de la sanction, de l aide aux victimes, de la lutte contre l usage de stupéfiants, Ce document a pour ambition de vous présenter les différents partenaires qui œuvrent chaque jour à nos côtés afin de maintenir notre arrondissement sûr et convivial. Car c est tous ensemble, habitants du 17 e, mairie, police, justice, associations de préventions, bailleurs sociaux, que nous pouvons mettre en œuvre des mesures simples, grâce à des comportements responsables et adaptés. La sécurité est l affaire de tous. Brigitte KUSTER Maire du 17 e arrondissement Conseillère Régionale d Ile-de-France Geoffroy BOULARD Adjoint au maire chargé de la Sécurité, la Prévention, la Politique de la ville et le Développement économique
3 Le Contrat de sécurité du 17 e arrondissement La prévention est un volet incontournable de la politique de sécurité. En la matière, le 17 e s appuie, sur la mise en œuvre du Contrat local de sécurité. L objectif? Promouvoir une action collective et coordonnée de tous les acteurs de la sécurité et de la prévention de la délinquance. Le Contrat de Sécurité du 17 e (CSA) signé le 14 mai 2009 organise le partenariat local en matière de prévention de la délinquance. Une instance permet d assurer le pilotage et le suivi du CSA: le Conseil de Sécurité et de Prévention de la Délinquance d Arrondissement (CSPDA). Cette instance, présidée par le maire du 17 e, le commissaire central et le procureur de la République, permet de réunir tous les acteurs de la sécurité et de la prévention de la délinquance : police, justice (siège, parquet, protection judiciaire de la jeunesse), Education Nationale, Direction de la Prévention et de la Protection (DPP) de la Ville de Paris, Mairie du 17 e, GPIS, bailleurs sociaux, associations de prévention spécialisée, associations de quartier, Antennes Jeunes, ) autour de la mise en œuvre d un plan d action. Les Missions Développer la coordination et la complémentarité entre la police et les acteurs du CSPDA afin d anticiper et limiter l insécurité. Le CS- PDA est l expression d une politique de sécurité qui privilégie la proximité. Sa mise en œuvre s exerce à deux niveaux : > Pour des problématiques de fond, une réunion des acteurs du CSPDA a lieu deux fois par an, en présence du Maire du 17 e, du Commissaire Central, du représentant du procureur de la République, du représentant de recteur de Paris et du coordonnateur du contrat de sécurité. > Pour des problèmes plus en lien avec le quotidien, des réunions des commissions de sécurité (qui reprend les axes des 14 fiches action du CSA) en présence des partenaires qui œuvrent pour la sécurité se réunissent régulièrement : élus, police, GPIS, cabinet du maire, directions de la mairie de Paris concernées (DPP, DEVE, DJS, etc.), associations de riverain, etc. Il s agit, à partir de faits constatés au quotidien de trouver la réponse la plus adaptée. Chaque problème est abordé de façon transversale, ce qui permet de jouer sur les complémentarités de chaque intervenant. La réponse apportée est le résultat d un partenariat entre les différents acteurs. De plus, des rencontres régulières avec le Commissaire Central et le Maire du 17 e permet d apporter une image, en temps réel, de la délinquance sur nos quartiers. Les axes de travail définis par le CSA du 17 e arrondissement Le CSA du 17 e définit le plan d action des partenaires du CSPDA et, ainsi, détermine les priorités des partenaires en matière de sécurité et de prévention. Ce plan d action se divise en 8 axes de travail : 1) L éducation à la citoyenneté, la solarisation et le soutien à la parentalité - 2) L environnement urbain, le cadre de vie et la sécurité routière - 3) La lutte contre les violences faites aux femmes - 4) La lutte contre les phénomènes de bandes - 5) La toxicomanie et les addictions - 6) La prévention à l égard des personnes vulnérables et à risque - 7) L aide aux victimes - 8) La méthodologie et la communication sur les travaux du CSA
4 Les Acteurs de la Sécurité à Paris La Préfecture de police de Paris La sécurité des personnes et des biens est assurée partout, et pour tous, par l Etat. A Paris et dans le 17 e, cette mission est assumée par la Préfecture de Police. Elle garantit ainsi la sécurité des personnes et des biens, gère le déroulement des grands événements et contribue à la qualité de la vie de ses habitants par une action visant à rendre la capitale à la fois plus sûre et plus agréable. En matière de sécurité, la préfecture de police assure plusieurs grandes missions : > Assurer la sécurité et la tranquillité de tous La prévention et la lutte contre la délinquance et notamment celle commise sur la voie publique (vols avec violences, vols à la tire, dégradations, etc.). La Préfecture de Police, par ses interventions de police secours, prête assistance aux personnes dans le cadre, notamment, des accidents, des violences sous toutes leurs formes, des différends familiaux, etc. La lutte contre les nuisances (tapages nocturnes, troubles de voisinage, incivilités ). Le respect des règles d hygiène et de salubrité dans les lieux recevant du public. La lutte contre la violence scolaire par des contrôles aux abords des établissements scolaires et des actions de prévention en collaboration avec l éducation nationale. > Gérer la circulation et le stationnement En collaboration avec la Ville de Paris, cette action s exerce notamment par un contrôle des automobilistes et des conducteurs de «deux roues», mais également par des «journées de prévention routière» dans les écoles et par la sécurisation des points d écoles les plus dangereux. Le saviez-vous? Afin de permettre aux vacanciers de partir en toute sécurité, la préfecture de police met en place durant les mois de juillet et août, l opération «tranquillité vacances». Pour bénéficier de ce dispositif, il suffit de signaler au commissariat les dates où votre appartement restera inoccupé (au moins 48h avant votre départ). La police nationale se chargera alors de faire passer des patrouilles de surveillance. Le Groupement Parisien Inter bailleur de Surveillance (GPIS) Ce dispositif de surveillance des immeubles sociaux regroupe actuellement les 13 principaux bailleurs sociaux parisiens et intervient sur un patrimoine de plus de 4500 logements dans le 17 e, situés prioritairement dans les quartiers politique de la ville et les territoires en grand projet de renouvellement urbain. En constante évolution depuis sa création, le GPIS s organise aujourd hui autour de 3 pôles d activités : la surveillance du patrimoine, la surveillance des parkings et plus récemment la vidéo protection. Les missions essentielles du GPIS reposent sur un système de rondes quotidiennes entre 19 h et 5 h, et sur un dispositif d intervention sur simple appel des locataires. Les agents du GPIS assurent ainsi une présence humaine en fin de journée et la nuit, dans la continuité du travail effectué par les gardiens de jour.
5 Mairie de Paris : la Direction de La Prévention et de la Protection (DPP) A Paris, et contrairement aux autres communes de France, le pouvoir de police relève du Préfet de police et non du Maire. La police nationale étant seule compétente en matière de sécurité sur la voie publique, la Ville de Paris fait porter ses efforts dans les domaines qui lui sont propres. La DPP, en étroite collaboration avec les autres directions de la Ville et en coordination avec les partenaires extérieurs, est en charge de trois missions principales : La protection, par les inspecteurs de sécurité, des bâtiments, des équipements, des espaces verts de la Ville de Paris ainsi que des personnels et des usagers. Les inspecteurs de sécurité peuvent constater par procès-verbal tout délit et contravention portant atteinte aux propriétés dont ils ont la garde ainsi qu au respect des arrêtés du maire de Paris en matière de salubrité sur la voie publique. Ces effectifs sont coordonnés par le centre de veille opérationnel. Par ailleurs, une attention particulière est portée aux publics les plus fragiles (assistance aux sans-abri, service d accompagnement des personnes âgés «Tranquillité Seniors», service d aide aux victimes d infractions pénales). L animation et la gestion de la politique municipale en matière de prévention et de médiation sociale. Dans le 17 e, cela se traduit par la surveillance des points écoles, le dispositif Ville Vie Vacances, le soutien à des associations œuvrant dans le domaine de la prévention de la délinquance, l accueil de travaux d intérêt général au sein des services municipaux et l accompagnement de dispositifs de lutte contre la récidive. La participation à la définition d une politique de sécurité à Paris : contrat parisien de sécurité, contrats de sécurité d arrondissements, ingénierie sécuritaire, gestion de crise et observatoire parisien de la tranquillité publique. La Mairie du 17 e arrondissement En vertu de la loi du 31 décembre 1982 dite «loi PLM», les mairies d arrondissement ne sont pas des mairies de plein exercice. Le maire d arrondissement prépare et exécute les délibérations du Conseil d arrondissement. Il dispose par ailleurs de pouvoirs propres dans les domaines de l Etat civil, des affaires scolaires, des élections, de l urbanisme et du patrimoine communal. La mairie d arrondissement assure la gestion de certains équipements de proximité : les crèches, les équipements sportifs, les petits espaces verts. La loi du 27 février 2002 (relative à la Démocratie de Proximité) renforce les pouvoirs des maires en matière de gestion des équipements de proximité et de gestion financière locale. Le maire et son adjoint, chargé de la sécurité en coordination avec le référent technique et le coordonnateur du CSA (personnel DPP), mettent en application les 14 fiches actions du Contrat Local de Sécurité du 17 e (CSA) nouvelle génération signé en mai Ce contrat engage l ensemble des partenaires : Police, Justice, Education nationale, bailleurs sociaux, associations de prévention de la délinquance Enfin, un conseil de sécurité et de prévention de la délinquance d arrondissement (CSPDA 17) se réunit régulièrement sous la présidence du maire, pour faire le point sur les problèmes de nos quartiers.
6 La vidéo-protection Dans le 17 e, l implantation des caméras de vidéoprotection a fait l objet d une concertation avec les associations et la population. La future implantation des caméras de surveillance dans le 17 e est le résultat d une analyse concrète et approfondie des points de congestion du trafic, des sites accidentogènes, des besoins relatifs à la sécurisation des grands rassemblements et des lieux les plus touchés par la délinquance. Implantation prévisionnelle des caméras prévues dans le 17 e arrondissement par le plan de vidéoprotection pour Paris (opérationnelles en juin 2012) Disponible sur : La politique pénale du parquet Le Parquet de Paris est composé de magistrats chargés de représenter les intérêts de la société et de veiller au respect de l ordre public et à l application de la loi. A ce titre, il mène la politique pénale définie par le ministère de la justice afin de parvenir à une égalité de traitement des citoyens face à la loi. Par ailleurs, il dirige et coordonne l application des contrats locaux de sécurité, et copréside le CSPDA du 17 e arrondissement. A Paris et dans le 17 e, cela se traduit, par exemple, par une politique pénale de fermeté à l encontre des personnes impliquées dans les phénomènes de bandes, en privilégiant un traitement en temps réel avec défèrement systématique, puis lorsqu une infraction est caractérisée et que le ou les auteurs de cette infraction sont identifiés, la comparution immédiate pour les majeurs, ainsi que la présentation immédiate des mineurs devant les juridictions spécialisées lorsque cela est nécessaire. Le stage de responsabilité parentale Ayant pour double objectif la lutte contre la délinquance des mineurs et l autonomisation de leurs parents, le Parquet a mis en place des stages de responsabilité parentale à même d apporter une réponse judiciaire aux situations où les parents se soustraient à leurs obligations légales (article du code pénal).
7 L aide aux victimes et l accès au Droit La Maison de la justice et du droit du 17 e arrondissement La Maison de la Justice et du Droit (MJD), située au rue Jacques-Kellner, est la manifestation très concrète d une volonté politique : celle d assurer l accès au Droit à tous, avec une attention toute particulière accordée aux victimes. Le rôle de la MJD est de permettre aux citoyens de l arrondissement de mieux connaître leurs droits; elle propose des permanences juridiques et favorise le règlement amiable des litiges entre locataires et propriétaires, notamment en cas de menaces d expulsion. La MJD aide les étrangers en situation irrégulière, notamment les mineurs qui rencontrent des problèmes de papiers pour leur nationalité, reçoit les familles, notamment pour les gardes d enfants en cas de divorce. Elle accueille les victimes d infractions pénales et développe une action de prévention des petits délits. > Permettre l accès au droit La Maison de Justice et du droit permet à chacun de mieux connaître ses droits pour les faire valoir au quotidien. Des permanences juridiques sont organisées sur tous les sujets de la vie quotidienne : famille, majeurs vulnérables, logement, travail, consommation, aide aux victimes, droit des étrangers et accès à la nationalité française, lutte contre les discriminations. Assurés par une équipe de professionnels du droit, les entretiens sont gratuits et confidentiels > Favoriser le règlement amiable des litiges La Maison de Justice et du Droit évite le recours au Tribunal, en facilitant le règlement à l amiable des petits conflits civils : problèmes de voisinage, rapports bailleurs - locataires, litige avec un commerçant Elle est également compétente pour vous aider à régler des différends avec l administration ou les organismes sociaux, la ville de Paris (représentant de la médiatrice de la ville de Paris) > Assurer une présence judiciaire de proximité La Maison de Justice et de Droit a également pour mission de répondre de manière adaptée à la délinquance quotidienne. Les auteurs de petits délits y sont reçus par des délégués du Procureur de la République pour des rappels à la loi et des classements sous condition. Déposer une plainte La plainte est l acte par lequel une personne signale à la police ou à la gendarmerie, voire au Procureur de la République des faits dont elle estime être victime. Contrairement à la main courante, la plainte permet d engager des poursuites contre l auteur des faits. Une fois la plainte déposée, le dossier est transmis au Procureur de la République qui juge de la suite à lui donner. Il peut ainsi engager des poursuites pénales, mettre en œuvre des mesures alternatives aux poursuites pénales (médiation pénale, rappel à la loi, stages de sensibilisation etc.), ou classer l affaire sans suite. Il avise la victime de la procédure décidée à la suite de la plainte. Paris Aide aux Victimes Paris Aide aux Victimes (PAV) est une association d intérêt général chargée d accueillir, d informer et d accompagner les victimes d infractions pénales. Grâce à un suivi personnalisé, qui prend la forme d une aide juridique mais aussi d un soutien psychologique, elle accompagne les victimes dans les démarches à effectuer. PAV tient une permanence quotidienne au sein de la MJD du 17 e de 9h30 à 17h30. Les victimes, majeures ou mineures, peuvent donc prendre rendez-vous pour rencontrer un juriste ou un psychologue de l association.
8 Annuaire Sécurité Commissariat central d arrondissement rue Truffaut Paris Tél Ouvert 7j/7 et 24h/24 Police secours : 17 (numéro à utiliser en priorité en cas d urgence) Nuisances sonores et problèmes de sécurité dans le parc social GPIS (entre 19h et 5h) : Pour signaler un problème de sécurité, de nuisance ou de propreté dans le patrimoine de la Ville de Paris (les parcs et jardins parisiens, équipement sportifs etc.) Numéro unique mis en place par la mairie de Paris : Mairie du 17 e arrondissement Geoffroy Boulard - Adjoint au maire, chargé de la Sécurité et de la Politique de la ville geoffroy.boulard@paris.fr 16/20 rue des Batignolles Paris Incivilités Service de la propreté 8 e /17 e (signalement de dépôts ou d encombrants) : ou le 3975 Les épaves de vélos (Des tournées d enlèvement des épaves de vélos par les services de la propreté ont lieu 2 fois par mois dans chaque arrondissement) ou le 3975 Un vélib abandonné? Signalez-le au : ou le 3975 ou sur Enlèvement des graffitis (numéro vert) : Ramassage des seringues sur la voie publique : Aide aux victimes Numéro national d écoute des victimes et d orientation auprès de professionnels (08VICTIMES) Tél (prix d un appel local) 7 jours sur 7, de 9h à 21h. Contacts par type de problématique Violences conjugales info Tél (appel anonyme et gratuit depuis un poste fixe) Viols femmes informations Tél (appel anonyme et gratuit depuis un poste fixe) Enfants victimes de violences Tél. 119 (appel anonyme et gratuit depuis un poste fixe) Drogue Info Service Tél Personnes âgées victimes Tél Dérives sectaires Association pour la Défense des Familles et de l individu victime de secte (ADFI) Tél : Accès au droit Maison de Justice et du Droit 16-22, rue Jacques-Kellner Paris Tél Du lundi au vendredi de 9h à 17h Permanence Paris aide aux victimes 22, rue Jacques-Kellner Paris Du lundi au vendredi de 9h30 à 17h30 (sur rendez-vous uniquement) Tél Mairie du 17 e arrondissement 16-20, rue des Batignolles Paris Consultation juridique gratuite d avocats le vendredi de 8h30 à 17h. Tél (sur rendez-vous uniquement)
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION
DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a
Plus en détailsolidarité www.aulnay-sous-bois.fr
bureau d aide aux solidarité www.aulnay-sous-bois.fr Violences conjugales Vol avec violence Accidents de circulation Harcèlement Viol Agression Agression, Viol, Vol avec violence, Discriminations, Violences
Plus en détailMaison du droit et de la médiation www.ville-stains.fr
www.ville-stains.fr SOMMAIRE page 4 INFORMATION ET ORIENTATION page 6 ACCES AU DROIT page 8 AIDE AUX VICTIMES page 10 MEDIATION page 12 ECRIVAIN PUBLIC page 14 LEXIQUE + NOS PARTENAIRES EDITO Pour la Municipalité,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Contacts presse
DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex
Plus en détail) Découvrez les métiers de la Justice. Informez-vous sur www.justice.gouv.fr
) Découvrez les métiers de la Justice Informez-vous sur www.justice.gouv.fr PENITENTIAIRE Sommaire SOMMAIRE Magistrat............................................................. p. 4, 5 Greffier en chef......................................................
Plus en détailMise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville
CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe
Plus en détailREUNION PUBLIQUE DE CONCERTATION SUR L OPERATION CLICHY-BATIGNOLLES. Le projet du Nouveau Palais de Justice de Paris.
REUNION PUBLIQUE DE CONCERTATION SUR L OPERATION CLICHY-BATIGNOLLES Le projet du Nouveau Palais de Justice de Paris 4 décembre 2009 LES ORIGINES DU PROJET : un fonctionnement actuel très contraint Des
Plus en détail15 ACTIONS POUR LA JUSTICE DU QUOTIDIEN
Le citoyen au coeur du service public de la Justice 15 ACTIONS POUR LA JUSTICE DU QUOTIDIEN citoyen au coeur du service public de la Justice UNE JUSTICE PLUS PROCHE UNE JUSTICE PLUS EFFICACE UNE JUSTICE
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance Contrat local de sécurité Contrat urbain de cohésion sociale Fonds interministériel de prévention Plan départemental de prévention Prévention
Plus en détailLe stationnement irrégulier de véhicules appartenant à la communauté des gens du voyage.
Le stationnement irrégulier de véhicules appartenant à la communauté des gens du voyage. Une des problématiques récurrente pour les collectivités en matière d occupation illégale de son territoire tient
Plus en détailComment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent?
Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Lorsque l enfant vit au domicile de l un de ces parents, ce qui est,
Plus en détailLe tribunal de la famille et de la jeunesse
Le tribunal de la famille et de la jeunesse Le tribunal de la famille et de la jeunesse (*) est opérationnel dans tout le pays depuis le 1 er septembre 2014. C est désormais ce tribunal qui est compétent
Plus en détailLES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT. Formation AVS Janvier 2013
LES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Formation AVS Janvier 2013 LES RESPONSABILITES GENERALES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Les responsabilités des agents publics de l État sont de trois ordres:
Plus en détailLes violences conjugales
MINISTÈRE le point sur Femmes/égalité Lutte contre les violences envers les femmes Les violences conjugales Les victimes de violences craignent le plus souvent de s exprimer. Paralysées par la peur, une
Plus en détailRAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ
RAPPORT DE STAGE ET RÉSUMÉ Instructions: 1. Le rapport doit être renvoyé au REFJ (exchanges@ejtn.eu) dans le mois suivant le stage. 2. Veuillez utiliser le formulaire ci-dessous pour rédiger votre rapport
Plus en détailMaître Laetitia CANTOIS AVOCAT au Barreau de Caen 6 rue Samuel Bochard 14000 CAEN Tel : 02,31,23,96,26 Port : 06,87,193,293 Fax : 02,31,23,96,26 Site
Maître Laetitia CANTOIS AVOCAT au Barreau de Caen 6 rue Samuel Bochard 14000 CAEN Tel : 02,31,23,96,26 Port : 06,87,193,293 Fax : 02,31,23,96,26 Site internet: www,avocat-cantois,fr Mail : avocat_cantois@yahoo.fr
Plus en détailORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012
Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR L admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service rendu aux familles dans le cadre de l organisation arrêtée par la collectivité
Plus en détailCharte d éthique de la vidéosurveillance
Charte d éthique de la vidéosurveillance Préambule - La vidéosurveillance est un outil au service de la politique de sécurité et de prévention de la Ville de Lyon dans le cadre du contrat local de sécurité.
Plus en détailSHAM, assureur spécialiste des EHPA Mutuelle d Assurance Professionnelle, SHAM assure : Chiffre d affaires 2009 : 275,7 M
CADRAS / SHAM SHAM, assureur spécialiste des EHPA Mutuelle d Assurance Professionnelle, SHAM assure : les établissements sanitaires et médico-sociaux, les professionnels de santé 250 collaborateurs Chiffre
Plus en détailVous divorcez, vous vous séparez?
Service Com&Doc - Crédit image : drx - Fotolia.com - Imprimerie Caf35 - Mars 2014 Vous divorcez, vous vous séparez? 5 questions pour mieux comprendre Vous informer et vous aider dans vos démarches Vous
Plus en détailLES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE. Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris
LES VIOLENCES AU SEIN DU COUPLE Françoise GUYOT Vice-Procureure, Chargée de mission au Cabinet du Procureur de la République de Paris 2 DEFINITION La lutte contre les violences faites aux femmes s'inscrit
Plus en détailCOMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE CANNES-ECLUSE REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE Le présent règlement définit les relations entre les enfants, les accompagnateurs et le personnel du restaurant scolaire. Il a pour finalité de
Plus en détailBAREME INDICATIF DES HONORAIRES
BAREME INDICATIF DES HONORAIRES Tarifs applicables à compter du 01/01/2014 Maitre MAIRET Christophe Avocat 1 Sommaire Notice du barème p.03 Consultations et postulations p.04 Droit Civil p.05 Droit du
Plus en détailIntroduction au droit La responsabilité professionnelle
Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige
Plus en détailDu 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015
Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)
Plus en détailListe des fiches. 1. Les atteintes à la tranquillité publique : Environnement et propreté
Liste des fiches 1. Les atteintes à la tranquillité publique : Environnement et propreté Salissures, abandon d objets et encombrants, jets de détritus Véhicules en stationnement abusif, véhicule abandonné,
Plus en détail3 ème édition actualisée
Le livret de prévention du maire 3 ème édition actualisée Février 2013 La politique de prévention de la délinquance s apprête à connaître d importantes évolutions déjà préfigurées par la création par le
Plus en détailPASS sports vacances. Sommaire
PASS sports vacances Sommaire PREAMBULE Article 1 : Modalités d inscription Article 2 : Modalités de fonctionnement Article 3 : Les infrastructures Article 4 : Tarification Article 5 : Sécurité et secours
Plus en détailCirculaire de la DPJJ du 13 novembre 2008 visant à améliorer la prise en charge des mineurs placés en centre éducatif fermé
Centre éducatif fermé Juge des enfants Protection judiciaire de la jeunesse Circulaire de la DPJJ du 13 novembre 2008 visant à améliorer la prise en charge des mineurs placés en centre éducatif fermé NOR
Plus en détailMise en œuvre de la responsabilité du maire
Mise en œuvre de la responsabilité du maire Les conditions d engagement de la responsabilité du maire relèvent du droit commun de l engagement de la responsabilité des personnes publiques. A ce titre,
Plus en détailViolence au travail Un organisme national
Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence
Plus en détailDéfendez vos intérêts
Protection juridique pour les entreprises Défendez vos intérêts Les litiges relatifs aux prétentions de salariés, de bailleurs, de fournisseurs, de clients ainsi que d autres personnes ou institutions
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailIntroduction : un contentieux aux trois visages différents
7 ème assises nationales de la qualité de l environnement sonore Mercredi 15 octobre 2014, 14 h 30-16 h 00 Atelier 16 / SALLE 4 Bruit de voisinage et incivilités sonores : la prévention, la médiation,
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailNous constatons de nos jours
LA RESPONSABILITE DES DIRIGEANTS DE SOCIETES par Me Jean Brucher Nous constatons de nos jours que l internationalisation et la globalisation des problèmes relatifs à l activité des entreprises ainsi que
Plus en détailCHAPITRE 6 PROTECTION STATUTAIRE ET ASSURANCE GROUPE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE
CHAPITRE 6 PROTECTION STATUTAIRE ET ASSURANCE GROUPE Textes applicables : Article 11 de l ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature ; Article
Plus en détailMARTINIQUE PDASR 2013 FICHE ACTION SECURITE ROUTIERE/ACCES AU DROIT
ACTION SECURITE ROUTIERE/ ACCES AU DROIT DU MERCREDI 25 SEPTEMBRE 2013 1/6 MARTINIQUE PDASR 2013 FICHE ACTION SECURITE ROUTIERE/ACCES AU DROIT EDUCATION, FORMATION, COMMUNICATION, CONTROLE, ETUDE, INFRASTRUCTURE,
Plus en détailNotice relative à la demande d'aide juridictionnelle
1 Cerfa n 51036#03 Notice relative à la demande d'aide juridictionnelle Important : Avant de demander l aide juridictionnelle vous devez vérifier : 1- auprès de votre assureur si le(s) contrat(s) que vous
Plus en détailFocus Assistance 2014
Focus Assistance 2014 SOCIETE D ASSURANCE MUTUELLE LES SERVICES D ASSISTANCE INTÉGRÉS À VOS CONTRATS D ASSURANCES SOMMAIRE Assistance Route Tranquille... 3 Assistance Automobile... 4-5 Assistance Vie Tranquille...
Plus en détailGroupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT
Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes
Plus en détailLes principales dispositions de la LOPPSI 2
Les principales dispositions de la LOPPSI 2 (Présentation rédigée à partir du projet de «loi d orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure» adopté au Sénat le 10 septembre
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Plan de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée
DOSSIER DE PRESSE Plan de lutte contre les cambriolages et les vols à main armée lundi 18 novembre à 11h30 La lutte contre les cambriolages est une priorité du Ministre de l intérieur, affirmée par le
Plus en détailCirculaire n 93 -------
Année 2004 Destinataire : écoles et établissements publics et privés. Circulaire n 93 ------- Sommaire : - centre de ressources départemental, équipes ressources de proximité, violences sexuelles, événements
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailRISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. MONTPELLIER 27 mai 2013
RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE MONTPELLIER 27 mai 2013 LE RISQUE SPORTIF Facteurs aggravants de risques Le lieu de l activité L âge des participants à l activité La nature de l activité Les
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailchronique juridique Contrats de droit privé : l académie de Créteil, un exemple à suivre! Procédures disciplinaires : le memento CHRONIQUE JURIDIQUE
CHRONIQUE JURIDIQUE chronique juridique Contrats de droit privé : l académie de Créteil, un exemple à suivre! Lors de notre congrès de Lille, une motion a été proposée par la commission «métier» sur les
Plus en détailLe suivi expert au service de votre activité!
Le suivi expert au service de votre activité! Protection Juridique Vision Entreprise Assuré d avancer > Préserver votre activité des risques de litiges, c est indispensable! En tant que dirigeant d entreprise,
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Le juge de paix : le juge le plus proche du citoyen
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Le juge de paix : le juge le plus proche du citoyen Cette brochure vous explique quelles sont les tâches et les
Plus en détailLycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7
RÈGLEMENT INTÉRIEUR Lycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7 Étudiants... page 9 Devoirs des étudiants... page 9 Droit des étudiants... page 13 5 rue de la Motte Brûlon
Plus en détailNOTIONS DE RESPONSABILITE
NOTIONS DE RESPONSABILITE De par ses prérogatives et ses fonctions, l encadrant a des responsabilités et des obligations. En cas de problème, il peut voir sa responsabilité engagée. QUAND? Souvent à l
Plus en détailLa responsabilité des directeurs d unité
9 mai 2012 - Journée des administrateurs et responsables des laboratoires de l INSIS La responsabilité des directeurs d unité Direction des affaires juridiques CNRS/DAJ/MF l 9 mai 2012 Journée INSIS P.
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailPoint d Accès au Droit
VILLE D ASNIÈRES-SUR-SEINE Point d Accès au Droit Espace Rosa Parks * P.A.D. : ACCUEILLIR, ÉCOUTER, INFORMER, ORIENTER * Rosa Parks est une figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale
Plus en détailRèglement intérieur. I - Conditions générales. 1. Conditions d admission et de séjour
MODÈLE TYPE DE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DES TERRAINS DE CAMPING OU DE CARAVANAGE AINSI QUE DES PARCS RÉSIDENTIELS DE LOISIRS I - Conditions générales 1. Conditions d admission et de séjour Règlement intérieur
Plus en détailASSOCIATION DES ACCIDENTÉS DE LA VIE. Quelles procédures après un accident de la route? Informations pour les victimes de dommages corporels
ASSOCIATION DES ACCIDENTÉS DE LA VIE Quelles procédures après un accident de la route? Informations pour les victimes de dommages corporels janvier 2014 SOM MAIRE Après l accident p. 4 Procédure pénale
Plus en détailLe régime de la responsabilité civile des enseignants
Le régime de la responsabilité civile des enseignants Document réalisé par le SE-UNSA 94 Octobre 2014 Complexité : tel est le maître mot du régime de la responsabilité des enseignants. Ses grands principes
Plus en détailVais-je au tribunal (civil) ou non? 1
Vais-je au tribunal (civil) ou non? 1 Dans notre société il a été convenu de respecter plusieurs sortes de règles, fixées dans des lois et règlements. Si ces règles ne sont pas respectées, il y a plusieurs
Plus en détailpolitique de la France en matière de cybersécurité
dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le
Plus en détailGrille indicative des honoraires
Cabinet TISSEYRE - VIDAL Avocats "Le Jacques Cartier" 394, rue Léon BLUM 34000 MONTPELLIER Grille indicative des honoraires Tarifs applicables à compter du 1 er janvier 2012 Tél. : 04 67 66 27 25 Fax :
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006)
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) Circulaires de la Direction des affaires criminelles Signalisation des circulaires du 1 er avril au 30 juin 2006 Circulaire
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailSOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3
La séparation 1 SOMMAIRE LA SÉPARATION : DES ÉLÉMENTS JURIDIQUES... 3 VOUS ÉTIEZ MARIÉS...3 Vous vous séparez légalement... 3 Vous vivez chacun de votre côté (séparation de fait).... 3 VOUS ÉTIEZ PACSÉS
Plus en détailL huissier de justice
L huissier de justice Introduction Si vous devez faire appel à un huissier de justice ou si vous êtes confronté à son intervention, vous vous posez peut-être quelques questions sur ce qui vous attend.
Plus en détailLa gestion des situations de crise
agir sur le climat scolaire La gestion des situations de crise Enjeux et procédures Daniel Simon EMS Académie de Montpellier 06 32 82 73 73 daniel.simon@ac-montpellier.fr Sommaire Propos liminaires Avant
Plus en détailRESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF
RESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF L ASSOCIATION : Construction humaine, Construction juridique. RAPPEL Un cadre législatif fondamental - article 1 loi du 1 juillet 1901 : «l association
Plus en détailQuestionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse : [date] : Le 13 Février 2013
CONVENTION DE LA HAYE DU 25 OCTOBRE 1980 SUR LES ASPECTS CIVILS DE L ENLÈVEMENT INTERNATIONAL D ENFANTS Questionnaire standard pour les nouveaux Etats adhérents Réponse de: [Etat] GUINEE Date de la réponse
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détail4 e plan interministériel
4 e plan interministériel de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes 2014-2016 MINISTÈRE DES DROITS DES FEMMES 4 e plan interministériel de prévention et de lutte contre les violences
Plus en détailComment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise?
Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise? PASS RC des Dirigeants d'entreprise Prévention juridique ASSistance pénale d urgence Responsabilité Civile des Dirigeants
Plus en détailBoudème Les Deux-Portes
Le quartier de Boudème Les Deux-Portes Bienvenue chez vous! Mieux connaître son quartier pour mieux en profiter : voici, en substance, l objectif de ce fascicule conçu par la Ville de Martigues et destiné
Plus en détailCRC/C/GC/12. Convention relative aux droits de l enfant. Observation générale n o 12 (2009) Nations Unies. Le droit de l enfant d être entendu
Nations Unies Convention relative aux droits de l enfant Distr. générale 20 juillet 2009 Français Original: anglais CRC/C/GC/12 Comité des droits de l enfant Cinquante et unième session Genève, 25 mai-12
Plus en détailPLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE
2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DES SALLES MUNICIPALES D HÉRICY
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DES SALLES MUNICIPALES D HÉRICY Préambule Le présent règlement intérieur s applique aux salles municipales suivantes : - Salle de l Orangerie... 180 personnes debout, 150 assises -
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailLA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX
LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE EN MATIERE DE SANTE AU TRAVAIL : BREF ETAT DES LIEUX Par Michel LEDOUX Avocat Associé CABINET MICHEL LEDOUX ET ASSOCIES 10 RUE PORTALIS 75008 PARIS Tél : 01.44.90.98.98
Plus en détailLUTTE CONTRE LES MARCHANDS DE SOMMEIL
LUTTE CONTRE LES MARCHANDS DE SOMMEIL CONSTATS ET PROPOSITIONS DE RECOMMANDATIONS SUITE AUX MIDIS D ÉCHANGES Lors des midis d échanges qui ont eu lieu les 11 mars, 26 mars, 2 et 23 avril 2009 avec toutes
Plus en détailédito sommaire Le Conseil des étrangers Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9
avec le soutien de édito sommaire Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9 N Retrouvez au dos les lieux sur le plan Notre ville est riche de sa diversité, qui
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailLa mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1
La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu
Plus en détailLeçon n 3 : La justice garante du respect du droit
Leçon n 3 : La justice garante du respect du droit Introduction : La déesse grecque de la justice se nomme Thémis, elle aurait reçu de Zeus un glaive et une balance afin de peser le pour et le contre,
Plus en détailRISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. Montpellier - 13 novembre 2012
RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE Montpellier - 13 novembre 2012 LE RISQUE SPORTIF Facteurs aggravants de risques La nature de l activité L âge des participants à l activité Le lieu de l activité
Plus en détailL aide juridique au Nouveau-Brunswick. Fournir de l aide de nature juridique aux personnes à faible revenu
Fournir de l aide de nature juridique aux personnes à faible revenu La présente publication a été produite dans le cadre d une collaboration entre le Service public d éducation et d information juridiques
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DU GROUPE INGENIEUR JEAN BERTIN
REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DU GROUPE INGENIEUR JEAN BERTIN L'admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service rendu aux familles dans le cadre de
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE DANS LES COMMERCES DE MENDE
COMMUNICATION DOSSIER DE PRESSE LA PREVENTION DES CAMBRIOLAGES DANS LES COMMERCES DE MENDE LUNDI 14 AVRIL 2014 A 15 H 30 En présence de : Guillaume LAMBERT, préfet de la Lozère, Commissaire Christophe
Plus en détailASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES
ANNEXE N 1 ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES DETERMINATION ET EXPRESSION DES BESOINS Ce document est un outil d aide à la détermination et à l expression des besoins d assurances. SOMMAIRE : I Renseignements
Plus en détailCours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE
Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE INTRODUCTION : Les collectivités territoriales Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme
Plus en détailExamen de fin de stage judiciaire Programme de révision
Examen de fin de stage judiciaire Programme de révision Le présent document est établi sur base de l article 17, paragraphe 1 er, alinéa 2 du règlement grand-ducal du 10 juin 2009 portant organisation
Plus en détailL ASSURANCE FÉDÉRALE
L ASSURANCE FÉDÉRALE SOMMAIRE I. L assurance en responsabilité civile II. Les garanties protection pénale et recours III. L assurance accidents corporels I. L ASSURANCE EN RESPONSABILITÉ CIVILE LE CADRE
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailREUNION DE QUARTIER CENTRE Mardi 10 Juin 2015
REUNION DE QUARTIER CENTRE Mardi 10 Juin 2015 Monsieur le Maire Jean-Paul BENEYTOU présente les élus de la majorité participant à la réunion : Michelle GEVAUDAN (adjointe au Maire chargée du Personnel
Plus en détailCONVENTION DE GESTION ET DE REGLEMENT (CORRESPONDANT)
CONVENTION DE GESTION ET DE REGLEMENT (CORRESPONDANT) à partir du 1 er août 2014 Entre le BCF des sociétés d assurances contre les accidents d automobile, 1 Rue Jules Lefebvre, 75431 PARIS CEDEX 09, et,
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détail