LE CIRCUIT ECONOMIQUE ET L EQUILIBRE MACROECONOMIQUE
|
|
- Sarah Gauvin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE CIRCUIT ECONOMIQUE ET L EQUILIBRE MACROECONOMIQUE I. les Agents et le Circuit Economiques : 1- les agents économiques : Ils sont regroupés en quatre catégories selon la fonction qu ils exercent : - Les Ménages : fonction principale, consommer ; - Les Entreprise : fonction principale, produire des biens et services ; - Les Institutions de crédit : fonction principale, collecter, répartir et créer la monnaie ; - L administration : fonction principale, redistribuer les revenus et satisfaire des besoins collectifs. Entre ces agents circulent des flux réels (biens, services, facteurs) et des flux monétaires (contrepartie des flux réels). La plupart des relations économiques entre les agents s organisent au sein de marchés (lieu de confrontation d une offre et d une demande). Les agents économiques effectuent entre eux des transactions sur quatre grands types de marchés. - Sur le marché des biens et services se déterminent les prix des différents biens et les quantités échangées ; - Sur le marché du travail se rencontrent une offre et une demande de travail d où découle à la fois le niveau de l emploi et celui du salaire ; - Sur le marché des capitaux s établit le niveau du taux d intérêt ; - Sur le marché de la monnaie ou marché de changes s effectue l échange de la monnaie nationale contre l ensemble des devises et s établit le niveau du taux de change. 2- Les Opérations économiques : Les agents économiques effectuent diverses opérations. La comptabilité nationale en distingue trois sortes.
2 a) les opérations sur biens et services et l équilibre ressources-emplois Elles comprennent la création (ressources) et l utilisation (emplois) des produits, autrement dit, elles indiquent la provenance et la destination des biens et services. Pour un produit donné, on considère comme ressource la production (P) et les importations (M) de ce produit. Un produit peut avoir cinq emplois différentes : la production, la consommation (consommations intermédiaires et consommation finale), l investissement (formation brute de capital et variation des stocks), ainsi que le commerce extérieur (importations M exportations X). Donc pour chaque produit, on a, par construction, l égalité suivante entre les quantités produites et les quantités utilisées : RESSOURCES= EMPLOIS Soit, pour chaque produit i= Pi+ Mi = CIi +FBCFi+ Xi+ Si b) Les opérations de répartition : décrivent la formation et la circulation des revenus ainsi que les transferts de capital qui modifient le patrimoine des différents agents économiques. c) Les Opérations financières : sont relative à la création et à la circulation des moyens de paiement et de financement nécessaires à l activité économique. Elles comptabilisent les variations de dettes et de créances des agents économiques. II. Le CIRCUIT ECONOMIQUE Il retrace les mécanismes qui permettent d écouler la production, de déterminer les revenus et les dépenses qui à leur tour alimentent le produit national. Il est équilibré si la totalité du revenu global est dépense. Des fuites vers l extérieur du circuit (épargne des ménages, impôts) ou des injections (injections de monnaie par les banques dépenses publiques) peuvent affecter l équilibre du circuit.
3 Le circuit des échanges peut donc être appréhendé sous deux optiques : l optique de la production (flux réels) et optique du revenu (flux monétaires). 1) Economie fermée à deux Agents : ménages et les entreprises Les entreprises utilisent les facteurs de production fournis par les ménages pour produire les biens de consommation destinés à la consommation finale des ménages. Les ménages procurent aux entreprises un service productif sous la forme de travail et reçoivent en contrepartie, un revenu qui est entièrement dépensé pour acheter les biens de consommation. Facteurs de Production Revenus R Ménages Entreprises Dépenses C Biens de consommation (figure1) La figure1 représente le circuit économique élémentaire : Les flux physiques ou réels sont caractéristiques des échanges permettant de créer et d acquérir le produit national Y ; Dans tous les économies développée, les échanges se réalisent pratiquement par l intermédiaire de la monnaie ; aussi les flux monétaires représentent la contre partie monétaire de la production, c'est-à-dire les revenus monétaires distribués R et les dépenses monétaires de consommation C. Dans ces conditions, il ya identité entre le produit, le revenu et la dépense.
4 Y = R = C En résumé, à partir du produit constitué de biens de consommation, on fait correspondre un flux monétaire de revenus (salaires, profit) qui alimente la dépense permettant de se procurer le produit. D un point de vue comptable, le produit national Y coïncide avec le PIB (en économie fermée). Les revenus distribués R sont équivalents au revenu national brut, contrepartie de la production faite des consommations intermédiaires qui s éliminent dans le processus de production. 2) Epargne des ménages et Investissement des Entreprises facteurs Ménages capitaux Entreprises biens et services En économie la partie du revenu son consommé constitue l épargne. Les ménages peuvent utiliser cette épargne sous forme de placements financier ou monétaire. Qu elle soit utilisée sous forme de placement financier
5 ou de placement monétaire, l épargne sert aux entreprises à acheter des biens d investissements. De même que les dépenses de consommation constituaient une demande de la part des ménages, l investissement constitue une demande de la part des entreprises. En reprenant les deux optiques du circuit des échanges, nous pouvons écrire : Production Y = Demande de bien de consommation (C) + Demande de bien d Investissement (I) Revenus = Y = Achats de bien de consommation (C) + Epargne (S) D où, Y=C+I=C+S Cette égalité peut être reformulée pour faire apparaitre la relation entre l épargne et l investissement. En soustrayant C de chaque membre de l égalité, nous obtenons : 3) Introduction de l Etat Y-C=I=S D où I=s Les Administration Publiques d une manière plus générale (APU), ou l ETAT modifie le circuit et l activité économiques. L Etat prélève des impôts et taxes(t) uniquement sur les ménages (par exemple) ; L Etat effectue deux types de dépenses : Des achats de biens et services aux entreprises, appelés dépenses publiques ou demande publique(g). Ces achats génèrent une activité de production et sont à l origine d une distribution de revenus ; Des paiements de transferts (F) aux ménages (indemnités de chômage, allocations familiales etc.) sans la production en contrepartie de biens et services
6 facteurs Ménages ETAT Entreprises capitaux biens et services Les deux optiques du circuit des échanges sont désormais : - Production = Y = Demande de biens de consommation (C) + Demande de biens d Investissement (I) + demande publique (G) - Revenu = Y = Achats de biens de consommation (C) + Epargne (S) + Impôts (T) Transferts (F) Soit, Y= C + I + G = C+ S + T F D où avec l introduction de l Etat, les égalités du circuit des échanges sont modifiées et la production se décompose en trois emplois ou trois types de demande finale :
7 Y= C+ I + G Les revenus, issu de la production et des transferts, est employé pour des achats de biens de consommation, le paiement des impôts et la constitution de l épargne : Y + F= C + T + S Les transferts sont traités comme un impôt négatif : Y = C+ S+ T F 4) Economie ouverte L économie nationale entretient maintenant des échanges commerciaux avec le reste du monde. Cette ouverture au commerce international se matérialise par les importations H et les exportations X de l économie considérée qui comprend donc les secteurs ménages, entreprises Etat et Reste du monde. Les importations qui sont une composante de l offre globale, donnent lieu à des paiements en monnaie (surtout en devises) de la part de l économie nationale et constituent une fuite de circuit économique national. Au contraire, les exportations, qui constituent la demande extérieure, se concrétisent par des versements du reste du monde à l économie nationale et représentent donc une injection de monnaie dans le circuit économique national. L égalité d équilibre entre l offre globale et la demande globale s écrit donc : Y + H = C + I + G + X
L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailINTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur
Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailDu produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010)
Du produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010) En 2010, le revenu moyen avant impôt des Français était de 33 000 par adulte et par an (2 800 par mois) Produit intérieur brut (PIB) (2010): 1
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détail3 ) Les limites de la création monétaire
3 ) Les limites de la création monétaire Si un banquier n a besoin que de son stylo pour créer de la monnaie, on peut se demander ce qui empêche une création infinie de monnaie. En fait, la création monétaire
Plus en détailECONOMIE GENERALE. La représentation de l économie : la comptabilité nationale
IUFM AUVERGNE ECONOMIE - GESTION Cours de Mr DIEMER ECONOMIE GENERALE Mots clés : PARTIE I CHAPITRE 3 La représentation de l économie : la comptabilité nationale Administration publique Circuit économique
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailDépartement des affaires économiques et sociales. études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale
ST/ESA/STAT/SER.F/85 Département des affaires économiques et sociales Division de statistique études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale Comptabilité nationale : introduction
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailRoyaume du Maroc المرجع :
المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements
Plus en détailStructure de l épargne et croissance Olivier Davanne
Structure de l épargne et croissance Olivier Davanne Introduction du débat organisé par l IEFP 5 décembre 2007 1 Plan de la présentation 1. Volume de l épargne et croissance en union monétaire. 2. Structure
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailINTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG
Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLA PARTICIPATION DES SALARIES AUX RESULTATS
LA PARTICIPATION DES SALARIES AUX RESULTATS LE CALCUL DE LA RESERVE DE PARTICIPATION La formule du calcul de la réserve de participation est la suivante : Avec : Eléments du calcul S : Masse salariale
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailDate du prélèvement Dénomination Montant
Nom du titulaire : Banque : Adresse : Horaires : Conseiller : Numéro de téléphone : RIB Code banque Code Guichet Numéro de compte Clé RIB Domiciliation IBAN BIC Date du prélèvement Dénomination Montant
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailL importance de la monnaie dans l économie
L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants
Plus en détailLA COMPTABILITE ASSOCIATIVE
LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailFaculté de sciences économiques et de gestion Nabeul. 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE. Enseignant Dr Jalel BERREBEH
Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE Enseignant Dr Jalel BERREBEH Année Universitaire 2010/2011 Thème I. Eléments de la
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailDIRECTIVE N 10/2009/CM/UEMOA PORTANT TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES DE L ETAT (TOFE) AU SEIN DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ----------------------- Le Conseil des Ministres DIRECTIVE N 10/2009/CM/UEMOA PORTANT TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES DE L ETAT (TOFE) AU SEIN DE L UEMOA
Plus en détailNOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER
NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailPlan du cours. I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé.
1 Plan du cours I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé. II. Les échanges interbancaires. III. La création monétaire et les échanges interbancaires dans un système bancaire hiérarchisé.
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailCOMPRENDRE LES MODALITES PRATIQUES DES VERSEMENTS
Bulletin de Versement AMPLISSIM PEE Ce document vous permet de : comprendre les modalités pratiques des versements, prendre connaissance des Conditions Générales d adhésion et de fonctionnement du service
Plus en détailPOURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT»
POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» Bernard Vallageas Faculté Jean Monnet Université Paris-Sud 54 boul.
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailMonnaie et financement de l économie
Monnaie et financement de l économie I. Monnaie, masse monétaire création monétaire, devises A. Les différents aspects de la monnaie Monnaie = Instrument d échanges qui permet ds une éco donnée l achat
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailLes fiches thématiques Optimisation professionnelle Les mécanismes d épargne salariale
Les fiches thématiques Optimisation professionnelle Les mécanismes d épargne salariale Il existe trois mécanismes d épargne salariale : La Participation : La participation des salariés aux résultats de
Plus en détail6. MONNAIE, CRÉDIT ET DETTE
6. MONNAIE, CRÉDIT ET DETTE INTRODUCTION 280. Le présent chapitre passe en revue les principales questions que pose aux pays la définition des agrégats de la monnaie, du crédit et de la dette. Il sert
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailLivret d epargne SaLariaLe
Livret d Epargne Salariale Chère collaboratrice, Cher collaborateur, En tant que salarié(e) de PAGE PERSONNEL, vous bénéficiez de l accord de participation en vigueur dans l entreprise. En complément de
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailMesure du surendettement en Europe
Mesure du surendettement en Europe Conférence du 24 juin 2008 Didier Davydoff, Directeur de l OEE 0EE - Observatoire de l'épargne européenne 1 Introduction: l augmentation des encours de crédit aux ménages
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailL impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015.
L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015 intervenante: Karine SALVAT CONSEILLER en INVESTISSEMENT FINANCIER 1 Objectif
Plus en détailLE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023. François Lequiller Insee
LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023 François Lequiller Insee Vers le SCN 2023 Le SCN 2008 n est pas encore fini mais on prépare déjà le SCN 2023 (2023 = 2008 + 15 comme 2008 = 1993 +15) Futur chapitre
Plus en détailDiane Patrimoine. L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération. Diane Patrimoine 1
Diane Patrimoine L épargne salariale : outil d optimisation et de défiscalisation de la rémunération Diane Patrimoine 1 Sommaire : Les dispositifs d épargne salariale et leurs principaux avantages Une
Plus en détailÉtude de retombées économiques de la desserte au gaz naturel, Lévis Saint-Damien, MRC de Bellechasse Rapport présenté à la Coalition gaz naturel
Étude de retombées économiques de la desserte au gaz naturel, Lévis Saint-Damien, MRC de Bellechasse Rapport présenté à la Coalition gaz naturel Bellechasse Octobre 2014 Sommaire : Cette étude s inscrit
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailPLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013
PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013 I L ENTREPRISE ET LA FAMILLE La famille est une entreprise La famille dépend de l entreprise La famille et l entreprise se gèrent de la même manière mais indépendamment
Plus en détailSO00BM24 Introduction aux politiques économiques
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailMÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE
Édition : décembre 13 MÉMO Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur 1. Optimiser l utilisation des livrets défiscalisés 2. Épargner sans plafond 3. Placer une somme importante sur quelques mois
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailCRÉDIT PROSPECTION INTERNATIONAL. Le financement de votre prospection à l international
ENTREPRISES COMMERCE INTERNATIONAL CRÉDIT PROSPECTION INTERNATIONAL Le financement de votre prospection à l international CRÉDIT PROSPECTION INTERNATIONAL UNE ENTREPRISE, POUR DÉVELOPPER SON ACTIVITÉ À
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies E/ESCAP/CST(2)/4 Conseil économique et social Distr. : Générale 7 octobre 2010 Français Original : Anglais Commission économique et sociale pour l Asie et le Pacifique Comité de statistique
Plus en détailLE GUIDE DE L INVESTISSEUR
LE GUIDE DE L INVESTISSEUR Nous avons élaboré un guide des principes de base en investissement. Si vous les comprenez bien et les respectez, vous obtiendrez plus de succès dans vos investissements et par
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailBELGIQUE. 1. Principes généraux.
BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.
Plus en détailLes marchés financiers offrent des opportunités à long terme pour rechercher un potentiel de valorisation de votre patrimoine.
Les marchés financiers offrent des opportunités à long terme pour rechercher un potentiel de valorisation de votre patrimoine. Afin d en profiter, le Plan d Epargne en Actions (1) (PEA) et le Plan d Epargne
Plus en détailGERER SON BUDGET 1- LE BUDGET
D1 GERER SON BUDGET 1- LE BUDGET 1- Analyse de la situation. Caroline, 26 ans, a sélectionné un séjour en Espagne d un montant de 420 tout compris, pour ses vacances du 1 er au 15 aout. Elle devra régler
Plus en détailTendances de l insolvabilité au Canada
Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de
Plus en détailPRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP
DOSSIER N :. PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP Emprunteur Co-emprunteur Mr Mme Mr Mme Nom d usage (en majuscules) :..... Nom de famille (nom de jeune fille) :.. Prénoms :.. Nom d usage (en majuscules)
Plus en détailROYAUME DU MAROC MINISTERE DE LA PREVISION ECONOMIQUE ET DU PLAN
ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE LA PREVISION ECONOMIQUE ET DU PLAN DIRECTION DE LA STATISTIQUE S O M M A I R E Introduction 5 Principales modifications apportées par le SCN 1993 6 Modifications au niveau
Plus en détailPACTE DE RESPONSABILITÉ
PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU
Plus en détailDocument de recherche n 1 (GP, EF)
Conservatoire National des Arts et Métiers Chaire de BANQUE Document de recherche n 1 (GP, EF) Taxation de l épargne monétaire en France : une fiscalité potentiellement confiscatoire Professeur Didier
Plus en détailBrochure. Programme de prêts REE LA BANQUE AU SERVICE DES CONSEILLERS. Réservé aux conseillers à titre d information
Brochure Réservé aux conseillers à titre d information Programme de prêts REE LA BANQUE AU SERVICE DES CONSEILLERS Prêt REE C est un concept simple : le plutôt vous commencez à épargner, plus vos placements
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détailCONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur
CONSOMMATION FINALE Matérialité de l usage Productivité de l usage Effet de l usage Usure d un bien Usage d un bien SANS effet productif ultérieur Satisfaction Gaspillage Champagne School of Management
Plus en détail