L apprentissage entre pairs
|
|
- Marie-Laure Benoît
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L apprentissage entre pairs Recherches sur l influence sociale et sur le conflit sociocognitif (Buchs, Butera, Mugny & Darnon, sous presse) : Les progrès cognitifs réalisés par des novices dépendent de la possibilité d'entrer en conflit probabilité de conflit plus grande entre pairs de la gestion du conflit relationnelle : pas de réelle intégration gestion sociocognitive (épistémique) : intégration les relations symétriques favorisent la gestion épistémique L apprentissage entre pairs représente alors une piste intéressante. à structurer Le travail en groupe et l apprentissage coopératif Le travail en groupe représente les interactions entre apprenants afin d atteindre un but éducatif Les connaissances sont construites de manière active par les apprenants L éducation ou la formation correspond à une transaction entre les apprenants et les enseignants/formateurs, et entre les apprenants Les apprenants peuvent ainsi être utilisés comme des ressources pédagogiques Une définition de l apprentissage coopératif : Un travail d équipe structuré Une situation structurée par le formateur (l enseignant) de manière à assurer un bon fonctionnement de l équipe (niveau social) un travail profond et efficace (niveau cognitif) grâce aux interactions entre les participants. = vers l apprentissage coopératif 1 2 Généralités sur l apprentissage coopératif Bases théoriques Théorie de l interdépendance (Deutsch) Théorie du développement cognitif (Piaget, Vygotsky) Théorie de l apprentissage social (Bandura) Naissance aux EtatsUnis : Recherches applications importantes Développement au Canada (Québec) et en Suisse ( récent) France : travail de groupe encouragé par les textes officiels, mais l apprentissage coopératif est peu développé Les dispositifs d apprentissage coopératif = un ensemble de méthodes dans lesquelles Les étudiants sont encouragés à travailler ensemble sur des tâches scolaires en direction d un but collectif Accent sur les interactions faceàface (petits groupes) Climat de coopération et encouragement de l entraide Résultats des recherches (Johnson & Johnson, 1989) Comparés à des dispositifs compétitifs ou individuels, les dispositifs coopératifs sont bénéfiques Au niveau social et de la motivation prédisposition pour coopérer intérêt pour l'école et la matière estime de soi affinités mutuelles des étudiants normes concernant la réussite scolaire motivation et curiosité épistémique (pour apprendre) attente de réussite Au niveau de l apprentissage (cognitif) acquisition de notions et maintien de ces acquisitions qualité des stratégies de raisonnement créativité transfert positif du travail coopératif au travail Le travail de groupe est structuré 3 4 individuel ultérieur
2 Les dimensions communes de l apprentissage coopératif (Davidson, 1998) 1. Tous les dispositifs ont recours à une tâche commune ou à une activité d apprentissage réalisable en groupe 2. L apprentissage prend place dans les petits groupes Il ne suffirait cependant pas de faire travailler les personnes en petits groupes pour stimuler l apprentissage 3. Une interdépendance positive (coopération) entre les étudiants 4. Une forte responsabilité individuelle 5. L accent est mis sur les comportements coopératifs et sur les interactions constructives. 5 Regroupement en petits groupes Formation des groupes : conséquences sur les interactions entre les membres conséquences sur l apprentissage traduction de la vision de l enseignant (formateur) Critères : Libre choix Homogène Hétérogène Points communs dans la diversité Aléatoire Au départ, il est important de respecter le besoin d appartenance Attention aux effets des statuts Nombre : Entre 2 et 5. Nombre de participants : richesse mais complexité 6 L interdépendance positive (Deutsch, 1949, 1962) L interdépendance = les liens entre les membres d un groupe. L interdépendance sociale représente une situation dans laquelle les individus partagent un but commun, et le résultat de chacun est affecté par les actions des autres L indépendance le produit des individus est indépendant des actions des autres membres ; chaque individu perçoit qu il peut atteindre son but indépendamment des autres = travail individuel La dépendance sociale le produit d un individu est affecté par les actions d un autre individu, la réciproque n étant pas vraie L interdépendance peut être négative (compétition) L interdépendance positive (2) Interdépendance négative : compétition Les individus travaillent les uns contre les autres pour atteindre un but que seuls l un d entre eux ou quelquesuns peuvent atteindre Les réalisations des buts individuels sont négativement corrélées Chaque individu perçoit que lorsqu une personne atteint son but, tous les autres individus échouent Recherche de résultats bénéfiques pour eux mais préjudiciables pour tous les autres Interdépendance positive : coopération Les individus travaillent ensemble vers un but commun. La réussite du groupe dépend de la réussite de chacun de ses membres Les réalisations des buts individuels sont positivement corrélées Chaque individu perçoit qu il ne peut atteindre son but que si les autres atteignent leur but également Recherche de résultats bénéfiques pour tous ceux avec qui ils sont positivement liés positive (coopération). 7 8
3 L interdépendance positive (3) Hypothèse : La manière dont l interdépendance est structurée détermine comment les individus agissent les uns avec les autres, ce qui affecte ensuite les résultats issus de cette interaction Sans interdépendance positive, il n y aurait pas d avantage pour les individus à interagir pendant le travail L interdépendance positive favorise les interactions constructives Encouragement et support mutuels Facilitation des efforts de chacun pour atteindre le but du groupe Ces interactions constructives affecteraient alors le résultat du groupe et notamment la qualité de l apprentissage dans le groupe. 9 Interdépendance des résultats des buts (objectifs) Un but/objectif commun : une présentation ensemble, un rapport commun, l assimilation du contenu par tous les membres pour une évaluation ultérieure. La réussite de chacun n est possible que si tous les autres membres de l équipe réussissent. Expliquer clairement l objectif visé et le but de l équipe Centrer les participants sur deux aspects essentiels Apprentissage personnel Apprentissage des autres partenaires Jouer sur la motivation intrinsèque et sur l intérêt Les amener à travailler ensemble dans le but de tous apprendre en s encourageant pour atteindre un objectif commun des récompenses (stimulants) Récompense collective = même reconnaissance ou récompense à chaque membre de l équipe suite à un travail collectif 10 Interdépendance des moyens des ressources (outils de travail) : partage du matériel, des informations ou des ressources des tâches (séquence) : chaque membre est chargé d accomplir une partie distincte de l activité, les actions d un membre doivent être exécutées avant que celles du suivant puissent être réalisées (recherche personnelle, responsabilité différente, présentation de différents arguments) des rôles : les rôles définissent un comportement bien précis qui favorise la réalisation des tâches. Nécessité d enseigner certains rôles = définir avec les participants les responsabilités assignées aux différents rôles Attention à la surcharge de travail. rôles fonctionnels (scolaire) responsable du matériel, du temps, s assurer que tous les partenaires comprennent les éléments échangés, secrétaire, rapporteur rôles sociaux encouragement, tour de parole, Autres types d interdépendance Simulation : les membres travaillent dans des situations hypothétiques qui simulent une expérience Force extérieure : les équipes doivent faire face à des forces extérieures (le temps, les autres équipes, le critère à atteindre) Environnement : les membres sont liés les uns aux autres par l environnement physique Affiliation : les membres de l équipe établissent une identité commune par l intermédiaire d un nom de groupe, d une devise observateur de comportements prédéterminés
4 La responsabilité individuelle Responsabilité envers soimême et envers l équipe : s assurer que chaque participant fait de son mieux pour faire sa part du travail. 2 responsabilités : faire des efforts pour atteindre le but collectif et aider les autres membres à faire de même Effets de la responsabilité individuelle = Augmente l investissement des étudiants Evite que certains étudiants fassent peu d efforts. Relations réciproques entre l interdépendance positive et la responsabilité personnelle 13 Structuration de la responsabilité individuelle Permettre au groupe de mesurer ses progrès dans l atteinte du but de mesurer les efforts de chaque membre Rendre l apprentissage individuel de chaque étudiant visible évaluation des apprentissages individuels le résultat est donné au groupe et à l individu de manière à savoir qui a besoin d aide et d encouragements Quelques pistes : Faire des groupes de petite taille, demander à un membre au hasard d expliquer la position du groupe, observer les contributions de chacun, assigner un rôle de vérificateur de compréhension, donner à chacun une tâche unique ou un rôle spécifique, demander à chacun d enseigner une partie, faire la moyenne des notes individuelles pour l évaluation du groupe 14 Les interactions constructives Support et valorisation des efforts Encouragement dans le groupe (support personnel scolaire) Valorisation des efforts de chacun pour accomplir la tâche = engagement concentration Echanges et discussion. Résumer des informations Enseigner ses connaissances Construction commune des connaissances Explications > réponses terminales > nonréponses Demande de clarification, questionnement Structuration de la controverse (Johnson & Johnson, 1995) 1. Préparation de la position à défendre dans les binômes. Coopération entre les binômes dans la classe 2. Présentation des positions dans le groupe. Présentation de la position 1 pour convaincre / écoute attentive Présentation de la position 2 pour convaincre / écoute attentive Confrontations et déséquilibres. Conflits sociocognitifs et acquisition de notions Construction sociopsychologique des compétences cognitives Controverse intellectuelle (thème opposant différentes positions) 15 16
5 Structuration de la controverse (2) 3. Critique des positions. Discussion ouverte des positions Tentative pour réfuter les positions alternatives Réfutation des critiques adressées à sa propre position Consignes : se centrer sur la meilleure position (pas sur gagner), critiquer les idées et non les personnes, encourager la participation active de tous, écouter les autres même si avis contraire, donner toutes les idées, demander des clarifications, essayer de comprendre tous les points de vue, ne changer d avis que si on est convaincu. 17 Structuration de la controverse (3) 4. Renversement de perspectives. Défense de la position opposée aussi précisément et complètement que possible pour convaincre 5. Consensus et synthèse raisonnée. Rédaction d un rapport sur le thème présentant une position intégrée et présentation orale 6. Réflexion. Réflexion sur la manière de travailler et sur comment améliorer le fonctionnement du groupe 18 Groupes traditionnels Interdépendance positive non structurée Les individus ne rendent des comptes qu à euxmêmes Groupes homogènes Pas d activité pour le développement de l esprit d équipe Un membre du groupe est désigné responsable de l équipe Habiletés sociales supposées maitrisées L enseignant est en retrait et ne donne pas de critique sur le fonctionnement Groupes coopératifs Interdépendance positive structurée Les individus rendent des compte à euxmêmes et à leur partenaire Groupes hétérogènes Activités pour le favoriser de l esprit d équipe, la confiance, l engagement et la cohésion Partage de la responsabilité de la direction de l équipe Enseignement et analyse des habiletés sociales L enseignant observe le travail, apporte des critiques constructives / fonctionnement, intervient en cas de nécessité 19 Les dimensions supplémentaires Johnson & Johnson : 1) Enseignement des habiletés sociales (tableau en T) 2) Réflexion sur le fonctionnement du groupe et le travail effectué (objectivation, rétroaction, métacognition) Howden & Kopiec : 3) Esprit de classe (valeurs) 4) Esprit d équipe 5) Rôle de l enseignant (ou animateur) Cohen : 6) Importance des statuts et de la participation égale 20
6 Enseigner les habiletés coopératives (Johnson & Johnson) Habiletés coopératives Importantes pour l efficacité du travail de groupe Pas forcément maîtrisées (même par les adultes) Il est possible d enseigner les habiletés dans un temps raisonnable avec des ressources limitées. 1. Déterminer la tâche que le groupe à accomplir 2. Cibler l habileté coopérative nécessaire (commencer par une seule avant de complexifier) Habileté coopérative ciblée En parole (verbal) À déterminer avec les participants Tableau en T En geste (non verbal) À déterminer avec les participants 21 Quelques habiletés coopératives importantes Respecter les tours de parole Assurer la participation de tous Écoute active Entraide : demander et offrir Encouragement Partager ses idées Poser des questions approfondies Apporter des explications et des justifications Vérifier la compréhension Reformuler Synthétiser Vérifier l existence d un consensus Corriger et suggérer Exprimer un désaccord de manière respectueuse Essayer d envisager d autres perspectives Critiquer les idées et non les personnes Résoudre les conflits constructivement 22 Réflexion, objectivation, rétroaction, métacognition Verbaliser les ressentis Faire réfléchir les participants individuellement et collectivement sur l efficacité des comportements concernant le travail effectué (objectif sur le contenu) le travail en groupe (objectif sur les relations coopératives) niveau 1 = introspection (Evaluation de son travail) Qu estce que vous avez dit pour.. (habileté coopérative)? Qu estce que vous avez fait pour aider les autres et l équipe? Niveau 2 = réflexion critique individuelle sur le fonctionnement de l équipe (Evaluation du travail de l ensemble de l équipe) sans consensus Quel comportement a facilité le travail de l équipe? Quels aspects du travail d équipe pourraient être améliorés? Niveau 3 = La réflexion critique collective. Nécessite un consensus Nommer 3 comportements utiles et un comportement à Esprit de classe : Les valeurs et les besoins (Howden & Kopiec, 2000) Des valeurs transparentes (Respect) entraide engagement ouverture aux autres plaisir égalité droit à l essai et à l erreur solidarité confiance Respecter les besoins appartenance liberté confort pouvoir plaisir améliorer
7 Esprit d équipe : Créer un climat positif (Howden) Proposer des activités visant à établir un climat de coopération à l intérieur des équipes (Howden) Communication entre les participants Connaissance des autres (même sous un point de vue différent) Respect et acceptation Entraide, soutien, confiance S assurer que les membres sont prêts à travailler ensemble Activités de réchauffement avant le travail en groupe Activités axées sur les habiletés de communication et de partage la tâche est longue et complexe et c est nécessaire 25 Le rôle de l enseignant (Howden & Kopiec, 2000; Stevahn et al., 1995) Avant la leçon : Décider de l organisation Déterminer les objectifs scolaires et sociaux Déterminer la taille et la manière de former les groupes Arranger la salle Préparer le matériel Amorcer la leçon Etablir un climat positif dans les équipes Structurer les différentes composante (interdépendance, responsabilité) Expliquer la tâche scolaire Préciser les comportements sociaux désirés Expliquer les critères de succès Pendant la leçon : Suivre le travail de groupe et intervenir Suivre le travail et contrôler les comportements Intervenir (assistance sur le travail scolaire et social) Après la leçon Évaluer le travail scolaire Analyser les habiletés sociales 26 Les différentes utilisations du travail coopératif Equipes informelles Discussion courte avec le voisin ou la voisine Equipes formelles Equipe formée en vue de la réalisation d un travail ou d un projet spécifique Groupe de base Groupe sur le long terme, investissement plus important et plus personnel des partenaires. Ces trois formes sont complémentaires et peuvent être utilisées en alternance. 27
Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.
Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place
Plus en détailQU EST-CE QUE TRAVAILLER EN ÎLOTS BONIFIÉS?
Travailler en îlots bonifés selon la méthode pédagogique créée par Marie Rivoire. par Catherine Manesse et Anne Dauvergne IPR Langues vivantes Académie de Dijon Cette façon de travailler, dont on entend
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailPROGRAMME DE MENTORAT
CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des
Plus en détailL ORAL OBJET OU MOYEN D APPRENTISSAGE?
PROFESSIONAL COMMUNICATION AND TRANSLATION STUDIES, 6 (1-2) / 2013 211 L ORAL OBJET OU MOYEN D APPRENTISSAGE? Laura CHIRIAC Politehnica University of Timişoara, Romania Résumé: Cet article tente de donner
Plus en détailEnseigner la lecture analytique en 3ème avec une tablette numérique
Enseigner les Langues et Cultures de l Antiquité avec les TICE http://lettres.ac-dijon.fr TraAM travaux académiques mutualisés, un accompagnement au développement des usages des TIC Enseigner la lecture
Plus en détailSommaire Module téléphone
Sommaire Module téléphone I. Programme 1 page 3 II. Programme 2 page5 III. Programme 3 page 7 IV. Programme 4 page 9 1 Exemple de programme de formation Toutes nos informations sont réalisées sur-mesure.
Plus en détailExemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH
Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux
Plus en détailPréparer ses entretiens de prospection et de vente
Préparer ses entretiens de prospection et de vente Les entretiens de prospection et de vente sont les moments clés du commercial. Cependant la préparation de ces moments est essentielle : se connaître,
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailcoaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur
coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des
Plus en détailListe des formations : Développement personnel
Liste des formations : Développement personnel Gamme de formation 06 LES 5 OUTILS ESSENTIELS DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL POUR... 7108 DEVELOPPER SA PRESENCE POUR MIEUX COMMUNIQUER http://www.cegos.fr/formation-ameliorer-ses-relationsprofessionnelles/p-0106-
Plus en détailLe conseil d enfants La démocratie représentative à l école
Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions
Plus en détailMes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca
Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant
Plus en détailREPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT
REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT L enfant de deux, trois ans, a besoin de bouger pour développer ses capacités motrices. Aménagement des lieux dans l école et dans la classe La cour de
Plus en détailSTRICTEMENT CONFIDENTIEL
MOIS / ANNEE ETUDE DE VALORISATION Société «EDIVAL» STRICTEMENT CONFIDENTIEL BUREAUX 31, Rue de Brest 69002 LYON Tél : +33 (0)8 71 55 11 98 SIÈGE SOCIAL 94, Rue Saint Lazare 75009 PARIS Tél : +33 (0)1
Plus en détailGRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE
GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale
Plus en détailACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ
INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailCapsule préparée par
Analyse réflexive des pratiques pédagogiques sur la route de la réforme en éducation CSBE Capsule préparée par Marthe Poulin Conseillère pédagogique d anglais langue seconde, primaire et secondaire et
Plus en détailL ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE AU LYCEE PICASSO DE PERPIGNAN (Document de travail)
L ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE AU LYCEE PICASSO DE PERPIGNAN (Document de travail) 1. Définition L'accompagnement personnalisé, qui s'adresse à tous les élèves, est un espace de liberté pédagogique permettant
Plus en détailCirconscription de. Valence d Agen
Circonscription de Valence d Agen Pourquoi ce guide? Depuis des décennies, le sujet des devoirs à la maison est discuté dans et hors de l école. Nous avons souhaité faire le point sur ce sujet afin de
Plus en détailAvant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs :
2. Qu est-ce qu un projet commun? Avant de parler de projet commun, il est important de rappeler ce qu est un projet à travers quelques indicateurs : le projet a un début et une fin et se structure en
Plus en détailFormation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur
Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Déroulement des deux journées Mardi 26 Matin : Intervention des IEN Jeudi 29 Matin : Production en binôme. Après-midi
Plus en détailTâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs)
(d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) Table des matières Fiche professeur... 2 Fiche élève... 5 1 Fiche professeur Niveaux et objectifs pédagogiques 5 e : introduction ou utilisation
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailSéance 1 : 1 ère séance concernant cet album.
Séance 1 : 1 ère séance concernant cet album. Objectifs spécifiques : - Observation des illustrations de la 1 ère de couverture et mise en évidence de l inversion des valeurs (loup gentil et cochons méchants).
Plus en détailBILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)
Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailLa P N L appliquée à la vente
La P N L appliquée à la vente Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Objectifs : Maîtriser les outils de programmation de la démarche commerciale. Programmer les objectifs de la réussite commerciale.
Plus en détailINTRANET: Pédagogie générale
INTRANET: Pédagogie générale Les objectifs généraux : trois axes fondamentaux et trois types d activités associées. Les outils : A. Le cahier d ordinateur. B. Le projet de classe. C. Les projets personnels.
Plus en détailS3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles
S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.
Plus en détailLE référentiel des métiers
LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des
Plus en détailQUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE
QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit
Plus en détailSOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2
SOMMAIRE QU EST-CE QU UNE SITUATION DE VENTE POUR LE REFERENTIEL BTS? ------------------------------------- 2 E4 : 12 SITUATIONS / COMPETENCES ------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailL écoute active est une attitude destinée à augmenter la qualité de l écoute. Elle permet à l interlocuteur de se sentir entendu et compris.
L ECOUTE ACTIVE DEFINITION L écoute active est une attitude destinée à augmenter la qualité de l écoute. Elle permet à l interlocuteur de se sentir entendu et compris. Ecouter c est donner à l autre de
Plus en détailActivités pour encourager l apprentissage actif durant les cours
Activités pour encourager l apprentissage actif durant les cours «I lecture only when I m convinced it will do more good than harm.» - Wilbert McKeachie (2002) L exposé magistral constitue, pour une majorité
Plus en détailConsultez-nous. Traiter votre plainte par la résolution locale
Consultez-nous Traiter votre plainte par la résolution locale 2 Table des matières Qu est-ce que le Bureau du directeur indépendant de l examen de la police?...3 Qu est-ce que la résolution locale?...
Plus en détailOUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)
OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel
Plus en détailUne stratégie d enseignement de la pensée critique
Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailChargé(e) d Accueil. La filière certifications de l afpols
Chargé(e) d Accueil La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailBibliothèque des Compétences clés
Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques
Plus en détailUnité de formation professionnelle du Ceras
Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes
Plus en détailDemande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire
Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue
Plus en détailLE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS
A. Armand IGEN lettres avril 2009-1 LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS Cette présentation du programme de français pour les classes de seconde, première, et terminale du
Plus en détailCORRIGÉ GEDOC SA. Proposition de barème sur 70 points
CORRIGÉ GEDOC SA Proposition de barème sur 70 points Questions à traiter Travaux demandés Dossier 1 Organisation des réunions 1.1 Mettre en évidence les inconvénients de l organisation actuelle des réunions.
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détaildes TICE Les plus-values au service de la réussite
des TICE Les plus-values au service de la réussite Les plus-values des TICE au service de la réussite Une analyse interdisciplinaire des usages des Technologies de l Information et de la Communication
Plus en détailMICRO-INFORMATIQUE DÉFINITION DU DOMAINE D'EXAMEN BASE DE DONNÉES CONSULTATION INF-5060-1
MICRO-INFORMATIQUE DÉFINITION DU DOMAINE D'EXAMEN BASE DE DONNÉES CONSULTATION INF-5060-1 OCTOBRE 1996 MICRO-INFORMATIQUE DÉFINITION DU DOMAINE D'EXAMEN BASE DE DONNÉES CONSULTATION INF-5060-1 OCTOBRE
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailMINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION DROIT
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailA1 Parler avec quelqu un Je peux dire qui je suis, où je suis né(e), où j habite et demander le même type d informations à quelqu un. Je peux dire ce que je fais, comment je vais et demander à quelqu un
Plus en détailPrésente HANDBALLONS A L ECOLE APPROCHE DU HANDBALL EN MILIEU SCOLAIRE
Présente HANDBALLONS A L ECOLE APPROCHE DU HANDBALL EN MILIEU SCOLAIRE 1 «Coopérer avec ses partenaires pour affronter collectivement des adversaires, en respectant des règles, en assurant des rôles différents
Plus en détailÉtablir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance
Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM
Plus en détailESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile
ESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile Dans un objectif d appropriation des technologies numériques par les travailleurs d ESAT, j ai choisi de réaliser des ateliers d apprivoisement de
Plus en détailLES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE
LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation
Plus en détailCHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE
CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Sommaire CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE VOUS SOUHAITEZ VENDRE LA SOLUTION ADAPTÉE Sélectionner et argumenter pour réussir
Plus en détailCHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE
CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Chauffage électrique et eau chaude sanitaire Sommaire Chauffage électrique VOUS SOUHAITEZ VENDRE LA SOLUTION ADAPTÉE Valoriser les radiateurs intelligents et
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailprogression premiere et terminale
progression premiere et terminale s.2 s.3 valette SEQUENCE Séance Objectif Contenu du cours Compétences Savoirs 1 1. Le bilan comportemental Identifier les objectifs de la connaissance de soi Utiliser
Plus en détailFICHE S PEDAGOGIQUE S. Bilan personnel et professionnel Recherche active d emploi
FICHE S PEDAGOGIQUE S Bilan personnel et professionnel Recherche active d emploi 2 TABLE DES MATIERES PREMIERE PHASE : BILAN 1. Organisation de la phase de bilan 5 2. Fiches relatives à l'expression orale
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailOPEN DAYS. sous le theme : Ia ville intelligente» lnstitut National des Pastes et Telecommunications,
INPT...(J_.:::.1Hlg -"--'~ ~t-11., "', qjl Club Electroniquc ct Systlmes Embarques lnstitut National des Postes et Teil!communications ~e Club /ectronique et Systemes mbarques organise : OPEN DAYS sous
Plus en détailLa chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.
1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net
Plus en détailI/ CONSEILS PRATIQUES
D abord, n oubliez pas que vous n êtes pas un enseignant isolé, mais que vous appartenez à une équipe. N hésitez jamais à demander des idées et des conseils aux autres collègues (linguistes et autres)
Plus en détailRéguler son enseignement : Pourquoi? Comment?
Mon enseignement, je l évalue, il évolue Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Lucie Mottier Lopez Université de Genève 13 mai 2013 IFRES, Liège lucie.mottier@unige.ch 1 Plan Un cadre pour penser
Plus en détailANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)
ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détailLe harcèlement psychologique au travail
COMMISSION DES NORMES DU TRAVAIL Le harcèlement psychologique au travail COMPRENDRE PRÉVENIR COMPRENDRE Au Québec, chaque salarié a droit à un milieu de travail où il n y a pas de harcèlement psychologique.
Plus en détail5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 c.sanfacon@videotron.ca
5172, des Ramiers Québec QC G1G 1L3 (418) 622-1593 LES TECHNIQUES D INTERVENTION Accepter mes propres émotions, éviter l affrontement, respecter l image du jeune. Ce n est pas toujours évident d intervenir
Plus en détailASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA)
ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA) Paul Hibon * Donner aux bénéficiaires envie d acquérir
Plus en détailCharte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans
Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Page 1 Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Sommaire 1. Cadre institutionnel
Plus en détailGUIDE DU FORMATEUR INTERNE «L Animation de formation»
GUIDE DU FORMATEUR INTERNE «L Animation de formation» CEFOR Ressources humaines Version Février 2013 SOMMAIRE INTRODUCTION... 4 OBJECTIFS ET ORGANISATION DE LA FORMATION... 5 Les bénéficiaires de la formation...
Plus en détailMarketing - Relation commerciale - Communication Exemples de formation
Marketing - Relation commerciale - Communication Exemples de formation Marketing - Le marketing dans la stratégie d'entreprise - Bâtir son plan d'action marketing Vente - Techniques de vente en face à
Plus en détailELABORER UN PROJET D ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF
ELABORER UN PROJET D ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF 1 ELABORER UN PROJET D ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF I. Elaborer le projet SOMMAIRE - L accompagnement éducatif - principes généraux - les volets du projet - Identifier
Plus en détailPour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant
Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant le mot du médiateur de l éducation nationale Madame, monsieur, Parent, enseignant, vous aurez l occasion, au long de l année scolaire, de vous
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailLa relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.
Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client
Plus en détailAider les élèves qui en ont le plus besoin. Animation pédagogique 17 septembre 2008
Aider les élèves qui en ont le plus besoin Animation pédagogique 17 septembre 2008 Un facteur de réussite scolaire : les capacités métacognitives de l élève Wang M.-C. (1990) Qu est-ce que la métacognition?
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailÉcole Le Petit Prince
École Le Petit Prince 44, rue de Juan-les-Pins, Gatineau (Québec) J8T 6H2 CONSEIL D ÉTABLISSEMENT Procès verbal Mercredi 9 octobre 2013, à 19 h Sont présents : André Côté Parent Katya Coulombe Parent Martine
Plus en détailCAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises
CAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises Lycée Bel Air de TINTENIAC Le titulaire de ce CAP doit être capable d assurer, en prenant en compte la sécurité et la qualité, le service transport de marchandises
Plus en détailATELIERS THEMATIQUES COMMERCES UNIONS COMMERCIALES ATELIER CONDUITE DE REUNION DECIDER - CONVAINCRE MOBILISER
ATELIERS THEMATIQUES COMMERCES UNIONS COMMERCIALES ATELIER CONDUITE DE REUNION DECIDER - CONVAINCRE MOBILISER Siège social 82, bis av. des Mimosas - 64700 HENDAYE Tél. 05 59 85 28 59 - Fax : 05 59 201
Plus en détailCHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES
ET DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES EN MILIEU SCOLAIRE CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES INTERVENANTS DANS LES ECOLES, COLLEGES, LYCEES Août 2013 PREAMBULE L École est un lieu d
Plus en détailProjet d établissement
Projet d établissement Le Lycée Expérimental de Saint-Nazaire est un établissement public assurant une formation de second cycle de l enseignement secondaire. Il regroupe des enseignants volontaires qui
Plus en détailLE TRAVAIL EN GROUPES
ACADEMIE DE DIJON LE TRAVAIL EN GROUPES Dossier Professeur LE TRAVAIL EN GROUPES : un atout pour les élèves en P.P.C.P. LE TRAVAIL EN GROUPES : des avantages multiples et variés! pour les élèves! pour
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détail