RECHERCHES QUALITATIVES : PLAN
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- Pascal Joly
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1 RECHERCHES QUALITATIVES : PLAN Pour comprendre les besoins des usagers: ou l intérêt de rapprocher les logiques et les pratiques en Sciences humaines ( entretiens ethno-sociologiques=récits de vie) Entretiens semi-directifs: aspects pratiques et exemples 1
2 Exemple: évaluer les besoins des usagers des dispositifs de soins à domicile Le besoin est une notion complexe Maslowles a hiérarchisés depuis les besoins de nourriture aux besoins spirituels De nombreuses grilles ont été construites ( repères bio-médicaux) Apparente objectivité de ces outils au dépend de l évaluation d autres registres du besoin 2
3 Les besoins selon Maslow 3
4 WOOD P.H.N. Identification des besoinsd unepersonneen situation de handicap et recherchecliniqueen réadaptation? Place de l expressiondu patient pour Place de l expressiondu patient pour l organisation des réponses médicales psychologiqueset socialesfaitesaux incapacités
5 DONALDSON A examiné 25 échelles évaluant les besoins d aide pour les activités de la vie quotidienne utilisationà des fins de surveillance oude rechercheépidémiologique, application à des populations utilisantles services oules centres de rééducation KATZ, BARTHEL et KENNY SELF CARE répondraient aux critères de validité retenus pour des échelles
6 MODELES UTILISES Quel modèle de définition du handicap par la grille AGGIR? «un modèle qui permet d évaluer l expression de l autonomie grâce à l observation des activités effectuées seules par la personne âgée et de définir en fonction de la perte d autonomie un Groupe Iso- Ressources» VETEL, 1994
7 AGGIR L utilisateur doit observer les 10 activités de la vie quotidienne de la personne âgée en repérant ce qu elle fait Les GIR sont des profils d états de dépendance constitués en fonction de la charge nécessaire en accompagnement Les activités retenues concernent le registre corporel et correspondent aux incapacités.deux items appartiennent aux déficiences ( cohérence et orientation)
8 AGGIR Valorise une conception incapacitaireet ne tient pas compte officiellement des registres de la déficience et des désavantages Représentation bio-médicale du handicap Le handicap serait lié à l individu et exclut le rôle de l environnement
9 Le quantitatif oui mais! Aucune information de nature subjective avec ces mesures de la dépendance Aucune dimension sur l importance accordée par les personnes à ces modifications de l autonomie 9
10 Qu est ce que la personne? Être constitué de désirs, cf travaux de FREUD Doté de parole Les besoins spécifiques? La place de l histoire de la personne La place de son projet Interprétation personnelle de la situation L interprétation donnée par l entourage 10
11 La personne, le respect de la personne? En pleine guerre, Simone WEIL luttait pour la démocratie moderne en dénonçant la soi-disant démocratie fondée sur le respect de la personne humaine «impossible à définir» et pensait que prendre pour règle de morale publique une notion impossible à définir et à concevoir, c est donner passage à toute espèce de tyrannie. Face à cette situation trompeuse, plusieurs remèdes «il faut encourager les idiots, les gens sans talent, les gens de talent médiocre qui ont du génie le génie réel n est pas autre chose que la vertu surnaturelle d humilité dans le domaine de la pensée». Les Ecrits de Londres,
12 Les besoins Explicites et implicites Définition de la qualité ISO reprend cette double dimension du besoin: «c est l ensemble des caractéristiques d une entité qui lui confère l aptitude à satisfaire des besoins exprimés ou implicites» 12
13 Les besoins explicites Sont connus par les questionnaires de satisfaction Il s agit de la demande de la personne 13
14 Les besoins implicites Les questionnaires ne peuvent pas les appréhender Les indicateurs de satisfaction sont construits d après des présupposés professionnels de ce qui fait la qualité d un service ou d un produit 14
15 Positionnement théorique et hypothèses de recherche Deux courants de la sociologie L analyse des représentations sociales L analyse des interactions entre acteurs ( l interactionnisme symbolique Ecole de Franckfort) 15
16 La représentation Est le produit d une activité mentale par laquelle un individu ou un groupe reconstitue le réel auquel il est confronté et lui attribue une signification spécifique ( ABRIC) L analyse des représentations sociales est donc l étude des phénomènes idéologiques et culturels collectifs qui inspirent les logiques d action 16
17 Analyser une représentation Les cadres de référence utilisés pour se représenter une réalité sont souvent en lien avec des identités d acteurs appartenant à un champ social dont il partage le système de valeurs ( Bourdieu, l Habitus) 17
18 L analyse des interactions Les acteurs qui agissent en fonction de logiques personnelles et collectives interagissent dans la formation d un ordre social. Une situation ne peut être analysée sans la compréhension de la façon dont ces logiques interagissent pour former le réel 18
19 Hypothèses de l étude Le dispositif d aide et de soin est construit par les professionnels et utilisé par les usagers en fonction de leur perception, jugement de valeur, évaluation des expériences vécues 19
20 Schéma explicatif hypothèses Construction des réponses par les professionnels en fonction d un contexte politique et économique Représentations professionnelles des besoins d un usager Attentes Besoin des usagers Utilisation des réponses par les usagers utilisation formelle, informelle, refus) 20
21 Réponse d aide confrontée aux attentes Si l usager ne trouve pas satisfaction dans le service tel que prévu, il peut refuser ou il peut adapter la réponse proposée à ses besoins ( utilisation informelle) A travers l observation de ses comportements, nous obtenons une évaluation de ses besoins 21
22 Plusieurs autres hypothèses L observation des utilisations informelles Un moyen de réduire l écart entre l offre et les besoins serait de réduire l écart entre les représentations professionnelles et usagers du besoin par la compréhension de chacune des logiques d acteur 22
23 Le choix d une méthode indirecte pour saisir les besoins des usagers Question de départ: étude des représentations et des utilisations du dispositif d aide et de soins à domicile pour les usagers Entretiens avec des personnes âgées ou avec les aidants familiaux La variété des situations d aide a été valorisée 23
24 Comment valoriser la variété des situations d aide? La personne résidait dans une commune où intervenait un organisme d aide à domicile La personne était dans une des situations suivantes : Bénéfice d aide ménagère Bénéfice d un service de soins à domicile Bénéfice des services d une infirmière libérale Bénéfice des services d un foyer logement Autres Ou repérage de besoin d aide 24
25 Le choix d une démarche compréhensive Plusieurs types d entretiens existent: différences liées au degré de liberté laissé à l enquêteur et à l enquêté et par le niveau de profondeur des réponses attendues L entretien non directif laisse la liberté à l interviewé de parcourir une question ouverte comme il l entend 25
26 Entretien non directif S abstenir de toute intervention directive N intervenir que pour augmenter l information sur l activité mentale de l interviewé Utiliser des techniques d appel à l expression ( reformulation, silence attentif, approfondissement) 26
27 Entretien non directif Cet entretien permet d interroger les valeurs et les cadres de référence des usagers 27
28 Technique d entretien empruntée à l ethnosociologie : LE RECIT DE VIE Un sujet raconte à une autre personne un épisode quelconque de son expérience de vie Il s agit d un entretien narratif Intérêts : libérer le chercheur de ses a priori Permettre de saisir les significations intersubjectives des actions dans leur déroulement biographique, les logiques d action, leur contexte socio-historique 28
29 Dans l exemple étudié Faire décrire à l usager son parcours dans le champ de l aide, la recherche d information, les motifs de la demande, la description et l explication des aides reçues, l évaluation de ses expériences POUR COMPRENDRE Les logiques qui sous-tendent les interactions entre professionnels et usagers 29
30 La conduite de l entretien ethnosociologique Le lancement de l entretien 1 expliquer ce que l on cherche. 2 question ouverte «racontez-moi une de vos journées» 3 attitude à promouvoir: bien écouter, bien relancer, poser les bonnes questions aux bons moments, interrompre le moins possible, solliciter des descriptions 30
31 Entretien ethnosociologique ou Le guide d entretien: récit de vie Une liste de questions que l investigateur se pose ( à garder sous les yeux au cours de l entretien) Respecter le modèle narratif Saisir l occasion de demander au sujet de développer tel ou tel point ( faisant partie du guide d entretien) 31
32 Dans cette étude» étude des représentations et des utilisations du dispositif d aide et de soins à domicile par les usagers» Guide d entretien: Décision de faire appel à une aide ou un service ( modalités de recherche et d utilisation de l information) Le processus d orientation dans le dispositif d aide ( réponse mise en œuvre, adéquation ressentie, connaissance de l étendue des choix de service) Le processus de décision menant à l entrée dans le service ( comment la personne parle-t-elle de cette décision? ) L expression d un besoin actuel par la personne ( comparaison dans le temps de l apparition des difficultés de la personne, de la demande et de l entrée dans la prise en charge) Appréciation de la qualité du service 32
33 Les axes de relance du discours La visibilité des services par les usagers La lisibilité ( quelle compréhension ont-ils du dispositif et du travail des aidants?) L acceptabilité ( quelles difficultés ou imites mettent-ils en évidence vis-à-vis du dispositif ou d un service?) L utilité ( quelles utilisations font-ils des services et quels intérêts décrivent-ils?) 33
34 Conclusion de l entretien ethnosociologique Conclure avec une question projective Envisager la rencontre en termes de don auquel le chercheur apporte un contre-don Donc prendre du temps pour faire ressortir les points positifs dans l expérience vécue 34
35 Résultats Le ressenti du besoin d aide et la demande d un service par l usager peuvent être parfois très éloignés «Je ne suis pas assez vieille pour demander une dame de compagnie Si on perd la tête on ne peut pas rester à domicile» Freins financiers, refus du vieillissement, logique de confinement de l aide à l espace privé, refus d une maladie Les facteurs conduisant à la demande d aide?pour le foyer logement : incontinence, décès du conjoint, libération d une place La plupart des individus rencontrés subissent une situation d aide plus qu ils ne l ont décidée et organisée Service obtenu pas le plus compatible avec le besoin exprimé «je commençais à avoir du mal pour m habiller et me laver», aide ménagère obtenue 35
36 résultats La recherche des motifs d action des usagers montre que d autres rationalités priment sur les besoins des individus telles que le projet de vie ( ne pas être séparé) ou la capacité d accepter une réponse professionnelles ( demander une aide ménagère plutôt qu une aide soignante) Les logiques d information: le médecin généraliste est l interlocuteur le plus repéré aussi bien en terme d information que d orientation ou de décision de demande d aide 36
37 résultats Questionnement de la logique d aide et de soin: méthode indirecte de recueil d appréciation des aides : analyse des façons de parler Qualités attendues du médecin versant décisionnel et capacités techniques et humaines Qualités attendues des aides soignantes et des aides ménagères: qualités inhérentes à la personne et plus accessoirement sur les compétences professionnelles Pour le choix des dames de compagnie ou des employées de maison: connaissance du handicap et de la vieillesse, la patience, la fidélité Les limites des réponses professionnelles «pas de passage le WE et le soir»pour les aides soignantes «nous avons eu le service deux mois après l hospitalisation», manque de souplesse 37
38 Comment conduire un entretien Qualités de l enquêteur : Avoir le sens des relations humaines Ouverture d esprit Réceptivité Attention, patience Discrétion Neutralité Savoir écouter Attitude de non-critique, être à la fois distant et proche en montrant Sciences de sociales la et santé sympathie 38
39 Comment conduire un entretien Choisir un lieu calme Motiver la personne: présentation du sujet et son objectif, justifier le choix Se présenter et présenter le contexte conduisant à l entretien 39
40 Comment conduire un entretien Expliquer les modalités de réalisations de l entretien, la méthode adoptée et vos attentes de la part de l enquêté Évoquer les aspects de déontologie professionnelle : anonymat, confidentialité, liberté de répondre Avant de commencer, s assurer que le sujet a saisi l objet de l entretien Enregistrer est conseillé ( avec l accord de l interviewé) 40
41 Comment conduire un entretien Semi -directif: grille de thèmes(guide d entretien): les introduire les uns après les autres, peu importe l ordre. Toujours favoriser la libre expression, s adapter au cours de la conversation 41
42 Guide d entretien semi-directif (1) L ensemble des thèmes à explorer Les stratégies d intervention de l interviewer Le degré de formalisation est fonction de l objet d étude, de l usage de l enquête et du type d analyse projeté De façon générale : Qui est l interviewé? Que fait-il? Que pense-t-il? éviter le Pourquoiqui peut conduire à des réponses défensives et favoriser le Comment 42
43 Exemple de guide d entretien (2) Thèmes du guide 1. Typologie des inégalités de santé 2. Aspects généraux: a) Leur importance b) Leurs différentes dimensions 3. Causalité le lien avec les choix politiques, avec l éducation, avec les pratiques professionnelles, avec l emploi 4. Moyens de les réduire 5. Canaux d information 6. Prospective Relances verbales prévues 1. Qu évoque pour vous le terme inégalités de santé 2.Pensez-vous que ce phénomène ait une grande importance? Comment se traduisent-elles? Quelles sont les raisons expliquant ces phénomènes? 4. Pensez-vous qu il convient de faire quelque chose? Avec quels moyens? 5. Comment en avez-vous connaissance ou comment en avez-vous entendu parler? 6. Comment pensez-vous que cela va évoluer? 43
44 exemple de guide d entretien: explorer les causes de la participation aux ateliers de prévention des lombalgies en entreprise Entretiens avec les salariés : Vécu du déroulement de l expérience : bilans et ateliers Compréhension des objectifs au départ (manière dont cela a été présenté, par qui) Perception de l intérêt de la démarche,correspondance avec des besoins ressentis Facilités / difficultés pour se rendre aux bilans / aux ateliers Pour ceux qui sont allés au(x) bilan(s) : intérêt perçu / critiques Pour ceux qui sont allés à au moins un atelier : intérêt perçu / critiques Intérêt d une telle démarche au sein de l entreprise Définitions des besoins Suggestions pour aider au reclassement 44
45 exemple de guide d entretien(c) Entretiens avec les responsables d unité : Connaissance de cette expérience Perception de ses objectifs et de son contenu Information reçue Vecteurs de l information Perception de l ampleur du problème de lombalgies chez les opérateurs en ligne Critères d attribution de poste Rôle de l ergonome Rôle du service médical Difficultés rencontrées / Adaptation au poste Échos des salariés sur l action Intérêt de poursuivre ce type d action Faisabilité Opinion sur le reclassement des salariés de la câblerie Suggestions 45
46 L art des entretiens Ils apprirent à faire parler les autres et à mesurer leurs propres paroles: ils surent déceler sous les hésitations embrouillées, sous les silences confus, sous les allusions timides, les chemins qu il fallait explorer; ils percèrent les secrets de ce «hm» universel, véritable intonation magique par lequel l interviewer ponctue le discours de l interviewé, le met en confiance, le comprend, l encourage, l interroge, le menace même parfois. Georges Sciences soc iales et santé 46 PEREC
47 bibliographie Becker H. Les ficelles du métier, Guides Repères, La Découverte Mauss M., Sociologie et anthropologie ( essai sur le don), PUF, Quadrige, 1985.p Blanchet A., GotmanA. L enquête et ses méthodes : l entretien Paris, Nathan 1992 Bourdieu P., Questions de sociologie, Minuit, 2002 Chauvin K., DonnioI. Confrontation de deux logiques dans le champ de l aide et du soin Gérontologie et Société, n 104, mars 2003, BerthoN. Sociologie, les techniques d enquête, Colin, 1998 Perec G. Les Choses, Julliard, 1965, p.36 Begué-Simon A-M., Les conséquences situationnelles des incapacités. Réseau International CIDIH, 1993 : 5-6; Begué-Simon A-M., Chaperon J, Prévention des lombalgies chroniques, Santé publique, 2008, 20, 5,
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