Combien d'habitants en Midi-Pyrénées en 2030?

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1 Numéro 98 : avril 2007 Combien d'habitants en Midi-Pyrénées en 2030? En supposant un maintien des tendances démographiques récentes, la population régionale passerait de 2,7 millions d habitants en 2005 à 3,3 millions en Avec une croissance de 22 %, Midi-Pyrénées se classerait au second rang des régions de France métropolitaine, derrière le Languedoc-Roussillon. Dans une hypothèse de migrations plus basses, proches de celles observées entre 1975 et 1990, la population régionale serait de 3 millions d habitants en Corine GRAND-COUSTURE Isabelle PERTILE

2 En 2005, Midi-Pyrénées compte 2,7 millions d habitants. À l horizon 2030, il y en aurait 3,3 millions selon le scénario de projection de population dit «central» qui consiste à prolonger les tendances démographiques récentes en matière de fécondité, mortalité et migrations externes. Selon ces tendances, la population régionale progresserait de 22 % par rapport à 2005 contre 11 % au niveau national. En 25 ans, la population augmenterait ainsi de 0,8 % par an, soit à un rythme moins soutenu qu entre 1999 et 2005 : 1,2 % en moyenne annuelle. Cet amortissement de la croissance tient prioritairement au choix de prolonger les tendances migratoires alors que la fin de période est beaucoup plus dynamique. Il s explique également par le vieillissement progressif de la population qui tend à peser sur son évolution. Cette progression placerait Midi-Pyrénées au second rang des régions de France métropolitaine, juste derrière le Languedoc Roussillon (+ 32 %). L évolution de la population résulte de l écart entre naissances et décès (solde naturel) et de la différence entre entrées et sorties du territoire régional (solde migratoire). En Midi-Pyrénées, le dynamisme démographique actuel repose essentiellement sur sa capacité à attirer de nouvelles populations. Dans la région, la composante naturelle n a contribué que pour 14 % à la croissance de la population entre 2005 et D ici à 2030, le solde naturel devrait, tout en restant positif, progressivement diminuer pour ne plus participer qu à hauteur de 7 % à l augmentation de la population. En niveau, le solde naturel passerait de en 2005 à en 2030 dans le scénario central. L évolution de la fécondité, de la mortalité et surtout des migrations est incertaine à long terme. Il est donc nécessaire de chiffrer l effet d un changement d hypothèse sur les résultats projetés. Pour chaque composante du mouvement de la population, deux variantes ont été retenues par rapport au scénario central : une hypothèse haute et une hypothèse basse. S ans migration, la population baisserait Un scénario sans migration permet d apprécier le dynamisme propre de la population résidente en l absence d échanges avec l extérieur. En Midi-Pyrénées, il conduirait en 2030 à une population en baisse et nettement plus âgée que celle issue du scénario central démontrant ainsi, a contrario, l impact positif des migrations sur la population régionale tant en termes de croissance que de ralentissement de son vieillissement. Ainsi, en supposant une absence totale de migrations, la population régionale diminuerait de 1 % entre 2005 et Les décès seraient plus nombreux que les naissances à partir de En 2030, la part des 60 ans et plus serait de 33,6 %, et 8,9 % de la population régionale aurait plus de 80 ans : dans le scénario central ces proportions seraient respectivement de 31,1 % et 7,5 %. L âge moyen dans la région atteindrait 45,1 ans. Avec les mêmes hypothèses, la population métropolitaine progresserait de 6 % et l âge moyen y serait de 43,2 ans en 2030 contre 42,6 dans le scénario central. 2

3 Les nouvelles projections de population : neuf scénarios et leurs composantes Composantes scénario migrations central hautes migrations basses sans migration migrations très basses fécondité haute fécondité basse espérance de vie haute espérance de vie basse Évolution de la population (%) 2 24,3 19,3-0,9 12,0 25,1 18,6 22,8 20,6 Nombre moyen d'enfants par femme en ,0 1,6 Espérance de vie à la naissance en 2030 (ans) Hommes Femmes 82,9 88,3 80,1 85,6 Solde migratoire annuel moyen ( personnes) Source : Insee, modèle OMPHALE Six variantes pour analyser l évolution de la population régionale à l horizon 2030 En cas de fécondité haute, la population régionale progresserait de 25 % entre 2005 et 2030, pour atteindre 3,4 millions d habitants. Entre ces deux dates, la part du solde naturel dans la croissance de la population de Midi-Pyrénées progresserait de 14 % à 19 %. En revanche, en cas de fécondité basse, la population régionale n augmenterait que de 19 % pour atteindre 3,2 millions d habitants en Les décès seraient plus nombreux que les naissances dès 2009, la croissance de la population reposant dès lors exclusivement sur l apport migratoire. Dans un scénario de mortalité en hausse (espérance de vie basse), la population de la région augmenterait de 21 % entre en 2005 et Selon ce scénario, le solde naturel deviendrait négatif à compter de Avec une hypothèse de mortalité plus faible (espérance de vie haute), la population régionale augmenterait de 23 %. La part du solde naturel dans la croissance de population s élèverait à 12 % en Dans une hypothèse nationale de migrations hautes, où les entrées en France métropolitaine s élèveraient à personnes par an à partir de 2010 (contre dans le scénario central), l affectation régionale aboutirait à près de entrants supplémentaires en 2030, en Midi-Pyrénées par rapport au scénario central. Selon ce scénario, la population régionale augmenterait de 24 % par rapport à Une hypothèse nationale de migrations basses ( entrées par an en France métropolitaine à partir de 2010) conduirait à une progression de 19 % de la population régionale entre 2005 et La région resterait en seconde position après le Languedoc- Roussillon pour l évolution de sa population. De telles hypothèses de fluctuations, pourtant fortes, du solde migratoire entre la France et l étranger ont un impact finalement modeste sur l évolution de la population régionale : plus ou moins 2 % par rapport au scénario central à l horizon Cela tient au fait que l essentiel du flux migratoire régional résulte d échanges avec les autres régions françaises (notamment l Ile-de-France et les régions limitrophes, Aquitaine et Languedoc-Roussillon). En revanche une hypothèse de fléchissement du flux migratoire régional affecte beaucoup plus directement la croissance de la population de Midi-Pyrénées de 2005 à Un moindre dynamisme économique pourrait freiner l apport migratoire L apport migratoire s est fortement amplifié en Midi-Pyrénées au cours des dernières années. Les nouveaux arrivants sont plutôt jeunes, diplômés et actifs. Le dynamisme du marché du travail régional, plus porteur que le marché national, constitue un puissant facteur d attraction. Dans ces conditions, les flux migratoires se sont intensifiés ces dernières P our en savoir plus «Projections régionales de populations à l horizon Fortes croissances au Sud et à l Ouest», Insee Première n 1111, décembre «Projections de population pour la France métropolitaine à l horizon La population continue de croître et le vieillissement se poursuit», Insee Première n 1089, juillet

4 Entre 1990 et 2005, les actifs sont plus mobiles Quotients migratoires par âge % Source : Insee, modèle OMPHALE Note de lecture années à des rythmes historiquement très élevés. Si l on fait l hypothèse qu après 2005 la part de l apport migratoire en Midi-Pyrénées revient au niveau qu elle atteignait entre 1975 et 1990, tout en maintenant les tendances récentes de fécondité et mortalité, la population de Midi-Pyrénées ne dépasserait plus que très légèrement les 3 millions d habitants en Dans ce scénario de migrations que l on peut qualifier de «très basses», la région Sur la période , chaque année, en Midi-Pyrénées, l excédent des arrivées sur les départs des personnes de 45 ans représente environ 0,66 % des effectifs de cet âge. Sur la période cet excédent représente 0,43 %. compterait donc près de personnes de moins que selon le scénario central qui maintient l apport migratoire observé entre 1990 et En 2030, le solde migratoire annuel ne serait plus que de personnes (contre selon le scénario central) et naissances et décès s équilibreraient. Les actifs, entre 35 et 60 ans, seraient moins nombreux à venir dans la région : les enfants accompagnant leurs parents dans leurs migrations le seraient donc également. La part des plus de 60 ans augmenterait fortement Quel que soit le scénario étudié, le vieillissement de la population est inéluctable, tant au niveau national que régional. Il découle de l avancée en âge des générations du baby-boom. Ainsi, selon le scénario central, l âge moyen en Midi-Pyrénées serait de 43,6 ans en 2030, contre 40,9 ans vingt-cinq ans plus tôt. En France, l âge moyen serait de 42,6 ans en 2030 contre 39 ans en En dépit de migrations modérant son vieillissement, Midi-Pyrénées compterait 1 million de personnes de plus de 60 ans en 2030, contre en 2005, soit 57 % de plus en 25 ans. Les personnes de plus de 60 ans représenteraient 31 % de la population régionale contre 24 % en En France, leur part serait de 29 % contre 21 % en Les personnes nées entre 1945 et 1975 forment en effet des classes d âge très fournies qui, vers 2030, composeront la majorité des personnes de 60 ans et plus. L'espérance de vie continuerait de s'allonger : en 25 ans, elle augmenterait de quatre ans pour les hommes et de trois ans pour les femmes. C est dans le cadre d un scénario «fécondité basse» que la part des 60 ans et plus serait la plus importante dans la population régionale : 32 %. Inversement, ils ne représenteraient que 30,3 % des midi-pyrénéens si l'on supposait une hausse de la fécondité. Les personnes de plus de 80 ans constitueraient également une part croissante de la population. Dans le scénario central, ils représenteraient 7,5 % de la population régionale contre 5,5 % en Malgré une proportion supérieure à la moyenne nationale (7,2 %), Midi-Pyrénées se positionnerait dans une situation 4

5 D éfinitions Les projections commentées ici ont été élaborées avec les hypothèses du scénario dit «central» : les taux de fécondité par âge sont maintenus à leur niveau de 2005 ; la mortalité baisse au même rythme que celui observé en France métropolitaine sur les quinze dernières années ( ) ; les quotients de solde migratoire représentent, pour chaque âge, le rapport entre le solde migratoire et la population totale d une année donnée. Ils ont été calculés sur la période , et sont maintenus sur la période de projection. Les projections régionales sont ensuite calées sur la projection nationale de telle sorte que le solde migratoire métropolitain soit de individus par an. Des variantes possibles Des variantes ont été simulées pour chaque composante afin de mesurer l impact d évolutions différentes de celles retenues dans le scénario central. Pour la fécondité, le scénario «fécondité haute» fait converger l indice conjoncturel de fécondité de chaque région vers une valeur cible en 2010 qui correspond à l indice de la zone en 2005 augmenté de 0,2. Cette valeur est ensuite maintenue constante jusqu en Pour le scénario «fécondité basse», construit selon le même principe, c est la valeur de l indice conjoncturel de fécondité de la zone moins 0,2 qui sert de cible en Pour la mortalité, le scénario «espérance de vie haute» fait évoluer l espérance de vie de chaque région parallèlement à l évolution métropolitaine du scénario correspondant. Ce dernier est établi avec des gains progressifs d espérance de vie à la naissance, pour atteindre environ 88,2 ans pour les femmes et 82,1 ans pour les hommes en Pour le scénario «espérance de vie basse», élaboré selon le même principe, les valeurs nationales s élèvent à 85,4 ans pour les femmes et 79,4 ans pour les hommes. Pour les migrations, le scénario sans migrations est une projection dans laquelle tous les quotients de solde migratoire sont mis à zéro. Selon cette hypothèse, le nombre d entrants sur le territoire équivaut au nombre de sortants. Il constitue une variante intéressante pour appréhender leur impact sur les projections régionales. Le scénario migration haute consiste à augmenter les quotients de solde migratoire du scénario central de 0,001, soit un migrant de plus pour habitants, en se calant sur un solde migratoire qui atteindrait migrants en 2010 en France métropolitaine et resterait stable ensuite. Dans le scénario migration basse, les quotients de solde migratoire sont diminués de 0,001, ce qui équivaut à un migrant de moins pour habitants. La projection régionale est calée sur un solde migratoire métropolitain qui atteindrait migrants en 2010, puis serait stable jusqu en médiane au sein des régions françaises loin derrière le Limousin, en tête avec 9,5 % de personnes de plus de 80 ans. C est dans le cadre d un scénario avec une espérance de vie haute que la part des plus de 80 ans au sein de la population de Midi-Pyrénées serait la plus importante : 8,1 %. La part des 20 à 59 ans diminuerait Le nombre des personnes de moins de 20 ans augmenterait aussi, mais de façon plus mesurée : + 16,5 % entre 2005 et Midi-Pyrénées figurerait, derrière le Languedoc-Roussillon, au second rang des huit régions françaises comptant plus de jeunes en 2030 qu en Cette catégorie représenterait 21,6 % de la population en 2030 (22,6 % en France) contre 22,8 % en 2005 (24,9 % en France). En 2030, la population des 20 à 59 ans qui apporte des ressources en main-d œuvre atteindrait 1,6 million d individus, 5

6 L excédent migratoire tire la croissance régionale Proche de 1 % par an entre 1962 et 1968, la croissance de la population régionale s est ensuite ralentie jusqu au début des années La croissance s'est ensuite accélérée au cours des années 2000 (+ 1,2 % d évolution annuelle moyenne entre 1999 et 2005). En Midi-Pyrénées, la contribution du solde naturel dans la croissance de la population a toujours été faible. C est au cours des années 1960 qu elle a été la plus élevée. L indicateur conjoncturel de fécondité, qui correspond au nombre d enfants par femme en âge de procréer, a culminé à 2,6 en 1962 l pour diminuer ensuite et atteindre 1,5 en Entre 1975 et 1990, le solde naturel est quasi nul, naissances et décès s équilibrant. Il redevient légèrement positif dans les années Inversement, l apport migratoire a toujours fortement contribué à la croissance de la population régionale. Si dans les années 1960, cet excédent était surtout dû à un afflux d étrangers (rapatriés d Afrique du Nord), actuellement il provient essentiellement d échanges avec les autres régions métropolitaines, en raison de la forte attractivité de Midi-Pyrénées. soit 8 % de plus qu en Cependant, on ne compterait plus que 152 personnes de 20 à 59 ans pour 100 personnes de 60 ans et plus, contre 221 en Les ans ne représenteraient plus que 47,3 % de la population contre 53,4 % en 2005 (respectivement 48,1 % et 54,3 % au niveau national). C est sous une hypothèse de fécondité haute que la part des 20 à 59 ans au sein de la population régionale serait la plus forte. Cependant, dans les six variantes envisagées cette part de la population est plus faible en 2030 qu en S ource Les populations régionales au 1 er janvier 2005 sont issues des Estimations localisées de population disponibles mi Elles n intègrent donc pas d éventuelles révisions ultérieures. À partir de ces données par sexe et âge, l Insee a réalisé de nouvelles projections de population régionales à l aide du modèle OMPHALE, qui applique, d année en année, et pour chaque sexe et âge, des quotients migratoires, de fécondité et de mortalité, aux populations correspondantes. Ces quotients sont déterminés en prenant en compte les tendances de fécondité, mortalité et de migrations régionales observées par le passé. Les dynamiques de peuplement sont décrites ici sous l hypothèse que ces tendances se répliquent d année en année, sans intégrer les réactions complexes qu elles peuvent susciter : effet sur le marché foncier, impact et effets correctifs des politiques publiques territoriales... Ces projections ne peuvent donc s assimiler à des prévisions : il n est pas affecté a priori de probabilité aux hypothèses retenues. Pour autant, les phénomènes majeurs tels que le vieillissement de la population sont inéluctables. INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES DIRECTION RÉGIONALE DE MIDI-PYRÉNÉES Téléphone : Télécopie : Adresse : 36, rue des Trente-Six-Ponts BP TOULOUSE CEDEX 4 Directrice de la publication : Magali Demotes-Mainard Rédactrice en chef : Marie-Pierre Plaux Maquettiste : Béatrice Récly Imprimeur : Escourbiac Dépôt légal : avril 2007 ISSN : X CPPAP : 183AD SAGE : SIPAG9876 6

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