Retrait des mesures de folates
|
|
- Camille Laurin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Retrait des mesures de folates Pierre Douville, md FRCPC Service de biochimie (CHU de Québec et IUCPQ) Jean Lyonnais, md FRCPC Service d hématologie (CHU de Québec et IUCPQ) Depuis 1998, l addition d acide folique dans les farines est rendue obligatoire en Amérique du Nord, de sorte que la déficience en folate est devenue exceptionnelle. Nos données de laboratoire montrent rarement des concentrations basses en folates. Les services de biochimie et d hématologie ont convenu du retrait des mesures des folates sauf pour des cas d exceptions. Physiologie Les folates servent à des réactions enzymatiques intracellulaires comprenant un transfert d un groupement à un seul carbone (métabolisme C1) comme par exemple le groupe méthyl (-CH3) ou formyle (-CHO). La principale forme circulante est le 5-methyl-tétrahydrofolate. Ce dernier entre dans les cellules à l aide d un transporteur membranaire et peut subir diverses transformations dont l ajout d un ou plusieurs glutamates. Ces ajouts permettent de trapper les folates dans la cellule de sorte que la concentration intracellulaire est environ 50 fois plus élevée que dans le sérum. Une des principales manifestations de la déficience est une anémie macrocytaire avec une hypersegmentation des noyaux leucocytaires. Chez les femmes enceintes, la supplémentation a permis de réduire les défauts de fermeture des tubes neuraux et possiblement d autres malformations congénitales. Comment mesurer le statut vitaminique en folates? On utilise souvent indistinctement les termes <acide folique> et <folates> pour désigner l ensemble des molécules ayant le noyau de base de l acide folique. Il serait plus approprié de parler des folates car il existe plus d une trentaine de variantes au niveau cellulaire. Idéalement, on voudrait mesurer l ensemble de ces composés. Aujourd hui, les laboratoires utilisent des essais compétitifs avec la folate binding globuline et divers traceurs. Malheureusement, la réponse aux différents folates présents dans un échantillon peut différer entre les méthodes. Par exemple, un radioimmmunoessai utilisé dans une des études NHANES a produit des résultats inférieurs de 29% pour le sérum et 45% pour les folates érythrocytaires par rapport à une mesure microbiologique utilisée plus récemment. Dans le cas des folates érythrocytaires, un prétraitement des échantillons est requis pour extraire et convertir les polyglutamates en monoglutamate. Avec le temps les méthodes se sont améliorées et les rendements d extraction sont aujourd hui plus élevés. Cette évolution technique a un impact majeur lorsque l on veut comparer les valeurs d aujourd hui par rapport aux anciennes données ayant souvent servi à l établissement de valeurs seuils pour identifier une déficience. Cela affecte surtout les mesures de folates érythrocytaires. Les folates sériques sont souvent considérés comme le test de première ligne dans l évaluation à cause de sa simplicité pour les laboratoires. Cependant, les folates sériques ne représentent que +/- 1,5 % des folates du sang total. Ces folates reflètent l apport récent de la diète. Des résultats
2 sériques bas sans déficience cellulaire peuvent survenir lors d anorexie, de consommation aiguë d alcool ou chez les patients hospitalisés qui s alimentent peu. À l inverse, un seul repas riche en folates peut faire augmenter les folates sériques et masquer ainsi un diagnostic. Les folates érythrocytaires reflètent les concentrations tissulaires pendant la période de production médullaire des globules rouges et sont donc plus représentatifs de l état vitaminique au niveau cellulaire à plus long terme. TABLEAU 1 sérum f.érythrocytaires moyenne médiane 5-95ième moyenne médiane 5-95ième NHANES , NHANES , NHANES 3 corrigé , NHANES corrigé NHANES santé CANADA ,5-97,5ième 2,5-97,5ième méthode Roche Europe méthode Roche Australie méthode Roche Québec > NB : les valeurs corrigées sont des valeurs normalisées équivalentes aux valeurs 2009 pour compenser les différences méthodologiques. Les lignes identifiées roche 2011 font référence à la méthode de la compagnie Roche 2011 qui est la méthode utilisée actuellement à Québec (IUCPQ et CHU). Quelles valeurs de référence sont applicables? Les laboratoires définissent couramment les valeurs de référence à partir d une population normale avec des limites au 2,5 ième et 97,5 ième percentile. Avec l ajout d acide folique dans la farine et l utilisation assez répandu de suppléments vitaminiques, la déficience fonctionnelle en folates est devenue rare. Clairement, le 2,5 ième percentile d une population normale ne peut pas servir en soi de critère pour identifier une déficience. En effet, il y aurait alors, par définition, toujours 2,5% de résultats bas peu importe l apport de folates dans la population. Le tableau 1 indique le résultat de certaines études populationnelles pour les folates sériques et érythrocytaires. On observe de grandes différences dont une partie est due à des différences méthodologiques et une autre à la supplémentation obligatoire à partir de 1998 en Amérique du Nord. En tenant compte des différences de méthode dans les études NHANES aux États-Unis, on peut estimer que les folates sériques ont au moins doublé et les folates érythrocytaires augmenté de 60% suite à la supplémentation. Nous avons ajouté les données de patients de Québec (attention, ce ne sont pas des normaux en théorie) pour les méthodes utilisées uniformément dans la région 03 (méthode Roche, figure 1). Les valeurs en Europe (Roche) sont un peu plus basses sans doute parce qu il n y a pas de supplémentation obligatoire des aliments. Nos résultats de patients ressemblent fortement aux résultats chez les normaux australiens mesurés avec la même méthode. La supplémentation y est obligatoire depuis Il est très clair que les données actuelles de folates érythrocytaires à Québec (CHU et INSPQ) sont nettement plus hautes que les dernières données américaines de 2010 établies par une méthode microbiologique. Selon nous, cela est sans doute secondaire à la méthode et non à des raisons alimentaires. D ailleurs, l étude de santé Canada (encore par une autre technique) montrait des résultats plus proches des valeurs NHANES. On voit que le rapport des médianes Québec/NHANES est de 2,15.
3 Pour définir une déficience, il faut donc se référer à des seuils définis dans la littérature. Dans le cas du sérum, le seuil de déficience utilisé est resté à peu stable à +/- 7 nmol/l depuis 1995 à l exception de l OMS qui recommande 10 nmol/l. Le British Committee for Standards in Haematology vient de publier un guide qui suggère d utiliser le seuil de 7 comme seuil de carence. Nous avons conservé une zone grise entre 7 et 10 nmol/l pour le sérum dans la figure 1 et le tableau , , N = , ,08 0,06 0,04 Proportion per Bar N = ,12 0,10 0,08 0,06 0,04 Proportion per Bar 0, , folates sériques (nmol/l) 0, folates érythrocytaires (nmol/l) 0,00 Figure 1 Extrait des valeurs observées aux laboratoires de l IUCPQ et au CHUL ( ) selon la même méthode. Les lignes verticales indiquent les limites de déficience et une zone intermédiaire à risque. Dans le cas des folates érythrocytaires, le seuil est plus difficile à établir à cause des différences techniques. Le seuil le plus souvent cité est de 340 nmol/l selon les premières études NHANES. Nous avons utilisé le rapport des médianes observés (Québec / NHANES 2009) pour compenser les différences de méthode, on obtient alors la valeur de 730 nmol/l comme seuil pour la méthode Roche En se donnant une marge de sécurité conservatrice jusqu à 1000 nmol/l, on obtient le tableau 2. Tableau 2 fréquence de résultats anormaux à Québec
4 folates sériques Carence < 7 intermédiaire 7 - <10 folates érythrocytaires CHUL IUCPQ CHUL IUCPQ 1 10 carence < intermédiaire normal >= normal > total NB : nous avons retrouvé des mesures de folates érythrocytaires chez 15 patients parmi les 79 des folates sériques <10, 14/15 ont eu un résultat > 1000 nmol/l Comme on le constate, les mesures de folates sont rarement anormales (sérum 0,5% éryt 0,1%). Pour les demandes de folates érythrocytaires, seulement 6% des patients ont un VGM >100 et beaucoup de patients ne présentent même pas d anémie. Il est temps de considérer l acide folique comme une autre vitamine comme la thiamine ou la vitamine C. La déficience est possible mais rare et les mesures devraient être exceptionnelles en pratique. Dans le contexte, nous allons retirer les folates du menu courant pour les réserver à des cas d exception. Les nouvelles demandes devront être approuvées par un membre du service d hématologie ou de biochimie. Quand mesurer les folates? 3 conditions simultanées raison hématologique : hyper segmentés présence de macrocytes, ovalocytes ou noyaux leucocytaires raison nutritionnelle : déficit alimentaire ou malabsorption importante absence de supplémentation en acide folique Situations particulières Femmes enceintes (ou préconception) : santé Canada recommande de donner à toutes les femmes enceintes une supplémentation de 400ug /d en prévention des anomalies du tube neural. Il n existe pas de seuil minimum clairement défini et il n est pas requis de faire une mesure. Selon notre expérience, les valeurs sont toujours très hautes. Diète végétarienne : il n y a pas de déficit d apport en folate relié à cette diète. Les haricots, lentilles, pois, légumes verts et la farine enrichi sont des bonnes sources de folates. Maladie cœliaque : La maladie cœliaque est une cause classique de déficit en folate mais la déficience est très rare depuis la supplémentation et le diagnostic de plus en plus précoce. Les personnes à risque devraient être supplémentées en micronutriments incluant les vitamines hydrosolubles. On suggère de respecter les critères de l encadrée Quand mesurer les folates? Quelques références Gunter EW 1, Bowman BA, Caudill SP, Twite DB, Adams MJ, Sampson EJ. Results of an international round robin for serum and whole-blood folate. Clin Chem Oct;42(10):
5 Christine M Pfeiffer, Samuel P Caudill, Elaine W Gunter, John Osterloh, and Eric J Sampson. Biochemical indicators of B vitamin status in the US population after folic acid fortification: results from the National Health and Nutrition Examination Survey Am J Clin Nutr 2005;82: Christine M. Pfeiffer, Jeffery P. Hughes, Ramon A. Durazo-Arvizu, David A. Lacher,Christopher T. Sempos, Mindy Zhang, Elizabeth A. Yetley, and Clifford L. Johnson. Changes in Measurement Procedure from a Radioassay to a Microbiologic Assay Necessitate Adjustment of Serum and RBC Folate Concentrations in the U.S. Population from the NHANES J. Nutr. 142: , 2012 Amanda J MacFarlane, Linda S Greene-Finestone, and Yipu Shi Vitamin B-12 and homocysteine status in a folate-replete population:results from the Canadian Health Measures Survey. Am J Clin Nutr 2011; 94: Mustafa Vakur Bor, Anne Marie Wulff, Ebba Nexo and Henrik Krarup Infrequency of low red blood cell (RBC) folate levels despite no folate fortification program: a study based on results from routine requests for RBC folate Clin Chem Lab Med 2008;46(3): OMS. Concentrations sériques et érythrocytaires de folates permettant d évaluer le statut en folates dans les populations. Système d informations nutritionnelles sur les vitamines et les minéraux. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2012 ( Devalia, V., Hamilton, M. S., Molloy, A. M. and the British Committee for Standards in Haematology (2014), Guidelines for the diagnosis and treatment of cobalamin and folate disorders. British Journal of Haematology, 166: (august 2014)
sous-estimée et sous-diagnostiquée
La carence en vitamine B 12 sous-estimée et sous-diagnostiquée Lucie Bergeron et Francine Pouliot Les nutritionnistes du CHSLD Ladouceur ont présenté au D r Léveillé, omnipraticien, les résultats de l
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailInvestir dans l avenir
Investir dans l avenir RÉSUMÉ DU RAPPORT MONDIAL 2009 BANQUE MONDIALE www.unitedcalltoaction.org La communauté mondiale devrait être choquée par les millions d enfants qui meurent ou sont rendus invalides
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailRégime d assurance collective
Régime d assurance collective Assurance vie de base (participation obligatoire) 3 mois de service actif Fin d emploi Montant assuré (arrondi au multiple supérieur de 500 $) Employé actif (cadres, professeurs,
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLa Cohorte des Grossesses du Québec
La Cohorte des Grossesses du Québec Outil pour la recherche en pharmacoépidémiologie périnatale Anick Bérard PhD FISPE Professeur titulaire, Faculté de pharmacie, Université de Montréal, Titulaire de la
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailExemples de textes explicatifs
Exemples de textes explicatifs 1. Lis le texte explicatif suivant et, avec tes camarades, réponds aux questions portant sur les caractéristiques de ce type de texte. Pourquoi il nous faut notre dose quotidienne
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailProjections des coûts des médicaments pour les régimes privés d assurance-médicaments de IMS Brogan Rapport commandité par Rx&D
Plus de 20 millions de Canadiens comptent sur les nouveaux médicaments et vaccins pour les aider à rester en bonne santé et productifs, tant au travail qu à la maison. Les employeurs profitent aussi de
Plus en détailLa chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure
REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE
PLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES HEPATITES DOCTEUR LAURENT CASTERA SERVICES D HEPATO-GASTROENTEROLOGIE, C.H.U. BORDEAUX Introduction La quantification
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailSondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions
Janiver 2014 Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Foire aux questions Sondage sur les expériences d hospitalisation des patients canadiens Questions sur le projet 1. En
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailOù investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite
Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Optimisation de la politique de placement : vers quelles classes d actifs se tourner? Stéphan Lazure Conseiller principal
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailComptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailDEMANDE DE PRESTATIONS D'ASSURANCE SALAIRE DE COURTE DURÉE Marche à suivre pour déposer une demande
DEMANDE DE PRESTATIONS D'ASSURANCE SALAIRE DE COURTE DURÉE Marche à suivre pour déposer une demande 11A-B Le Règlement sur les régimes complémentaires d avantages sociaux dans l industrie de la construction
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailRéseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM
Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailBibliothèque des sciences humaines. Guide d utilisation de la banque : TSX-CFMRC Summary Information Database
Bibliothèque des sciences humaines Guide d utilisation de la banque : TSX-CFMRC Summary Information Database Août 2005 Table des matières A- Description de la banque... 3 B- Accéder à la banque... 3 C-
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailÉcho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP
Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites Hervé Monpeyssen AHP Hyper Type 1 Hyper Type2 Mécanismes I - «carburant» Iodo-toxique Thyropathie Goitre/TAI/
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailTroubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble
Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,
Plus en détailLD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION
Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par
Plus en détailProgramme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque
Bienvenue Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Le droit à la sécurité alimentaire et le Programme de certification sans gluten QMI-SAI Global Symposium sur la sécurité
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailPassation des marchés
Page 1 de 5 Le présent document est la traduction du texte anglais de l OP 11.00, «Procurement», en date de juillet 2001, qui contient la formulation de cette directive qui a été approuvée par la Banque
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailTraitement bas-niveau
Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.
Plus en détailInfolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010
Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailAttirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise
Attirez les meilleurs employés et consolidez votre entreprise Grâce à leur régime d assurance collective, les employés sont toujours gagnants Augmentation salariale ou régime d assurance collective? Il
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailTable des matières. Télécharger MetaTrader 4. Première connexion à MetaTrader 4. Se connecter à MetaTrader 4. Modifier la langue
Guide METATRADER 4 Table des matières Télécharger MetaTrader 4 Première connexion à MetaTrader 4 Se connecter à MetaTrader 4 Modifier la langue Modifier votre mot de passe Mot de passe oublié Trader avec
Plus en détailDan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier
Détection et reconnaissance des sons pour la surveillance médicale Dan Istrate le 16 décembre 2003 Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Thèse mené dans le cadre d une collaboration
Plus en détailAchilles TM. Le logiciel de cabinet médical issu de la pratique!
Achilles TM Le logiciel de cabinet médical issu de la pratique! Logiciel de cabinet médical Achilles TM Un logiciel en réseau particulièrement puissant, efficace et polyvalent bref une véritable «mémoire
Plus en détailDOCUMENT DE REFLEXION DE L OMS (6 février 2012)
PROPOSITION DE CIBLES MONDIALES POUR LA NUTRITION DE LA MERE, DU NOURRISSON ET DU JEUNE ENFANT Introduction DOCUMENT DE REFLEXION DE L OMS (6 février 2012) En mai 2010, dans la résolution WHA63.23 sur
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailFigure 1 Différents éléments influençant les mesures de seuil réalisées en champ visuel
LE CHAMP VISUEL DU SUJET NORMAL INFLUENCE DES METHODES D'EVALUATION Jacques CHARLIER U279 INSERM, LILLE INTRODUCTION La connaissance du champ visuel du sujet normal, de ses variations intra et interindividuelles
Plus en détailELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551
Sanquin Reagents Plesmanlaan 5 0 CX Amsterdam The Netherlands Phone: +.0.5.599 Fax: +.0.5.570 Email: reagents@sanquin.nl Website: www.sanquinreagents.com M55/ November 007 ELISA PeliClass human IgG subclass
Plus en détailA Global Solution For Green Buildings.
A Global Solution For Green Buildings. www.greenfumehood.com an product SORBONNES GREENFUMEHOOD Sécurité, performance, économies d énergie et respect de l environnement ehood m u F n e Gre tre des concen
Plus en détailProgramme de certification sans gluten
Allergen Control Group Inc. L Allergen Control Group Inc. (ACG) est représenté par une équipe d experts de l industrie alimentaire, qui connaissent et comprennent comment gérer les risques lors de la fabrication,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDr André Lebrun, hématologue-oncologue Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. Dr Yves St-Pierre, professeur INRS-Institut Armand-Frappier
Conseil d administration au 31 mars 2004* MILIEU REPRÉSENTÉ Médecins transfuseurs Milieu académique Héma-Québec Donneurs Hôpitaux Médecins transfuseurs Milieu académique Milieu des affaires Receveurs Santé
Plus en détailMarie-Thérèse Lussier MD, BSc, MSc, FCMFC Claude Richard PhD, MA Justin Gagnon, MA Jean François Payotte, MSc
Marie-Thérèse Lussier MD, BSc, MSc, FCMFC Claude Richard PhD, MA Justin Gagnon, MA Jean François Payotte, MSc RCSSSP Initiative pan canadienne de collecte de données sur la santé des patients extraites
Plus en détailDextro Energy gel Liquid Apple
Dextro Energy gel Liquid Apple Un concentré glucidique pour les sportifs d endurance. Au parfum pomme. Eau, dextrose, sirop de sucre inverti, acidifiant (acide citrique), arôme, colorant (E 150c). 809
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailPAI partners prend le relais d IK Investment Partners au capital de Cerba European Lab
Communiqué de presse 9 juin 2010 PAI partners prend le relais d IK Investment Partners au capital de Cerba European Lab PAI partners a signé un accord avec IK Investment Partners (IK) et le management
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail