Epandage d engrais de ferme : Outils d amélioration dans la connaissance des quantités épandues. Synthèse d expérimentations sur le terrain

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Epandage d engrais de ferme : Outils d amélioration dans la connaissance des quantités épandues. Synthèse d expérimentations sur le terrain"

Transcription

1 Earth & Life Institute - Pôle agronomie Epandage d engrais de ferme : Outils d amélioration dans la connaissance des quantités épandues Synthèse d expérimentations sur le terrain Imbrecht Olivier (1), De Toffoli Marc (1), Lambert Richard (1,2), (1) Université catholique de Louvain Earth and Life Institute agronomy Place Croix du Sud, 2 boîte L Louvain-la-Neuve (2) Centre de Michamps asbl Horritine, Michamps Dossier UCL

2 Table des matières 0 Introduction Objectif Descriptif du matériel Les pèses essieux Le dispositif «ensemble de bacs» Le dispositif «bâches de 1m 2» Expérimentations Limelette, mars Matériel, méthode, résultats, interprétations des résultats 3.2 Bomal sur Ourthe, février Matériel, méthode, résultats, interprétations des résultats 3.3 Michamps, avril Résultats des échantillonnages d'effluents Lisier de bovin.11 Résultats et conclusions Fumier de bovin en stabulation 13 Résultats et conclusions Fumier de bovin tas au champ.14 Résultats et conclusions Démonstration.16 4 Conclusions.18 Dossier UCL

3 0 Introduction Pour réaliser un conseil de fertilisation azotée raisonnée avec épandage d engrais de ferme, il est indispensable de connaitre la quantité et la teneur des effluents épandus. Pour les engrais de ferme solides, la quantité épandue est parfois très mal connue ou estimée par les utilisateurs. La composition d un fumier étant très variable (Tableau 1). Tableau 1. Teneur en azote en % de la matière fraiche (extraction de la base de données Réquasud 2010 (dossier UCL 10-31) N Catégorie animale Type d'effluent Nombre d'échantillons Moyenne EcT Médiane Minimum Maximum Fientes séchées 17 2,53 0,95 2,73 0,86 3,87 Volaille Fientes humides 35 2,26 1,01 2,21 0,75 4,59 Fumier 5 2,44 1,20 2,28 1,38 4,47 Fumier «sec» 120 0,59 0,20 0,55 0,29 1,30 Bovin Fumier 243 0,60 0,18 0,57 0,30 1,47 Lisier 90 0,37 0,17 0,33 0,08 0,83 Equin Fumier 8 0,56 0,15 0,54 0,36 0,81 Porcin Fumier 13 1,06 0,27 1,05 0,66 1,48 Lisier 83 0,56 0,34 0,52 0,01 2,38 Dans ce contexte, des outils de mesures doivent être développés et validés par des expérimentations de terrain. 1 Objectif Expérimenter différentes techniques permettant de quantifier les engrais de ferme épandus. Actuellement par rapport à une consigne d épandage déterminée, peu d agriculteurs arrivent à respecter la quantité fixée ( Figure 1) Figure 1 Comparaison de 4 épandages de compost de fumier de bovin (consigne de départ 15T/ha) Dossier UCL

4 2 Descriptif du matériel 2.1 Les pèses essieux Photo 1 Pèse essieu Photo 2 Pèse essieu Un pèse essieu est constitué de 2 plaques eu aluminium, équipée de capteurs de poids, reliées à un boitier électronique. Le poids total d un charroi est déterminé par pesée de chaque essieu. Ce dispositif est adapté pour des charrois de 2 à 5 essieux. 2.2 Le dispositif «ensemble de bacs» Photo 3 Dispositif de pesée de lisier avec 6 bacs en plastique Ce dispositif est constitué de 6 bacs en plastique de 33cm/50.5 cm soit 1m2 Il peut être utilisé pour la pesée d effluents solides et liquides. Dossier UCL

5 2.3 Le dispositif «bâches d 1 m 2» Photo 4 Dispositif avec 5 bâches de 1m2 Ce dispositif est constitué de bâches plastiques carrées de 1m/1m fixées au sol avec des piquets et placées à l intérieur d un cadre en bois d 1m/1m. L utilisation de 5 bâches par dispositif permet d obtenir des indications sur la régularité de l épandage, et des mesures permettant une extrapolation à l hectare rapide (x2=>t/ha). Cette méthode ne permet pas de quantifier un effluent liquide. Dossier UCL

6 3 Expérimentations 3.1 Limelette, mars 2009 Matériel : Méthode : - 2 épandeurs à fumier (Type :moulins verticaux) - Pesons AgriPesage (modèle PEX20) - Fumier de bovins (Tas1) - Mélange fumier de bovins + fumiers de volaille (Tas2) - Fumier de poulets (Tas 3) - Des pesées d épandeurs de fumier ont été effectuées avec les pèses essieux afin de déterminer la quantité de fumier de bovins épandues par parcelle. - Le volume de chargement des épandeurs était identique. - Les 3 tas de fumiers ont été répartis sur 5 parcelles. - Les quantités épandues par parcelle ont été déterminées par pesée lors de chaque épandage. - Les effluents ont été analysés avant l épandage (avec répétitions des échantillonnages). - 1 ère opération : détermination des tares des épandeurs - 2 ème opération : pesée des épandeurs chargés - 3 ème opération : détermination de la quantité épandue/ha Résultats Tableau 1 Pesées de terrain Limelette 2009 moyenne tare épandeur pesées tare ép1: tare épandeur volume épandeur 13, Nom superficie épandeur1 épandeur2 total épandu sur la parcelle kg/ha kgntot/t (analyse) kgn/ha kgneff/ha Poids brut Poids net Poids brut Poids net Gothal Tas 3 0, , chemin de NivellesTas 2 5, moyenne: , derrière poulallier Tas1 1, moyenne: , face poulallier Tas1 1, moyenne: , coté poulallier Tas1 0, , Dossier UCL

7 Interprétations des résultats : - Le poids net d un épandeur varie peu, à condition que le chargement de celui soit homogène (- de 10% d écart-type) - Le poids net d un épandeur dépend de la matière chargée : Epandeur 1 Tas 1 => +/- 9T/ép Epandeur 1 Tas 2 =>+/- 11T/ép - Si la teneur de l effluent est connue avant l épandage, la quantité de Ntot/ha ou Neff/ha peut être déterminé au moment de l application. - La saisie des données et l interprétation des pesées sur le terrain permettent de moduler la répartition des effluents sur l ensemble des parcelles. - Cette technique permet à l agriculteur, voire à l entrepreneur d ajuster par la suite ses réglages d épandeurs pour un meilleur respect des consignes d épandages et des normes du PGDA. 3.2 Bomal sur Ourthe, février 2011 Matériel : Méthode : - 1 épandeur à fumier à moulins horizontaux et plateaux d épandage. - Pesons AgriPesage (modèle PEX20) - 6 bacs en plastics représentant 1m 2-4 bâches plastiques d 1 m 2 - Une balance portable de terrain - 1 décamètre - 1 tas de fumier de bovins - 3 outils ont été testés pour déterminer la quantité de fumier de bovin épandu (les pèses-essieux, les bacs et les bâches) - L épandage a été réalisé par un double passage aller-retour (redoublement pour une meilleure répartition). - Les bâches et les bacs ont été disposés aléatoirement sur la parcelle (Photo 5) Dossier UCL

8 Photo 5 - Les pesées des bâches et des bacs ont été répétées une 2ème fois - Avant l épandage, la tare et les pesées des épandeurs chargés ont été réalisées avec les pèses-essieux. - Les bacs comme les bâches ont été pesées séparément. - La surface couverte par l épandage a également été mesurée. Résultats : Tableau 2 Pesées de terrain, Bomal 2011 tare épandeur kgs Passage sur pesons longueur largeur tracteur épandeur poids épandu (kgs) t/ha kgntot/t kgn/ha kgneff/ha Ess. Av. Ess. Arr. Ess. Av. Ess. Arr , , , , , total 1, , passage1 aller-retour passage2 aller-retour Bacs (6bacs=1m2) g/bac net (gr)) g/bac net (gr)) tare bac (gr) somme 2460 somme t/ha 38 t/ha moyenne : 31 t/ha passage1 aller-retour passage2 aller-retour Bâches (1m2/bâche) g/bâche net (gr)) g/bâche net (gr)) tare bäche (gr) moyenne: 2442,5 moyenne: 3288,75 24 t/ha 33 t/ha moyenne : 29 t/ha sac brut: 2,45125 kg/m² Interprétations des résultats : - Les 5 épandeurs de fumier, après passage sur les pesons, représentaient un tonnage de 60.65T (poids net). Le fumier a été épandu sur une surface calculée de 1.95 ha, soit 31T/ha. Dossier UCL

9 - Les quantités/ha obtenues avec les bacs et les bâches sont différentes d une répétition à l autre (24-25T/ha et 33-38T/ha). - Néanmoins les moyennes pour les bacs et pour les bâches (31 et 29 T/ha) sont en adéquation avec la valeur obtenue avec les pesons (31T/ha). - L agriculteur estimait épandre 38T/ha, les mesures effectuées ont donnés 31T/ha. En quantité d N /ha comme la valeur du fumier est de 5.88 Kg/T, cela représente une différence 41 kg Norg/ha. 3.3 Michamps, avril 2012 Introduction : En avril 2012, une journée organisée en collaboration avec le Centre d analyses de Michamps (CEMI), a permis à de nombreux conseillers de terrain, de se familiariser avec les différentes méthodes et outils développés pour quantifier ou échantillonner les effluents d élevage. La matinée fut consacrée à la restitution des résultats des journées d échantillonnage d effluents du 4 et 5 octobre 2011 (Photo 8) Ce fut également l occasion d échanger sur les méthodes utilisées par les différents laboratoires, les centres d action Nitrawal et les membres scientifiques de la structure. 3 effluents avaient été échantillonnés par les participants : - Lisier de bovin - Fumier de bovin en stabulation - Fumier de bovin tas au champ La deuxième partie de la journée a été consacrée à une démonstration de différentes méthodes de mesure des quantités épandues (fumier) par pesée (2 types de pesons) et par pesée sur le champ (2 méthodes) (Photo 6 et 7) Dossier UCL

10 Photo 6 Photo 7 Photo 8 Photo 10 Dossier UCL Photo 9 Photo 11 10

11 Photo 12 Photo Résultats des échantillonnages d effluents Lisier de bovin Résultats : Tableau 3 MS % N T % N-NH4 % K mg/100g P mg/100g A * 7,4 0,36 0, , ,48 B 7,91 0,38 0,2 4082,54 750,36 A* 6,97 0,38 0, ,32 911,09 Michamps 7,15 0,38 0, ,74 969,81 Michamps 7,09 0,39 0, ,41 933,38 C 7,53 0,4 0, , ,74 D 7,34 0, ,83 Michamps 7,13 0,41 0, ,07 997,53 Michamps 6,92 0,42 0, ,39 976,61 Moy 7,27 0,39 0, ,25 981,81 min 6,92 0,36 0, , max 7,91 0,42 0, , ,48 ecart-type 0,31 0,02 0,02 426,57 55,39 cv 0,04 0,05 0,13 0,09 0,06 * Les participants non rattaché à un laboratoire ont fait analyser leurs échantillons au CEMI Dossier UCL

12 Conclusions : - 5 participants ont échantillonnés la citerne de lisier de bovin (préalablement homogénéisé) avec leur matériel de prélèvement. - Les valeurs obtenues pour l Ntot et la MS sont proches des moyennes, les coefficients de variations sont faibles. (4% pour la MS, 5% pour l azote total) - Les coefficients de variations sont plus élevés pour le NH4, le potassium et le phosphore (13%, 9%, 6%). - Les valeurs min et max en NH4 ont été obtenues chez l échantillonneur A. - Les valeurs min en P et en K ont été obtenues chez l échantillonneur B. - La valeur en rouge n est pas prise en considération pour les calculs statistiques (test de Dixon 5%). Dossier UCL

13 Fumier de bovin en stabulation Photo 14 Photo 15 Résultats : Tableau 4 N T % N-NH4 % K mg/100g P mg/100g A 0,56 0, ,74 917,33 A 0,6 0, ,72 805,79 Michamps 0,67 0, ,25 E 0, ,00 560,87 F* 0,68 0, ,79 572,23 A 0,68 0, ,17 842,94 Michamps 0,69 0, ,17 577,12 Michamps 0,71 0, ,29 528,58 Michamps 0,72 0,1 3007,97 486,38 Michamps 0,75 0, ,56 602,06 Michamps 0,76 0, ,6 550,32 E 0,8 2983,33 595,65 Michamps 0,82 0, ,9 521,57 Michamps 0,82 0, ,42 619,98 Michamps 0,85 0, ,87 549,75 Michamps 0,87 0,1 3075,46 558,1 Michamps 0,89 0, ,57 506,79 Michamps 0,91 0,1 3324,67 538,63 Michamps 0,96 0, ,17 564,52 E 0, ,33 613,04 C 1,14 0, ,25 351,06 D 1, ,56 480,06 Moy 0,77 0, ,84 542,21 min 0,56 0, max 0,96 0, ,98 ecart-type 0,11 0,02 490,37 60,80 cv 0,15 0,24 0,11 0,07 * Les participants non rattaché à un laboratoire ont fait analyser leurs échantillons au CEMI Dossier UCL

14 Conclusions : - 6 participants ont échantillonnés le fumier en stabulation avec leur matériel de prélèvement. - Les valeurs obtenues par l échantillonneur A posent problème : Les valeurs PK sont trop élevées par rapport à la moyenne (cfr valeurs en rouge tableau 4). Les valeurs d Ntot sont trop faibles par rapport à la moyenne (cfr tableau 4). Il y a clairement un problème au niveau de l échantillonnage ou de l analyse. - Les valeurs obtenues par l échantillonneur C posent également problème : Les valeurs PK sont trop faibles par rapport à la moyenne (cfr tableau4). Les valeurs d Ntot sont trop élevées par rapport à la moyenne (cfr valeurs en rouge dans tableau) Il y a aussi clairement un problème au niveau de l échantillonnage ou de l analyse. - La valeur en Ntot pour l échantillonneur D est 2 fois supérieur à la moyenne. Il s agit certainement d un problème à l analyse ou au sous-échantillonnage avant l analyse. - Les valeurs en rouge ne sont pas prises en considération pour les calculs statistiques (test de Dixon 5%). - La grande variabilité des valeurs peut s expliquer par la diversité du matériel de prélèvement utilisés (Tarrière, fourche, sonde à dents,sonde à fourrage,sonde pédo) Fumier de bovin en tas au champ Photo 16 Photo 17 Dossier UCL

15 Résultats : Tableau 5 Laboratoire méthode MS % N T % N-NH4 % K mg/100g P mg/100g Michamps méthode 4/4 23 0,63 0, Michamps METHODE 4/4 22 0,65 0, Michamps METHODE 4/4 20 0,65 0, Michamps METHODE 4/4 20 0,66 0, Michamps FOURCHE 22 0,66 0, C 23 0,67 0, C 23 0,69 0, Michamps SONDE A DENTS 22 0,7 0, F* N W FBC ,72 0, F* N W FBC ,74 0, Michamps TARRIERE II 24 0,74 0, Michamps METHODE 4/4 22 0,74 0, Michamps méthode 4/4 25 0,75 0, Michamps FOURCHE 21 0,75 0, A 24 0,76 0, Michamps TARRIERE 22 0,78 0, Michamps SONDE A DENTS 22 0,78 0, E 24 0, E 22 0, Michamps méthode 4/4 24 0,84 0, A 22 0,84 0, F* N W FBC ,87 0, Michamps méthode 4/4 23 0,89 0, Michamps TARRIERE I 27 0,91 0, A 28 0,91 0, B FOURCHE , E 24 1, D 23 2, Moy 23,18 0,78 0, ,75 704,43 min 20 0,63 0, max 28 1,06 0, ecart-type 2,02 0,11 0,06 522,28 93,51 cv 0,09 0,14 0,60 0,13 0,13 * Les participants non rattaché à un laboratoire ont fait analyser leurs échantillons au CEMI Conclusions : - 7 participants ont échantillonné le fumier en tas avec leur matériel de prélèvement. - La valeur en Ntot pour l échantillonneur D est 3 fois supérieure à la moyenne. Il s agit certainement d un problème à l analyse ou au sous-échantillonnage avant l analyse. - Les valeurs obtenues par l échantillonneur B posent problème : Dossier UCL

16 Les valeurs PK sont trop élevées par rapport à la moyenne (cfr valeurs en rouge dans tableau5) La valeur Ntot est trop élevée par rapport à la moyenne. - Les valeurs en NH4 les plus élevées sont obtenues par l échantillonneur C. - Les valeurs en rouge ne sont pas prises en considération pour les calculs statistiques (test de Dixon 5%) Démonstration Photo 18 Photo 19 Photo 20 Matériel : - 1 épandeur à fumier à moulins horizontaux. - Fumier de bovins - 6 bacs en plastique représentant 1m2 au total - 4 bâches plastiques d 1 m2 représentant 4 m2 au total (Photo 18) - Une balance portable de terrain (Photo 19) - 2 Pesons : AgriPesage (modèle PEX20) + Pèse essieu du CEMI (Photo 20) Dossier UCL

17 Observations et conclusions : - La quantité épandue mesurée par la méthode des «bacs» et des «bâches», était respectivement de 31.7T/ha et 32.8 T/ha. - Une répétition des mesures a confirmé les valeurs initialement mesurées ( 32.1 T/ha et 32.3 T/ha). - Remarque : En cas de répétition des mesures, il faut veiller que l ensemble des paramètres liés à la première mesure soit identique. o Le sens d épandage si le terrain est légèrement en pente o La vitesse d épandage (la charge de l épandeur peut faire varier la vitesse) o La disposition des bacs ou des bâches o La composition du fumier. o Les conditions climatiques ( le vent, la pluie ) - De nombreux participants ont eu difficile d évaluer visuellement la quantité épandue. Les estimations annoncées variaient de 25T à 60T/ha. - La possibilité de prélever un échantillon représentatif pour l analyse, a été souligné lors de cette démonstration comme la nécessité de répéter l échantillonnage de l effluent. (3 à 4 échantillons/ effluent) - Avant l épandage, des pesées du charroi (tracteur+ épandeur avec fumier) avaient été réalisée avec les 2 pesons. Les 2 pesons de conception différente, l un permettant une pesée dynamique (pas d arrêt) et l autre une pesée statique (chaque essieu pesé séparément à l arrêt) ont donné la même valeur de 13.4T. - Cette démonstration et les échanges qui ont eu lieu entre participants ont permis de dégager quelques enseignements et réflexions : o L utilisation de pesons peut être problématique sur le terrain, s il n y a aucune surface dure et plane à proximité. La manutention de ceux-ci est difficilement envisageable par une personne et nécessite un moyen de transport adéquat. o Les méthodes «bacs» et «bâches» sont facilement appropriable. L investissement en matériel est raisonnable (sauf achat d une balance de terrain) et l utilisation assez aisée. o Même avec une bonne expérience de terrain, il est difficile d estimer visuellement une quantité épandue. D où l importance de connaitre avant, la composition du produit par des analyses répétées (teneur en MS par ex.). Dossier UCL

18 4 Conclusions - L utilisation d un moyen de quantification des effluents épandus est indispensable, l estimation visuelle étant trop approximative. - Les dispositifs «bac» et «bâches» permettent si les conditions d épandages sont optimales ( pas de vent, de pluies, vitesse constante ) de quantifier de manière assez précise la matière épandue. Les valeurs obtenues avec les 2 dispositifs sont très proche. Cependant la valeur moyenne d un ensemble de répétitions reste la valeur la plus fiable. - Comparaison des 3 outils testés : Transport du matériel Pèses essieux Dispositf "ensemble de bacs" Dispositif "bâches de 1m 2 Avantage Inconvénient Avantage Inconvénient Avantage Inconvénient Véhicule adapté,matériel encombrant ok peu encombrant Ok pour les bâches et la balance de terrain Cadre en bois encombrant (sauf cadre en tube PVC démontable) Manutention du matériel Peu aisée, matériel lourd Facile Facile Mise en place du matériel sur le terrain Surface plane et dure Facile Facile Nature de l'effluent effluents solides et liquides effluents solides et liquides Solides Pas les liquides Influence des conditions climatiques peu d'influence sur la pesée Pas de pluies et de vent Pas de pluies et de vent Fiabilité de la valeur mesurée Répétitions de la mesure Très fiable Assez fiable Assez fiable Pas nécessaire Nécessaire Nécessaire Possibilité de prise d'échantillon pour analyse Au moment de l'épandage Au moment de la pesée Au moment de la pesée Coût du matériel Elevé peu élevé peu élevé - Les pèses essieux permettant une pesée dynamique du charroi ont l avantage de très peu ralentir le chantier d épandage. Le coût d épandage par entreprise étant souvent à l heure, l agriculteur est moins retissant à leur utilisation. 2 jeux de pèse essieu sont disponibles à l UCL. Dossier UCL

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006 AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Série T modèle TES et TER

Série T modèle TES et TER 6-8 rue des Casernes Tél. : 03.84.29.55.55 F 90200 GIROMAGNY Fax : 03.84.29.09.91 E-mail : ultralu@ultralu.com http://www.ultralu.com NOTICE DE MONTAGE ET D UTILISATION ECHAFAUDAGE ROULANT ALUMINIUM Série

Plus en détail

DETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2

DETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2 DETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2 D F P - S 0 6 Plus de 30 ans à votre service Version 07/2007 Le DFP-S06 a été spécialement développé pour la détection et la localisation de fuites en utilisant

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,

Plus en détail

- Motorisation électrique (vérins) permettant d ajuster la hauteur du plan de travail.

- Motorisation électrique (vérins) permettant d ajuster la hauteur du plan de travail. Publié sur Ergotechnik (http://www.ergotechnik.com) SLIMLIFT 6230 DESCRIPTION - Disponible en version droite uniquement. - Motorisation électrique (vérins) permettant d ajuster la hauteur du plan de travail.

Plus en détail

Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote

Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage

Plus en détail

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées

biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie

TABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be

Plus en détail

La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet

La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &

Plus en détail

Les Supports UC d ordinateur

Les Supports UC d ordinateur Les Supports UC d ordinateur Les solutions pour Unité Centrale sont bien plus que de simples supports pour unités centrales. Voilà de bonnes raisons de choisir les solutions pour UC pour protéger votre

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

Instructions de montage et d utilisation

Instructions de montage et d utilisation Instructions de montage et d utilisation TOUR ESCALIERS - 2 - SOMMAIRE SOMMAIRE...- 3 - TOUR ESCALIERS : CONFIGURATION 6 M...- 4-1. CARACTERISTIQUES GENERALES :...- 4 - Caractéristiques dimensionnelles

Plus en détail

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T

SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T Sirène solaire extérieure auto-alimentée sans fil avec récepteur intégré à code tournant. Boîtier polycarbonate de 3mm résistant aux intempéries, autoprotection

Plus en détail

Construction durable et primes en région de Bruxelles-Capitale - 2011

Construction durable et primes en région de Bruxelles-Capitale - 2011 Construction durable et primes en région de Bruxelles-Capitale - 2011 Sophie Mersch 2 mars 2011 Gestion de l eau dans le bâtiment / Primes et outils / 21 avril 2008 Construction durable et primes 2011

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

NOTICE D UTILISATION

NOTICE D UTILISATION NOTICE D UTILISATION TESTEUR ANALOGIQUE D'ISOLEMENT ET DE CONTINUITE KYORITSU MODELE 3132A REMARQUE Ce mesureur a été développé conformément à la norme de qualité de Kyoritsu et a passé le contrôle dans

Plus en détail

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer

Plus en détail

Système de gaine DICTATOR

Système de gaine DICTATOR Système de gaine DICTATOR Le système de gaine modulaire pour le rattrapage Approuvé selon EN 1090 Un ascenseur devient de plus en plus important pour la vie quotidienne, non seulement dans les bâtiments

Plus en détail

Ventilation : Mesure et réglage des débits

Ventilation : Mesure et réglage des débits Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air

Plus en détail

Évaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines

Évaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines 2006. Journées Recherche Porcine, 38, 263-270. Évaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines Claudie GOURMELEN (1), Michel RIEU (2) (1) Institut Technique

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Comptage de Cellules avec une Hémacytomètre Utilisation élémentaire de lê hémacytomètre Introduction Malgré les développements technologiques qui ont eu lieu dans les laboratoires scientifiques durant

Plus en détail

Compact, léger et sûr. Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu. www.boecker-group.com 1

Compact, léger et sûr. Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu. www.boecker-group.com 1 Compact, léger et sûr Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu www.boecker-group.com 1 Lifts de montage en alu Böcker Toujours à jour Dès 1958, la marque Böcker est renommée pour ses monte-matériaux

Plus en détail

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments) 15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE

VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE VIABILITE HIVERNALE ET DEVELOPPEMENT DURABLE Journée technique CoTITA Méditerranée 10 mai 2012 Philippe Pecquenard Station d essais de matériels routiers Les évolutions du matériels CoTITA Méditerranée

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

Cirrus Activ Cirrus Cirrus Ac A tiv cti

Cirrus Activ Cirrus Cirrus Ac A tiv cti Cirrus Activ 1 Le bon semoir de toutes les situations Le semis est une étape importante pour la réussite d une culture avec des rendements stables et élevés. L efficacité et la rentabilité d un matériel

Plus en détail

MANUEL D UTILISATION MODE D EMPLOI ALT 600 MODE D EMPLOI ALT 600 FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE

MANUEL D UTILISATION MODE D EMPLOI ALT 600 MODE D EMPLOI ALT 600 FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE 1. Présentation. FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION La société ASD est spécialisée dans la conception et le développement de systèmes de levage spécifique à l environnement du spectacle

Plus en détail

Bilan Carbone des interventions viticoles

Bilan Carbone des interventions viticoles Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Cahier des Clauses techniquesparticulières

Cahier des Clauses techniquesparticulières ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE

Plus en détail

MINISTERE DE LA REGION WALLONNE

MINISTERE DE LA REGION WALLONNE MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999

Plus en détail

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Baies serveur CATALOGUE DES PRODUITS DE ZPAS GROUPE. ZPAS-ESTCI 7, rue de l industrie 68360 SOULTZ 03 89 62 56 40 contact@estci.fr

Baies serveur CATALOGUE DES PRODUITS DE ZPAS GROUPE. ZPAS-ESTCI 7, rue de l industrie 68360 SOULTZ 03 89 62 56 40 contact@estci.fr Baies serveur CATALOGUE DES PRODUITS DE ZPAS GROUPE ZPAS-ESTCI, rue de l industrie 0 SOULTZ 0 9 2 0 contact@estci.fr SZB SE 19 " BAIE SERVEUR BÂTI ASSURANT LA PROTECTION DU MATÉRIEL INSTALLÉ DANS LES SALLES

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

PASSAGE A NIVEAU HO/N

PASSAGE A NIVEAU HO/N PASSAGE A NIVEAU HO/N Description Ce passage à niveau en laiton est composé de deux demi-barrières, ainsi que de deux feux lumineux rouges. Vous pouvez utiliser ce PN sur un nombre quelconque de voie y

Plus en détail

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté

Plus en détail

3.00. Catalogue produit

3.00. Catalogue produit 3.00 Catalogue produit PRESENTATION 2 La liberté de mouvement passe par une accessibilité véritable monte-escaliers. Cette gamme complète nous permet de trou- 30 années d expérience Stepless est une division

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Cloisons de distribution Caroplatre

Cloisons de distribution Caroplatre 04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration

Plus en détail

AVEC BVL, prenez de la hauteur!

AVEC BVL, prenez de la hauteur! AVEC BVL, prenez de la hauteur! AVEC BVL, prenez de la hauteur! Le mot des dirigeants Depuis 1993, nous répondons à toutes les demandes d élévations et d accessibilité pour les personnes et les charges.

Plus en détail

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES.

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. Page : 2 A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. A.1. VUE D ENSEMBLE A.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT!" #! $! %&' ( ) * µ +, µ $# (& % ± -. /01)0$ ' &%(% 2 3,)/4 $ A.3. CARACTERISTIQUES MECANIQUES. PARAMETRES Valeur

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)

Plus en détail

Gamme des produits. www.boecker-group.com

Gamme des produits. www.boecker-group.com Gamme des produits www.boecker-group.com Viser haut en toute sécurité Treuil de chantier Baby Le petit assistant de chantier. Indispensable dans toute caisse à outils. Pour le levage de charges de tous

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

FORMATION BATIMENT DURABLE : PASSIF ET (TRES) BASSE ENERGIE

FORMATION BATIMENT DURABLE : PASSIF ET (TRES) BASSE ENERGIE FORMATION BATIMENT DURABLE : PASSIF ET (TRES) BASSE ENERGIE Journée 1.5 Approche globale PRINTEMPS 2013 Stéphan Truong Gestionnaire de la formation pour le compte de Bruxelles Environnement TRAINING.IBGEBIM@ecorce.be

Plus en détail

Barrières infrarouge actif double faisceaux Multi fréquences SBT 30F-60F-80F-100F-150F Notice d installation. Logo

Barrières infrarouge actif double faisceaux Multi fréquences SBT 30F-60F-80F-100F-150F Notice d installation. Logo Barrières infrarouge actif double faisceaux Multi fréquences SBT 30F-60F-80F-100F-150F Notice d installation Notice d'installation barriere infra rouge SBT- F - V1.5 du 03042006 1 Guardall Sommaire 1.

Plus en détail

DEGRE DE FAISABILITE : Très simple, relativement rapide et sans grosses contraintes.

DEGRE DE FAISABILITE : Très simple, relativement rapide et sans grosses contraintes. PROTOCOLE «Terre-Nickel» «Opération simple de nettoyage à pieds des déchets sur le littoral terrestre» Rédigé par Michaël Rard Observatoire Marin de La Réunion (Mis à jour le 02/03/2013) OBJECTIFS : -

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur.

C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. La CFAO réunit dans une même démarche informatique les actions de conception et de fabrication d un objet. La technique utilisée permet à

Plus en détail

CFAO Usinage sur machine à commande numérique

CFAO Usinage sur machine à commande numérique CFAO Usinage sur machine à commande numérique Pour réaliser une pièce à l aide d une machine à commande numérique, on doit respecter les étapes suivantes : Dessin matriciel et dessin vectoriel : Matriciel

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

1AN. e n 19" FicheS Techniques. PLV - Dynamique. caractéristiques techniques. dimensions dela structure

1AN. e n 19 FicheS Techniques. PLV - Dynamique. caractéristiques techniques. dimensions dela structure Démarrage automatique du contenu audio et vidéo haut-parleurs integrés Totem métal pliable et transportable Ecran 19 4/3 Habillage quadri numérique sur panneaux aimantés inclus. Couleur : noir Poids :

Plus en détail

Le printemps et l été du compost

Le printemps et l été du compost Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant

Plus en détail

Kit de connexion Powerline Asoka AV plug

Kit de connexion Powerline Asoka AV plug Kit de connexion Powerline Asoka AV plug Contenu du kit Veuillez vérifier le contenu du kit. Kit de co Asok nnexio a AV n plug 2 adaptateurs Powerline 2 câbles Ethernet Power line Mode d emploi Exemple

Plus en détail

JE RÉALISE. Poser. une alarme sans fil. Niveau

JE RÉALISE. Poser. une alarme sans fil. Niveau JE RÉALISE Poser une alarme sans fil Niveau La présence d une alarme sans fil peut vous protéger efficacement contre les effractions et autres tentatives d intrusion. Discrets voire évolutifs, il en existe

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Accessoires ergonomiques pour l Informatique et l Audiovisuel. Nous avons votre solution...

Accessoires ergonomiques pour l Informatique et l Audiovisuel. Nous avons votre solution... Accessoires ergonomiques pour l Informatique et l Audiovisuel Nous avons votre solution... QUI SOMMES-NOUS? Pierre SOLER Gérant Spécialiste du mobilier informatique et audiovisuel depuis plus de 50 ans,

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs

Plus en détail

Système de surveillance vidéo

Système de surveillance vidéo Conrad sur INTERNET www.conrad.fr N O T I C E Version 12/01 Entretien Pour un fonctionnement correct de votre système de surveillance vidéo, prenez note des conseils suivants : 1/ Tenez la caméra et le

Plus en détail

Des indicateurs vous permettant de mesurer et de contrôler vos opérations au quotidien. SÉRIE ZM300

Des indicateurs vous permettant de mesurer et de contrôler vos opérations au quotidien. SÉRIE ZM300 Des indicateurs vous permettant de mesurer et de contrôler vos opérations au quotidien. SÉRIE ZM300 Conçus pour les besoins d aujourd hui et les défis de demain Des indicateurs à la pointe de la technologie

Plus en détail

NOXTECH GARDE-CORPS EN VERRE. économique sûr facile à monter. Le système de balustrade

NOXTECH GARDE-CORPS EN VERRE. économique sûr facile à monter. Le système de balustrade NOXTECH Le système de balustrade GARDE-CORPS EN VERRE économique sûr facile à monter PROFIL POUR GARDE-CORPS EN VERRE Le verre remplace ou complète toujours plus les matériaux conventionnels, il permet

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série

Plus en détail