Centre de services partagés du Québec

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Centre de services partagés du Québec"

Transcription

1 Audit du processus d appel d offres n o pour les achats regroupés de microordinateurs de table, de portables, de serveurs x86 et de tablettes électroniques Centre de services partagés du Québec Direction de la vérification interne Rapport final Le 29 juin 2016

2 La Tour Deloitte 1190, avenue des Canadiens-de-Montréal Bureau 500 Montréal QC H3B 0M7 Canada Tél. : Téléc. : Rapport des auditeurs indépendants portant sur le processus d appel d offres n o pour les achats regroupés de micro-ordinateurs de table, de portables, de serveurs x86 et de tablettes électroniques À la direction du Centre de Services Partagés du Québec («CSPQ») Objectif Nous avons audité l adéquation de la conception ainsi que l'efficacité du fonctionnement des contrôles déclarés à l égard du processus d appel d offre numéro pour les achats regroupés de Micro-ordinateurs de tables, portables, serveurs x86 et tablettes électroniques du CSPQ au regard de critères définis dans les politiques, les procédures, les lois et règlements afférents. Ce mandat a été fait en vertu du chapitre 5025 du manuel des comptables professionnels agrée. Plus spécifiquement nous avons effectué notre audit pour : S assurer que le processus de gestion contractuelle menant à un appel d offre (AO) pour les achats regroupés a été respecté, notamment sur la pertinence des addendas, l analyse des besoins, les critères de l appel d offre et la constitution en bonne et due forme du comité technique S assurer que la loi sur les contrats d organismes publics (la loi) et les règlements afférents ainsi que les décisions provenant du secrétariat du conseil du trésor ou du conseil des ministres ont été respectés. Responsabilités de l auditeur Notre responsabilité consiste à exprimer une opinion en nous fondant sur notre audit. Notre audit a été effectué conformément aux normes relatives aux missions de certification établies par CPA Canada. Ces normes exigent que nous planifiions et réalisions notre audit de façon à obtenir l assurance raisonnable que, dans tous leurs aspects significatifs, les contrôles ont été conçus et fonctionnaient de manière suffisamment efficace tout en respectant les critères définis dans les politiques, les procédures, les lois et les règlements afférents pour la période associée à l élaboration de l appel d offres mentionné ci-dessus, soit du 1 er juin 2015 au 16 juin Notre audit inclut des tests pour obtenir des éléments probants concernant la pertinence de la conception et le fonctionnement des contrôles pour atteindre les critères définis dans les politiques, les procédures, les lois et les règlements afférents. Tel qu il est décrit à la section 3, notre audit a consisté à ce qui suit : 1) obtenir une compréhension des contrôles applicable, 2) tester et évaluer l efficacité des contrôles déclarés et 3) mettre en œuvre d autres procédures que nous avons jugées nécessaires selon les circonstances. Nous sommes d avis que notre audit constitue une base raisonnable sur laquelle fonder notre opinion.

3 Page 2 Responsabilités du CSPQ La responsabilité du CSPQ est de s assurer de l'adéquation de la conception des contrôles et de l'efficacité de leur fonctionnement pour l'atteinte des objectifs de contrôle correspondants énoncés dans ce rapport à la page 2. Le CSPQ a la responsabilité de concevoir, implanter et exécuter les contrôles du processus d appel d offres. Limites inhérentes La description des contrôles associée au processus d appel d offres no pour les achats regroupés de micro-ordinateurs de table, de portables, de serveurs x86 et de tablettes électroniques du CSPQ est en date du 16 juin 2016, et les informations sur les tests d efficacité du fonctionnement de contrôles particuliers portent sur la période du 1er juin 2015 au 16 juin En raison de leur nature, il se peut que les contrôles d'un organisme gérant des processus d appel d offres n'empêchent pas, ou ne détectent pas pour les corriger, toutes les erreurs ou les omissions dans le traitement des opérations ou la communication des informations sur celles-ci. Toute projection de telles informations sur l avenir ou sur d autres processus d appel d offres que celui mentionné ci-dessus est exposée au risque qu en raison de changements, la description ne corresponde plus aux contrôles existants. De plus, la projection de conclusions, tirées de nos constatations, sur des périodes futures comporte le risque que des changements puissent compromettre la validité de ces conclusions. Opinion À notre avis, dans tous leurs aspects significatifs, les contrôles à l égard du processus d appel d offres n o pour les achats regroupés de micro-ordinateurs de table, de portables, de serveurs x86 et de tablettes électroniques du CSPQ décrits dans la section 2 ont été conçus convenablement et fonctionnaient de manière suffisamment efficace durant la période du 1 er juin 2015 au 16 juin 2016 de manière à fournir une assurance raisonnable, mais non absolue, de l atteinte des objectifs de contrôles internes du système. 1 Comptables professionnels agréés Montréal, Québec Le 20 juin CPA auditeur, CA, permis de comptabilité publique n o A106209

4 Table des matières Section 1 Description des services fournis et de l environnement de contrôle 1 Section 2 Tests de contrôle 4 Centre de services partagés du Québec i

5 Section 1 Description des services fournis et de l environnement de contrôle Introduction CSPQ Le CSPQ soutient, au moyen de contrats à commandes, l acquisition de micro-ordinateurs de table et de portables (depuis 2001), de serveurs x86 depuis 2003 et de tablettes électroniques (depuis 2013 pour les organismes publics). Ces contrats prendront fin le 30 juin Antérieurement, ces contrats faisaient l objet de deux appels d offres distincts. Puisque la très grande majorité des clauses de ces appels d offres sont similaires, un seul appel d offres public couvrant tous les besoins a été lancé. La Vice-présidence aux ressources matérielles et aux moyens de communication du CSPQ collabore à la mise en place du présent achat regroupé au nom et pour le compte de 143 organismes. Des représentants de différents organismes clients et de la Direction des achats regroupés («DAR») ont contribué à la préparation et à la rédaction du devis, afin de répondre aux besoins des différents clients. En décembre 2015, un avis d intérêt aux fournisseurs a été publié sur le système électronique d appel d offres («SEAO») avant la publication de l appel d offres (fermeture de l appel d intérêt le 25 janvier 2016) et avait pour but de recueillir l opinion des fournisseurs sur la stratégie proposée. Tous les fournisseurs actuels ont répondu sauf deux, en raison d une révision de leur stratégie d affaires qui ne leur permettra pas de participer au prochain achat regroupé. Les modalités particulières applicables aux contrats à commandes en vigueur ont été autorisées par le Conseil du trésor, et ce, jusqu au 30 juin L autorisation du Conseil du trésor est à nouveau requise afin d obtenir une dérogation pour mettre en place des modalités contractuelles particulières, telles que l évolution des produits, l ajout de nouvelle clientèle et la mise à jour des prix en fonction de la réalité du marché. Cette autorisation du Conseil du trésor a été obtenue avant la publication de l appel d offres public. Le 12 mai 2016, le CSPQ a publié l appel d offres public n o pour les achats regroupés de microordinateurs de table, de portables, de serveurs X86 et de tablettes électronique. Cet appel d offres estime le montant global des achats à 130 millions de dollars. L adjudication est fondée uniquement sur un prix. Le contrat octroyé aura une durée de trois ans. Durant la période de sollicitation, près de 200 questions ont été posées par les fournisseurs. Quinze addendas ont été publiés à la suite de questions soumises. Changements importants aux opérations et aux contrôles internes en 2016 Durant la période couverte, il n y a eu aucun changement significatif influant sur les opérations ou les contrôles internes. Commentaires du CSPQ sur les résultats des tests de l audit Le CSPQ est satisfait de la démarche, des commentaires et de la conclusion du présent rapport. Cette vérification permet de constater les efforts déployés au cours des dernières années au CSPQ afin de se Centre de services partagés du Québec 1

6 doter de processus de contrôle performants et qui répondent aux exigences les plus élevées. Et la préoccupation de ses ressources de respecter les meilleures pratiques en vigueur. Environnement de contrôle La direction du CSPQ a mis en œuvre des mesures et des procédures pour maintenir un environnement de contrôle efficace soutenu par ce qui suit : le code d éthique et de déontologie applicable aux membres du conseil d administration du CSPQ; la Loi sur la fonction publique; le Règlement sur l éthique et la discipline dans la fonction publique; la Déclaration de valeurs de l administration publique québécoise; une séparation des tâches incompatibles. Ces documents précisent le haut niveau d éthique professionnelle requis des employés et des administrateurs du CSPQ dans l exercice de leurs fonctions. Le respect des éléments cités dans ces documents et la conformité des activités aux exigences des parties prenantes sont la responsabilité de tout le personnel du CSPQ. Le CSPQ administre les fonctions liées à la supervision et à la conformité selon le principe de la séparation des tâches, dans une perspective d indépendance et de transparence. Ainsi, pour le processus d appel d offres sous étude, le conseil d administration s assure d effectuer le suivi nécessaire et les approbations à l intérieur de son champ de responsabilités, le comité stratégique s assure de fournir les orientations au comité technique, le comité technique valide l orientation technologique et l expert en processus assure le respect du processus d approvisionnement. Objectifs de contrôle interne et principales procédures de contrôle Conformité du processus de gestion contractuelle Objectif de contrôle interne S assurer que le processus de gestion contractuelle menant à un appel d offres pour les achats regroupés a été respecté, notamment sur la pertinence des addendas, l analyse des besoins, les critères de l appel d offres et la constitution en bonne et due forme du comité technique. Principales procédures de contrôle Valider ce qui suit : les documents d appel d offres et autres documents afférents sont traités comme des documents confidentiels; les employés impliqués dans le processus d appel d offres ne sont pas en conflit d intérêts, notamment les membres du comité technique; la délégation de pouvoir est adéquate; les données enregistrées dans le SEAO sont complètes, exactes et émises à l intérieur d un délai raisonnable; les questions posées par les fournisseurs potentiels ont trouvé réponse à l intérieur d un délai raisonnable; l évaluation préalable des besoins a été faite de façon adéquate et rigoureuse; les processus d appel d intérêt et d appel d offres sont transparents et analysés adéquatement. Centre de services partagés du Québec 2

7 Conformité à la Loi sur les contrats des organismes publics et aux règlements correspondants ainsi qu à toutes décisions provenant du Secrétariat du Conseil du trésor Objectif de contrôle interne S assurer que la Loi sur les contrats des organismes publics (la «Loi») et les règlements afférents ainsi que les décisions provenant du Secrétariat du Conseil du trésor ou du Conseil des ministres ont été respectés. Principales procédures de contrôle Valider ce qui suit : les décisions du Conseil du trésor ont été respectées; un appel d offres public a été émis (article 10 de la Loi) et que tout appel d offres public s effectue au moyen d un avis diffusé dans le SEAO (article 11 de la Loi); les documents d appel d offres sont complets (article 5 du Règlement sur les contrats d approvisionnement («RCA»)); les conditions de conformité indiquent les cas qui entraînent le rejet automatique d une soumission (article 7 du RCA); un responsable de l observation des règles contractuelles (RORC) a été désigné par le dirigeant du CSPQ (article de la Loi); les dates et les délais sont respectés; dans le cas d un regroupement d organismes, l organisme responsable du regroupement prend en considération l impact sur l économie régionale (article 16 de la Loi). Centre de services partagés du Québec 3

8 Section 2 Tests de contrôle Tests sur l efficacité des contrôles Les tests que Deloitte a effectués sur l environnement de contrôle incluaient les procédures suivantes, dans la mesure jugée nécessaire : Test de Deloitte Enquête de corroboration Observation Inspection du matériel probant ou examen de la documentation Description Prise de renseignements auprès du personnel concerné et corroboration des réponses par les tests ci-dessous, afin de s assurer de la conformité des activités de contrôle Observation de l exécution des activités de contrôle Inspection des documents et des rapports concernant l exécution des activités de contrôle Les résultats combinés de ces procédures ont servi de fondement à la compréhension de Deloitte de la conception des contrôles ainsi qu à la formulation de l opinion de Deloitte conformément aux exigences énoncées dans les normes de CPA Canada. Les tests de Deloitte sur l efficacité des contrôles incluaient ceux que les auditeurs ont jugés nécessaires dans les circonstances pour évaluer si les contrôles et leur niveau de conformité permettaient d obtenir l assurance raisonnable, mais non absolue, que les objectifs de contrôle déclarés, pour le processus sous étude, avaient été atteints au cours de la période du 1 er juin 2015 au 16 juin Lors de l élaboration des tests sur la stratégie de contrôle, les auditeurs ont tenu compte : a) de la nature des éléments sur lesquels ils portaient; b) des types d éléments probants disponibles et de leur pertinence; c) de la nature des objectifs d audit à atteindre; d) du niveau de risque de non-contrôle; e) de l efficience et de l efficacité prévues des tests. Deloitte a audité les éléments probants à l appui de l efficacité du fonctionnement des activités de contrôle exécutées par le CSPQ. Deloitte n a effectué aucun test relatif aux contrôles qui s appuient sur des contrôles exécutés chez des entités clientes du CSPQ ou chez d autres fournisseurs de services. Centre de services partagés du Québec 4

9 Critère de contrôle interne, contrôles et tests sur l efficacité des contrôles Conformité du processus de gestion contractuelle Objectif de contrôle interne S assurer que le processus de gestion contractuelle menant à un appel d offres pour les achats regroupés a été respecté, notamment sur la pertinence des addendas, l analyse des besoins, les critères de l appel d offres (le devis) et la constitution du comité technique. Principales procédures de contrôle Tests de Deloitte Résultats des tests de Deloitte Les documents d appel d offres et autres documents afférents sont traités comme des documents confidentiels. Les employés impliqués dans le processus d appel d offres ne sont pas en conflit d intérêts, notamment les membres du comité technique. Obtention des ententes de confidentialité Validation des signatures Obtention des ententes portant sur les déclarations de conflit d intérêts Validation des signatures * La délégation de pouvoir est adéquate. Les données enregistrées dans le SEAO sont complètes, exactes et émises à l intérieur d un délai raisonnable. Les questions posées par les fournisseurs potentiels ont trouvé réponse à l intérieur d un délai raisonnable. L évaluation préalable des besoins a été faite de façon adéquate et rigoureuse (article 2 de la Loi) Les processus d appel d intérêt et d appel d offres sont transparents et analysés adéquatement. Obtention de la délégation de pouvoir Validation de son application Obtention des documents déposés dans le SEAO Compilation des documents déposés Validation des dates de dépôt Obtention de la liste des questions des fournisseurs Validation des dates d émission des addendas Obtention et examen des documents de définition des besoins * à la procédure de contrôle n a été décelée. Obtention des documents d appel d intérêt et d appel d offres Examen des processus Centre de services partagés du Québec 5

10 Conformité à la Loi sur les contrats des organismes publics et aux règlements correspondants ainsi qu à toutes décisions provenant du Secrétariat du Conseil du trésor Objectif de contrôle interne S assurer que la Loi et les règlements afférents ainsi que les décisions provenant du Secrétariat du Conseil du trésor ou du Conseil des ministres ont été respectés. Principales procédures de contrôle Tests de Deloitte Résultats des tests de Deloitte Les décisions du Conseil du trésor ont été respectées. Un appel d offres public a été émis (article 10 de la Loi) et tout appel d offres public s effectue au moyen d un avis diffusé dans le SEAO (article 11 de la Loi). Les documents d appel d offres sont complets (article 5 du RCA). Les conditions de conformité doivent indiquer les cas qui entraînent le rejet automatique d une soumission (article 7 du RCA). Un responsable de l observation des règles contractuelles (RORC) a été désigné par le dirigeant du CSPQ (article de la Loi). Les dates et les délais sont respectés. Dans le cas d un regroupement d organismes, l organisme responsable du regroupement doit prendre en considération l impact sur l économie régionale (article 16 de la Loi). Obtention des décisions du Conseil du trésor Validation de l application Confirmation que l appel d offres a été publié dans le SEAO Obtention et examen du document d appel d offres Confirmation du respect de l article 5 du RCA Obtention et examen du document d appel d offres Confirmation du respect de l article 7 du RCA Valider qu un RORC a été conformément désigné Obtention des documents déposés dans le SEAO Compilation des documents déposés Validation des dates de dépôt * à la procédure de contrôle n a été décelée. Confirmation que l appel d offres prend en considération l impact sur l économie régionale * Centre de services partagés du Québec 6

11 Deloitte, l un des cabinets de services professionnels les plus importants au Canada, offre des services dans les domaines de la certification, de la fiscalité, de la consultation et des conseils financiers., société à responsabilité limitée constituée en vertu des lois de l Ontario, est le cabinet membre canadien de Deloitte Touche Tohmatsu Limited. Deloitte désigne une ou plusieurs entités parmi Deloitte Touche Tohmatsu Limited, société fermée à responsabilité limitée par garanties du Royaume-Uni, ainsi que son réseau de cabinets membres dont chacun constitue une entité juridique distincte et indépendante. Pour obtenir une description détaillée de la structure juridique de Deloitte Touche Tohmatsu Limited et de ses sociétés membres, voir et ses sociétés affiliées.

Politique de sécurité de l information

Politique de sécurité de l information 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Politique de sécurité de l information Émise par la Direction, Gestion des

Plus en détail

Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA

Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 www.cpaquebec.ca Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA N.B. Il est inutile de présenter une demande

Plus en détail

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme

Plus en détail

Ligne directrice relative au remboursement des dépenses encourues par les bénévoles de l Ordre

Ligne directrice relative au remboursement des dépenses encourues par les bénévoles de l Ordre 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Ligne directrice relative au remboursement des dépenses encourues par les

Plus en détail

É T A T S F I N A N C I E RS du RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2011

É T A T S F I N A N C I E RS du RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2011 É T A T S F I N A N C I E RS du RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2011 RAPPORT DES VÉRIFICATEURS Au conseil des Biens non publics Nous avons vérifié

Plus en détail

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL

SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL SOMMAIRE DU RAPPORT ANNUEL 2013 DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL Avertissement : LE PRÉSENT DOCUMENT CONSTITUE UN CONDENSÉ DU RAPPORT ANNUEL DU VÉRIFICATEUR GÉNÉRAL. VOUS ÊTES INVITÉ À CONSULTER LA VERSION INTÉGRALE

Plus en détail

COMMENTAIRES. du Regroupement des cabinets de courtage d assurance du Québec. présentés à l Autorité des marchés financiers

COMMENTAIRES. du Regroupement des cabinets de courtage d assurance du Québec. présentés à l Autorité des marchés financiers COMMENTAIRES du Regroupement des cabinets de courtage d assurance du Québec présentés à l Autorité des marchés financiers portant sur le document de consultation «Ligne directrice sur les pratiques commerciales

Plus en détail

COMMISSION D ACCÈS À L INFORMATION

COMMISSION D ACCÈS À L INFORMATION Siège Bureau de Montréal Bureau 1.10 Bureau 18.200 575, rue Saint-Amable 500, boulevard René-Lévesque Ouest Québec (Québec) G1R 2G4 Montréal (Québec) H2Z 1W7 Tél. : (418) 528-7741 Tél. : (514) 873-4196

Plus en détail

DEMANDE D ADMISSIBILITÉ EN VERTU DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES -

DEMANDE D ADMISSIBILITÉ EN VERTU DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES - 5, Place Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Télec. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca DOCUMENT A DEMANDE D ADMISSIBILITÉ EN VERTU DE L ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE

Plus en détail

Opérations entre apparentés

Opérations entre apparentés exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012

Plus en détail

É T A T S F I N A N C I E RS pour le RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2010

É T A T S F I N A N C I E RS pour le RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2010 É T A T S F I N A N C I E RS pour le RÉGIME D ASSURANCE COLLECTIVE DES EMPLOYÉS DES FNP pour l année prenant fin le 31 MARS 2010 RAPPORT DES VÉRIFICATEURS Au conseil des Biens non publics RÉGIME D ASSURANCE

Plus en détail

Une vision claire des IFRS

Une vision claire des IFRS Juillet 2014 Secteur de la distribution et du commerce de détail et de gros Une vision claire des IFRS Perspectives sectorielles sur IFRS 15 La nouvelle norme sur les produits des activités ordinaires

Plus en détail

CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON

CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON Version du 3 mai 2007 PREAMBULE ARMINES via le Centre de Morphologie Mathématiques commun à ARMINES et l Ecole des Mines

Plus en détail

un état de changement

un état de changement un état de changement Bulletin bimestriel à l intention des organismes sans but lucratif Février 2013 Dans ce numéro Nouvelles normes comptables pour les organismes sans but lucratif Introduction Les organismes

Plus en détail

Le contrôle de la qualité des services

Le contrôle de la qualité des services Le contrôle de la qualité est essentiel à l amélioration continue des services aux usagers. En fonction des obligations du ministère de la Santé et des Services sociaux, le Protecteur du citoyen a analysé,

Plus en détail

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL

LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités

Plus en détail

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS DES ACHETEURS ET DES VENDEURS POUR UNE MEILLEURE PROTECTION IMMOBILIER DANS LE DOMAINE PRÉACHAT L INSPECTION L INSPECTION PRÉACHAT DANS

Plus en détail

Demande d obtention de permis d exercice ou de certificat de spécialiste

Demande d obtention de permis d exercice ou de certificat de spécialiste Demande pour une inscription en (mois/année) : NATURE DU PERMIS OU DU CERTIFICAT DEMANDÉ Note : une demande séparée est nécessaire pour chaque type de permis, certificat ou inscription. GÉNÉRAL SPÉCIALITÉ

Plus en détail

Comptabilité professionnelle Décembre 2012. Michel Vézina, CPA,CA; CA-TI; D.Sc.; M.Sc. Responsable pédagogique

Comptabilité professionnelle Décembre 2012. Michel Vézina, CPA,CA; CA-TI; D.Sc.; M.Sc. Responsable pédagogique 1 Comptabilité professionnelle Décembre 2012 Michel Vézina, CPA,CA; CA-TI; D.Sc.; M.Sc. Responsable pédagogique 2 Structure de la présentation I. La situation au Québec II. L accès à la profession et les

Plus en détail

États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS

États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS Au 31 mars 2014 Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l. 2000 Manulife Place 10180 101 Street Edmonton (Alberta) T5J 4E4 Canada Tél. : 780-421-3611

Plus en détail

Procédures d admission par équivalence

Procédures d admission par équivalence Procédures d admission par équivalence Conformément à ses règlements et aux exigences prescrites par le Code des professions du Québec, l Ordre des conseillers et conseillères d orientation du Québec (OCCOQ)

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ

PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ INTRODUCTION Hydro-Québec, dans ses activités de distribution d'électricité («Distributeur»), doit conclure des contrats d'approvisionnement

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe Exposé-sondage Projet de prise de position conjointe Prise de position conjointe sur les communications avec les cabinets d avocats au sujet des réclamations en cours et des réclamations éventuelles lors

Plus en détail

Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec

Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec bulletin Canadien Date 2014-06-05 Destinataires Référence Tous les intéressés qui effectuent des opérations d assurance RC professionnelle (secteur des services financiers) au Québec RE-14-008 Objet Pièce

Plus en détail

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière

Plus en détail

Formation continue obligatoire

Formation continue obligatoire Formation continue obligatoire POLITIQUE (Organismes) Version décembre 2010 S E R V I C E D U D É V E L O P P E M E N T P R O F E S S I O N N E L Table des matières Section 1 : Information générale 3 1.

Plus en détail

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

de principes Déclaration destinée à tous les clients en vertu des lois sur les valeurs mobilières 1. Objectif du présent document 2.

de principes Déclaration destinée à tous les clients en vertu des lois sur les valeurs mobilières 1. Objectif du présent document 2. destinée à tous les clients en vertu des lois sur les valeurs mobilières La réglementation en valeurs mobilières de certaines juridictions au Canada exige du conseiller en valeurs, dans la mesure où ses

Plus en détail

Rapport de Transparence

Rapport de Transparence Bureau régional d Arles Bureau régional d Avignon Bureau régional de Bagnols s/ Cèze Bureau régional de Grenoble 5, rue Charles Chaplin Zone de la Courtine 14, Avenue Paul Langevin 27 rue René Cassin 13200

Plus en détail

ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES DES ARCHITECTES ENTRE L'ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC

ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES DES ARCHITECTES ENTRE L'ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC ARRANGEMENT EN VUE DE LA RECONNAISSANCE MUTUELLE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES DES ARCHITECTES ENTRE L'ORDRE DES ARCHITECTES DU QUÉBEC ET L'ORDRE DES ARCHITECTES DE FRANCE ARRANGEMENT EN VUE DE LA

Plus en détail

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec

Plus en détail

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier.

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier. Ce texte a été élaboré par la CSSF à des fins d information ; seul le texte publié au Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg fait foi. Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes

Plus en détail

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Mise à jour : avril, 2015 Version 1.0 HISTORIQUE DES RÉVISIONS Le présent document sera régulièrement révisé dans le cadre des activités d amélioration

Plus en détail

RAPPORT DU SYNDIC AUX CRÉANCIERS SUR L ADMINISTRATION PRÉLIMINAIRE

RAPPORT DU SYNDIC AUX CRÉANCIERS SUR L ADMINISTRATION PRÉLIMINAIRE Samson Bélair/Deloitte & Touche Inc. 1, Place Ville Marie Bureau 3000 Montréal QC H3B 4T9 Canada Tél. : 514-393-7115 Téléc. : 514-390-4103 www.deloitte.ca CANADA PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE QUÉBEC DIVISION

Plus en détail

Document d information

Document d information Document d information Direction des finances municipales Janvier 2008 ISBN 978-2-550-51851-8 (PDF seulement) (3 e édition) ISBN 978-2-550-49637-3 (PDF seulement) (1 re édition) La consolidation des états

Plus en détail

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État

Plus en détail

Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB

Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Convention collective Mars 2011 Mars 2015 Note : Ce document regroupe les échelles salariales applicables aux différents titres d emploi représentés à la FIQ.

Plus en détail

NORME 5 NORMES ET PROCÉDURE D AUTO-ACCRÉDITATION

NORME 5 NORMES ET PROCÉDURE D AUTO-ACCRÉDITATION NORME 5 NORME ET PROCÉDURE D AUTO-ACCRÉDITATION Bien que cette Norme apparaisse dans le Code canadien de sécurité pour les transporteurs routiers, il est important de noter qu'elle s'applique à tous les

Plus en détail

Bulletin de l ACFM. Politique. Aux fins de distribution aux personnes intéressées de votre société

Bulletin de l ACFM. Politique. Aux fins de distribution aux personnes intéressées de votre société Personne-ressource : Paige Ward Avocate générale, secrétaire générale et vice-présidente, Politiques Téléphone : 416 943-5838 Courriel : pward@mfda.ca Bulletin de l ACFM Politique BULLETIN N o 0656 P Le

Plus en détail

UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER?

UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER? UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER? Par : Paul Mayer, du cabinet d avocats Fasken Martineau Les décisions récentes des tribunaux ont clairement démontré qu un avocat ne peut légalement

Plus en détail

FONDATION QUÉBÉCOISE POUR LE PROGRÈS DE LA MÉDECINE INTERNE

FONDATION QUÉBÉCOISE POUR LE PROGRÈS DE LA MÉDECINE INTERNE FONDATION QUÉBÉCOISE POUR LE PROGRÈS DE LA MÉDECINE INTERNE ÉTATS FINANCIERS 2 RAPPORT DE L'AUDITEUR INDÉPENDANT À l'attention des membres de Fondation Québécoise pour le progrès de la médecine interne

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives Assurances collectives Regroupement des organismes nationaux de loisir et de sport du Québec Conditions de renouvellement au 1 er avril 2015 et modification du choix d option Regroupement des organismes

Plus en détail

régie par l Autorité des marchés financiers

régie par l Autorité des marchés financiers Exercer une profession régie par l Autorité des marchés financiers Sommaire n Attributions et conditions pour exercer 1 une profession régie par l AMF n Obtention du certificat de représentant 2 n Assurance

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

OUVRIR UN COMPTE PERSONNEL

OUVRIR UN COMPTE PERSONNEL OUVRIR UN COMPTE PERSONNEL Renseignements et documents exigés Novembre 2008 Ouvrir un compte personnel TABLE DES MATIÈRES I. À PROPOS DE L OCRCVM 1 II. OUVERTURE D UN COMPTE 1 III. DEMANDE D OUVERTURE

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION CONTRACTUELLE

POLITIQUE DE GESTION CONTRACTUELLE Résolution CM13 0552 du conseil municipal le 17 juin 2013 et Résolution CG13 0246 du conseil d agglomération du 20 juin 2013 CONTEXTE L article 573.3.1.2 de la Loi sur les cités et villes oblige les municipalités

Plus en détail

Guide. Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations. Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations

Guide. Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations. Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations Guide Règles sur les cartes professionnelles et les autres représentations Pour communiquer avec votre clientèle dans le respect de vos obligations Ce guide remplace celui intitulé Les Règles pour les

Plus en détail

Politique d approvisionnement

Politique d approvisionnement Politique d approvisionnement Adoptée par les membres du conseil d administration le 25 novembre 2014 Direction des affaires juridiques et corporatives Résolution 14-060 1. Préambule La Société d habitation

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

C H A P I T R E. Contrôles généraux des technologies de l information

C H A P I T R E. Contrôles généraux des technologies de l information C H A P I T R E Contrôles généraux des technologies de l information 9 Mise en contexte Un portrait des rapports aux responsables de la gouvernance et à la direction est dressé pour une troisième année

Plus en détail

Politique de gestion contractuelle de la SHDM

Politique de gestion contractuelle de la SHDM Politique de gestion contractuelle de la SHDM Adoptée par les membres du conseil d administration le 22 octobre 2013 Direction des affaires juridiques et corporatives Politique de gestion contractuelle

Plus en détail

Régime d assurance responsabilité professionnelle des comptables professionnels agréés du Québec

Régime d assurance responsabilité professionnelle des comptables professionnels agréés du Québec Régime d assurance responsabilité professionnelle des comptables professionnels agréés du Québec Administré par l ACPAI Assurance ASSURANCE RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE FORMULAIRE DE PROPOSITION B GARANTIES

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Proposition Technologie de l information pour l Association québécoise des technologies (AQT)

Proposition Technologie de l information pour l Association québécoise des technologies (AQT) Proposition Technologie de l information pour l Association québécoise des technologies (AQT) Ceci est une proposition pour une assurance contre les erreurs et omissions. Veuillez indiquer si vous demandez

Plus en détail

CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom

CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom Pour un crédit de.points. ENTRE LES SOUSSIGNES SERVICES soft Eurl Dont le Siège social est : 1 er Groupe, Bt B Place du 1 er Mai Alger Ci après dénommer «LE PRESTATAIRE»

Plus en détail

Agrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes

Agrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à

Plus en détail

Guide d accompagnement du sinistré

Guide d accompagnement du sinistré Assurance de dommages Guide d accompagnement du sinistré Vous êtes victime d un dégât d eau, d un incendie ou d un cambriolage? Vous en avez avisé votre assureur? Qu arrive-t-il maintenant? Ce guide vous

Plus en détail

Résumé du projet de loi n 43 visant à modifier la Loi sur les mines

Résumé du projet de loi n 43 visant à modifier la Loi sur les mines Actualité juridique Résumé du projet de loi n 43 visant à modifier la Loi sur les mines Juin 2013 Mines et ressources naturelles Le 29 mai dernier, madame Martine Ouellet, ministre québécoise des Ressources

Plus en détail

Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée

Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée Septembre 2003 Analyse et rédaction Lynda Bouthillier Agente de recherche et de planification socioéconomique

Plus en détail

Table des matières :

Table des matières : Service Lenovo Pour tous les produits Lenovo offerts dans le cadre des contrats à commandes des micro-ordinateurs de table, des micro-ordinateurs portables, des tablettes et des moniteurs (999105784) et

Plus en détail

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de

Plus en détail

Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19

Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19 Page 1 de 12 Politique de capitalisation du Fonds d assurance automobile du Québec DATE DE MISE À JOUR 2015-03-19 RÉSUMÉ La présente politique définit les caractéristiques de la politique de capitalisation

Plus en détail

FAIRFAX INDIA HOLDINGS CORPORATION

FAIRFAX INDIA HOLDINGS CORPORATION États financiers consolidés Pour la période close le 31 décembre 2014 1 Le 25 mars 2015 Rapport de l auditeur indépendant Au conseil d administration de Fairfax India Holdings Corporation Nous avons effectué

Plus en détail

PUBLICITÉ, DOCUMENTATION COMMERCIALE ET CORRESPONDANCE

PUBLICITÉ, DOCUMENTATION COMMERCIALE ET CORRESPONDANCE Négociation - Dérivés sur taux d intérêt Négociation - Dérivés sur actions et indices Back-office - Contrats à terme Back-office - Options Technologie Réglementation MCeX CIRCULAIRE Le 3 septembre 2008

Plus en détail

Régie du Bâtiment Société pour la résolution des conflits Inc. Plan de garantie no:055148 Dossier 041223001

Régie du Bâtiment Société pour la résolution des conflits Inc. Plan de garantie no:055148 Dossier 041223001 Régie du Bâtiment Soreconi Société pour la résolution des conflits Inc. Plan de garantie no:055148 Dossier 041223001 Lucie Lacasse, es qualité de représentante du Syndicat de la copropriété de l Ilot des

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable

Plus en détail

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :

Plus en détail

Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques

Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques sur le projet de loi n o 15, Loi sur la gestion et le contrôle des effectifs des ministères, des

Plus en détail

SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013

SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013 SCARM Direction de l approvisionnement Ville de Montréal Mars 2013 Table des matières Politique d approvisionnement... 5 Politique de gestion contractuelle... 6 Des biens et des services... 7 Fichier

Plus en détail

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN

Plus en détail

CI INVESTMENTS INC. ÉNONCÉ DE POLITIQUES

CI INVESTMENTS INC. ÉNONCÉ DE POLITIQUES CI INVESTMENTS INC. ÉNONCÉ DE POLITIQUES Les lois sur les valeurs mobilières de certaines provinces exigent les courtiers et les conseillers à n agir qu en conformité avec les règles particulières de communication

Plus en détail

Vu les faits et les arguments soumis par IFE au soutien de la demande, notamment :

Vu les faits et les arguments soumis par IFE au soutien de la demande, notamment : DÉCISION N 2014-PDG-0177 Dispense de reconnaissance d ICE Futures Europe à titre de bourse et de marché organisé en vertu de l article 12 de la Loi sur les instruments dérivés, RLRQ, c. I-14.01 Dispense

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers

Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Christian Hoarau, Professeur a l'institut d'administration des entreprises de Paris La

Plus en détail

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL.

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL. DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL Introduction Module 1 Contrôle de la qualité et documentation Module 2 Acceptation de

Plus en détail

Alerte audit et certification

Alerte audit et certification Alerte audit et certification NCSC OCTOBRE 2014 Nouvelle NCSC 4460, Rapports sur les autres éléments relevés dans le cadre d une mission d audit ou d examen : êtes-vous prêts? Le présent bulletin Alerte

Plus en détail

Courtage immobilier résidentiel - EEC.1Y

Courtage immobilier résidentiel - EEC.1Y Attestation d études collégiales Courtage immobilier résidentiel - EEC.1Y Le programme d attestation d études collégiales (AEC) Courtage immobilier résidentiel est d une durée de 570 heures L'objectif

Plus en détail

Politique de gestion documentaire

Politique de gestion documentaire Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date

Plus en détail

Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme

Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme Règlement du Commissariat aux Assurances N 13/01 du 23 décembre 2013 relatif à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme (Mémorial A N 224 du 24 décembre 2013) La Direction

Plus en détail

Règlement modifiant le Règlement sur l exercice des activités des représentants et son concordant

Règlement modifiant le Règlement sur l exercice des activités des représentants et son concordant Projets de règlement Loi sur la distribution de produits et services financiers (L.R.Q., c. D-9.2, a. 202, 211, 213 et 223) Règlement modifiant le Règlement sur l exercice des activités des représentants

Plus en détail

CORPORATION DE PROTECTION DES INVESTISSEURS DE L ACFM DIRECTIVE RELATIVE À LA COUVERTURE

CORPORATION DE PROTECTION DES INVESTISSEURS DE L ACFM DIRECTIVE RELATIVE À LA COUVERTURE CORPORATION DE PROTECTION DES INVESTISSEURS DE L ACFM DIRECTIVE RELATIVE À LA COUVERTURE La Corporation de protection des investisseurs de l ACFM (la «CPI») protège les clients des membres (les «membres»)

Plus en détail

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information CA 06-02-2015 Annexe 10.1 Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information Janvier 2015 2 1. PRÉAMBULE La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) est une fédération

Plus en détail

Alerte en fiscalité internationale

Alerte en fiscalité internationale Canada Fiscalité internationale Personnesressources Leader national Fiscalité internationale Étienne Bruson 604-640-3175 Provinces de l Atlantique Brian Brophy 709-758-5234 Québec François Chagnon 514-393-7073

Plus en détail

Mise à jour du Manuel de l ICCA

Mise à jour du Manuel de l ICCA Normes et règlements Montréal, le 30 mars 2004 Mise à jour du Manuel de l ICCA La collection Normes et recommandations de l'icca sur Internet a été mise à jour pour refléter les modifications apportées

Plus en détail

Assurances collectives

Assurances collectives ?Votre guide de référence Assurances collectives samsongroupeconseil.com Votre partenaire de parcours Introduction Au printemps 2006, neuf syndicats d enseignement débutaient un processus de désaffiliation

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032

Plus en détail

Loi sur les contrats des organismes publics (2006, c. 29, a. 26)

Loi sur les contrats des organismes publics (2006, c. 29, a. 26) POLITIQUE DE GESTION CONTRACTUELLE CONCERNANT LA CONCLUSION DES CONTRATS D APPROVISIONNEMENT, DE SERVICES ET DE TRAVAUX DE CONSTRUCTION DES ORGANISMES PUBLICS Loi sur les contrats des organismes publics

Plus en détail

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers

Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

Avis de consultation de télécom CRTC 2014-604

Avis de consultation de télécom CRTC 2014-604 Avis de consultation de télécom CRTC 2014-604 Version PDF Ottawa, le 20 novembre 2014 Numéro de dossier : 8690-C12-201411868 Instance de justification Date limite de dépôt des interventions : 8 janvier

Plus en détail

POLITIQUE N o : P AJ-005 POLITIQUE SUR LA PROTECTION DES INFORMATIONS CONFIDENTIELLES

POLITIQUE N o : P AJ-005 POLITIQUE SUR LA PROTECTION DES INFORMATIONS CONFIDENTIELLES 1. INTRODUCTION Le Code civil prévoit des dispositions qui imposent aux employés des obligations en matière de loyauté et de protection des informations à caractère confidentiel : Art. 2088. Le salarié,

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l'environnement

Programme des Nations Unies pour l'environnement NATIONS UNIES EP Programme des Nations Unies pour l'environnement Distr. Restreinte UNEP/OzL.Pro/ExCom/40/5 19 juin 2003 FRANÇAIS ORIGINAL: ANGLAIS COMITÉ EXÉCUTIF DU FONDS MULTILATÉRAL AUX FINS D APPLICATION

Plus en détail

LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE

LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE Septembre 2011 Page 1 Au sommaire Préambule Le nouveau référentiel sur la forme Le nouveau référentiel sur le

Plus en détail

Demandes de permis : régions nouvellement désignées. Ressources en pétrole et en agrégats

Demandes de permis : régions nouvellement désignées. Ressources en pétrole et en agrégats Objet : Politique n o : Nouvelle : Ministry of Natural Resources Ministère des Richesses naturelles Demandes de permis : régions nouvellement désignées R.A. 2.01.01 Révisée Rédigé par Direction : Section

Plus en détail

LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES

LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES États financiers Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2007 Table des matières Rapport des vérificateurs 2 États financiers Bilan 3 État des résultats

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT AGENCES

CONVENTION DE PARTENARIAT AGENCES CONVENTION DE PARTENARIAT AGENCES ENTRE, La société SHOPPING FLUX SARL, dont le siège social est situé : 21 avenue du Fort 92120 Montrouge Immatriculée au registre du commerce et des sociétés sous le numéro

Plus en détail