N du SUJET : 9. - Dans quelle mesure le dispositif peut-il permettre l'évolution des pratiques professionnelles?
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- Solange Truchon
- il y a 6 ans
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1 SECONDE EPREUVE ORALE D ADMISSION Pour les deux parties de l épreuve : - Temps de préparation : 3 h - Temps de passation : 1h15 - Note totale sur 100 points Deuxième partie : situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l'école primaire Temps de passation : 45 min. note sur 60 points 1 Exposé du candidat (15 min. note sur 20 points) 2 Entretien avec le jury (30 min. note sur 40 points) N du SUJET : 9 Intitulé : Dispositif "Plus de maîtres que de classes" Références du dossier - Texte 1 : Inspection générale de l Education nationale, Inspection générale de l administration de l Education nationale et de la Recherche, rapport n , juin (Extraits : pages 2,19,20,58) - Texte 2 : MEN-DGESCO, 10 repères pour la mise en œuvre du dispositif «Plus de maîtres que de classes», juin (Extraits : pages 3,4,6,7,11,12) - Texte 3 : Site de l Académie de Paris, «Dispositif plus de maîtres que de classes», modalites.pdf Questions - A partir des documents proposés, explicitez dans quelles conditions le travail de co-intervention préconisé dans le dispositif "Plus de maîtres que de classes" peut être mis en place. - Pouvez-vous identifier les organisations pédagogiques qui peuvent être mises en œuvre en précisant leurs avantages et inconvénients respectifs? - Dans quelle mesure le dispositif peut-il permettre l'évolution des pratiques professionnelles? CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ECOLES Session 2015 SECONDE EPREUVE ORALE D ADMISSION 2 ème partie SUJET N 9 45 min. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire Page d en tête
2 Texte 1 : Inspection générale de l Education nationale, Inspection générale de l administration de l Education nationale et de la Recherche, rapport n , juin (Extraits) Le dispositif «plus de maîtres que de classes», créé par la circulaire n du 18 décembre 2012, a été conçu pour permettre la maîtrise par les élèves des compétences indispensables à l acquisition du socle commun, soit en prévenant les difficultés d apprentissage, soit en remédiant aux acquis insuffisants. En affectant un enseignant supplémentaire dans une école ou un groupe scolaire sur la base d un projet pédagogique validé par l inspecteur de la circonscription, projet qui peut permettre de nouvelles organisations pédagogiques pour une action directe auprès des élèves, il est attendu des progrès pour ceux qui en bénéficient. Un engagement des équipes enseignantes constitue le corollaire de ce projet. ( ) Le souhait de la mission a été, au terme de son enquête, de parvenir à cerner de grandes catégories d interventions face aux élèves et à appréhender si de «nouvelles organisations pédagogiques» étaient à l oeuvre. En d autres termes, le dispositif «plus de maîtres que de classes» peut-il être vecteur d évolution des pratiques enseignantes habituelles? Le discours de la recherche à ce propos, sa transposition en formation à l échelon des départements ou des circonscriptions ont retenu toute l attention de la mission. ( ) Le maître supplémentaire s inscrit dans un collectif autorisant de la souplesse mais d abord garant de régulation et d efficacité Les apports du maître supplémentaire sont destinés à s insérer dans la démarche pédagogique conduite par l équipe enseignante. Pour ce faire, la circulaire insiste sur : la nécessité de procéder à une analyse des ressources locales «déjà existantes» ; l inscription du projet dans le projet d école, et sa présentation en conseil d école ; la cohérence du dispositif qui se fonde sur une définition d un projet éducatif d équipe dans lequel le maître supplémentaire intervient comme tous les autres membres de l école. Il est attendu un travail collectif : du point de vue «institutionnel» : le projet «rédigé par l équipe, sous l autorité du directeur d école, est validé par l IEN chargé de la circonscription» ; du point de vue de «l organisation du service des maîtres, sur la base d une obligation réglementaire identique pour tous (.) Le projet prévoit les modalités d intervention du maître supplémentaire en relation avec les titulaires des classes, les dispositifs de concertation et de régulation nécessaires et les personnes qui y sont associées» ; du point de vue de l acte d enseignement : «le maître supplémentaire qui fait partie de l équipe des maîtres ne peut être chargé de missions de coordination» Des possibilités d organisation et des ambitions qui vont au-delà des objectifs généraux assignés au dispositif Pour ce qui concerne l affectation des maîtres, il est ainsi rappelé que celle-ci «se fait dans le cadre d une école ou un nombre limité d écoles relevant d un ou plusieurs groupes scolaires du même secteur de collège. (...) Des engagements pluriannuels seront recherchés.» Il est précisé que «les besoins des élèves, la population des écoles et les équipes sont toutefois susceptibles de varier dans le temps et une certaine souplesse dans l affectation des ressources dans les écoles d un secteur de collège doit être possible, sous l autorité de l IEN chargé de la circonscription». ( ) Ainsi, après avoir cadré le dispositif pour en faciliter l appropriation par les équipes, on laisse entendre que l apport du maître supplémentaire est également censé participer à la transformation du métier. ( ) Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 9 Page : 1 / 5
3 Les temps de concertation Le dispositif suppose un travail d équipe : entre enseignants titulaires de la classe et maître supplémentaire, entre enseignants, maîtres E, inspecteurs, conseillers pédagogiques, psychologues. Une analyse des enjeux d apprentissage et des obstacles potentiels que pourraient rencontrer les élèves en amont de la séance est nécessaire. Le travail doit être adapté aux besoins effectifs des élèves, qui eux aussi doivent faire l objet d une analyse. Viennent s y ajouter le choix et la préparation des outils et supports pour chaque séance. Enfin, il faut également faire le point après la séance ou la séquence, pour déterminer l efficacité des choix opérés et procéder éventuellement à des ajustements. Pour ce travail collectif, il est nécessaire qu il y ait, d une part, du travail à deux et des échanges informels et, d autre part, des moments d échange avec des heures et des lieux de rendez-vous identifiés : le conseil de cycle, le conseil des maîtres, ainsi que du temps officiellement attribué à la concertation. En ce qui concerne le travail en commun sur les futures séances en co-intervention, avec la préparation du matériel et des supports, certaines équipes notent que pour être plus efficace, il est bon de déterminer un ordre du jour ou des pistes de travail avant de se rencontrer, et aussi d apporter le matériel nécessaire à la séquence. Quand on a réfléchi à l avance aux modalités d'action et aux compétences ciblées, le temps de concertation est nettement raccourci et le résultat meilleur. Texte 2 : MEN-DGESCO : 10 Repères pour la mise en oeuvre du dispositif «plus de maîtres que de classes» (Extraits) 1 - Les objectifs du dispositif (page 3/18) - Conduire chaque élève à la maîtrise du socle commun, assurer la maîtrise des compétences de base ; - Prévenir la difficulté scolaire en primaire, en permettant de nouvelles organisations pédagogiques, en priorité au sein même de la classe ; - Mieux répondre et remédier aux difficultés rencontrées par les élèves, sans se substituer à l aide spécialisée qui a toute sa pertinence pour les élèves en très grande difficulté. POINTS DE VIGILANCE RECOMMANDATIONS - La circulaire définit le dispositif comme relevant de la prévention de la difficulté scolaire (et de sa remédiation quand elle n a pu être évitée). - Ce point essentiel doit être explicitement souligné. Il convient : - d éviter toute confusion avec les interventions du RASED, dont le champ d intervention n est pas assimilable à celui de ce dispositif ; - de veiller à une bonne articulation et à une complémentarité avec tous les autres dispositifs spécifiques (RASED, activités pédagogiques complémentaires, accompagnement éducatif). - le dispositif favorise la mise en oeuvre de démarches pédagogiques renouvelées, afin de parvenir à une amélioration générale du niveau de réussite de tous les élèves à l issue de l école primaire. 2 - Les acquisitions prioritairement visées (page 4/18) - Les instruments fondamentaux de la connaissance (apprentissage de la lecture, production d écrit, langage oral, mathématiques) ; - La méthodologie du travail scolaire. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 9 Page : 2 / 5
4 POINTS DE VIGILANCE RECOMMANDATIONS - Le projet doit concerner les apprentissages fondamentaux. - Il convient de ne pas se disperser dans une trop grande diversité d activités et de projets. - Il faut agir sur les modalités d enseignement mises en oeuvre par les maîtres. - Les maîtres doivent s attacher à la construction par les élèves des habiletés spécifiques et des micro-compétences qui entrent en jeu dans les apprentissages. - Il peut paraître souhaitable de privilégier les acquisitions réalisées à l école maternelle et au cycle 2, pour éviter l installation de difficultés. - Il convient cependant de ne pas exclure totalement le cycle 3, dans lequel de nouveaux apprentissages apparaissent, tout aussi fondamentaux pour la poursuite de la scolarité obligatoire. DÉRIVE À ÉVITER ABSOLUMENT - Le maître supplémentaire prend en charge une discipline non enseignée par le maître titulaire de la classe. ( ) 4 - Une démarche de projet (pages 6,7 et 18) - projet pédagogique rédigé par l équipe de l école, sous la responsabilité du directeur, validé par IEN, puis inscrit dans le projet d école en réponse à la difficulté scolaire (présenté en conseil d école) ; - modalités d intervention déterminées en équipe, en fonction des besoins des élèves, selon les contextes locaux ; - possibilité d adaptation en cours d année à l évolution des besoins des élèves. - organisation du service des maîtres qui découle du projet élaboré ; - modalités d intervention du maître supplémentaire en relation avec les titulaires des classes ; - déroulement d activités sur un temps assez long / efficacité de l action pédagogique ; - dispositif de concertation et de régulation des actions par les enseignants concernés ; - engagement de toute l équipe enseignante de l école ; - des organisations autres que par classes sont possibles, dans l esprit des cycles (groupes de besoins ou de compétences, rassemblant des élèves d un même cycle, d âges différents ). CE QUE DISENT LES RECHERCHES SUR DES EXPÉRIENCES PROCHES - Les résultats obtenus dépendent des missions et des modalités d intervention des personnes supplémentaires dans les écoles. - Lorsque les modalités concrètes d organisation ne sont pas explicitement et strictement définies, on observe une grande variabilité dans la mise en place de ce dispositif, et peu d effet au final. - La mise en place de groupes d élèves de même niveau n apporte pas de bénéfices significatifs sur la moyenne de leurs acquisitions. - Un encadrement intensif sur des objets précisément identifiés peut avoir un effet positif sur les apprentissages des élèves (prise en charge des élèves supérieure à 6 heures par semaine). - Les résultats sont positifs quand il s agit d intervention de personnes formées (enseignants), sur des habiletés ciblées, selon une fréquence soutenue et sur une durée assez longue. ( ) Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 9 Page : 3 / 5
5 7 - Des formes d intervention pédagogique diverses, notamment (pages 11,12 et 18) - Co-intervention dans la classe avec le titulaire ; - Prise en charge de groupes d élèves en fonction de leurs besoins. CE QUE DISENT LES RECHERCHES SUR DES EXPÉRIENCES PROCHES - Les «formes» organisationnelles n exercent guère d effets si elles ne sont pas mises au service d activités précises, intégrées dans des programmations d enseignement spécifiques et rigoureuses. POINTS DE VIGILANCE RECOMMANDATIONS - Il faut se garder de ne parler que de remédiation et de difficultés ; l axe de la prévention peut apporter beaucoup, par exemple en travaillant spécifiquement l expression orale, la compréhension, la découverte de l écrit pour développer la maîtrise de la langue chez les élèves les plus éloignés des pratiques de l école. - L objectif premier est de faire réussir les élèves : s il y a des principes généraux sur lesquels on ne peut transiger, il n y a pas, a priori, d organisations ou de pratiques à privilégier ou à proscrire. - Il existe d autres modèles que l action du maître spécialisé allant de classe en classe pour co-intervenir avec le maître titulaire ; on peut réfléchir aussi, par exemple, à des organisations avec 3 enseignants (dont le maître supplémentaire) pour 2 classes, pour travailler à certains moments en groupes restreints et porter une attention plus soutenue aux élèves ayant besoin d être davantage mobilisés. - Ce dispositif a vocation à aider les enseignants dans leur réflexion et leurs pratiques, par les échanges en conseils des maîtres avec ce «maître en plus» qui travaille dans plusieurs classes, à ajuster leurs pratiques, à mieux penser leur responsabilité comme englobant l ensemble du parcours des élèves dans l école (a minima, dans le cycle). - La présence de deux enseignants dans une même classe peut aussi permettre au maître titulaire d observer l élève en train d apprendre et donc de mieux identifier les difficultés auxquelles il est confronté. DÉRIVES À ÉVITER - Le maître supplémentaire prend en charge des groupes systématiquement sortis de la classe. - Le maître supplémentaire prend en charge systématiquement les élèves en difficulté ou les élèves perturbateurs. - Le maître supplémentaire intervient en réponse aux besoins des enseignants des classes sans anticipation ou concertation. - L enseignant de la classe et le maître supplémentaire ne trouvent pas de temps pour préparer ensemble leurs co-interventions. - Le maître supplémentaire se sent inutile dans la classe. - On laisse s installer une forme de dépendance pour des élèves ayant trop souvent un enseignant pour les guider. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 9 Page : 4 / 5
6 Texte 3 : Site de l Académie de Paris, «Dispositif plus de maîtres que de classes», Du coté enseignants : six modalités de co-intervention ou de co-enseignement L un enseigne, l autre observe 2. L un enseigne, l autre aide L'un des avantages de cette co-intervention est qu une observation plus précise est possible. Il est possible de décider à l'avance ensemble quels types de données d'observation spécifique recueillir au cours de la séance. Par la suite, les enseignants ont à partager l analyse des observations. Cette organisation est intéressante au début la collaboration entre enseignants, mais pas seulement. Elle est utile pour observer la mise au travail et les démarches des élèves, l impact du rôle de l enseignant : compréhension des consignes, mobilisation des élèves, comportements parasites, etc. 3. Enseignement parallèle Dans ce fonctionnement du co-enseignement, un professeur garde la responsabilité de l'enseignement tandis que l'autre circule à travers la classe, fournissant une aide discrète aux élèves en fonction des besoins. Cette organisation est pertinente lorsque : - l un des enseignants a approfondi un domaine pour l enseigner ; - l activité risque de présenter des difficultés immédiates, mais il est important qu elle reste collective ; - lorsque des élèves manifestent des difficultés à se mobiliser. C est intéressant d alterner les rôles. 4. L enseignement en ateliers Les enseignants font en même temps la même chose : l avantage est la réduction du nombre d élèves. Dans un certain nombre de cas, l'apprentissage des élèves serait grandement facilité s ils avaient juste eu plus d attention de l'enseignant et davantage la possibilité de prendre la parole. La composition des deux groupes hétérogènes peut être intentionnelle, réfléchie. 5. Enseignement avec groupe différencié Dans cette approche de co-enseignement, les enseignants se divisent le contenu. Chaque professeur enseigne le contenu à un groupe et reproduit son intervention ensuite auprès de l'autre groupe. Un troisième atelier peut donner aux élèves la possibilité de travailler en autonomie. Cette organisation est intéressante par exemple quand il y a un matériel spécifique. 6. En tandem Dans toute classe, il y a des moments pendant lesquelles les élèves ont besoin d une attention particulière. Dans cette formule, un enseignant prend la responsabilité de l'ensemble du groupe, tandis que l autre œuvre avec un petit groupe. Cette organisation peut être choisie à des moments différents : au début ou à la fin d une séance ; elle peut être brève. Elle peut concerner des élèves ayant des difficultés ou tout au contraire des élèves à l aise qui vont être stimulés de manière approfondie. La différenciation peut concerner un domaine sur lequel travaille le grand groupe ou bien un autre domaine. Dans l'enseignement en tandem, les enseignants sont acteurs avec toute la classe en même temps. Cette organisation peut être très utile lorsque l un parle, mène un dialogue avec le groupe classe, tandis que l autre agit, manipule, écrit. Situation professionnelle inscrite dans le fonctionnement de l école primaire SUJET N 9 Page : 5 / 5
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