Histoires ordinaires de fraudes
|
|
- Renée Fleury
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ACFE / Francis Hounnongandji Histoires ordinaires de fraudes 20 études de cas : détournements d actifs, corruption, déclarations frauduleuses, 2011 ISBN:
2 Sommaire Préface Introduction Mesures antifraudes: un réalisme nécessaire Les fraudes coûtent cher aux acteurs économiques Des risques de fraudes en évolution Des mesures concrètes et des solutions pratiques sont nécessaires Des évolutions sociologiques et juridiques actuelles rendent la gestion proactive des risques de fraude comme une démarche moderne, éthique et économique. 21 Le système anglo-saxon est un système «pionnier» dans ce secteur Le système judiciaire et juridictionnel européen et français tend progressivement vers le modèle anglo-saxon La crise économique récente a considérablement renforcé le besoin d éthique Une opportunité pour les entreprises en temps de crise de réduire leurs coûts Comment lutter au quotidien contre les fraudes Une nécessaire éducation à la lutte antifraude Quelques techniques antifraudes simples Partie 1 Détournements d actifs Un talent mal récompensé Défaillance du système de gestion des stocks Récit Un employé modèle Une fraude bien organisée Mise au jour des malversations Leçons Recommandations Mettre en place un système de reporting opérationnel mensuel Établir des routines comptables fiables Développer un système de remontée d informations confidentielles Établir une politique de vacances obligatoires et encourager la rotation de postes Les fraudeurs se suivent et se ressemblent Abus de confiance et détournements de fonds Récit Leçons Recommandations Créer un moyen de signalement: hotline, etc Mieux contrôler les filiales Éviter les délégations trop importantes Commanditer des enquêtes d antécédents Mettre en place des indicateurs
3 6 Histoires ordinaires de fraudes L affaire du serpent qui se mord la queue ou la société qui finance son propre rachat Détournement d actifs et abus de biens sociaux Récit Historique de cette société Les constatations des enquêteurs Leçons Recommandations Effectuer une due diligence, au moins à partir de sources de données publiques (ouvertes) Sensibiliser les actionnaires et autre comité d entreprise et conseil d administration sur les cas de fraude Sensibiliser les commissaires aux comptes sur les cas de fraude Le sens de l observation Collusion et détournement de marchandise Récit Mise en situation Découverte de la fraude Conclusion Leçons Recommandations Investiguer sur le terrain Ne pas accepter l inexplicable, surtout s il vous est défavorable Mieux vaut prévenir que guérir La tentation était trop grande Détournement de fonds Récit Mise en place de la fraude Quand la machine se grippe Conclusion Leçons Recommandations Réduire les échanges en argent liquide Réaliser des rapprochements bancaires systématiques Suivre les indicateurs de performance Contrôler l utilisation des procédures manuelles Être attentif aux attitudes inhabituelles Petit poisson deviendra grand Manipulation de données informatiques Récit Mécanismes de la fraude Mécanismes de recherche et de découverte de la fraude Les actions entreprises par les sociétés mutualistes
4 Sommaire 7 Les poursuites Leçons Recommandations Renforcer les contrôles sur les données sensibles Renforcer les contrôles sur les comptes bancaires sans mouvements ou à faibles mouvements Exiger, le cas échéant, des clauses contractuelles d audit et les exercer Un secret mal gardé Fraude dans le cadre d une fusion-acquisition Récit Les protagonistes Une fusion qui tourne mal Explication de la machination Leçons Recommandations S assurer de l étanchéité physique et informatique de la data-room Rappeler aux acteurs clés d un tel projet les contraintes de sécurité associées Établir un protocole d exclusivité Prévoir une clause d alerte Le pire n est jamais sûr Actifs extracomptables et détournements de métaux précieux Récit Préliminaires Un résultat d audit inattendu Leçons Recommandations Prévoir des procédures en cas de suspicion de fraude Prendre conscience de l ensemble des valeurs dans l entreprise Partie 2 Corruption «Le poisson pourrit toujours par la tête» Corruption, conflit d intérêts et enrichissement personnel Récit Découverte de la corruption active Mécanisme du conflit d intérêts Une affaire à rebondissements Leçons Recommandations Prendre en compte la réglementation locale Privilégier l autodénonciation Insister sur l exemplarité de la hiérarchie
5 8 Histoires ordinaires de fraudes Collusion perdue Entente postcontractuelle Récit Préliminaires Mise en place de la collusion Les raisons de la collusion Leçons Recommandations Former les jeunes acheteurs Favoriser le travail d équipe Révéler son intuition Limiter et mesurer les risques Le projet du millénaire Dissimulation d incidents de fraude par le management Récit Le parcours impressionnant de la doyenne du musée Le choix du sous-traitant La brèche La faille dans le contrat La décision de dissimuler L alerte donnée par le Fonds de la Loterie nationale L enquête Le désastre des relations publiques Leçons Recommandations Agir face à la menace de fraude Mener une due diligence accrue sur les sous-traitants avant la signature du contrat Renforcer les systèmes de contrôle interne Créer un département de la conformité La courtière en assurances exige du sur-mesure Fraude aux assurances Récit Les protagonistes Rappels sur l assurance vie Mise en place de la fraude Le début de la fin Investigation Conséquences financières de la fraude Suites de l affaire Leçons Recommandations Réévaluer constamment le risque de fraude Écouter les signaux «faibles»
6 Sommaire 9 Mettre en place des outils d alerte spécifiques Choisir les bonnes compétences Les étranges relations entre M. Alibert et son fournisseur de logiciel Corruption privée Récit Mise en situation Découverte de la fraude Leçons Le conflit d intérêt L absence de mise en concurrence Les délégations de signature et de pouvoir Recommandations Vérifier la contractualisation avec les fournisseurs Vérifier que toute commande est autorisée Vérifier que la procédure de sélection des fournisseurs existe Mettre en place une méthodologie de contrôle adaptée à l organisation L art de servir ses intérêts Conflit d intérêts au sein de la grande distribution Récit Préliminaires Une suspicion de fraude Investigation et processus d audit Dénouement Leçons Recommandations Mener des actions préventives Procéder à des contrôles Mener des actions de répression Développer une communication interne Établir un contrat d assurance Partie 3 Déclarations frauduleuses La folie des grandeurs Un cadre dirigeant hors supervision et hors contrôle Récit Présentation de la société et des enjeux Personnalité Profil de la société Étincelle Investigation Confrontation et aspects judiciaires Leçons
7 10 Histoires ordinaires de fraudes Recommandations Contrôler les sites distants Séparer les tâches Mettre en place une ligne téléphonique de whistle blowing Cap à l Est! Une joint-venture à risque Récit Mise en situation Collecte d informations Le parcours douteux du futur partenaire Sous le vernis, la rouille Le cauchemar américain L heure des conclusions Leçons Recommandations Être attentifs aux signaux faibles Respecter la réglementation Veiller à la qualité des due diligences Un loup déguisé en agneau Une banque criminelle: la BCCI Le récit En apparence, un beau projet éthique Rhétorique tiers-mondiste et management mystique Une entreprise criminelle au service du crime organisé Trafic de drogue et blanchiment d argent Une banque crapuleuse au service des États L emballement de la machine De l extérieur: une croissance fulgurante et intrigante Des amis bien utiles: l art de l influence et du lobbying Un objet bancaire mal identifié La débacle Une tragédie de grande ampleur Leçons Recommandations Traiter de manière adéquate les éléments d alerte Faire attention aux apparences: tout ce qui brille n est pas de l or Le grand carrousel Fraude à la TVA dans l Union européenne Récit Préliminaires Fonctionnement de la fraude Premier cas Second cas Leçons
8 Sommaire 11 Recommandations Structurer et coordonner les actions et les échanges d informations Intensifier les contrôles publics Intensifier les contrôles en entreprise Fraude en kit Faux documents et crime organisé Récits Préliminaires Le «kit Assedic» Le paquete Leçons Recommandations Accentuer les contrôles sur les personnes Accentuer les contrôles sur les entreprises Accentuer les contrôles à adopter par les organismes payeurs À l insu de leur plein gré Fraude monétique Récit Préliminaires Fraude à la filature Fraude informatique Leçons Recommandations Mettre en place des mesures de sensibilisation et de formation des collaborateurs Maintenir des services spécialisés contre la fraude Maintenir un haut niveau de confidentialité Utiliser des requêtes informatiques antifraude Trouver d autres moyens antifraude Aide lexicale Liste des contributeurs
PREVENIR LA CORRUPTION
PREVENIR LA CORRUPTION APPLICATION DE LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CORRUPTION TUNIS SEPTEMBRE 2012 Dr. JEAN PIERRE BUEB EXPERT INTERNATIONAL 1 - QUELLE CORRUPTION? Bien préciser de quoi l
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailRELATIONS AVEC LES PARTENAIRES COMMERCIAUX
RELATIONS AVEC LES PARTENAIRES COMMERCIAUX Politique Groupe Keolis - Mai 2015 - Document à usage interne et externe RE Rappels des principes fondamentaux posés par le GUIDE ETHIQUE DE CONDUITE DES AFFAIRES
Plus en détailPolitique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères
Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines
Plus en détailSÉCURITÉ, BANQUE ET ENTREPRISES. Prévention des risques de fraudes
SÉCURITÉ, BANQUE ET ENTREPRISES Prévention des risques de fraudes SECURITÉ, BANQUE ET ENTREPRISES PRÉVENTION DES RISQUES DE FRAUDES Les moyens modernes de communication et les systèmes informatiques des
Plus en détailUn programme standard pour prévenir et détecter les fraudes en entreprise
Un programme standard pour prévenir et détecter les fraudes en entreprise Qu elle soit le fait de dirigeants ou de simples employés, la fraude signe l échec de toutes les procédures de contrôle interne.
Plus en détailIntervention du 4 mars 2014 POUR LA PROTECTION CONTRE LA. Colloque AIG / Boken La fraude aux faux ordres de virement
Intervention du 4 mars 2014 GUIDE À L USAGE DES ENTREPRISES POUR LA PROTECTION CONTRE LA «FRAUDE AU PRÉSIDENT» Colloque AIG / Boken La fraude aux faux ordres de virement M. Raphaël Gauvain, avocat associé
Plus en détailCette perte concerne exclusivement la gestion en compte propre de la CNCE, c est-à-dire une activité indépendante de sa trésorerie.
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 17 octobre 2008 --- Du fait de l extrême volatilité des marchés et du krach boursier de la semaine du 6 octobre, le Groupe Caisse d Epargne a connu un important incident
Plus en détailGestion des Incidents SSI
Gestion des Incidents SSI S. Choplin D. Lazure Architectures Sécurisées Master 2 ISRI/MIAGE/2IBS Université de Picardie J. Verne Références CLUSIF Gestion des incidents de sécurité du système d information
Plus en détailLa fraude en entreprise
La fraude en entreprise @ 2015 Prévention de la Fraude Un contexte favorable à la délinquance financière internationale La délinquance financière évolue au rythme où le monde se transforme La mondialisation
Plus en détailL AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1
L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailLa détection des fraudes commises en entreprise au Canada:
La détection des fraudes commises en entreprise au Canada: Une étude de ses victimes et de ses malfaiteurs Association of Certified Fraud Examiners et Dr Dominic Peltier-Rivest, Ph.D., M.Acc., CFE, Université
Plus en détailAlp Services SA Rue de Montchoisy 36 1207 Genève Suisse 1
lp Services S Rue de Montchoisy 36 1207 Genève Suisse 1 Investigations internationales Support de contentieux Criminalité économique Lutte anti-contrefaçon Lutte contre le piratage Systèmes de sécurité
Plus en détailGROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)
Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION CONTRACTUELLE
Résolution CM13 0552 du conseil municipal le 17 juin 2013 et Résolution CG13 0246 du conseil d agglomération du 20 juin 2013 CONTEXTE L article 573.3.1.2 de la Loi sur les cités et villes oblige les municipalités
Plus en détailPolitique de gestion contractuelle de la SHDM
Politique de gestion contractuelle de la SHDM Adoptée par les membres du conseil d administration le 22 octobre 2013 Direction des affaires juridiques et corporatives Politique de gestion contractuelle
Plus en détailRÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES
RÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES 3 AVANT-PROPOS Le présent code de bonne conduite définit les règles auxquelles les entreprises d assurances ont souscrit à l égard de leurs nombreux interlocuteurs:
Plus en détailConférence Gouvernance de la compliance et gestion des risques de corruption. 12 13 Mars 2015, Paris, France. business media VALIANT.
Conférence Gouvernance de la compliance et gestion des risques de corruption Optimiser les démarches de prévention des risques, mettre en place des dispositifs adaptés afin de préserver l intégrité et
Plus en détailPOLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.
POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité
Plus en détailPour toutes vos questions et préoccupations, veuillez contacter le Directeur Général ou la Directrice Financière.
General Logistics Systems France Siège social 14, rue Michel labrousse BP 93730-31037 Toulouse Cedex 1 Téléphone 0825 34 34 34 (0,15 TTC/Min) Fax +33 (0)5 34 619 620 Internet www.gls-group.eu Politique
Plus en détailL escroquerie dite «au faux patron» par la réalisation de virements frauduleux
L escroquerie dite «au faux patron» par la réalisation de virements frauduleux Un phénomène de grande ampleur C est un phénomène qui touche essentiellement les sociétés françaises Les sociétés de toutes
Plus en détailAppendice A I. Mission II. Domaine d'activité A. VÉRIFICATION
Appendice A Charte du Bureau de l'inspecteur général I. Mission 1. Le Bureau de l'inspecteur général assure la supervision des programmes et des opérations de l'organisation, par des opérations de vérification
Plus en détailJanvier 2012. La notion de blanchiment
Cellule de Traitement des Informations Financières Avenue de la Toison d Or 55 boîte 1 1060 Bruxelles Tél. : +32 2 533 72 11 Fax : +32 2 533 72 00 E-mail : info@ctif-cfi.be NL1156d La lutte contre le blanchiment
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailLutte contre la fraude
Lutte contre la fraude Agence pour la Lutte contre la fraude à l assurance 1 Sommaire I. Présentation d ALFAd II. Lutte contre la fraude et expertise III. Le blanchiment de capitaux en IARD 2 L Agence
Plus en détailCHARTE ETHIQUE DE WENDEL
CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se
Plus en détailBanque européenne d investissement. Politique de signalement
POLITIQUE DE SIGNALEMENT DE LA BANQUE EUROPEENNE D INVESTISSEMENT INDEX I. INTRODUCTION... 2 I.1 Généralités... 2 I.2 Principes de base... 2 I.3 Portée de la Politique... 2 II. OBLIGATIONS DE SIGNALEMENT...
Plus en détailPropositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique
Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Lors de ses vœux aux corps constitués le 20 janvier dernier, le Président de la République a annoncé l élaboration
Plus en détailNOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité
Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus
Plus en détailL assurance et le risque Data. Clusir 25 avril 2012 Lyon François Brisson - Hiscox France
L assurance et le risque Data Clusir 25 avril 2012 Lyon François Brisson - Hiscox France 1 En quoi consiste une violation de données pour un assureur? «Une violation des données est un incident de sécurité
Plus en détailSécurité. Tendance technologique
Sécurité Tendance technologique La sécurité englobe les mécanismes de protection des données et des systèmes informatiques contre l accès, l utilisation, la communication, la manipulation ou la destruction
Plus en détailN'imprimez ce document que si nécessaire. Protégez l'environnement. Principes de Conduite ÉTHIQUE. des affaires. SPIE, l ambition partagée
Protégez l'environnement. N'imprimez ce document que si nécessaire Principes de Conduite ÉTHIQUE des affaires SPIE, l ambition partagée Les ENGAGEMENTS de SPIE LES 10 PRINCIPES DIRECTEURS COMPORTEMENT
Plus en détailCode de conduite sur les paris sportifs pour les athlètes
Code de conduite sur les paris sportifs pour les athlètes Préparé par EU Athletes, l association européenne des jeux et paris en ligne (EGBA), la Remote Gambling Association (RGA) et l association européenne
Plus en détailSage Code de conduite
Sage PAGE 2 SAGE Introduction Le expose les standards de gestion attendus par Sage et donne un ensemble clair de règles à tous les collègues. Sage construit une entreprise d excellence et chaque collaborateur
Plus en détailRisques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications
Risques liés aux systèmes informatiques et de télécommunications (Juillet 1989) La vitesse de l innovation technologique liée aux ordinateurs et aux télécommunications, ces dernières années, et l intégration
Plus en détailI-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux
INTERPOL I-Checkit Pour votre sécurité I-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux criminels et
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détailAUX COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT AUX FÉDÉRATIONS DE COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT
AUX COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT ET AUX FÉDÉRATIONS DE COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT Les présentes lignes directrices résument les principales obligations légales auxquelles sont assujetties
Plus en détailMaster of Advanced Studies en lutte contre la criminalité économique [MAS LCE] Master of Advanced Studies in Economic Crime Investigation [MAS ECI]
Master of Advanced Studies en lutte contre la criminalité économique [MAS LCE] Master of Advanced Studies in Economic Crime Investigation [MAS ECI] Les Hautes écoles spécialisées Les Hautes écoles spécialisées
Plus en détailLE référentiel des métiers
LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des
Plus en détailBanque le Choix du Président
Page 1 de 15 Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 juin 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU ET
Plus en détailAttaques ciblées : quelles évolutions dans la gestion de la crise?
3 avril 2012 Attaques ciblées : quelles évolutions dans la gestion de la crise? Une nécessaire refonte des fondamentaux Gérôme BILLOIS gerome.billois@solucom.fr Twitter: @gbillois Frédéric CHOLLET frederic.chollet@solucom.fr
Plus en détailSécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique
Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique Sommaire Fondements d une politique de sécurité Les 9 axes parallèles d une politique
Plus en détailAccès des gouvernements aux données du secteur privé
Accès des gouvernements aux données du secteur privé Jérusalem, le 28 octobre 2010 (32 e conférence internationale des commissaires à la protection des données et de la vie privée) Giovanni Buttarelli
Plus en détailMaîtriser les risques au sein d une d PMI. Comment une PME-PMI peut-elle faire face à ses enjeux en toutes circonstances?
Maîtriser les risques au sein d une d PME-PMI PMI Comment une PME-PMI peut-elle faire face à ses enjeux en toutes circonstances? Ces documents demeurent la propriété du cercle GASPAR Techdays MICROSOFT
Plus en détailINDICATEURS D OPÉRATIONS DE BLANCHIMENT
Cellule de Traitement des Informations Financières Avenue de la Toison d Or 55 boîte 1 1060 Bruxelles Tél. : +32 2 533 72 11 Fax : +32 2 533 72 00 E-mail : info@ctif-cfi.be NL1175f Janvier 2012 INDICATEURS
Plus en détailSÉCURITÉ DES MOYENS D ACCÈS ET DE PAIEMENT
SÉCURITÉ DES MOYENS D ACCÈS ET DE PAIEMENT En mettant en place des mesures simples à appliquer pour réduire les fraudes. En freinant les fraudeurs pour limiter les victimes. En prenant plus de précautions.
Plus en détailGroupe Helvetia. Code de Compliance
Groupe Helvetia Code de Compliance Chères collaboratrices, chers collaborateurs L Helvetia veut être perçue comme un assureur fiable et responsable en matière de compliance. En d autres termes, nous voulons
Plus en détailPROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim
RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détailGestion des risques de fraude
SERVICES-CONSEILS GESTION DES RISQUES Gestion des risques de fraude Une approche proactive visant à lutter contre le risque de fraude et de malversation kpmg.ca/juricomptabilite 2014 KPMG s.r.l./s.e.n.c.r.l.,
Plus en détailCinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine
14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction
Plus en détailPrésenté par : Mlle A.DIB
Présenté par : Mlle A.DIB 2 3 Demeure populaire Prend plus d ampleur Combinée avec le phishing 4 Extirper des informations à des personnes sans qu'elles ne s'en rendent compte Technique rencontrée dans
Plus en détailGROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG
GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23
Plus en détailLES INSCRIPTIONS À L «UNIVERSITÉ DE LA CYBERCRIMINALITÉ» SONT OUVERTES!
LES INSCRIPTIONS À L «UNIVERSITÉ DE LA CYBERCRIMINALITÉ» SONT OUVERTES! Septembre 2013 La rentrée des classes est un moment très attendu, non seulement pour les parents et les élèves, mais également dans
Plus en détailAnnexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration
Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détailN 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994. Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION
N 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION PRÉSENTÉE EN APPLICATION DE L'ARTICLE 73 BIS DU RÈGLEMENT, sur la proposition
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement
Plus en détailEvaluation des risques et procédures d audit en découlant
Evaluation des risques et procédures d audit en découlant 1 Présentation des NEP 315, 320, 330, 500 et 501 2 Présentation NEP 315, 320, 330, 500 et 501 Les NEP 315, 320, 330, 500 et 501 ont fait l objet
Plus en détailCRCC LA RESPONSABILITE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES. ,Îi. Conférence 4 DE GRENOBLE. 4 la tre OUVII t
A A CRCC 4 DE GRENOBLE I I) LA RESPONSABILITE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES Conférence GRENOBLE mardi 16 février 2010 GAP mercredi 24 février 2010 VALENCE mardi 2 mars 2010 4 la tre OUVII t [ t Benedict OTIL
Plus en détailPrésentation du 15 octobre 2003
Club Asset Management N 21 Jeudi 20 Mars 2008 Gestion des incidents / L assurance des risques de responsabilité Eric Remus / Christine Rivoalan Qui sommes-nous? Courtier d assurance créé en 1998 en partenariat
Plus en détailRèglement Internet Banking. Helpdesk Internet Banking: 02 548 28 00 ou helpdesk@triodos.be
Règlement Internet Banking Helpdesk Internet Banking: 02 548 28 00 ou helpdesk@triodos.be Article 1. Définitions 1.1 La Banque: la succursale belge de Triodos Bank nv, société anonyme de droit néerlandais,
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailComité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013
PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4
Plus en détailINSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES
INSTRUCTION N 017-12-2010 RELATIVE A L'ORGANISATION DU CONTRÔLE INTERNE AU SEIN DES SYSTEMES FINANCIERS DECENTRALISES Le Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l'afrique de l'ouest, Vu le Traité
Plus en détailDéclaration de Wolfsberg sur la surveillance, le filtrage et la recherche
Déclaration de Wolfsberg sur la surveillance, le filtrage et la recherche 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers («groupe de Wolfsberg») 1 a déjà rédigé les déclarations suivantes
Plus en détailBanque le Choix du Président
Page 1 de 15, Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 septembre 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU
Plus en détailUserLock Quoi de neuf dans UserLock? Version 8.5
UserLock Quoi de neuf dans UserLock? Version 8.5 Table des Matières 1. UserLock Version 8... 3 1.1. Le Statut utilisateur, un nouvel indicateur de risque... 3 1.2. Des alertes en temps réel contre les
Plus en détailsociété anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris
1 A U D I K A société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement
Plus en détailPROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION -----------------
LIBERTE EGALITE FRATERNITE REPUBLIQUE D HAITI PROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION ----------------- Vu la Constitution de la République ; Vu la Convention des Nations Unies
Plus en détailCOMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT
COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable
Plus en détailCharte Éthique. de la Mutuelle Intégrance. Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance
Charte Éthique de la Mutuelle Intégrance Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance Préambule La Mutuelle Intégrance est une mutuelle basée sur une solidarité militante. Celle d une mutuelle fondée par
Plus en détailSCOR Code de conduite du Groupe
SCOR Code de conduite du Groupe Principales obligations légales et éthiques envers les clients, les actionnaires, les partenaires commerciaux, les marchés financiers et les collègues. Effectif au 1 er
Plus en détailRISQUES DE BLANCHIMENT DANS LE SECTEUR DE L IMMOBILIER: TYPOLOGIES Dakar, le 20 JUILLET 009
Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières FORUM CENTIF-SECTEUR IMMOBILIER RISQUES DE BLANCHIMENT DANS LE SECTEUR DE L IMMOBILIER: TYPOLOGIES Dakar, le 20 JUILLET 009 Par Mountaga Tall
Plus en détailCHARTE ETHIQUE ACHATS
Page : 1/5 CHARTE ETHIQUE ACHATS LES ENJEUX Les conflits d intérêts sont aujourd hui un thème essentiel du débat de société. Il convient de garantir l intégrité des achats et la saine concurrence entre
Plus en détailCHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM
CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...
Plus en détailAUDIKA. société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris
1 AUDIKA société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement
Plus en détailCHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE
CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession
Plus en détailFinancement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada?
Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada? Me Jacques Lemieux, MBA Associé Norton Rose Fulbright Canada S.E.N.C.R.L., s.r.l. 20 mars 2015 : Centre d entreprises et d innovation
Plus en détailFood & Allied GROUP. L éthique au sein du groupe Food & Allied
Food & Allied GROUP L éthique au sein du groupe Food & Allied QUI SOMMES-NOUS? Porté par un élan d entrepreneur et une volonté réelle de contribuer au développement du pays à la hauteur de ses moyens,
Plus en détailL INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION
POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS DES ACHETEURS ET DES VENDEURS POUR UNE MEILLEURE PROTECTION IMMOBILIER DANS LE DOMAINE PRÉACHAT L INSPECTION L INSPECTION PRÉACHAT DANS
Plus en détailNE PAS EXTERNALISER SA RESPONSABILITÉ
NE PAS EXTERNALISER SA RESPONSABILITÉ OUTSOURCING IT Le succès d une opération d outsourcing se mesure au degré de préparation et d implication des parties concernées. Mieux vaut donc faire preuve de pragmatisme
Plus en détailLa fraude à la carte bancaire
Agenda Utilisation des réseaux sociaux dans la lutte contre la fraude Françoise Soulié Fogelman VP Innovation francoise@kxen.com 1. La fraude à la carte bancaire 2. La question des volumes 3. La création
Plus en détailLutte contre le blanchiment des capitaux
Lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme - recommandations professionnelles en IARD - 2005 Lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme - recommandations
Plus en détailQUESTIONNAIRE PROPOSITION RC PROFESSIONNELLE INTERMEDIAIRE EN ASSURANCE
QUESTIONNAIRE PROPOSITION RC PROFESSIONNELLE INTERMEDIAIRE EN ASSURANCE DOCUMENTS A JOINDRE IMPERATIVEMENT (ACTIVITE D INTERMEDIAIRE EN ASSURANCE AGENT, COURTIER, SOUS-COURTIER) o Une copie de l arrêté
Plus en détailCODE de CONDUITE PROFESSIONNELLE et de DÉONTOLOGIE
CODE de CONDUITE PROFESSIONNELLE et de DÉONTOLOGIE À l intention des administrateurs, des dirigeants et des employés La Great-West, compagnie d assurance-vie London Life, Compagnie d Assurance-Vie La Compagnie
Plus en détail3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)
3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier
Plus en détailLIVRET DE DÉVELOPPEMENT DURABLE CONDITIONS GÉNÉRALES
LIVRET DE DÉVELOPPEMENT DURABLE CONDITIONS GÉNÉRALES Art. L.221-27 à L.221-28 et art. D. 221-103 à D. 221-107 du Code monétaire et financier, art. 157 9 quater du Code Général des impôts 1 - Ouverture
Plus en détailNos Prestations. Savoir pour se Défendre
Savoir pour se Défendre Nos Prestations E.U.R.L au capital de 1.500 R.C.S. RENNES n 752.967.919 Agrément C.N.A.P.S n AFARP 2012-12-35-2 Présentation de l Agence Le monde du droit est complexe et nécessite
Plus en détailwww.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts
www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples
Plus en détailLa crise économique renforce la nécessité d une gestion efficace des litiges Résultats de l enquête de Lydian sur la gestion des litiges
La crise économique renforce la nécessité d une gestion efficace des litiges Résultats de l enquête de Lydian sur la gestion des litiges LEGAL INSIGHT. BUSINESS INSTINCT. 3 La crise économique renforce
Plus en détailT.V.A. et Responsabilité de l'organe de révision
T.V.A. et Responsabilité de l'organe de révision par Georg NANEIX Conseiller fiscal gnaneix@fiscal-legal.net Chaque nouveau texte légal contient un grand nombre d incertitude, de possibilités et de risques
Plus en détailNORME INTERNATIONAL D AUDIT 550 PARTIES LIEES
Introduction NORME INTERNATIONAL D AUDIT 550 PARTIES LIEES (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe Champ d application de
Plus en détailCompte rendu de recherche de Websense. Prévention de la perte de données et conformité PCI
Compte rendu de recherche de Websense Prévention de la perte de données et conformité PCI Normes de sécurité des cartes de crédit Plus d une décennie après l avènement du commerce électronique, beaucoup
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailDocument technique Outil d évaluation des risques et orientation
Promotion de la bonne gouvernance et lutte contre la corruption Activité T3.3 : (SNAC Tunisie) Apporter des outils et des méthodologies ainsi que consolider les capacités pour soutenir la conception de
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES
informatiques d Inria CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES Table des matières 1. Préambule...3 2. Définitions...3 3. Domaine d application...4 4. Autorisation d accès aux ressources informatiques...5
Plus en détailInstitut d études judiciaires Préparation à l examen d accès au C.R.F.P.A.
Institut d études judiciaires Préparation à l examen d accès au C.R.F.P.A. Thèmes traités pour l épreuve de raisonnement juridique et pour l épreuve à caractère pratique Droit des obligations I. - Les
Plus en détail