ACP-EU Training. COURS ACP-UE sur la gestion des pêches et de la biodiversité, Dakar, Sénégal, du 12 au 23 avril 1999
|
|
- Patrick Bonin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FishBase 98 Logo ACP-EU Training COURS ACP-UE sur la gestion des pêches et de la biodiversité, Dakar, Sénégal, du 12 au 23 avril 1999 SITUATION DES PECHES A MADAGASCAR LES BESOINS ET MESURES D AMENAGEMENT PRECONISES par Edouard Mara Remanevy Les ressources halieutiques du secteur maritime se trouvent disséminées sur un plateau continental couvrant jusqu à l isobathe de 200m, une superficie d environ km 2 et prolongeant sur une côte longue de plus de Km. Au cours de leur migration, d importantes cohortes de thons se rencontrent à l intérieur de la zone économique exclusive malgache ayant Km 2. Les mangroves, qui ont une importance halieutique et écologique bien reconnue, ont une superficie de Km 2. On estime que Madagascar dispose d environ Ha de plans d eaux continentaux, dont Ha de lacs et lagunes directement concernés par la pêche. Les rivières ne sont pas des zones de pêche potentielles, sauf quelques cas exceptionnels, à cause de leur turbidité trop élevée. La production totale halieutique de Madagascar connaît une augmentation constante, grâce notamment au développement des pêcheries traditionnelles. La pêche industrielle connaît aussi une croissance des captures. Par contre, la production aquacole dans son ensemble a baissé en certain moment, à cause essentiellement de la régression de la pisciculture en étang. D emblée, la pêche à Madagascar se base sur deux types d activités : une pêche traditionnelle encore rudimentaire destinée à l approvisionnement des marchés locaux et une pêche industrielle moderne, orientée presque uniquement vers l exportation. La pêche artisanale n était effective qu à partir de % de la production halieutique à Madagascar est réalisée par la pêche traditionnelle tant maritime que continentale. Cette production est en quasi totalité commercialisée localement ou autoconsommée. Cette pêcherie assure presque entièrement le ravitaillement de la population en protéine animal d origine halieutique, car le pays n importe quasiment pas de poisson. I. Situation générale des pêches : Le plan directeur de la et de l Aquaculture, élaboré en 1992, donne les orientations pour le développement du secteur.
2 Les principaux objectifs peuvent se rattacher à une augmentation de la consommation locale de poisson, à la diversification des produits d exportation et à la création d emploi. Les activités du secteur : objectif et perspective d avenir : La réalisation des objectifs à travers les activités du secteur se traduit par les chiffres de production et l évolution de cette production dans le temps (cf tableau). Tab.1 Evolution de la production de la pêche et de l aquaculture ( ) (en tonnes poids vif) Année Production maritime industrielle crevettes -poissons -thons artisanale -crevettes -poissons traditionnelle crevettes crabes langoustes trépangs algues poissons autres
3 Aquaculture marine Production d eau douce continentale Pisciculture en étangs Rizipisciculture Production totale La lecture de ce tableau révèle les faits suivants : i. Les captures totales montrent une tendance à la hausse, avec une augmentation de 20%, soit en moyenne 3 à 4% par an ; ii. En comparant les différentes branches d activités, la pêche traditionnelle montrent un accroissement alors que la pêche industrielle et la pêche continentale restent stables ; iii. L aquaculture, aussi bien en eau douce (pisciculture / rizipisciculture) qu en eau saumâtre (crevetticulture) présente une croissance rapide et spectaculaire ; iv. La production marine, constituant 73% de la production totale reste toujours dominante ; v. En considérant les espèces, la production en poisson est la plus importante, suivie des crustacées (crevettes). Les autres espèces (algues, langoustes, trépangs, requins), très symboliques autrefois, commencent à donner une production significative depuis Malgré ce dynamisme, l objectif fixé par le plan directeur ( Tonnes) n est toujours pas atteint. Ainsi, en tenant compte de ces réalisations et surtout de nouveaux objectifs sur le plan de la politique économique nationale, le plan directeur a été révisé en fixant comme objectifs pour la période quinquennale : o L augmentation des recettes en devises ; o La participation à la satisfaction des besoins alimentaires ; o La participation à la lutte contre la pauvreté ; o La préservation des ressources pour un développement durable. La quantification de ces objectifs permet de comparer les résultats obtenus en 1995 avec ceux projetés pour 2001 selon le tableau 2 ci-dessous. Tab. 2 : Objectifs à l an 2000 Désignation Production totale dont à
4 pour le marché local pour l exportation pêche étrangère (thons) -Consommation/hab/an -Exportation (valeur en millions de $US) -Emplois -Part du secteur dans la création du PIB national (%) ,5kg 98, , à ,5kg 142 à à ,0 à 9,0 II. Importance de la pêcherie quant à la production et l emploi : Analyse du secteur pêche en fonction des différentes branches d activité : Quatre domaines peuvent être identifiés : La pêche traditionnelle maritime et continentale, qui devient de plus en plus commerciale, et oriente ses efforts vers les produits à haute valeur marchande ; La pêche artisanale montrant un développement assez important ces 5 dernières années grâce à la forte demande de l extérieur rémunératrice et offrant des débouchés sûrs (langoustes, crabes, poulpe, calmars, crevettes, trépangs, ailerons de requins, algues, ) ; La pêche industrielle comportant 2 composantes : o La pêche crevettière qui a atteint la Prise Maximale Equilibrée depuis 5ans. De ce fait un plan d aménagement serait mis en place suivi d une exploitation rationnelle et non pas un développement de la pêche. o La pêche thonière est entièrement dominée par les flottilles étrangères (bateaux européens et asiatiques) ; L aquaculture, notamment la crevetticulture se trouve sur une bonne voie de développement. Il est probable que la production de crevettes d élèvage sera la même que celle capturée par la pêche industrielle (soit Tonnes). Effectif des employés dans le secteur : Le secteur de la pêche et de l aquaculture emploie d une manière directe ou induite quelques personnes. Selon ce recensement : Il existe plus de pêcheurs professionnels dont : 4600 dans la pêche traditionnelle maritime dans la pêche traditionnelle continentale 1300 dans la pêche industrielle
5 450 dans la pêche artisanale En dehors de ces pêcheurs, plus de 8000 personnes travaillent pour des activités liées directement à la pêche (transformation, stockage et commercialisation = 5000 ; Construction des embarcations et engins de pêche = 2500 et l administration = 500). Cet ensemble constitue au total 1,4% de la population active malgache. Si on considère que chaque pêcheur a en charge entre 6 et 10 personnes, on constate que la pêche fait vivre plus de 5 personnes soit 5,2% de la population globale. Outre ces pêcheurs professionnels, il existe des milliers de personnes qui pratiquent la pêche et l aquaculture de façon occasionnelle ou comme activité secondaire (rizipisciculteurs, pisciculteurs, algoculteurs, ). Importance du secteur dans l économie nationale : L exportation est le principal facteur de développement du secteur halieutique et aquacole, notamment avec l exportation des crevettes. Ce secteur participe à plus de 25% dans les recettes en devises, et 7% dans la création du Produit Intérieur Brut. II. Arrangements institutionnels pour la gestion des pêches : Coordination interministérielle : Outre le Ministère directement chargé de la gestion et du développement de la pêche et de l aquaculture, plusieurs ministères sont directement ou indirectement concernés par la pêche. Le ministère de la recherche scientifique qui gère les stations de recherches piscicoles et le Centre National de Recherches Océanographiques, le ministère de l Enseignement Supérieur chargé de la formation des cadres avec son Institut Halieutique et des Sciences Marines, le ministère du Transport et de la météorologie chargé des infrastructures portuaires et de l immatriculation des navires des pêches et de l enregistrement des marins, le ministère de la défense chargé de la surveillance des zones maritimes sous juridiction nationale, le ministère chargé de l économie et du plan responsable de la coordination de l aide internationale et de la planification nationale, le ministère des finances et du budget chargé de la politique budgétaire et du financement des nouvelles infrastructures, le ministère des Affaires étrangères qui négocie les accords de pêche. Une coordination institutionnelle entre la plus part de ces ministères se fait à l heure actuelle. Compte tenue du nombre élevé des membres de cette commission, des comités techniques restreints ont été créées en son sein. Réglementation et contrôle des pêches :
6 Il existe actuellement à Madagascar près de deux cent textes en vigueur réglementant les activités de la pêche et de l aquaculture. Ils sont repartis en textes généraux (lois structurelles et organisationnelles) et en textes particuliers (décrets et arrêtés). Il faut rappeler que Madagascar a adhéré aux conventions de Genève du 29 Avril 1958, sur le droit de la mer, ainsi qu au protocole concernant le règlement obligatoire des différends. Il est également signataire de la convention des Nations Unies sur le droit de la mer du 10 décembre III. Arrangements institutionnels relatifs à la protection de l environnement et de la biodiversité : Des institutions nationales comme l Office National pour l Environnement ou l Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégés sont créées à Madagascar pour assurer la bonne gestion de l environnement et la conservation de la biodiversité. Des programmes de Gestions Intégrées des Zones Côtières et de création des aires protégés ont été mis en place (programme GIZC à Nosy- Be au Nord et à Toliara au Sud ; quelques forêts classées, aires protégés de Mananara Nord, parcs marins dans certaines zones récifales..). Madagascar a aussi ratifié la convention de RAMSAR sur la protection des zones humides et avait proposé comme site RAMSAR le lac TSIMANAMPETSOTSE, caractérisé par la présence d une espèce de poisson aveugle endémique vivant dans les grottes. IV. Approche présente de l aménagement des pêches : Rappelons que la pêche crevettière prend une place importante à Madagascar. Les captures en poids vif pour 1998 sont estimés à Tonnes pour les 3 segments de la pêcherie (industrielle, artisanale et traditionnelle), elles sont proches de l estimation du MSY. Conscients de cette situation, l Administration des pêches en collaboration avec le comité de réflexion (composé de huit experts économistes des pêches et scientifiques tant nationaux qu internationaux) et le groupement des armateurs ont opté : le gel immédiat de l effort de pêche industriel et artisanal ; la réévaluation des taux de redevance ; la révision de la zone des deux miles ; la nécessité de débarquer le poisson d accompagnement au moins équivalente aux prises de crevettes enregistrées lors de la campagne précédente. A part ces mesures entreprises, pour pouvoir répondre aux besoins des consommateurs, la crevetticulture est très encouragée avec des mesures d accompagnement tel que la gestion rationnelle de l environnement. RESUME Les ressources halieutiques du secteur maritime se trouvent disséminées sur un plateau continental couvrant jusqu à l isobathe de 200m, une superficie d environ km 2 et prolongeant sur une côte longue de plus de Km.
7 On estime que Madagascar dispose d environ Ha de plans d eaux continentaux, dont Ha de lacs et lagunes directement concernés par la pêche. D emblée, la pêche à Madagascar se base sur deux types d activités : une pêche traditionnelle encore rudimentaire destinée à l approvisionnement des marchés locaux et une pêche industrielle moderne, orientée presque uniquement vers l exportation. L avenir de l aquaculture en eau douce est directement lié à la quantité mais aussi à la rentabilité de la production d alevins. En mariculture, l élevage de crevettes est prometteuse. Le plan directeur de la et de l Aquaculture, élaboré en 1992, donne les orientations pour le développement du secteur. Le secteur de la pêche et de l aquaculture emploie d une manière directe ou induite quelques personnes. L exportation est le principal facteur de développement du secteur halieutique et aquacole, notamment avec l exportation des crevettes. Ce secteur participe à plus de 25% dans les recettes en devises, et 7% dans la création du Produit Intérieur Brut. Outre le Ministère directement chargé de la gestion et du développement de la pêche et de l aquaculture, plusieurs ministères sont directement ou indirectement concernés par la pêche. Il existe actuellement à Madagascar près de deux cent textes en vigueur réglementant les activités de la pêche et de l aquaculture. Ils sont repartis en textes généraux (lois structurelles et organisationnelles) et en textes particuliers (décrets et arrêtés). Des institutions nationales comme l Office National pour l Environnement ou l Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégés sont créées à Madagascar pour assurer la bonne gestion de l environnement et la conservation de la biodiversité. Les différents travaillant dans le domaine halieutique agissent en ordre dispersé et sans directives claires et précises indiquant les programmes prioritaires à exécuter. Ce manque de coordination aggravé par la faiblesse générale des moyens aura handicapé la recherche. Back to Top B.
PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailEOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation
EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailLa technologie mobile mise à contribution pour améliorer la gestion des petites pêcheries
REGISTERED CHARITY 1098893 La technologie mobile mise à contribution pour améliorer la gestion des petites pêcheries L expansion des réseaux mobiles nous permet d étendre notre portée tout en réduisant
Plus en détailBriefings de Bruxelles sur le
Briefings de Bruxelles sur le développement rural Une série de réunions sur des questions de développement ACP-UE Lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) : Impacts et défis
Plus en détailOverview of Marine activities in the Mediterranean Coast of Morocco and the need of Maritime Spatial Planning
Second Working group meeting on Integrated Maritime Policy in the Mediterranean Brussels, 07 July 2010 Overview of Marine activities in the Mediterranean Coast of Morocco and the need of Maritime Spatial
Plus en détailINVENTAIRES NATIONAUX SERVICES DANS LE SECTEUR DE LA PÊCHE PAYS-BAS
INVENTAIRES NATIONAUX SERVICES DANS LE SECTEUR DE LA PÊCHE PAYS-BAS Services fournis à tous les maillons de la chaîne de valeur X Reconversion (professionnelle) Promotion des exportations Installations
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailPRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011
PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans
Plus en détailLA FONDATION: MISSION ET VISION
Premier symposium régional sur la pêche artisanale en Méditerranée et en mer Noire Gestion durable de la pêche artisanale: Actions menées par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'environnement
Plus en détailAgroalimentaire. invest in. Charte Graphique Nexa. Reunion
Agroalimentaire invest in Charte Graphique Nexa Reunion Edition 2013 Bonnes bonnes raisons de choisir la La Réunion 1 l EuroPE Au CoEur de l océan INdIEN # Unique région française et européenne de l hémisphère
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailAudit de la filière halieutique de Saint Pierre et Miquelon
CONFIDENTIEL Audit de la filière halieutique de Saint Pierre et Miquelon Réalisé par COFREPECHE - 31 octobre 2007 1 Préliminaires Commanditaire de l audit : OFIMER Durée de l audit : du 10 septembre au
Plus en détailACTE DE VENTE D'UN NAVIRE DE PLAISANCE
Entre les sssignés : ACTE DE VENTE D'UN NAVIRE DE PLAISANCE et Nom :... Prénom :... Date et lieu de naissance :... Adresse de la résidence principale :...... Nationalité :... Vendeur, d'une part Nom :...
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailwww.formationpoissonnier.fr Association de Formation des Poissonniers de France SIRET : 507 700 664 00026 - APE : 8559A N déclaration d activité :
www.formationpoissonnier.fr Association de Formation des Poissonniers de France SIRET : 507 700 664 00026 - APE : 8559A N déclaration d activité : 53220837422 Tél : 02.96.50.50.85 Fax : 02.96.50.50.86
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailNatura 2000 en mer Site FR 910 1413 Posidonies de la côte palavasienne
Natura2000enmer SiteFR9101413Posidoniesdelacôtepalavasienne Compte rendude la réunion du 21 janvier 2011: partage et validation des éléments «pêche professionnelle et conchyliculture enmer»dudiagnosticsocio
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailThème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE
Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,
Plus en détailNOR: MERP9200054D. Version consolidée au 28 septembre 2011
Le 28 septembre 2011 DECRET Décret n 93-33 du 8 janvier 1993 relatif au permis de mise en exploitation des navires de pêche pris pour l application de l article 3-1 du décret du 9 janvier 1852 modifié
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailEvolution de la dynamique. l Estuaire de la Vilaine
Evolution de la dynamique géomorphologique et sédimentaire i de l Estuaire de la Vilaine Christophe DANQUERQUE, Institution d Aménagement de la Vilaine Camille TRAINI, Université de Bretagne Sud Composition
Plus en détailProjet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)
Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d
Plus en détailÉpreuve E7 Session Institutionnelle de Lancement de la rénovation du BTSA Aquaculture
Épreuve E7 Session Institutionnelle de Lancement de la rénovation du BTSA Aquaculture Marie Angélina MAGNE Paris, Le 16 et 17 septembre 2013 Description de l E7 Epreuve intégrative à caractère technique,
Plus en détailE 4619 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION ASSEMBLÉE NATIONALE SÉNAT PAR LE GOUVERNEMENT,
E 4619 ASSEMBLÉE NATIONALE TREIZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2008-2009 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 22 juillet 2009 Enregistré à la Présidence du Sénat le 22 juillet
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailQuestionnaire eevm. échange école ville montagne. www.parc-du-vercors.fr/eevm/
Questionnaire eevm échange école ville montagne www.parc-du-vercors.fr/eevm/ Répondre aux questions. Il y a 3 types de réponses en fonction des types de questions. - Questions fermées à réponse unique
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailDEMANDE DE PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE
MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, ET DE L ÉNERGIE DEMANDE DE PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE Identité du demandeur : Nom, Prénom: N identification Marin
Plus en détailCOMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L ATLANTIQUE. GT sur les espèces. Sous-comité des statistiques
CHAPITRE 1 : PERSPECTIVE GLOBALE 1. PERSPECTIVE GLOBALE 1.1 Qu est-ce que l ICCAT? Introduction AUTEUR : SECRÉTARIAT DERNIÈRE MISE À JOUR : 25 janv. 2006 Les thonidés et les autres grandes espèces de grands
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS
LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE les programmes européens LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT AU SERVICE DE LA STRATÉGIE EUROPE 2020 Stratégie
Plus en détailLE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITES DE l APDRA-F ANNEE 2006
A P D R A - F Association Pisciculture et Développement Rural en Afrique tropicale humide - France contact.apdraf@free.fr RAPPORT D ACTIVITES DE l APDRA-F ANNEE 2006 Mai 2007 Association loi 1901 créée
Plus en détailQuels moyens et quelle gouvernance pour une gestion durable des océans?
LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL Quels moyens et quelle gouvernance pour une gestion durable des océans? Catherine Chabaud Juillet 2013 Les éditions des JOURNAUX OFFICIELS 2013-15
Plus en détailJMA Algérie 2013 Lauréats de la médaille de la FAO
JMA Algérie 2013 Lauréats de la médaille de la FAO M. MOUSSOUS RABAH Sur proposition du Ministère de l Agriculture et du Développement Rural Ex Directeur du Centre de Formation et Vulgarisation Agricole
Plus en détailATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe.
ATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe. L économie de la connaissance et l industrie : au cœur de la stratégie de développement économique de MPM
Plus en détailCirculaire du 24 juin 2013 relative à l organisation des missions du Centre national de surveillance des pêches (CNSP)
Infrastructures, transports et mer MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Direction des pêches maritimes et de l aquaculture Sous-direction des ressources halieutiques Bureau
Plus en détailCharte de l expertise et de l avis à l Ifremer
Charte de l expertise et de l avis à l Ifremer Page 1 sur 13 Le décret n 84-428 du 5 juin 1984 modifié relatif à la création de l'ifremer dispose, dans son article 4, alinéa 2, que : «L institut est chargé
Plus en détailLES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION
1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour
Plus en détailNote de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines
Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.
Plus en détailConvention sur la haute mer
Convention sur la haute mer 1958 Faite à Genève le 29 avril 1958. Entrée en vigueur le 30 septembre 1962. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 450, p. 82. Copyright Nations Unies 2005 Article 30 1.
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailImpact Economique des Arrêts de Pêche au Poulpe: cas de la Mauritanie
Impact Economique des Arrêts de Pêche au Poulpe: cas de la Mauritanie Mémoire de DEA en Economie et Politiques Maritime Présenté par: Fah OULD MOUHAMEDOU Encadré par le Pr. Jean BONCOEUR Examinateurs:
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailBas Saint-Laurent. Fiche régionale. Portrait régional de l emploi
Portrait régional de l emploi (*) (*) (en milliers) Bas Saint-Laurent 200 756 habitants % du Québec 2,6 % Agriculture 3,1 Services publics 0,0 Construction 4,9 Emploi par groupe d âge (*) Bas Saint-Laurent
Plus en détailRecommandation M96-04 du Bureau (le 25 avril 1996)
RÉÉVALUATION DES RÉPONSES DE TRANSPORTS CANADA À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ MARITIME M96-04 NORMES DE CONSTRUCTION ET INSPECTION PAR TRANSPORTS CANADA Introduction Le 11 août 1993, le Tan
Plus en détailPARTAGER LES CONNAISSANCES POUR UNE PÊCHE DURABLE
CCR.S ComEX 140313 DOC7 PARTAGER LES CONNAISSANCES POUR UNE PÊCHE DURABLE RAPPORT D AVANCEMENT DU PROJET GEPETO ÉTABLI À L ATTENTION DU COMITÉ EXÉCUTIF DU CCR- S 1. RAPPEL DES OBJECTIFS 2. MÉTHODOLOGIE
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailNOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT
NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailCENTRE DE DOCUMENTATION OUTIL DE RECHERCHE MER/LITTORAL/ENVIRONNEMENT
CENTRE DE DOCUMENTATION OUTIL DE RECHERCHE MER/LITTORAL/ENVIRONNEMENT ORGANISMES PUBLIQUES ET PRIVES SITES INTERNET (consultation informations/documentations et catalogues des ouvrages) ACCES MINITEL (catalogues
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailStockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène
Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène HYBSEN - HYdrogène en Bretagne pour le Stockage d ENergie Renouvelable Le stockage de l énergie: 2 ème pilier de la troisième révolution
Plus en détailPeut-on envisager un effet direct?
Les implications de la convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées sur la législation de l UE concernant le handicap Peut-on envisager un effet direct? Peut-on envisager
Plus en détailMobiliser les remises de fonds des migrants au service du développement local au Sénégal (Se-039)
Mobiliser les remises de fonds des migrants au service du développement local au Sénégal (Se-039) OBJECTIF GENERAL DU PROJET Canaliser les remises de fonds des migrants au service du développement économique
Plus en détailLa sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande
La sécurité & sûreté maritime en Tunisie Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande 1 QUELQUES DONNEES Une façade maritime de 1300 Km de côtes. La flotte nationale Tunisienne comporte
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailPrésentation Programme éducatif au niveau primaire : Les mousquetaires de l eau claire
Présentation Programme éducatif au niveau primaire : Les mousquetaires de l eau claire 1- Bonjour à tous, Je suis la capitaine des mousquetaires de l eau claire de la Compagnie de Champlain, Chantal d
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2621 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 122 110 22 30 mai juin 2009 2015 S o m m a i r e Règlement grand-ducal
Plus en détailLe Crabe commun des eaux côtières du Québec
Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des
Plus en détailUn bureau d ingénieursconseils privé indépendant. Leader allemand du conseil en développement
2 Un bureau d ingénieursconseils privé indépendant Leader allemand du conseil en développement GOPA est un bureau d ingénieursconseils privé indépendant. En tant que prestataire de services moderne, avec
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel
Plus en détailExposition photographique de l Ifremer
Exposition photographique de l Ifremer SCIENCES BLEUES, COULEURS OUTRE-MER Composition de l exposition 1. Liste des photographies 34 photographies : 24 photos de dimension 5 photos de dimensions 30x40
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détail1 er CONGRES DES FORETS COMMUNALES DE LA COMIFAC Présentation des initiatives en cours au CAMEROUN
1 er CONGRES DES FORETS COMMUNALES DE LA COMIFAC Présentation des initiatives en cours au CAMEROUN Par: NTI MEFE Solomon Maire de la Commune de Djoum Secrétaire Général ACFCam 1- REPERES CHRONOLOGIQUES
Plus en détailAVIS DU BUREAU POLITIQUE DE LA CRPM (Approuvé par le Bureau Politique de la CRPM 3 juin 2011 Angra do Heroísmo, Açores-PT)
CRPMPPP110017 B0 CONFERENCE DES REGIONS PERIPHERIQUES MARITIMES D EUROPE CONFERENCE OF PERIPHERAL MARITIME REGIONS OF EUROPE 6, rue Saint-Martin 35700 RENNES - F Tel. : + 33 (0)2 99 35 40 50 - Fax : +
Plus en détailGROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS. Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.
GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.2007/Uniagro Sommaire ORGANISATION DU GROUPE CASINO LES PRODUITS «TERRE ET SAVEUR»
Plus en détail3 48 Sud / 55 40 Est SEYCHELLES
3 48 Sud / 55 40 Est SEYCHELLES Denis Private Island s inscrit dans une démarche de tourisme durable et de la préservation de l environnement. Tout a été pensé dans cette optique : la plupart des meubles
Plus en détailRégime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20)
Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) I. Définition des entreprises totalement exportatrices (art 10) : L article 10 du code d incitation aux investissements a défini les entreprises
Plus en détailPRIVATE EQUITY. La solidité et la prospérité du marché suisse. Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier
VIRGIN REAL ESTATE INVEST PRIVATE EQUITY La solidité et la prospérité du marché suisse Un rendement stable et durable dans l immobilier locatif et hôtelier L excellence de la place luxembourgeoise. ADEJE
Plus en détailTout savoir sur Mr.Goodfish
Tout savoir sur Mr.Goodfish 1 BIENVENUE DANS LE PROGRAMME MR.GOODFISH Par votre adhésion au programme Mr.Goodfish, vous faites un geste important pour une consommation durable des produits de la Mer. Soyez
Plus en détailVulnérabilité et adaptation du littoral tunisien à l élévation du niveau de la mer due aux changements climatiques. Banlieue sud de Tunis
Vulnérabilité et adaptation du littoral tunisien à l élévation du niveau de la mer due aux changements climatiques Banlieue sud de Tunis Maputo 18-22 April 2005 Plus de 1300 Km de Côtes Plus de 500 km
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailSuccess Story pour le marché Américain
pour le marché Américain Votre passerelle sur le marchée américain. Al Hamman, Président, Hamman Marketing Associates Avec plus de 30 ans d expériences nationales et internationales derrière nous en marketing
Plus en détailTEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN
TEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN REGLEMENTATIONS INTERNATIONALES L Organisation Mondiale du Commerce La Convention Afrique Caraïbes Pacifique (ACP) et Union Européenne (UE) Regroupements
Plus en détailCONVENTION ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE LE GOUVERNEMENT DE L UKRAINE
CONVENTION ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE L UKRAINE EN VUE D EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS ET DE PREVENIR L EVASION ET LA FRAUDE FISCALES EN MATIERE D IMPOTS SUR
Plus en détailLA VALEUR ÉCONOMIQUE DES RESSOURCES ASSOCIÉES À LA MER AU NOUVEAU-BRUNSWICK
LA VALEUR ÉCONOMIQUE DES RESSOURCES ASSOCIÉES À LA MER AU NOUVEAU-BRUNSWICK Préparé pour le ministère des Pêches et de l Aquaculture du Nouveau- Brunswick et le ministère des Pêches et des Océans Équipe
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailSite d étude. Résultats
Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailChiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM
Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Contenu 1. Facultés : la Belgique reste dans le top 15... 2 2. La branche CMR reste dans le vert... 3 3. Corps fluviaux... 4 4. Corps maritimes...
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détailRELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE
RELEVÉ DES S ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE Nomenclature générale des codes de transactions à produire par les Déclarants Directs Généraux Pour application à compter du 1 er juillet 2012 15 décembre
Plus en détailSaida KACHI. Encadrant.uni : Mr A. IDELHAJ. Présenté par: Fidae EL BOURAISSI
Mémoire microproject touristique professionnel: La valorisation des produits agricoles territoriaux et la création d un nouveau produit touristique «cas de création d un Restaurant Bio» Encadrant.uni :
Plus en détailL élaboration du tableau de bord du Parc naturel marin d Iroise
L élaboration du tableau de bord du Parc naturel marin d Iroise Chapitre relatif à la pêche en Iroise Claire Laspougeas, Parc naturel marin d Iroise Field Study Report Mai 2011 L élaboration du tableau
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailSeule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD
une Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD BP 84 - Tél : 21 35 10 70 Fax : 21 35 00 96 - E-mail : ccd@intnet.dj - d'une opportunité à saisir, - d un partenariat à nouer, -
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailLe programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris
Le programme FAME Quel apport pour les AMP? Réunion nationale de restitution et d échanges du programme FAME 20 février 2013 / Paris Eléments de contexte sur les AMP Deux problématiques majeures: -Une
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 529 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Enregistré à la Présidence du Sénat le 18 avril 2013 PROPOSITION DE LOI portant création d une appellation d «Artisan restaurateur», PRÉSENTÉE Par M. Christian
Plus en détailAtelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8
Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a
Plus en détailLa Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer
La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque
Plus en détail