ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 36

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1 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 36 HYGIENE ET SÉCURITÉ FEVRIER 2005 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : Secrétariat : Brigitte BARRIER poste Fax : ou Préambule Cette note d information fait suite à la n 35. Elle est consacrée au risque biologique et plus particulièrement à un exemple d analyse de risque lors de travaux pratiques de colimétrie en milieu humide. Le protocole adopté à la suite d un incident survenu lors de cette manipulation est détaillé. Ce travail a été réalisé en collaboration avec deux médecins de prévention, et un groupe d enseignants et d élèves. Je remercie Monsieur le Proviseur et Madame la chef des travaux (secteur biologie) du Lycée Grandmont de Tours qui nous ont permis d effectuer ce travail. Sommaire - Introduction - T.P. Colimétrie en milieu liquide - Protocole en cas d incident - Conditionnement des blouses - Gestion des déchets infectieux - Conclusion Nota : Les textes réglementaires sont repérés en caractères italiques. 1

2 INTRODUCTION Les techniques de colimétrie ont pour objectif le dénombrement et éventuellement l identification des coliformes. Le T.P. présenté est une colimétrie en milieu liquide. Les précautions prises à chacune des étapes sont destinées à éviter une contamination par inhalation, absorption ou contact cutané. Une partie des manipulations se fait devant une source de chaleur pour limiter la pollution bactérienne (la source de chaleur détruisant les bactéries). On doit également éviter la contamination d un milieu à un autre, qui fausserait les mesures. COLIMÉTRIE EN MILIEU HUMIDE Les cheveux doivent être attachés avant le début de toute manipulation (photo 1). Un oubli (élève de gauche) est d ailleurs susceptible de coûter quelques points lors de l examen. photo 1 Afin d homogénéiser le liquide à analyser, il doit être remué. On provoque un léger mouvement de rotation pour éviter qu il n entre en contact avec le bouchon, ce qui serait source de contamination au moment de l ouverture. photo 2 2

3 L ouverture du flacon se fait devant le four, réduisant les risques de pollution. La pipette ne devrait pas être posée en attente, puisque toute pipette, après manipulation, doit être immédiatement éliminée. (photo 3) Des précautions sont également prises pour limiter les risques de brûlures. photo 3 Les pipettes éliminées sont plongées dans une solution d eau de javel, en attente de leur traitement comme déchet. (photo 4) photo 4 Diriger la pipette vers soi, lors d une manipulation, est une grave erreur car ce geste amplifie le risque de contamination (photo 5). photo 5 3

4 On doit éviter tout geste instinctif (se frotter le visage avec la main, mettre un stylo à la bouche.) qui pourrait entraîner une contamination par inhalation, absorption ou contact cutané. Pour une meilleure protection, il est indispensable que les manches des vêtements ne dépassent pas de la blouse (photo 6). photo 6 4

5 PROTOCOLE EN CAS D INCIDENT Chute d un flacon contenant du liquide potentiellement infectieux La zone où le flacon s est brisé est immédiatement balisée pour interdire son accès ; c est fait ici au plus simple en disposant deux tabourets de part et d autre (photo 7). photo 8 Le liquide répandu au sol est neutralisé en versant de l eau de javel, qu on laisse agir une vingtaine de minutes (photo 8). photo 7 Pour essuyer le sol, l élève oublie de mettre un gant de protection (photo 9). photo 9 photo 10 Oubli qui lui est signifié par l enseignante afin de réduire le risque de contamination par contact (photo 10). 5

6 INTERVENTION DANS LE COFFRET ÉLECTRIQUE Au cours du T.P., nous constatons à de nombreuses reprises que l enseignante intervient dans le coffret électrique pour rétablir le courant à chaque fois que le disjoncteur entre en action (photo 11). photo 11 Cette manœuvre amène à faire deux commentaires : - Toute disjonction est signe d une anomalie électrique, qui peut être liée au réseau d alimentation ou aux appareils électriques qui lui sont raccordés. Plusieurs hypothèses peuvent être avancées : un sous dimensionnement du réseau par rapport au nombre de fours utilisés simultanément ou un défaut d isolation au niveau d un des équipements par exemple. - Réglementairement (Décret ) un coffret électrique doit être maintenu fermé à clef (un bouton coup de poing extérieur permettant de couper l alimentation électrique de la salle en cas d urgence). La personne intervenant dans un coffret électrique doit avoir bénéficié d une formation au risque électrique (ce qui n est pas le cas ici) et avoir satisfait aux tests correspondants. Cet état de fait (qui a été signalé par l enseignante) justifie une analyse puis une intervention par une personne ayant compétence dans le domaine électrique. 6

7 CONDITIONNEMENT DES BLOUSES Stockage des blouses Les blouses de plusieurs groupes d élèves de différentes classes sont stockées dans une armoire placée dans cette salle de Travaux Pratiques. Chaque groupe dispose de casiers séparés identifiés (photo 12). Les élèves viennent un par un chercher leur blouse, que leurs T.P. aient lieu dans cette salle ou dans une des salles avoisinantes (photo 13) photo 12 Cette disposition présente plusieurs inconvénients : - l empilement des blouses n est pas idéal en terme de contamination (ni en terme de repassage!) - le va et vient des élèves des autres groupes dans la salle génère des désagréments pédagogiques et quelques courants d air inopportuns (y compris par rapport aux risques de contamination, même si l effet est réduit) photo 13 Pour améliorer cette situation, l idéal serait que les élèves disposent d un local séparé permettant de suspendre les blouses dans des placards individuels. Ce local comporterait des lavabos nécessaires au nettoyage des mains, ainsi qu une douchette pour rinçage oculaire en cas d aspersion de produits dans un œil. Dans la configuration matérielle actuelle, une amélioration consisterait à mettre les blouses d un même groupe d élèves dans des panières en plastique, insérées dans les étagères existantes, afin qu un seul élève vienne les récupérer pour son groupe en début de chaque T.P., limitant ainsi les va-et-vient. Nettoyage des blouses Les blouses sont autoclavées avant de sortir du lycée ; elles sont ensuite emportées par les élèves pour être nettoyées tous les mois. 7

8 GESTION DES DÉCHETS INFECTIEUX Poubelles de stockage Les déchets à autoclaver sont recueillis dans chaque salle dans des poubelles Identifiées (photo 14). photo 14 Les personnels de laboratoire mettent les sacs spécifiques - présence du pictogramme d identification propre au risque biologique (photo 15) dans un autoclave (photo 16). photo 15 8

9 Autoclave Après autoclavage (18O C durant 20minutes), la plupart de ces déchets sont ensuite éliminés comme déchets ordinaires. Les utilisateurs d appareils sous pression doivent avoir suivi une formation à leur utilisation en sécurité (Arrêté du 15 Mars 2000, avec un intervalle entre deux requalifications de 10 ans dans le cas général). Les appareils sous pression sont soumis à vérification (voir Arrêté du 15 Mars 2000). Le type de vérification et la fréquence réglementaire sont liés à la constitution de l équipement et à sa capacité (on peut se reporter au document ED 828 édité et mis en ligne par l INRS). photo 16 Conteneur pour matières infectieuses Les déchets les plus potentiellement dangereux en terme de contamination (telles les pipettes Pasteur) sont recueillis dans une conteneur «matières infectieuses» (photo 17). Son enlèvement est assuré par une entreprise spécialisée. photo 17 9

10 CONCLUSION Bien que la contamination bactérienne du produit analysé soit ici totalement connue, puisque résultant non d un prélèvement mais d une préparation réalisée par les personnels de laboratoire à la demande de l enseignante, les précautions liées à la manipulation de produits potentiellement infectieux sont prisent et rappelées tout au long du T.P. Quelques aménagements matériels pourraient permettre d améliorer l hygiène et la sécurité (problème de disjonction intempestive, stockage des blouses.). photo 18 (après culture.) 10

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