1. RÉSUMÉ ANALYTIQUE. Introduction
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- Lucie Leclerc
- il y a 6 ans
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1 Introduction L idée-force du présent ouvrage est que les gouvernements et les organismes de développement économique devraient encourager les entreprises et les organismes de recherche locaux à participer aux flux mondiaux de connaissances pour stimuler la compétitivité nationale et régionale. S il convient d encourager la participation aux flux mondiaux de connaissances, c est à cause de l importance croissante de deux facteurs clés de changement dans le développement économique contemporain. Le premier est l évolution dans le sens de «l économie du savoir», suivant laquelle le développement économique est fortement influencé par l innovation, qui dépend elle-même de plus en plus de la création, de la propagation et de l exploitation des connaissances. Les réseaux de partage des connaissances revêtent une importance critique pour le développement économique impulsé par l innovation et bien que ces réseaux aient souvent un caractère local, il est également important d exploiter les connexions mondiales. Le second facteur est la mondialisation, c est-à-dire le processus d interactions croissantes entre les pays par le commerce, l investissement, les mouvements de main-d œuvre, les alliances stratégiques, etc., facilité par les progrès des technologies de l information et de la communication (TIC) et les mesures politiques favorisant l intégration économique. La mondialisation crée de nouvelles opportunités tant pour exploiter les connaissances locales à l étranger que pour tirer parti de celles qui en proviennent. Ainsi, la mondialisation et l évolution dans le sens de l économie du savoir favorisent l une comme l autre l innovation et la compétitivité dans les économies modernes. Les alliances transfrontières entre les entreprises et les centres de recherche, les transferts de connaissances dûs aux Investissements directs étrangers (IDE) et le fait d attirer une main-d œuvre qualifiée et des chercheurs compétents sont autant de facteurs qui peuvent contribuer à la création, à la transmission et à l exploitation du savoir, ce qui accroît le développement technologique en fournissant de nouveaux produits et services potentiellement exploitables et de nouvelles méthodes d organisation. Les flux de connaissances peuvent s exercer dans les deux sens, ce double mouvement pouvant favoriser l innovation et la compétitivité locales. Les connaissances provenant d une région donnée sont souvent liées à des 10
2 apports de fonds sous forme de licences, de redevances et de ventes, et même lorsque des personnes qualifiées vont s installer à l étranger, elles conservent souvent leurs réseaux locaux ou retournent chez elles au bout d un certain temps en ayant acquis des connaissances et des compétences nouvelles. Les apports de connaissances à une zone donnée peuvent jouer un rôle critique en permettant aux entreprises et aux organismes de recherche locaux d avoir accès à des technologies de classe internationale, bien qu il soit parfois nécessaire d effectuer des paiements à l étranger pour s assurer des apports de connaissances. La participation aux processus de transmission des connaissances, dans un sens comme dans l autre, peut accélérer l innovation et le développement économique dans les pays et les régions. Toutefois, bien que la participation aux flux mondiaux de connaissances comporte des avantages, il existe également de nombreux obstacles qu une aide des autorités peut aider à surmonter pour assurer une participation à un niveau optimal. On peut citer par exemple le manque d informations sur les partenaires potentiels, les barrières linguistiques et culturelles, les réglementations officielles applicables à la mobilité de la main-d œuvre et aux alliances entre entreprises, les coûts et les difficultés qu implique la protection des droits de propriété intellectuelle et les difficultés qu il y a à obtenir des services financiers spécialisés, ainsi que l incapacité à adopter des nouvelles technologies en raison de déficiences dans des domaines tels que la disponibilité de main-d œuvre qualifiée, la vigueur de l esprit d entreprise et l établissement de réseaux. Contexte de l étude et enjeux En 2001, l Écosse a adopté une nouvelle stratégie de développement économique appelée «Pour une Écosse intelligente et prospère» suivant laquelle Scottish Enterprise (les autorités écossaises) et des réseaux d entreprises (Scottish Enterprise and Highlands and Islands Enterprise) s emploient à mettre en œuvre une «Stratégie de connexions mondiales» dans le cadre d une nouvelle approche globale du développement économique fondée sur les «entreprises en expansion», les «connexions mondiales» et, enfin, «l apprentissage et les compétences». L esprit de la «Stratégie de connexions mondiales» peut se résumer dans la déclaration suivante du ministre écossais de l Entreprise et de la Formation continue : «Si l Écosse veut prospérer et non se contenter de survivre dans une économie mondiale globalisée, en pleine évolution et axée sur le savoir, elle doit s y intégrer davantage en étant mieux connectée physiquement, numériquement et intellectuellement avec le reste du monde» (extrait de la déclaration ministérielle sur le thème d une «Stratégie de connexions mondiales pour l Écosse»). 11
3 Cette Stratégie a donc pour but de soutenir la participation la plus active possible de l Écosse à l économie mondiale en aidant à rendre les organismes écossais plus présents sur les marchés mondiaux et à faire de l Écosse une destination attractive à l échelon mondial, en attirant de l étranger les activités rémunératrices les mieux appropriées et en encourageant davantage de gens à visiter l Écosse pour y vivre et y travailler. Ces initiatives sont d une importance capitale pour permettre à une économie quelle qu elle soit de créer des emplois de haut niveau et pour stimuler l esprit d entreprise dans une économie du savoir en voie de mondialisation. Le présent ouvrage offre une analyse de portée internationale et des exemples comparatifs pour clarifier les options relatives à l élaboration de la politique à suivre dans tous les pays et toutes les régions souhaitant stimuler les flux de connaissances transfrontières. Il porte essentiellement sur trois moyens critiques par lesquels s effectuent les connexions mondiales, à savoir i) les alliances transfrontières, ii) les transferts de connaissances assurés par les IDE et iii) les moyens d attirer une main-d œuvre étrangère qualifiée. Ces questions s inscrivent dans un cadre d action plus large soulignant la nécessité de mettre en place de fortes capacités d innovation endogènes avant que les économies nationales ou régionales puissent créer durablement et à grande échelle des connexions mondiales fondées sur le savoir. Cet ouvrage souligne donc combien il est important de doter de capacités d innovation les entreprises, les particuliers, les centres de recherche et les entreprises bénéficiant d IDE, ainsi que d établir les liaisons nécessaires entre eux pour créer des systèmes d innovation nationaux et régionaux dynamiques. En créant de solides capacités d innovation interne, les économies deviendront plus attractives pour les entreprises et les étrangers détenteurs de connaissances et, par ailleurs, elles susciteront de la part des acteurs locaux une demande de connexions mondiales en matière de savoir. L étude a examiné chacun des trois circuits critiques pour les flux mondiaux de connaissances cités plus haut. Les problèmes clés que pose chacun d entre eux sont brièvement évoqués ci-dessous. Alliances transfrontières Les alliances stratégiques sont de plus en plus importantes pour produire les connaissances nécessaires au lancement de produits, services et procédés nouveaux, en particulier pour les petites et moyennes entreprises (PME) opérant dans des secteurs à forte intensité de savoir. Ces alliances peuvent être conclues avec d autres PME, avec de grandes entreprises ou avec des universités et des centres de recherche. L importance de l établissement de réseaux locaux et régionaux est déjà bien reconnue dans les travaux sur les systèmes et les groupes d innovation nationaux et régionaux, mais ce que l on 12
4 sait moins, c est que les réseaux doivent également être ouverts aux sources mondiales de savoir, aussi bien pour accroître l échelle des connaissances susceptibles d être exploitées que pour pallier le risque de blocage du système. On peut considérer que l établissement de réseaux internationaux par les PME se fait essentiellement sous deux formes. Tout d abord, les PME participent souvent à une coopération horizontale avec d autres PME ou des grandes entreprises concurrentes, par exemple pour des recherches conjointes, l octroi de licences en matière de technologies, des livraisons horizontales et des accords de commercialisation. Ensuite, elles participent souvent à une coopération verticale suivant laquelle les acheteurs et les fournisseurs coopèrent pour innover au niveau des produits et des procédés ou pour le sous-traitement d intrants spécialisés. Dans les deux cas, elles recourent souvent à des co-entreprises, à des fusions et à des rachats ainsi qu à des accords plus informels pour avoir accès aux connaissances voulues. Il existe toutefois un certain nombre d obstacles à l établissement de réseaux transfrontières de PME. Tout d abord, on manque d informations sur les sources de recherche à l étranger et les possibilités d alliances stratégiques. Ensuite, les petites entreprises ont souvent tendance à avoir une attitude timorée vis-à-vis des liaisons avec l étranger, ce qui les empêche de saisir des opportunités qui pourraient être très rentables. Par ailleurs, il arrive que les PME ne sachent pas comment utiliser les TIC pour coopérer avec des entreprises étrangères. Enfin, l internationalisation implique des coûts et des risques considérables, en particulier pour les PME. Diverses actions sont donc engagées dans différents pays pour encourager les alliances transfrontières. Elles consistent notamment à : Faire mieux comprendre l importance des réseaux internationaux et les avantages potentiels en résultant pour les entreprises. Fournir des informations sur d éventuels partenaires étrangers, pour les transferts de technologies et les exportations. Faciliter les contacts entre les PME locales et les partenaires étrangers potentiels. Améliorer les liens en matière de TIC et encourager leur utilisation par les PME. Favoriser le courtage, renforcer la confiance et apporter un soutien financier à la formation de réseaux de PME à l étranger. Organiser des délégations conjointes à l étranger, par exemple pour les entreprises faisant partie de groupements locaux d entreprises. Aider les entreprises locales à entreprendre les activités de recherche et développement (R-D) qui s imposent et à répondre aux normes de qualité qu exigent les partenariats. 13
5 Améliorer les compétences de la main-d œuvre locale pour faciliter le passage à des réseaux à plus forte intensité de savoir. Dans cette partie de l étude, on s est efforcé d examiner un certain nombre de questions concernant la politique appropriée à suivre, et notamment : Quelle sorte de programmes publics les organismes exécutent-ils dans les différents pays pour encourager des alliances internationales entre PME? Par exemple, les organismes locaux de vulgarisation offrent couramment des informations et un soutien aux entreprises locales désireuses de conclure des alliances avec des entreprises étrangères grâce à des systèmes de guichet unique, mais quel type de programmes plus intensifs a-t-on mis au point? Comment ces programmes sont-ils exécutés? La politique est-elle généralement axée sur les groupes cibles de PME qui ont le plus de chances de s internationaliser? Et quelle sorte d agents apportent un soutien? 14
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