CONJONCTURE ENERGETIQUE
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- Alexandre Hébert
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1 CONJONCTURE ENERGETIQUE - FEVRIER 28 - Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l Economie de l Energie et des Matières Premières Observatoire de l Energie DGEMP / OE N mars 28 Avec 266,4 Mtep en année mobile à fin février 28, la consommation totale d énergie primaire est en léger retrait en données corrigées du climat (-,8%), mais en légère progression en données réelles (+,9%, à 261,6 Mtep). Les douze derniers mois ont en effet été plus doux que la normale (indice de rigueur de,9), mais moins que les douze mois précédents (indice,82). La hausse de la consommation réelle s explique donc par la moindre douceur des températures. Le mois de février, avec une température moyenne de 7,4 C, a été moins froid que la moyenne (5,1 C), mais davantage que février 27 (8,3 C). La demande intérieure d énergie primaire, en année mobile arrêtée à fin février 28 et après correction climatique, diminue de,8%. Son évolution est contrastée : hausse pour le charbon : +6,3% (+6,5% en données réelles) ; stabilité pour le gaz naturel : +,% (+5,2% en données réelles) ; baisse pour les produits pétroliers : -1,1% (,% en données réelles) ; baisse pour l électricité primaire : -1,7% (,4% en données réelles). Le cours du Brent daté s établit en moyenne légèrement en janvier à 92 $/bl, soit 62,5 /bl, en légère progression par rapport à décembre. Le prix moyen du pétrole importé est de 471 /t, contre 456 /t en décembre, alors que celui des produits raffinés est de 52 /t (523 /t en décembre). Pour ce qui est du gaz, le marché spot NBP reste lui aussi très tendu, avec 1,7 $/MBtu, au même niveau qu en décembre et novembre. La facture énergétique mensuelle de janvier atteint 5,4 milliards d euros. Jusqu en octobre, la plus forte facture mensuelle était de 4,4 milliards d euros en mars 26. Ce chiffre a été dépassé en novembre dernier (4,6 milliards), puis en décembre (4,9), puis à nouveau en janvier (5,4). La facture moyenne sur les trois derniers mois est ainsi de 5 milliards d euros. C est la hausse des importations de pétrole, tant en volume qu en valeur, qui est la principale cause de cette flambée. SOMMAIRE : - facture énergétique - énergie primaire - combustibles minéraux solides - produits pétroliers - gaz naturel - électricité À NOTER : Publications récentes, accessibles aussi sur Internet : «Consommation de carburants des voitures particulières en France » (décembre 27), «Statistiques de l industrie gazière en France» (novembre 27), «Les émissions récentes de CO2 liées à la combustion d énergie dans le monde en 25» (novembre 27), «CO2 et énergie France et Monde Repères» (octobre 27, versions française et anglaise), «Prix des énergies» (août 27), «Prix du gaz et de l'électricité en Europe au 1er janvier 27» (août 27), «Les Français et l énergie - Baromètre d opinion de janvier 27» (août 27), «Électricité et politique énergétique, spécificités françaises et enjeux dans le cadre européen» (juillet 27), «L énergie en France Repères» (juin 27), «La situation énergétique de la France» (mai 27). Ouvrages : «Tableaux des consommations d énergie en France» (édition 26, 25 ), «L énergie dans les régions» (édition 26, 29 ). Retrouvez cette note sur Internet : Accédez aux données chiffrées correspondantes : Demandez l abonnement automatique à la note mensuelle : Pour en savoir plus : Bernard Nanot, mél. bernard.nanot@industrie.gouv.fr Observatoire de l Energie (OE), Télédoc 162, 61 bd Vincent Auriol, 7573 Paris Cedex 13 Fax +33 ()
2 5 5 FACTURE ÉNERGÉTIQUE (janvier 28) Facture énergétique mensuelle de la France, en M courants 6 Prix moyens mensuels des énergies importées en /t janv-5 janv-6 janv-7 janv-8 Pétrole brut Produits pétroliers raffinés CMS Gaz naturel Electricité Total janv-5 janv-6 janv-7 janv-8 Pétrole brut Produits pétroliers raffinés CMS Le cours du Brent daté progresse encore un peu en janvier, à 92 $/bl, contre 91 $/bl en décembre. Il part début janvier d environ 98 $/bl, puis régresse jusqu au 23 janvier (87 $/bl) sous l effet de prises de bénéfices et de la crainte d une récession aux USA. Ensuite, stimulé par la baisse des taux de la Réserve fédérale américaine, il repart à la hausse pour finir le mois à 93 $/bl. Mais le dollar s affaiblit encore, et le baril reste à 62,5, un peu moins qu en novembre (63 /bl). Le prix moyen du pétrole importé est de 471 /t, contre 456 /t en décembre, alors que celui des produits raffinés est de 52 /t (523 /t en décembre). Pour ce qui est du gaz, le marché spot NBP reste lui aussi très tendu, avec 1,7 $/MBtu, au même niveau qu en décembre et novembre. La facture énergétique mensuelle de janvier atteint 5,4 milliards d euros. Jusqu en octobre, la plus forte facture mensuelle était de 4,4 milliards d euros en mars 26. Ce chiffre a été dépassé en novembre dernier (4,6 milliards), puis en décembre (4,9) puis en janvier (5,4). La facture moyenne sur les trois derniers mois est ainsi de 5 milliards d euros. C est la hausse des importations de pétrole, tant en volume qu en valeur, qui est la principale cause de cette flambée. Sur les douze derniers mois, la facture dépasse les 47 milliards. Là encore, c est le chiffre le plus élevé de la période récente : la moyenne mobile s était établie autour de 46,5 milliards mi-26, puis avait diminué jusqu à 41,8 en août 27 sous l effet de la baisse des cours de fin 26-début 27. Elle est repartie à la hausse depuis et le mois de janvier a vu s accélérer nettement son rythme de croissance. FACTURE ÉNERGÉTIQUE (M ) JANVIER 28 1er janvier derniers mois Valeur % Valeur % Valeur % IMPORTATIONS TOTALES (I) , , , dont : - CMS (combustibles minéraux solides) , , , - Pétrole brut , , ,6 - Produits pétroliers raffinés , , ,2 - Gaz naturel , , ,8 EXPORTATIONS TOTALES (E) , , ,5 dont : - Produits pétroliers raffinés , , ,4 - Électricité , , ,6 FACTURE ÉNERGÉTIQUE (I-E) , , ,1 dont : - Pétrole , , ,6 - Électricité , , ,7 Moyenne depuis le Moyenne des 12 JANVIER 28 PRIX MOYENS (US$ ou ) 1er janvier derniers mois Prix % Prix % Prix % US$ en (courant),679-11,7,679-11,7,723-8,7 Prix moyen du Brent daté ($/bl) 92, 71,5 92, 71,5 75,6 17,5 Prix moyen du pétrole brut importé ($/bl) 94,5 67,6 94,5 67,6 75,1 15,9 Prix moyen du pétrole brut importé ( /t) 47,7 48, 47,7 48, 398,2 5,8 Prix moyen des produits pétroliers raffinés importés ( /t) 519,6 34,5 519,6 34,5 455,5 4,1 % : variation par rapport à la période similaire de l'année précédente Calcul OE d'après Douanes depuis 25 OBSERVATOIRE DE L ENERGIE 28 mars 28
3 FACTURE ENERGETIQUE (suite) Quantités importées en année mobile (indice en 1994) Quantités exportées en année mobile (indice en 1994) janv-5 janv-6 janv-7 janv-8 Pétrole brut Gaz naturel Produits pétroliers raffinés CMS 8 janv-5 janv-6 janv-7 janv-8 Produits pétroliers raffinés (exportations brutes) Electricité (exportations nettes) Prix moyen mensuel du baril de pétrole, en dollar US et en euro (courants) et cours internationaux dollar US ou euro dollar US/MBtu janv-97 janv-98 janv-99 janv- janv-1 janv-2 janv-3 janv-4 janv-5 janv-6 janv-7 janv-8 Prix international du Brent daté (US$/bl) Prix du baril de Brent en euro Prix spot du gaz NBP * (US$/MBtu, échelle de droite) (*) National Balancing Point à 1 mois, bourse de Londres NOTA : les calculs sont faits à partir des données des Douanes - Département des statistiques et des études économiques. Des écarts peuvent se présenter avec les consommations par énergie qui suivent et dont le calcul utilise parfois des sources différentes. OBSERVATOIRE DE L ENERGIE 28 mars 28
4 16 ENERGIE PRIMAIRE Consommation primaire corrigée du climat, par énergie, Indicateurs énergétiques (année mobile) en année mobile et indice base en 199 % indice base en janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Taux d'indépendance (%) Emissions de CO2 Charbon Gaz naturel Pétrole Électricité Consommation totale corrigée Production totale Avec 266,4 Mtep en année mobile à fin février 28, la consommation totale d énergie primaire est en léger retrait en données corrigées du climat (-,8%), mais en légère progression en données réelles (+,9%, à 261,6 Mtep). Les douze derniers mois ont en effet été plus doux que la normale (indice de rigueur de,9), mais moins que les douze mois précédents (indice,82). La hausse de la consommation réelle s explique donc par la moindre douceur des températures. Le mois de février, avec une température moyenne de 7,4 C, a été moins froid que la moyenne (5,1 C), mais davantage que février 27 (8,3 C). Sur douze mois, le pétrole est stable en données réelles, mais diminue de 1,1% en données corrigées. L électricité primaire diminue de,4% en données réelles, mais de 1,7% en données corrigées. La consommation de gaz augmente de +5,2% en données réelles, mais est stable en données corrigées, et la consommation de charbon progresse de +6,3% en données corrigées. A 94% nucléaire, la production d énergie primaire est en retrait de 1,5%. La disponibilité hydraulique recule sensiblement en février, ce qui compromet le rétablissement qui était en cours. En année mobile et hors énergies renouvelables thermiques, le taux d indépendance énergétique, à 47,1%, retrouve pratiquement son niveau d il y a un an, après une période plus favorable début 27. milliers de tep FÉVRIER 28 ÉNERGIE PRIMAIRE (1) 1er janvier derniers mois PRODUCTION NATIONALE D'ÉNERGIE PRIMAIRE , , ,5 - Charbon (produits de récupération) 8-44, , ,2 - Pétrole 87 24, , ,1 - Gaz naturel 64-8, , ,2 - Nucléaire (brut) , , ,5 - Hydraulique et éolien (brut) , , ,7 CONSOMMATION D'ÉNERGIE PRIMAIRE réelle , , ,9 - Charbon , , ,5 - Pétrole , , , - Gaz naturel , , ,2 - Électricité , , ,4 CONSOMMATION D'ÉNERGIE PRIMAIRE corrigée , , ,8 - Charbon 1 61, , ,3 - Pétrole , , ,1 - Gaz naturel , , , - Électricité , , ,7 TAUX D'INDÉPENDANCE ÉNERGÉTIQUE (%) 46,5 -,4 46, -,6 47,1-1,1 ÉMISSIONS DE CO2 corrigées (milliers de tc) 1 3, , ,3 (1) hors ENR % : variation par rapport à la période similaire de l'année précédente, sauf pour le taux d'indépendance énergétique (points) OBSERVATOIRE DE L ENERGIE 28 mars 28
5 12 COMBUSTIBLES MINÉRAUX SOLIDES Consommations corrigées du climat, en indice base en 199 Mensuelles En année mobile janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Total Centrales électriques Sidérurgie 4 janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Total Centrales électriques Sidérurgie Mesurées en année mobile à la fin février 28, les importations de combustibles minéraux solides sont en retrait de 2,8%, après 3,8% en janvier et 6,5% en fin d année, pour un total de 2,1 Mt. La houille, principal produit importé, accuse un retrait de 2,5%. La valorisation de produits de récupération (PR) 1, livrés aux industriels, totalise pour le mois de février 2 tonnes et cumule en année mobile 354 kt, soit une baisse atténuée de 9,2% par rapport aux douze mois précédents. A 2,9 Mt en année mobile à la fin février, la consommation intérieure corrigée du climat voit sa tendance haussière s accélérer pour atteindre +6,3% (+6,5% en données non corrigées du climat), après +4,2% en janvier et +1,% en fin d année. Cette évolution tient à l activité des centrales à charbon, toujours fortement sollicitées, dont la progression en cumul annuel atteint +24,3%, après +16,9% en janvier et +8,8% en décembre. En mensuel, la demande gagne +5,2% en février, après +25% en janvier et +44% en décembre. Dans le secteur de la sidérurgie, la tendance baissière ne cesse de s accentuer comme en témoigne la production d acier brut en recul de 3,8% en cumul annuel, toujours plus marquée dans la filière à oxygène (-4,8%), ce qui affecte sensiblement les besoins en charbon du secteur : -7,3% sur douze mois, après -6,3% en janvier et 5,9% en fin d année. Plus d un demi-million de tonne a été déstocké sur les douze derniers mois, ce qui porte le stock de fin de période à 5,3 Mt, principalement du charbon (y compris produits de récupération) destiné aux centrales électriques pour un degré d autonomie constant depuis trois mois, avoisinant les quatre mois et demi au rythme actuel de la consommation, soit environ deux mois en moins par rapport à février 27. (1) produits issus des terrils du Nord Pas de Calais et des schlamms du Bassin lorrain. COMBUSTIBLES MINÉRAUX SOLIDES FÉVRIER 28 Cumul depuis le 1er janvier milliers de tonnes Cumul des 12 derniers mois IMPORTATIONS TOTALES , , ,8 PRODUCTION NATIONALE (PR) 2-44, , ,2 VARIATIONS DE STOCKS EXPORTATIONS TOTALES 76 4,1 16 7, ,3 CONSOMMATION INTÉRIEURE réelle , ,5 dont : centrales électriques 751 5, , ,3 dont : centrales EDF 437-8, , ,8 CONSOMMATION TOTALE corrigée du climat , , ,3 % : variation par rapport à la période similaire de l'année précédente OBSERVATOIRE DE L ÉNERGIE 28 mars 28
6 PRODUITS PETROLIERS Consommations corrigées du climat, en indice base en 199 Mensuelles En année mobile janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Total Gazole FOD FOL janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Total Gazole Supercarburants FOD FOL Le baril de brent commence février à 92 $, se replie jusqu au 7 à 87,5 $, puis réaugmente pour, le 29, dépasser les $ (,54 $). Les facteurs haussiers (troubles au Nigeria, menaces de restriction au Venezuela, affrontements au Kurdistan irakien, tension avec l Iran, craintes d une réduction de production de l Opep) l emportent sur l éventualité d une baisse de la demande provoquée par une récession américaine. La moyenne mensuelle augmente de plus de 3% par rapport à janvier, à 95 $/bl et 64,5 /bl. Malgré leur niveau très élevé, les prix à la consommation progressent encore vivement au cours du mois. Après correction climatique, la consommation totale de produits pétroliers reste en léger recul en année mobile (-1,1%), à 93,4 millions de tonnes. Malgré le niveau des prix, la consommation mensuelle de février est bien plus forte qu en février dernier (+3,7%), mais la hausse correspond au jour supplémentaire de cette année bissextile. Les ventes de fioul domestique (FOD), corrigées des variations climatiques, restent à un très bas niveau, le même qu en février 27, plus de 2% en-dessous de la moyenne des quatre précédents. C est un effondrement qui dure puisque sur les douze derniers mois, la baisse de consommation du FOD est de 1% après correction climatique. Les ventes de fioul lourd sont elles aussi en forte baisse : que ce soit dans l industrie ou pour les centrales électriques, elles reculent de façon importante par rapport à février 27. En année mobile, la baisse est de 14%. La consommation mensuelle de carburants routiers rebondit, même en corrigeant du nombre de jours du mois : elle est au total de 6,7% supérieure à la moyenne des mois de février précédents. La consommation de supercarburants est même supérieure à celle de février 27, alors que la tendance pour ce carburant est à la baisse. Celle de gazole est en hausse de 9,1%. La part du gazole atteint 79% en février et 77% sur les douze derniers mois. La consommation de carburéacteurs pour le trafic aérien reste en hausse sensible (+4,% en année mobile). milliers de tonnes FÉVRIER 28 PRODUITS PÉTROLIERS (1) 1er janvier derniers mois PRODUCTION NATIONALE 87 24, , ,1 - Pétrole brut 84 25, , ,8 - Hydrocarbures extraits du gaz naturel 3-6,1 6-6,1 39-1,1 CONSOMMATION TOTALE réelle , , , dont : - Supercarburants 71, , ,4 - Gazole , , ,7 - FOD , , ,4 - FOL industrie et divers 155-6, , ,6 - FOL centrales électriques 51-2, , ,4 - Carburéacteurs 49 6, , , CONSOMMATION TOTALE corrigée du climat , , ,1 dont : - FOD , , ,1 - FOL industrie et divers , , ,8 (1) hors soutes maritimes % : variation par rapport à la période similaire de l'année précédente OBSERVATOIRE DE L ENERGIE 28 mars 28
7 GAZ NATUREL Consommations corrigées du climat, en indice base en 199 Mensuelles En année mobile janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Total Grande industrie Total Grande industrie Résidentiel-Tertiaire-Petite ind. Résidentiel-Tertiaire-Petite ind. A 45,6 TWh, les importations nettes (*) du mois de février 28 sont en très forte hausse (+32,8%) par rapport à celles de février 27 qui étaient particulièrement basses. En année mobile, l évolution est de +3,% après -1,2% en janvier. Les entrées brutes de gaz sur le territoire français sont, elles aussi, en progression : en cumul annuel elles sont à 597,4 TWh contre 575,6 TWh en février 27 (+3,8%). Les entrées de GNL, à 145, TWh en année mobile (142,9 TWh en janvier), sont plus faibles que celles de février 27 (158,7 TWh) ; leur poids dans le total des importations diminue légèrement et atteint 28,9% (en année mobile) contre 32,5% en février 27. Les importations "gazeuses" progressent de +8,4% en cumul annuel ; celles en provenance de Norvège représentent 32,3% des importations totales (contre 3,% en février 27), celles en provenance des Pays Bas 19,9% (contre 18,3%), celles de Russie 14,7% (contre 15,3%) et celles d'algérie 17,4% (contre 17,8%). Celles des autres provenances (Egypte et Nigeria notamment) ne représentent que 9,7% du total contre 13,2% il y a un an. Les approvisionnements de court terme, qui sont un complément aux contrats de long terme, sont en niveau mensuel plus forts qu'en février 27 et représentent 6,1% des importations sur douze mois, contre 5,4% il y a un an. La production de gaz (y compris grisou), à 1,8 TWh sur douze mois et,8 TWh en mensuel, est en baisse de -11,2% sur un an. A 534,6 TWh en année mobile en février (533,3 TWh en janvier), la consommation totale (**) corrigée du climat reste stable, comme en janvier. La consommation réelle croit de +5,2% sur les douze derniers mois après +,7% en janvier; la douceur de l'automne 26 et de l'hiver 27 avaient entraîné une baisse importante des consommations réelles dans le secteur résidentiel tertiaire particulièrement. La consommation du résidentiel, tertiaire et petite industrie, corrigée du climat, continue de diminuer sur les douze derniers mois, de -2,2%, après -1,4% en janvier. La consommation corrigée du climat des gros clients reliés directement aux réseaux de transport progresse de +5,7% après +4,1% en janvier (+4,4 % en données réelles, après +4,8% en janvier). Les stocks utiles ont diminué de 16,2 TWh (21,5 TWh en février 27) après 18,6 TWh en janvier 27 (25,8 TWh en janvier 26) ; ils sont estimés à 63, TWh contre 56,1 TWh en février 27. Les stocks totaux demeurent à un niveau élevé, à 23, TWh contre 224,1 TWh en février 27. (*) Il s'agit des entrées nettes de gaz sur le territoire français, donc exportations déduites et hors transit. (**) Les informations sur les consommations et sur leur répartition entre petits et gros clients ont été révisées en février27 pour toute la période commençant en février 25. TWh PCS FÉVRIER 28 GAZ NATUREL 1er janvier derniers mois IMPORTATIONS NETTES 45,6 32,8 314,8 33,2 53, 3, PRODUCTION NATIONALE,8-8,5 1,8-5,3 1,8-11,2 CONSOMMATION TOTALE réelle 62,9 11,5 131,6 8,1 56,8 5,2 dont : - Grande industrie 17,8 16, 36,8 14,3 175,6 7,9 - Résidentiel, Tertiaire, Petite industrie 44,5 8,5 93,8 5,3 328,6 4,4 CONSOMMATION TOTALE corrigée du climat 68,9 2, 146,9 1,6 534,7 - dont : - Grande industrie 18,4 12,4 38,4 11,9 179, 5,7 - Résidentiel, Tertiaire, Petite industrie 49,8-2,4 17,5-2,1 353,2-2,2 % : variation par rapport à la période similaire de l'année précédente OBSERVATOIRE DE L ENERGIE 28 mars 28
8 ELECTRICITE Consommations corrigées du climat, en indice base en Mensuelles En année mobile janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 janv-6 janv-7 janv-8 janv-9 Energie appelée Basse tension Energie appelée Basse tension Moyenne tension Haute tension Moyenne tension Haute tension La production totale d électricité, mesurée en année mobile, progresse de,3% en février 28, mettant fin à plus d un an de tendance à la baisse. Ce mois-ci, la production hydraulique est inférieure de 2,3% à son niveau d il y a un an ; en cumul sur douze mois, la hausse constatée jusqu au mois dernier se transforme en baisse en février, avec,8%. La production éolienne mesurée en année mobile progresse de 62,8%. La production nucléaire se situe en février 28 à un niveau supérieur de 7,5% à celui de février 27 ; en année mobile, son recul continue de s atténuer, avec 1,5%, après 1,9% en janvier et 2,3% en décembre. Au total, les disponibilités en électricité primaire baissent de -1,1% en cumul annuel, soit un rythme quasiment inchangé depuis 4 mois. Hormis juillet, les centrales thermiques classiques ont, depuis avril, été nettement plus sollicitées qu au cours des mêmes mois de l année d avant, contrairement à la situation des 12 mois précédents (+5,8% sur un an en février) ; en année mobile, la tendance à la baisse s est transformée en nette hausse depuis trois mois : +12,9% en février, après +7,7% en janvier et +2,7% en décembre. L énergie appelée corrigée du climat est, en mensuel, supérieure de 3,8% à celle de février 27 ; en cumul annuel, la hausse accélère à +2,%, après +1,5% en janvier et +1,% en décembre. Les livraisons en basse tension de février sont supérieures de 3,8% à celles de février 27 ; en cumul sur 12 mois, la progression se renforce et s établit à +1,9% après +1,5% en janvier et +,8% en décembre. De même, la consommation en moyenne tension de février 28 est très supérieure à celle de février 27 (+5,%), ce qui se traduit en cumul annuel par une accélération de la hausse : +1,% après +,3% en janvier, qui marquait une rupture par rapport à la tendance à la baisse observée sur toute l année 27. Après deux ans de baisse, la consommation en haute tension progresse en rythme annuel depuis cinq mois : +3,4% en février, soit un rythme quasiment inchangé par rapport à décembre et janvier ; en revanche, hors filière nucléaire, et toujours en année mobile, la baisse de consommation de l industrie se renforce : -2,2%, après 1,1% en janvier et +,2 % en décembre. Le solde mensuel des échanges est en février de 4,3 TWh. Sur douze mois, le solde exportateur a perdu 14 TWh. GWh FÉVRIER 28 ÉLECTRICITÉ 1er janvier derniers mois PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ nette , , ,3 dont : Production primaire , , ,1 dont : - Hydraulique (y c. pompages) , , ,8 - Eolienne (*) 434 2, , ,8 - Nucléaire , , ,5 Production thermique classique , , ,9 SOLDE : Exportations - Importations , , ,1 POMPAGES (énergie absorbée) 687 3, , ,3 ÉNERGIE APPELÉE réelle (y c. pertes) , , ,3 dont : Basse tension , , ,8 Moyenne tension , , ,4 Haute tension , , ,4 ÉNERGIE APPELÉE corrigée du climat , , , dont : Basse tension , , ,9 Moyenne tension , , , % : variation par rapport à la période similaire de l'année précédente (*) estimation fragile pour le dernier mois OBSERVATOIRE DE L ENERGIE 28 mars 28
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