COMPLEMENTS ALIMENTAIRES
|
|
- Joel Vachon
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMPLEMENTS ALIMENTAIRES
2 MARCHE DES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES CA mondial (2014) : 200 Md$ 44,2% Asie 32,6 % Amérique du Nord 32,6 % Europe Marché France 1, 48 Md 51 % Pharmacies 19,6 % Ventes directes 16 % Magasins diétédques 6,7 % Parapharmacies 6,7 % GMS (grande distribudon)
3 Source Synadiet
4 Source Synadiet
5 Source Synadiet
6 Définition Denrées alimentaires commercialisées sous forme de doses dont le but est de compléter le régime alimentaire normal. Ingrédients : (liste positive JO du 28 mai 2006) - nutriments 13 vitamines sous 31 formes 15 sels minéraux sous 81 formes - substances à but nutritionnel ou physiologique à l exception des substances possédant des propriétés exclusivement pharmacologiques - des plantes ou préparations de plantes possédant des propriétés nutritionnelles ou physiologiques (liste publiée JO juillet 2014) à l exception des substances possédant des propriétés exclusivement pharmacologiques. 541 plantes soit environ 1000 drogues végétales Ces ingrédients conduisent à la «fabrication de produits sûrs, non préjudiciables à la santé des consommateurs, comme cela est établi par des données scientifiques généralement acceptées».
7 1) TUTELLE EUROPEENNE EFSA (European Food Safety Authority) Reconnaissance des allégations Eléments relatifs à l exposition admissible (doses) Eléments relatifs à la sécurité des ingrédients. Pas de tutelle de l EMA TUTELLES DE REGLEMENTATION 2) TUTELLE FRANCE DGGCCRF (Direction générale du commerce, de la concurrence et de la répression des fraudes) Demande de notification de commercialisation (enregistrement) Soutien scientifique de l ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail). Pas de tutelle de l ANSM
8 ETIQUETAGE L étiquetage des compléments alimentaires comporte les indications suivantes : Les produits finis doivent être mis en vente sous la dénomination de vente «Complément alimentaire». Doivent également être mentionnés et précisés sur l étiquetage : - le nom des catégories de nutriments ou substances caractérisant le produit ou une indication relative à la nature de ces nutriments ou substances, - l état physique (effervescent, comprimé, en poudre ), - le traitement qu a subi la denrée, - La dénomination de vente doit également être accompagnée de mentions complémentaires prévues par la réglementation telle celle relative à l emploi d édulcorants «avec édulcorant». Quantité nette : Pour les produits liquides : mesure du contenu du complément alimentaire en unité de volume : l, cl, ml Pour les autres : mesure du contenu du complément alimentaire en unité de masse : g, mg On peut aussi, en complément, mentionner le nombre d unités Date de durabilité minimale OU DLC avec la précision, si nécessaire, des Conditions de conservation préconisées.
9 Lot : L indication du lot permet de regrouper un ensemble de denrées selon un système établi par l industriel, facilitant ainsi l identification des produits en cas de défaut, de recherche ou de réclamation. Ce numéro doit être envoyé au responsable de la mise sur le marché en cas de réclamation. Coordonnées du fabricant ou du conditionneur ou du vendeur établi à l intérieur de la Communauté européenne : - Nom : commercial, dénomination ou raison sociale de la société - Adresse du responsable de la mise sur le marché, du fabricant, du conditionneur ou vendeur établi à l intérieur de la Communauté européenne. - A cela peut s ajouter l identification de l emballeur : suivi du code EMB ou de l adresse Mode d emploi : conditions et conseils d utilisation et de conservation pour d assurer la sécurité du consommateur afin qu il fasse un usage approprié du complément alimentaire acheté. la liste des ingrédients avec : la mention du nom des catégories de nutriments ou des substances caractérisant le produit ou une indication relative à la nature de ces nutriments ou substances.
10 Les nutriments sont désignés par : - leur nom spécifique (NB : Pour les additifs, il s agira de la mention de la catégorie suivie soit du nom spécifique soit du numéro CE) énumérés dans la liste des ingrédients par ordre d importance pondérale décroissante jusqu à 2% dans le produit fini. L ordre peut ne pas être respecté en deçà de 2% dans le produit fini. - la portion journalière de produit dont la consommation est recommandée ;un avertissement indiquant qu il est déconseillé de dépasser la dose journalière indiquée ; - une déclaration visant à éviter que les compléments alimentaires ne soient utilisés comme substituts d un régime alimentaire varié et équilibré ; - un avertissement indiquant que les produits doivent être tenus hors de la portée des jeunes enfants ; Le Règlement (UE) n 1169/2011 du Parlement européen et du Conseil du 25 octobre 2011 concernant l'information des consommateurs sur les denrées alimentaires a introduit plusieurs nouveautés, applicables en décembre 2014 : - Les ingrédients se présentant sous forme de «nanomatériaux manufacturés» devront être étiquetés. Il faut noter que les nanomatériaux considérés sont définis comme étant «produits intentionnellement». - Le pays d origine du produit devra, dans certains cas, être indiqué. - Une taille minimale de caractères est définie pour l indication des mentions obligatoires, en fonction de la taille de l emballage ou du récipient (0,9 ou 1,2 mm) - Les allergènes devront être mis en évidence afin d être clairement distingués du reste de la liste d ingrédients (corps ou style de caractères différent, couleur de fond )Les supports n auront plus besoin d être étiquetés. Le Règlement rend aussi obligatoire l étiquetage nutritionnel sur les denrées alimentaires à partir de 2016, mais cela ne concerne pas les compléments alimentaires.
11 Etiquetage nutritionnel L étiquetage nutritionnel des compléments alimentaires doit obligatoirement indiquer, sous forme numérique et pour la portion journalière, la quantité de chaque : - Vitamine - Minéral - Substance à but nutritionnel ou physiologique - Plante ou préparation de plantes présentes dans le complément alimentaire. La quantité déclarée est une valeur moyenne calculée sur la base de l analyse du produit effectué par le fabricant. La quantité déclarée se rapporte à la portion journalière de produit recommandée par le fabricant telle qu elle est indiquée sur l étiquetage. Les informations concernant les vitamines et minéraux sont exprimées en % des valeurs de référence. S il s agit à l heure actuelle des AJR, les «apports de références» listées à l Annexe du Règlement INCO devront probablement être utilisés à partir de décembre 2016.
12 ALLEGATIONS Le Règlement européen sur les Allégations nutritionnelles et de santé (Règlement CE n 1924/2006 du 20 décembre 2006, JOUE du 18 janvier 2007) est entré en vigueur le 19 janvier 2007 et est applicable depuis le 1er juillet 2007 aux Compléments Alimentaires sans préjudice de la Directive 2002/46/CE. Ce règlement définit les différentes catégories d allégations nutritionnelles et de santé comme suit : Allégations nutritionnelles : toute allégation qui affirme, suggère ou implique qu une denrée alimentaire possède des propriétés nutritionnelles bénéfiques particulières de par l énergie (valeur calorique) qu elle fournit, à un degré moindre ou plus élevé, ou ne fournit pas, et/ou les nutriments ou autres substances qu elle contient, en proportion moindre ou plus élevée, ou ne contient pas. Les allégations nutritionnelles peuvent être "quantitatives" - "riche en", (riche en vitamine D) - "source de» (source d oméga 3) ou "comparatives" - "à teneur réduite en». ( à teneur réduite en acides gras saturés)
13 Allégations de santé : toute allégation qui affirme, suggère ou implique l existence d une relation entre, d une part, une catégorie de denrées alimentaires, une denrée alimentaire ou l un de ses composants et, d autre part, la santé. Différents types d allégations de santé sont définies dans le règlement : - Celles décrivant ou mentionnant : a) le rôle d un nutriment ou d une autre substance dans la croissance, dans le développement et dans les fonctions de l organisme, b) les fonctions psychologiques et comportementales, c) sans préjudice de la Directive 96/8/CE, l amaigrissement, le contrôle du poids, la réduction de la sensation de faim, l accentuation de la sensation de satiété ou la réduction de la valeur énergétique du régime alimentaire - Celles relatives à la réduction d un risque de maladie (néanmoins ne mentionnant pas de propriétés de prévention, de traitement ou de guérison de la maladie) - Celles se rapportant au développement et à la santé de l enfant.
14 NUTRIVIGILANCE Dispositif de nutrivigilance mis en place par l ANSES Bilan 2014 : 1575 déclarations (76 % de compléments alimentaires) : - 63,6 % Notifications de l industrie, - 5,3 % Notifications des pharmaciens - 1,5 % Notifications des médecins Analyse : Publication de 9 saisines Exemple Levure de riz rouge
2 Service de Pharmacologie médicale et toxicologie 191, avenue du doyen Gaston Giraud 34295 Montpellier cedex 5
1 Les allégations de santé des compléments alimentaires sont désormais réglementées Décembre 2012 14 Décembre 2012, une mini révolution dans l étiquetage des denrées alimentaires : toute allégation d un
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailCompléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage
Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales
Plus en détailJUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,
JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008 INFO RÉGLEMENTATION info L étiquetage des denrées alimentaires L information des consommateurs, focus sur le règlement européen INCO L e règlement européen n 1169/2011 (ci-après
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailDIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ
1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale
Plus en détailCe document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions
Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions DIRECTIVE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 30 juin 1994 concernant les édulcorants destinés à être
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailAVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le directeur général Maisons-Alfort, le 22 juillet 2011 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la pertinence des travaux menés par
Plus en détailDIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation
Plus en détailAspartame ou stévia: le duel
Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailProjet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités
Projet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités Karine Derouet Consultante Affaires Règlementaires RNI Conseil k.derouet@rni-conseil.com www.rni-conseil.com RAPPEL DU CADRE
Plus en détailLES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES
1 LES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES Anne Laude Professeur à l Université Paris V Les relations entre l'aliment et la santé sont étroites. Elles sont le thème prioritaire de santé publique choisi par la Présidence
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailUNE REGLEMENTATION POUR LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES : QUELLES GARANTIES POUR LE CONSOMMATEUR?
Pharmacien inspecteur de santé publique Promotion : 2008-2009 Date du Jury : Septembre 2009 UNE REGLEMENTATION POUR LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES : QUELLES GARANTIES POUR LE CONSOMMATEUR? Jean-Michel Barthe
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailAVIS 1 / 7. Afssa Saisine n 2009-SA-0153. Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009
Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009 AVIS LE DIRECTEUR GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur un projet d arrêté relatif à l emploi de la taurine et de D-glucurono-gamma-lactone
Plus en détailLe point sur les compléments alimentaires
Le point sur les compléments alimentaires Médecin du Comité Régional et Sportif d Ile-de-France, Médecin de l Antenne Médicale de Prévention du Dopage d Ile-de-France Les compléments alimentaires doivent
Plus en détailQuelle place pour le complément alimentaire dans l arthrose à l officine?
Année universitaire 2011-2012 THÈSE pour le DIPLÔME D'ÉTAT DE DOCTEUR EN PHARMACIE par Ophélia BAILLET née le 29 décembre 1987 à Angers (49) ---------------- soutenue publiquement le 17 décembre 2012 ----------------
Plus en détailOui, les noix sont grasses, mais elles sont aussi bourrées de vitamines, de minéraux, de fibres et de protéines! Quant à son gras, principalement monoinsaturé, il est bon pour le coeur. Et, combiné à l'action
Plus en détailD039942/02 P A R L E G O U V E R N E M E N T, À L A S S E M B L É E N A T I O N A L E E T A U S É N A T.
D039942/02 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIEME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2014-2015 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 23 juillet 2015 Enregistré à la Présidence du Sénat le
Plus en détailDextro Energy gel Liquid Apple
Dextro Energy gel Liquid Apple Un concentré glucidique pour les sportifs d endurance. Au parfum pomme. Eau, dextrose, sirop de sucre inverti, acidifiant (acide citrique), arôme, colorant (E 150c). 809
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailLe marché des alicaments : un marché spécifique. Hiba El Dahr
Le marché des alicaments : un marché spécifique. Hiba El Dahr Série Thèses et Masters Ce Master est le numéro 60 de la série Thèses et Masters de l Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier. Cette
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailPréparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile
Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale.
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailESSAIS DE MISE EN MARCHÉ
13.1 OBJECTIFS................................................................. 13-1 13.1.1 Objectifs de ce chapitre.................................................... 13-1 13.1.2 Objectifs d un essai
Plus en détailCirculaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale
gence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale Référence PCCB/S1/JPM/912984 Date 18/02/2014 Version
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailLa Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -
La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé
Plus en détail18/06/2010 DOSSIER SANTE THEME : LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES PROJET SANTE. Lauranne CARO, Céline CAYROL, Emilie DALEM, Salma ESSEGHIR
18/06/2010 PROJET SANTE DOSSIER SANTE THEME : LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES Lauranne CARO, Céline CAYROL, Emilie DALEM, Salma ESSEGHIR TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I. DE L INGREDIENT A LA COMMERCIALISATION
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailL information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments
L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments Présenté par Micheline Séguin Bernier Le 19 mars 2007 Tiré et adapté du document de Santé Canada Le tableau de la valeur nutritive : plus facile
Plus en détailNORME GÉNÉRALE POUR L ÉTIQUETAGE DES DENRÉES ALIMENTAIRES PRÉEMBALLÉES
1 L Étiquetage des Denrées Alimentaires Préemballées (CODEX STAN 1-1985) NORME GÉNÉRALE POUR L ÉTIQUETAGE DES DENRÉES ALIMENTAIRES PRÉEMBALLÉES CODEX STAN 1-1985 1. CHAMP D APPLICATION La présente norme
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailProcédures d enregistrement des médicaments
Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier
Plus en détailMots-clés : denrée, préemballé, étiquetage, ingrédient, information, consommateur, allergène, boulanger, pain
Circulaire n 6252 2 Février 2015 Gestion de l entreprise Fabrication Réglementation hygiénique et sanitaire 7 0 5 Dossier suivi par : Flavie SOUPLY Rédactrice : Flavie SOUPLY Ligne directe : 01.43.59.45.08
Plus en détailI. Champ d application. Description du produit Code NC Pays Chocolat / II. Certificats disponibles. Certificat général
Denrées alimentaires et autres produits RI.DAL.AA.01.chocolat Mars 2015 Généralités I. Champ d application Description du produit Code NC Pays Chocolat / II. Certificats disponibles Certificat général
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailPharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique
Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien
Plus en détailACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES
ACTUALITÉS DES RÉFÉRENTIELS ET FOCUS SUR LES ÉVOLUTIONS DU BRC VERSION 7 cedric.travaille@adria.tm.fr Mars 2015 1 ADRIA NOS MÉTIERS Recherche et Innovation : Qualité et sécurité des aliments, Innovation
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailglossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.
glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailFood Safety System Certification 22000. fssc 22000
Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole
Plus en détailréglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé
réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS ET CONSEILS
Formations et Conseils en Hygiène et Diététique CATALOGUE DES FORMATIONS ET CONSEILS 2014 Hydiet Conseil 12 boulevard Victor Jauffret 13450 GRANS Tél. : 06 81 62 12 90 - Mail : contact@hydietconseil.com
Plus en détailRapport d Activité 2011. SYNPA : les additifs et ingrédients de la chaîne alimentaire
Rapport d Activité 2011 SYNPA : les additifs et ingrédients de la chaîne alimentaire L organisation professionnelle SYNPA VOS CONTACTS Sommaire L entretien avec Catherine Mignot, Présidente du SYNPA Dossiers
Plus en détailCatalogue de formations 2014
Catalogue de formations 2014 ANIA Formation en 2014 Depuis quelques années, l ANIA a fait le choix d accompagner les entreprises de l industrie alimentaire, en développant des journées de formation. Dans
Plus en détailExigences internationales harmonisées pour la certification d un lot
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 Exigences internationales harmonisées pour la certification d un
Plus en détailRéflexions et propositions relatives aux allégations de santé et aux compléments alimentaires
1 ACADÉMIENATIONALEDEMÉDECINE ACADÉMIENATIONALEDEPHARMACIE Réflexionsetpropositionsrelatives auxallégationsdesanté etauxcomplémentsalimentaires RAPPORTCOMMUN 1 aunomdesgroupesdetravailrespectifsdesdeuxacadémies,
Plus en détailTeneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011
Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et
Plus en détailL évaluation des biocides à l Anses
L évaluation des biocides à l Anses Catherine Gourlay-Francé Direction des produits réglementés 23 juin 2015 L Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailJLB DÉVELOPPEMENT : CONCEPTEUR ET FABRICANT D INNOVATIONS
jlb Développement SAS JLB DÉVELOPPEMENT : CONCEPTEUR ET FABRICANT D INNOVATIONS CONCEPTION FORMULATION FABRICATION jlb Développement SAS CONCEPTION FORMULATION FABRICATION PRÉSENTATION Groupe en pleine
Plus en détailDOCUMENT N 5 INSTITUT POUR LA PROTECTION DE LA SANTÉ NATURELLE. Conséquences de la pleine entrée en vigueur de la directive 24/2004/CE en France
DOCUMENT N 5 INSTITUT POUR LA PROTECTION DE LA SANTÉ NATURELLE Conséquences de la pleine entrée en vigueur de la directive 24/2004/CE en France Sommaire : Introduction page 2 I. L impossibilité économique
Plus en détailBESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.
BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détailDes choix de repas délicieux et pratiques qui conviennent à vos besoins et préférences diététiques
Des choix de repas délicieux et pratiques qui conviennent à vos besoins et préférences diététiques SAS GLUTE SOUCIEUX DES CALORIES SOUCIEUX DU SODIUM RECHERCHE D U ÉQUILIBRE RECHERCHE DE PROTÉIES OUS POUVOS
Plus en détailCARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ
CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ Etude des produits transformés disponibles sur le marché français entre 2008 et 2011 ÉDITION 2015 2015 Etude du secteur des glaces
Plus en détailNote de Synthèse. FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication
Diplôme Universitaire Gardien de Refuge de Montagne Note de Synthèse FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication Laborde Paul DU Gardien
Plus en détailLes Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR)
Les mardis de la DGPR 17/09/2013 Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention
Plus en détailIndications pédagogiques B2 / 32
à la Communication Objectif général Indications pédagogiques B2 / 32 B : S INFORMER / SE DOCUMENTER Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire Objectif opérationnel Pré-requis Nombre d exercices proposés
Plus en détailFORMATIONS INTER-ENTREPRISES PROGRAMME 2015
S INTER-ENTREPRISES 2015 Contribuer à faire évoluer les compétences et les systèmes de management Management de la qualité et de la sécurité des aliments Nutrition, réglementation alimentaire Sensoriel
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailDéfinition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008
Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008 1/85 Coordination scientifique Monsieur Jean-Christophe Boclé, Mademoiselle
Plus en détailLE GRAND VIZIR, A ARRETE :
Arrêté viziriel du 3 février 1953 (18 joumada I 1372) pris pour l application du dahir du 20 mars 1951 (12 joumada Il 1370) portant réglementation de l exploitation et de la vente des eaux minérales naturelles
Plus en détailLes Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne).
Les Petites Toques PLAT CHAUD STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). PEPITES DE PLET PANE Poids net pour une part : 115 g Ingrédients
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao
Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao Modification du... Le Département fédéral de l intérieur arrête: I L ordonnance du DFI du 23 novembre
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailLes aliments de l intelligence
www.swissmilk.ch NEWS ER Conseils alimentation: L alimentation saine à l adolescence, 3 e partie Octobre 2010 Les aliments de l intelligence Des performances intellectuelles au top Des repas intelligents
Plus en détailSportifs et médicaments Questions et réponses
Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailSimulateur de coûts de médicaments Foire aux questions
ASSURANCE COLLECTIVE Simulateur de coûts de médicaments Foire aux questions Pour une vue détaillée de l outil, consultez l aide-mémoire qui est accessible à partir de la section «Liens utiles» du simulateur.
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailNutrition et santé : suivez le guide
Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques
Plus en détailJ'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!
J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hypertextes vers d'autres sites de l'internet ne signifient nullement que l'organisation approuve officiellement les opinions, idées, données
Plus en détailRecommandations de bon usage. des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs. Recommandations de bon usage. www.afssaps.
Recommandations de bon usage Recommandations de bon usage des produits de protection solaire à l attention des utilisateurs Juillet 2011 Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé 143-147
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS. Point presse
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Point presse Suppression de la vignette pharmaceutique au 1 er juillet 2014 Mardi 20 mai DOSSIER DE PRESSE -----------------------------------------------
Plus en détaile-commerce+ e-commerce+ LE CHOIX DU MULTICANAL Hydraligne, le succès pour ce spécialiste de la parapharmacie en ligne!
e-commerce+ Magazine d information d Octave N 10 - Spécial parapharmacie, médical et cosmétologie - Avril 2014 e-commerce+ LETTRE D INFORMATION D OCTAVE.BIZ MICHEL PERRINET - PDG d'octave " Comme le Laboratoire
Plus en détail