Service Laïque de Coopération au développement. Rapport d activité 2012

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1 S.L.C.D. Service Laïque de Coopération au développement Rapport d activité 2012

2 Sommaire 1. Le mot du Président et du Directeur Général 4 2. L organisation du SLCD 6 3. Perspective géographique 7 4. Détails par pays 8 S.L.C.D. Service Laïque de Coopération au développement Rapport d activité Burkina Faso 8 - Burundi 10 - Cameroun 11 - République Démocratique du Congo 12 - Batéké 12 - Kisangani 13 - Kisantu 14 - Sénégal Actions de sensibilisation et activités extérieures Rapport financier 18 3

3 1. Le mot du Président et du Directeur Général En 2012, nos activités se sont organisées suivant deux axes. Tout d abord, évidemment, la poursuite de nos programmes financés par la DGD au Burundi, au Cameroun, en République Démocratique du Congo et au Sénégal ainsi que ceux financés par l UE au Burkina Faso. D autre part, un travail interne visant à mieux préparer notre organisation aux nouveaux défis et mutations en cours dans le domaine de la coopération. Les actions concrètes du SLCD Le SLCD et ses différents partenaires locaux continuent à promouvoir le développement de zones rurales bien localisées. Notre action vise à améliorer les systèmes de production et à augmenter les revenus des paysans sur base des trois piliers du développement durable : économique, social et environnemental. Nous nous concentrons sur la gestion durable des ressources naturelles et en particulier l eau et les forêts. Une grande partie de nos efforts porte sur la valorisation forestière durable des produits ligneux et non-ligneux ainsi que sur l accès à une énergie renouvelable. Nous défendons clairement l agriculture familiale et nous avons l ambition, dans nos zones d intervention, de faire entrer celle-ci dans le domaine commercial. A cet effet, nous participons à la mise en place de relations durables et équitables avec les opérateurs économiques qui apportent une valeur ajoutée aux agriculteurs concernés. Le modèle de l agriculture familiale en Afrique subsaharienne doit être défendu pour des raisons sociales mais aussi, il est important de le souligner, pour des raisons de plus grande productivité. Ceci est possible lorsque toutes les conditions sont réunies, tant au niveau des techniques agronomiques que de l accès au crédit et aux investissements nécessaires. Nos sources de financement et nos partenaires locaux En même temps, le système de gouvernance mondiale piétine et les agences se voient confier des missions de plus en plus vastes : préserver les biens publics mondiaux et combattre le changement climatique, l insécurité alimentaire, les pandémies, les conflits armés, etc. Les agences bilatérales et multilatérales sauront-elles intégrer ces enjeux globaux dans leurs cadres opérationnels?». Il est clair que notre monde est confronté à des défis immenses et que nous sommes probablement à la croisée des chemins quant au modèle de croissance à promouvoir. L aide au développement est évidemment au cœur de ce débat dans ce monde global. Dans ce contexte difficile, le volume global de l aide au développement a tendance à se contracter significativement. La Belgique ne fait pas exception. La réforme belge et ses conséquences pour le SLCD La Belgique a entamé depuis quelques temps une réflexion de fond sur les grands axes de sa stratégie dans le domaine de l aide au développement. C est ainsi qu un projet de loi est en cours d adoption et qu une réforme assez fondamentale des modalités de financement de l aide indirecte a été annoncée aux ONG. Cohérence, efficacité, synergies, professionnalisme et simplification sont les objectifs principaux de cette réforme qui entrera en vigueur dans les prochains mois. Il est essentiel pour le SLCD de bien comprendre les implications de cette réforme et de prendre toutes les mesures appropriées à cet égard. Notre stratégie actuelle nous paraît parfaitement pertinente. Notre taille par contre est insuffisante pour nous permettre de sécuriser durablement le financement de nos programmes. Nous devons mettre en place les mécanismes de gestion administratifs et financiers de nature à rassurer les bailleurs de fonds et acquerir les compétences nécessaires dans les domaines d intervention sélectionnés pour assurer l efficacité des programmes entrepris. C est dans ce contexte que des discussions on lieu actuellement entre l ULB et les ONG proches de cette dernière en vue de mettre en place une structure convaincante à ce sujet. Le SLCD devra aussi établir des synergies utiles avec d autres ONG. Le SLCD est une ONG de taille moyenne dans le contexte belge. Nos actions sont donc limitées, à la mesure de nos ressources. Nous avons cependant le sentiment que dans nombre de cas, nous mettons en place des solutions durables innovantes qui peuvent contribuer à alimenter les stratégies développées au niveau national. Outre les financements de la DGD, de l UE et du WBI nous avons réussi à trouver d autres bailleurs de fonds, directement ou indirectement, via nos partenaires comme le Fonds Français pour l Environnement, le Fonds pour les Forêts du Bassin du Congo, la Coopération Canadienne et l USAID. Nous avons ainsi pu contribuer significativement au renforcement des capacités de nos partenaires, en particulier de l Association Impulsion au Burkina, du GI-AGRO et d ADIKIS en RDC, ce qui est pour nous une réelle source de satisfaction. Le nouveau contexte de l aide au développement Le résumé d une étude récente sur l aide au développement traduit assez bien la situation actuelle : «La coopération internationale au développement est aujourd hui bousculée, tant par la perte de ses repères traditionnels Nord/Sud ou riches/pauvres que par la multiplication des problèmes globaux qu elle est appelée à traiter (.). Il s agit de (re)penser la répartition des richesses au niveau national, bien au-delà des cadres d intervention des agences d aide. Dans l immédiat En 2012, le SLCD a mis en place un nouveau logiciel comptable et procédé à une réorganisation de ses ressources et procédures comptables et financières. Ceux-ci fournissent ainsi tous les outils analytiques nécessaires et permettent un contrôle budgétaire approprié. Dans le même ordre d idée, le SLCD veillera dans le futur de manière très proactive à ce que ses partenaires mettent également en place tous les outils administratifs et financiers nécessaires. Entre-temps et en attendant la mise en place de la réforme dont question ci-dessus, l agrément du SLCD en tant qu ONG de développement par les autorités belges a été renouvelé sans problème. 4 5

4 3. Perspective géographique Sénégal Partenariat avec ICD-Afrique dans le programme d appui aux initiatives communautaires économiques locales. Elaboration de Plans Locaux de Développement (PLD). Mise en place d activités génératrices. Extension du réseau d adduction d eau de Sinthiou Malème. Burkina Faso Partenariats avec l ONG locale IMPULSION pour des projets d accès à l eau potable, à l énergie renouvelable et de mise en place d activités génératrices de revenus et d emplois. Burundi 2. L organisation du SLCD Outre le Conseil d Administration formé de 5 membres, l équipe du SLCD compte 6 salariées et 32 collaborateurs bénévoles. Partenariat avec la DPAE dans le projet d appui aux groupements de paysans de la commune de Mukike. Finalisation de la réhabilitation du centre semencier de Ruzibazi. Conseil d Administration Jean Lejoly, Président Alain Godefroid, Administrateur-délégué Marc Donnez, Administrateur Bruno Leroy, Administrateur (jusqu au 24 Avril 2013) Matthieu Baudoux, Administrateur Eric Decroix, Administrateur (depuis le 24 avril 2013) Gestion quotidienne Cameroun Partenariats avec le GADD pour des projets d appui aux filières pommes de terre, porcs et manioc et pour la promotion de l entreprenariat féminin. 6 Alain Godefroid * Anne Depret Laurence Hanon Marc Donnez * Christine de Mathelin Qamar Belkorchi Eric Decroix * Graziella Barry Aline Stevens ** Coordinateur Coordination des programmes et projets Chargée de projets au Burkina Faso et au Cameroun Chargée de projets en RDC Finance et Contrôle de gestion Finance et Administration Chargée de projets au Sénégal et au Burundi Assistante administration et finance Communication Adjointe à la Communication Administration et communication (*) Bénévole (**) Actuellement en congé de maladie République Démocratique du Congo Améliorer durablement le développement agricole à Kisantu Appuyer de manière organisationnelle la mutuelle de Kisantu Améliorer l accès à la prise en charge et à la qualité des soins du couple mère-enfant dans la zone de Kisantu Promouvoir la connaissance et la gestion intégrée des ressources de l environnement dans la cuvette centrale congolaise à Kisangani Appuyer la planification du développement socio-économique des communautés rurales ciblées et à mettre en place des activités génératrices de revenus dans le secteur agro-sylvo-pastoral à Ibi. 7

5 4. Détails par pays Burkina Faso Tous nos projets se déroulent dans la région du Centre Nord, Province du Sanmatenga, une des plus pauvres du Burkina, où le moindre aléa climatique affecte durement une population déjà fragilisée. L accessibilité alimentaire y est très difficilement assurée pour l ensemble de la population et tout particulièrement pour les ménages les plus démunis. Présent depuis une vingtaine d années dans la région, le SLCD avait d abord concentré ses efforts sur la mise en place du système de santé du district sanitaire de Barsalogho et depuis une dizaine d années sur l accès à l eau potable et à une source d énergie moderne. Cette année, une partie de nos activités s est orientée vers l amélioration du système agrosylvo-pastoral dans l optique de créer des emplois et des activités rémunératrices en zone rurale, une préoccupation qui reste constante car dans cette zone, 50 % de la nourriture doit être acquise. En raison de la démographie galopante et des aléas climatiques, les paysans sont enfermés dans un cercle vicieux de surexploitation de leurs maigres ressources naturelles. Ils se voient contraints, faute de moyens d action suffisants, d étendre leurs terres cultivables par un défrichage des forêts ou un empiétement sur les espaces utilisés par le bétail. Le SLCD et son partenaire l Association Impulsion ont pour objectif de rechercher des solutions de fond à ce problème complexe. Notre partenaire Nous travaillons en partenariat avec l Association Impulsion. Il est notre principal partenaire dans cette zone depuis 2004, année de sa création. Les principaux objectifs visés par cette association sont : - Amélioration de l accès à l eau potable. - Augmentation de l accès à une source d énergie moderne. - Protection forestière et lutte contre les changements climatiques. - Création d emplois en milieu rural. - Accès à des méthodes d exploitation agropastorale familiale adaptées et appropriables. L équipe locale s est largement étoffée au cours de ces deux dernières années et est composée de personnes développant des compétences diverses dans les domaines agricoles, économiques, hydrauliques, comptables et techniques (transformation, énergie, ). L association a également renforcé son organisation interne (comptabilité en partie double, mécanisme de contrôle interne, ) ce qui lui a permis, avec succès de solliciter des fonds auprès d autres bailleurs (Fonds Français pour l Environnement Mondial, Agence Française pour le Développement), dont le SLCD est partenaire. - Accès à l énergie : l Association gère depuis 2004 le réseau décentralisé de Barsalogho-centre qui comptait en 2012 plus de 300 clients actifs, dont l hôpital de district, les administrations, les écoles, les commerçants, les petites entreprises et bien entendu des particuliers. Un nouveau quartier, un peu excentré et nécessitant une source de production d énergie distincte jouit également d un accès à l électricité. Au cours de l année écoulée, l Association Impulsion a obtenu une deuxième concession d exploitation pour le centre rural de Dablo, ce qui a permis de débuter la réalisation d un réseau permettant dans une première phase de fournir l électricité à 195 clients. Une étude socio-économique et technique a également été menée pour électrifier le village de Foubé, situé au Nord de la zone d intervention. La demande à satisfaire est de 284 clients. Les deux réseaux seront mis en service au cours de 2013, tandis que deux autres seront étudiés. L entretien et la gestion des ces cinq réseaux occasionnent la création d emplois directs, notamment au sein de la petite entreprise locale SER, dont la constitution a été appuyée précédemment, et indirects en raison du foisonnement d activités rémunératrices rendues possibles grâce à la présence d énergie. Afin d alimenter les réseaux par une source renouvelable, nous avons initié depuis trois saisons déjà la production de Jatropha. En 2012, 322 paysans ont été bénéficiaires. Les premières récoltes de graines ont eu lieu fin 2012 et pourront être transformées début 2013 en huile végétale. Cette activité procure des revenus complémentaires aux paysans dans une période de l année où ils sont particulièrement les bienvenus et génère également des emplois dans l atelier de transformation semi-industriel. Il s agit aussi d un rendez-vous annuel très prisé par les femmes qui vendent fumier et autres agrégats ainsi que leur main-d œuvre lors de la réalisation des pépinières. Entre et plants sont produits chaque année. En 2013 nous testerons la transformation d une autre graine oléagineuse locale. - Accès à l eau : près de 300 points d eau ont été aménagés (forages, réhabilitations et adductions simplifiées). Il est prévu d en installer encore une centaine dans les deux prochaines années. Au cours de 2012, 20 forages ont été réalisés ainsi que plusieurs adductions d eau simplifiées. Une demande d affermage a été introduite auprès de la commune rurale de Barsalogho, elle permettra la mise en place progressive d un système de gestion de l ensemble des points d eau, du centre rural d abord et ensuite de la cinquantaine de villages constitutifs de commune. La gestion quotidienne des adductions d eau simplifiées de Barsalogho a créé pas moins de 12 emplois. - Protection forestière et biodiversité : le financement du Fonds Français pour l Environnement Mondial vise essentiellement à protéger deux zones forestières naturelles de Barsalogho soit +/ hectares. Il s agit de donner une suite concrète au travail réalisé par une ONG anglaise Tree Aid qui a permis de sensibiliser la population, de la structurer en groupements de gestion forestiers, de borner les espaces forestiers et d amorcer l ébauche d un plan d aménagement et d exploitation. La première étape a consisté à entourer la forêt de Toécé d une haie vive de Jatropha. Le projet prendra véritablement de l ampleur au cours de Développement agro-pastoral et sécurité alimentaire : plusieurs demandes de financement ont été formulées afin de développer ce secteur d activité, notamment auprès de l Union Européenne et de la Région Wallone. Néanmoins, quelques activités pilotes ont déjà pu être menées au cours de 2012, citons une expérimentation sous forme de recherche action de l effet sur les rendements de plusieurs engrais, dont le tourteau de Jatropha, auprès de 40 paysans volontaires de Toécé. Nos bailleurs de fonds : DGD, UE, WBI, CNCD, et donateurs privés

6 Burundi Le programme se situe dans la commune de Mukike, Province de Bujumbura Rural, où l agriculture est caractérisée par de petites surfaces, des techniques archaïques, une carence en intrants, apportant aux paysans de faibles rendements et une maigre production. L ensemble des actions a pour objectif d améliorer les revenus des paysans par une agriculture plus productive et génératrice de plus-value. Nos activités se situent dans le renforcement du centre semencier de Ruzibazi et dans l appui aux associations paysannes partenaires. Nous optons sur l accroissement de la production grâce à des semences de meilleure qualité et en plus grande quantité. Nos actions ciblent plus spécifiquement la culture de la pomme de terre, spéculation la plus cultivée (2 à 3 fois par an), la plus demandée et la plus rentable. Notre partenaire : la DPAE Nous travaillons en partenariat avec la DPAE, Direction Provinciale de l Agriculture et de l Elevage de la Province de Bujumbura Rural depuis Le choix s est porté sur cette structure étatique car elle est au cœur même de l exécution des programmes agricoles du Ministère et a un rôle central de vulgarisation, de coordination et de suivi. De plus, elle est en charge de la gestion du centre de Ruzibazi et dispose d un personnel qualifié pour assurer les activités de production et de vulgarisation auprès des communautés rurales. L intervention du SLCD se situe à deux niveaux : - Renforcement des groupements partenaires en milieu villageois : les principales activités agricoles menées sont la culture de pomme de terre lors de différentes saisons. L amélioration des productions passe par un appui en semences et intrants, un renforcement des techniques pratiquées et par le suivi régulier des associations précédemment appuyées. On peut déjà constater une amélioration des revenus et des conditions de vie des populations appuyées depuis Parallèlement des hangars communautaires ont été construits afin de permettre une meilleure conservation des récoltes, et de disposer d une zone de stockage d intrants. L organisation de leur gestion a également été définie par les populations bénéficiaires. Dans cette stratégie d appui aux groupements, nous avons décidé de les doter en bétail (moutons) selon les principes d une chaîne de solidarité et afin de leur donner plus d autonomie face aux besoins en intrants organiques. Finalement, les différentes associations se sont fédérées en structure de producteurs qui ambitionne d intégrer la filière semencière certifiée. - Appui au centre semencier de Ruzibazi : à ce niveau, la réhabilitation des infrastructures du centre a été finalisée. Les travaux champêtres se sont poursuivis afin de rendre les semences de qualité disponibles dans la commune. Parallèlement, les capacités d autofinancement du centre se sont renforcées vu les bons rendements obtenus et si les coûts de production restent bien maitrisés. Nos bailleurs de fonds : DGD, Rotary et donateurs privés Cameroun Nos actions se situent dans le département de la Ménoua, à l Ouest du Cameroun, au niveau de 6 entités communales proches de la ville de Dschang. Il s agit d une zone montagneuse où la population est particulièrement dense. La pression démographique a des conséquences de plus en plus visibles sur l exploitation durable des ressources naturelles et tout particulièrement des sols. Nos actions ont dès lors pour finalité, d améliorer sensiblement les revenus des populations rurales et tout particulièrement des Femmes et des Jeunes, tout en s assurant d un développement durable. Notre partenaire : GADD Le groupe d appui au développement durable est notre partenaire depuis Les principaux domaines d activité de cette association sont : - La décentralisation et le développement du territoire communal - L appui à la micro-entreprise - L appui conseil aux organisations de production agro-pastorale. - Electrification : une étude de faisabilité pour l installation d une centrale de production hydro-électrique, menée en 2011 a permis l introduction d une demande de cofinancement auprès de l agence d électrification rurale du Cameroun. Le dossier est à l examen et nous espérons un dénouement positif pour Développement agricole : il s agit d un appui spécifique aux filières pomme de terre, manioc et petit élevage. Outre l accompagnement sur site des organisations paysannes, le Gadd a aussi initié un champ de démonstration et a ouvert un magasin multiservice afin de faciliter l approvisionnement en intrants de qualité. Un volet d appui à une vingtaine de familles monoparentales fait également partie des activités soutenues. - Accès à l eau : au cours de 2012, l adduction d eau du village de Fokoué a été prolongée et un château d eau permettant l alimentation du centre médical a été construit. L étude pour l augmentation des capacités de stockage en eau du village de Fonakeukeu a été menée. Les travaux seront réalisés en Nos bailleurs de fonds : DGD et donateurs privés

7 République Démocratique du Congo Sur le Plateau des Batéké Situé à l est de Kinshasa, le plateau des Batéké est un écosystème fragile, composé de forêts de savane et de forêts galeries, des vallées humides qui subissent une dégradation rapide. Pourtant, celui-ci offre une étendue de terre qui pourrait être gérée de manière durable et ainsi nourrir la population de Kinshasa. La restauration de ces terres agricoles très dégradées est possible grâce aux techniques d intensification agricoles innovantes préservant les milieux naturels. Notre partenaire Notre partenaire, le GI-Agro, groupement d initiatives pour l agroforesterie en Afrique, est une Asbl de droit congolais implantée depuis plusieurs années sur le plateau des Batéké, à environ 140 km à l est de Kinshasa. Nous soutenons ses actions dans les hameaux situés dans la périphérie immédiate du pôle agroforestier d Ibi (Commune de Maluku). Le GI-Agro propose aux ménages d agriculteurs une alternative aux pratiques agricoles traditionnelles par la diffusion d un modèle de cultures agroforestières. Cette technique permet de revaloriser les sols dégradés des plateaux et d augmenter les rendements des ménages tout en leur procurant du bois de chauffe. - En 2012, le GI-Agro a appuyé une centaine de ménages. De nouvelles parcelles agroforestières ont été mises en place et les premières récoltes de manioc ont été réalisées avec succès. Des unités de transformation du manioc ont été implantées au village pilote de Dualé Mitterrand. Elles permettront aux ménages bénéficiaires de vendre leur production à un meilleur prix. Pour créer une réelle alternative à l exploitation des forêts, le GI-Agro travaille à la diversification de son modèle agroforestier. - L apiculture est actuellement l activité la plus avancée, avec 140 ruches implantées dans les forêts galerie et les champs d acacias. La récolte du miel et sa commercialisation sont en cours. Une participation à un projet régional sur le miel est également à l étude au niveau du Bas-Congo et du Plateau des Batéké en collaboration avec l APEFE, le SLCD, le WWF, Miel Maya et les Amis d Ibi Village. - Protection et gestion des ressources naturelles : une étude a été réalisée et a abouti à l élaboration d un plan de gestion et de protection communautaire d une portion de forêt située sur le terroir de Dualé Mitterrand.Prochainement, le GI-Agro prévoit d étendre ses activités à un deuxième site, situé dans le Sud du Territoire Kwamouth, à une trentaine de km à l est d Ibi. Notre partenaire aura la charge d un projet pilote d agroforesterie communautaire financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) dans le cadre de l élaboration de la stratégie nationale REDD+. Ce projet est réalisé en partenariat avec l entreprise Novacel, l ONFI et le WRI. Quant au SLCD, il a été sollicité fin 2012 pour réaliser les enquêtes nécessaires à l identification du projet. Une première mission a déjà été planifiée en ce sens début Nos bailleurs de fonds : DGD, CNCD et donateurs privés En périphérie de Kisangani se situe dans l immense région forestière de la province orientale dans la périphérie de Kisangani. Le niveau de pauvreté élevé et la situation économique de cette région ne permettent pas à ces populations d améliorer leurs systèmes de production. Basées essentiellement sur l agriculture extensive sur abattis brûlis et sur la collecte de bois de chauffe, les activités humaines exercent une forte pression sur les ressources naturelles. Il en résulte une forte dégradation des milieux forestiers et une insécurité économique et foncière croissante. Notre partenaire Actions pour le Développement Intégré de Kisangani et de la Cuvette centrale Congolaise (ADIKIS/CCC), Asbl créée en 2001, regroupe en son sein tant des personnalités du monde scientifique que des responsables en gestion environnementale. ADIKIS Terroir, département consacré à la gestion intégrée des terroirs, intervient dans des contextes très distincts et de manière différente. Dans la zone périurbaine de Kisangani (Batiamaduka et Masako), qui est soumise à une agriculture «intensive» par rapport à l utilisation de la terre, ADIKIS Terroir privilégie les projets agroforestiers et d intensification agricole ; dans les zones forestières éloignées de Kisangani (Uma, Yoko), où les terres sont abondantes et fertiles, ADIKIS appuie les agriculteurs à la gestion durable des espaces agricoles. ADIKIS-Terroir a principalement encadré et formé des ménages d agriculteurs sur : - L Agroforesterie a notamment été implantée auprès de 34 ménages sous forme de champs communautaires à Uma et à Batiamaduka. A Batiamaduka, la parcelle est principalement cultivée de Manioc et d Acacia et sert de champs de démonstration pour sensibiliser les agriculteurs sur l intérêt de l agroforesterie (fertilisation des sols et obtention rapide de bois). A Uma, avec sa densité de population très faible et la disponibilité de terre fertiles, le champ communautaire est orienté vers la fourniture de semences de riz de qualité. Une partie de la récolte de manioc servira à rendre autonome les Comités de Développement Villageois

8 - La Pisciculture développée à Batiamaduka et à Masako. 35 ménages ont ainsi bénéficié de fourniture d alevins, de formations et d un encadrement. Ces ménages se sont réorganisés en coopérative et réalisent l entretien des étangs en groupe à tour de rôle dans chaque exploitation. - L Elevage porcin : 78 ménages sont appuyés en formation et dans le suivi de leurs activités sur les sites d Uma-Masako-Batiamaduka-Yoko. Des porcheries en béton ont été finalisées et 50 hangars ont étés construits. Les élevages géniteurs multiplicateurs sont implantés à Masako et Batiamaduka. Dans la zone de santé de Kisantu Nos actions se concentrent dans la Province du Bas-Congo, dans la zone de santé de Kisantu, qui compte 15 aires de santé avec une population estimée à habitants vivants dans 654 villages (milieu rural) et quartiers (milieu semi-urbain). La population ciblée est majoritairement rurale et tire ses revenus de l agriculture et de l élevage. - La Gestion des terroirs : ADIKIS Terroir s est concentré sur le village d Uma, site pilote du projet de foresterie communautaire situé à 90 km à l est de Kisangani. Durant cette année, la collaboration avec la FAO a permis de mettre en place un plan de gestion durable des forêts communautaires villageoises à Uma. Un comité villageois a été créé à cet effet. La grande motivation des villageois et la qualité du plan de gestion forestière nous poussent à appuyer ce projet qui est présenté au niveau international comme un modèle. Nos bailleurs de fonds : DGD, CNCD et donateurs privés La faible superficie des parcelles emblavées, le manque d intrants et en particulier de semences améliorées, l absence de traitement des parasites, la dégradation des sols et les intempéries entraînent des problèmes de productivité. Il en résulte une insécurité socioéconomique croissante des populations rurales de la région de Kisantu, amenuisant leur capacité à améliorer leurs conditions de vie, notamment en matière d accès à la santé. Notre partenaire Notre partenaire est le CCDS : Coordination Caritas-Développement-Santé, Asbl de droit congolais, créée en 1962 et basée à Kisantu. Cette organisation a pour mission de coordonner l ensemble des activités de développement au profit des populations de la zone de Santé de Kisantu. Ses principaux domaines d activités sont les soins de santé primaire, l animation et le développement communautaire et agricole. Trois axes d intervention principaux à Kisantu : - Développement agricole et soutien aux organisations paysannes : les actions ciblent 792 ménages dans 3 aires de santé et suivant deux stratégies complémentaires. Dans un premier, il s agissait d accroitre les productions agricoles. A cet effet, les «paysannats» (grandes étendues de terre divisées en parcelles individuelles) ont été introduits avec succès auprès des paysans des 24 codev. Cette technique a permis de mécaniser le labour, d augmenter les surfaces, et in fine de produire plus. Parallèlement, de nouvelles techniques fertilisantes ont été introduites et des cultures porteuses de valeurs ajoutées ont été testées. Finalement, le renforcement et l accompagnement des paysans sont poursuivis par l équipe technique du CCDS. Dans un second temps, il s agissait de renforcer les capacités organisationnelles des structures paysannes. De ce coté, la formation, l appui conseil et les stratégies de commercialisation ont été développés. - Appui à la Mutuelle de Santé de Kisantu (Musakis) : Globalement la mutuelle évolue positivement mais l équilibre à atteindre pour son autonomisation financière n est pas encore trouvé. Les stratégies mises en œuvre sont diverses : extension de la zone d action de la Musakis, renforcement des compétences des administratifs et du CA, appui technique externe, stratégie de fidélisation, renforcement des organes de contrôle. En 2012, le nombre de bénéficiaires attendus augmente et la qualité des soins s améliore. Cependant, son taux de pénétration reste encore faible (7% de la population totale). De plus, en termes d équilibre financier la Musakis a encore besoin de ressources extérieures (89% d autofinancement). Face à ces défis, un plan d action a été développé et orientera les activités de Amélioration de la santé maternelle : Ce volet finalise l action débutée en L objectif est d améliorer la santé du couple mère-enfant et la qualité des soins obstétriques dans la zone de santé de Kisantu. Les actions ciblent toutes les femmes en âge de procréer, soit environ 20% de la population (+/ de femmes). Les différentes sensibilisations des communautés, les formations des RECO, les réhabilitations des structures de soins, les dotations en matériel, la supervision et la formation des agents de santé, et leur recyclage, sont les activités courantes de ce programme. Elles ont permis d atteindre de très bons résultats pour l année 2012, à savoir: augmentation du taux de fréquentation des consultations prénatales par les femmes, diminution du nombre de décès maternel, meilleure détection des grossesses à risque, renvoi des patientes vers l Hôpital en cas de nécessité, etc. De manière globale, la santé maternelle s améliore dans la zone de Kisantu. Nos bailleurs de fonds : DGD, WBI et donateurs privés

9 Sénégal Nos actions se situent dans la Région de Tambacounda dans le Sénégal Oriental. Nous travaillons spécifiquement au niveau des Communautés Rurales de Niani Toucouleur, Koussanar et Sinthiou Malème. Dans ces territoires les contraintes de développement sont nombreuses : peu de partenaires accompagnant les producteurs locaux, déficit en infrastructures, difficultés d accès aux financements, faiblesse des capacités de gestion des organisations paysannes, etc. Notre partenaire Notre partenaire est ICD - Institut de Coopération pour le Développement au Sénégal - association basée à Tambacounda. Active depuis 2005 dans le développement rural de la région, elle y appuie principalement des initiatives économiques à base communautaire et s implique dans des programmes de développement des services à la population. Nous soutenons avec notre partenaire un projet d adduction d eau et un programme d appui aux développements économiques des communautés rurales. - Hydraulique : Il s agit de réaliser l extension du réseau d adduction d eau de Sinthiou Malème. Parallèlement à la mise en place d infrastructures hydrauliques, un volet renforcement des capacités des acteurs (comités d hygiène et de salubrité, populations, enfants, usagers, etc.) a largement été développé en 2012 par des formations et des rencontres. Ce projet est financé en partie par le Fonds Elisabeth et Amélie, géré par la Fondation Roi Baudouin. Sa renommée a eu un effet multiplicateur et de nouveaux partenaires financiers se sont associés permettant d accroitre les réalisations. - Développement rural : Dans un premier temps, il s agissait d appuyer la planification du développement des communautés de Koussanar et Niani Toucouleur. L objectif était donc d élaborer leurs Plans Locaux de Développement. Ce diagnostic territorial outille les élus locaux (conseillers ruraux, chefs de village) et les autres acteurs pour la conception et l élaboration d un cadre de référence du développement de leur localité, permet une planification durable des actions de développement communautaire à mener et fournit les moyens nécessaires pour le pilotage et la gestion du processus. Fin 2012, les différents ateliers participatifs de planification ont été tenus et les PLD, provisoirement rédigés, sont en cours de validation par les différentes autorités. En marge de ces travaux, une étude des filières porteuses était également en cours. Dans un second temps, il s agissait de débuter l appui aux projets générateurs de revenus. Le retard pris dans l élaboration et la publication des PLD, ainsi que dans l identification des filières, n a pas encore permis de financer les projets générateurs. Le démarrage de cette activité est prévu pour Nos bailleurs de fonds : DGD, Fonds Amélie et Elisabeth, WBI, Donateurs privés. Budget: Programme de 3 ans DGD : Hydraulique : Actions de sensibilisation et activités extérieures Le bulletin d information Quatre bulletins d information ont été publiés en Le bulletin a été envoyé chaque trimestre à environ personnes (et Centres d Action Laïque, Maisons de la Laïcité, Amis de la Morale Laïque) en Belgique ainsi qu à des personnes domiciliées en outre-mer. Le pliage et la mise sous bandelettes sont toujours effectués à la prison de Forest. L édition du bulletin a été confiée à l imprimerie Van Ruys, pour le rapport qualité/prix avantageux qui nous est proposé. - Le premier bulletin portait sur le nouveau projet d agroforesterie au Burkina Faso ; - Le deuxième parlait de l approche terroir en périphérie d Ibi-village en RD Congo ; - Le troisième bulletin était principalement consacré au sol ; - Le dernier bulletin de l année était quant à lui, axé sur la science agronomique et le savoir faire paysan. Activités extérieures Tout au long de l année écoulée, le S.L.C.D. a participé aux différentes manifestations laïques, conférences, colloques, séminaires,... aux réunions du LED (Lieu Education au Développement) et à l opération organisées et coordonnées par le CNCD dont il est membre. Nous avons également été présents à campus plein sud (dans le cadre du forum des ONG) ainsi qu au Festival Espéranzah. En collaboration avec le LHAC, des animations de sensibilisation auprès des jeunes dans des écoles, ont été menées. La représentation du S.L.C.D. est assurée aux réunions : - d ACODEV (Fédération francophone et germanophone des Associations de Coopération au Développement) ; - du COTA (Collectif d échanges pour la technologie appropriée) ; - du CNCD (Centre National de Coopération au Développement) ; - de LHAC (Laïcité et Humanisme en Afrique Centrale) ; - du RFA (Réseau de Financement Alternatif)

10 6. Rapport financier Introduction d un nouveau système comptable L exercice 2012 a été dominé sur le plan comptable et financier par l acquisition d un logiciel de comptabilité largement utilisé en milieu associatif : Winbooks. Ce système comptable permet(tra) d acquérir une vision plus claire de la situation comptable et financière du SLCD, et du suivi de l exécution des programmes. En outre, la souplesse du logiciel débouchera sur la création et l implémentation d un plan comptable analytique plus efficace, permettant : - la ventilation des dépenses selon leur affectation et mode de financement, - l élaboration d un suivi budgétaire, de programme et de trésorerie, - l introduction progressive auprès de nos partenaires Sud d un plan comptable similaire et de procédures comptables adéquates, visant à améliorer la gestion des programmes, dans un souci de se conformer aux exigences de bonne gouvernance exigées par nos bailleurs de fonds et en particulier la DGD. L adoption de ce nouveau système comptable et de gestion a toutefois amené inévitablement des reports d un exercice à l autre (notamment par l adoption des comptes de régularisation) de telle sorte que certains éléments relatifs à l exercice antérieur ont été comptabilisés sur l exercice A cela s ajoute l obligation légale de provisionner les pécules de vacances et le dépassement du budget prévu pour la mise en place du nouveau système comptable malgré l intervention subsidiant du Fonds 4S. L exercice se solde donc par un résultat négatif de euros. Sans ces éléments non récurrents, il se serait clôturé par un léger boni. Ressources financières et emploi Les ressources financières du SLCD se montent pour l exercice 2012 à euros. En dehors des subsides à l emploi accordés par Actiris et le Forem APE pour la rémunération du personnel du SLCD et du subside du Fonds 4S pour la formation du personnel au nouveau système comptable, les ressources proviennent à 80,6 % de subsides accordés par les bailleurs de fonds (85 % de la DGD, 5,4 % de l UE et 9,6 % de la WBI) et à 19,4 % de la récolte de fonds auprès de donateurs privés (3,8 %) ou d organismes donateurs et groupes de soutien (5,7 %) tels que les amis d Ibi ainsi que de subventions diverses (4,2 %) octroyées par le CNCD, la Ville de Bruxelles, la Commune de Kraainem, la Fondation Roi Baudouin et les Rotary de Bruxelles. A cela s ajoutent les dons privés récoltés pour des projets propres au SLCD (2,3 % de dons affectés à des projets au Burkina Faso, à Haïti et au Brésil) qui n interviennent pas dans le cadre des programmes subsidiés par nos bailleurs de fonds. Nous enregistrons un meilleur résultat dans la récolte de fonds par rapport à l exercice 2011 : les subventions sont en progression de 36 % et les dons et produits divers de 52 %. Sources de financement Cette récolte de fonds auprès des divers types de donateurs (au total 19,4 % des ressources) est absolument vitale puisqu elle est un préalable qui conditionne l octroi par les bailleurs de fonds des subsides nécessaires à la poursuite des programmes et des actions dans le Sud. ACTIF Immobilisations Créances - à plus d 1 an - à 1 an au plus Valeurs disponibles Comptes de régularisation PASSIF Fonds social - report - résultat de l exercice Provision pour pécule de vacances Autres dettes Comptes de régularisation (54.327) C est pourquoi, il faut considérer que l exercice 2012 est une année charnière entre deux systèmes comptables différents ayant entraîné des dépenses exceptionnelles et non récurrentes, alors que le prochain exercice 2013 devrait être plus serein notamment en raison de l absence de reports non prévus. Le total des dépenses pour l exercice 2012 se montent à euros et sont donc supérieures de plus de euros aux recettes comme indiqué plus haut. L ensemble des transferts vers les partenaires Sud (dépenses programme, achats pour tiers et projets propres) représente 73,5 % des dépenses alors que les frais de structures représentent 27 %. Une partie non négligeable des apports propres sert dès lors à financer la structure. Différentes actions seront entreprises en 2013 pour identifier de nouvelles sources de financement et faciliter nos obligations de cofinancement. Répartition des dépenses 18 19

11 Service Laïque de Coopération au Développement Notre vision est que le développement du bien-être et de la dignité des populations doit se fonder sur une croissance durable et équitablement répartie de leurs ressources obtenue dans un contexte de démocratie, de bonne gouvernance et d autonomie de gestion des communautés. Notre mission est de contribuer en Afrique Centrale et de l Ouest au développement de zones rurales par le biais de programmes de réduction de la pauvreté et d accès à l autosuffisance alimentaire basés sur l agriculture et la maîtrise des ressources naturelles, dans un cadre de respect de l environnement et de lutte contre le réchauffement climatique. Nous pratiquons strictement les principes d égalité entre hommes et femmes, le rejet de toute forme de discrimination et une totale indépendance vis-à-vis de toute considération religieuse. S.L.C.D. Rue des Pierres, Bruxelles Tel. : (+32) slcd@slcd.be Site internet : Facebook : service laïque de coopération au développement

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