CENTRE-VILLE TARASCON (13) ARLES, TARASCON INVENTAIRE DE LA PRODUCTION ARCHITECTURALE ET URBAINE ( )

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1 TARASCON (13) ARLES, TARASCON INVENTAIRE DE LA PRODUCTION ARCHITECTURALE ET URBAINE ( ) CENTRE-VILLE Vue aérienne (CRIGE, IGN, 2003). INVENTAIRE DE LA PRODUCTION ARCHITECTURALE ET URBAINE DE LA PERIODE SUR LES COMMUNES D ARLES ET DE TARASCON Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence Alpes Côte d Azur - Service Architecture et espaces protégés / Service Départemental de l Architecture et du Patrimoine 13 - Antenne d Arles Equipe chargée d étude : Eléonore Marantz-Jaen / Frédérique Bertrand / Arlette Hérat

2 SECTORISATION TARASCON Jarnègues/Cimetière/Visitation Ferrages/Fraternité/Voltaire Quartier des Casernes Carcassonne Barrailler/Souspiron Thor Célibataires Saint-Antoine Lansac (hameau) Vue aérienne (CRIGE, IGN, 2003). 2 INVENTAIRE DE LA PRODUCTION ARCHITECTURALE ET URBAINE DE LA PERIODE SUR LES COMMUNES D ARLES ET DE TARASCON Direction Régionale des Affaires Culturelles Provence Alpes Côte d Azur - Service Architecture et espaces protégés / Service Départemental de l Architecture et du Patrimoine 13 - Antenne d Arles Equipe chargée d étude : Eléonore Marantz-Jaen / Frédérique Bertrand / Arlette Hérat

3 1 CAISSE D'ÉPARGNE Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) LOCALISATION 15 cours Aristide Briand Date de construction - Adresse DATATION N PC Non concerné Datation détaillée -Date de construction non déterminée, certainement entre 1890 et 1910 ; : restauration toiture (Nathalie Dartigues, architecte du patrimoine, Nîmes) ; Typologie Programme Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 2112 Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Etablissement bancaire Architecture commerciale N E 43 48' '27 Intervention Construction Architecte(s) Non déterminé Architecte ACTEURS Autre(s) acteur(s) Commanditaire(s) Caisse d'épargne des Bouches-du-Rhône Paysage d'origine ANALYSE URBAINE Centre ancien PROGRAMME ARCHITECTURAL Rubrique non renseignée dans le cadre de l'étude. Accessibilité Unique Caractéristiques fonctionnelles Caractéristiques formelles Voirie avec fonction commerciale Boulevard planté Découpage foncier Particularité Morphologie urbaine Espace non bâti Composition urbaine Non Forme régulière Façade à l'alignement Jardin d'agrément Non concerné

4 1 CAISSE D'ÉPARGNE Vue générale (cl. EMJ, 2008). Façade sur le cours Aristide Briand (cl. EMJ, 2008). Façade sur le cours Aristide Briand (cl. EMJ, 2008). Détail de l'entrée (cl. EMJ, 2008). Carte postale ancienne : vue aérienne du centre ville avant les destructions (s.d. circa avant 1944, tiré de RENARD Louis,. Le temps retrouvé, Barbentane, Equinoxe, 2002, p.38). Carte postale : vue aérienne de avec, au premier plan la gare, et, derrière la place du colonel Berrurier (CIM, Macon, s.d. circa ), collection personnelle.

5 1 CAISSE D'ÉPARGNE Carte postale : le cours Aristide Briand pendant la Reconstruction (s.d. circa 1955, Editions Gaby, Nantes), collection personnelle. SOURCES Archives Non documenté dans le cadre de l'étude. Sources imprimées Bibliographie

6 1 CAISSE D'ÉPARGNE Rubrique non renseignée dans le cadre de l'étude. NOTE DE SYNTHESE VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

7 2 CAISSE RÉGIONALE D'ASSURANCE MALADIE - AGENCE DE TARASCON (ancienne Caisse Primaire de Sécurité sociale - Agence de ) Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) 48 avenue Pierre Semard Date de construction - Adresse DATATION N PC Datation détaillée -30 novembre 1962 : mise au point du projet définitif ; -28 septembre 1963 : délivrance du permis de construire ; : construction ; : modification du rez-de-chaussée et de la façade ; LOCALISATION Typologie Programme Intervention Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 2289 Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Equipement administratif Architecture publique Construction N E 43 48' '29 ACTEURS Architecte(s) BONNARDEL Gilbert Architecte Autre(s) acteur(s) CPAM Propriétaire actuel Entreprise Michel et Jauffret Entrepreneur Commanditaire(s) Caisse Primaire de Assurance Maladie (CPAM) Bouches-du-Rhône ANALYSE URBAINE Paysage d'origine Faubourg Accessibilité Multiple Caractéristiques fonctionnelles Voirie secondaire Caractéristiques formelles Place Découpage foncier Non Particularité Parcelle d'angle Morphologie urbaine Façade à l'alignement Espace non bâti Cour de service Composition urbaine Non concerné PROGRAMME ARCHITECTURAL L immeuble de la Caisse Primaire de Sécurité sociale de a été construit dans le secteur du faubourg Saint-Jean, entre 1964 et 1965, selon les plans de l architecte marseillais Gilbert Bonnardel. Il s agit d un immeuble administratif dans lequel sont regroupés plusieurs services. Au rez-de-chaussée se trouvent un vaste hall d entrée, la chaufferie, un bloc sanitaire et, dans l aile en retour, la salle d opération dans laquelle est accueilli le public. L accès aux étages se fait au moyen d un escalier à volées droites avec palier de repos. Les services médicaux occupent le premier étage : salles d attente, cabinets du dentiste et du médecin, secrétariats médicaux, laboratoire, salle de radio, vestiaires et sanitaires. Au deuxième étage se trouvent les services sociaux : bureau des allocations familiales, inspecteur, assistante sociale, salles d attente, dépôt d archives, sanitaires. Enfin, le troisième étage est occupé par deux dépôts d archive couvrant près de la moitié de la surface et par les espaces réservés aux fonctionnaires : cantine, cuisine, vestiaires et sanitaires.

8 2 CAISSE RÉGIONALE D'ASSURANCE MALADIE - AGENCE DE TARASCON (ancienne Caisse Primaire de Sécurité sociale - Agence de ) Vue générale (cl. EMJ, 2008). Vue générale (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade (cl. EMJ, 2008). Plan de masse (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. Ossature (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. Plan du rez-de-chaussée (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté.

9 2 CAISSE RÉGIONALE D'ASSURANCE MALADIE - AGENCE DE TARASCON (ancienne Caisse Primaire de Sécurité sociale - Agence de ) Plan du premier étage (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. Plan des deuxième et troisième étages (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. Façade principale et sur l'impasse (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. Façade postérieure et coupe DD (30 novembre 1962), AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. SOURCES Archives -AM TARASCON, Dossier Immeuble Sécurité sociale, dossier non coté. -AM TARASCON, Permis de construire, Boîte 1974/2. -AM ARLES, Fonds Van Migom-Pélissier, 15 S Sources imprimées Bibliographie

10 2 CAISSE RÉGIONALE D'ASSURANCE MALADIE - AGENCE DE TARASCON (ancienne Caisse Primaire de Sécurité sociale - Agence de ) NOTE DE SYNTHESE L immeuble de la Caisse Primaire de Sécurité sociale de a été construit dans le secteur du faubourg Saint-Jean, entre 1964 et 1965, selon les plans de l architecte marseillais Gilbert Bonnardel. Il s agit d un immeuble administratif dans lequel sont regroupés plusieurs services de la Caisse Primaire de Sécurité sociale. L architecte dispose d une parcelle d angle donnant sur l avenue de la Gare (et, au-delà, sur la place du colonel Berrurier) et sur une impasse. En conséquence, il imagine un bâtiment en L épousant la forme de la parcelle : chaque aile est en alignement sur une voie ; une cour de service avec abri à vélo est dégagée à l arrière de la parcelle. L aile principale, en façade sur l avenue de la Gare, compte trois étages sur rez-de-chaussée. Elle mesure vingt mètres sur dix. Elle est couverte par une toiture en tuiles. L aile en retour, en façade sur l impasse, est en rez-de-chaussée. Elle mesure quinze mètres sur onze. Elle est couverte par une toiture terrasse. L immeuble combine une ossature en béton armé déterminant une trame de 2,70 mètres, un remplissage en briques et panneaux préfabriqués. Au rez-de-chaussée se trouvent un vaste hall d entrée, sorte de grande salle des pas perdus qui distribue l espace, la chaufferie, un bloc sanitaire et, dans l aile en retour, la salle d opération dans laquelle est accueilli le public. L accès aux étages se fait au moyen d un escalier à volées droites avec palier de repos. Les services médicaux occupent le premier étage : salles d attente, cabinets du dentiste et du médecin, secrétariats médicaux, laboratoire, salle de radio, vestiaires et sanitaires. Au deuxième étage se trouvent les services sociaux : bureau des allocations familiales, inspecteur, assistante sociale, salles d attente, dépôt d archives, sanitaires. Enfin, le troisième étage est occupé par deux dépôts d archive couvrant près de la moitié de la surface et par les espaces réservés aux fonctionnaires : cantine, cuisine, vestiaires et sanitaires. Gilbert Bonnardel exprime l ossature en façade, notamment au niveau de la façade principale dont la composition repose sur l expression de la trame de 2,70 mètres. Il s emploie également à asseoir le bâtiment, au moyen d un soubassement marqué. Le rez-de-chaussée bénéficie en effet d un traitement spécifique qui le différencie des étages courants : léger renfoncement par rapport à l alignement de la rue Pierre Semard (ancienne avenue de la Gare) ; utilisation de la brique et de pavés de verre. Au-dessus, Gilbert Bonnardel utilise un revêtement de pierre, conformément aux prescriptions du Plan de Reconstruction et d Aménagement (Pierre Vago, ). L aile secondaire est pour sa part simplement enduite. Gilbert Bonnardel traite avec soin les façades sur cour. Au niveau de la façade postérieure de l aile principale, on retrouve l alternance de briques, de parties enduites et de pavés de verre. La présence de la cage d escalier est marquée par une travée verticale largement vitrée. Constituée de panneaux de verre enchâssés dans une résille de béton, sa composition géométrique suffit à dynamiser une élévation qui, par ailleurs, reste très simple. La façade sur cour de l aile secondaire forme un mur de pavés de verre. Ce dispositif présente l avantage de garantir calme et confidentialité tout en laissant pénétrer la lumière naturelle. En 1974, le rez-de-chaussée est modifié : la surface du hall d entrée est réduite d un tiers par la construction de bureaux qui occupent les deux dernières travées, du côté nord. En conséquence, la façade est modifiée par le percement de quatre fenêtres destinées à éclairer ces nouveaux espaces de travail. VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

11 3 CENTRE MÉDICO-SOCIAL (ancien Dispensaire) Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) LOCALISATION Adresse avenue Pierre Semard / boulevard Gustave Desplaces Date de construction - DATATION N PC 116 (1978) Datation détaillée -21 juin 1978 : décision préfectorale de construction d'un dispensaire ; -18 septembre 1978 : mise au point du projet définitif ; -15 décembre 1978 : dépôt de la demande de permis de construire ; -10 avril 1979 : délivrance du permis de construire ; : construction ; -janvier 1981 : mise en service du dispensaire ; Typologie Programme Intervention Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 3427 Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Équipement socio-culturel Architecture publique Construction N E 43 48' '29 Architecte(s) DAVI R. PERRINEL J. Architecte Architecte ACTEURS Autre(s) acteur(s) Commanditaire(s) Préfecture des Bouches-du-Rhône ANALYSE URBAINE Paysage d'origine Faubourg Accessibilité Multiple Caractéristiques fonctionnelles Voirie secondaire Caractéristiques formelles Place Découpage foncier Non Particularité Parcelle d'angle et traversante Morphologie urbaine Façade en retrait Espace non bâti Espace vert collectif, aire de stationnement Composition urbaine Non concerné PROGRAMME ARCHITECTURAL Le Centre médico-social de (anciennement appelé Dispensaire) a été construit entre 1979 et 1980 dans le quartier du faubourg Saint-Jean, selon les plans des architectes R. Davi et J. Perrinel, pour le compte de la Préfecture des Bouches-du-Rhône (service des Bâtiments départementaux). Le dispensaire doit accueillir un centre de consultations infantiles (centre PMI de type B) et une section d Hygiène mentale normale de secteur (dite "Section HM 1"). R. Davi et J. Perrinel proposent d édifier un petit bâtiment d un étage sur rez-de-chaussée, couvert en terrasse, dont chaque niveau est dédié à un service. Ils garantissent l indépendance des deux structures par des entrées séparées : l accès à la PMI se fait par la façade sud ; celui service d Hygiène mentale par la façade est.

12 3 CENTRE MÉDICO-SOCIAL (ancien Dispensaire) Vue générale (cl. EMJ, 2008). Photographie de chantier (cl. Raoul, tirée de. Revue municipale 1980, p.17), AM TARASCON, non doté. Photographie de chantier (cl. Raoul, tirée de. Revue municipale 1980, p.17), AM TARASCON, non doté. Plan de masse (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Plan du rez-de-chaussée (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Plan de l'étage (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte 1978.

13 3 CENTRE MÉDICO-SOCIAL (ancien Dispensaire) Façade est (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Façade nord (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Façade ouest (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Façade nord (18 septembre 1978), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte SOURCES Archives -AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Sources imprimées -. Revue municipale 1980, p.17, AM TARASCON, non coté. Bibliographie

14 3 CENTRE MÉDICO-SOCIAL (ancien Dispensaire) NOTE DE SYNTHESE Le Centre médico-social de (anciennement appelé Dispensaire) a été construit entre 1979 et 1980 dans le quartier du faubourg Saint-Jean, selon les plans des architectes R. Davi et J. Perrinel, pour le compte de la Préfecture des Bouches-du-Rhône (service des Bâtiments départementaux). La mairie de réclamait depuis de nombreuses années la construction d une telle structure. Par lettre du 21 juin 1978, le directeur départemental des Affaires sanitaires et sociales informe la municipalité que la construction d un dispensaire a été décidée, sur un terrain appartenant au département. La préfecture des Bouches-du-Rhône confie le projet aux architectes R. Davi et J. Perrinel. Ces derniers arrêtent leurs plans le 18 septembre La demande de permis de construire, déposée le 15 décembre 1978, reçoit un avis favorable le 10 avril Le chantier s ouvre alors et se poursuit au cours de l année Le dispensaire est mis en service en janvier Le terrain sur lequel est édifié le dispensaire a en fait été cédé au département par la ville, dans l optique de cette opération. Situé entre la rue Pierre Seymard et le boulevard Gustave Desplaces, il est bordé à l ouest par la place du colonel Berrurier. Sa situation, à proximité des bureaux de la Sécurité sociale ( , arch. : Gilbert Bonnardel), a été déterminée de façon à regrouper des équipements sociaux à vocation complémentaire. Autrement dit, le dispensaire vient parachever l effort d équipement de ce nouvel espace public créé par le Plan de Reconstruction et d Aménagement (Pierre Vago, ), effort qui avait commencé par la construction du nouvel Hôtel des Postes ( , arch. : Eugène Chirié) et s était poursuivi par celle de l agence EDF-GDF (1956, arch. : Marcel Guesnot). En raison de l écran formé par le viaduc SNCF au sud du terrain, de l autre côté du boulevard Gustave Desplaces, les architectes reportent l implantation du bâtiment au nord de la parcelle. Cela permet de dégager les vues, d assurer l ensoleillement des locaux et de rapprocher le bâtiment du parc public de stationnement et des bureaux de la Sécurité sociale. Le dispensaire doit accueillir un centre de consultations infantiles (centre PMI de type B) et une section d Hygiène mentale normale de secteur (dite "Section HM 1"). R. Davi et J. Perrinel proposent d édifier un petit bâtiment d un étage sur rez-de-chaussée, couvert en terrasse, dont chaque niveau est dédié à un service. Ils garantissent l indépendance des deux structures par des entrées séparées : : l accès à la PMI se fait par la façade sud ; celui au service d Hygiène mentale par la façade est. Au sol, le plan du dispensaire s inscrit dans un carré mais les architectes le complexifient par une série de décrochés qui se poursuivent en élévation, donnant à l édifice une allure cubiste. Au rez-de-chaussée se trouve le service de PMI : outre les différents bureaux et espaces de consultation, il présente la particularité de posséder une salle d attente intérieure largement ouverte sur une salle d attente extérieure. Cette aire extérieure est équipée d un bac à sable. Elle est destinée à faciliter l attente des jeunes enfants. Orientée à l ouest, de façon à bénéficier du meilleur ensoleillement, elle est protégée du mistral par un mur-écran formant banquette. A l étage, sur une surface légèrement inférieure à celle du rez-dechaussée, sont regroupés les bureaux, salles d attentes, salles de consultation du service d Hygiène mentale. Les architectes prévoient qu une terrasse prolonge les espaces intérieurs. Elle a une double fonction : permettre un «complément de plein-air des thérapies de mobilisation et d éveil élaborées par l équipe d Hygiène mentale» ; mais aussi constituer une sortie de secours, grâce à la passerelle et l escalier droit qui la relient au jardin. R. Davi et J. Perrinel conçoivent un bâtiment cubiste, à la volumétrie volontairement heurtée, correspondant bien au courant destructuraliste de l époque. La planéité et l enduit lisse des façades cachent une construction traditionnelle en parpaings. VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

15 4 CINÉMA REX Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) LOCALISATION 46 rue Monge Date de construction - Adresse DATATION 1955 N PC Datation détaillée -date de construction non déterminée mais certainement antérieure à la première guerre mondiale ; : réparations et transformations ; Typologie Programme Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 595 Cinéma Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Architecture du loisir N E 43 48' '36 Intervention Transformation ACTEURS Architecte(s) Absence d'architecte Autre(s) acteur(s) Commanditaire(s) CHAFFARD Marcel CHARAS Paul ANALYSE URBAINE Paysage d'origine Centre ancien Accessibilité Unique Caractéristiques fonctionnelles Voirie tertiaire Caractéristiques formelles Rue [continuité bâtie] Découpage foncier Non Particularité Forme régulière PROGRAMME ARCHITECTURAL Le cinéma Rex a certainement été aménagé pendant l Entre-deuxguerres, dans le centre-ville de, sur une parcelle longue et étroite donnant sur la rue Monge. En 1955, les exploitants Paul Charas et Marcel Chaffard envisagent de rénover et de réaménager l établissement. Il s agit de réaménager le hall d entrée, de démolir et de reconstruire un balcon et de remplacer la toiture vétuste par une nouvelle qui utilise des matériaux de même nature (charpente, tuiles). Cela dans le but de se conformer aux règles de sécurité et d augmenter la capacité de l établissement. Le projet reçoit un avis favorable et le permis de construire est délivré le 10 août Morphologie urbaine Espace non bâti Composition urbaine Façade à l'alignement Absence Non concerné

16 4 CINÉMA REX Vue générale de la façade sur la rue Monge (cl. EMJ, 2008). Vue générale de la façade sur la rue Monge (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade sur la rue Monge (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade sur la rue Monge (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade sur la rue Monge (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade sur la rue Monge (cl. EMJ, 2008).

17 4 CINÉMA REX Plan de masse (s.d. circa 1955), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Plan du parterre, plan du balcon et coupe transversale (s.d. circa 1955), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Plan de l'entrée (s.d. circa 1955), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Coupe longitudinale (s.d. circa 1955), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte SOURCES Archives -AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Sources imprimées Bibliographie

18 4 CINÉMA REX Rubrique non renseignée dans le cadre de l'étude. NOTE DE SYNTHESE VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

19 5 HÔTEL DES POSTES Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) LOCALISATION Adresse 8 place du colonel Berrurier / rue de la Charité / rue Garibaldi Date de construction - DATATION N PC 254 (24 mai 1954) Datation détaillée -août 1944 : destruction de l'ancien Hôtel des Postes lors des bombardements aériens alliés ; : adoption du principe de construction du nouvel Hôtel des Postes ; installation des services postaux dans un baraquement provisoire en bois ; : négociations afin de fixer la participation communale à la construction ; : détermination de l'emplacement définitif du futur Hôtel des Postes ; -novembre 1953 : début des études d'architecte ; -mai 1954 : délivrance du permis de construire et ouverture du chantier ; : construction ; : mise en service ; Typologie Programme Intervention Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 2323 Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Équipement administratif Architecture publique Construction N E 43 48' '24 ACTEURS Architecte(s) CHIRIE Eugène Architecte Autre(s) acteur(s) La Poste Propriétaire actuel ARNAUD Louis Sculpteur Commanditaire(s) Administration des PTT ANALYSE URBAINE PROGRAMME ARCHITECTURAL Paysage d'origine Faubourg Accessibilité Multiple Caractéristiques fonctionnelles Caractéristiques formelles Découpage foncier Non Voirie avec fonction commerciale Place L'Hôtel des Postes de, édifié entre 1954 et 1955 (arch. :: Eugène Chirié), vient remplacer un édifice (arch. : Eric Buyron et Louis Chauvet, ) détruit par les bombardements aériens du mois d'août Implanté en bordure de la nouvelle place du colonel Berrurier dont il constitue l'un des premiers équipements publics, il est un témoignage particulièrement représentatif, tant du point de vue typologique que formel, des recherches qui accompagnent l émergence d une nouvelle architecture postale au sortir de la seconde Guerre Mondiale. Particularité Morphologie urbaine Espace non bâti Composition urbaine Parcelle d'angle et traversante Façade à l'alignement Cour de service Non concerné

20 5 HÔTEL DES POSTES Carte postale : Hôtel des Postes et Télégraphes construit entre 1900 et 1904 par les architectes Buyron et Chauvet (Cournand, s.d. circa ), collection personnelle. Carte postale : vue aérienne de avec, au premier plan la gare, et, derrière la place du colonel Berrurier (CIM, Macon, s.d. circa ), collection personnelle. Carte postale : l'hôtel des Postes de et ses alentours (SEPT, Nice, s.d. circa ), collection personnelle. L'Hôtel des Postes peu après son achèvement (s.d. circa 1955), Musée de la Poste, Fonds iconographique provenant de la direction nationale de l'immobilier. Salle des guichets peu après l'achèvement de l'hôtel des Postes (s.d. circa 1955), Musée de la Poste, Fonds iconographique provenant de la direction nationale de l'immobilier. Détail de la rotonde d'entrée (cl. EMJ, 2008).

21 5 HÔTEL DES POSTES Détail de l'enseigne (cl. EMJ, 2008). Bas-relief en béton de Louis Arnaud représentant la légende de la Tarasque (cl; EMJ, 2008). Plan de remembrement des îlots VII, VIII et IX (Association syndicale de Remembrement, s.d. circa 1960), AD O 632. Plan d'aménagement (Association syndicale de Remembrement, mars 1949), AD O 278. Archives -AM TARASCON, Délibérations du Conseil municipal du 16 février 1945, du 24 août 1945, du 12 mars 1946, du 9 avril 1946, du 9 janvier 1948, du 6 octobre 1950 et du 27 janvier AM, Dossier reconstruction, série W, document non coté. -AD 13, Fonds Chirié, 75 J AD 13, Fonds Chirié, 75 J AD 13, Fonds Bâtiments communaux, /1. -Musée de la Poste, Fonds iconographique provenant de la direction nationale de l'immobilier. -AN CAC, Fonds du Ministère des PTT, /39, Décisions portant désignation d architectes ( ). SOURCES Sources imprimées -Dictionnaire biographique des Bouches-du-Rhône. Annuaire et album, Paris, Editions Flammarion, collection Les Dictionnaires départementaux, , p Dictionnaire biographique illustré des Bouches-du-Rhône, Paris, Librairie Flammarion / Raoul Wagner Editeur, collection Dictionnaires biographiques illustrés départementaux, 1911, p Bibliographie Ancien Hôtel des Postes -RENARD Louis,, Barbentane, Editions Equinoxe, 2002, p.54. Nouvel Hôtel des Postes -MARANTZ-JAEN Eléonore, Eugène Chirié ( ). Une expérience de l architecture au XXe siècle. Parcours et réalisations d un architecte marseillais, Thèse de doctorat en Histoire de l art sous la direction de Claude Massu, Aix-en-Provence, Université de Provence, Revue Monuments historiques, n 184 : Postes, Paris, novembre-décembre 1992.

22 5 HÔTEL DES POSTES NOTE DE SYNTHESE L Hôtel des Postes de a été construit entre 1954 et 1955 sur la place du colonel Berrurier selon les plans d Eugène Chirié ( ), architecte régional des Postes Télégraphes et Téléphones (PTT). Il s agit d une opération de reconstruction puisque l ancien Hôtel des Postes, situé à l angle de la rue Vallier (dite rue des Trois Pilons) et du boulevard National, a été totalement détruit par les bombardements aériens du mois d août L édifice, d inspiration néoclassique, avait été construit entre 1900 et 1904 par Eric Buyron et de Louis Chauvet, architectes en chef des Bouches-du-Rhône à qui l on doit aussi la caserne de gendarmerie de (1903) ainsi que les écoles de Lansac ( ) et de Saint-Etiennedu-Grès ( ). Il avait lui-même succédé à un premier bureau de poste, qui était situé rue Lubières. Le terrain dévolu à la construction du nouvel Hôtel des Postes (superficie 874m2) était anciennement occupé par une aile de l Hospice de la Charité, démolie pendant la guerre. Il s agit d une parcelle d angle bordée au nord-est par la rue de la Charité, à l ouest par la rue Garibaldi et à l est par la place du colonel Berrurier. Au sud, se trouvent les terrains attribués à l Association Syndicale de Remembrement de. Y sera édifié un hôtel de voyageurs (arch. : René Maron, postérieur à 1956) ainsi que les locaux Electricité de France-Gaz de France du district de (arch. : Marcel Guesnot, 1956). L emplacement réservé au nouvel Hôtel des Postes correspond donc parfaitement aux attentes de l administration postale qui, pour la construction de ce type d équipement, préconise le recours à des terrains de 500 m2 minimum, de préférence dégagés au moins sur deux faces et placés à proximité des centres-villes et des réseaux de communication. En attendant la construction d un nouveau bâtiment, les services de l administration des PTT recommencent à fonctionner dès le sortir de la guerre dans un baraquement en bois, installation provisoire montée et aménagée sous la direction de l architecte Marcel Guesnot ( ). En 1951, dans une lettre adressée au maire de, le receveur dénonce la précarité de ces installations et les difficiles conditions de travail qui en résultent. Malgré cela, le projet de l Hôtel des Postes de ne prend tournure qu à la fin de l année 1953, soit plus de huit ans après que sa reconstruction ait été évoquée pour la première fois comme étant particulièrement urgente. En novembre 1953, sur la base du programme des besoins fixé par l administration, Eugène Chirié dresse le devis descriptif et les plans de l édifice (ils ne seront définitivement arrêtés qu en juin-juillet 1954). Le permis de construire est délivré le 24 mai Le chantier s ouvre immédiatement et l Hôtel des Postes est mis en service un an plus tard, en Lorsqu il est nommé architecte régional des PTT en août 1944, Eugène Chirié est déjà un praticien reconnu : en exercice depuis 1928, il est solidement implanté sur la scène architecturale régionale. En outre, il bénéficie déjà d une dizaine d années d expérience dans le domaine de l architecture postale. Au sortir de la guerre, il s agissait en premier lieu de remettre en état les édifices endommagés pendant la guerre ou de moderniser les infrastructures déjà anciennes. Bientôt, l administration postale reprend sa politique d équipement du territoire national initiée au début du XXe siècle. Dans la région postale administrée par la direction de Marseille, cela se traduit par la construction de nouveaux bureaux et Hôtels de Postes dans les quelques chefs-lieux de département où les infrastructures modernes font encore cruellement défaut (Avignon, Bastia, Digne), et surtout dans des villes moyennes jusque-là mal desservies (Istres, Briançon, Aubagne, Sartène, Golfe-Juan, Le Beausset, Corte,, Pertuis, Port-Saint-Louis-du- Rhône). De nouveaux bureaux urbains, à la pointe de la modernité, voient le jour (Marseille Rome, Marseille Canebière) tandis que les bureaux ruraux ne font souvent l objet que de modestes améliorations (Saint-Zacharie, Saint-Cézaire, Port-de-Bouc). Les premières commandes importantes sont adressées à Eugène Chirié par l administration postale entre 1946 et Elles concernent la construction des Hôtels des Postes d Istres ( ) et de Briançon ( ). La construction de l Hôtel des Postes d Avignon ( ), par l importance de l opération et par le succès remporté par l édifice auprès de l administration, lui permet de s imposer définitivement dans le domaine de l architecture postale. Au total, entre juin 1945 et décembre 1954, Eugène Chirié est missionné à trente-huit reprises par l administration postale au sujet de trente-cinq de ses infrastructures, principalement des bureaux et Hôtel des Postes (vingt-cinq), mais aussi des centraux téléphoniques (cinq), un centre de tri postal, une station hertzienne ainsi qu une poignée (cinq) d équipements divers (garages, logements provisoires, logements de fonction, centre d amplification). Les bâtiments d accueil du public (bureaux et Hôtels de Postes et, dans une moindre mesure, centraux téléphoniques), donnent lieu aux recherches architecturales les plus intéressantes. L Hôtel des Postes de en témoigne. L Hôtel des Postes de illustre parfaitement le schéma en place. L édifice possède un plan en L. Il est constitué par deux ailes rectangulaires d un étage sur rez-dechaussée et sous-sol partiel, disposées perpendiculairement l une par rapport à l autre et se développant respectivement le long de la place du colonel Berrurier et de la rue de la Charité. Elles sont couvertes de toitures-terrasses. A l angle du bâtiment, l entrée de l Hôtel des Postes est traitée en rotonde. A l arrière du bâtiment, Eugène Chirié aménage une grande cour de service. Le bâtiment comporte un sous-sol partiel dévolu aux espaces techniques (salle des accumulateurs et des machines, chaufferie et soute à charbon, cave du receveur, salle des imprimés, infra-répartiteur et galerie de câbles). Il a la particularité d être cuvelé de manière à faire face à d éventuelles inondations. Le rez-dechaussée est occupé par les espaces d accueil du public et les services du courrier (salle du public et des guichets, salle d arrivée et de départ du courrier, cabine de chargement et de recouvrement, salle du télégraphe, bureau du receveur, bureau d ordres, vestiaires, sanitaires, salle du répartiteur). L étage est partagé entre les équipements téléphoniques (autocommutateur, vestiaires, sanitaires, ateliers) et l appartement du receveur. Au-delà de cette distribution spatiale type induite par un programme exigeant, les Hôtels des Postes répondent à des codes plus subtils perceptibles au niveau du traitement architectural. Les bureaux et Hôtels des Postes possèdent une triple dimension politique, administrative et sociale. Eléments essentiels de la chaîne des édifices publics qui émaillent le territoire français, au même titre que les mairies ou les écoles, les Postes oscillent toujours entre le désir d afficher ostensiblement leur appartenance au territoire national et de demeurer un signe d une identité régionale. Ils doivent en outre exprimer la modernité du service des PTT, tout en conservant la monumentalité requise pour tout bâtiment officiel. Enfin, ils doivent répondre à des programmes spécifiques et accompagner les mutations des conditions de travail et des différents métiers de la Poste. Eugène Chirié construit une dizaine d édifices postaux empreints de modernité classicisante, parmi lesquels l Hôtel des Postes de. Ce dernier a été conçu sur le même modèle que celui, contemporain, d Aubagne ( ). Sa sobre monumentalité rappelle les édifices publics de l entre-deux-guerres. L entrée est placée à l angle du bâtiment, angle qui s impose comme l élément ordonnateur de la volumétrie. Concave au niveau du rez-de-chaussée et convexe au niveau de l étage, elle est précédée par un perron à degrés et protégée par une marquise en porte-à-faux qui se prolonge sur les deux façades latérales. Ces dernières sont largement vitrées au moyen de grandes baies séparées par de fins piliers, conséquence de l utilisation d une ossature béton. Eugène Chirié réduit la modénature de la façade à de simples moulures carrées qui encadrent les fenêtres et soulignent les principales lignes horizontales de l élévation (soubassement, garde-corps du balcon, sommet de la façade). Les lettres métalliques, qui indiquent la destination de l édifice, animent la façade et participent à l esthétique de l ensemble : l inscription «Postes Télégraphes Téléphones» se détache au-dessus de l entrée ; est écrit de manière moins ostentatoire sur l imposte fixe de la porte d entrée. Un bas-relief en béton, représentant la légende locale de la Tarasque, est placé en haut de la façade, au niveau de l arrondi de l entrée. Il s agit d une œuvre du sculpteur marseillais Louis Arnaud (1914-?) dont on connaît les collaborations avec l architecte Fernand Pouillon. Eugène Chirié a également fait appel à plusieurs reprises à cet artiste formé à l Ecole des Beaux-arts de Marseille ( ) puis de Paris ( , atelier Bouchard). A, Eugène Chirié utilise l iconographie traditionnelle du relief commandé à Louis Arnaud pour ancrer l édifice dans le territoire local et tempérer un édifice qui, tant du point de vue de ses équipements que de ses lignes architecturales, projette définitivement la ville dans le XXe siècle. La même quête esthétique et fonctionnelle guide Eugène Chirié dans le traitement des espaces intérieurs. Eugène Chirié apporte un soin tout particulier à l aménagement de la salle des guichets. Un tambour la précède, assurant la transition entre extérieur et intérieur. De plan pentagonal (rectangle dont un angle au niveau de l entrée de l établissement a été tronqué), elle est baignée de lumière naturelle. Les murs sont recouverts de marbre de couleur ivoire, les plafonds sont blancs et le sol constitué de grandes dalles carrées en granito mosaïqué. Les chromes des mains courantes, des banques et des éléments de signalétique se détachent sur ce fond clair. Le mobilier guichets, écritoires, horloge, boîtes postales, luminaires est le même que celui utilisé à l Hôtel des Postes d Avignon ( ) ou au bureau Marseille-Rome ( ) qui sont étudiés par Eugène Chirié concomitamment à l Hôtel des Postes de, dans l optique de mettre au point un modèle-type destiné à être étendu à l ensemble des bureaux de la Direction de Marseille. Cette dernière, satisfaite du résultat, diffusera d ailleurs ce modèle à l échelle nationale. VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

23 6 IMMEUBLE D'HABITATION ET AGENCE DU CRÉDIT AGRICOLE Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) LOCALISATION cours Aristide Briand Date de construction - Adresse DATATION N PC Datation détaillée : dépôt d'une demande d'accord préalable ; : premier projet de construction d'un immeuble d'habitation avec rez-dechaussée commercial (deux boutiques) ; -mars 1964 : délivrance du permis de construire ; -février 1965 : ouverture du chantier ; -décembre 1965 : modification du projet initial ; demande de rectification du permis de construire ; -février 1966 : délivrance du permis de construire rectificatif ; Typologie Programme Intervention Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 1482 Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Logement collectif (copropriété) Logement Construction N E 43 48' '27 Architecte(s) GIBELY Auguste Architecte OUCHACOFF Michel Relevé du terrain (1958) ACTEURS Autre(s) acteur(s) Copropriétaires Propriétaire actuel Commanditaire(s) Société immobilière AB ANALYSE URBAINE Paysage d'origine Centre ancien Accessibilité Multiple Caractéristiques fonctionnelles Voirie avec fonction commerciale Caractéristiques formelles Boulevard planté Découpage foncier Non Particularité Forme régulière PROGRAMME ARCHITECTURAL L immeuble situé n cours Aristide Briand comporte quatre étages d habitation (11 logements) sur un rez-de-chaussée commercial abritant l agence du Crédit Agricole et les locaux de la Caisse Mutuelle Agricole. Il a été construit entre 1965 et 1966 selon les plans de l architecte A. Gibely. A, cet architecte dont l agence était située à Montpellier a également construit l immeuble d habitation n 4-4bis cours Victor Hugo qui, comme celui du cours Briand, possède un rez-de-chaussée commercial (anciennement Monoprix, actuellement Super U). L immeuble du cours Briand, destiné à la vente en copropriété, a été commandé à Gibely par la Société immobilière AB de. Morphologie urbaine Espace non bâti Composition urbaine Façade à l'alignement Aire de stationnement Non concerné

24 6 IMMEUBLE D'HABITATION ET AGENCE DU CRÉDIT AGRICOLE Vue générale (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade sur le cours Aristide Briand (cl. EMJ, 2008). Façade arrière (cl. EMJ, 2008). Détail de la façade arrière (cl. EMJ, 2008). Projet initial : plan du rez-de-chaussée (18 septembre 1963), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet initial : plan des étages (18 septembre 1963), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte 1966.

25 6 IMMEUBLE D'HABITATION ET AGENCE DU CRÉDIT AGRICOLE Projet initial : élévation sur le cours Briand (18 septembre 1963), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet rectifié : plan du rez-de-chaussée (8 décembre 1965), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet rectifié : plan du premier étage (8 décembre 1965), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet rectifié : plan des étages courants (8 décembre 1965), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte SOURCES Archives -AM TARASCON, Permis de construire, Boîte AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Sources imprimées Bibliographie

26 6 IMMEUBLE D'HABITATION ET AGENCE DU CRÉDIT AGRICOLE NOTE DE SYNTHESE L immeuble d habitation avec rez-de-chaussée commercial situé n cours Aristide Briand a été construit entre 1965 et 1966 selon les plans de l architecte Auguste Gibely. A, cet architecte dont l agence était située à Montpellier a également construit l immeuble d habitation n 4-4bis cours Victor Hugo qui, comme celui du cours Briand, possède un rezde-chaussée commercial (anciennement Monoprix, actuellement Super U). L immeuble du cours Briand a été commandé à Gibely par la Société immobilière AB de (siège : 3 rue Paul Cézanne à Paris). Le projet consiste à construire un immeuble d habitation sur un terrain d une superficie de 574 m2 que la Société immobilière AB a acheté à monsieur Fargier qui, par cette transaction, a cédé à la Société AB ses droits à l indemnité de reconstitution d un immeuble ayant été sinistré par les bombardements de la ville pendant la guerre. Ces indemnités concernent la reconstitution d un immeuble en rez-de-chaussée. La Société AB entend compléter ces indemnités par un apport financier propre, l objectif étant de réaliser un immeuble destiné à la vente en copropriété. En 1963, alors qu est déposé le premier permis de construire, des restes de l immeuble sinistré se trouvent encore sur le terrain. Ce dernier est limité au nord par une rue privée avec servitude de passage pour les riverains, au sud par le cours Aristide Briand, à l est par la propriété de la Société Générale, à l ouest par la propriété de la Caisse d Epargne. Un premier projet est dressé par Auguste Gibely le 18 septembre Il consiste à construire quatre étages de locaux d habitation sur un rez-de-chaussée comportant deux boutiques avec réserves et arrière-boutiques. Ce projet est examiné par la Commission départementale de Reconstruction le 9 décembre Le permis de construire (n ) est accordé le 10 mars Les travaux de fondations commencent en février Alors que le chantier a débuté, un accord intervient entre le maître d ouvrage et le Crédit Agricole de qui est intéressé pour installer son agence au rez-de-chaussée de l immeuble. Cela nécessite quelques remaniements car, outre les services du Crédit Agricole, ceux de la Caisse Mutuelle Agricole doivent être intégrés au dispositif. Les locaux des deux organismes doivent être séparés et, surtout, être totalement isolés des parties communes desservant les habitations des étages. Auguste Gibely rectifie donc son projet dans ce sens, remodelant le plan du rez-de-chaussée et des étages pour qu ils répondent à ces contraintes. Le projet, arrêté le 8 décembre 1965, fait l objet d un permis de construire rectificatif accordé le 12 février L immeuble situé n cours Aristide Briand comporte quatre étages d habitation (11 logements) sur un rez-dechaussée commercial abritant l agence du Crédit Agricole et les locaux de la Caisse Mutuelle Agricole. L immeuble combine une ossature en béton armé et un remplissage en briques creuses. Il est couvert par une toiture tuile à deux pentes. L emprise au sol du rez-de-chaussée est supérieure à celle des étages, la barre d habitation étant légèrement en retrait par rapport à l alignement du cours Briand. Le premier étage comporte deux appartements et une salle de réunion. Les autres niveaux comportent trois appartements. Ces logements, quoiqu adoptant des dispositions spatiales différentes, comprennent chacun un hall d entrée desservant la cuisine, le cabinet de toilette, le WC, une chambre et une salle de séjour. Deux sont traversants (ceux des extrémités) ; le dernier, celui occupant la position centrale, bénéficie d une monoorientation sur le cours. En élévation, Auguste Gibely respecte les prescriptions du Plan d Aménagement et de Reconstruction de Pierre Vago : placage de pierre de même taille et de même provenance que celle des constructions voisines ; bandeaux en ciment ; corniches. Cela de manière à respecter l unité des constructions prévues sur le cours. L immeuble comporte cinq travées de fenêtres. Auguste Gibely anime la façade au moyen d un balcon en très légère saillie qui se déploie devant les trois travées centrales. De cette manière, il dessine les contours d une sorte d avant-corps qui, discrètement et subtilement, structure la composition. VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

27 7 IMMEUBLE D'HABITATION ET MAGASIN Plan de localisation (FB, document source : matrice cadastrale 2008, service des Impôts) Vue générale (cl. EMJ, 2008) LOCALISATION 4-4bis avenue Victor Hugo Date de construction - Adresse DATATION N PC ter Datation détaillée : prise de contact entre la Société Centrale d'achat et la ville de afin d'implanter un magasin ; : négociations pour obtenir une dérogation au règlement d'urbanisme ; : dérogation accordée ; : avant-projet ; dépôt de la demande d'accord préalable ; rejet de la demande d'accord préalable ; : projet définitif ; dépôt de la demande de permis de construire ; : délivrance du permis de construire ; : construction ; Typologie Programme Intervention Référence cadastrale (matrice cadastrale 2008, service des Impôts) K 2150, K 2151, K 2382, K 2383 Coordonnées géographiques Latitude Longitude ANALYSE TYPOLOGIQUE Logement collectif (copropriété) Logement Construction N E 4 48' '29 ACTEURS Architecte(s) GIBELY Auguste Architecte Autre(s) acteur(s) Copropriétaires Propriétaire actuel Commanditaire(s) Société Centrale d'achats ANALYSE URBAINE Paysage d'origine Faubourg Accessibilité Unique Caractéristiques fonctionnelles Voirie secondaire Caractéristiques formelles Boulevard Découpage foncier Oui complexe Particularité Forme irrégulière Morphologie urbaine Façade à l'alignement Espace non bâti Absence Composition urbaine Implantation en fonction du domaine public PROGRAMME ARCHITECTURAL L immeuble d habitation avec rez-de-chaussée commercial occupant les n 4 et 4bis de l avenue Victor Hugo a été construit entre 1964 et 1965, par la Société Centrale d'achat (enseigne Monoprix), selon les plans de l architecte Auguste Gibely. Cet architecte, dont l agence se trouve à Montpellier, construira en un immeuble du même type sur le cours Aristide Briand (immeuble occupant les numéros 17 et 19 dont le rez-de-chaussée est occupé par l agence du Crédit agricole). L immeuble comporte trois niveaux d habitation sur un rez-de-chaussée commercial. L aile en façade sur l avenue Victor Hugo respecte les prescriptions du Plan d Aménagement et de Reconstruction de Pierre Vago : placage de pierre de même taille et de même provenance que celle des constructions voisines ; bandeaux en ciment ; corniches. Cela de manière à respecter l unité des constructions prévues sur le cours. Elle est couverte par une toiture tuile à deux pentes. Un magasin (anciennement enseigne Monoprix aujourd hui Super U) occupe le rezde-chaussée de l immeuble sur toute la profondeur de la parcelle.

28 7 IMMEUBLE D'HABITATION ET MAGASIN Vue générale (cl. EMJ, 2008). Liaison avec l'immeuble d'habitation n 2 avenue Victor Hugo (1960, arch. : Marcel Guesnot), (cl. EMJ, 2008). Détail d'une porte d'entrée (cl. EMJ, 2008). Avant-projet : Etat des lieux (20 novembre 1962), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Avant-projet : plan de masse rez-de-chaussée (20 novembre 1962), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Avant-projet : plan de masse étage (20 novembre 1962), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte 1963.

29 7 IMMEUBLE D'HABITATION ET MAGASIN Avant-projet : coupe longitudinale (20 novembre 1962), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet définitif : coupe longitudinale (s.d. circa 1963), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet définitif : façade principale (s.d. circa 1963), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Projet définitif : façade arrière (s.d. circa 1963), AM TARASCON, Permis de construire, Boîte SOURCES Archives -AM TARASCON, Permis de construire, Boîte Sources imprimées Bibliographie

30 7 IMMEUBLE D'HABITATION ET MAGASIN NOTE DE SYNTHESE L immeuble d habitation avec rez-de-chaussée commercial occupant les n 4 et 4bis de l avenue Victor Hugo a été construit entre 1964 et 1965, par la Société Centrale d'achat (enseigne Monoprix), selon les plans de l architecte Auguste Gibely. Cet architecte, dont l agence se trouve à Montpellier, construira en un immeuble du même type sur le cours Aristide Briand (immeuble occupant les numéros 17 et 19 dont le rez-de-chaussée est occupé par l agence du Crédit agricole). En 1956, alors que la reconstruction du centre ville est encore en cours, la ville de entre en contact la Société Centrale d'achat afin d étudier la possibilité d implanter un grand magasin, du type «Bazar populaire», afin que la population soit approvisionnée «aux mêmes prix que les grandes cités voisines Avignon et Marseille». A cette fin, la mairie encourage la Société Centrale d Achat à se mettre en contact avec monsieur Fargier afin d acquérir le terrain situé sur le cours Aristide Briand. Finalement, la Société Centrale d Achat lui préfère un terrain plus grand (2 400 mètres carrés) résultant de la réunion des parcelles Montagnier et Alméras. Ce terrain, en alignement sur le boulevard Victor Hugo, est mitoyen d un immeuble d habitation récent (îlot X de la reconstruction du centre ville, arch. : Marcel Guesnot, 1960), du futur immeuble de la Caisse Primaire de Sécurité Sociale ( , arch. : Gilbert Bonnardel) et de l école de filles. En 1958, la Société Centrale d Achat a acquis le terrain et, s appuyant sur la promesse qui lui avait été faite de pouvoir construire la totalité du terrain au rez-de-chaussée, demande une dérogation au règlement d urbanisme. Cette dérogation accordée, l architecte élabore un premier projet prévoyant un immeuble de trois étages sur sous-sol et rez-de-chaussée, en alignement sur le boulevard Victor Hugo. Le magasin occupe l essentiel du bâtiment : espaces de vente au rez-de-chaussée ; réserves au sous-sol ainsi qu aux premier et deuxième étages ; deux appartements au troisième étage. La demande d accord préalable, déposée le 6 juillet 1961, est refusée par le directeur départemental du ministère de la Construction au motif que l avant-projet n est pas conforme au règlement d urbanisme, et cela malgré la dérogation accordée par la ville. Face à ce refus, l architecte élabore alors un nouveau projet qui reçoit l aval des différents services : accord préalable le 1er avril 1963 ; permis de construire le 1er juin L immeuble comporte désormais trois niveaux d habitation sur un rez-de-chaussée commercial. L aile en façade sur l avenue Victor Hugo respecte les prescriptions du Plan d Aménagement et de Reconstruction de Pierre Vago : placage de pierre de même taille et de même provenance que celle des constructions voisines ; bandeaux en ciment ; corniches. Cela de manière à respecter l unité des constructions prévues sur le cours. Elle est couverte par une toiture tuile à deux pentes. Un magasin (anciennement enseigne Monoprix aujourd hui Super U) occupe le rez-de-chaussée de l immeuble sur toute la profondeur de la parcelle. VALEUR PATRIMONIALE intérêt architectural intérêt urbain valeur mémorielle intérêt histoire des techniques typologie originale valeur d'exemplarité DOSSIER MONOGRAPHIQUE Oui intérêt historique élément(s) de décor autre Non

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