Mise en perspective avec les entreprises franciliennes non exportatrices des 2 mêmes segments (groupes et indépendantes hors GE*)

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1 Banque de France - ACSEL Export CR IDF Février 2015

2 Données descriptives et financières issues des bases de données de la Banque de France et analyse pour chacun des segments : - entreprises exportatrices appartenant à une structure de groupe, hors GE* (entités consolidées en France, ETI, filiales françaises de sociétés étrangères) - entreprises exportatrices indépendantes, hors GE* En évolution sur la période Mise en perspective avec les entreprises franciliennes non exportatrices des 2 mêmes segments (groupes et indépendantes hors GE*) Données en valeur moyenne et/ou médianes, toutes branches hors bâtiment Rappel méthodologique : l étude porte sur les sièges sociaux des sociétés non financières implantées en Île de France et n intègre pas les affaires en nom propre et les autoentrepreneurs (échantillons non constants) GE : entreprises de + de 5000 salariés Banque de France - ACSEL Export CR IDF Février

3 EJ France - effectifs > EJ Ile de France soit près d 1/ EJ IDF avec bilan étudié par la BDF (CA annuel > 750 k ) EJ CA export > 10 % durant les 5 années ou 4 années de l étude ou les 3 dernières années 3279 EJ CA export > 20 % (moyenne régionale) EJ Groupes non export VS EJ groupes dont ETI et filiales françaises de groupes étrangers ) Export ensemble EJ indépendantes VS EJ Indépendantes non export EJ : entité juridique 3

4 Un poids économique prépondérant des groupes exportateurs en termes d activité et d emplois 2013 Nombre 49,2% Effectifs 7,1% CA 6,4% VA 6,3% 100% independantes 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% Nombre 50,8% Effectifs 92,9% CA 93,6% VA 93,7% groupes 20% 10% 0% 4

5 61,1 62,7 62,4 66,2 62,2 66,1 62,9 66, ,4 Profils communs une réelle vocation export qui tend à s affirmer sur 5 ans Taux d'export en % Médiane 65,9 Médiane 61,2 A noter un taux d export moyen très bas pour l ensemble «export < 20 %» : Indépendantes Groupes 2,1 % 3,8 % Groupes Indépendantes Taux d export : export/caht*100 5

6 Profils communs des entreprises implantées de longue date Ancienneté des exportatrices indépendantes 24,7% en % du nombre d'ej 7,3% 12,5% ,2% Ancienneté des exportatrices groupes en % du nombre d'ej 6,7% 8,5% 25,4% 30,3% 22,9% 26,7% 0-8 ans 8-11 ans ans ans 30 ans et + Moins de 8 ans France 20,3 % Plus de 30 ans France 18,3% une maturité nécessaire pour s investir à l export? 6

7 Profils différents selon l actionnariat des associés quasi exclusivement situés en IDF pour les entreprises export indépendantes 97,2 % Région France 2,8 % mais des centres de décision beaucoup plus dispersés dans les groupes 2013 Localisation des associés majoritaires groupes en nombre d'ej 30,6% 29,1% 2 groupes sur 3 sont sous contrôle étranger 36,3% 4,1% Etranger hors ZE Etranger ZE France Région 9 milliards de CA export emplois 7

8 Localisation des détenteurs de capitaux étrangers : En effectifs ,6% 2,6% 4,2% 4,6% 4,9% 8,3% 9,5% 9,7% 24,5% 19,3% 9,6% un actionnariat majoritairement européen et frontalier NL LU US CH DE BE GB IT JP RU Autres 8

9 Entreprises exportatrices IDF : premiers constats une stratégie franchement orientée à l export des entreprises largement plus matures que la moyenne nationale un poids économique des groupes prépondérant en volume d activité et en effectifs une forte présence des capitaux étrangers dans les groupes, en particulier européens et frontaliers 9

10 L export, un vrai facteur de croissance jusqu en 2012 Évolution du CAHT base 100 en 2009 Groupes Indépendantes , ,9 129, , Groupes Export Groupes Non_Export Indépendantes Export Indépendantes Non Export Pour les entités groupe export, un palier dans la croissance du chiffre d affaires Pour les entités indépendantes export, un effet ciseau en

11 Les groupes exportateurs sont les moins créateurs d emplois Variation des effectifs échantillons 2 ans par 2 ans 4,0% Groupes 4% Indépendantes 3,0% 3% 2,0% 2% 1,0% 1% 0,0% 0% 1,0% -1% 2,0% -2% 3,0% % Groupes Exportatrices Groupes Non_Export Independantes Export Independantes Non Export Pour les entités indépendantes, une évolution à tendance favorable comparable entre l export et le non export, avec une création d emplois supérieure aux groupes. 11

12 23,6 23,7 23,4 22,9 22,7 22,4 22,6 22,1 22,8 22,3 34,4 38,2 34,2 38,7 33,2 38,7 33,8 38,5 34,3 38,4 Les entreprises export se caractérisent par un taux de valeur ajoutée inférieur aux non export Groupes Export Médiane 2013 Independantes Export Taux de valeur ajoutée en % 28 % France Groupes Non_Export Médiane ,4 % Independantes Non Export - Les entités franciliennes non exportatrices se caractérisent par un taux de VA supérieur de 10 points à la moyenne nationale. - En moyenne comme en médiane, les exportatrices des 2 segments génèrent moins de richesse que les autres entreprises franciliennes et n ont pas retrouvé le niveau de Un constat qui concerne tous les secteurs d activité Taux valeur ajoutée : VA/CAHT*100 12

13 5,5 5,8 6,3 6,4 6,2 6,4 5,7 6,1 5,6 5,8 8,6 8,3 8,4 9,0 7,6 8,9 7,5 8,1 7,3 7,5 Une moindre rentabilité d exploitation par rapport aux autres entreprises d Ile de France Taux de marge brute (en %) France 5,8 % Groupes Export Independantes Export 0 Groupes Non_Export Independantes Non Export Le taux de marge brute d exploitation place les entreprises exportatrices dans la moyenne nationale Depuis 2010, une tendance à la baisse régulière visible sur les 2 populations Taux de marge brute : EBE/ CAHT*100 13

14 Les entreprises exportatrices obtiennent une meilleure couverture des charges salariales... Écart entre productivité du travail et charges salariales en k ,7 Exportatrices 33,3 31,7 30,5 28, Non exportatrices ,1 France 2013 = ,7 17,3 19,0 21,6 20,4 16, Groupes indépendantes Groupes Indépendantes Les sociétés exportatrices affichent le meilleur différentiel coût/rendement du travail, avantage plus marqué encore dans les groupes Les non exportatrices IDF se situent beaucoup plus bas, juste au niveau de la France en 2013 Productivité du travail : VA / effectifs en k Charges salariales / effectifs en k 14

15 la main d œuvre des entreprises franciliennes exportatrices apparaît plus productive ,2 73,9 75,8 63,5 Valeur ajoutée par salarié en k 105,9 108,0 68, ,2 Ensemble export + 14,6 % IDF non export + 1,8 % France + 8,7 % L ensemble export se caractérise par son excellent niveau mais c est aussi le seul dont la productivité s améliore de façon sensible et continue sur toute la période ,6 52,3 Charges de personnel par salarié en k 72,8 54,7 76,6 55,7 45, ,6 tout en conservant la rémunération du travail la plus élevée.. et dans un contexte de hausse des salaires entre 2009 et 2013 Ensemble export IDF non export + 13,3 % + 6,5 % France + 9 % 15

16 104,6 30,9 110,0 31,1 112,6 31,9 116,2 32,9 118,9 34,1 57,5 26,8 59,6 27,6 68,5 27,5 76,4 29,5 72,5 29,6 Les groupes exportateurs disposent d équipements productifs beaucoup plus importants, rapportés au nombre de salariés, et qui se développent d année en année 120 Export Équipement productif par salarié en k 120 Non Export France = 63,3 k Groupes Indépendantes Groupes Indépendantes Cette situation est constatée aussi bien dans les services (126,2 K en 2013) que dans l industrie (127,7 K ) : Les équipements productifs des groupes industriels exportateurs des secteurs de la chimie, pharmacie, métallurgie, industrie automobile, et agro-alimentaire, représentent à eux seuls 55 % des équipements totaux. A l inverse, les entreprises indépendantes, exportatrices ou non, affichent un niveau d équipement productif par salarié nettement inférieur à la moyenne nationale Équipement productif / effectifs en k 16

17 0,7 2,0 0,7 2,2 0,8 2,3 0,7 2,2 0,7 2,1 Un équipement productif particulièrement développé dans les groupes mais qui ne génère pas plus de richesse que la moyenne France 2,5 Valeur ajoutée dégagée par Euro d immobilisations corporelles en k 2,0 1,5 1,0 0,5 Indépendantes non export 2013 = 1,3 France 2013 = 0,6 Groupes non export 2013 = 0,5 0,0 Groupes Export Independantes Export Un meilleur rendement apparent des immobilisations corporelles dans les entreprises indépendantes Valeur ajoutée / 1 d immobilisations corporelles 17

18 Taux d'obsolescence en raison de leur degré d obsolescence élevé? Indépendantes export Groupes Exportatrices ,8 Indépendantes non export France Groupes non export 35 19,3 Taux d'investissement d'exploitation Un taux d investissement modeste et inférieur à la moyenne France dans les exportatrices Taux d investissement d exploitation : Investissement d exploitation / VA*100 Degré d obsolescence : amortissement des immobilisations d exploitation / Immo d exploitation *100 18

19 38,9 37,2 16,9 37,1 34,4 16,7 38,4 33,3 15,2 37,7 31,4 15,0 39,8 32,5 14,8 Dans la moitié des entreprises, l export nécessite des besoins en fonds de roulement d exploitation qui mobilisent plus d un mois de chiffre d affaires En médiane BFR en jours de CA en médiane soit plus du double de la médiane nationale Indépendantes export Groupes export France un constat à moduler selon les secteurs d activité médianes 2013 en jours de CA Indépendantes Groupes France Commerce 47,1 35,8 16,6 Industrie 70,2 62,5 44,3 Services 6,9-1,2-5,5 Des caractéristiques sectorielles différentes qui impactent la gestion du cycle d exploitation BFRE / CAHT*360 19

20 36,9 39,4 34,8 41,2 35,2 42,8 36,4 42,6 37,1 43,4 46,3 44,2 46,1 43,3 44,6 43,9 44,1 44,7 44,5 45,3 Des fonds propres en moyenne plus étoffés en région Île de France qu en France sauf dans les groupes exportateurs moins capitalisés que les autres Des fonds propres plus confortables dans les indépendantes exportatrices (avec toutefois un écart favorable sur les non export qui disparaît à partir de 2012) Poids des fonds propres dans le total de bilan en % France 41, Groupes export Groupes non export Indépendantes export Indépendantes non export Fonds propres nets / Total bilan *100 20

21 65,5 94,6 66,1 90,4 73,9 85,3 72,9 86,2 71,2 84,2 31,7 50,0 27,2 52,5 29,7 53,9 32,1 52,9 30,1 52,4 Les exportatrices sont globalement moins endettées que les autres entreprises Les groupes : à noter un niveau d endettement financier supérieur à la moyenne française dans les non exportateurs franciliens Taux d endettement financier en % Les indépendantes : dans leur ensemble, elles recourent moins aux financements extérieurs ; les exportatrices apparaissent particulièrement autonomes 90,0 80,0 70,0 60,0 50,0 40,0 30,0 20,0 France ,6% 90,0 80,0 70,0 60,0 50,0 40,0 30,0 20,0 10,0 10,0 0,0 0,0 Groupes export Groupes non export Indépendantes export Indépendantes non export Taux d endettement financier : endettement financier / Fonds propres nets retraités*100 21

22 Une plus large utilisation des lignes court terme dans les exportatrices Groupes export Évolution de la répartition des encours de crédits bancaires en % Indépendantes export 33,8% 38,0% 38,9% 41,6% 37,9% Un recours au court terme nettement supérieur à la moyenne nationale dans l export 51,4% 50,9% 52,2% 51,4% 52,0% 61,0% 56,4% 56,8% 51,5% 56,0% 36,8% 38,9% 38,2% 39,1% 38,7% 5,2% 5,6% 4,2% 4,9% 4,4% Groupes non export 10,4% 9,1% 10,9% 9,5% 11,8% France 2013 Court terme 21% Crédit-bail LOA 8% Moyen long terme 71% 11,7% 10,0% 9,5% 9,4% 9,3% Indépendantes non export 17,0% 16,9% 16,8% 16,7% 16,9% 86,2% 87,5% 85,3% 86,8% 84,6% 68,2% 68,5% 69,4% 69,6% 69,6% 3,2% 3,2% 3,5% 3,3% 3,3% Crédits court terme Crédits moyen long terme CB + LOA Autres crédits mobilisés 14,2% 13,7% 13,0% 12,9% 12,9% 22

23 Des composantes de l endettement financier à terme qui diffèrent entre groupes et indépendantes exportatrices Groupes export : Peu d endettement auprès de la profession bancaire Recours limité aux emprunts obligataires Financements majoritaires intra-groupe? Indépendantes export : Endettement bancaire priorisé Très peu d emprunts obligataires Apports associés à hauteur de 40 % des financements 65,8 46,1 France 43,9 France13,7 39,9 3,3 32,5 6,3 10,8 23,3 17,8 36,0 France 42, ,7 61,1 Groupes export Groupes non export Autres emprunts Indépendantes export Indépendantes non export Obligations Endettement bancaire 23

24 Les entreprises exportatrices : synthèse des éléments financiers Elle n apparaissent pas plus rentables que les autres Elles disposent des personnels les plus productifs Elles affichent des équipements plus importants, notamment dans les groupes, mais sans effet sur le niveau des performances Elles supportent un besoin en fonds de roulement très élevé Elles sont moins capitalisées lorsqu elles appartiennent à un groupe Elles présentent un faible taux d endettement financier 24

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