CENTRAFRIQUE. Caractéristiques géographiques et humaines. Économie (2010) Indicateurs de développement. Accords internationaux
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- Isabelle Benoît
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1 CENTRAFRIQUE Caractéristiques géographiques et humaines Superficie : km 2 Population : 4,4 millions d habitants. Densité : 7 habitants/km 2. Part de la population urbaine : 38,7 %. Taux de croissance démographique : 1,9 %. Langues officielles : français, sango Principales villes : Bangui (capitale administrative), Bambari, Berbérati, Bouar, Carnot Régime politique : le 23 janvier 2011, le président de la République, M. François Bozizé, a été réélu pour un second mandat. Suite à la victoire du parti présidentiel (le KNK) lors des élections législatives, le Premier ministre, M. Faustin-Archange Touadéra, a été reconduit dans ses fonctions. À l issue du forum sur la paix, qui avait réuni, en décembre 2008, le gouvernement, l opposition, la société civile et la rébellion, un processus de «désarmement, démobilisation, réinsertion» avait été engagé en août La force des Nations Unies, la MINURCA, présente depuis 2007, s est retirée du pays au 30 décembre Économie (2010) PIB par habitant 1) : 436 dollars Répartition du PIB par secteur d activité : Primaire 53,2 % Secondaire 13,1 % Tertiaire 33,7 % 1) Source : FMI, Perspectives de l économie mondiale, avril 2011 Indicateurs de développement Espérance de vie : 47,7 ans Taux de mortalité infantile : 11,2 % Taux d alphabétisation des adultes : 54,6 % Population en deçà du seuil de pauvreté 1) : 62,4 % Indice de développement humain Classement : 159 e /169 1) Moins de 1,25 dollar par jour Sources : PNUD (2011), Rapport mondial sur le développement humain (données 2010) ; Banque mondiale, World Development Indicators (données 2009) Accords internationaux La République centrafricaine (RCA) est membre de la Communauté économique et monétaire de l Afrique centrale (CEMAC) et de la Communauté économique des États d Afrique centrale (CEEAC). Relations avec la communauté financière internationale La RCA a franchi le point de décision de l initiative PPTE en septembre 2007 et le point d achèvement en juin Dans le cadre de la Facilité élargie de crédit (FEC), approuvée par le FMI en décembre 2006 pour une durée de trois ans, et d un montant de 55,7 millions de dollars, la sixième et dernière revue du programme, dont le terme a été repoussé à septembre 2010, a été approuvée en août 2010, autorisant un décaissement supplémentaire de 13,1 millions de dollars. 187 Depuis 2007, la RCA a été placée dans la catégorie des états fragiles, lui donnant accès à des facilités spécifiques auprès des banques de développement, en vue de renforcer les capacités administratives du pays, fragilisées par l instabilité politique et l insécurité. Une nouvelle stratégie de partenariat préparée conjointement par la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAfD) a été signée pour la période Deux grands axes ont été définis : la consolidation de la gouvernance économique et des capacités institutionnelles ; la réhabilitation et le développement des infrastructures socioéconomiques. À fin juin 2011, la Banque mondiale détenait un portefeuille de onze projets actifs pour un montant total de 107,5 millions de dollars.
2 188 ACTIVITÉ Après une décélération continue de l activité économique à compter de 2006, le taux de croissance du PIB réel s est redressé en 2010 pour s établir à 2,9 % (contre 1,4 % en 2009). Ce rebond est en grande partie lié à la hausse de la consommation, dont la contribution à la croissance est passée de 0,5 point en 2009 à 2,9 points en Le secteur primaire, qui représente la moitié du PIB, a été le premier secteur contributif à la croissance du pays, à hauteur de 0,9 point, grâce aux bonnes performances des productions vivrières, qui ont globalement progressé de 2,3 % en volume, après 3,1 % en Elles ont ainsi contribué à hauteur de 0,8 point à la croissance, contre 1,1 point en Ce dynamisme du secteur vivrier a résulté de l amélioration des conditions de sécurité dans les zones de production, ainsi que de l approvisionnement des producteurs en semences, notamment dans le cadre de l initiative de la Banque mondiale contre la crise alimentaire. L élevage, qui s appuyait sur un cheptel de 15 millions de têtes à fin 2009, a pour sa part contribué à la croissance à hauteur de 0,3 point de PIB en 2010, comme en Après avoir quasiment doublé en 2009, la production de café a de nouveau enregistré une forte croissance en 2010, de près de 50 %, en liaison avec les investissements publics dans ce domaine. La production de coton s est également accrue de manière significative, de 36,9 % en 2010, contre 50 % en 2009, pour atteindre 11,5 milliers de tonnes. Les productions de ces deux cultures d exportation restent toutefois marginales, représentant moins de 1 % du PIB. La crise qui avait affecté le secteur sylvicole, premier employeur privé du secteur formel, s est fortement atténuée en 2010, le repli de la production revenant de 30 % en 2009 à 10% en Le secteur n a ainsi grevé la croissance que de 0,3 point, contre 1,7 point en Les industries extractives, essentiellement l exploitation du diamant, ont poursuivi leur décélération Comptes nationaux de la (en milliards de francs CFA courants ; taux et variations en %) (a) Ressources 1 050, , , ,0 PIB nominal 860,2 945,9 999, ,2 Importations de biens et services 190,2 208,4 201,6 241,9 Biens 119,3 134,5 127,9 151,1 Services 70,9 73,8 73,7 90,7 Emplois 1 050, , , ,0 Consommation finale 865,7 964, , ,7 Publique 50,7 58,9 62,4 75,9 Privée 815,0 905,3 952,0 994,8 Formation brute de capital fixe (b) 69,9 92,3 97,7 125,0 Exportations de biens et services 114,9 97,7 89,1 103,3 Biens 85,4 67,3 58,5 68,9 Services 29,4 30,4 30,6 34,4 Épargne intérieure brute - 5,5-18,3-14,8-13,6 Capacité (+) ou besoin ( ) de fi nancement - 75,4-110,6-112,5-138,5 Revenus des facteurs - 7,5-10,0-10,0-2,3 Épargne intérieure nette - 13,0-28,2-24,8-15,9 Taux d'investissement (en % du PIB) 8,1 9,8 9,8 11,8 Variations Taux de croissance du PIB en volume 3,6 2,0 1,4 2,9 Défl ateur du PIB (en moyenne) 1,7 7,9 4,2 2,7 Prix à la consommation (en moyenne annuelle) 1,0 9,3 3,5 1,5 Prix à la consommation (en glissement annuel) - 0,3 14,5-1,2 2,3 (a) Chiffres provisoires (b) Y compris variation de stocks Sources : INS, BEAC mais à un rythme nettement ralenti. Les exportations de diamants ont reculé de 2,8 % en volume en 2010, contre 17,7 % en S agissant des perspectives d exploitation du gisement d uranium de Bakouma, le projet, conduit par le groupe AREVA, est entré en phase de préfaisabilité pour une entrée en production attendue pour La a été admise parmi les pays reconnus en conformité avec l Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE), à l issue du sommet de Paris des 2 et 3 mars La République centrafricaine compte ainsi parmi les cinq pays africains (aux côtés du Ghana, du Libéria, du Niger et du Nigeria) jugés aptes à organiser une transparence satisfaisante des revenus miniers et pétroliers, en associant dans une même démarche l État, les entreprises et la société civile. Le secteur secondaire a contribué à la croissance à hauteur de 0,8 point. L activité de la branche du BTP a progressé de 13 % cette année, contribuant à la croissance à hauteur de 0,4 point (contre
3 Principales productions et prix d achat aux producteurs (a) Bois Production de grumes et sciages (en milliers de m 3 ) 630,9 630,6 408,7 366,0 Exportations de grumes, sciages et dérivés (en milliers de m 3 ) 270,7 224,6 157,1 184,2 Prix à l exportation des grumes (milliers de FCFA/m 3 ) 138,1 139,2 144,7 147,8 Diamants bruts Exportations (en milliers de carats) 417,7 377,2 310,5 301,6 Prix à l'exportation (en milliers de FCFA/carat) 71,2 58,8 75,1 85,8 Café Production (en milliers de tonnes) 7,3 1,9 3,9 5,7 Exportations (en milliers de tonnes) 7,4 1,8 3,4 5,6 Prix d achat aux producteurs (en FCFA/kg) 140,0 143,1 145,0 145,0 Coton-graine Production (milliers de tonnes) 2,3 5,6 8,4 11,5 Prix d achat aux producteurs (en FCFA/kg) 152,0 152,0 152,0 152,0 Manioc (en milliers de tonnes) 595,0 601,8 619,7 632,9 Mil-sorgho (en milliers de tonnes) 59,2 59,8 61,2 62,4 Maïs (en milliers de tonnes) 141,1 146,7 150,9 153,9 Arachide (en milliers de tonnes) 157,9 164,1 170,2 173,1 (a) Chiffres provisoires Sources : BEAC, administrations nationales Les industries manufacturières ont, pour leur part, connu un rebond significatif en 2010, contribuant désormais à la croissance de l économie pour 0,4 point, alors qu elles la réduisaient de 0,2 point en La production de fibres de coton a plus que doublé (3,4 milliers de tonnes en 2010, contre 1,5 millier de tonnes en 2009), en liaison avec la hausse des prix à l exportation de 73 %. Afin d accroître la production d électricité, qui ne couvre que partiellement les besoins de la population et de l activité économique, entraînant de nombreux délestages, le gouvernement centrafricain et le gouvernement chinois ont signé en 2010 un contrat de financement d environ 15 milliards de francs CFA pour la réalisation d une centrale hydroélectrique sur le barrage de Boali III. Ce projet doit permettre de porter la puissance disponible de l Énergie Centrafricaine (ENERCA) de dix-huit à vingt-huit mégawatts. La BAfD, l Agence française de développement et la Banque mondiale contribuent également à l augmentation de la production intérieure par leurs investissements dans l entretien des capacités existantes et dans l amélioration de l efficacité du réseau de distribution. Enfin, le secteur tertiaire a apporté une contribution de 0,7 point à la progression du PIB réel (contre 1,2 point en 2009). Ce recul relatif du secteur est lié avant tout au ralentissement de la croissance du secteur des télécommunications, dont la contribution à la croissance est revenue de 0,8 point de PIB en 2009 à 0,4 point de PIB en L activité du secteur des transports a, en revanche, été dynamisée en 2011 par la fourniture par l Inde de cent bus, conduisant à la création d une troisième compagnie de transport en commun dans la capitale. 0,3 point en 2009), profitant de l augmentation des investissements tant publics (réhabilitation de bâtiments administratifs) que privés. Afin d assurer une alimentation régulière en ciment à un moindre prix, une cimenterie a été mise en travaux en août 2010, financée par un prêt de 15 millions d euros de la société indo-centrafricaine Jaguar. Le réseau routier du pays, pour sa partie bitumée, demeure encore peu dense (3 % du total de la voierie) et comprend essentiellement les routes entre Bangui et Mbaiki, Bangui et Sibut, Bangui et Boali et Bangui-Douala. Des investissements d un montant total d environ 122,5 millions d euros, essentiellement financés par l Union européenne, sont en cours de réalisation et devraient permettre l ouverture de 155 kilomètres de voies bitumées (soit une hausse de 20 % du réseau). S agissant de l évolution des prix de détail, les tensions inflationnistes observées au début de 2009 se sont très sensiblement atténuées à partir du second semestre jusqu à fin du premier semestre Un léger rebond des prix a été observé sur le dernier semestre de 2010, sous l effet principalement de la hausse des prix des denrées alimentaires importées. Le taux d inflation s est établi en 2010 à 1,5 % en moyenne annuelle, après 3,5 % en FINANCES PUBLIQUES Alors que l exécution budgétaire avait dégagé un excédent exceptionnel de 254,4 milliards de francs CFA (25,5 % du PIB), résultant essentiellement des dons liés aux annulations de dette, l année 2010 a été marquée par l apparition d un léger déficit 189
4 190 budgétaire, base engagements, dons compris, de 3,6 milliards de francs CFA (0,3 % du PIB). Les recettes budgétaires se sont élevées à 110 milliards de francs CFA, en hausse de 9,1 % par rapport à l exercice précédent. Cette évolution tient à de meilleures rentrées fiscales (+ 13,5 % par rapport à 2009), liées principalement à la bonne tenue des impôts sur les revenus, des taxes sur la consommation intérieure et le chiffre d affaires. Toutefois, la base fiscale reste encore très étroite, les recettes budgétaires internes représentant seulement environ 10 % du PIB. La réforme fiscale entamée en 2009 dans le cadre du Document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP) a pour objectif de favoriser un élargissement de la base fiscale afin d atteindre un taux de pression fiscale de 12,9 % du PIB en 2012, contre 7,7 % en Pour y parvenir, un impôt global unique de 12 % a été mis en place en 2010 pour les commerçants et les entrepreneurs aux revenus supérieurs à 30 millions de francs CFA. La liste des produits soumis au taux plein de la TVA (19 %), plutôt qu au taux réduit (5 %), a été allongée (farine de froment, œufs, poisson congelé et huiles raffinées). Les tarifs douaniers de certains biens (dont les véhicules) seront désormais assis sur leurs valeurs transactionnelles. Enfin, les biens et services pouvant avoir un impact sur l environnement (sociétés industrielles, forestières, minières, de transports) supporteront désormais une taxe spécifique. Tableau des opérations financières de l État centrafricain (en milliards de francs CFA courants) (a) Recettes totales 117,0 134,8 391,2 164,5 Recettes 83,6 92,5 100,8 110,0 Recettes fiscales 64,3 70,7 81,0 91,9 Recettes non fi scales 19,2 21,8 19,8 18,1 Dons extérieurs 33,4 42,3 290,4 54,5 Dépenses et prêts nets 109,6 138,2 136,8 168,1 Dépenses totales 80,2 98,1 96,6 111,9 Dépenses courantes 80,2 98,1 96,6 111,9 Salaires 36,3 36,9 39,6 42,8 Intérêts 12,1 16,8 16,7 6,4 Intérêts sur la dette intérieure 5,8 7,7 6,9 3,8 Intérêts sur la dette extérieure 6,3 9,1 9,8 2,6 Autres dépenses courantes 31,8 44,4 40,3 62,7 Dépenses en capital 29,4 40,1 40,2 56,2 Dépenses budgétaires 9,2 10,4 7,4 12,0 Dépenses financées sur emprunts extérieurs 20,2 29,7 32,8 44,2 Dépenses de restructuration 0,0 0,0 0,0 0,0 Prêts moins recouvrements 0,0 0,0 0,0 0,0 Solde primaire (hors dons) (b) 6,3 0,8 13,5-7,5 Solde (base engagements) (dons compris) (c) 7,4-3,4 254,4-3,6 Arriérés 11,6 20,3-113,9-24,8 Arriérés intérieurs - 13,7-10,5-19,2-12,9 Arriérés extérieurs 25,3 30,8-94,7-11,9 Solde (base caisse) (d) 19,0 16,9 140,6-28,4 Financement - 19,0-16,9-140,6 28,4 Financement intérieur 10,0 7,7 2,3 10,6 Financement bancaire 8,6 11,5-14,4 16,4 Financement non bancaire 1,4-3,8 16,8-5,7 Financement extérieur - 29,0-24,7-142,9 17,8 Tirages sur emprunts 0,0 0,0 0,0 3,5 Amortissements sur emprunts dette extérieure - 36,4-42,2-245,6-15,3 Réaménagement de la dette extérieure 7,4 17,5 102,7 29,6 En pourcentage du PIB Recettes totales (hors dons) 9,7 9,8 10,1 10,4 Dépenses courantes 9,3 10,4 9,7 10,6 Solde : budgétaire de base (e) - 0,7-1,7-0,3-1,3 base engagements (dons compris) (c) 0,9-0,4 25,5-0,3 base caisse (d) 2,2 1,8 14,1-2,7 (a) chiffres provisoires (b) Solde primaire = recettes courantes dépenses courantes (hors intérêts sur dette publique) dépenses en capital (hors celles fi nancées sur ressources extérieures) dépenses de restructuration prêts nets (c) Solde (base engagements) = recettes totales (dons compris) dépenses totales (d) Solde (base caisse) = Solde (base engagements) + arriérés (e) Solde budgétaire de base = Recettes totales (hors dons) Dépenses totales (hors investissements fi nancés sur recettes extérieures) Sources : BEAC, FMI, administrations économiques et fi nancières Après avoir diminué de 1,5 % en 2009, les dépenses publiques se sont accrues de 22,9 % en 2010 pour s établir à 168,1 milliards de francs CFA. Cette progression reflète d une part, la hausse des salaires et traitements de 8,1 % (à 42,8 milliards de francs CFA), du fait de recrutements significatifs dans la fonction publique, et d autre part, celle des subventions, de près de 45 % d une année sur l autre. Les intérêts sur la dette ont
5 fortement diminué ( 61,7 %), suite à l allègement de la dette extérieure obtenu en 2009 et à l apurement partiel de la dette intérieure en Au total, les dépenses courantes se sont accrues de 15,8 % en Les dépenses en capital ont progressé de 39,8 %, à 56,2 milliards de francs CFA en 2010, reflétant essentiellement une contribution des partenaires au développement en hausse de 34,7 % en 2010 (à 44,2 milliards de francs CFA). dernières années a été constituée par le ministère des Finances, ce qui devrait permettre d assurer un suivi global et homogène de la dette du secteur public. COMPTES EXTÉRIEURS En 2010, le déficit des transactions courantes s est accru de 17,8 % par rapport à 2009, pour atteindre Au total, la gestion des finances publiques s est soldée par un déficit, base engagements (dons compris) de 3,6 milliards de francs CFA, après un excédent de 254,4 milliards. L État a par ailleurs poursuivi l apurement de ses arriérés intérieurs et extérieurs, pour un montant total de 24,8 milliards, aboutissant à un déficit budgétaire, base caisse, de 28,4 milliards de francs CFA (soit 2,7 % du PIB), après un excédent de 140,6 milliards en 2009 (14,1 % du PIB). Ce déficit global a été financé essentiellement par le recours à des financements externes, résultant des déboursements au titre du programme en cours avec le FMI, et des réaménagements de dette extérieure. S agissant des actions prioritaires définies dans le cadre du programme FEC avec le FMI, plusieurs réformes sont en cours de mise en œuvre. Dans le domaine de la gestion budgétaire notamment, une meilleure administration des recettes est recherchée à travers la mise en place d un mécanisme d ajustement automatique des prix des produits pétroliers, permettant la transmission des fluctuations des prix aux consommateurs, et la réduction des exonérations douanières. Des progrès ont également été réalisés dans l informatisation de la chaîne des dépenses à travers la mise en place d un système d information sur la gestion des finances publiques. Enfin, une base de données informatisée enregistrant les arriérés de paiements intérieurs accumulés au cours des Balance des paiements de la (en milliards de francs CFA courants) (a) Transactions courantes - 52,3-88,2-85,9-101,2 Balance commerciale - 33,9-67,2-69,5-82,2 Exportations FOB 85,4 67,3 58,5 68,9 dont : coton 0,5 0,9 0,6 2,3 diamants 29,8 22,2 23,3 25,9 café 4,2 1,1 2,0 2,7 tabac 0,1 0,1 0,1 0,1 bois 41,9 34,9 24,7 29,6 or 0,1 0,2 0,5 0,7 Importations FOB - 119,3-134,5-127,9-151,1 dont : pétrole - 32,7-41,4-30,9-40,6 programme d investissement public - 11,0-12,0-12,1-18,1 Balance des services - 41,5-43,4-43,0-56,3 Balance des revenus - 7,5-10,0-10,0-2,3 Rémunération des salariés 4,8 5,2 5,7 6,2 Revenus des investissements - 12,3-15,2-15,7-8,5 dont intérêts dette extérieure publique - 6,3-9,1-9,8-2,6 Balance des transferts courants (net) 30,5 32,4 36,5 39,6 Secteur privé 1,7 2,3 2,9 3,5 Secteur public 28,8 30,1 33,6 36,1 Compte de capital et d opérations financières - 8,7 47,0 58,8 66,8 Compte de capital (net) 25,4 29,7 274,2 40,7 publics 25,4 29,7 274,2 40,7 privés 0,0 0,0 0,0 0,0 Comptes financiers (net) - 34,1 17,3-215,4 26,1 Investissements directs 27,2 52,2 19,9 30,4 Investissements de portefeuille 0,0 0,0 0,0 0,0 Autres investissements - 61,3-34,9-235,3-4,3 Erreurs et omissions 2,2 3,1 20,0-5,2 Solde global - 58,9-38,1-7,2-39,6 Financement 58,9 38,1 7,2 39,6 Variations des réserves officielles 26,2-10,3-0,8 21,9 Financements exceptionnels 32,7 48,3 8,0 17,7 Variation des arriérés extérieurs (le signe correspond à une baisse) 25,3 30,8-94,7-11,9 Rééchelonnements et annulations de dettes 7,4 17,5 102,7 29,6 (a) Chiffres provisoires Source : BEAC 191
6 ,2 milliards de francs CFA (9,6 % du PIB), contre 85,9 milliards en 2009 (8,6% du PIB). Cette dégradation est principalement liée à la progression des importations (+18,1 %), en particulier celles de pétrole qui ont augmenté de 31,4 % par rapport à 2009 sous l effet de la hausse des cours mondiaux. Après s être stabilisé en 2009, le déficit commercial s est ainsi creusé de 18,3 % en 2010, pour ressortir à 82,5 milliards de francs CFA. Les exportations de bois, à l origine de près de la moitié des recettes totales d exportation, se sont accrues en valeur de près de 19,8 % en un an, cette hausse résultant avant tout d une augmentation des volumes exportés. En dépit de la baisse de la production, les ventes de diamants (37,5 % des exportations totales) ont augmenté de 11,2 % en valeur, en liaison avec la reprise des cours internationaux. La hausse de la production de café a débouché sur une progression sensible des exportations de ce produit, dont le poids dans les exportations est passé de 0,6 % en 2009 à 2,3 % en Au total, les exportations sont ressorties à 68,9 milliards de francs CFA, contre 58,5 milliards en 2009, progressant de 17,7 % sur un an. Les récents investissements de l État visent entre autres à accroître la base agricole exportatrice du pays (coton, café), dont le rétrécissement progressif, amorcé dès la fin des années 1990, a accru la vulnérabilité de l économie nationale aux chocs externes. La forte progression des importations (+ 18,1 %) reflète pour sa part tant l augmentation de la facture pétrolière (+ 31,4 %), alourdie par la hausse des prix du pétrole, que les importations liées à la réalisation du programme d investissements publics (+ 49,6 %). Le déficit de la balance des services s est accru de 30,9 %, pour atteindre 56,3 milliards de francs CFA, alors que celui de la balance des revenus s est contracté de 77 % sur la même période, en liaison avec l annulation de dettes intervenue en La balance des transferts courants a pour sa part dégagé un excédent de 39,6 milliards de francs CFA, en hausse de 8,5 %, du fait de l augmentation des dons courants. Dette extérieure de la (encours en millions de dollars ; indicateurs de dette en %) Dette à court et long terme 1 010,2 964,2 955,1 396,0 Dette à long terme 868,5 849,0 817,1 250,4 Dette publique garantie 868,5 849,0 817,1 250,4 Dette privée non garantie 0,0 0,0 0,0 0,0 Recours aux crédits du FMI 42,1 49,4 63,0 78,4 Dette à court terme 99,6 65,8 75,0 67,2 dont arriérés d'intérêts sur dette à long terme 90,6 65,8 63,0 63,2 Pour mémoire : arriérés sur principal de dette à long terme 218,7 170,8 158,2 156,6 Indicateurs de dette Dette totale/exportations de biens et services 482,4 401,6 436,0 209,0 Dette totale/pib 64,6 53,6 45,0 18,6 Service payé de la dette/exportations de biens et services 33,6 37,0 11,9 16,8 Service payé de la dette/recettes budgétaires 50,2 50,9 12,5 14,8 Dette multilatérale/dette totale 60,7 62,6 60,2 15,1 Sources : Banque mondiale, BEAC L excédent du compte de capital et d opérations financières a atteint 66,8 milliards de francs CFA, contre 58,8 milliards en 2009, grâce notamment à un intérêt plus marqué des investisseurs privés (+ 52,7 %). Au total, le solde global de la balance des paiements a dégagé un déficit de 39,6 milliards de francs CFA en 2010 (contre 7,2 milliards en 2009). En avril et septembre 2007, la dette centrafricaine a fait l objet de réaménagements successifs par les créanciers du Club de Paris après l atteinte du point de décision PPTE. Ces accords ont porté sur 42 millions de dollars et ont permis d annuler 16 millions de dollars d échéances tombant pendant la période intérimaire et de rééchelonner 26 millions de dollars. La a atteint le point d achèvement de l initiative PPTE renforcée en juin 2009 et a bénéficié d un allègement de dette d un montant de 578 millions de dollars. Les accords de consolidation de dette entre la France et la ont été signés en mai 2010 et ont porté sur 5,14 millions d euros. À fin 2009, après l atteinte du point d achèvement, la dette résiduelle de la, estimée à 396 millions de dollars, soit près de 19 % du PIB, était contractée à hauteur de 63 % à long terme, avant tout auprès de bailleurs bilatéraux. L encours de la dette extérieure s est établi à 14 % du PIB en 2010, selon les estimations de la BEAC. Selon l analyse de
7 viabilité de la dette effectuée par le FMI et la Banque mondiale en mai 2010, le risque de surendettement est considéré comme modéré. SYSTÈME BANCAIRE Au 31 décembre 2010, le système bancaire centrafricain comptait quatre banques commerciales en activité : la Banque Populaire Maroco-Centrafricaine (BPMC), la Commercial Bank (CBCA), Ecobank (Ecobank RCA, ex Banque Internationale pour la ) et la Banque sahélo-saharienne pour l Industrie et le Commerce (BSIC RCA) qui a démarré ses activités en décembre À ces banques commerciales s ajoute notamment le Crédit mutuel de (CMCA), coopérative d épargne et de crédit spécialisée dans la microfinance. En 2010, le système bancaire centrafricain a confirmé la forte expansion enregistrée en 2009, le total des bilans bancaires cumulés augmentant de près de 15 % par rapport à l exercice précédent. Les dépôts de la clientèle se sont en particulier accrus de près de 11 %, représentant 65 % du total de bilan agrégé du système bancaire. Les crédits bruts à la clientèle ont augmenté de 26 % (116 milliards de francs CFA), reflétant essentiellement une hausse des engagements sur le secteur privé (+ 39,4 %), alors que les crédits consentis à l État ont stagné (+ 3 %) pour s établir à 17 milliards de francs CFA à fin Les crédits consentis à l État centrafricain et aux entreprises du secteur public ont représenté 16 % des engagements du secteur bancaire à fin décembre La qualité du portefeuille de crédits s est améliorée mais demeure fortement dégradée, les créances douteuses représentant 13,2 % des encours bruts de crédits à fin décembre 2010, contre 16,7 % un an auparavant. Elles étaient néanmoins très largement provisionnées, le taux de provisionnement passant de 93 % en 2009 à 97,5 % cette année. La situation de liquidité du système bancaire reste relativement tendue. L excédent global de trésorerie des établissements de crédit a baissé de 12,5 % pour s établir à 28 milliards de francs CFA. Il représentait 18 % du total de bilan à fin 2010, contre 23,5 % en Le ratio de couverture des crédits par les dépôts est ressorti à 101 %, contre 119,4 % fin Après une hausse limitée de 5 % en 2009, le produit net bancaire a augmenté de 9 % en 2010, en raison notamment de l accroissement des marges dégagées sur les opérations avec la clientèle. Grâce à une bonne maîtrise des frais généraux (+ 1 %), le résultat brut d exploitation est ressorti en forte hausse, de près de 19 %, pour atteindre environ 7 milliards de francs CFA. Au total, le résultat net a doublé en un an pour atteindre 4 milliards de francs CFA. Ce résultat d ensemble traduit pour l essentiel le redressement amorcé par deux établissements de la place, CBCA et BSIC, qui ont sensiblement réduit leurs pertes en 2010, tandis qu Ecobank et BPMC confortaient leurs positions. Les principaux indicateurs de rentabilité se sont améliorés par rapport à l exercice précédent. Le taux de marge nette a atteint 26,4 %, après 14,4 % en Le coefficient net d exploitation est revenu à 54 % (contre 58,2 % en 2009). Situation simplifiée du système bancaire centrafricain (en milliards de francs CFA ; taux et coeffi cients en %) 193 Actif Passif Trésorerie et divers 34,6 49,1 45,0 Trésorerie et divers 20,5 19,5 27,8 Crédits à l'état 20,8 16,5 17,0 Dépôts de l État 6,1 11,4 12,8 Crédits à l économie 47,4 55,9 83,0 Dépôts du secteur privé 68,1 81,3 89,7 Créances en souffrance nettes 3,2 5,3 1,2 Fonds propres 19,1 24,0 26,5 Valeurs immobilisées 7,8 9,4 10,6 Total 113,8 136,2 156,8 Total 113,8 136,2 156,8 Coeffi cient net d exploitation (frais généraux/produit net bancaire) 53,0 58,2 54,1 Coeffi cient de rentabilité (résultat net/fonds propres) 15,4 16,7 24,9 Source : COBAC Taux de marge nette (résultat net/produit net bancaire) 19,9 14,4 26,4
8 PERSPECTIVES En 2011, la croissance économique devrait, selon les prévisions de la BEAC (juin 2011), s accélérer pour atteindre 3,7 %, grâce à une hausse sensible des exportations. Outre la reprise de la demande mondiale, ce dynamisme proviendrait des investissements entrepris dans les secteurs agricole, industriel et minier, avec notamment un doublement de la production d or. Toutefois, ces perspectives de croissance demeurent conditionnées à un maintien de la stabilité politique et à une amélioration des infrastructures de transport et des capacités de production électrique. L économie centrafricaine devrait également bénéficier au cours des prochaines années d un soutien accru des partenaires au développement, conformément aux engagements pris lors de la conférence des bailleurs, tenue à Bruxelles le 29 juin Au plan budgétaire, en dépit d un meilleur contrôle des dépenses, dont la progression reviendrait de 23 % en 2010 à 11 % en 2011, et de la poursuite des efforts de mobilisation fiscale (qui devraient aboutir, en 2012, à l adoption d un nouveau code des impôts), le déficit, base engagements hors dons, se stabiliserait autour de 60 milliards de francs CFA, soit 5,2 % du PIB. S agissant des comptes extérieurs, la forte augmentation des exportations de biens étant globalement compensée par la hausse des importations, notamment de pétrole, le déficit du commerce extérieur devrait faiblement évoluer d une année sur l autre, pour s établir à près de 85 milliards de francs CFA, soit 7,3 % du PIB. L augmentation des financements apportés par les partenaires bilatéraux et multilatéraux au développement, ainsi que la reprise des investissements directs étrangers, devraient permettre, comme en 2010, d assurer le financement du solde global de la balance des paiements. Les tensions inflationnistes devraient s accentuer sous l effet de la remontée des cours mondiaux du baril de pétrole, des prix alimentaires et de la hausse de la masse salariale dans la fonction publique. Le taux d inflation devrait ainsi avoisiner 3 % en moyenne annuelle. 194
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