Intérêt et justification des registres de PTG
|
|
- Beatrice Bergeron
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 1 Intérêt et justification des registres de PTG C. DELAUNAY INTRODUCTION Décrié par les uns, encensé par les autres, l impact des registres des arthroplasties sur les pratiques chirurgicales orthopédiques ne fait pas l unanimité. Si le premier registre prothétique a été créé il y a presque 40 ans (1969) à la Mayo Clinic de Rochester, le premier registre au niveau national est né en Suède en 1975 sous l influence du Pr Goran Bauer, de l université de Lund, et concernait les prothèses totales de genou (PTG) [1]. Quoique pionnier en la matière, ce Swedish Knee Arthroplasty Register (SKAR) ne connût pas l influence du registre suédois des prothèses totales de hanche (PTH), pourtant son cadet de 4 ans (1979), probablement du fait de l importance relativement faible de la chirurgie prothétique du genou jusqu aux années 80. La tendance s est, depuis, nettement inversée du fait d une augmentation significative du nombre d arthroplasties du genou dans tous les pays développés en particulier depuis les années 1990 et l apparition progressive d autres registres de PTG (11 actuellement recensés). En Amérique du Nord (Canada, USA), la fréquence annuelle des PTG est devenue supérieure à celle des PTH. Aux USA, entre 1990 et 2002, le nombre de PTG primaires et de révision a progressé de 200 % et cette tendance ne ferait que se confirmer dans l avenir [2]. Cette flambée est confirmée dans le SKAR mais à un moindre degré, avec une prévision de progression de l ordre de 36 % entre 2000 et 2030 [3]. L impact économique de ces développements est important, et les décideurs publics sont friands d indicateurs prévisionnels, d où leur intérêt pour les registres [3, 4]. INTÉRÊT DES REGISTRES Qu attend-on d eux? Quelle que soit l articulation prothésée considérée, leur problématique est commune. Ils ne peuvent en aucun cas remplacer les études cliniques prospectives et randomisées, mais celles-ci sont pratiquement impossibles à réaliser en chirurgie prothétique. Robertsson, coordinateur du registre suédois des PTG, indique par exemple que pour avoir 80 % de chance de détecter une différence significative pour un implant ayant un taux de révision de 30 % supérieur à la moyenne (6,5 % versus 5 %), patients doivent 1
2 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 2 ARTHROPLASTIE DU GENOU DE 1 re INTENTION 2 avoir été randomisés et suivis pendant 10 ans [1]. Ceci est long, coûteux et pratiquement irréalisable. Il est important de comprendre qu un registre ne fait que tracer le devenir des prothèses implantées chez les patients comme un parasite introduit dans un corps hôte [5]. C est la survie de la prothèse que l on étudie, et non celle du patient (dont le décès prothèse encore en place correspond à un succès probable de cette dernière puisqu elle aura duré la vie du patient sans avoir dû être changée, quelle que soit la raison du décès du receveur ). Mais c est en suivant le patient que l on connaîtra le devenir de sa prothèse. Il faut pour cela un identifiant patient-hôte unique, au mieux représenté par le numéro de sécurité sociale, strictement individuel en Suède et quasiment en France. C est cet identifiant qui permet de faire le lien entre une prothèse primaire mise en place en un établissement Y l année x, avec sa révision en un établissement Z l année (x + N), à condition que les 2 interventions à N années d intervalle aient toutes deux été inscrites au registre national par le premier opérateur et par le repreneur. C est pourquoi, et malgré ses insuffisances bien connues (état de santé précaire du patient, défaut de surveillance, non-diagnostic de la faillite de l implant, etc.), seul l événement révision de la prothèse, qui ramène le patient en salle d opération, reste le facteur de sortie de l implant indiscutable d un pays et d un registre à l autre. Encore faut-il s entendre sur la définition du terme révision de la prothèse. Le très exigeant registre suédois la définit comme une nouvelle opération durant laquelle un ou plusieurs des composants prothétiques est échangé, retiré ou ajouté (en incluant pour le genou l arthrodèse ou l amputation). Un changement isolé d insert en polyéthylène ou un resurfaçage secondaire de rotule initialement non prothésée représente donc une révision en Suède. Cette définition n est pas reconnue par tous les registres, et ce fait perturbe la lecture comparative des résultats entre eux. Ainsi, pour le registre norvégien, une révision n est prise en compte que si tous les composants prothétiques ont été retirés et, tout comme dans le registre pour la Grande- Bretagne et le Pays de Galles (NJR), la reprise d une PTG pour resurfaçage secondaire d une rotule non initialement prothésée est comptabilisée comme une ré-opération et non pas comme une révision. On le voit bien, d une manière générale la lecture d un registre doit être extrêmement attentive : chaque définition, chaque tableau doivent être étudiés avec beaucoup de soins en prenant garde aux raccourcis, à la définition des termes et aux erreurs de traduction. Enfin, certains registres n ayant pas de version anglaise (registre danois ou roumain), leur exploitation s en trouve limitée. Ces réserves prises en compte, les registres permettent des analyses épidémiologiques, démographiques et une analyse comparative des résultats entre implants et entre établissements en utilisant des critères communs à l échelle d un pays. Ils concernent a priori la totalité des praticiens, tous modes d installation confondus, et non pas les résultats d une équipe
3 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 3 INTÉRÊT ET JUSTIFICATION DES REGISTRES DE PTG hautement spécialisée au sein d un département dédié à la chirurgie prothétique, qui fournissent la majorité des études publiées dans la littérature internationale. En ce sens, ils sont plus près de la réalité quotidienne des soins portés aux populations et intéressent plus les décideurs publics. Ainsi, un élément important à prendre en considération est la qualité de l instance initiatrice à la création d un registre national. Dans certains pays comme l Australie ou la France, ce sont les sociétés savantes qui sont à l origine de leur création. Les inscriptions sont alors basées sur la simple bonne volonté des opérateurs, avec des taux de compliance initialement faibles, d où leur difficulté à gagner en puissance et en crédibilité. Par contre, les données étudiées dans ces registres sont très cliniques, tournant leur intérêt plutôt vers la comparaison entre les choix des techniques, des implants et des marques ( bench marking ). Surtout, ces données appartiennent aux sociétés savantes qui sont ainsi seules habilitées à les exploiter. A l inverse, dans la majorité des pays où les registres fonctionnent bien avec des taux de compliance supérieurs à 70 %, ce sont les instances de santé publique qui les ont bien souvent imposés aux établissements, et les administrations hospitalières participent à l effort d inscription en veillant à ce que leurs praticiens déclarent leurs interventions, au risque de subir des restrictions budgétaires. Dans ces derniers pays, les systèmes de santé sont, le plus souvent, à forte composante publique (pays scandinaves, UK) et les contrôles s en trouvent facilités. Les éléments prioritairement pris en compte sont alors plutôt orientés vers l épidémiologie et les comparaisons des performances entre établissements et régions, dont les résultats sont portés à la connaissance du public. Ainsi, le registre canadien s intéresse essentiellement aux performances régionales, mais ne fournit aucune information quant aux implants utilisés et à leurs résultats comparatifs. Cela revient à donner la palme ou la cuillère de bois aux établissements et à leurs équipes, sous entendant que ceux et celles qui auront les meilleurs résultats auront forcément dû choisir de bons implants : on aimerait cependant connaître quels sont ces implants! On comprend aussi les difficultés à sortir des sentiers balisés pour les équipes chirurgicales et le frein relatif à l innovation que peuvent représenter les registres technocratiques, au nom du principe de précaution chers aux pouvoirs publics des pays développés. En fait, les 2 situations se sont bien souvent succédées, comme ce fut le cas en Finlande par exemple, avec création du registre en 1980 par les instances professionnelles orthopédiques et leur développement, voire leur obligation statutaire dans un second temps (1996) par les autorités sanitaires publiques. Quoi qu il en soit, la valeur et l intérêt des registres sont directement conditionnés par leur représentativité. La compliance plus ou moins forcée des chirurgiens devrait tendre à l exhaustivité, obtenue dans les pays à déclaration quasi obligatoire (Suède, Finlande), mais illusoire dans les pays à déclaration volontaire. Les objectifs des registres étant relativement limités, les données requises doivent rester minimales. L expérience montre qu il existe une 3
4 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 4 ARTHROPLASTIE DU GENOU DE 1 re INTENTION 4 relation inverse entre le nombre d items requis et la qualité des données finalement délivrées. Les ambitions initiales de nombreux registres se sont heurtées à cet obstacle infranchissable. Dans les priorités de la future International Society of Arthroplasty Registries, une fiche d information minimale a été élaborée, comportant 14 items qualifiant la prothèse (2 items), le patient (6), l intervention (4), l établissement (1) et le chirurgien (1) [1]. Le respect de ces informations basiques permettra de comparer les registres entre eux. Les formulaires papiers encore utilisés même en Suède ou en Australie sont appelés à être remplacés par des fichiers électroniques. Dans un second temps, une harmonisation entre les données des registres nationaux permettrait une comparaison des pratiques d un pays à l autre et l obtention de données macro-économiques à l échelle d un continent (projet EUPHORIC) [6]. C est l objectif recherché sous l égide de l EFORT par la fédération des registres nationaux européens au sein de l European Arthroplasty Register (EAR) dont la SoFCOT fait partie. JUSTIFICATION DES REGISTRES Il existe actuellement 11 registres nationaux répertoriés plus ou moins dédiés aux PTG, soit de manière exclusive (Suède, 1975 ; Danemark, 1997), soit mêlant hanche et genou (Australie, 1998 ; Hongrie, 1998 ; Nouvelle-Zélande, 1998 ; Ecosse, 1999 ; Canada, 2001 ; Angleterre et Pays de Galles, 2003), soit au sein de registres multi-sites (Finlande, 1980 ; Norvège, 1994 et Roumanie, 2003). Selon leur ancienneté et leur exhaustivité, nous étudierons les huit plus représentatifs à travers leurs rapports les plus récents disponibles par internet [7-14]. Epidémiologie comparative des registres de PTG Le registre suédois, pourtant le plus ancien (1975) avec ses prothèses de genou totales ou unicompartimentaires de première intention entre 1975 et 2005, ne rapporte cependant pas sur le plus grand nombre d arthroplasties [7]. C est paradoxalement le dernier né, celui de la Grande-Bretagne et du Pays de Galles (NJR for England and Wales) débuté en 2003, qui compte la plus forte progression du nombre d implants, avec en 3 années d existence seulement, PTG primaires et PTG de révision au 31 mars 2007, date de sa dernière mise à jour [14]. Ces distorsions sont importantes à prendre en considération, car d un registre à l autre, sous l influence combinée de la démographie du pays concerné et de la collaboration plus ou moins étendue des chirurgiens, le nombre d implants inclus chaque année varie d un facteur 1 à 20 (de inscriptions en Norvège à en Grande- Bretagne et Pays de Galles pour l année 2005, tableau I). La compliance des opérateurs et des institutions est importante à prendre en considération, en particulier pour les registres les plus récents qui n ont pas encore atteint leur vitesse de croisière et où la comparaison des données d une année sur l autre n a qu une valeur indicative.
5 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 5 INTÉRÊT ET JUSTIFICATION DES REGISTRES DE PTG Registre N inclusions Croissance PTG Sex- Age Gonarthrose Arthrite 1aires de l activité Versus ratio moyen inflam. en 2005 (estimation) PTH F/H /année Suédois (+36 % de < 64/ % 6.6 % 2000 à 2030) Finnois % de > NA NA > 80 % ± 13 % en à 2004 Norvégien % de < 70/30 69,6 78,2 % 7,8 % 2004 à 2005 Danois ,3 % de NP 64/36 ± 70 79,5 % 5,4 % 2004 à 2005 Néo-Zélandais NP NP NP NP NP NP Australien % de > 56/44 68,9 NP NP 2001 à 2005 Canadien ± % de > 60/40 68,6 93 % 4 % 1994 à 2005 GB & Wales = > 57/ % 3 % NP : non précisé Tableau I : Démographies comparatives des arthroplasties primaires totales et uni-compartimentaires selon les registres de PTG Cependant, de grandes tendances épidémiologiques et démographiques communes se retrouvent dans tous les registres (tableau I). - Le nombre de PTG ne cesse d augmenter, plus rapidement que celui des PTH, et le nombre annuel de PTG dépasse celui des PTH en Finlande, Australie, Canada et UK & Pays de Galles [8,12-14] ; - La prédominance féminine est partout confirmée, atteignant le sexe ratio de 7 femmes pour 3 hommes en Finlande [8] ; - L âge moyen se situe aux alentours de 70 ans, mais il diminue régulièrement du fait des implantations plus fréquentes dans les tranches d âge plus basses (en particulier la tranche des ans) ; - La gonarthrose représente de très loin la principale indication (> 80 %), et l atteinte inflammatoire du genou voit son taux varier du simple (4 % au Canada) au triple (13 % en Finlande). A l évidence, certaines de ces données sont depuis longtemps connues car elles correspondent à la démographie standard des études cliniques classiques évaluant les résultats des PTG dans la population générale. Les registres apportent cependant des données nationales permettant de lisser les éventuelles variations de recrutement d un centre à l autre. 5
6 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 6 ARTHROPLASTIE DU GENOU DE 1 re INTENTION 6 Le rôle préventif : la fonction d alerte Ce rôle de prévention d une catastrophe sanitaire attribué aux registres est fortement avancé en leur faveur par les équipes scandinaves. Il a, de ce fait, été jugé suffisamment primordial en Grande-Bretagne (suite à la défaillance du système de hanche Capital Hip ), pour être à l origine de la mutation du registre régional des PTH du Trent en un registre national, le National Joint Registry (NJR), qui fût officiellement lancé en 2003 à l initiative des Pouvoirs Publics. Dans les pays où les registres ont une longue tradition et ou toute innovation est quasiment stérilisée, ce risque sanitaire est effectivement faible. Les innovations sont, en effet, plutôt mises en place dans des pays où la liberté de prescription et de recherche en rend l évaluation encore possible, sous la forme d études prospectives (voire randomisées) encadrés par une législation sur la recherche clinique destinée à protéger les patients informés s y prétant volontairement. On ne peut cependant nier le fait que l inclusion d implants prothétiques nouveaux ou innovants dans un registre national quasi exhaustif permet de comparer, à court terme, leurs résultats précoces à ceux des grands standards et de dépister ainsi des performances décevantes. Cet effet vient de se confirmer en Australie où le registre a identifié dès 2005 que 4 PTG introduites en 2003 indiquaient des taux de révision précoces (à 2 ans) nettement supérieurs à ceux normalement anticipés, allant de 27,7 % à 49,3 % [12]. Ces 4 PTG étaient toutes constituées d implants fémoraux non cimentés en Oxinium qui ont rapidement été retirés du marché Australien. Bench marking entre les implants Industriels et chirurgiens sont particulièrement intéressés par ces données. On distinguera la fréquence au recours à tels modèles d implants à l échelon national, ce qui dépend fortement de la culture orthopédique du pays et de la pénétration de son marché par telle ou telle firme, de leurs performances relatives. Le tableau II rend compte des trios d implants les plus utilisés dans les 6 registres fournissant des informations sur ce point. Dans les 4 registres scandinaves, le lissage des pratiques est bien mis en évidence par le constat que chaque trio d implants se partage environ les 2/3 du marché national correspondant. Deux lignes d implants même (AGC et PFC Sigma ) prédominent et se retrouvent dans les trios des registres suédois, finnois, danois et du NJR [7, 8, 10, 14]. A l inverse, le registre Norvégien se différencie totalement des 3 autres registres scandinaves avec un trio original (Profix, LCS et Genesis ), par contre, très proche de la formule du registre australien [9, 12]. Les registres ne permettent pas de déterminer les raisons de ces choix, mais il est logique de penser que les bonnes performances d un implant dans un registre ancien (SKAR par exemple) puissent être à l origine d un usage répandu dans un pays au registre beaucoup plus récent (NJR). Quant aux performances des divers implants, elles sont le plus souvent
7 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 7 INTÉRÊT ET JUSTIFICATION DES REGISTRES DE PTG exprimées sous forme d analyses de survie avec intervalles de confiance à 95 %, sauf le registre suédois qui a choisi de calculer le cumulative revision rate (CRR, fig. 1) qui revient en quelle que sorte à l inverse de la donnée de survie (un CRR de 5 % à 10 ans correspond à une survie de 95 % à 10 ans) [7]. Dans ce registre, le CRR à 10 ans des PTG primaires pour gonarthrose varie de 0,37 (PTG NexGen ) à 1,74 (PTG Axiom ) autour du CRR de référence (à 1) qui est celui de l implant le plus posé (la PTG AGC, avec implantations, soit 28 % du marché suédois sur la décade ). Cela signifie que tous les implants dont la CRR à 10 ans est inférieure à 1 (au nombre de 6) performent mieux que la PTG AGC de référence. Théoriquement, si les registres influent réellement sur les pratiques des professionnels, ces 6 implants devraient voir leurs ventes se développer dans l avenir au détriment des plus mal classés et de la PTG de référence. Figure 1 : Expression des performances prothétiques selon la représentation graphique du Cumulutavie Revision Rate dans le registre Suédois des PTG Comparaison et évaluation des pratiques professionnelles La lecture comparée des principaux registres des PTG montre d importantes variations des techniques et des choix prothétiques d un pays à l autre (tableau II). Pour les pays qui communiquent sur les performances comparées des établissements et des équipes (Suède, UK, Canada, etc.), les variations entre le taux de révision annuel d un établissement à l autre sont importantes. Ainsi sur les 93 hôpitaux suédois, le taux de révision 2006 des 4 meilleurs établissements est de l ordre de 0,4 %, alors qu il est de 2 % (multiplié par 5) pour les 2 plus mauvais classés [7]. Le registre spécule prudemment sur les raisons de ces distorsions : type de population prise en charge, choix d implant malheureux, formation des professionnels, etc. ( case-mix ). On peut cependant imaginer que l impact sur la clientèle et l activité des équipes chirurgicales ne sera pas le même dans un pays comme la Suède où les patients n ont quasiment aucune liberté de choix d établissement, et dans un pays comme la France où la majorité des arthroplasties est réalisée dans le secteur libéral concurrentiel avec encore un libre choix, en ce qui concerne chirurgien et établissement. C est pourquoi dans un système de santé encore partiellement libéral, la propriété des données des registres et leur exploitation par les sociétés savantes, devrait être une priorité pour les professionnels concernés. Aux Etats-Unis, certaines études épidémiologiques menées dans la population Medicare ayant démontré que plus le volume de PTG réalisé était important et moins était 7
8 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 8 ARTHROPLASTIE DU GENOU DE 1 re INTENTION Registre % Uni Abord % rotule Tout hybride Sans 3 implants les plus % MIS prothésée ciment ciment utilisés (période) Suédois 9,4 % 63 % < 10 % 98 % 2 % 0 AGC, PFC Sigma & Free-Sam MIII : 61 % ( ) Finnois < 10 % NP NP 98 % NP NP Duracon, AGC V2 & PFC Sigma : 58 % ( ) Norvégien 12 %? 15 % ± 87 % ± 11 % ± 2 % Profix, LCS & Genesis I : 64 % ( ) Danois 5,5 % 0 67,3 % 74,4 % 14,5 % 10,3 % AGC V2, PFC & NexGen : 64,3 % ( ) Néo-Zélandais 11 % NP NP NP NP NP NP Australien 13,3 % NP 41.5 % 48,7 % 27,5 % 23,8 % LCS, Duracon & Genesis II : 31 % ( ) Canadien 8 % 8 % 73 % 84 % 12 % 4 % NP GB & Wales 8 % 7 % NP 83 % 1 % 7 % PFC Sigma, AGC, NexGen : 23 % ( ) NP : non précisé Tableau II : Choix techniques et prothétiques en arthroplastie primaire selon les registres de PTG 8 le risque de survenue de complications, le débat sur la régionalisation de la prise en charge de ce type de chirurgie au sein d établissements et d équipes référents est ouvert [15, 16]. Ces éléments expliquent la reluctance à la mise en route des registres aux USA comme dans d autres pays développés. CONTRADICTIONS ET CONSEN- SUS ENTRE REGISTRES Que nous disent-ils sur les grandes questions toujours en suspens concernant les PTG? Les données sont cohérentes concernant le mode de fixation des implants (tableau II). Le cimentage complet est largement majoritaire (98 % en suède et en Finlande, 82 % au Canada, etc.) et seul le registre Australien revendique un taux de PTG totalement non cimentées de 23,8 %. De même, le taux de prothèses uni-compartimentaires au sein de l ensemble des prothèses de genou dépasse rarement les 10 % sauf dans 2 pays (11,8 % en Australie et 12 % en Norvège). Notons à ce sujet que l analyse des 2 registres les plus fouillés dédiés exclusivement aux arthroplasties du genou indique que le taux de révision annuel des
9 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 9 INTÉRÊT ET JUSTIFICATION DES REGISTRES DE PTG prothèses uni-compartimentaires est de 2 (en Australie) à 4 fois (en Suède) plus élevé que celui des PTG, mais que les populations concernées sont probablement différentes. Ils sont aussi consensuels en ce qui concerne la cause principale de révision des PTG de 1 re intention (tableau III). Le descellement aseptique est partout en première position, mais avec une fréquence variant de 20 % (NJR) à 44 % (SKAR). L instabilité prothétique responsable de révisions relativement précoces est signalée à l origine de 3,6 % (Australie) à 18,1 % (Danemark) des révisions. Pour l ostéolyse et l usure du polyéthylène, on comprend aisément que leur fréquence augmente avec l ancienneté du registre et celleci s étendant de 4 (NJR) à 32 ans (SKAR), toute comparaison entre eux devient dès lors impossible. Cependant, la charge révisionnelle ( revision burden ou crude revision rate, égale au quotient entre le nombre de révisions et le nombre total de PTG 1aires + révisions sur une période donnée), reste assez proche d un registre à l autre, de 4,6 % dans le NJR (mais la compliance progresse encore fortement d une année à l autre) à 9,9 % en Australie (tableau IV). L interprétation de ces données doit rester prudente et la comparaison entre les registres fait intervenir le taux de compliance (plus il est élevé et plus le calcul de la charge révisionnelle est fiable) et surtout dépend de la définition de la révision (le registre norvégien annonce une charge révisionnelle basse de 6,6 % mais la révision n y est comptabilisée que si la totalité des implants de l arthroplastie est retirée). Quoi qu il en soit, cette charge révisionnelle des PTG est constamment meilleure que Révision/ Révision/ Révision/ Révision/ Registre Compliance Descellement Usure PE Ostéolyse Instabilité aseptique Suédois 94 % en % NP NP 5.7 % Finnois obligatoire NP NP NP NP Norvégien NP 25 % (reprise 6 % NP 8,3 % complète) Danois 73 % 35 % 19,1 % NP 18,1 % Néo-Zélandais NP NP NP NP NP Australien ± 90 % 37,3% 1,8 % 1,7 % 3,6 % Canadien 70 % en % 30 % 18 % 13 % GB & Wales 79 % en % 2 % 4 % 10 % NP : non précisé Tableau III : principales causes de révision selon les registres de PTG (à interpréter selon la définition de la révision et la compliance) 9
10 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 10 ARTHROPLASTIE DU GENOU DE 1 re INTENTION Période N PTG ou N Charge Registre d inclusions Uni primaires révisions révisionnelle (PTG/Uni) Suédois % (3,7 %/14,3 %) Finnois ,8 % Norvégien (rev totale) 6,6 % Danois ,9 % Néo-Zélandais ,2 % Australien ,9 % (3,36 %/7,74 %) Canadien % GB & Wales ,6 % (compliance) NP : non précisé Tableau IV : Charges révisionnelles selon les registres de PTG (à interpréter selon l ancienneté et l exhaustivité) 10 celle des PTH, même en Suède ou les 2 taux sont encore voisins : 7 % pour les PTG (cimentées à 98 %) et 7,9 % pour les PTH cimentées. Pour comparaison, la situation est extrême dans la population Medicare aux Etats- Unis ou la charge révisionnelle des PTG n est que de 7,3 % alors qu elle atteint 18 % pour les PTH [15]. Par contre, en ce qui concerne le resurfaçage rotulien, la comparaison entre les données des registres nous indique que les pratiques d un pays à l autre sont extrêmement variables (tableau II). Ainsi, le taux de resurfaçage est < 10 % en Suède alors qu il atteint son maximum au Canada (73 %) et au Danemark (67,3 %), ce dernier pays pourtant bien proche de la Suède à tous points de vue! Notons que pour les registres qui séparent les résultats des PTG primaires en fonction de la présence ou non d un médaillon rotulien, le risque de révision est toujours plus élevé lorsque la rotule n a pas été prothésée. A l extrême dans le registre australien, la cause principale de révision des PTG sans médaillon rotulien est la douleur ou la douleur fémoro-patellaire (28,5 %), et dans le NJR, la cause principale des ré-opérations (52 %) est la reprise pour resurfaçage secondaire d une rotule non prothésée lors de l intervention initiale. Paradoxalement, ce dernier registre pourtant très détaillé, ne fournit pas le taux de resurfaçage rotulien pratiqué lors des PTG 1aires!
11 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 11 INTÉRÊT ET JUSTIFICATION DES REGISTRES DE PTG Enfin, certaines informations ne peuvent être apportées que par un suivi épidémiologique à très long terme. Tout récemment, le registre suédois a mis en évidence une relation inverse entre l âge lors de la réalisation de la PTG initiale et la mortalité [17]. Passée une période d observation de 12 ans, plus les opérés avaient été opérés jeunes et plus leur mortalité devient élevée, essentiellement du fait de pathologies cardiovasculaires, gastro-intestinales et urogénitales. Vu sous un angle de santé publique, les auteurs suggèrent que l on porte donc une attention toute particulière à la surveillance de l évolution de l état de santé des jeunes patients prothésés du genou. Cette constatation frappe sans doute par son évidence, mais elle n avait jamais été aussi clairement confirmée jusque-là, illustrant bien la complémentarité entre intuition clinique et evidence based medicine, qui est la justification profonde des registres. CONCLUSIONS Sans nul doute, la gestion et le maintien de registres prothétiques est une activité coûteuse en temps et en moyens financiers et humains. Basé sur la culture de l évaluation, leur succès dans certaines sociétés (Anglo-Saxones) et leur absence dans d autres (latines) illustre bien les diversités qui les différencient. L expérience des uns pouvant servir aux autres, via le développement de la communication électronique et l utilisation de la langue anglaise aidant, la multiplication des registres ne semble pas indispensable à leur efficacité. A l échelle d un pays cependant, et bientôt entre eux, ils apportent des informations inédites sur les performances des implants et surtout des établissements dont les décideurs ne pourront plus se passer. A l échelon individuel, ils fournissent à chaque chirurgien les données lui permettant de confronter sa pratique à celle de sa profession. Dans cette optique, la charge révisionnelle est un moyen d évaluer ses propres performances. Elle est relativement facile à calculer, à condition de suivre régulièrement tous ses opérés et de tracer les révisions de ses propres arthroplasties réalisées par d autres. Dans ce but, la pratique consistant à informer l équipe ayant réalisé la PTG initiale que l on doit/vient (de) reprendre devrait être systématique (couplée à la demande du CRO initial) car très contributive à l évaluation de la qualité des performances des professionnels. En effet, la constatation d une charge révisionnelle anormalement élevée devrait alors conduire le praticien ou l équipe concernés à une remise en question de ses pratiques et de ses choix prothétiques. Cette maturité des professionnels est un élément déterminant pour le développement des registres dans l optique d une amélioration globale des pratiques professionnelles susceptible de bénéficier à la prise en charge des futurs opérés. 11
12 H4 Delaunay 6/12/07 9:08 Page 12 ARTHROPLASTIE DU GENOU DE 1 re INTENTION RÉFÉRENCES [1] ROBERTSSON O Knee arthroplasty registers. J Bone Joint Surg (Br): 89: 1-4. [2] KURTZ S., MOWAT F., ONG K., CHAN N., LAU E., HALPERN M Prevalence of primary and revision total hip and knee arthroplasty in the United States from 1990 through J Bone Joint Surg (Am): 87: [3] KURTZ S.M., ONG K.L., SCHMIER J. et al Future clinical and economic impact of revision total hip and knee arthroplasty. J Bone Joint Surg (Am): 89(Suppl 3): [4] ROBERTSSON O., DUNBAR M.J., KNUTSON K., LIDGREN L Past incidence and future demand for knee arthroplasty in Sweden. Acta Orthop Scand: 71 : [5] DELAUNAY C Registres des prothèses totales de hanche : état des lieux, limites et futur. In : J Puget ed. Prothèse totale de hanche : les choix. Paris : Elsevier, [6] TORRE M., MORCIANO C., D ERRIGO P. et al The EUPHORIC project: outcome indicators collection in Europe. Results of the first phase. Poster presented at the European Congress of Public Health (EUPHA) ), 12-13; Helsinki. [7] SWEDISH KNEE ARTHROPLASTY REGISTER Annual Report. [8] RANTANEN P., KEINONEN A., MÄKELÄ A The 2004 Implant Yearbook on Orthopaedic Endoprostheses. Finnish Arthroplasty Register. [9] NORWEGIAN ARTHROPLASTY REGISTER Annual Report. [10] DANSK KNAEALLOPLASTIK REGISTER Arsrapport. [11] THE NEW ZEALAND NATIONAL JOINT REGISTER. [12] AUSTRALIAN ORTHOPAEDIC ASSOCIATION NATIONAL JOINT REPLACEMENT REGISTRY. [13] CANADIAN JOINT REPLACEMENT REGISTRY Annual Report. [14] NATIONAL JOINT REGISTRY FOR ENGLAND AND WALES Annual Report. [15] KATZ J.N., LOSINA E., BARRETT J., PHILLIPS C.B., MAHOMED N.N., LEW R.A. et al Association between hospital and surgeon procedure volume and the outcomes of total hip replacement in the United States Medicare population. J Bone Joint Surg (Am): 83: [16] KATZ J.N., BARRETT J., MAHOMED N.N., BARON J.A., WRIGHT R.J., LOSINA E Association between hospital and surgeon procedure volume and the outcomes of total knee replacement. J Bone Joint Surg (Am): 86: [17] ROBERTSSON, STEFANSDOTTIR A., LIDGREN L., RANSTAM J Increased long-term mortality in patients less than 55 years old who have undergone knee replacement for osteoarthritis. Results from the Swedish Knee Arthroplasty Register. J Bone Joint Surg (Br): 89:
J.H. CATON clinique E. De Vialar - Lyon, J.L. PRUDHON Clinique des Cèdres - Echirolles A. FERREIRA Clinique du Parc Lyon T. ASLANIAN Groupe Lépine -
J.H. CATON clinique E. De Vialar - Lyon, J.L. PRUDHON Clinique des Cèdres - Echirolles A. FERREIRA Clinique du Parc Lyon T. ASLANIAN Groupe Lépine - Genay J.H. CATON Consultant et royalties Groupe Lépine
Plus en détailMATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET
MATTHIEU GUYARD SEBASTIEN MARTRES GUALTER VAZ JEAN-PAUL CARRET PROTHESE TOTALE DE HANCHE POUR OSTEONECROSE ASEPTIQUE DE LA TETE FEMORALE Analyse d une série de 126 arthroplasties. Hôpital Edouard HERRIOT
Plus en détailCONTROVERSES en chirurgie de la hanche. C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar
CONTROVERSES en chirurgie de la hanche C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar Une invention française Gilles Bousquet CHU de Saint-Etienne - Jean Rieu, Professeur à l Ecole des Mines de Saint-Etienne
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailRapport de recommandations
Comment s assurer que les personnes souffrant d ostéo-arthrite et d arthrite rhumatoïde reçoivent des soins optimaux de par l Europe: recommandations EUMUSC.NET En partenariat avec EULAR et 22 centres
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLa chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE
La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailConstruction de bases biométriques pour l assurance dépendance. SCOR inform - Novembre 2012
Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance SCOR inform - Novembre 2012 Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance Auteur Laure de Montesquieu Responsable Centre
Plus en détailUFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS
UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailSéminaire d analyse économique
Séminaire d analyse économique QUELLE RÉGULATION POUR LA SANTÉ? UN REGARD COMPARATIF. Bruno PALIER (chercheur CNRS au Cevipof - Sciences Po) COMMUNICATION AU SÉMINAIRE MESPI MARDI 16 NOVEMBRE 2004 Séminaire
Plus en détailMobilité de l enseignement supérieur
Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLes expatriés et la protection sociale
Une étude réalisée par le CSA, offerte par lepetitjournal.com et Humanis. N étude 1301061 Février 2014 Enquêtes de satisfaction 1 Sommaire 1. 2. 3. 4. 5. Introduction p.3 L équipement en matière en protection
Plus en détailFormation PME Etude de marché
Formation PME Etude de marché Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les business-tools, aller sous www.banquecoop.ch/business L étude de marché ou étude marketing
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailNiveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international
N o 81-599-X au catalogue Issue n o 008 ISSN : 1709-8661 ISBN : 978-1-100-98615-9 Feuillet d information Indicateurs de l éducation au Niveau de scolarité et emploi : le dans un contexte international
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailL éducation au Québec : L état de la situation
Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets
Plus en détailLe défi numérique et les enjeux du e-learning Comment renforcer la compétitivité?
Le défi numérique et les enjeux du e-learning Comment renforcer la compétitivité? Rhena TIC DAYS Mulhouse 2011 Le défi numérique : Le développement des téléphones mobiles, d Internet et des technologies
Plus en détailINVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD
INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailLes Français et l assurance santé
Mai 2013 Contacts : 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français et l assurance santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon :
Plus en détailLe gouvernement du Canada, à l instar de
Philip Giles et Karen Maser Utilisation du REER avant la retraite Le gouvernement du Canada, à l instar de ceux de nombreux autres pays, offre une mesure incitative pour encourager l épargneretraite personnelle.
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailAvis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés METHODOLOGIE RELATIVE AUX COMPTES COMBINES
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés Le Conseil national de la comptabilité réuni en formation de Section des entreprises le 28 octobre 1994,
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailLes personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?
Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détail1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?
1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?... 1 2. LES TABLEAUX DE BORD, OUTILS DE PILOTAGE... 2 3. LES TABLEAUX DE BORD : OUTILS DE DIALOGUE A L'INTERIEUR DE L'ORGANISATION... 3 4. LA PRESENTATION
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailTransports sanitaires
Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailComptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Plus en détailIntroduction : pour une refonte générale de notre système de retraite
Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.
Plus en détailDigital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014
Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailLes étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant
Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailisit Assur L assurance spéciale Visa Schengen pour les visiteurs étrangers en France international [ LA MOBILITÉ] PARTICULIERS
[ LA MOBILITÉ] PARTICULIERS isit Assur L assurance spéciale Visa Schengen pour les visiteurs étrangers en France 2011 Suivez-nous sur Facebook et Twitter! www.facebook.com/aprilexpat www.twitter.com/aprilexpat
Plus en détailSociétés d Exercice Libéral. Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl
Sociétés d Exercice Libéral Par : Gérard De BRUYKER Première partie : Questions et études préalables à la création d une selarl En 1999, certains clients médecins et chirurgiens dentistes, nous ont consulté
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailDemande R-3549-2004 RÉGIME DE RETRAITE. Original : 2004-09-27 HQT-7, Document 2.1 Page 1 de 7
RÉGIME DE RETRAITE Page de 0 0 Le Régime de retraite d Hydro-Québec est un régime de retraite contributif à prestations déterminées, de type fin de carrière. Ce régime est enregistré auprès de la Régie
Plus en détail7. Recherche des essais
7. Recherche des essais Le chapitre précédent a insisté sur la nécessité de réaliser une recherche des essais aussi exhaustive que possible. Seule la conjonction de tous les moyens disponibles peut laisser
Plus en détailAnalyse et interprétation des données
8 Analyse et interprétation des données Les données de l enquête peuvent être utilisées pour différents types d analyses aussi bien au niveau national qu au niveau international. Ce chapitre explique comment
Plus en détailPartir en toute. assurance PARTOUT DANS LE MONDE
Partir en toute assurance PARTOUT DANS LE MONDE L information contenue dans ce document l est à titre indicatif et n engage en rien la responsabilité de la Société de l assurance automobile du Québec.
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailLes clients puissance cube
LETTRE CONVERGENCE Les clients puissance cube L intelligence artificielle au service du marketing des services N 28 To get there. Together. A PROPOS DE BEARINGPOINT BearingPoint est un cabinet de conseil
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailRETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?
RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise
Plus en détailGroupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5
Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailEVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO
EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détail