TRACES DE VARIATIONS CLIMATIQUES GRACELES POLLENS
|
|
- Hippolyte Lafond
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 T.P. 1.2 : TRACES DE VARIATIONS CLIMATIQUES GRACELES POLLENS Les variations climatiques touchent aussi les continents : les végétaux ont des préférences ou des exigences climatiques. Quelles informations sur les variations climatiques les végétaux apportent-ils? Déroulement Les préférences climatiques des végétaux concernent les besoins d eau et de chaleur. La succession régionale des végétaux indique l évolution des conditions d humidité et de température. Préférences climatiques Les pollens s accumulent dans la tourbe, d où on peut les extraire Chaque espèce est caractérisée par son pollen. Extraction des pollens de la tourbe Détermination des pollens Le recensement des pollens d une même profondeur permet d estimer les proportions d espèces d un âge. Le spectre pollinique exprime graphiquement cette proportion d espèces. Spectre pollinique Le diagramme pollinique représente les spectres successifs d une carotte sédimentaire Diagramme pollinique Pour rendre compte du type d informations que les végétaux apportent sur les variations du climat : Identifier par dessin 2 pollens différents, représentant des conditions climatiques particulières. Tracer les spectres polliniques des 2 lacs d USA (W et E) montrant le climat de ces 2 lieux. Tracer le diagramme pollinique de la carotte de Chambedaze montrant l évolution du climat de ce lieu et rédiger un texte court présentant ces variations climatiques depuis ans.
2 EXTRACTION DES POLLENS DE LA TOURBE retour 1 Tourbe + Détergent à 10% Prélever un échantillon de tourbe de 4 cm 3 environ à l'aide d'un emporte-pièce (2x2x1 cm). Les mousses finement hachées sont agitées durant 10 min dans un bécher. Le détergent (10%) + l eau distillée (90%) est un dé-floculant : les pollens sont libérés. 2 Passage au tamis 125 µm Rincer la mousse à l eau distillée dans le tamis, au dessus d'un bécher. Le refus du tamis est jeté ou mis de coté (les pollens sont compris entre 5 µm et 200 µm) 3 1 passage à la centrifugeuse 10 ml de filtrat récupéré (contenant les pollens) est centrifugé 6 minutes à tours Le surnageant est jeté ; il reste dans le fond un culot ± solide 4 Mélange avec KOH à 10% Le culot est remis en suspension dans l eau distillée. 10 ml de potasse à 10% sont ajoutés et mélangés à la suspension Passage au bain-marie 2 passage à la centrifugeuse Préparation lame et fuchsine Durant 10 min le mélange eau, pollen, potasse est passé bain-marie à ébullition douce. Amener de nouveau à neutralité par lavage et centrifugation 10 ml du mélange sont centrifugés 5 minutes à tours Le surnageant est jeté ; il reste dans le fond un culot ± solide Après tous ces traitements les pollens sont toujours là. Prélever une partie du culot. Le monter entre lame et lamelle dans de l'eau colorée par une goutte de Fuchsine 8 Reste du culot Conserver le reste du culot pour d'autres montages éventuels.
3 PREFERENCES CLIMATIQUES DES ESPECES VEGETALES retour Sapin Epicéa Pin Saule Peuplier Aulne Bouleau Frêne ESPECE EAU CHALEUR MILIEU Noisetier Hêtre Chêne Poacées Armoise - humidité élevée de l air - craint l été sec - humidité élevée de l air - craint la sécheresse, le vent - craint les fortes pluies - aime les sols humides - craint la sécheresse - préfère les sols humides - craint les lieux secs - exige de l'eau dans le sol - craint la sécheresse - exige de l eau dans le sol - craint la sécheresse - humidité élevée de l air - craint la sécheresse - humidité élevée de l air - craint la sécheresse - humidité élevée de l air - sol drainé peu humide - humidité élevée de l air - craint la sécheresse - peu exigeant mais - craint les gelées de printemps - résiste au froid - résiste à la chaleur - résiste aux gelées zone tempérée de 400 à 1600 m Vaste répartition 700 à 2000 m plaine et montagne 3000 m - peu exigeant vallées et collines - résiste au froid plaines - peu exigeant en chaleur bords de cours d'eau, marais - résiste au froid - Préfère la chaleur - craint les gelées de printemps climats océaniques montagnes humides Plaines et collines - résiste au froid de la plaine à 1800 m - craint les gelées de printemps de la plaine à 1300 m - Préfère la chaleur - craint les gelées de printemps Plaines et collines - peu exigeant en eau - supportent les conditions dures Tous climats, steppes Callune photos
4 PLANCHES DE DETERMINATION DES POLLENS retour Pollen sans sillon ni pore Grains isolés Grains isolés avec ballonnets Pollen avec pores Mélèze Cypéracées Cèdre Pin Sapin Epicéa Pollen avec sillon Poacées Charme Noisetier Aulne glutineux Bouleau Ces photographies ne sont pas toutes à la même échelle Pollen avec pores et sillons Chêne Frêne Renoncule Colza (Brassica) Hêtre Oseille Ambroisie Armoise
5 CONSTRUCTION D UN SPECTRE POLLINIQUE retour CHIFFRES ET CONSTRUCTION A VOIR SUR OPEN CALC : Fichier «résultats des comptages de pollens» Pourcentage de pollens par espèce, dans 2 sites Américains, d un même niveau de tourbe. profondeur (mètres) Age (ans) Epicéa / bouleau Sapin Pin Chêne Graminées Site Name: USA NW, Washington Carp Lake. Altitude: 714 m. Latitude: 45,92. Longitude ,7 Epicéa Site Name: USA NE, New Jersey, F Lake. Altitude: 189 m. Latitude. 40,98. Longitude Bouleau : DIAGRAMME POLLINIQUE retour CHIFFRES ET CONSTRUCTION A VOIR SUR OPEN CALC : Fichier «résultats des comptages de pollens» Construction du diagramme pollinique simplifié (espèces significatives) de la carotte sédimentaire de Chambedaze.
6 Lac de Chambedaze, 1200 m, au S-E du Mont Dore (sous Clermont-Ferrand), près du Lac Pavin (voir GOOGLE EARTH) L'analyse pollinique de cette tourbière révèle la succession de la flore de cette région depuis ans.
7 Dans ces zones marécageuses, l acidité, le froid et l absence d oxygène ralentit fortement la minéralisation des végétaux.
8 Sphaigne (mousse de milieu très humide) Sphaigne dans l eau Elle s accumule et forme un dépôt de matière organique mal décomposée plusieurs mètres d épaisseur : la tourbe. Rotundifolia (plante carnivore) Grenouille sur sphaigne
9 PIN retour tableau
10 AULNE retour tableau
11 BOULEAU retour tableau
12 FRENE retour tableau
13 NOISETIER retour tableau
14 CHENE retour tableau
15 ARMOISE retour tableau
16 CALLUNE (bruyère sauvage) retour tableau
Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailPrincipe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs
Plus en détailMesure des caractéristiques des combustibles bois
Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée
Plus en détailFASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE
FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailRèglement type relatif à l abattage d arbres
Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailGamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction. produits certifiés
Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction produits certifiés Une nouvelle marque de produits éco-conçus et responsables Fabrication 100% française Une vraie fabrication française
Plus en détailGamme portes. Bienvenue à la maison
Gamme portes Bienvenue à la maison Un système ingénieux pour une pose rapide et facile porte cloison Mousse polyuréthane cloison Ébrasement Coupe ébrasement Mousse polyuréthane (non fournie) pour réaliser
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailLA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES:
DOSSIER NOUGATINE LA QUALITE DES CROQUANTES OU NOUGATINES: La qualité des nougatines, est variable en fonction de la quantité d'amandes par rapport aux matières édulcorantes(saccharose, glucose, fondant,
Plus en détailESCALIER DROIT AVEC RAMPE A BALUSTRES EN BOIS
DROIT AVEC RAMPE A BALUSTRES EN BOIS UN PRODUIT SIMPLE, UNE FABRICATION SOLIDE BEST DEAL - - SAPIN escalier droit - 15 marches ouvertes en sapin 15 x 44,04 = 660,60 balustres droits 34/34-3mc 3 x 77,08
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailMenuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES
Menuiserie Agencement BOIS RÉSINEUX BOIS FEUILLUS BOIS EXOTIQUES 171 Bois résineux Les bois résineux de menuiserie sont particulièrement adaptés aux fabrications de menuiseries industrielles ou artisanales,
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailLE SPECTRE D ABSORPTION DES PIGMENTS CHLOROPHYLLIENS
Fiche sujet-élève Les végétaux chlorophylliens collectent l énergie lumineuse grâce à différents pigments foliaires que l on peut classer en deux catégories : - les chlorophylles a et b d une part, - les
Plus en détailFabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013
Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailDECLARATION DES PERFORMANCES N 1
DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailCHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE
CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à
Plus en détailHerrebout-Vermander N.V. S.A.
Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailRincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive.
Betterave rouge Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive. Bière Boue/Terre Rincez à l'eau froide puis procédez à un lavage normal avec une lessive. Epongez la tache avec du
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailLa menuiserie et le travail du bois
+ de 800 photos pour vous guider pas à pas Robert Longechal La menuiserie et le travail du bois L a m a i s o n d u s o l a u p l a f o n d Je découpe J entretiens Je répare Je construis Maquette intérieure
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailAvec quel bois. se chauffer?
Avec quel bois se chauffer??? Pourquoi choisir l énergie bois? Le bois énergie est bon marché Contrairement aux prix des énergies fossiles, celui du bois est stable. Le faible coût de ce combustible, associé
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES
GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailCosmétique, perfection de couleur et délicatesse sont les principes fondamentaux de DousColor.
DousColor Effet couleur ton sur ton Douscolor signifie la couleur douce et couvrante ton sur ton, résultat d'une récente recherche scientifique. Il ne contient pas d'ammoniaque et n'éclaircit pas les cheveux.
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailLe triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique
LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue
Plus en détailComment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement?
Comment prouver que les végétaux ont besoin d eau, de minéraux, d air et de lumière pour se développer normalement? La question que l on se pose : Les végétaux ont-ils besoin d eau, de minéraux, d air
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailHERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice
HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une
Plus en détailPériodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire.
Périodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire. Laver les surfaces à l aide d une solution d eau tiède et de savon,
Plus en détailMusée archéologique à Saint Raphaël : 13 janvier 2015
SORTIES Musée archéologique à Saint Raphaël : 13 janvier 2015 PHILIPPE J : Il a fallu monter un petit escalier bien raide pour aller jusqu au clocher de la Commanderie d où l on domine toute la région
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détailFiche technique sur la stabilisation des rives
Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailRÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR
RÉCUPÉRATEUR DE CHALEUR POUR DOUCHE RECOH -VERT RECOH -DRAIN RECOH -TRAY RECOH -MULTIVERT Récupération de chaleur grâce à l eau de douche Qu est ce que c est? Suite aux différentes réglementations, les
Plus en détailWWW.CLEVERCARE.INFO LAVAGE
WWW.CLEVERCARE.INFO LAVAGE Le symbole du cuvier indique si le lavage domestique est possible à la main et en machine. Le nombre à l intérieur de ce symbole indique la température de lavage maximale en
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailMarteloscope Gounamitz 2
Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,
Plus en détail>Si j ai réussi, je suis capable de
Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailSécurité garantie pour vos escaliers!
Nez de marche pour carrelage et pierre naturelle Nez de marche pour parquet, stratifié, moquette et linoléum Sécurité garantie pour vos escaliers! Nez de marche avec inserts spéciaux > Les escaliers et
Plus en détailNOTICE D UTILISATION
NOTICE D UTILISATION TESTEUR ANALOGIQUE D'ISOLEMENT ET DE CONTINUITE KYORITSU MODELE 3132A REMARQUE Ce mesureur a été développé conformément à la norme de qualité de Kyoritsu et a passé le contrôle dans
Plus en détailMénage au naturel. Les recettes!
Pas toujours facile de faire le ménage face à tous les produits proposés en magasin et à leur potentielle dangerosité tant pour l environnement que pour la santé. Il est pourtant possible de choisir! De
Plus en détailValencia (Spain) info@tigernuts.com - www.tigernuts.com. Valencia (Spain)
La «noix tigrées» et la pêche á la Carpe Valencia (Spain) 1 Tigernuts Trader S.L., est le leader mondial dans l exportation de noix tigrée et de ses dérivées La noix tigrée, est un tubercule d une exquise
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailLIVRET D AMENAGEMENT. VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand
22 09 2010 VetAgro Sup, agro campus de Clermont Ferrand Mathieu BOOGHS Guillaume COUEPEL Caroline COUFFIGNAL Aurore DESGROUX Morgane GRASSELLY Estelle PAULHIAC LIVRET D AMENAGEMENT Vulgarisation d une
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailRéussir l assemblage des meubles
Réussir l assemblage des meubles Assemblages en ligne Systèmes d accrochage de meuble LES BONS CONSEILS POUR FAIRE SOI-MÊME! 1 Les différents types d assemblage Les assemblages en angle ou en croix permettent
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES. > ÉDITION septembre 2013 RÉCOLTE 2013. Qualité des blés durs français
CARACTÉRISTIQUES > ÉDITION septembre 213 RÉCOLTE 213 Qualité des blés durs français ÉDITORIAL BLÉ DUR 213 : UNE PRODUCTION À 1,7 MILLION DE TONNES ET UNE QUALITÉ VARIABLE SELON LES SITUATIONS La production
Plus en détailInstructions de pose des revêtements de mur Santana
Instructions de pose des revêtements de mur Santana CE QU IL FAUT SAVOIR 2 AVANT DE COMMENCER 2 PREPARATION DU SUPPORT 2 Enduit neuf 3 Enduit peint 3 Papier peint 3 Carreaux de faïence 3 Panneaux de plâtre
Plus en détailBacs de lavage et équipements de buanderie
Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre
Plus en détailGlendinning propose depuis plus de trente ans des solutions innovantes d une qualité exceptionnelle pour l industrie nautique.
Glendinning propose depuis plus de trente ans des solutions innovantes d une qualité exceptionnelle pour l industrie nautique. Cablemaster, le produit distribué par Saim Marine, est un enrouleur automatique
Plus en détailESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)
ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille
Plus en détailm biles jardins Les by SINEU GRAFF dans votre ville pour la ville & les territoires de demain
Les jardins m biles by SINEU GRAFF dans votre ville Un design intelligent pour la ville & les territoires de demain CHARENTON-LE-PONT Place avec aménagement style historique PLUS D'INFOS Flashez avec votre
Plus en détail